VERS UNE SAINE ALIMENTATION POUR TOUS. Julie Desrosiers Direction de la santé publique du CISSS du Bas- Saint-Laurent 12 mai 2016

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "VERS UNE SAINE ALIMENTATION POUR TOUS. Julie Desrosiers Direction de la santé publique du CISSS du Bas- Saint-Laurent 12 mai 2016"

Transcription

1 VERS UNE SAINE ALIMENTATION POUR TOUS Julie Desrosiers Direction de la santé publique du CISSS du Bas- Saint-Laurent 12 mai 2016

2 OBJECTIFS Généraux : Connaître l expérience du Bas-Saint-Laurent en matière de vision pour une Saine alimentation pour tous (SAPT) Prendre conscience que la saine alimentation (SA) s intègre dans la sécurité alimentaire (SéA) et vice-versa, et ce, dans une perspective de développement des communautés Habiliter les participants à repérer rapidement les actions pertinentes et contributrices en matière de SAPT Spécifiques : Définir les déterminants communs de la SA et de la SéA et le concept de SAPT Introduire les différents partenaires visés par la SAPT Être outillé pour mieux soutenir les communautés en matière de SAPT

3 PLAN DE LA PRÉSENTATION BLOC 1: historique et pourquoi SAPT? BLOC 2 : s entendre sur les mots BLOC 3 : les déterminants communs de la saine alimentation et de la sécurité alimentaire BLOC 4 : le chemin parcouru en SAPT au Bas-Saint-Laurent BLOC 5 : atelier, retour sur les messages clés et conclusion

4 BLOC 1: POURQUOI SAPT?

5 UNE QUESTION POUR DÉBUTER Pourquoi, en 2016, a-t-on besoin de préciser que la saine alimentation, c est pour tous?

6 UN BREF HISTORIQUE N A T I O N A L B S L PNSP , puis 2015 PAG-SIS, Table régional PAG-SHV, Programme soutien e SHV sécurité COSMOSS alimentaire Cadre de référence SéA 2008 QEF au BSL COSMOSS Phases 2à Vision Saine alimentation, 2010 Mangez mieux! AE au BSL Table régionale PAG-SIS, Vision EF- SHV, 2012 Réunir réussir au BSL Vieillissem ent en santé ISP au BSL PNSP Consultation nationale MSSS-QEF SA et SéA, 2014 COHÉSION COSMOSS S A P T

7 COSMOSS Une Communauté Ouverte et Solidaire pour un Monde Outillé, Scolarisé et en Santé 12 ans de mobilisation intersectorielle

8 Une démarche de lutte à la pauvreté Par la prévention (agir tôt) Le réseautage Et le continuum de services (0-30 ans) Une intervention universelle et une approche ciblée pour les familles vulnérables visées Améliorer le parcours de vie des jeunes vulnérables en agissant sur quatre enjeux :

9 Une gouvernance claire, engagée et basée sur la complémentarité et le dialogue régional-local

10 BLOC 2 : S ENTENDRE SUR LES MOTS

11 À GARDER EN TÊTE Pour vous, c est quoi, la saine alimentation? Pour vous, c est quoi la sécurité alimentaire?

12 QU EST-CE QUE L INSÉCURITÉ ALIMENTAIRE? Insécurité alimentaire : À l échelle d un ménage, d une personne Accès inadéquat ou incertain aux aliments en raison d un manque de ressources financières; Peut aller de la peur de manquer de nourriture à la privation de nourriture une journée entière, en l absence d un revenu suffisant pour se nourrir. L insécurité alimentaire; un problème vécu par les personnes qui manquent de revenu pour se nourrir adéquatement.

13 QU EST-CE QUE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE? Sécurité alimentaire : À l échelle de toute la population Accès physique et économique Nourriture suffisante, saine, nutritive, acceptable sur le plan personnel et culturel Aptitude à acquérir des aliments Accès à une information simple, fiable et objective (choix éclairés) Dignité humaine Justice, équité Système agroalimentaire durable La sécurité alimentaire; une vision idéale, holistique et universelle.

14 QU EST-CE QUE LA SAINE ALIMENTATION? À l échelle d une population Offre alimentaire composée d une diversité d aliments de bonne valeur nutritive Aliments sains accessibles à toute la population Aliments sains offerts plus souvent et en plus grande quantité (fréquence et quantité) Aliments disponibles répondant aux préférences culturelles et aux goûts Plaisir, satisfaction associée au partage d un repas (acte social) Hygiène, salubrité et allergies Aliments issus d un système agroalimentaire durable Il n y a pas de sécurité alimentaire sans saine alimentation. Il ne peut y avoir de saine alimentation sans sécurité alimentaire.

15 DONC, LA SAINE ALIMENTATION POUR TOUS est possible dans un milieu permettant à tous, sans distinction selon le statut économique et social, de pouvoir s approvisionner, choisir, préparer des aliments qui permettent de maintenir la santé. L essence de ce concept est d abord le droit à l alimentation qui se définit comme le droit de toute personne de se procurer à tout moment une nourriture suffisante et adéquate sur le plan de la santé, dans le respect de ses valeurs écologiques, culturelles et éthiques. Une expression qui intègre les préoccupations de saine alimentation et de sécurité alimentaire, dans une approche permettant de réduire les inégalités sociales de santé.

16 DONC, LA SAINE ALIMENTATION POUR TOUS vise à bâtir la sécurité alimentaire de la population Vise à contrer l insécurité alimentaire de la population, et particulièrement de sous-groupes vulnérables S inscrit dans de multiples cadres de références, plans nationaux ou outils réglementaires: - le droit à l alimentation (Déclaration des droits de l homme, 1948) - la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l exclusion sociale (Québec, 2002) - le cadre de référence en sécurité alimentaire (MSSS, 2008) - le plan d action gouvernemental de solidarité et inclusion sociale - le plan d action gouvernemental de promotion de SHV

17 LA TABLE EST MISE! OBJECTIF Favoriser la saine alimentation OBJECTIF Augmenter la solidarité alimentaire OBJECTIF Diminuer l'insécurité alimentaire des EXEMPLES D'ACTIONS DANS UNE ménages COMMUNAUTÉ Initier un partenariat entre un producteur maraîcher et une cuisine collective Entente avec un supermarché pour la récupération des invendus Mettre en place un jardin collectif ou communautaire Animer des démonstrations culinaires dans un comptoir alimentaire Offrir des ateliers de cuisine OBJECTIF Influencer une politique Répondre aux urgences alimentaires OBJECTIF Augmenter l'autonomie alimentaire OBJECTIF Avancer vers la souveraineté alimentaire

18

19 UNIVERSALISME PROPORTIONNÉ Une combinaison de l approche universelle et de l approche ciblée

20 UNIVERSALISME PROPORTIONNÉ 1. offrir des interventions universelles tout en éliminant les barrières d accès* Pour éviter d accroître les iniquités en matière de santé 2. accroître le soutien selon les besoins des différents sous-groupes de la population; le soutien peut être plus intense ou réalisé avec des modalités particulières Pour agir sur l alimentation et la santé de tous, sans exception

21 BLOC 3 : DÉTERMINANTS COMMUNS DE LA SAINE ALIMENTATION ET DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE

22 4 DÉTERMINANTS COMMUNS SAINE ALIMENTATION SÉCURITÉ ALIMENTAIRE SA Faciliter l accès physique aux aliments nutritifs Faciliter l accès économique aux aliments nutritifs Développer les capacités individuelles et collectives pour faciliter une saine alimentation Faire en sorte qu il soit normal que tous puissent bien s alimenter et d y consacrer du temps et des ressources (norme sociale) SéA

23 CIBLES D ACTION On peut viser différentes cibles par les actions de SAPT : 1. Les mesures d atténuation de l insécurité alimentaire à court terme (Urgence) 2. Le renforcement des capacités individuelles et collectives et le développement des compétences (Capacités) 3. Les changements organisationnels et politiques à long terme (Restructuration de systèmes)

24 BLOC 4: LA SAPT CHEMIN PARCOURU

25 LE CHEMIN PARCOURU Automne 2012: journée de réflexion sur la SA et la SéA Intégration du financement SAPT à la démarche COSMOSS Appropriation SAPT: équipe régionale COSMOSS, OrC, équipes locales SPu Automne 2014: consultation MSSS- QEF Été 2015: guide SAPT destiné aux OC financés par la DSPu Janvier 2016: début des travaux de la démarche de cohésion COSMOSS : la DSP forge sa vision SAPT Juin 2015: consultation des OrC financés par la DSPu en SéA Portraits SAPT par MRC le message est portés par tous les accompagnateurs On continue vers 2020

26 Saine alimentation et sécurité alimentaire: des visions irréconciliables? Journée de présentation du projet Produire la santé ensemble 19 septembre 2012 Rivière-du-Loup 20 septembre 2012 Rimouski Julie Desrosiers, nutritionniste Dt.P. M.Sc Agente de planification, de programmation et de recherche Direction de santé publique Agence de la santé et des services sociaux du Bas-Saint-Laurent

27 Objectifs de la présentation Que tous les participants: 1. aient une vision commune de la saine alimentation, applicable à chacun de leur milieu 2. comprennent comment s insère la préoccupation de la sécurité alimentaire à l intérieur du concept de saine alimentation (et vice-versa)

28 Saine alimentation et sécurité alimentaire des visions irréconciliables? Ce sont plutôt des défis à relever conjointement et collectivement: - En favorisant l accès aux aliments sains - En outillant la population - En adaptant nos messages - En misant sur des stratégies de concertation simples, innovantes, ayant fait leurs preuves et faisant de la saine alimentation une priorité collective dans une perspective globale

29 LE CHEMIN PARCOURU Automne 2012: journée de réflexion sur la SA et la SéA Intégration du financement SAPT à la démarche COSMOSS Appropriation SAPT: équipe régionale COSMOSS, OrC, équipes locales SPu Automne 2014: consultation MSSS- QEF Été 2015: guide SAPT destiné aux OC financés par la DSPu Janvier 2016: début des travaux de la démarche de cohésion COSMOSS : la DSP forge sa vision SAPT Juin 2015: consultation des OrC financés par la DSPu en SéA Portraits SAPT par MRC le message est portés par tous les accompagnateurs On continue vers 2020

30 QUELQUES DÉTAILS SUR LE CHEMIN PARCOURU Il était important pour nous de consulter les organismes communautaires financés en matière de «sécurité alimentaire» dès le départ pour écouter leur vision des choses; ce travail d arrimage se poursuit encore aujourd hui et à chaque nouvelle étape; Les principaux responsables de l action communautaire dans le réseau de la santé (organisateurs communautaires, agents de promotion de SHV, équipe régionale) devaient devenir des porteurs d une même vision, que nous avons bonifiée ensemble; Nos 2 principaux véhicules d action intersectorielle au Bas- Saint-Laurent, COSMOSS et Vieillissement en santé, devaient

31 CHEMIN PARCOURU: NOS OPPORTUNITÉS Depuis 2015, le Bas-Saint-Laurent est en cours de démarche de cohésion des fonds et des priorités d action en lien avec la démarche COSMOSS (QeF, Avenir d enfant, R2, etc.: 1 seule planification et reddition, incluant maintenant la SAPT); La SAPT y a été nommé comme un enjeu prioritaire; Le CISSS est partenaire financier et professionnel de COSMOSS; Le CISSS a fait le choix d y intégrer le financement de la DSPu en «sécurité alimentaire», sous l enjeu de SAPT, et avec des balises déterminées; Tous les OC et APP-SHV font maintenant partie de la DSPu, ce qui nous permet d aborder la SAPT de façon statutaire.

32 CHEMIN PARCOURU: NOTRE 1 ÈRE ÉTAPE «OFFICIELLE»

33

34 CHEMIN PARCOURU: DÉFIS ET ENJEUX Crainte «d oublier» certaines clientèles, ou des sousgroupes de la population; Crainte de devoir mettre de côté certains déterminants de la santé/sociaux Mécompréhension du rôle des autres intervenants ou organisations; Perception que les mieux nantis ou ceux ayant le plus de compétences seront les plus rejoints; Perception que la vision SAPT n est pas cohérente avec les Alliances ou projets financés dans le cadre du PAG-SIS; Perception que ce sera plus lourd de travailler ainsi.

35 BLOC 5 : ATELIER

36 ATELIER Est-ce que vous réalisez déjà des actions concrètes s inscrivant dans la vision d une Saine alimentation pour tous? Si oui, lesquelles? Comment certaines des actions que vous réalisez déjà pourraient être bonifiées pour s inscrire dans la vision d une SAPT?

37 UN GABARIT DE PORTRAIT GÉNÉRAL

38 PLUSIEURS ACTIONS DÉJÀ EN COURS AU BSL

39 ATELIER Est-ce que vous réalisez déjà des actions concrètes s inscrivant dans la vision d une Saine alimentation pour tous? Si oui, lesquelles? Comment certaines des actions que vous réalisez déjà pourraient être bonifiées pour s inscrire dans la vision d une SAPT?

40 BLOC 5 (SUITE) : MESSAGES CLÉS

41 MESSAGES CLÉS 1. Nous sommes plusieurs partenaires à travailler dans des champs connexes (sécurité alimentaire, saine alimentation, petite enfance, SHV, pauvreté, agroalimentaire, etc.) 2. Nous sommes plusieurs partenaires à travailler avec des objectifs similaires, communs, ou complémentaires 3. Il n y a pas de sécurité alimentaire sans saine alimentation, et vice-versa 4. La saine alimentation et la sécurité alimentaire, au niveau populationnel, ont plusieurs déterminants communs, ce qui nous impose de voir plus large : la

42 MESSAGES CLÉS (SUITE) 5. La SAPT s inscrit dans un contexte plus global de santé et les autres déterminants de la santé doivent essentiellement être considérés, notamment pour arriver à une réduction des inégalités sociales et de santé

43 MESSAGES CLÉS (SUITE) 6. En dehors des démarches intersectorielles, plusieurs autres acteurs et leurs plans d actions ou programme ont aussi à cœur la SAPT, ne les oublions pas Le réseau de la santé publique et son PNSP Les organismes communautaires non impliqués Les acteurs du système alimentaire : producteurs, transformateurs, distributeurs, commerçants, etc. Le transport Etc.

44 MESSAGES CLÉS (SUITE) 7. Agir par de multiples stratégies sur différents déterminants et pour différentes cibles d actions permet une approche globale plus efficace 8. Mobiliser des acteurs-clés de divers milieux et secteurs permet le changement, l innovation et la cohérence avec les besoins des différentes clientèles 9. Partager un portrait diagnostic et une vision commune de changements en SAPT permet de prioriser nos efforts et travailler ensemble 10.Intégrer la priorité de SAPT à d autres plans de la communauté permet de pérenniser cette préoccupation

45 RÉFÉRENCES Cadre de référence en sécurité alimentaire, MSSS, Guide de référence pour le choix des orientations en matière de Saine alimentation pour tous programme de soutien financier en santé publique pour une SAPT , DSPu du Bas-Saint-Laurent, Guide de réflexion Ensemble vers une saine alimentation pour tous, QeF, La santé et ses déterminants, MSSS, Plan d action gouvernemental de promotion de saines habitudes de vie et de prévention des problèmes reliés au poids Plan d action gouvernemental pour la solidarité et l inclusion sociale Plan d action régional de santé publique du Bas-Saint-Laurent , Présentation de consultation MSSS-QEF, sécurité alimentaire et saine alimentation, Programme national de santé publique , MSSS, Vision pour la création d environnements favorables à de saines habitudes de vie, MSSS, 2012.

46 MERCI! Des questions?

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude

Plus en détail

Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut

Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut FÉVRIER 2014 Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut Le calendrier électronique vise à informer les entreprises des MRC des Laurentides et des Pays-d en- Haut sur les différentes

Plus en détail

Les actions en sécurité alimentaire, notre DSP avant 2006

Les actions en sécurité alimentaire, notre DSP avant 2006 Leadership et mobilisation intersectorielle t i régionale : l exemple du Comité intersectoriel sur la sécurité alimentaire à Laval (CASAL) Présentation dans le cadre des Journées annuelles de santé publique

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

État de situation régional sur la sécurité alimentaire au Centre-du-Québec

État de situation régional sur la sécurité alimentaire au Centre-du-Québec État de situation régional sur la sécurité alimentaire au Centre-du-Québec Présenté au Comité régional en développement social Centre-du-Québec Jean Carpentier, consultant Décembre, 2014 1 Remerciements

Plus en détail

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité

Plus en détail

La réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue...

La réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue... La réinsertion sociale Pour que la rue ait une issue... La philosophie d intervention du service de réinsertion sociale de la Maison du Père repose sur une approche de réduction des méfaits. Elle prône,

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014. Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont

QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014. Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014 Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont par Magali Vaidye, le 17 janvier 2012 QUÉBEC EN FORME ROSEMONT Plan de communication 2011-2014

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Un 5 à 7 pour souligner les bons coups en saines habitudes de vie

Un 5 à 7 pour souligner les bons coups en saines habitudes de vie C or por ati on de dév el op pem ent c om m unautai r e R ond Poi n t I N F O I N F O C D C Bulletin mensuel de la CDC Rond Point Mai 20 14, v o l ume 3, n o 3 Sommaire Formations et conférences à venir

Plus en détail

Annexe 9 Première version du plan d action triennal de la Chaudière-Appalaches

Annexe 9 Première version du plan d action triennal de la Chaudière-Appalaches Annee 9 Première version du plan d action triennal de la Chaudière-Appalaches Ae Connaissance approfondie de l offre régionale et des demandes des réseau régionau (C) 1- Assister les acteurs publics et

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET

Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET ADOPTÉE LE 9 SEPTEMBRE 2009 MODIFIÉE EN MAI 2012 Le Forum jeunesse Estrie est soutenu financièrement par le gouvernement

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

Liste des recommandations

Liste des recommandations RECOMMANDATIONS À TOUS LES MINISTÈRES ET ORGANISMES L EXERCICE DES POUVOIRS DISCRÉTIONNAIRES DE L ADMINISTRATION: Que lorsque, dans l exercice de ses pouvoirs discrétionnaires, l Administration prend une

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail

QUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE. 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan

QUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE. 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan QUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan INTRODUCTION Environnement et Santé Évaluation environnementale

Plus en détail

AVIS dans le cadre de LA DÉMARCHE D ACTUALISATION DE LA POLITIQUE D ENSEMBLE À PART ÉGALE

AVIS dans le cadre de LA DÉMARCHE D ACTUALISATION DE LA POLITIQUE D ENSEMBLE À PART ÉGALE AVIS dans le cadre de LA DÉMARCHE D ACTUALISATION DE LA POLITIQUE D ENSEMBLE À PART ÉGALE Mai 2007 INTRODUCTION L Association des établissements de réadaptation en déficience physique du Québec (AERDPQ)

Plus en détail

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par

Plus en détail

Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières

Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières DIRECTORATE FOR FINANCIAL AND ENTERPRISE AFFAIRS Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Principes et Bonnes Pratiques

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

Une mutuelle de formation est un regroupement

Une mutuelle de formation est un regroupement MISSION DU COMITÉ SECTORIEL DE MAIN- D OEUVRE DE L ÉCO NOMIE SOCIALE ET DE L ACTION COMMUNAU- TAIRE Créé en 1997, le comité sectoriel de maind oeuvre de l sociale et de l action communautaire (CSMO-ÉSAC)

Plus en détail

Plan d action 2013-2014

Plan d action 2013-2014 Plan d action 2013-2014 Juin 2013 Table des matières Avant-propos... 5 Le FRQNT en bref... 7 Faits saillants 2012-2013... 9 Actions prévues pour 2013-2014... 11 Annexes... 19 3 Avant-propos Le Fonds

Plus en détail

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent

Plus en détail

Règlement du restaurant scolaire

Règlement du restaurant scolaire DEPARTEMENT DE LOIR-ET-CHER REPUBLIQUE FRANCAISE ARRONDISSEMENT DE BLOIS COMMUNE DE SAINT GERVAIS LA FORET Règlement du restaurant scolaire Le présent règlement concerne l organisation du restaurant scolaire.

Plus en détail

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref... Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT

APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT Valorisez vos produits agroalimentaires avec la marque collective «So Goût» portée par le Réseau Gesat 1 Sommaire Pourquoi avoir créé la marque «So Goût»? Quels sont les

Plus en détail

Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques. Projet WebCSL : Guide de rédaction web

Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques. Projet WebCSL : Guide de rédaction web Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques Projet WebCSL : Laurence Clément, conseillère en communication édimestre Marc Olivier Ouellet, webmestre analyste

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

JASP 2010 Québec 24 novembre 2010

JASP 2010 Québec 24 novembre 2010 Direction de santé publique L'éthique pour guider la réflexion et influencer l'élaboration des politiques publiques favorables à la santé: le cas des logements insalubres à Montréal JASP 2010 Québec 24

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le

Plus en détail

Le risque TMS chez les intervenants à domicile

Le risque TMS chez les intervenants à domicile Le risque TMS chez les intervenants à domicile Quelques chiffres accident est dû aux manutentions manuelles Quelques chiffres + de 85% des maladies professionnelles sont des T.M.S. 5 tableaux de maladies

Plus en détail

DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr

DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES Droit européen des affaires www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Spécialisation en Droit européen et français des Affaires COMPETENCES VISEES

Plus en détail

COMPETENCE DE NIVEAU N1

COMPETENCE DE NIVEAU N1 GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance

Plus en détail

Journal municipal Sainte-Jeanne-d Arc

Journal municipal Sainte-Jeanne-d Arc Journal municipal Sainte-Jeanne-d Arc Août 2014 ATTENTION L été tire à sa fin, la rentrée scolaire arrive à grand pas et, avec elle, le retour des autobus d écoliers, soyez vigilants à leur approche et

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur

Plus en détail

Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec

Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec CONDENSÉ DÉCISIONNEL Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec Le 11 avril 2014 d habitation de moins de 100 logements Condensé

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Définir et consolider son projet associatif

Définir et consolider son projet associatif FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,

Plus en détail

Codirecteur international en assurance-maladie PÉROU

Codirecteur international en assurance-maladie PÉROU Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée

Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée Septembre 2003 Analyse et rédaction Lynda Bouthillier Agente de recherche et de planification socioéconomique

Plus en détail

PLAN D'ACTION NOUS JOINDRE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE

PLAN D'ACTION NOUS JOINDRE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE PLAN 2015 D'ACTION Le présent document propose des priorités d aux membres du conseil d administration de la SDT (SADCT CLDT) pour 2015 uniquement. Ces s ont été

Plus en détail

Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT Avril 2015

Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT Avril 2015 ETUDE DES COÛTS DES ACTES MEDICAUX EN HAÏTI: Résultats préliminaires et perspectives d utilisation dans la prise de décision Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT

Plus en détail

Prévention des chutes

Prévention des chutes Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Information, réseautage et concertation. Services administratifs

Information, réseautage et concertation. Services administratifs @ OFFRE DE SERVICES SPÉCIALISÉS NOTRE MISSION LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DES COOPÉRATIVES EN MILIEU SCOLAIRE (FQCMS) A POUR MISSION D ASSURER LA PÉRENNITÉ ET LE DÉVELOPPEMENT DE SES MEMBRES NOS SERVICES

Plus en détail

EXPERT FINANCIER POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE. Poste de rattachement hiérarchique : Chef de service Conseil et Expertise Financière

EXPERT FINANCIER POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE. Poste de rattachement hiérarchique : Chef de service Conseil et Expertise Financière Direction Finances EXPERT FINANCIER J CHARGE DU CONTRÔLE INTERNE DU FONDS SOCIAL EUROPEEN (FSE) ET DE CONSEIL EN GESTION POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction Finances Poste de

Plus en détail

Collaboration à cette conférence

Collaboration à cette conférence L ACTION EN SANTÉ PUBLIQUE POUR AGIR SUR L ACCESSIBILITÉ AU JEU Bilan des initiatives des directions régionales de santé publique relatives au Casino de Montréal, aux Salons de jeux et au jeu en ligne

Plus en détail

Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE

Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Préparé pour la Conférence économique 2005, Ottawa 10 mai 2005 Colleen Dempsey Recherche et statistiques stratégiques Citoyenneté et

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

Les offres de services spécialisés

Les offres de services spécialisés Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Concertation et synergies locales: la force de la coopération. Symposium Non-Marchand 13 et 16 novembre 2012

Concertation et synergies locales: la force de la coopération. Symposium Non-Marchand 13 et 16 novembre 2012 Concertation et synergies locales: la force de la coopération 1 Symposium Non-Marchand 13 et 16 novembre 2012 1. Cera et les projets sociétaux GESTIONNAIRE PRESTATAIRE DE SERVICES EXPERT COORDINATION PROJETS

Plus en détail

RDRM CONSULTING Restauration, développement, rentabilité, management

RDRM CONSULTING Restauration, développement, rentabilité, management RDRM CONSULTING Restauration, développement, rentabilité, management RDRM CONSULTING Optimiser le potentiel de votre établissement en profitant d un nouveau regard. RDRM CONSULTING ou l accompagnement

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL

LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL Vous allez effectuer un stage dans notre structure. Ce livret d accueil a été rédigé pour vous souhaiter la bienvenue et vous donner quelques informations

Plus en détail

Gestion éthique des banques de recherche

Gestion éthique des banques de recherche Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes

Plus en détail

La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.

La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Intégration : la limite est dépassée Faut faire plus qu en parler!

Intégration : la limite est dépassée Faut faire plus qu en parler! Intégration : la limite est dépassée Faut faire plus qu en parler! Le chemin parcouru L intégration des élèves en difficulté en classe régulière est une priorité pour la Fédération des syndicats de l enseignement

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST

La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST Dominic Cliche Conseiller en éthique Commission de l éthique en science et en technologie 18 mars 2015 Midi conférence de l Institut d éthique

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

Le Chef-Gérant LES MÉTIERS DE LA RESTAURATION CHEZ RESTALLIANCE

Le Chef-Gérant LES MÉTIERS DE LA RESTAURATION CHEZ RESTALLIANCE Le Chef-Gérant Assurer la production des repas et la qualité de la prestation Encadrer, former, organiser et coordonner le travail de l équipe S occuper de l approvisionnement et de la bonne gestion des

Plus en détail

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni. Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur

Plus en détail

CADRE OPÉRATIONNEL ET PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE MASSIF INC. Par. Marie-Michèle Couture-Morissette

CADRE OPÉRATIONNEL ET PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE MASSIF INC. Par. Marie-Michèle Couture-Morissette CADRE OPÉRATIONNEL ET PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE MASSIF INC. Par Marie-Michèle Couture-Morissette Essai présenté au centre universitaire de formation en environnement en vue de l obtention

Plus en détail

La participation citoyenne et la politique locale

La participation citoyenne et la politique locale La participation citoyenne et la politique locale Comment sommes-nous arrivés à s intéresser à la participation citoyenne? Avant l arrivée du Plan de Cohésion Sociale à Waremme (avril 2008), nous étions

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

La mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1

La mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1 La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu

Plus en détail

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique?

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en

Plus en détail

LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC

LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC GUIDE À L USAGE DE L EMPLOYEUR LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC un partenaire incontournable dans l intégration réussie de votre main-d œuvre immigrante Visitez-nous au desjardins.com/caissedequebec Être

Plus en détail

5 postures pour mobiliser le don

5 postures pour mobiliser le don Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec.

Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec. Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec. Pour réaliser sa mission, le Ministère intervient dans les secteurs d activité suivants : les services de prévention et de lutte

Plus en détail

Manifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale

Manifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Manifeste pour l éducation au développement Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Document réalisé par les ONG actives au sein du Groupe sectoriel Éducation au développement

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

master 2 ADMINISTRATIoN, MANAGEMENT ET ÉCoNoMIE DES organisations

master 2 ADMINISTRATIoN, MANAGEMENT ET ÉCoNoMIE DES organisations master 2 ADMINISTRATIoN, MANAGEMENT ET ÉCoNoMIE DES organisations management des entreprises mutualistes et coopératives DRoIT, ÉCoNoMIE, GESTIoN DRoIT, ÉCoNoMIE, GESTIoN Objectifs de la formation La finalité

Plus en détail

RESSOURCEMENT SUR MESURE

RESSOURCEMENT SUR MESURE RESSOURCEMENT SUR MESURE Le Centre Assomption de Lourdes propose d avril à octobre la formule innovante du RESSOURCEMENT SUR MESURE La nouvelle équipe d animation, composée de sœurs et de laïcs, répond

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud

Plus en détail

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans

Plus en détail

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013 DEVIS D ÉVALUATION Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan Automne 2013 La mise en contexte de l évaluation Depuis sa création en 1993, la commission d évaluation de l enseignement

Plus en détail

Forums et plan d action régional sur les algues bleu-vert au Bas-Saint-Laurent. Rapport d activités

Forums et plan d action régional sur les algues bleu-vert au Bas-Saint-Laurent. Rapport d activités Forums et plan d action régional sur les algues bleu-vert au Rapport d activités Conseil régional de l environnement du Octobre 2008 Forums régionaux sur les algues bleu-vert au Table des matières Table

Plus en détail

Apports de l économie sociale et solidaire en contexte de pénurie et de précarité; examen du cas Centrafrique

Apports de l économie sociale et solidaire en contexte de pénurie et de précarité; examen du cas Centrafrique Apports de l économie sociale et solidaire en contexte de pénurie et de précarité; examen du cas Centrafrique Gervais Douba Université de Rouen Email: gervais.douba@univ-rouen.fr Trame d intervention 3

Plus en détail

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES

Plus en détail

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit : Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)

Plus en détail

Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012

Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de

Plus en détail

LES ACTIONS DU FONDS 4S step by step

LES ACTIONS DU FONDS 4S step by step LES ACTIONS DU FONDS 4S step by step Catalogue Formapef Catalogue de formations accessibles sans frais d inscription Spécialisée Certaines formations des catalogues du Cepegra, du CDC Tourisme et du Secteur

Plus en détail

Projet audio. Analyse des Signaux ELE2700

Projet audio. Analyse des Signaux ELE2700 ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE MONTRÉAL Département de Génie Électrique Projet audio Analyse des Signaux ELE2700 Saad Chidami - 2014 Table des matières Objectif du laboratoire... 4 Caractérisation du bruit...

Plus en détail