Dossier de presse. Dépistage du cancer du col de l utérus : zoom sur une démarche novatrice en Gironde. Jeudi 21 juin 2012

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1 Dossier de presse Jeudi 21 juin 2012 Dépistage du cancer du col de l utérus : zoom sur une démarche novatrice en Gironde Contacts presse : Véronique Conchez : / veronique.conchez@cpam-bordeaux.cnamts.fr Cécile Le Cocq : / cecile.lecocq@cpam-bordeaux.cnamts.fr 1/11

2 Communiqué de presse 21 juin 2012 Dépistage du cancer du col de l utérus : zoom sur une démarche novatrice en Gironde Le cancer du col de l utérus provoque chaque année environ 900 décès en France, dont 80 en Aquitaine. Près d 1/3 des femmes atteintes d un cancer du col de l utérus meurent en raison d un diagnostic trop tardif. Or, il est possible d agir très précocement face à ce cancer et d éviter ces décès à condition de le dépister. Le dépistage par Frottis Cervico-Utérin (FCU) permet, en effet, de détecter des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l utérus et de pouvoir ainsi mieux soigner ce cancer, voire de prévenir son apparition. Il suffirait de respecter la recommandation de la Haute Autorité de Santé (HAS) : 1 frottis tous les 3 ans chez toutes les femmes de 25 à 65 ans, vaccinées ou non, après 2 frottis normaux réalisés à 1 an d intervalle. Aujourd hui, le principal facteur de risque de décès par cancer du col de l utérus est l absence de pratique de frottis. En Aquitaine, la couverture de dépistage de la population concernée augmente mais reste encore insuffisante : chez près de 40 % des femmes, les frottis ne sont pas pratiqués, ou ne le sont pas régulièrement. Il faudrait atteindre un taux de dépistage de 80%, mais aussi parvenir à une meilleure répartition géographique de la pratique des frottis. Or, sur certains territoires girondins, cette pratique reste trop peu développée, et, chez certaines femmes, elle est soit inexistante, soit trop fréquente. L Union Régionale des Professionnels de Santé - médecins libéraux d Aquitaine et la Cpam de la Gironde ont collaboré pour promouvoir le dépistage du cancer du col de l utérus, avec le concours du Réseau de cancérologie d Aquitaine et celui du Collège de gynécologie du Sud-Ouest. Ce partenariat a permis à l Union Régionale de répondre à l appel d offres de l Institut National du Cancer (INCa) sur la recherche dans la prévention et le dépistage des cancers, et de proposer un projet, validé et subventionné par cet institut. Concrètement, cette campagne de sensibilisation menée, entre 2008 et 2010, auprès des médecins généralistes, maillons essentiels du dépistage, a permis : d atteindre un taux de dépistage de 62,6 % chez les Girondines âgées de 25 à 65 ans, d augmenter la pratique du dépistage chez les jeunes femmes de ans de + de 6 points (soit 46,7 % au lieu de 40,7% précédemment). 2/11

3 SOMMAIRE I. Le cancer du col de l utérus : les moyens pour agir 4 A. Virus HPV, prévention et dépistage B. Le dépistage pour agir précocement C. La vaccination préventive contre les HPV II. La promotion du dépistage: une action inédite en Gironde A. Médecins généralistes : au cœur de la campagne B. Mise en place d une démarche innovante en Gironde C. Premiers résultats encourageants en Gironde D. Une action renouvelée et étendue au niveau national 8 3/11

4 I. Le cancer du col de l utérus : les moyens pour agir Le cancer du col de l utérus : en chiffres En France, nouveaux cas de cancer du col de l utérus sont détectés par an. Ce cancer provoque annuellement 900 décès, surtout chez des femmes jeunes, de 40 ans environ. En France, années de vie sont ainsi perdues par an. A. Virus HPV, prévention et dépistage Les papillomavirus humains (HPV - Human Papillomavirus) constituent la cause principale des cancers du col de l utérus. Les virus les plus fréquemment rencontrés sont les HPV de types 16 et 18, présents dans plus de 70 % des cas de cancer invasif du col utérin en France. Ces HPV sont également associés à certains cancers du canal anal, de la vulve, du vagin et certains cancers ORL. Les femmes sexuellement actives sont susceptibles d être infectées par un ou plusieurs HPV à un moment ou à un autre de leur vie, le plus souvent dès le début de leur vie sexuelle. La prévalence de l infection est élevée avant 30 ans et diminue ensuite progressivement avec l âge. La majorité des femmes exposées aux HPV développe une immunité suffisante pour éliminer le virus. Cependant, celui-ci persiste chez certaines femmes et cette persistance peut conduire au développement d une lésion précancéreuse. L évolution vers un cancer invasif du col utérin met en moyenne une quinzaine d années à se produire, laissant donc une fenêtre d action importante pour pouvoir détecter précocement les lésions précancéreuses et cancéreuses du col. Il existe aujourd hui deux moyens pour agir face au cancer du col de l utérus : - le dépistage par frottis cervico-utérin, proposé tous les trois ans aux femmes de 25 à 65 ans - la vaccination préventive destinée aux jeunes filles de 14 ans et en rattrapage aux jeunes filles et jeunes femmes de 15 à 23 ans dans l année suivant le début de la vie sexuelle. 4/11

5 B. Le dépistage pour agir précocement 1. le frottis cervico-utérin : quand, comment et où le réaliser? Du fait de son évolution lente et de l existence de nombreuses lésions précancéreuses curables, le cancer du col de l utérus peut être dépisté à un stade précoce et même prévenu par la détection de ces lésions précancéreuses. Le dépistage du cancer du col de l utérus repose actuellement sur un test cytologique : le frottis cervico-utérin (FCU), recommandé par la Haute Autorité de Santé (HAS) chez les femmes de 25 à 65 ans tous les trois ans après deux frottis normaux effectués à un an d intervalle. Ce dépistage s effectue généralement sur proposition du médecin traitant, du gynécologue ou de la sage femme 1. Au cours d un examen gynécologique, après mise en place d un spéculum, le médecin traitant, le gynécologue ou la sage-femme prélève des cellules sur le col de l utérus au fond du vagin, à l aide d une petite brosse ou d une spatule. Le prélèvement est ensuite adressé à un médecin spécialiste, l anatomocyto-pathologiste, pour lecture et interprétation. Le frottis est pris en charge par l Assurance maladie à hauteur de 70 % (hors dépassement d honoraires et remboursement des organismes complémentaires). Le dépistage du cancer du col de l utérus peut être également réalisé dans un certain nombre de structures de soins (établissements hospitaliers, centres de santé, laboratoires d analyses avec une prescription médicale...) ou de prévention (centres d examens de santé dans le cadre du bilan de santé, centres de planification...). En cas de test positif, des examens complémentaires sont réalisés afin de déterminer la nature de l anomalie. Par ailleurs, en cas de symptômes (saignements inexpliqués...) entre deux frottis, il est important de consulter son médecin. 1 La loi HPST (Hôpital, Patients, Santé et Territoire) du 21 juillet 2009 a élargi le champ de compétence des sages-femmes : consultation de contraception avec la possibilité de prescription de contraceptifs tout au long de la vie sexuelle, suivi gynécologique de prévention et notamment dépistage du cancer du col de l utérus. Cette extension du rôle de la sage-femme va ainsi permettre d augmenter l offre de soins en termes de frottis. 5/11

6 2. Le dépistage individuel et ses limites La pratique de dépistage individuel du cancer du col de l utérus est bien implantée en France. Le taux global de couverture des femmes de ans par le frottis cervico-utérin est estimé, sur la période , à 57,4 % 2. Toutefois, plusieurs freins au dépistage du cancer du col de l utérus peuvent être identifiés : - l âge : le taux de couverture moyen des ans par le frottis est estimé à 57,4 %, avec un pic à 65,3 % chez les femmes âgées de 35 à 44 ans. Ce taux diminue, en revanche, très sensiblement avec 46 % au-delà de 55 ans. - le niveau socio-économique : le Baromètre cancer identifie plusieurs caractéristiques d ordre socio-économique liées à la pratique du frottis, notamment le fait d avoir un niveau d études supérieur ou égal au baccalauréat, une activité professionnelle ou de bénéficier d une mutuelle de santé complémentaire. - le suivi par un gynécologue est un élément déterminant de la pratique de frottis. Selon le Baromètre cancer 2005, 88 % des femmes déclarant s être fait dépister ont indiqué avoir effectué cet acte chez le gynécologue (88 %) et dans le cadre d un suivi régulier (87 %). C. La vaccination préventive contre les HPV Deuxième moyen d agir face au cancer du col de l utérus : la vaccination préventive contre certains types d HPV. Un mode d action d autant plus important que la prévention de la transmission des virus HPV est difficile. Le virus étant présent sur l ensemble de la zone anogénitale, l utilisation du préservatif n est que partiellement efficace. Ces vaccins préventifs, pour être pleinement efficaces, doivent être administrés avant les premiers contacts avec les virus, soit avant le début de vie sexuelle. Les deux vaccins existants ont obtenu leur autorisation de mise sur le marché à environ un an d intervalle, le 29 septembre 2006 pour le quadrivalent et le 20 septembre 2007 pour le bivalent 4. La vaccination a fait l objet d une recommandation conjointe du Comité technique de vaccinations et du Conseil supérieur d hygiène publique de France (avis du 9 mars 2007). Population ciblée par cette vaccination : - jeunes filles de 14 ans avant l exposition au risque de l infection HPV, - jeunes filles et jeunes femmes de 15 à 23 ans (population de rattrapage) qui n auraient pas eu de rapports sexuels ou, au plus tard, dans l année suivant le début de la vie sexuelle. 2 Échantillon permanent inter-régimes des bénéficiaires de la Caisse nationale d Assurance Maladie des travailleurs salariés (Epib-CNAMTS). 3 Guilbert P., Peretti-Watel P., Beck F., Gautier A. (dir.). Baromètre cancer 2005, INPES Paris Dans son avis complémentaire du 14 décembre 2007, le Haut Conseil de la Santé Publique recommande préférentiellement le vaccin quadrivalent. * Estimation des couvertures vaccinales en secteur libéral à travers l échantillon généraliste des bénéficiaires. InVS-CNAMTS. Février 2010 (échantillon représentatif des bénéficiaires du régime général de l Assurance maladie). Étude menée sur la période juillet juillet /11

7 Le schéma de vaccination comporte trois injections quel que soit le vaccin utilisé. Ces trois injections sont indispensables pour que le vaccin soit efficace. Les travaux menés auprès de cohortes de jeunes femmes vaccinées montrent, que la protection est maintenue si le schéma initial a bien été respecté. Il n est donc pas recommandé de rappel ultérieur à ce jour. La dose de vaccin coûte environ 130 euros, elle est prise en charge par l Assurance maladie à hauteur de 65 % (hors remboursement des organismes complémentaires). Les vaccins actuellement mis sur le marché ne protègent pas contre l ensemble des virus HPV à l origine du cancer du col de l utérus. La vaccination constitue un réel progrès en matière de prévention du cancer du col mais elle ne doit cependant pas faire oublier la nécessité des frottis de dépistage dès l âge de 25 ans, même pour les jeunes femmes vaccinées. La couverture vaccinale L étude de l Institut de veille sanitaire (InVS) qui repose sur des données de remboursement fournies par l Assurance maladie*, permet d estimer la couverture vaccinale des jeunes filles âgées de 14 à 17 ans en 2008 : 38 % d entre elles avaient débuté leur vaccination (au moins une dose remboursée) ; 23 % étaient vaccinées (3 doses remboursées soit un schéma vaccinal complet). Le taux de couverture vaccinale varie ainsi de 15,4 % à 27,7 % selon les âges (27,7 % pour les jeunes filles de 16 ans). 7/11

8 II. La promotion du dépistage: une action inédite en Gironde A. Médecins généralistes : un rôle clé dans le dépistage Parce qu ils sont des acteurs essentiels du dépistage du cancer du col de l utérus, l Union Régionale des Professionnels de Santé - médecins libéraux d Aquitaine et la Caisse primaire de la Gironde ont décidé de mener une action de sensibilisation auprès des médecins généralistes libéraux de Gironde. En effet, en contact fréquent avec ses patientes, le médecin généraliste se doit de : >> Demander à sa patiente si un frottis a été pratiqué, et quand a été pratiqué le dernier >> Vérifier auprès de sa patiente la conformité de la pratique de l examen aux dernières recommandations de la Haute Autorité en Santé (HAS), et éventuellement le réaliser ou le prescrire >> Informer sa patiente de l intérêt du dépistage régulier >> Conseiller et orienter sa patiente pour faire réaliser le frottis, pour en expliquer et commenter les résultats, et indiquer la conduite adaptée à tenir en cas de résultat anormal >> Repérer parmi ses patientes les femmes isolées ou en situation de précarité, exclues plus que d autres du dépistage, et dont le suivi nécessite une vigilance accrue B. Mise en place d une démarche innovante en Gironde 1. Une démarche partenariale L Union Régionale des Professionnels de Santé - médecins libéraux d Aquitaine et la Cpam de la Gironde ont collaboré pour promouvoir le dépistage du cancer du col de l utérus, avec le concours du Réseau de cancérologie d Aquitaine et celui du Collège de gynécologie du Sud-Ouest. Ce partenariat a permis à l Union Régionale de répondre à l appel d offres de l Institut National du Cancer (INCa) sur la recherche dans la prévention et le dépistage des cancers, et de proposer un projet, validé et subventionné par cet institut. Objectif de ce projet : sensibiliser les médecins généralistes sur la nécessité d améliorer en Gironde la couverture par le dépistage individuel. 8/11

9 2. Une action en 3 temps des «profils individuels» pour mieux se situer Afin de permettre aux médecins généralistes de connaître le taux de dépistage du cancer du col de l utérus sur 3 ans chez leurs patientes âgées de 25 à 65 ans des «profils individuels» ont été élaborés à partir des données de l Assurance maladie. Dans ces «profils» ont été aussi indiqués les taux de dépistage chez leurs patientes de la classe d âge ans. Pour chaque médecin, le taux de dépistage a été calculé en prenant en compte tous les frottis réalisés chez leurs patientes, par eux-mêmes ou par un autre médecin libéral. Plus de médecins ont déjà reçu deux fois leur «profil individuel», avec une lettre explicative : - la première fois en septembre 2008, pour la période de novembre 2004 à octobre 2007, - la deuxième fois en décembre 2009, pour la période d octobre 2006 à septembre Les données de l Assurance maladie ont permis à chaque fois d identifier, en Gironde, les territoires où la pratique du dépistage est la moins répandue. Elles ont aussi permis de sensibiliser les médecins qui exercent dans ces territoires et/ou dont la patientèle bénéficie relativement moins d actions de dépistage. Des campagnes d appels téléphoniques Deux campagnes d appels téléphoniques ont été menées auprès de médecins généralistes exerçant dans les zones géographiques sous-dépistées : - la première en novembre décembre 2008 (356 médecins contactés), - la seconde novembre décembre 2009 (344 médecins contactés). Les partenaires de l action ont élaboré en commun un script d appel afin que les Délégués de l Assurance maladie de la Cpam, chargés de passer ces appels, délivrent des messages homogènes. Des informations délivrées sur le terrain grâce à la formation continue En janvier, février et mars 2010, 6 soirées de Formation Médicale Continue (FMC) ont été organisées à l attention de médecins. 36 d entre eux ont ainsi été formés avec l appui d un outil pédagogique spécifique. Objectif : les sensibiliser sur la nécessité du dépistage et les recommandations de bonnes pratiques récentes. 9/11

10 C. Premiers résultats encourageants en Gironde L efficacité de cette démarche, conçue pour rester simple et concrète, peut être mesurée facilement. 1. Taux de dépistage entre 2004 et 2011 : des évolutions devenues positives Période d étude 1 ère période Novembre 2004 octobre ème période Octobre 2006 septembre ème période Juillet juin 2011 Taux de dépistage des ans Taux de dépistage des ans 41,2% 62,2% 40,7% 60,4% 46,7% 62,6% Sur les trois périodes, les taux de dépistage sont restés supérieurs aux taux observés au plan national. Ainsi, sur les années 2006 à 2008, le taux de dépistage au plan national chez les femmes âgées de 25 à 65 ans est estimé à 56,6%. La baisse, enregistrée au cours de la 2 ème période, est concomitante à la diminution générale relevée, au plan local comme national, pour toutes les pratiques de prévention en santé. Elle peut également être due à un effet de conjoncture induit par la crise économique apparue à partir du début de l année Au cours de la 3 ème période ( ), pendant laquelle les différentes actions de sensibilisation ont été menées, la pratique du dépistage a connu une reprise significative, dépassant le niveau atteint au cours de la 1 ère période, soit 62,6%. Pourtant, les difficultés conjoncturelles ont persisté. La désaffection pour la pratique du dépistage semble enrayée. Il est permis de voir dans ce renversement de tendance les résultats de l action menée par l Union Régionale des Professionnels de Santé et la Cpam de la Gironde. Entre 2008 et 2011 : 62,6% des femmes âgées de 25 à 65 ans ont participé au dépistage 46,7% des ans. 10/11

11 2. Des pratiques de dépistage plus homogènes Sur la 1 ère période ( ) avait été constatée la faiblesse de la pratique du dépistage dans les cantons suivants : Haut Médoc, Haute Gironde, Blayais et Haut Entre-Deux-Mers et/ou dans les patientèles de 356 médecins girondins. L observation sur la 3 ème période ( ) montre un phénomène de «rattrapage», car la pratique du dépistage a progressé plus rapidement sur ces territoires que dans l ensemble du département, surtout dans certains cantons du Haut Entre-Deux-Mers (avec des hausses de 5,5 à 6,5 points). On observe aussi que: - dans les cantons de la CUB, la pratique du dépistage est maintenant supérieure à la pratique moyenne départementale, et se situe au niveau de cette moyenne dans les cantons de Bordeaux. - chez les 2/3 des 356 patientèles, où les frottis ont été le moins fréquemment réalisés sur la période de novembre 2004 à octobre 2007, la pratique du dépistage a connu une progression très nette (de 5 points en moyenne). Dans certaines de ces patientèles, cette progression a même été vraiment très forte (de 15 points). Par ailleurs, chez les jeunes femmes de ans, la progression de la pratique du dépistage est considérable entre la 2 ème et 3 ème période (+ 6 points). Ces résultats sont de nature à renforcer la détermination des partenaires de l action dans la poursuite de leur démarche. D. Une action renouvelée et étendue au niveau national Il est maintenant prévu de communiquer, tous les ans, à chaque médecin généraliste son «profil individuel» sur les trois années précédentes, de date à date. Ainsi, prochainement, et pour la troisième fois, chaque médecin généraliste va recevoir son «profil individuel» qui portera sur la période de juillet 2008 à juin Les partenaires de l action veulent en effet poursuivre leur démarche de motivation des médecins, innovante à l origine, et maintenant reprise au niveau national. En effet, dans le cadre de la Convention médicale, des profils seront désormais adressés tous les ans par la Caisse nationale Assurance maladie (CNAMTS) à chaque médecin généraliste de France dès le mois de juin Ces nouveaux profils seront plus proches de l activité réelle des praticiens car ils intégreront les frottis réalisés dans le secteur hospitalier, ce que l Union régionale des professionnels de santé - médecins libéraux d Aquitaine et la Cpam de la Gironde n avaient pu faire. 11/11

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