ALR présumée coupable
|
|
- Florence Pinard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Médicolégal: ALR condamnée ALR présumée coupable Olivier Choquet CHU Montpellier
2 Trois constats Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier Accidents ALR montrés du doigt Médiatisation de drames (paraplégie ) Thème de congrès d anesthésie Littérature : cas cliniques - séries revues - lettres Ciblés par des Assureurs (GAMM, Branchet ) Deux thématiques complication médicolégal Sentiment d injustice des ALRistes : Poussés à pratiquer (bénéfices supériorité analgésie ) Allumés en cas de problème par l expert anti-alr
3 Le conflit pratiquant / expert Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier
4 Me condamner a posteriori, C est injuste! Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier L ALR est recommandée par la Sfar RFE douleur postopératoire RPC BNP J avais bien choisi technique rapport bénéfice risque qualité d analgésie C est (aussi peut être ) à cause de la chirurgie, du terrain, le garrot, de l installation Le patient était d accord! Il a reçu le document de la Sfar et signé C est une complication rarissime Je voulais pas l effrayer avec un catalogue
5 Menu Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier L ALR donne-t-elle tant de complications? L ALR donne-t-elle tant de plaintes? Comment fonctionne l expert? Comment éviter les ennuis?
6 RACHI APD dont analgésies obstétricales 127 complications dont 33 HIRC, 32 syndrome de la queue de cheval, 29 méningites, 13 abcès épiduraux, 20 divers 85 atteintes neurologiques permanentes Incidence des complications après RACHI 1: Péridurale obstétricale 1: Péridurale non obstétricale 1:3 600 HIRC en obstétrique 1: HRIC Femme et PTG 1:3 600 En 10 ans Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier
7 L ALR donne-t-elle tant de complications? Arrêt cardiaque après rachi 5: Lésions neurologiques transitoires après RA / APD 2-4: BIS 300: B axillary 150: B femoral 30: Lésions neurologiques permanentes après RA / APD 0-4: BNP ~ 0 Les complications sévères sont rares Brull Anesth Analg Auroy Anesthesiology 2002
8 Risque tout Çà n arrive (pas) qu aux autres? ou Poule mouillée L ALR donne-t-elle tant de plaintes?
9 Quel est le risque de plainte après ALR? The ASA Closed Claims Project database consisted of closed malpractice claims retrieved from 35 insurance organizations that insured approximately anesthesiologists Of the total database, 67% (3.180) of the claims are associated with general anesthesia and 24%(1.133) are associated with the use of regional anesthesia. Of claims where the injuries occurred in the 1990s, death occurred in 25% of those associated with general anesthesia and 10% of those associated with regional anesthesia. Focusing on claims where the injury occurred in the 1990s, claims associated with regional anesthesia are more likely to be of a lower severity than those associated with general anesthesia Cheney, FW: High-Severity Injuries Associated with Regional Anesthesia in the 1990s. ASA Newsletter 65(6): 6-8, 2001 ALR = 1/4 des plaintes moins sévères / AG
10 Avec quelles techniques? 20 ans - USA Réclamations auprès de 35 compagnies d'assurance 5047 réclamations dont 360 chronique et douleur postopératoire (exclues) 131 obstétrique mais uniquement l'enfant (exclues) 20% (1005) concernent l'alr Dont 80 % (821) atteintes centrales 368 obs et 453 hors obstétrique 5 % (48) atteintes oculaires 10 % (134) blocs périphériques ALR anesthésiques = 20% des plaintes aux USA Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier
11 Réclamations en France au (GAMM) total Anesth plaintes Intubation (dents) AG (décès) POST OP POSITION ALR RA APD BNP ophtalmo ALR = 11 % des réclamations Augmentation des plaintes après BNP Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier
12 Rapports du GAMM 9 ans : sociétaires 225 déclarations par an (sinistralité environ 5 %) 20n par an concernent ALR = 11 % 30% péridurale (2/3 en obstétrique) 30% rachianesthésie arrêt card, paraplégie, abcès, méningite 30% blocs périphériques neuropathie+++, convulsion, PNO, position combinaison AG + ALR ++ 10% perforations oculaires / péribulb
13 Des «GRANDS CLASSIQUES» arrêt cardiaque sous rachianesthésie hématome intra rachidien compressif irradiation radiculaire transitoire syndrome de la queue de cheval syndrome de loges de jambe masqué par APD ou PNP méningite bactérienne à germes de la flore fécale ou ororpharyngée abcès péridural chez des patients à risque infectieux bloc lombaire : extension péridurale, diffusion intrathécale, toxicité systémique hématome sous dural intracrânien après ponction lombaire perforation du globe oculaire et myopie forte
14 Des complications émergentes et sous estimées Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier Pneumothorax après bloc infraclaviculaire Diffusion centrale après BIS par voie postérieure Infection après cathéters périnerveux Atteintes positionnelles sous ALR : nerf ulnaire au coude fibulaire commun au col de la fibula escarre au talon Erreurs de côté Erreurs de médicament Déficits nerveux après bloc profond persistant Blocs échoguidés (neuropathie, PNO, convulsion) Lésions nerveuses après bloc nerveux périphérique
15 Le chapitre 1 est clos : La complication de l ALR existe Un pratiquant aura une plainte dans sa carrière Ouvrons le chapitre 2 : Comment fonctionne l expert? Le juge suit l expert!
16 L Expert a beaucoup de devoirs! Doit Convoquer la victime Doit reconstituer l'historique Doit décrire les dommages Doit répondre à des questions précises Imputabilité et état antérieur Incapacité temporaire Arrêt de travail - reprise d'activité Consolidation médico-légale Incapacité permanente partielle Quantum doloris Préjudice esthétique C'est la mission
17 L expert doit répondre à Deux questions fondamentales : Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier Dire si la relation de cause à effet entre l accident et l événement médicochirurgical est directe et certaine? Critères d'imputabilité +++ Critères d'imputabilité +++ Réalité du traumatisme et ses caractéristiques Vraisemblance scientifique Certitude du diagnostic Intégrité préalable : état antérieur Concordance de siège Délai d'apparition Continuité évolutive
18 Et trouver un (au moins) responsable pour indemniser! Dire si ces soins ont été conformes aux données acquises de la science et aux obligations déontologiques en comparaison au standard représenté par le niveau moyen de connaissance et de bonne pratique de l anesthésiste réanimateur à l époque des faits ou si, au contraire, il y a eu erreur, négligence ou faute susceptible d'engager la responsabilité des praticiens et à quel niveau : Information Diagnostic - Choix thérapeutique - Geste médical - Surveillance (Ou conclure à un aléa : tout a été bien fait!)
19 Principaux manquements retenus par les experts et les juristes 1/3 l information sur les risques 1/3 le Rapport bénéfice risque défavorable 1/3 la technique "C est là que le bât blesse"
20 Principaux manquements retenus par les experts et les juristes Défaut d information sur les risques de l ALR 1/3 information du patient absente ou erronée absence ou insuffisance d information sur les risques particuliers absence de consentement éclairé consentement tardif sur la table d opération, après prémédication défaut d information sur les alternatives à l ALR technique imposée sans alternative Rapport bénéfice risque défavorable 1/3 prise de risque injustifié (alternative moins risquée) choix thérapeutique inadapté à l issue de la consultation désaccord entre anesthésiste consultant et anesthésiste pratiquant (substitution d une technique par une autre) sous évaluation du risque de lié à la réalisation de l ALR
21 Principaux manquements retenus par les experts et les juristes Réalisation technique non respect des contre indications non respect des recommandations (anticoagulants, ponctions multiple ) non respect des règles de sécurité lors de la réalisation de l ALR délégation de la technique à l'iade ou à un médecin en formation manque d expérience de l ALR manque de recul d une technique innovante Surveillance postopératoire surveillance défectueuse, retard de diagnostic de la complication Suivi en cas de problème Suivi en cas de problème mauvaise relation patient anesthésiste (suivi insuffisant, impression de fuite, d abandon)
22 Dernier chapitre : Comment éviter les ennuis? Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier Être un anesthésiste moyen! pratiquer selon de l'état de la science appliquer la réglementation adopter les recommandations et référentiels maintenir un niveau adéquat de connaissance Être très prudent! Respecter les contre indications Se méfier des techniques émergentes Devant un cas délicat : forum ALRF - SOS ALR Ponctionner à distance du geste et du garrot Soigner la technique - Surveiller pendant et après
23 Attention aux des facteurs de risques associés Risque d HIRC (ASRA 1998) APD RA Pas de FDR 1: : brèche vasc 1: : Aspirine 1: : HBPM 1: : HNF démarrée après atraumatique 1: : brèche vasc 1: :3.000 Les problèmes arrivent quand on (fait)prend(re) des risques (au patient)
24 Comment éviter les ennuis? Olivier Choquet 2009 SAR - Hôpital Lapeyronie CHU de Montpellier Être circonspect concernant l information Peser le rapport risque bénéfice / Choix du geste Informer précisément Proposer les alternatives Garder une trace écrite de cette information En cas de problème Soigner les documents écrits Garder un double faire un mémo Accompagner le patient Ne pas mentir travestir Se faire assister (médecin conseil compétent )
25 Moi, je vous endort la jambe Lui, c est éventuellement pour le petit complément!
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailSTAFF ALR. 21 février 2013
STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailNACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles
NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Savoir gérer la balance des risques? d un patient sous NACO et/ou AAP du chirurgien de
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détail«La Revue de presse»
«La Revue de presse» Nerf Sciatique du rat Prochaine biblio INTERNE! Anesth Analg. 2010 Nov;111(5):1308-15. STAFF ALR Nord ALR Anticoagulants et Antiagrégants plaquettaires Guidelines Regional
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailPEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN
PEUT-ON PRESCRIRE HORS AMM 17 PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN P. Albaladejo, B. Caillet, Département d Anesthésie-Réanimation de Bicêtre Hôpital de Bicêtre, 78, rue du Gal Leclerc,
Plus en détailDate de l événement d origine Date de récidive, rechute ou aggravation. Date d expiration. Date de la visite. Membre supérieur Membre inférieur
N o d assurance maladie ATTESTATION MÉDICALE Code RAMQ 09926 Prénom et nom à la naissance Date de naissance Année Mois Jour Sexe Année Mois Date d expiration Init. Nom du médecin N o de permis N o de groupe
Plus en détailLA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014
LA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014 Assurance des praticiens Un praticien peut être amené à répondre de ses actes (ou omissions) à un triple niveau selon l objectif
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLa responsabilité juridique des infirmiers. Carine GRUDET Juriste
La responsabilité juridique des infirmiers Carine GRUDET Juriste Introduction Dans notre société civile, la responsabilité est un principe juridique selon lequel chacun doit répondre des conséquences de
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailAnesthésie locorégionale et anticoagulants : nouvelle approche
Anesthésie locorégionale et anticoagulants : nouvelle approche N. ROSENCHER, L. BELLAMY Toutes les recommandations sur l association de l anesthésie médullaire avec les anticoagulants reposent actuellement
Plus en détailNOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES. ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon
NOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon Fondaparinux AT Traitement anjcoagulant NACO disponibles P. Albaladejo, SFAR 2012 NACO chirurgie
Plus en détailTHEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL
THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La
Plus en détailResponsabilité professionnelle des Infirmiers
Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT
Plus en détailACCIDENTS DE L ANESTHÉSIE LOCORÉGIONALE EN OBSTÉTRIQUE
ACCIDENTS DE L ANESTHÉSIE LOCORÉGIONALE EN OBSTÉTRIQUE C. Ecoffey, D. Milon Service d Anesthésie-Réanimation Chirurgicale 2, Hôpital Pontchaillou, 35033 Rennes Cedex 9 E.mail : cecoffey.rennes@invivo.edu
Plus en détailOpération de la hernie discale. Des réponses à vos questions
Opération de la hernie discale Des réponses à vos questions Introduction Quel objectif? Cette brochure résume les informations reçues lors de l entretien que vous avez eu avec le neurochirurgien concernant
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailPANORAMA. Chiffres 2012. Édition 2013. Notre engagement, c est vous. LES SINISTRES EN RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE
Chiffres 2012 PANORAMA Édition 2013 LES SINISTRES EN RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE LES DÉCISIONS DE JUSTICE ET AVIS CCI L ACTUALITÉ DE LA PROTECTION JURIDIQUE Notre engagement, c est vous. Médecins,
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailLES DROITS DE L ENFANT
LES DROITS DE L ENFANT Maître Viviane SCHMITZBERGER HOFFER Avocat, Ancien Bâtonnier du Barreau de METZ Colloque du 11 octobre 2013 Syndrome du bébé secoué au Ministère de la Santé Mise en garde Article
Plus en détailSinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Responsabilité Civile Professionnelle > Anesthésie
2011 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Responsabilité Civile Professionnelle > Anesthésie Anesthésie locorégionale (27) Péridurale et rachianesthésie (11) Accouchement (3) Non prise
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailModalités d évaluation en Simulation
Modalités d évaluation en Simulation Définition de l évaluation n Evaluation en pédagogie = «analyse systémique de la qualité de l enseignement et de l apprentissage» (Mac Dougall 2010) Le cercle vertueux
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailManagement des risques
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES Management des risques acteurs de la santé, du social et du médico-social «Enfin un assureur qui m accompagne dans la gestion des risques» Édito La mission de Sham
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détailNACO - An(plaque/aires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles
NACO - An(plaque/aires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Comment gérer la balance des risques? d un pa(ent sous NACO et/ou AAP, du chirurgien de l
Plus en détailErreur médicale au cabinet
Plan Erreur médicale au cabinet Prof. Philippe Ducor Médecine communautaire 13 avril 2011 1. Evolution récente en Suisse dérive à l américaine? 2. Aspects juridiques 3. Aspects psychologiques 4. Apects
Plus en détailINFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE
SERVICE D ANESTHÉSIE HOPITAL SIMONE VEIL INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE Ce document, élaboré par la Société française d anesthésie et de réanimation (Sfar), est destiné à vous informer sur l anesthésie.
Plus en détailLa douleur induite par les soins
Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne
Plus en détailCONCLUSIONS DU RAPPORT D ENQUÊTE SUR L ASSURANCE DE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE
Inspection générale des finances Inspection générale des affaires sociales CONCLUSIONS DU RAPPORT D ENQUÊTE SUR L ASSURANCE DE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE Établi par Agnès JEANNET Inspectrice Générale
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLa responsabilité des infirmiers et des établissements de santé
La responsabilité des infirmiers et des établissements de santé I. Généralités Notion de responsabilité : Seules les personnes sont juridiquement responsables : o Personnes physiques (particuliers, professionnels)
Plus en détailLES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1
LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailGestion des erreurs. Introduction :
Gestion des erreurs N 5. La gestion des erreurs et des plaintes ; l'aléa thérapeutique Préciser les différents temps successifs d'une démarche permettant une culture positive de l'erreur : analyse des
Plus en détailRESPONSABILITE MEDICALE
Item n 10 - Responsabilités médicale pénale, civile, administrative et disciplinaire. Module1 - Apprentissage de l'exercice médical Sous-module : Médecine légale et droit de la santé Objectifs : - Différencier
Plus en détailProtection Familiale Intégr@le C est arrivé à vos clients Exemples d interventions menées par AXA Janvier 2013
Protection Familiale Intégr@le C est arrivé à vos clients Exemples d interventions menées par AXA Janvier 2013 Cas de litiges rencontrés sur Internet @ Utilisation frauduleuse des moyens de paiement Fraude
Plus en détailRC Professionnelle. Comment vous protéger en tant que médecin?
RC Professionnelle Comment vous protéger en tant que médecin? Protectas SA FSMA 16896A www.protectas.be TVA: BE0423.039.170 Votre responsabilité en tant que médecin Principe Si on est responsable, on doit
Plus en détailZut, une brèche A propos du blood patch
Zut, une brèche A propos du blood patch IHA Beaucreux Charlotte - Dr Bocquet-Le Cinq Agnès Hôpital Antoine Béclère 18.06.2015 A propos d un cas Mme H., 17 ans, primipare Interruption médicale de grossesse
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailDominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX
Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive
Plus en détailNOTIONS DE RESPONSABILITE
NOTIONS DE RESPONSABILITE De par ses prérogatives et ses fonctions, l encadrant a des responsabilités et des obligations. En cas de problème, il peut voir sa responsabilité engagée. QUAND? Souvent à l
Plus en détailComplications oculaires associées à l anesthésie générale
51 e Congrès national d anesthésie et de réanimation. Médecins. Conférences d actualisation. 2009 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Complications oculaires associées à l anesthésie générale M.
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailLA RESPONSABILITE DU MEDECIN DU SPORT. par le Dr. Marc LEWINSKI EXPERTISES MEDICALES 5bis, rue ANTOINE CHANTIN 75014 PARIS
LA RESPONSABILITE DU MEDECIN DU SPORT par le Dr. Marc LEWINSKI EXPERTISES MEDICALES 5bis, rue ANTOINE CHANTIN 75014 PARIS INTRODUCTION la responsabilité médicale,c est l obligation morale ou juridique
Plus en détailLes responsabilités à l hôpital
Les responsabilités à l hôpital Pour aller à l essentiel Dans leurs activités de prévention de diagnostic et de soins, les établissements publics de santé et les personnels qui y exercent relèvent principalement
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL A compléter du questionnaire spécifique correspondant à votre spécialité, joint en annexe Contrat en cours : / - date de fin du contrat :
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPRATIQUE PROFESSIONNELLE : C. C. A. M., RESPONSABILITE, INFORMATION*
SEANCE PLENIERE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : C. C. A. M., RESPONSABILITE, INFORMATION* COUDANE Henry 1, LANDREAU Philippe 2, CLAUDOT Frédérique 3, GEORGE Thierry 4, MICHEL Blaise 5 et Société Française d
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailRéparation du préjudice corporel en Algérie
Réparation du préjudice corporel en Algérie Communication en deux parties: 1. Le cadre institutionnel 2. L expertise médicale Première partie Le cadre institutionnel Introduction 1. La réparation du préjudice
Plus en détailPANORAMA DES RISQUES PROFESSIONNELS EN SANTÉ ÉDITION 2014 SYNTHÈSE. Notre engagement, c est vous. CHIFFRES 2013
CHIFFRES 2013 SYNTHÈSE PANORAMA DES RISQUES PROFESSIONNELS EN SANTÉ ÉDITION 2014 LES RISQUES DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LES DÉCISIONS DE JUSTICE ET AVIS CCI LA PROTECTION JURIDIQUE DES PROFESSIONNELS
Plus en détailQuestion 5 Difficult airway algorithms and management Question 5
Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Annales Françaises d Anesthésie et de Réanimation 27 (2008) 41 45 Conférence d experts Stratégies et algorithmes de prise en charge d une difficulté de contrôle
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailComment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?
Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCéphalée post-rachis: Mythes et Réalités. Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ
Céphalée post-rachis: Mythes et Réalités Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ Objectifs Connaître mécanisme et les moyens de prévenir la CPPD Connaitre les différents traitements existants Devenir l expert en CPPD
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailassurances médicales depuis 1944 AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944
AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944 entreprise d assurance mutuelle agréée par l Office de Contrôle des Assurances sous le code 0126 (A.R. 04 et 13.07.1979 M.B. 14.07.1979)
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailcursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage
cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation
Plus en détailAspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence
Aspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence 1 Gilles Orliaguet 1 Nadège Salvi 1 1 Hôpital Necker Enfants Malades. Assistance Publique Hôpitaux de Paris. Université Paris Descartes.
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailPROGRAMME RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES MEMBRES DU SNJV. Conseils & Risques Financiers 22 février 2010 1
PROGRAMME RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES MEMBRES DU SNJV Conseils & Risques Financiers 22 février 2010 1 METHODOLOGIE Notre position de courtier spécialisé sur les risques encourus par
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détail