RAPPORT ANNUEL DEFINITIF HEMATOLOGIE/COAGULATION/IMMUNO-HEMATOLOGIE 2012
|
|
- Marie-Laure Poulin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EXPERTISE, PRESTATIONS DE SERVICE ET RELATIONS CLIENTS QUALITE DES LABORATOIRES MEDICAUX COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS EVALUATION EXTERNE DE LA QUALITE DES ANALYSES EN BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT ANNUEL DEFINITIF HEMATOLOGIE/COAGULATION/IMMUNO-HEMATOLOGIE 2012 ISP-2012/Hématologie/coagulation/immuno-hématologie/89 Expertise, prestations de service et relations clients Qualité des laboratoires médicaux Rue J. Wytsman, Bruxelles Belgique
2 ISSN: COMITE DES EXPERTS ISP (secrétariat) TEL: 02/ FAX: 02/ Coordinateur d enquête: Dr. Van Blerk M. TEL: 02/ mvanblerk@wiv-isp.be Remplaçant TEL: 02/ coordinateur d enquête: kvernelen@wiv-isp.be Dr. Vernelen K. Experts: Dr. Brusselmans C. TEL: 016/ FAX: 016/ caroline.brusselmans@uzleuven.be Dr. Chatelain B. TEL: 081/ FAX: 081/ bernard.chatelain@uclouvain.be Dr. De Caluwé J-P. TEL: 02/ FAX: 02/ jdecaluwe@his-izz.be Dr. Demulder A. TEL: 02/ FAX: 02/ anne.demulder@chu-brugmann.be Dr. Devreese K. TEL: 09/ FAX: katrien.devreese@ugent.be Dr. Gérard C. TEL: 04/ FAX: 04/ christiane.gerard@chu.ulg.ac.be Dr. Gothot A. TEL: 04/ FAX: 04/ agothot@ulg.ac.be Dr. Jacquemin M. TEL: 016/ FAX: 016/ marc.jacquemin@med.kuleuven.be Dr. Jochmans K. TEL: 02/ FAX: 02/ kristin.jochmans@uzbrussel.be Dr. Meeus P. TEL: 053/ FAX: peter.meeus@olvz-aalst.be Dr. Pradier O. TEL: 02/ FAX: 02/ olivier.pradier@erasme.ulb.ac.be Dr. Rummens J-L. TEL: 011/ FAX: 011/ jean-luc.rummens@jessazh.be Dr. Van Honsebrouck A. TEL: 03/ FAX: 03/ anne.vanhonsebrouck@rodekruis.be Mr. Wijns W. TEL: 02/ FAX: 02/ walter.wijns@erasme.ulb.ac.be Réunion du comité d experts: 07/05/2013 Tous les rapports sont également consultables sur notre site web: Autorisation de diffusion de rapport: par M. Van Blerk (coordinateur d enquête) le 05/06/2013. FORM 43/125/F v4 2/28
3 TABLE DES MATIERES Numération 4 Cytologie 11 Médullogramme 14 Coagulation 15 Etude de l influence des nouveaux anticoagulants oraux sur les test de coagulation de routine 24 Immuno-hématologie 25 FORM 43/125/F v4 3/28
4 Les évaluations se rapportent uniquement aux laboratoires belges agréés dans le cadre de l INAMI. NUMERATION Echantillons Deux échantillons de sang frais prélevés sur K 2 EDTA ont été envoyés à l occasion de chaque enquête, en mars (H/11724, H/11725) et en novembre (H/12080, H/12081). Les échantillons étaient légèrement stabilisés (0.025% glutardialdéhyde) pour contrer les effets de vieillissement. Participation Le tableau suivant reprend le nombre de participants dont les résultats ont été retenus pour les différents paramètres: Nombre de participants Mars Novembre Globules rouges Globules blancs Hémoglobine Hématocrite VCM Thrombocytes Réticulocytes % GR Appareils de mesure 99.0% des appareils utilisés appartenaient aux séries de Sysmex (51.2%), Siemens (19.7%), Beckman Coulter (16.7%) ou Abbott (11.3%) (enquête de novembre). Résultats Il était de la première importance d analyser les échantillons dès leur réception. Le traitement statistique a uniquement été réalisé à partir des résultats obtenus sur les échantillons analysés les jours 1 et 2 (le jour 0 étant le jour de l envoi). Nous avons utilisé les services de Taxipost 24h afin que les échantillons parviennent au laboratoire le plus rapidement possible. Les laboratoires ont été informés de l envoi le jour même (jour 0) par . Lors de l enquête 2012/1, seuls 3 participants ont reçu les échantillons le jour 2. Il est à noter que 20 laboratoires (9.6%) ont attendu le 2 ème jour pour réaliser les analyses. Un laboratoire a seulement reçu les échantillons le 3 ème jour. Lors de l enquête 2012/3, seuls 5 participants ont reçu les échantillons le jour 2. Il est à noter que 22 laboratoires (10.8%) ont attendu le 2 ème jour pour réaliser les analyses. Un laboratoire a seulement reçu les échantillons le 3 ème jour. FORM 43/125/F v4 4/28
5 Le tableau suivant reprend les médianes globales et les CV (%) obtenus pour les échantillons envoyés: H/11724 H/11725 H/12080 H/12081 Médiane CV Médiane CV Médiane CV Médiane CV GR /L GB 10 9 /L HB g/l HCT L/L VCM fl PLT 10 9 /L Les résultats interlaboratoires pour 2012 sont satisfaisants. Détermination des réticulocytes sur automate Le tableau suivant reprend les médianes globales (% GR) et les CV (%) obtenus pour les échantillons envoyés: Enquête Echantillon Médiane CV 2012/1 H/ H/ /3 H/ H/ La dispersion des résultats est comparable à celle de Renvoi des résultats par voie électronique 97.0% (2012/3) à 97.6% (2012/1) des laboratoires ont renvoyé les résultats au moyen de la base électronique (toolkit). Critères d évaluation L évaluation comporte deux méthodes décrites ci-dessous. 1. Méthode des z-scores Cette méthode consiste à remplacer chaque résultat x par le z-score correspondant, à savoir: x M = SD z (Eq.1) où M et SD sont respectivement la médiane et l'écart-type des résultats fournis par les laboratoires utilisant la même méthode de dosage pour le test X. Si N désigne le nombre de résultats fournis par le laboratoire au cours de l'exercice 2012, on obtient ainsi N valeurs z. Ces scores sont évidemment comparables puisqu'ils n'ont plus d'unités. FORM 43/125/F v4 5/28
6 Définissons à présent le pourcentage de z-scores "hors-limites" (c'est-à-dire s'écartant de la médiane de + ou - 3 SD) et désignons par P Z ce pourcentage. Ceci revient à calculer le nombre de z-scores (N) tels que z > 3; soit N Z ce nombre. Dans ces conditions, la qualité globale du laboratoire est appréciée par le pourcentage: P NZ = 100 (%) (Eq.2) N Z Un laboratoire pour lequel P Z = 0% n'a fourni aucun résultat hors-limites durant l'année, sa qualité globale est parfaite. A l'inverse, si N Z = N, alors P Z = 100% et tous les résultats sont hors-limites (cas extrême). Pour un laboratoire donné, plus Pz est faible, meilleure est la performance. Et à l opposé, plus P Z est élevé, plus son niveau de qualité est préoccupant. En utilisant la méthodologie ainsi décrite, on associe à chaque laboratoire un index P Z reflétant la qualité globale du laboratoire au cours de l'exercice écoulé. On a ainsi résumé l'ensemble des résultats fournis par un laboratoire en une seule quantité notée P Z. On peut alors s'intéresser à la distribution de P Z sur l'ensemble des laboratoires contrôlés et déterminer, par exemple, le seuil Pz 90 qui n'est dépassé que par 10% des laboratoires. Bien sûr, tout autre percentile de la distribution des P Z peut être calculé. Ainsi Pz 50 est la médiane des P Z et Pz 25 le premier quartile qui est dépassé par 75% des laboratoires. Remarques 1) Le calcul du z-score (Eq.1) n'est pas toujours possible, par exemple lorsque le laboratoire utilise une méthode rare (moins de 6 laboratoires) et pour laquelle on n'a pu calculer M et SD. Le calcul du P Z se base donc sur l'ensemble des z-scores disponibles. 2) Les z-scores sont uniquement calculés sur les échantillons analysés les jours 1 et 2 (jour 0 : jour de l envoi). Tous les autres résultats ne sont pas pris en compte pour l évaluation statistique. 2. Méthode avec limites fixes Une approche semblable à celle des z-scores peut être utilisée en définissant des limites fixes acceptables. Au lieu d'effectuer la transformation du résultat x en z-score, on calcule l'expression suivante: x M u 100 M (%) = (Eq.3) où M est la médiane des valeurs fournies par les laboratoires utilisant la même méthode de dosage pour le test X. La quantité u exprime l'écart relatif (en %) du résultat x à la médiane M (on ne tient donc plus compte de l'écart-type). FORM 43/125/F v4 6/28
7 Le résultat x est "hors-limites" si u > d, où d est le pourcentage d'écart acceptable entre x et M. Il est basé sur les critères de l OMS (Quality assurance in haematology, WHO/LAB/98.4). Paramètre Seuil d'acceptabilité (d, %) Globules rouges 4 Globules blancs 10 Thrombocytes 15 VCM 5 Hémoglobine 4 Hématocrite 4 Réticulocytes % GR 30 Si N désigne l'ensemble des résultats fournis par le laboratoire, on peut alors apprécier la qualité globale du laboratoire en calculant le nombre N U de valeurs u "hors-limites" et ainsi calculer le pourcentage: P NU = 100 (%) (Eq.4) N U Comme P Z, la quantité P U est un indicateur global de la qualité du laboratoire. Plus P U est faible, meilleure est la performance du laboratoire. A l'inverse, une valeur élevée de P U devrait attirer l attention du responsable du laboratoire, surtout lorsque celle-ci est supérieure à Pu 90. La distribution des P Z (pourcentage de résultats hors-limites sur base de la méthode des 3 SD) et celle des P U (pourcentage de résultats hors-limites sur base de la méthode utilisant des limites fixes), pour l'ensemble des laboratoires du cycle 2012, sont représentées sur la figure suivante. Pz-Pu (n=194) Proportion cumulée de laboratoires (%) pz pu Pourcentage de z-scores et de u-scores 'hors limites' Diagrammes cumulatifs de P Z et P U pour l'ensemble des laboratoires au cours du cycle 2012 FORM 43/125/F v4 7/28
8 Les caractéristiques des distributions des P Z et P U sont reprises dans le tableau ci-dessous. Pz Pu P P P P P P P P P P P P P P Moyenne ± SD 2.5 ± ± 4.8 N Minimum - maximum Le nombre maximal de résultats évalués était de 32 pour le calcul du P z et de 28 pour le calcul du P u. Ce tableau montre entre autres qu un laboratoire belge a rendu, au cours du cycle 2012, en moyenne 2.5% de résultats > 3 SD et 2.8% de résultats non-conformes aux critères de l OMS. Le tableau suivant montre pour les différents paramètres le nombre de résultats évalués, le pourcentage de résultats > 3 SD et le pourcentage de résultats non-conformes aux critères de l OMS. Paramètre N % > 3 SD N % > WHO Globules rouges Globules blancs Thrombocytes VCM Hémoglobine Hématocrite Réticulocytes % GR FORM 43/125/F v4 8/28
9 Caractéristiques de la distribution des Pz en 2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012: moyenne (m) ± écart-type, percentiles, minimum et maximum: Cycle N m ± SD P 25 P 50 P 75 P 90 P 95 P 99 Min-max ± ± ± ± ± ± ± ± Caractéristiques de la distribution des Pu en 2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012: moyenne (m) ± écart-type, percentiles, minimum et maximum: Cycle N m ± SD P 25 P 50 P 75 P 90 P 95 P 99 Min-max ± ± ± ± ± ± ± ± Afin de caractériser de façon individuelle la qualité de chaque laboratoire, deux protocoles récapitulatifs de l'ensemble des résultats au cours du cycle 2012 lui sont fournis. 1. Rapport récapitulatif avec z-scores Pour chaque paramètre et chaque échantillon analysé, on fournit le résultat, la méthode et le z-score. Ce dernier est imprimé en gras s'il se situe en dehors des limites admises (± 3 SD). En-dessous du rapport, on fournit le Pz global du laboratoire comme défini précédemment. Le biologiste peut évaluer ses performances à l aide du graphique et du tableau repris dans ce rapport. Exemple: Pour un Pz global de 6.6, la proportion de laboratoires avec de meilleures performances est de 90%. 2. Rapport récapitulatif avec u-scores Pour chaque paramètre et chaque échantillon analysé, le résultat, la méthode et le u-score (%) sont indiqués. Ce dernier est imprimé en gras s'il se situe en dehors des limites admises. En-dessous du rapport, on fournit le Pu global du laboratoire comme défini précédemment. Le biologiste peut évaluer ses performances à l aide du graphique et du tableau repris dans ce rapport. Exemple: Pour un Pu global de 4.2, la proportion de laboratoires avec de meilleures performances est de 80%. FORM 43/125/F v4 9/28
10 Résultats inadéquats Pz 95 et Pu 95 sont considérés comme des seuils critiques de mauvaises prestations. En d autres termes, on considère que la qualité d un laboratoire est moins satisfaisante si 95% de ses collègues ont effectué de meilleures prestations. Au cours du cycle 2012, 18 laboratoires ont obtenu un index P Z et/ou P U supérieur au seuil critique P 95 : 15 laboratoires hospitaliers et 3 laboratoires privés. Parmi ces laboratoires, cinq avaient déjà été cités en FORM 43/125/F v4 10/28
11 CYTOLOGIE Echantillons et participation Les frottis sanguins suivants ont été envoyés au cours de l année 2012: Enquête 2012/1, H/11664: Syndrome des plaquettes grises 183 laboratoires ont participé à cette enquête. Enquête 2012/2, H/11883: Frottis dans les limites de la normale 185 participants ont participé à cette enquête. Enquête 2012/3, H/12004: Sphérocytose héréditaire 183 laboratoires ont participé à cette enquête. Critères d évaluation La réponse est estimée inadéquate dans le cas où l orientation diagnostique n est pas retrouvée. Le résultat est également estimé inadéquat si les anomalies du frottis ne sont pas mentionnées en quantité significative ou si des anomalies qui ne sont pas présentes sont mentionnées. Résultats Le tableau suivant reprend le pourcentage de réponses acceptables et inadéquates: Frottis Critères Acceptable Inadéquat Adéquat: mentionner l orientation diagnostique 94.0% 6.0% pathologie de la lignée plaquettaire Inadéquat: mentionner l orientation diagnostique 98.4% 1.6% syndrome lymphoprolifératif chronique Adéquat: mentionner l orientation diagnostique 84.2% 15.8% pathologie de la lignée rouge et proposer de réaliser la recherche des anomalies membranaires des globules rouges comme examen complémentaire ou suggérer le diagnostic de sphérocytose héréditaire Quatre laboratoires ont mentionné 2 résultats inadéquats. Le premier laboratoire a mentionné: - pour le frottis H/11664 l orientation diagnostique autre (virocytose, mononucléose) - pour le frottis H/12004 également l orientation diagnostique autre (leucémie à tricholeucocytes). Le deuxième laboratoire a mentionné: - pour le frottis H/11664 l orientation diagnostique syndrome lymphoprolifératif chronique - pour le frottis H/12004 l orientation diagnostique hémopathie maligne aiguë (2 ème choix: pathologie de la lignée rouge). FORM 43/125/F v4 11/28
12 Le troisième laboratoire a mentionné: - pour le frottis H/11664 l orientation diagnostique processus infectieux, inflammatoire ou toxique - pour le frottis H/12004 l orientation diagnostique pathologie de la lignée rouge mais il n a pas mentionné la présence de sphérocytes ni proposé de réaliser la recherche des anomalies membranaires des globules rouges comme examen complémentaire. Le quatrième laboratoire a mentionné : - pour le frottis H/11664 l orientation diagnostique syndrome lymphoprolifératif chronique (leucémie à tricholeucocytes) - pour le frottis H/12004 l orientation diagnostique pathologie de la lignée rouge mais il n a pas mentionné la présence de sphérocytes ni proposé de réaliser la recherche des anomalies membranaires des globules rouges comme examen complémentaire. Renvoi des résultats par voie électronique 96.7% (2012/3) à 97.6% (2012/1) des laboratoires ont renvoyé les résultats au moyen de la base électronique (toolkit). Microscopie virtuelle Lors des 3 enquêtes de 2012, les laboratoires ont reçu en plus du frottis classique, une version digitalisée du même échantillon. Un aperçu détaillé des résultats a été repris dans les rapports globaux 2012/1, 2012/2 et 2012/3. Frottis didactiques Lors de la première enquête de 2012, les laboratoires ont reçu 2 frottis didactiques provenant d une patiente atteinte d une mononucléose (H/11661 (frottis classique et digital) et H/11722 (uniquement en version digitale)). Le frottis H/11722 a été étalé et coloré très rapidement après le prélèvement par un automate connecté à l analyseur d hématologie. Le frottis H/11661 a été étalé manuellement 6h après le prélèvement. 67.2% des laboratoires ont proposé le diagnostic de virose (EBV, CMV, ). 11.7% des participants ont également proposé le diagnostic de virose mais ont de plus mentionné qu il fallait exclure un syndrome lymphoprolifératif chronique (lymphome nonhodgkinien, ). Lors de la 2 ème enquête, les laboratoires ont reçu une version digitalisée d un frottis normal (H/11886 DIGIT). Ce frottis avait déjà été envoyé lors de l enquête 2011/3 (H/11611 DIGIT). Le pourcentage médian rapporté de monocytes était alors de 4.8% avec un CV de 26.3%. La grande dispersion obtenue pour le pourcentage des monocytes était surtout attribuable au fait qu un certain nombre de laboratoires avait des difficultés à faire la distinction entre les monocytes et les lymphocytes. Pour pallier FORM 43/125/F v4 12/28
13 à ce problème, ces laboratoires ont pu consulter un document sur le site web de l ISP dans lequel, chaque cellule du frottis était correctement identifiée: Malgré cette aide, plus de 2/3 des laboratoires concernés ont encore eu des difficultés pour faire la distinction entre les monocytes et les lymphocytes. Un laboratoire hospitalier a de nouveau mentionné la présence de 10% de cellules lymphomateuses (13% lors de l enquête 2011/3). Ces laboratoires ont été invités à consulter à nouveau le document on line. Lors de la 3 ème enquête de 2012, les laboratoires ont reçu un frottis didactique provenant d un petit garçon atteint d une déficience en glucose-6-phosphatedéshydrogénase (G6PD) (H/12111, uniquement en version digitale). 60.1% des participants ont suggéré le diagnostic de déficience en G6PD. Un aperçu détaillé des résultats a été repris dans les rapports globaux 2012/1, 2012/2 et 2012/3. Les résultats des frottis digitaux et didactiques n ont pas été pris en considération pour l évaluation. FORM 43/125/F v4 13/28
14 MEDULLOGRAMME En décembre 2012, les laboratoires ont reçu un CD-ROM contenant des images du frottis sanguin H/12154 et de la moelle H/12155, provenant d un patient atteint d une leucémie myéloïde aiguë de morphologie cupuliforme Les laboratoires devaient transmettre uniquement les résultats de la moelle H/12155 et pouvaient effectuer cette transmission via internet (toolkit). 100 laboratoires (96.2% des laboratoires inscrits) ont participé à cette enquête. Hormis 1 participant (diagnostic de hémopathie maligne aiguë), tous les laboratoires ont suggéré le diagnostic de leucémie myéloïde aiguë. Un aperçu détaillé des résultats a été repris dans le rapport global médullogramme Les résultats de cette enquête n ont pas été pris en considération pour l évaluation. FORM 43/125/F v4 14/28
15 COAGULATION Echantillons Au cours de l année 2012, les échantillons suivants ont été envoyés: 2 plasmas non traités: CO/11728 CO/ plasmas héparinés: CO/11729 CO/11869 CO/12103 CO/ pools de plasmas provenant de patients sous antivitamines K: CO/10892 CO/11608 CO/11609 Le tableau suivant reprend pour les plasmas héparinés, l héparine ajoutée et l activité anti-xa : Plasma Héparine Activité anti-xa, UI/mL CO/11729 Nadroparine (Fraxodi R ) 0.48 CO/11869 Nadroparine (Fraxodi R ) 0.37 CO/12103 Nadroparine (Fraxodi R ) 0.45 CO/12104 Nadroparine (Fraxodi R ) 0.44 Participation Le tableau ci-dessous reprend le nombre de réponses reçues pour chaque paramètre: Enquête 2012/1 Enquête 2012/2 Enquête 2012/3 PT aptt Fibrinogène Renvoi des résultats par voie électronique 99.5% (2012/2) à 100% (2012/1 et 2012/3) des laboratoires ont renvoyé les résultats au moyen de la base électronique (toolkit). FORM 43/125/F v4 15/28
16 Résultats PT Le tableau ci-dessous reprend les valeurs médianes globales des INR et les CV (%) obtenus pour les 3 pools de plasmas provenant de patients sous antivitamines K: Plasma INR CV CO/ CO/ CO/ aptt Le tableau suivant reprend les CV (%) en fonction du type de plasma et du rapport temps échantillon/témoin: Plasma Ratio CV CO/11728 non traité CO/11867 non traité CO/11729 hépariné CO/11869 hépariné CO/12103 hépariné CO/12104 hépariné CO/10892 pool de plasmas de patients sous AVK CO/11608 pool de plasmas de patients sous AVK CO/11609 pool de plasmas de patients sous AVK FIBRINOGENE Le tableau ci-dessous reprend les valeurs médianes globales du fibrinogène (g/l) et les CV (%) obtenus pour les plasmas envoyés en 2012: Plasma Fibrinogène CV CO/11728 non traité CO/11867 non traité CO/11729 hépariné CO/11869 hépariné CO/12103 hépariné CO/12104 hépariné CO/10892 pool de plasmas de patients sous AVK CO/11608 pool de plasmas de patients sous AVK CO/11609 pool de plasmas de patients sous AVK La dispersion des résultats fluctue autour de 10%. FORM 43/125/F v4 16/28
17 D-DIMERES Echantillons et participation Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés et reprend le nombre de participants pour les différents échantillons: Enquête Echantillon Nombre de participants 2012/1 CO/ CO/ /2 CO/ CO/ /3 CO/ CO/ Méthodes (enquête 2012/3) Tous les laboratoires ont utilisé une méthode quantitative. Les réactifs STA-Liatest D-DI (Stago, 37.8% des participants) et Innovance D-dimer (Siemens, 24.0% des participants) ont été le plus fréquemment employés (enquête 2012/3). ANTITHROMBINE Echantillons et participation Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés et reprend le nombre de participants pour les différents échantillons: Enquête Echantillon Nombre de participants 2012/1 CO/ CO/ /2 CO/ CO/ /3 CO/ CO/ Méthodes (enquête 2012/3) Un participant a réalisé le dosage de l antithrombine par une méthode immunologique. Tous les autres laboratoires ont réalisé le dosage de l antithrombine par une méthode fonctionnelle: 43 participants (51.2%) ont utilisé une méthode basée sur la thrombine et 40 participants (47.6%) une méthode basée sur le facteur Xa. FORM 43/125/F v4 17/28
18 Résultats Le tableau ci-dessous reprend les valeurs médianes globales de l antithrombine et les CV (%) obtenus pour les plasmas envoyés en 2012: CO/11606 Médiane CV N Antithrombine antigène 13.2 mg/dl 1 Antithrombine activité - FIIa 47.0% Antithrombine activité - FXa 41.9% CO/11727 Médiane CV N Antithrombine antigène 27.0 mg/dl 1 Antithrombine activté - FIIa 94.0% Antithrombine activité - FXa 91.2% CO/11607 Médiane CV N Antithrombine antigène 13.0 mg/dl 1 Antithrombine activité - FIIa 45.0% Antithrombine activité - FXa 43.5% CO/11868 Médiane CV N Antithrombine antigène 29.0 mg/dl 1 Antithrombine activté - FIIa 93.0% Antithrombine activité - FXa 88.0% CO/12100 Médiane CV N Antithrombine antigène 30.0 mg/dl 1 Antithrombine activité - FIIa 98.0% Antithrombine activité - FXa 97.5% CO/12102 Médiane CV N Antithrombine antigène 27.0 mg/dl 1 Antithrombine activté - FIIa 92.0% Antithrombine activité - FXa 91.0% FORM 43/125/F v4 18/28
19 Critères d évaluation: PzPu Comme pour la numération, l évaluation comporte deux méthodes. 1. Méthode des z-scores Cette méthode a déjà été décrite aux pages 5 et 6. Pour la coagulation, contrairement à la numération, tous les résultats ont été pris en compte étant donné que le matériel est lyophilisé. 2. Méthode avec limites fixes Cette méthode a déjà été décrite aux pages 6 et 7. Le tableau suivant reprend les seuils d'acceptabilité (Quality assessment of haemostatic assays and external quality assessment schemes. Laboratory techniques in thrombosis - A manual. Eds J. Jespersen, R.M. Bertina, F. Haverkate): Paramètre Seuil d'acceptabilité (d, %) PT INR 15 Uniquement pour les plasmas CO/10892, CO/11608 et CO/11609 (pools de plasmas de patients sous AVK) aptt ratio 15 Fibrinogène 15 La distribution des P Z (pourcentage de résultats hors-limites sur base de la méthode des 3 SD) et celle des P U (pourcentage de résultats avec une déviation supérieure à 15%), pour l'ensemble des laboratoires du cycle 2012, sont représentées sur la figure suivante. Pz-Pu (n=203) 100 Proportion cumulée de laboratoires (%) Pourcentage de z-scores et de u-scores 'hors limites' pz pu Diagrammes cumulatifs de P Z et P U pour l'ensemble des laboratoires au cours du cycle 2012 FORM 43/125/F v4 19/28
20 Les caractéristiques des distributions des P Z et P U sont reprises dans le tableau ci-dessous. Pz Pu P P P P P P P P P P P P P P Moyenne ± SD 2.9 ± ± 6.9 N Minimum - maximum Le nombre maximal de résultats évalués était de 72 pour le calcul du P z et de 21 pour le calcul du P u. Ce tableau montre entre autres qu un laboratoire belge a rendu, au cours du cycle 2012, en moyenne 2.9% de résultats >3 SD (PT, aptt, fibrinogène, D-dimères et antithrombine) et 3.4% de résultats avec une déviation supérieure à 15% (PT INR, aptt ratio et fibrinogène). Le tableau suivant montre pour les différents paramètres le nombre de résultats évalués, le pourcentage de résultats > 3 SD et le pourcentage de résultats > 15%: Paramètre Nombre de % > 3 SD Nombre de % > 15% résultats résultats PT sec PT % PT INR aptt sec aptt ratio Fibrinogène Clauss PT-derived D-dimères Antithrombine FIIa Antithrombine FXa FORM 43/125/F v4 20/28
21 Caractéristiques de la distribution des Pz en 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012: moyenne (m) ± écart-type, percentiles, minimum et maximum: Cycle N m ± SD P 25 P 50 P 75 P 90 P 95 P 99 Min-max ± ± ± ± ± Caractéristiques de la distribution des Pu en 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012: moyenne (m) ± écart-type, percentiles, minimum et maximum: Cycle N m ± SD P 25 P 50 P 75 P 90 P 95 P 99 Min-max ± ± ± ± ± Afin de caractériser de façon individuelle la qualité de chaque laboratoire, deux protocoles récapitulatifs de l'ensemble des résultats au cours du cycle 2012 lui sont fournis à l instar de la numération. Résultats inadéquats: PzPu Pz 95 et Pu 95 sont considérés comme des seuils critiques de mauvaises prestations. En d autres termes, on considère que la qualité d un laboratoire est moins satisfaisante si 95% de ses collègues ont effectué de meilleures prestations. Au cours du cycle 2012, 22 laboratoires ont obtenu un index P Z et/ou P U supérieur au seuil critique P 95 : 19 laboratoires hospitaliers et 3 laboratoires privés. Parmi ces laboratoires, 2 avaient déjà été cités en Critères d évaluation: interprétation clinique Sauf pour le PT, une évaluation des résultats des participants a également été réalisée en fonction de l interprétation clinique. aptt et fibrinogène Les participants ont effectué une interprétation à 5 niveaux: fortement diminué, modérément diminué, dans les limites des valeurs de référence, modérément augmenté, fortement augmenté. Une interprétation qui s écarte de deux degrés par rapport à l interprétation majoritaire est considérée comme inadéquate. FORM 43/125/F v4 21/28
22 D-dimères Une interprétation négatif pour un échantillon avec un taux de D-dimères élevé est considérée comme inadéquate. Antithrombine Une interprétation normal pour un échantillon avec un taux d antithrombine diminué et une interprétation diminué pour un échantillon avec un taux d antithrombine normal sont considérées comme inadéquates. Résultats inadéquats: interprétation clinique aptt Aucun laboratoire n a obtenu plus d une interprétation inadéquate. Fibrinogène Aucun laboratoire n a obtenu plus d une interprétation inadéquate. D-dimères Le tableau ci-dessous donne pour les différents échantillons l interprétation correcte et un aperçu de l ensemble des interprétations mentionnées par les laboratoires (normal -, borderline +/- et anormal +): Echantillon Interprétation Pourcentage de laboratoires correcte - +/- + Néant CO/ CO/ CO/ CO/ CO/ CO/ Au total, 4 laboratoires ont mentionné erronément une interprétation négatif pour un échantillon avec un taux de D-dimères élevé. Participant Echantillon Méthode Résultat (mg/l) Laboratoire 1 CO/11731 STA-Liatest D-DI 0.230* Laboratoire 2 CO/12097 HemosIL D-Dimer Laboratoire 3 CO/12097 HemosIL D-Dimer Laboratoire 4 CO/12097 Tina-quant DDI *Inversion d échantillons probable FORM 43/125/F v4 22/28
23 Antithrombine Le tableau ci-dessous donne pour les différents échantillons l interprétation correcte et un aperçu de l ensemble des interprétations mentionnées par les laboratoires (normal -, borderline +/- et anormal +): Echantillon Interprétation Pourcentage de laboratoires correcte - +/- + Néant CO/11606 Diminué CO/11607 Diminué CO/11727 Normal CO/11868 Normal CO/12100 Normal CO/12102 Normal Au total, 2 laboratoires ont mentionné erronément l interprétation diminué pour un échantillon avec un taux d antithrombine normal. Participant Echantillon Méthode Résultat (mg/l) Laboratoire 1 CO/11868 HemosIL Liquid Antithrombin 69.0 Laboratoire 2 CO/12102 HemosIL Liquid Antithrombin 78.0 FORM 43/125/F v4 23/28
24 ETUDE DE L INFLUENCE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX SUR LES TESTS DE COAGULATION DE ROUTINE Plusieurs nouveaux anticoagulants oraux tels que le dabigatran etexilate (un inhibiteur direct de la thrombine libre ou fixée à la fibrine) et le rivaroxaban (un inhibiteur direct du facteur X activé (FXa) libre ou fixé au complexe prothrombinase ou au thrombus) ont été utilisés depuis plus de 2 ans pour la prévention primaire de thromboembolies veineuses (TEV) chez les patients ayant bénéficié d une arthoplastie totale de la hanche ou du genou, et pour la prévention de l accident vasculaire cérébrale (AVC) chez les patients atteints de fibrillation auriculaire (FA). Une étude a été organisée pour offrir la possibilité aux laboratoires belges de vérifier l influence de ces nouveaux anticoagulants oraux sur les résultats de PT, aptt, fibrinogène et antithrombine obtenus avec les combinaisons réactif/appareil qu ils utilisent. Tous les laboratoires belges qui effectuent des tests de coagulation de routine, ont reçu 5 échantillons lyophilisés, constitués du même pool de plasma auquel a été ajouté du dabigatran ou du rivaroxaban aux concentrations suivantes: 0 ng/ml, 100 ng/ml dabigatran, 250 ng/ml dabigatran, 120 ng/ml rivaroxaban et 290 ng/ml rivaroxaban. Participation Tous les laboratoires, sauf 3, ont participé à l enquête (98.4%, 189/192). Les résultats n ont pas été pris en compte pour l évaluation. Résultats Le tableau suivant donne un aperçu de l influence du dabigatran et du rivaroxaban sur les paramètres testés: Dabigatran Rivaroxaban PT + ++/+* aptt ++/+* +/++* Fibrinogène En fonction de la combinaison - appareil/réactif utilisée Antithrombine: antigène - - Antithrombine: activité FIIa + - Antithrombine: activité FXa - + *En fonction de la combinaison réactif/appareil utilisée. Les résultats détaillés de cette étude ainsi que des recommandations pratiques pour les laboratoires (quand une surveillance est nécessaire, l influence sur les différents tests, l importance du moment de prélèvement ) se trouvent dans le rapport global NOAC FORM 43/125/F v4 24/28
25 IMMUNO-HEMATOLOGIE ABO Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec l identification du groupe sanguin et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête Echantillon ABO Correct Inadéquat 2012/ O 188 (100%) 0 (0%) 1204 O 188 (100%) 0 (0%) 2012/ O 188 (100%) 0 (0%) 1208 O 188 (100%) 0 (0%) 2012/ O 188 (100%) 0 (0%) 1212 O 188 (100%) 0 (0%) Rh D Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec l identification du Rh D et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête Echantillon Rh D Correct Inadéquat 2012/ Rh D positif 188 (100%) 0 (0%) 1204 Rh D positif 187 (99.5%) 1 (0.5%) 1: D faible 2012/ Rh D positif 188 (100%) 0 (0%) 1208 Rh D positif 188 (100%) 0 (0%) 2012/ Rh D positif 188 (100%) 0 (0%) 1212 Rh D positif 188 (100%) 0 (0%) Nous avons reçu une réponse inadéquate (0.09%) d un laboratoire hospitalier. Sous-groupes Rh Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec l identification des sous-groupes Rh et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête GR Sous-groupes Rh Correct Inadéquat 2012/ ccee 179 (98.9%) 2 (1.1%) 1: ccee 1: ccee* 1204 ccee 179 (98.9%) 2 (1.1%) 1: CCee 1: ccee* 2012/ CCee 178 (98.9%) 2 (1.1%) 2: Ccee 1208 CcEe 180 (100%) 0 (0%) 2012/ ccee 178 (98.9%) 2 (1.1%) 2: CcEe* 1212 CcEe 177 (98.3%) 3 (1.7%) 3: ccee* *Probablement inversion d échantillons Nous avons reçu 11 réponses inadéquates (1.0%) de 8 laboratoires différents (4 laboratoires hospitaliers, 4 laboratoires privés). Six résultats inadéquats sont probablement attribuables à une inversion d échantillons. FORM 43/125/F v4 25/28
26 Réaction de Coombs directe Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec les résultats de la réaction de Coombs directe et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête Echantillon Réaction de Coombs Correct Inadéquat directe 2012/ Négatif 175 (100%) 0 (0%) 1204 Négatif 175 (100%) 0 (0%) 2012/ Négatif 175 (100%) 0 (0%) 1208 Négatif 175 (100%) 0 (0%) 2012/ Négatif 176 (100%) 0 (0%) 1212 Négatif 174 (98.9%) 2 (1.1%) Nous avons reçu 2 réponses inadéquates (0.19%) de 2 laboratoires différents (1 laboratoire hospitalier, 1 laboratoire privé). Test de compatibilité Le tableau suivant donne un aperçu des sérums envoyés, l identification et le titre des anticorps irréguliers, la compatibilité avec les différents globules rouges et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête Sérum Anticorps Titre* GR C Correct Inadéquat IC 2012/ Absence 1202 C 147 (100%) 0 (0%) 1204 C 147 (100%) 0 (0%) 1203 Anti-E IC 146 (99.3%) 1 (0.7%) 1204 C 147 (100%) 0 (0%) 2012/ Absence 1206 C 145 (99.3%) 1 (0.7%) 1208 C 146 (100%) 0 (0%) 1209 Anti-K 8 (Kk) 1206 IC 145 (99.3%) 1 (0.7%) 16 (KK) 1208 C 145 (100%) 0 (0%) 2012/ Absence 1210 C 142 (97.9%) 3 (2.1%) 1212 C 143 (98.6%) 2 (1.4%) 1215 Anti-K C 144 (99.3%) 1 (0.7%) 1212 IC 143 (98.6%) 2 (1.4%) C: Compatible; IC: Incompatible; *LISS-Coombs sur colonne Nous avons reçu 11 réponses inadéquates de 8 laboratoires différents (6 laboratoires hospitaliers et 2 laboratoires privés). Sur un total de 438 tests, qui devaient être identifiés comme incompatibles, 4 résultats ont été erronément interprétés comme compatibles (0.91%) par 3 laboratoires hospitaliers et un laboratoire privé. Un résultat inadéquat (laboratoire hospitalier) était dû à une erreur d encodage et un autre résultat inadéquat (laboratoire hospitalier) probablement à une inversion d échantillons. Sur un total de 1313 tests, qui devaient être identifiés comme compatibles, 7 résultats ont été erronément considérés comme incompatibles (0.53%). FORM 43/125/F v4 26/28
27 Recherche d anticorps irréguliers Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec l identification et le titre des anticorps irréguliers et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête Sérum Anticorps Titre* Correct Inadéquat 2012/ Anti-Fy a (100%) 0 (0%) 2012/ Absence 172 (98.3%) 3 (1.7%) 2012/ Absence 173 (98.9%) 2 (1.1%) *LISS-Coombs sur colonne Nous avons reçu 5 réponses inadéquates de 2 laboratoires hospitaliers et 3 laboratoires privés: 5 résultats avec présence d anticorps au lieu d absence (1.43%). Identification des anticorps irréguliers Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec l identification et le titre des anticorps irréguliers, le nombre de participants, qui ont effectué l identification des anticorps irréguliers, et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Enquête Sérum Anticorps Titre* N Correct Inadéquat 2012/ Anti-E (98.6%) 1 (1.4%) 1: anti-fy a 1205 Anti-Fy a (98.7%) 1 (1.3%) 1: anti-c 2012/ Anti-K 8 (Kk) (100%) 0 (0%) 16 (KK) 2012/ Anti-K (100%) 0 (0%) *LISS-Coombs sur colonne Nous avons reçu 2 réponses inadéquates de 2 laboratoires différents (1 laboratoire hospitalier et un laboratoire privé). Les laboratoires qui effectuent l identification des anticorps irréguliers ont reçu 3 échantillons supplémentaires lors de la deuxième enquête de laboratoires ont participé à cette enquête. Le tableau suivant donne un aperçu des échantillons envoyés avec l identification et le titre des anticorps irréguliers et le nombre de réponses correctes et inadéquates: Sérum Anticorps Titre* Correct Inadéquat I/1218 anti-m 8 (MM, MN) 68 (98.6%) 1 (1.4%) I/1219 anti-cw 8 (Cw+) 68 (98.6%) 1 (1.4%) I/1220 anti-d 16 (CCD.ee) 69 (100%) 0 (0%) 32 (ccd.ee) *LISS-Coombs sur colonne Le fait de ne pas pouvoir mettre en évidence tous les anticorps présents est considéré comme inadéquat. Nous avons reçu 2 réponses inadéquates du même laboratoire. FORM 43/125/F v4 27/28
28 Renvoi des résultats par voie électronique 98.4% des laboratoires ont renvoyé les résultats au moyen de la base électronique (toolkit). Laboratoires avec plus d un résultat inadéquat 166 laboratoires sur 188 (88.3%) n ont obtenu aucun résultat inadéquat. 16 participants (8.5%) ont mentionné une réponse inadéquate, 5 participants (2.7%) 2 réponses inadéquates (3/5: inversion d échantillons probable) et un laboratoire hospitalier 4 réponses inadéquates (inversion d échantillons probable). Conclusion Le nombre de résultats inadéquats est de 0% pour la détermination du groupe ABO, de 0.09% pour la détermination du Rh D et de 1.0% pour la détermination des sous-groupes Rh. Le taux d erreurs très graves est de 0.91% pour les tests de compatibilité (compatible au lieu d incompatible, il était de 0.34% en 2011). Etant donné que ces erreurs peuvent avoir des conséquences très graves en routine telles qu une réaction transfusionnelle hémolytique fatale, il est important d effectuer toujours très soigneusement ce test ainsi que l identification de l échantillon. Le taux d erreurs très graves est de 0% pour la recherche des anticorps irréguliers (absence au lieu de présence). FIN Institut Scientifique de Santé Publique, Bruxelles Ce rapport ne peut pas être reproduit, publié ou distribué sans l accord de l ISP. FORM 43/125/F v4 28/28
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailPICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF
Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailGestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence
Gestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence Vendredi 23 mai 2014 Valérie Poirier Clément d Audigier Service d Hématologie biologique Hôpital Saint-Antoine Les anticoagulants oraux
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLes anticoagulants oraux directs dans la pratique médicale: implications pour le laboratoire d hémostase
Pipette 6-2014, Seite 17 18 Les anticoagulants oraux directs dans la pratique médicale: implications pour le laboratoire d hémostase Anne Angelillo-Scherrer Références, Figures 1 5 et Table 1 Références
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailSources bibliographiques :
AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailQuelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?
Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailSurveillance biologique des traitements anticoagulants
Surveillance biologique des traitements anticoagulants AVK, Héparines et dérivés, anti-iia, anti-xa directs Valérie Eschwège, CHU de Nancy DIU Hémostase biologique, Lyon 27 janv 2015 la prescription du
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX
EPU 95Montmorency FormationMédicaleContinueduVald'Oise AgrémentFMC100 039 ASSOCIATIONAMICALED ENSEIGNEMENTPOSTUNIVERSITAIREDELARÉGIONDEMONTMORENCY Siègesocial:1rueJeanMoulin95160Montmorency Secrétariat:16,ruedelaFerme95460Ézanville
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailActualité sur les nouveaux anticoagulants oraux
Actualité sur les nouveaux anticoagulants oraux Jacqueline Conard Hématologie Biologique Hôtel-Dieu-Cochin, Paris Pourquoi rechercher de nouveaux Anticoagulants oraux? HNF HBPM AVK Voie IV ou SC IV ou
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailAprès la prévention veineuse
Les nouveaux anticoagulants oraux s attaquent à l embolie pulmonaire Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux vont transformer la prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse, que ce soit
Plus en détailExplora(on de l hémostase
Les Hôpitaux Universitaires de STRASBOURG Explora(on de l hémostase Xavier DELABRANCHE, MD Service de Réanima(on Médicale Nouvel Hôpital Civil Les Hôpitaux Universitaires de STRASBOURG Physiologie Anticoagulants
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailLes NOACs en situation de crise
Les NOACs en situation de crise Vanderhofstadt Quentin Stagiaire en médecine interne (CHHF) Février 2013 Supervision : Dr Guillen 1 Les NOACs en situation de crise Pourquoi un staff à ce sujet R/ de plus
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailIntravenous and oral anticoagulants Mechanisms of action
Intravenous and oral anticoagulants Mechanisms of action Grigoris T Gerotziafas Groupe de Thrombose Equipe de recherche ER2UPMC Interactions cellulaires tumorales et leur environnement et réponses aux
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailMédecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse. Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010
Médecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010 Situation clinique : «prévention de la MTEV» Femme, 72 ans, poids = 87 kg, taille = 1,56
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques
Nouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques PY Cordier Service de Réanimation HIA Laveran - Marseille Février 2014 Introduction Anticoagulants oraux : historique Antivitamines K
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailAVK AVEC ASSISTANCE! ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase
ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase Pr. I. Elalamy Service d Hématologie Biologique Hôpital Tenon ER2 UPMC Paris Clot progression driven by blood borne hypercoagulability
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailVERGRIETE Laurence/ les médicaments de l'hémostase. PGI2 cellule endothéliale, effet VD et antiagrégante Protéine C plasmatique L antithrombine III
1 2 Hémostase primaire : Réaction vasculaire: vasoconstriction Réaction plaquettaire: Adhésion plaquettaire Sécrétion plaquettaire Agrégation plaquettaire Hémostase secondaire = coagulation Voie intrinsèque
Plus en détailRAPPORT GLOBAL DEFINITIF MONITORING THERAPEUTIQUE ENQUETE 2014/1
EXPERTISE, PRESTATIONS DE SERVICE ET RELATIONS CLIENTS QUALITE DES LABORATOIRES MEDICAUX COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS EVALUATION EXTERNE DE LA QUALITE DES ANALYSES EN BIOLOGIE CLINIQUE
Plus en détailDabigatran, rivaroxaban et apixaban: le point sur les nouveaux anticoagulants oraux
, rivaroxaban et apixaban: le point sur les nouveaux anticoagulants oraux Damian Ratano a, Philippe Beuret a, Sébastien Dunner b, Alain Rossier b, Marc Uhlmann b, Gérard Vogel b, Nicolas Garin b Quintessence
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailLes anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes
Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? NACO: Contraction de «Narcissistes compacts» Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les Nacos ne boivent pas d alcool
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailTABLE DES MATIERES COMITE D'EXPERTS IMMUNOESSAIS / CHIMIE / TDM... 3 TABLE DE CONVERSION IMMUNOESSAIS... 4 INTRODUCTION... 5
INSTITUT SCIENTIFIQUE DE SANTE PUBLIQUE SERVICE QUALITE DES LABORATOIRES MEDICAUX & COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL EVALUATION EXTERNE DE LA QUALITE DES ANALYSES EN BIOLOGIE
Plus en détailAntiagrégants plaquettaires Anticoagulants
Antiagrégants plaquettaires Anticoagulants Céline Moch Docteur en pharmacie Cours infirmier 30 octobre 2012 Epidémiologie En 2011, environ 4% de la population française affiliée au régime général de la
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailAspects pratiques du traitement de la MTEV
JFA Aspects pratiques du traitement de la MTEV 1 er février 2013 Isabelle Mahé Hôpital Louis Mourier Médecine Interne APHP, Université Paris 7 Conflits d intérêt Conseil en développement Daiichi Sankyo,
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailNouveaux AntiCoagulants par Voie Orale. Dr. François PAPON 27 juin 2013
Nouveaux AntiCoagulants par Voie Orale Dr. François PAPON 27 juin 2013 Limites des traitements anticoagulants standards «Nécessité» nouveaux anticoagulants Objectif; se rapprocher de l antithrombotiqueidéal
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailNouveaux anticoagulants Tests de Coagulation Antidotes. Indications sans recommandations
Nouveaux anticoagulants Tests de Coagulation Antidotes Indications sans recommandations Pr. I. Elalamy Service d Hématologie Biologique Hôpital Tenon ER2 UPMC Paris Conflits d intérêts Bayer HealthCare
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailAnticoagulation chez le sujet âgé cancéreux en traitement. PE Morange Lab.Hématologie Inserm U1062 CHU Timone Marseille
Anticoagulation chez le sujet âgé cancéreux en traitement PE Morange Lab.Hématologie Inserm U1062 CHU Timone Marseille Le cancer est un FDR établi de TV X 4.1 Heit JA Arch Int Med 2000 Délai diagnostic
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détaildabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente
dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente Gilles Pernod et Pierre Albaladejo, pour le Mise en garde Ce texte concerne la prise en charge des
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailRapport thématique. Les anticoagulants en France en 2012 : Etat des lieux et surveillance
Rapport thématique Les anticoagulants en France en 2012 : Etat des lieux et surveillance Juillet 2012 Messages essentiels Les anticoagulants sont associés à un risque hémorragique élevé. Ils représentent
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détail