Boudon L'inégalité des chances

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Boudon L'inégalité des chances"

Transcription

1 Introduction Accroche : La massification scolaire des années , liée principalement à l'avancée en âge de la génération du baby-boom, ne va pas sans poser nombre de nouvelles problématiques inédites. S'opposant à l'approche «post-structuraliste» dominante en France à cette époque (Bourdieu, Passeron, 1970), Boudon tente d'analyser l'inégalité des chances de réussite scolaire en prenant en compte le niveau institutionnel, mais également en redonnant la parole aux acteurs, via son approche «actionniste».

2 Introduction Présentation : Sociologue français né le 27 janvier 1934 à Paris et mort le 10 avril 2013, Raymond Boudon est, avec Alain Touraine, Michel Crozier et Pierre Bourdieu, un des plus importants sociologues français de la deuxième moitié du XXe siècle. Il est le chef de file du courant de l'individualisme méthodologique dans la sociologie française. C'est par ce prisme qu'il va développer ses analyses sur l' «inégalité des chances» (Boudon, 1973). Le texte faisant l'objet du présent travail de commentaire critique constitue un chapitre, extrait d'un ouvrage plus récent, La sociologie comme science, paru en Il y effectue un retour sur l'ouvrage sus-mentionné, réaffirmant ce faisant la validité et la pertinence de sa démarche, près de quarante années plus tard.

3 Introduction Problématique : Nous chercherons, à travers notre écrit, à questionner la pertinence de l'analyse de Boudon, dans sa volonté d'articuler l'explication des déterminants institutionnels avec la compréhension des actions des individus. En d'autres termes, l'individualisme méthodologique permet-il une compréhension fine, à un niveau tant «macro», que «micro», des mécanismes responsables de l' «inégalité des chances»?

4 Introduction Plan Dans un premier temps, nous tâcherons de poser les bases de l'im, tel que dépeint par l'auteur dans le texte. Puis, nous verrons de quelle manière, par ce prisme, Boudon applique sa méthode d'analyse à l'inégalité des chances scolaires. Enfin, dans notre troisième partie, nous développerons une analyse critique de la démarche de l'auteur, tout en proposant une lecture plus récente et selon nous plus pertinente de l' «expérience scolaire», via des auteurs tels que F. Dubet et D. Martuccelli (1997). Nous montrerons ce faisant la portée heuristique de l'approche de ces auteurs, dans leur volonté d'articuler «micro» et «macro»

5 Première partie Deux étapes organiquement liées dans l'im : 1/ étape d explication : montrer que les phénomènes sociaux sont la résultante d une combinaison ou d une agrégation d actions individuelles ; 2/ étape de compréhension : à saisir le sens de ces actions individuelles, et plus précisément retrouver les bonnes raisons pour lesquelles les acteurs ont décidé de les effectuer.

6 Première partie Dépassement de l'analyse causale : Selon Boudon, «l'analyse causale n est pas toujours applicable puisqu elle nécessite de pouvoir recueillir des informations quantifiées et comparables. Mais surtout, son potentiel explicatif est très limité.» (Boudon, 2012)

7 Deuxième partie «L inégalité des chances scolaires est la différence de probabilité d accès aux différents niveaux d étude en fonction de l origine sociale. Pour le dire très simplement : un enfant de cadre supérieur a une probabilité beaucoup plus forte de parvenir à l université qu un enfant d ouvrier.» (Boudon, 2012)

8 Deuxième partie Premier effet d héritage culturel : élèves issus de milieu aisé ont de meilleurs résultats scolaires, en moyenne, que ceux issus de milieu pauvre. Réussite scolaire, en moyenne d autant meilleure que l origine sociale est plus élevée. Mais cet effet a tendance à s estomper au fur et à mesure que l on atteint les niveaux les plus avancés du cursus scolaire. Second effet de demande d'éducation : familles aisées demande d éducation plus forte, en moyenne, que familles pauvres à réussite scolaire égale, choix d une orientation vers études plus longues plus fréquent origine sociale élevée. + : plus résultats scolaires médiocres, plus l écart de demande est important entre les enfants issus des milieux favorisés et défavorisés.

9 Troisième partie Démarche de Boudon tend à restituer le sens de l'action aux individus. Deux niveaux de critique : - politique : peut-on faire reposer l'échec du système méritocratique intégralement sur des choix individuels? Aller vers plus d'évaluation, ne revientil pas à acter le plus de compétition? De même, les familles à plus fort capital culturel et social seront plus à même d'orienter leurs enfants de façon appropriée + les soutenir dans leurs choix. - scientifique : la démarche de Boudon tient-elle réellement compte de l'expérience vécue par des individus au sein d'une structure donnée? cf. Dubet + Martuccelli

10 Troisième partie «Les expériences lycéennes sont, elles aussi, fonction des origines des élèves et de leurs parcours. Les vrais lycéens encore proches des «héritiers», les bons, qui équilibrent au mieux vie scolaire et vie personnelle, les nouveaux, dont la faible qualification brise les rêves de promotion, les futurs ouvriers, oscillant entre salut et déchéance, développent leur travail d'acteurs dans un cadre socialement très défini. Réciproquement, leur situation, au sommet où à la base du système scolaire, les fait plus ou moins dépendants de sa logique interne ou de l'environnement culturel et social» (Dubet, Martuccelli, 1996).

11 Bibliographie Boudon R., L'inégalité des chances, Paris, Armand Colin, 1973 Boudon R., «L individualisme méthodologique», in Boudon R., Fillieule R., Les méthodes en sociologie, 13 e éd., Paris, Presses Universitaires de France «Que sais-je?», Bourdieu P., Passeron J.-C., La Reproduction. Éléments pour une théorie du système d'enseignement, éd. de Minuit, Paris, Dubet F., Martuccelli D. À l'école. Sociologie de l'expérience scolaire. Seuil, Paris, 1996.

Les notions d agent et d acteur en sociologie

Les notions d agent et d acteur en sociologie Les notions d agent et d acteur en sociologie Il nous était demandé d apporter quelques éléments sur la façon dont les sociologues utilisent les notions d agent et d acteur, et plus particulièrement sur

Plus en détail

L analyse économique est-elle transposable à l éducation?

L analyse économique est-elle transposable à l éducation? Est-il possible de procéder à une analyse économique du fonctionnement des systèmes éducatifs? Si oui, dans quels buts? Quel est l'objet de la science économique? «L économique (économie politique) recherche

Plus en détail

La veille d'information sur Internet

La veille d'information sur Internet 1 La veille d'information sur Internet Cours IV : I - Une introduction générale Peter Stockinger Séminaire de Maîtrise en Communication Interculturelle à l'institut National des Langues et Civilisations

Plus en détail

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1 UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés

Plus en détail

LES ETAPES D UNE RECHERCHE

LES ETAPES D UNE RECHERCHE LES ETAPES D UNE RECHERCHE D après Jean-Paul Jeannin - www.sosreseau.com Vue d ensemble 1) Poser les constats issus d observations empiriques et d un centre d intérêt 2) Choisir un objet d'étude 2 bis)

Plus en détail

MASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie

MASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie S3 Spécialité : Recherches en psychologie UE OBLIGATOIRES UE 1 : Epistémologie et méthodes de recherche en psychologie Ce séminaire aborde plusieurs aspects de la recherche en psychologie. Il présente

Plus en détail

Activités d'enseignement Années d'études 1 2 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3

Activités d'enseignement Années d'études 1 2 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3 Langues 6 Anglais des affaires 4 Néerlandais (ou allemand ou espagnol) 2 Droit 2 Environnement juridique européen

Plus en détail

Baccalauréat technologique

Baccalauréat technologique Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

UNE FORMATION POUR APPRENDRE À PRÉSENTER DES DONNÉES CHIFFRÉES : POUR QUI ET POURQUOI? Bénédicte Garnier & Elisabeth Morand

UNE FORMATION POUR APPRENDRE À PRÉSENTER DES DONNÉES CHIFFRÉES : POUR QUI ET POURQUOI? Bénédicte Garnier & Elisabeth Morand UNE FORMATION POUR APPRENDRE À PRÉSENTER DES DONNÉES CHIFFRÉES : POUR QUI ET POURQUOI? Bénédicte Garnier & Elisabeth Morand Service méthodes statistiques Institut National d Etudes Démographiques (Ined)

Plus en détail

le sociologue anglais Paul Willis ouvrait

le sociologue anglais Paul Willis ouvrait Les classes supérieures face aux incertitudes de leur reproduction le sociologue anglais Paul Willis ouvrait L école des ouvriers, son célèbre ouvrage de 1977 sur la reproduction des classes populaires,

Plus en détail

MASTER LPL : LANGUE ET INFORMATIQUE (P)

MASTER LPL : LANGUE ET INFORMATIQUE (P) MASTER LPL : LANGUE ET INFORMATIQUE (P) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme := Master Domaine : Arts, Lettres, Langues Mention : LITTERATURE, PHILOLOGIE, LINGUISTIQUE Spécialité : LANGUE ET INFORMATIQUE

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

note D2DPE n 38 Dynamique des qualifications et mobilité intergénérationnelle dans la région Nord Pas de Calais

note D2DPE n 38 Dynamique des qualifications et mobilité intergénérationnelle dans la région Nord Pas de Calais note D2DPE n 38 Dynamique des qualifications et mobilité intergénérationnelle dans la région Nord Pas de Calais RESUME Cette note résume les travaux de Nicolas Fleury, Docteur en Sciences Economiques

Plus en détail

MASTER Mention MEEF. «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE

MASTER Mention MEEF. «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE MASTER Mention MEEF «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE Nouveau master mis en place à compter de septembre 2013 pour les M1. Pour le

Plus en détail

Clermont-Ferrand, le 7 janvier 2013

Clermont-Ferrand, le 7 janvier 2013 Le Recteur d'académie à! "! #$%$ &! Messieurs les Présidents d'université, Madame et Monsieur les Directeurs de l'ifma, de l'école de Chimie, Monsieur le DRJS, Mesdames et Messieurs les DASEN, Messieurs

Plus en détail

Éléments de cadrage général (toutes UE et semestres confondus)

Éléments de cadrage général (toutes UE et semestres confondus) Année Universitaire 2014/2015 Master MEEF mention «premier degré» Guide technique des écrits/dossiers à produire dans le cadre des UE3 et UE4/UE5 Éléments de cadrage général (toutes UE et semestres confondus)

Plus en détail

MASTER EN MANAGEMENT DES ORGANISATIONS MASTER MADO

MASTER EN MANAGEMENT DES ORGANISATIONS MASTER MADO MASTER EN MANAGEMENT DES ORGANISATIONS MASTER MADO Diplôme délivré par l Université de Toulouse 2 Contacts : Gilbert de Terssac : detersac@univ-tlse2.fr Michel Catlla : catlla@univ-tlse2.fr Trinh Anh Tung

Plus en détail

IL LIT, IL NE LIT PAS, À QUI LA FAUTE?

IL LIT, IL NE LIT PAS, À QUI LA FAUTE? IL LIT, IL NE LIT PAS, À QUI LA FAUTE? Bernadette FROSTIN La fondation SIMON I. PATINO a organisé à GENÈVE, les 9 et 10 février 1984 un colloque international sur la promotion de la lecture sous les auspices

Plus en détail

Sur «l idéologie du don»

Sur «l idéologie du don» Note de recherche Gérard Mauger «comment enseigner Bourdieu aux élèves des milieux populaires?», s interrogent Clarisse Guiraud et Tiphaine Colin, professeurs de sciences économiques et sociales dans un

Plus en détail

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste

Plus en détail

Le diplôme universitaire de musicien intervenant. Le certificat d'aptitude aux fonctions de professeur de musique

Le diplôme universitaire de musicien intervenant. Le certificat d'aptitude aux fonctions de professeur de musique Sommaire Qu'est-ce que la VAE? Le diplôme d État de professeur de musique Le diplôme universitaire de musicien intervenant Le certificat d'aptitude aux fonctions de professeur de musique Les textes de

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

BIBLIOGRAPHIE ET CITATIONS RESUME METHODOLOGIQUE

BIBLIOGRAPHIE ET CITATIONS RESUME METHODOLOGIQUE BIBLIOGRAPHIE ET CITATIONS RESUME METHODOLOGIQUE Bibliograhieetcitations 24.11.10 page1/7 1) CITATIONS Les citations doivent automatiquement faire l'objet d'une inscription de l'ouvrage en question en

Plus en détail

L analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4

L analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4 FICHES TECHNIQUES La carrière de l'enseignant : comment durer dans le métier? Comment optimiser les ressources des professeurs expérimentés? Usure, adaptation, épreuves et ressources.... 3 L analyse des

Plus en détail

BTS - Assistant de gestion PME-PMI

BTS - Assistant de gestion PME-PMI Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 18/08/2015. Fiche formation BTS - Assistant de gestion PME-PMI - N : 0079468 - Mise à jour : 09/07/2015 BTS - Assistant de gestion PME-PMI

Plus en détail

Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011

Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral

Plus en détail

SOMMAIRE Nathalie GRÉGOIRE, Du secours à l entraide. Genèse de la Mutualité postale (1879-1930)

SOMMAIRE Nathalie GRÉGOIRE, Du secours à l entraide. Genèse de la Mutualité postale (1879-1930) SOMMAIRE Nathalie GRÉGOIRE, Du secours à l entraide. Genèse de la Mutualité postale (1879-1930), n 10 des Cahiers pour l histoire de La Poste, novembre 2008, 138 p. Chapitre I - La question des risques

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE SERVICE. Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) LOTS 1 ET 2

MARCHE PUBLIC DE SERVICE. Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) LOTS 1 ET 2 CHAMBRE DE METIERS ET DE L ARTISANAT DE VAUCLUSE HOTEL DE L ESPINE 35 RUE JOSEPH VERNET BP 40208 84009 AVIGNON CEDEX 1 MARCHE PUBLIC DE SERVICE Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES

Plus en détail

La question de recherche

La question de recherche TOUR-F-414 : Méthodes de recherche en tourisme TOUR-F-401 et TOUR-F-500 : Mémoire de fin d'études La question de recherche Année académique 2014-15 LES ETAPES DE LA DEMARCHE SCIENTIFIQUE Etape 1 La question

Plus en détail

PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans

PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans DESCRIPTION Faire le choix d un cursus en 3 ans c est opter pour une formation qui permet à l étudiant de découvrir le monde de l entreprise afin

Plus en détail

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE 209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,

Plus en détail

École française d analyse psycho-organique

École française d analyse psycho-organique École française d analyse psycho-organique Établissement privé d enseignement supérieur libre Administration : 80, rue de Vaugirard, 75006 PARIS Téléphone : 01 43 25 69 35 efapo@wanadoo.fr Télécopie :

Plus en détail

Collecter les 54 milliards d'euros de bénéfices issus des nouveaux usages de la donnée

Collecter les 54 milliards d'euros de bénéfices issus des nouveaux usages de la donnée Livre Blanc Collecter les 54 milliards d'euros de bénéfices issus des nouveaux usages de la donnée Sponsorisé par : Microsoft Sebastien Lamour mai 2014 QUELS SONT LES NOUVEAUX BENEFICES POTENTIELS ISSUS

Plus en détail

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées : a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN

Plus en détail

Le coaching d entreprise. Réalisé par: Tarik KELLAF

Le coaching d entreprise. Réalisé par: Tarik KELLAF Le coaching d entreprise Réalisé par: Tarik KELLAF L intérêt du sujet L importance de la pratique du coaching au sein de l entreprise afin d orienter le personnel, booster sa motivation et mettre en place

Plus en détail

Université Paris Dauphine rentrée 2011-2012 Programmes ouverts aux étudiants Khâgne BL, AL et SHS -Candidatures sur dossier- Version 27/05/2011

Université Paris Dauphine rentrée 2011-2012 Programmes ouverts aux étudiants Khâgne BL, AL et SHS -Candidatures sur dossier- Version 27/05/2011 Université Paris Dauphine rentrée 2011-2012 Programmes ouverts aux étudiants Khâgne BL, AL et SHS -Candidatures sur dossier- Version 27/05/2011 La Licence Sciences des Organisations et des Marchés - Mention

Plus en détail

Présentation générale (nouveau programme à compter de septembre 2014)

Présentation générale (nouveau programme à compter de septembre 2014) (nouveau programme à compter de septembre 2014) Domaine Sociologie, politiques sociales et travail social. Université de Fribourg Document mis à jour le 26 août 2014 (sous réserve de modifications) 2 Les

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

Critères de qualité des projets

Critères de qualité des projets s de qualité des projets Pour pouvoir mener une réfleion systématique sur la qualité des projets, on a besoin de critères. Les critères présentés ici s'appliquent à des projets d'intervention en promotion

Plus en détail

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie Pratiques psychologiques Le psychologue du travail Licence 1. Psychologie Nadra Achour-2014 ISSHT-Université Tunis-El Manar Introduction Qu est ce qu un psychologue du travail? Ses champs d intervention?

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

COMPTABILITE SAGE LIGNE 100

COMPTABILITE SAGE LIGNE 100 COMPTABILITE SAGE LIGNE 100 Date : 20/09/2006 Auteur : Pascal VIGUIER Réf. : SAGE092006 SOMMAIRE SOMMAIRE...1 1. MENU FICHIER...3 1.1 1.2 AUTORISATION D ACCES...3 A PROPOS DE VOTRE SOCIETE...4 1.2.1 1.2.2

Plus en détail

Ressources pour le lycée général et technologique

Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Sociologie générale et sociologie politique 2. Groupes et réseaux sociaux Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 2.2 : Comment les

Plus en détail

Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue

Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Santé Communautaire et accès aux soins en contexte tropical Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Introduction Principes des recherches qualitatives Les étapes

Plus en détail

Quantifier pour transformer

Quantifier pour transformer Quantifier pour transformer Bilel BENBOUZID Un ouvrage posthume d Alain Desrosières, sociologue des statistiques, atteste que la statistique ne se réduit pas à une simple opération de mesure de la réalité

Plus en détail

Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés

Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés Equity and Quality in Education. Supporting Disadvantaged Students and Schools Summary in French Accédez au texte intégral: 10.1787/9789264130852-en Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir

Plus en détail

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.

Plus en détail

L alliance du quali et du quanti «Critique de l opposition entre quali & quanti et réflexions sur leur articulation»

L alliance du quali et du quanti «Critique de l opposition entre quali & quanti et réflexions sur leur articulation» L alliance du quali et du quanti «Critique de l opposition entre quali & quanti et réflexions sur leur articulation» Par Daniel Bô La distinction des études entre le «quali» et le «quanti» est communément

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

W W W. F S E. U L A V A L. C A / C R I E V A T

W W W. F S E. U L A V A L. C A / C R I E V A T W W W. F S E. U L A V A L. C A / C R I E V A T Colloque international Les recherches actions collaboratives: une révolution silencieuse de la connaissance! Recherche action et recherche collaborative au

Plus en détail

60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés.

60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés. Laurent HABIB réunit les agences LIGARIS 1, PLAN CRÉATIF 2 et MINISTÈRE 3 pour créer la 1 ère agence globale indépendante du marché. Une agence de 180 personnes, à 60% digitale, intégrant tous les métiers

Plus en détail

Fiche formation Master - Sociologie - Spécialité culture et patrimoine (2ème année) - N : 4805 - Mise à jour : 04/06/2015

Fiche formation Master - Sociologie - Spécialité culture et patrimoine (2ème année) - N : 4805 - Mise à jour : 04/06/2015 Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 19/09/2015. Fiche formation Master - Sociologie - Spécialité culture et patrimoine (2ème année) - N : 4805 - Mise à jour : 04/06/2015

Plus en détail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Dr Michel APTEL Laboratoire de Biomécanique et d'ergonomie Centre de recherche de l'inrs Les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) liés au

Plus en détail

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le

Plus en détail

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches

Plus en détail

Date limite de retour des dossiers : Vendredi 9 mai à minuit

Date limite de retour des dossiers : Vendredi 9 mai à minuit Présentation des 3 parcours........ page 02 Règlement.................. page 04 Inscription.................. page 07 Programmes, bibliographies, sujets types page 12 Date limite de retour des dossiers

Plus en détail

GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE

GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE COLLEGE SAINTE-VERONIQUE ET MARIE-JOSE IMPLANTATION MARIE-JOSE 1 7P GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE PRESENTATION DE LA SECTION I. INTRODUCTION La 7P-GTPE est une année dédiée à la formation de gestionnaires

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

Compte rendu. Ouvrage recensé : par Robert Gagnon

Compte rendu. Ouvrage recensé : par Robert Gagnon Compte rendu Ouvrage recensé : The Master Spirit of the Age Canadian Engineers and the Politics of Professionalism. 1887-1922, J. Rodney Millard, Toronto, University of Toronto Press, 1988. Pp 229. par

Plus en détail

MMA - Projet Capacity Planning LOUVEL Cédric. Annexe 1

MMA - Projet Capacity Planning LOUVEL Cédric. Annexe 1 Annexe 1 Résumé Gestion Capacity Planning Alternance réalisée du 08 Septembre 2014 au 19 juin 2015 aux MMA Résumé : Ma collaboration au sein de la production informatique MMA s est traduite par une intégration

Plus en détail

UE Master 1 Droit public

UE Master 1 Droit public UE Master 1 Droit public Code : 11M1DRO71PUB0S publics Libellé : Droit administratifs et services 1. Objectifs, finalités Etude des grandes problématiques liées au service public : évolutions, contestations,

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Enquête auprès des personnes favorables au don d organes

Enquête auprès des personnes favorables au don d organes Enquête auprès des personnes favorables au don d organes Cécile BAZIN - Jacques MALET Centre d étude et de recherche sur la Philanthropie Objectifs de l enquête L enquête s adresse exclusivement aux personnes

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Intitulé : Logistique & Transport

Intitulé : Logistique & Transport Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales Intitulé : Logistique & Transport IDENTIFICATION DE LA FILIERE Intitulé : Sciences Economiques et de Gestion Domaine : Gestion d entreprises Champ

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL DÉPARTEMENT DE SOCIOLOGIE ************* Cours de niveau gradué en méthodes quantitatives *************

UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL DÉPARTEMENT DE SOCIOLOGIE ************* Cours de niveau gradué en méthodes quantitatives ************* ************* Cours de niveau gradué en méthodes quantitatives ************* SOL 6210 - Analyse quantitative avancée Le séminaire d analyse quantitative avancée se donne en classe une fois par année. Chaque

Plus en détail

DES VŒUX D ORIENTATION EN SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE PLUS FRÉQUEMMENT SATISFAITS

DES VŒUX D ORIENTATION EN SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE PLUS FRÉQUEMMENT SATISFAITS note d informationnovembre 13.24 Au cours de la dernière décennie, la part d élèves qui bénéficient d une décision d orientation en seconde générale et technologique en fin de troisième a sensiblement

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1: L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

Accord Cadre de coopération

Accord Cadre de coopération Accord Cadre de coopération entre L'UNIVERSITE MONTESQUIEU-BORDEAUX IV, MEMBRE DE L UNIVERSITE DE BORDEAUX (FRANCE) et L UNIVERSITE DE THESSALIE (GRECE) Entre : -= =-= =- Le Président de l Université Montesquieu-Bordeaux

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Règlement du prix OCTOBRE 2014

Règlement du prix OCTOBRE 2014 Règlement du prix OCTOBRE 2014 Avec l'ambition de faire progresser la qualité de l emploi associatif et dans le cadre de la Grande cause nationale 2014, Le Mouvement associatif en partenariat avec l UDES,

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE 2013-2014

DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE 2013-2014 Contacts Frédéric HAMBERGER 05 63 48 19 62 frederic.hamberger@univ-jfc.fr CUFR Jean François Champollion Campus d Albi Place de Verdun 81012 ALBI Cédex 9 DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire Nathalie Gettliffe, Université de Strasbourg Hortense Rengade-Bouchard, Académie

Plus en détail

Attentes et transitions vers les études postsecondaires : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes

Attentes et transitions vers les études postsecondaires : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes Introduction Collaboration CESPM N.-B. N.-É. Î.-P.-É. Description du projet Dans le cadre de son programme de sondages auprès des diplômés, la Commission

Plus en détail

RECOMMANDATIONS POUR L EVALUATION ET LE TRAITEMENT DES DOSSIERS D ETUDIANTS

RECOMMANDATIONS POUR L EVALUATION ET LE TRAITEMENT DES DOSSIERS D ETUDIANTS 1. AVANT-PROPOS Ces Recommandations ont été élaborées par le Conseil international des Archives- Section des archives des universités et institutions de recherche dans le cadre du projet P2010 SUV "Evaluation

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

XIII. Préface. Introduction 1. de marketing direct

XIII. Préface. Introduction 1. de marketing direct Préface XIII Introduction 1 PREMIÈRE PARTIE - Intégrer l'e-mail dans votre stratégie de marketing direct CHAPITRE 1 Pourquoi faire de l'e-mail marketing? 7 Le marché de l'e-mail marketing en France et

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise

Plus en détail

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 165 [ARR 1977] Décret du 21 septembre 1977 pour l'application de la loi n 76-663 du 19 juillet 1976 relative aux installations classées pour la protection de l'environnement.

Plus en détail

REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880

REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 «La grande idée, la notion fondamentale de l Etat laïque, c est-àdire la délimitation profonde entre le temporel et le spirituel, est entrée dans nos mœurs de manière

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 2 CONCOURS COMMUNS 6 ECOLES HTTP://CC.IEP.FR. Contact presse : Catherine Amy

DOSSIER DE PRESSE 2 CONCOURS COMMUNS 6 ECOLES HTTP://CC.IEP.FR. Contact presse : Catherine Amy IntégrerSciencesPoAix en Provence,Lille,Lyon,Rennes,Strasbourg,Toulouse Lundi24juin2013 DOSSIER DE PRESSE 2 CONCOURS COMMUNS 6 ECOLES HTTP://CC.IEP.FR Contact presse : Catherine Amy Coordination de la

Plus en détail

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008) Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut

Plus en détail

Mercredi 12 janvier 2011

Mercredi 12 janvier 2011 NUMÉRO DE LA COPIE :.. EXAMEN PROFESSIONNEL D ACCES AU GRADE D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL DE 1 ère CLASSE SPECIALITE «RESTAURATION» Session 2011 Mercredi 12 janvier 2011 EPREUVE : Epreuve écrite à caractère

Plus en détail

-15/0396 10AOU LE MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR

-15/0396 10AOU LE MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR RÉPUBLIQUE DU CAMEROUN P AIX- TRA VAIL-PATRIE -15/0396 10AOU ARRETE N /A/MINESUP DU 2015 portant ouverture du concours d'entrée en 1ère année du 2 nd cycle de l'ecole Normale Supérieure de l'université

Plus en détail

52 ENJEUX ET DÉTERMINANTS DE LA MOBILITÉ SOCIALE

52 ENJEUX ET DÉTERMINANTS DE LA MOBILITÉ SOCIALE 52 ENJEUX ET DÉTERMINANTS DE LA MOBILITÉ SOCIALE A Quels sont les enjeux de la mobilité sociale? 1 Définitions et enjeux de la mobilité sociale a) Définitions 1. Contrairement aux sociétés d'ordre ou de

Plus en détail

MUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE

MUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE MUSÉOGRAPHIE P Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE Ensemble de techniques héritées de la muséologie destinées à la mise en valeur pérenne des collections

Plus en détail

MASTER MEEF Mention Premier Degré. Livret de stage M2 étudiants. Année universitaire 2015/2016

MASTER MEEF Mention Premier Degré. Livret de stage M2 étudiants. Année universitaire 2015/2016 MASTER MEEF Mention Premier Degré Livret de stage M2 étudiants Année universitaire 2015/2016 Ce livret a pour objet de vous guider dans la réalisation et le suivi de votre stage en milieu professionnel

Plus en détail

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants 1 Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants I. Le contexte institutionnel La démarche de l UdS en matière de qualité des formations

Plus en détail