FRUITS ET LEGUMES POUR TOUS
|
|
- Josselin Beauregard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ALTERNATIVES A L AIDE ALIMENTAIRE & FRUITS ET LEGUMES POUR TOUS 19 novembre LOZERE ATELIERS NUTRITION-PRECARITÉ EN LANGUEDOC - ROUSSILLON FRUITS ET LEGUMES POUR TOUS une vision plus globale des freins et des leviers à l accessibilité et à la consommation des fruits et des légumes une vision plus globale des freins et des leviers à l approvisionnement en fruits et légumes découvrir des pistes pratiques pour améliorer la consommation de fruits et légumes des bénéficiaires Carole Bussadori CODES 48 antenne IREPS LR 1
2 2
3 Contexte Le projet «Fruits et légumes pour tous en Languedoc-Roussillon» s est donné pour objectif général : de prévenir l apparition de pathologies liées à la nutrition (maladies cardiovasculaires, cancers, obésité, diabète, ) auprès des populations bénéficiaires de l'aide alimentaire dans la région, en améliorant leur accessibilité aux fruits et légumes et en favorisant leur consommation 3
4 Les données épidémiologiques disponibles à ce sujet, mettent en évidence une alimentation généralement plus déséquilibrée chez les personnes qui ont un faible niveau de revenu que chez les autres et notamment en matière de consommation de fruits et légumes (Bellin-Lestienne, 2007 ; Recours, 2006). De ce fait, les pathologies liées à la nutrition sont plus fréquemment rencontrées dans les populations défavorisées, en particulier chez les bénéficiaires de l'aide alimentaire, celle-ci ne permettant pas toujours d atteindre les recommandations nutritionnelles (Darmon, 2008). 4
5 Fréquence de consommation alimentaire des bénéficiaires de l aide alimentaire (ABENA, 2006, 2012) Groupes d aliments Fréquence 2006 % 2012 % BSN 2008 Pain, pommes de terre, produits céréaliers < 3fois/j 3 fois/j 51,3 24,2 51,6 19,2 > 3fois/j 24,5 29,1 70,1 Fruits et légumes <3,5 fois/j 94,5 83,9 3,5 à 5 fois/j 4,3 10,5 5 fois/j 1,2 5,6 11,8 Viandes, poissons, oeufs <1 fois/j 42,6 39,1 1 à 2 fois/j 49,4 44,3 82,7 >2 fois/j 8,0 16,6 8,1 Poissons, autres produits de la pêche <2 fois/sem 72, fois/sem 27, ,3 Produits laitiers < 3 fois/j 89,4 79,3 3 fois/j 9,1 14,7 24,3 3 fois/j 1,5 6 5
6 Structures concernées par l étude Les épiceries sociales/solidaires EPISOL (CCAS Lodève) Société St Vincent de Paul (Montpellier) Secours Catholique (Montpellier) Distribution de colis préparés à l avance La BOUTIK, réduire les risques (Montpellier) L ESPICARIO (CCAS Jacou) CCAS Valergues L Association intercommunale pour l aide alimentaire du Nord Lunellois (St Christol) Distribution de colis préparés avec le bénéficiaire Espérance Fraternité (Montpellier) Resto du coeur (Montarnaud) Distribution de repas : ABES (Béziers) 6
7 Quels sont pour vous les facteurs qui influencent la consommation de fruits et légumes des publics que vous recevez dans vos structures? 7
8 Discussion, échanges Voici, certains facteurs déterminants de la consommation de fruits et légumes pouvant constituer des freins ou des leviers, chez les personnes interrogées, bénéficiaires de l aide alimentaire 8
9 Identification des freins à l accessibilité et à la consommation des fruits et légumes pour les bénéficiaires de l aide alimentaire 9
10 Les freins recueillis pendant les entretiens Les freins liés au «Savoir être» (traduit aussi les habitudes alimentaires des personnes et leurs préférences) «Les représentations» Chercher la facilité et la rapidité de préparation en utilisant plutôt des boîtes de conserves que des fruits et légumes frais Ne pas manger par plaisir mais pour une question de survie Besoin de manger plutôt calorique, besoin de se remplir «Fausse idée du prix» des fruits et légumes Légume = aliment de 2 e choix après la viande Il y a d autres priorités que les fruits éviter le gaspillage avec des légumes trop gros (salade) l aspect culturel qui serait très présent dans l acceptabilité et la consommation plus ou moins «naturelle» des fruits et légumes Le désir de «faire comme tout le monde» inciterait certains bénéficiaires à consommer davantage de produits transformés. Certains préfèrent acheter des denrées non périssables à l épicerie sociale La dimension psychologique : l état de solitude et de dépression manque d envie 10
11 Les freins liés au «Savoir» Manque de connaissances chez les bénéficiaires, en ce qui concerne l alimentation équilibrée ou même les bienfaits des fruits et légumes pour l organisme Manque d idées de recettes pour accommoder les fruits et légumes Les freins liés au «Savoir faire» (symbolisé par les compétences culinaires) Manque d aptitudes culinaires Manque de conseils pratiques pour cuisiner Besoin de simple et pratique 11
12 Les freins liés au «Pouvoir faire» (englobe la totalité des conditions liées à l environnement des bénéficiaires et auxquelles ils sont soumis) les moyens financiers qui limitent le prix des fruits et légumes est trop élevé dans le commerce le coût des énergies (gaz, électricité) jardins potagers qui seraient devenus payants Les moyens de transport ne sont pas accessibles financièrement pour une partie de bénéficiaires (problème d approvisionnent pour les personnes) un jardin mais pas de voiture Ne pouvoir manger qu un seul repas par jour, ce qui évidemment ne permet pas d atteindre les repères de consommation en fruits et légumes. Pas d équipement pour cuisiner les légumes ou alors il est minimal possibilités réduites de stockage par un manque de place dans leur logement 12
13 les conséquences d un contexte familial difficile «se mettre à table renvoie à une vie familiale difficile» ou d une «vie dans la rue» qui rend impossible la cuisine le poste «dépendance» (tabac, alcool) passe avant le poste «nourriture» : L addiction problèmes de santé chroniques ou un handicap qui diminuent la mobilité manque de lieux d approvisionnement aux alentours La quantité présentée de fruits et légumes limitée pour certaines structures Le choix, la qualité pas assez de produits de base dans l aide alimentaire pour inciter à cuisiner des fruits et des légumes problème d approvisionnement des structures par rapport aux fruits et légumes de saison et de production locale 13
14 Les freins observés par les enquêtrices L organisation des structures et la présentation de fruits et légumes les fruits et légumes sont mal présentés et/ou sont peu visibles et peu mis en valeur Fruits et légumes parfois proposés à des prix proportionnellement plus élevés que les autres produits vendus à l épicerie sociale Pour les colis préparés à l avance, pas le choix du contenu par les bénéficiaires, et les fruits et les légumes sont souvent mélangés. Composition des colis dehors ce qui peut poser des problèmes lorsqu il fait froid (gel des fruits et légumes) 14
15 L offre en fruits et légumes Peu de quantité, surtout dans les structures préparant les colis à l avance. Aspect des fruits et légumes plutôt moyen Manque de variété Les pratiques et comportements des bénévoles/salariés pas de conseils de préparation des fruits et légumes ou de recettes (oraux ou écrit) que très peu ou pas d interactions entre les bénévoles et les bénéficiaires. Pas toujours une ambiance propice au dialogue Des paroles qui n incitent pas toujours les bénéficiaires à choisir les fruits et légumes Les paroles, postures des bénéficiaires vis-à-vis des fruits et légumes 15
16 Identification des leviers à l accessibilité et à la consommation de fruits et légumes pour les bénéficiaires de l aide alimentaire 16
17 les structures d aide alimentaire constituent pour la majorité des bénéficiaires le seul moyen de se procurer des fruits et légumes. Elles sont donc un levier majeur à l accessibilité aux fruits et légumes par les populations en situation de précarité 17
18 Les leviers recueillis pendant les entretiens Les leviers liés au «savoir être» La majorité des leviers se sont révélés attribuables aux bénéficiaires euxmêmes. sensibles à l alimentation de leurs enfants en veillant à ce qu ils consomment des fruits et légumes «il faut que ce soit un plaisir de manger» Les leviers liés au «savoir» Découverte de nouveaux légumes Conscience de l impact sur la santé Les leviers liés au «savoir faire» Aimer cuisiner connaitre des techniques culinaires 18
19 Les leviers liés au «pouvoir faire» offre en fruits et légumes correcte produits frais et de bonne qualité fins de marché pour avoir des légumes moins chers privilégier les légumes de saison bon accompagnement et écoute Les leviers observés pas les enquêtrices L offre en fruits et légumes produits frais et de bonne qualité avec une grande variété fruits et légumes peuvent être très bien mis en valeur Proposition de quantités importantes de fruits et légumes Les pratiques et comportements des bénévoles/salariés rôle que joue les bénévoles constitue un véritable levier à la consommation de fruits et légumes l écoute du bénéficiaire et au plus proche de ses attentes en lui offrant un accompagnement individuel L ambiance générale, beaucoup de dialogue pendant le temps de la distribution trier les fruits et légumes en amont de la distribution afin d offrir la meilleure qualité possible mis en place des ateliers cuisines et/ou ont un affichage d information concernant l alimentation/l équilibre alimentaire dans leurs locaux Les paroles, postures des bénéficiaires vis-à-vis des fruits et légumes 19
20 La confrontation des freins et leviers rapportés dans cette étude, va dès lors, permettre d établir les pistes à explorer, pour mettre en place des actions pertinentes, et propres à chaque structure qui participent au projet, dans une démarche d amélioration de l accessibilité et de la consommation de fruits et légumes aux populations bénéficiant de l aide alimentaire. 20
21 Identification des freins et leviers à l approvisionnement des structures en fruits et légumes Approvisionnement auprès de la banque alimentaire chantiers/jardins d insertion en complément de ces dotations épicerie s approvisionne auprès d une superette local approvisionnement centralisé au niveau départemental les résidents ont différents modes d approvisionnement (aide alimentaire, achat etc) 21
22 Les freins à l approvisionnement des structures Peu nombreux, ils sont tout de même significatifs une des structures ne s approvisionnant pas en produits frais à la banque alimentaire pour des raisons logistique, achète les fruits et légumes au supermarché en ville, où ces produits sont relativement chers, ce qui l «oblige» à les proposer à l épicerie à un prix proportionnellement plus élevé que les autres produits. Quand l approvisionnement est centralisé, la structure n a pas de marge de manœuvre de ce fait le développement de la variété et de l approvisionnement en local reste limité. pas d unicité de l offre et pas de lieu commun d approvisionnement, ce qui rend très aléatoire leur accessibilité aux fruits et légumes. 22
23 Les leviers à l approvisionnement des structures approvisionnement par un chantier ou un jardin d insertion par exemple 23
24 Situations illustrant des difficultés rencontrées dans l accompagnement des personnes à choisir des F &L 24
25 Situation 1 Echange d une mère avec sa fille collégienne : la fille montre les carottes avec une mine réjouie et interrogative à sa mère qui répond : «Non, non, K, j ai besoin de «choses», on voit d abord ce qu on mange» 25
26 Pourquoi je mange? Représentations de l équilibre alimentaire Porte d entrée «enfants» 26
27 Situation 2 Aujourd hui, il y a une cagette de choux fleurs : Mr X ne veut pas en prendre car il ne sait pas les cuisiner et pour lui, ça demande de toute façon trop de préparation 27
28 Equipement en cuisine Recettes cru/cuit Atelier dégustation 28
29 Situation 3 Les fruits aujourd hui sont un peu abîmés, ils ne sont donc pas très attractifs, personne ne les prend. 29
30 Approvisionnement, stockage, présentation Utilisation : soupes, compotes, purées, gratins, (congélation) 30
31 Situation 4 Mme x vivant seule et dépressive n a pas le courage/l envie de cuisiner : prendre des fruits et légumes ne l attire vraiment pas 31
32 Motivation, plaisir, inviter? Atelier cuisine Recettes pour personnes seules 32
33 33
34 Ce document s adresse aux acteurs de l aide alimentaire et vise à : - sensibiliser à la problématique de l accès et de la consommation de fruits et légumes des bénéficiaires de l aide alimentaire ; - inciter à développer des actions favorisant l accès et la consommation de fruits et légumes des bénéficiaires ; - apporter des pistes d actions expérimentées et la méthodologie pour les mettre en oeuvre 34
35 L éventail des ressources et des activités proposé permet à chaque utilisateur de choisir les activités qui correspondent le mieux à ses objectifs, aux préoccupations de la population bénéficiaire, à son cadre d action, au temps et aux moyens dont il dispose. Chaque fiche d expérience précise les objectifs, la durée de sa réalisation, les supports associés et, le cas échéant, le matériel, les partenaires et la préparation nécessaire. Elle identifie par ailleurs les atouts et les contraintes de chaque activité, que ce soit pour les bénéficiaires ou pour les structures. Ces douze expériences ne peuvent à elles seules couvrir l ensemble des possibilités d actions visant l amélioration de l accès et de la consommation de fruits et de légumes des populations bénéficiaires de l aide alimentaire. Mais elles relatent des expériences testées et évaluées dans un contexte spécifique 35
36 Le Programme National Nutrition Santé ; Le Plan Obésité ; Le Plan Cancer ; Le Programme National pour l Alimentation11 ; Le Programme Alimentation Insertion. 36
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailDirection régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012
Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailLa participation citoyenne et la politique locale
La participation citoyenne et la politique locale Comment sommes-nous arrivés à s intéresser à la participation citoyenne? Avant l arrivée du Plan de Cohésion Sociale à Waremme (avril 2008), nous étions
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailRestauration collective
Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailFormation professionnelle
Formation professionnelle Formation professionnelle Sur notre plateau de formation situé à Neuilly-sur-Seine, nous vous offrons une formation sur mesure dispensée par des professionnels qualifiés, soit
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailLe Marché Touristique ALLEMAND
CRT Franche-Comté Juin 2014 Le Marché Touristique ALLEMAND 1 Photo : geo.fr Sommaire 1. L Allemagne en quelques chiffres 2. La consommation touristique allemande 3. La France vue par les allemands 4. Le
Plus en détailPRINCIPES DE FONTIONNEMENT DU SERVICE EMPLOI
PRINCIPES DE FONTIONNEMENT DU SERVICE EMPLOI JANVIER 2013 PRINCIPES DE BASE Le service EMPLOI est basé à la délégation : 18 rue Docteur Guindey 27000 Evreux Tél : 02 32 33 05 90 L équipe : Des bénévoles
Plus en détailPréparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile
Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION
Plus en détailEvaluation de l action «Le p tit déj c est important!
Evaluation de l action «Le p tit déj c est important!» organisée par la Fédération de l Ardèche du Secours Populaire Français dans les écoles élémentaires de l Ardèche Septembre 2008 1 Remerciements L
Plus en détailL information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments
L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments Présenté par Micheline Séguin Bernier Le 19 mars 2007 Tiré et adapté du document de Santé Canada Le tableau de la valeur nutritive : plus facile
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.
Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Personnes présentes : M. le Maire, Guillaume MATHELIER, M. Quentin MAYERAT, Adjoint à l'éducation et à la
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailVotre Prestataire. Nom : CRM. Activité : Elaboration de menus, fabrication, vente et livraison de repas pour. collectivités.
L esprit qualité De la gestion sur site aux repas livrés avec ou sans personnel, des repas quotidiens aux repas d affaires. CRM propose une large gamme de services. Concepteur, partenaire dans les projets
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailPrésentation des animations Aux Goûts du Jour
Présentation des animations Aux Goûts du Jour AUX GOÛTS DU JOUR est une association nationale d éducation alimentaire. Objectifs * Aider les enfants et les adultes à retrouver le plaisir de Bien manger.
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailDemande de Soumission - Transformateur
Demande de Soumission - Transformateur Nom de l entreprise : Prénom : Nom : Titre : Adresse : Ville : Code postal : Région : Téléphone : Télécopieur : Courriel : Site Web : Domaine d activités : *** possibilité
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailConsultation publique
Consultation publique PROJET DE REDÉVELOPPEMENT DU SITE DES ANCIENS ATELIERS DU CN Mémoire déposé par le Club populaire des consommateurs de Pointe-Saint-Charles dans le cadre des consultations publique
Plus en détailL influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse. Contexte.
L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse Contexte Ce document est la synthèse d un avis réalisé par Catherine Gervais de l Institut national
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION Pur etc. : un Fast Good A tout moment de la journée, PUR etc. propose des produits cuisinés comme à la maison, autour de fruits et légumes de saison, et fait de la qualité et la
Plus en détailBio Suisse cherche le Magasin Bio de l année 2008 Participez! Nous nous réjouissons de votre candidature!
MagasinBio2008 Bio Suisse cherche le Magasin Bio de l année 2008 Participez! Nous nous réjouissons de votre candidature! Le Magasin Bio de l année 2008 1 Documents de candidature Le Magasin Bio de l année
Plus en détailLeçon 10. Je quitte la maison - par où commencer? Matériel : Niveaux : Buts : Vocabulaire : Temps requis :
SECONDAIRE Leçon 10 Je quitte la maison - par où commencer? Niveaux : S1, S2 (9 e, 10 e ) Buts : Aider les élèves à se préparer lorsqu ils quittent l école pour vivre seul ou avec un locataire. Vocabulaire
Plus en détailMode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes
Mode d emploi Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes 10 «petits» gestes pour réduire nos déchets Réduire ses déchets c est avant tout mieux consommer Le meilleur déchet est celui qui
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailTous au marché! LES MS/GS DECOUVRENT LE MARCHE DE TARTAS
Sorties La sortie Ous Pins avec le club de modélisme Les enfants DE MS/GS doivent faire preuve d adresse et de concentration pour téléguider les bateaux. «Le 15 septembre dernier, nous avons téléguidé
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE
DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE Visite de presse mardi 14 avril 2015, restaurant scolaire de Saint-Pierre Dossier de presse - Projet
Plus en détail1er réseau mondial de restauration rapide sur- mesure
1er réseau mondial de restauration rapide sur- mesure DOSSIER DE PRESSE Janvier 2013 2 SOMMAIRE Green is better : Un concept innovant La genèse L innovation Green is better Les valeurs Green is better
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailAide Alimentaire, une analyse des pratiques positionnées sur une dynamique de distribution
UNIVERSITE DE LA MEDITERRANEE AIX-MARSEILLE II FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION MASTER Ressources Humaines-Economie Sociale et Solidaire «Gestion de projets et des compétences» Méthodologie
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS INTRA / INTER 2013 / 2014
CATALOGUE DES FORMATIONS INTRA / INTER 2013 / 2014 2 SOMMAIRE NOTRE OFFRE DE FORMATION INTRA PAGE 3 ALIMENTATION ET SOINS HYGIÈNE ALIMENTAIRE ET HACCP EN CUISINE OU EN OFFICE NOTRE OFFRE DE FORMATION INTER
Plus en détailENQUETE PRIX : FORMAT FAMILIAL FORMAT INDIVIDUEL
ENQUETE PRIX : FORMAT FAMILIAL FORMAT INDIVIDUEL DOSSIER SPECIAL : COMMENT MANGER MOINS CHER ET EVITER LE GASPILLAGE AVEC FAMILLES DE FRANCE Bonus : plus de 20 recettes anti-gaspi! 2014 WWW.FAMILLES-DE-FRANCE.ORG
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détailFiche 23 D où viennent les produits de mon petit déjeuner?
Fiche 23 D où viennent les produits de mon petit déjeuner? Au fur et à mesure de l histoire de l alimentation, la provenance des produits que nous mangeons s est diversifiée. Aujourd hui, nous mangeons
Plus en détailEtudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2. mars 2014
Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2 mars 2014 Objectifs Fournir aux 40 clubs des Outils personnalisés et sortir des études nationales inexploitables au niveau local Avoir une approche club à club
Plus en détail«Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados
Dossier de presse 9 mai 2006 «Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados Adultes de demain, les adolescents sont également concernés, à court, moyen ou long terme, par les maladies cardiovasculaires,
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détail- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel
Planifier le projet > Identifier les étapes > Organiser le projet > Identifier les étapes - Le Diagramme de Gantt > Organiser le projet - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier
Plus en détailL AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS
FOCUS AGROALIMENTAIRE BROME-MISSISQUOI 2011 L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES UN CHIFFRE D AFFAIRE ANNUEL DE PRÈS DE 67MILLIONS PLUS DE 1000 EMPLOIS La transformation agroalimentaire
Plus en détailB U L L E T I N D I N F O R M A T I O N
L Actif VOLUME 8, NUMÉRO 3 B U L L E T I N D I N F O R M A T I O N AOÛT 2014 Dans ce numéro : Nouvelles nutrition 1 Retour sur l assemblée générale annuelle 2014 Bénévoles recherchés 4 Jeu cognitif du
Plus en détailPRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT PORTAGE DE REPAS A DOMICILE
REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT PORTAGE DE REPAS A DOMICILE Article 1 Objet du service de portage de repas à domicile Dans le cadre de ses actions «vie autonome», le CCAS de Saint Paul-Trois- Châteaux propose
Plus en détailRESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT»
Page 1 ANNEE SCOLAIRE 2014/2015 RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Le Maire de la Commune de Labouheyre, Vu l article
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailDénutrition Programme de prévention «PASS ALIMENTATION» de la Mutualité Française
Réunions départementales ARS / EHPAD octobre 2013 Dénutrition Programme de prévention «PASS ALIMENTATION» de la Mutualité Française Mme Nicole BOUKHEROUFA en Saône et Loire Mme Gwendoline LEGROS dans la
Plus en détailFourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile
Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d'ouvrage / Pouvoir Adjudicateur : Communauté de Communes
Plus en détailJean Cuistot Traiteur
Jean Cuistot Traiteur 31 Avenue de l océan 17510 Chives Tel : 05.46.33.64.21 Portable (06 70 73 90 20) jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Numéro de TVA : fr66381676394 Siret : 38167639400020 Naf : 5621Z
Plus en détailPARENTS. premiers éducateurs. Votre portail de la littératie familiale!
1 PARENTS premiers éducateurs Votre portail de la littératie familiale! www.coindelafamille.ca VOLUME 15, AUTOMNE 2009 2 Lire pour améliorer sa santé Le Conseil canadien sur l apprentissage (CCA) propose
Plus en détailDOSSIER DE PARTENARIAT
2013 DOSSIER DE PARTENARIAT L évènement : Des Ateliers culinaires et une «Chasse au trésor» vont être organisés lors de la journée du Mercredi 5 Juin 2013 à la Mairie du 7 ième arrondissement. L évènement
Plus en détailLe logo «Fait maison»
Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailANNEE SCOLAIRE EN COURS
La rédaction de cette circulaire de Rentrée relative au service de Restauration a été assurée par l Association des Parents d Élèves, section française (APE). Elle a été val idée par la direction du Lycée
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailGeoffroy Ménard, agr.
Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation
Plus en détailLe Chef-Gérant LES MÉTIERS DE LA RESTAURATION CHEZ RESTALLIANCE
Le Chef-Gérant Assurer la production des repas et la qualité de la prestation Encadrer, former, organiser et coordonner le travail de l équipe S occuper de l approvisionnement et de la bonne gestion des
Plus en détailInformation destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile
Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe
Plus en détailLE GUIDE. pour ne plus gaspiller. Les petits gestes du quotidien qui font du bien au porte-monnaie et à la planète.
LE GUIDE pour ne plus gaspiller Les petits gestes du quotidien qui font du bien au porte-monnaie et à la planète. EL14021_leaflet_foodrespect_FR PROD.indd 1 14/04/14 10:47 Nos achats, notre façon de manger
Plus en détailLE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES LIVRET DE RECETTES POUR LES ENFANTS DE 18 MOIS À 4 ANS BON POUR MON ENFANT, BON POUR MON BUDGET
LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES LIVRET DE RECETTES POUR LES ENFANTS DE 18 MOIS À 4 ANS BON POUR MON ENFANT, BON POUR MON BUDGET Ce livret a été réalisé dans le cadre d un stage d une étudiante
Plus en détailAlimentation et exercices physiques Comment garder son équilibre après 60 ans?
Alimentation et exercices physiques Comment garder son équilibre après 60 ans? Une alimentation équilibrée et adaptée aux besoins nutritionnels de chacun, ainsi qu une activité physique régulière, permettent
Plus en détailSavoir fidéliser ses clients
Savoir fidéliser ses clients le programme partie 1 Les enjeux de fidélisation partie 2 La relation client : un levier de fidélisation Partie 3 Gérer sa base de données clients Partie 4 Les outils pour
Plus en détailQue manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?
Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du
Plus en détailDans l Aude, 27 usagers de deux roues motorisées ont été tués depuis le 1 er janvier 2007.
LA SEMAINE EUROPEENNE de la SECURITE ROUTIERE et de la MOBILITE En 2010 comme en 2009, la semaine nationale de la sécurité routière s associe avec la semaine européenne de la mobilité et devient ainsi
Plus en détailETABLISSEMENT : 0911042N COLLEGE PAUL ELUARD ste genevieve des bois cedex ETAT PREVISIONNEL DE LA COMMANDE PUBLIQUE AU TITRE DE L'ANNEE 2010
PAGE : 1 pour les achats de fournitures et de services, et par opération pour les travaux, en fonction des d'achat retenues. Fournitures FE01 - Habillement-produits textiles 4 000.00 4 000.00 FE02 - Produits
Plus en détailUn outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner!
Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre des petits chefs : un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre
Plus en détailRapport de résultats. Étude de marché - Services de proximité Projet Coop
Rapport de résultats Étude de marché - Services de proximité Projet Coop Consultation et sondage effectués effectué par : Dominique Cadieux, agent de développement socio-économique socio Marise Matte,
Plus en détailM. ou Mme... demeurant... Ou son représentant légal, c est-à-dire le tuteur ou curateur,... Il est convenu ce qui suit,
Contrat de prestation de livraison de repas à domicile entre le CCAS et les personnes âgées ou handicapées à domicile de Saint Etienne et des communes associées Entre Le CCAS de la Ville de Saint Etienne,
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailLa santé en entreprise :
avenue du marché gare 34070 Montpellier Repas offert à Montpellier Restaurant La Table de Cana Découverte Partage Convivialité Cuisine ou au 04 99 58 88 90 ou par mail : accueil@mflr.fr sur inscription
Plus en détailDISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX
DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX Monsieur AIT ABDERRAHMANE Abdelaziz Directeur Général de la Régulation et de l Organisation
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailCLUB TMS 23 OCTOBRE 2012
CLUB TMS 23 OCTOBRE 2012 Actualité du Service Prévention Mr Bernard BOUDON, Ingénieur Conseil Régional Carsat LR 9 H 00/9 H 30 - Actualité du service Prévention Mr Bernard BOUDON, Ingénieur Conseil Régional
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailCOMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 125 Mai 2012 ECONOMIE ET EVALUATION DÉVELOPPEMENT DURABLE Expérimentation de l affichage environnemental sur les produits agro-alimentaires Premier retour
Plus en détailLe Groupe Casino p. 4 Casino restauration p. 5 Notre organisation p. 6 L idée p. 8 Résultats de l étude clients p. 10 Le concept p.
UN CONCEPT NOVATEUR 2 Le Groupe Casino p. 4 Casino restauration p. 5 Notre organisation p. 6 L idée p. 8 Résultats de l étude clients p. 10 Le concept p. 12 A l heure des comptes p. 14 Mes notes p. 16
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détailTMS : quelles compétences pour quelle démarche de prévention?
TMS : quelles compétences pour quelle démarche de prévention? Intervenants : Santé sécurité au travail Fabrice BESNOUX, adjoint au directeur industriel Laurent HARDOUIN, membre du CHSCT PRIMEL Gastronomie
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailCUISINIER. Organiser le travail et la production au sein de la cuisine dans le respect des règles en vigueur :
CUISINIER Missions du poste : Réaliser, valoriser et distribuer des préparations culinaires. Gérer les approvisionnements et stockages des produits et denrées. Organiser le travail et la production au
Plus en détail1. Informations générales
1. Informations générales Bonjour, Autre, ce questionnaire s adresse aux parents d enfants de 18 mois à 5 ans en service de garde éducatif à l'enfance (CPE, garderie). Il est divisé en 8 thèmes. Le temps
Plus en détailGuide méthodologique
Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e
Plus en détailRéseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents
Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailConvention de portage de repas à domicile
Convention de portage de repas à domicile Référence du contrat : SAP / 2015 /. SECAD Service communautaire d accompagnement à domicile 15 rue Crech Uguen 22810 BELLE-ISLE-EN-TERRE Tél. 02 96 43 30 68 Fax
Plus en détailESSOURCES PÉDAGOGIQUES
2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détail