Analyse des risques liés à la subsidence des terrains suite à des exploitations minières souterraines. Ali Saeidi Olivier Deck, Thierry Verdel
|
|
- Christine Cantin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Analyse des risques liés à la subsidence des terrains suite à des exploitations minières souterraines Ali Saeidi Olivier Deck, Thierry Verdel
2 Contexte de développement du simulateur 2
3 Objectifs du simulateur de dommages 1- Méthode de prévision des affaissements. 4- RESULTATS 1-4 Cartographie de l aléa : 2-4 Cartographie des dommages : Dommages pour un scénario 2- Fonctions de vulnérabilité Fonction de vulnérabilité Module de Calcul Moyenne et écart-type des dommages pour plusieurs scénarios. 3- Base de données :(Ville de Joeuf) 3
4 Objectifs du simulateur de dommages La ville de Joeuf Moyenne des dommages de chaque bâti pour tous les scénarios 4
5 1 Développement d une méthode pour la prévision des affaissements Méthode choisie : La méthode des fonctions d influence (K z ) Cette méthode est basée sur le principe de superposition S S max A K z da Avec cette méthode on peut calculer les déplacements dans la direction X et Y en chaque point de la surface «Modification de la méthode» Possibilité d utilisation des angles d'influence différents Possibilité de calculer la déformation horizontale 5
6 1 Développement d une méthode pour la prévision des affaissements Application dans le bassin ferrifère Lorrain (Roncourt) Observé Iso valeurs de l affaissement vertical Profils d affaissement vertical sur la coupe A-B Calculé 6
7 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques ou empiriques Principe des fonctions de vulnérabilité et procédure pour leur développement Les courbes de vulnérabilité définissent la moyenne des dommages en fonction de l intensité pour un type de bâtiment. D PD i I N D i n PD i D i Courbe Courbe vulnérabilité de vulnérabilité Les courbes de vulnérabilité sont un compromis entre validité, précision des résultats et simplicité d utilisation. Cohérence avec ce qui est fait avec d autres aléas (séismes, tsunamis, volcans ) Les courbes de fragilité représentent, pour un type de bâtiment, la probabilité d'atteindre ou d'excéder chaque catégorie de dommage en fonction de l intensité. 7
8 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques ou empiriques Procédure/algorithme Choix d une méthode d évaluation des dommages Choix d un critère intensité (ε) Choix d une échelle de dommages Choix d une typologie du bâti 1- Méthodes empiriques 2- Méthodes analytiques Simulation d une base de données de 1000 bâtiments pour chaque type. Evaluation des dommages des 1000 bâtiments pour chaque intensité. Calcul de la probabilité d'atteindre ou d'excéder chaque catégorie de dommage en fonction de l intensité Calcul de la moyenne des dommages pour chaque intensité Courbes de fragilité Courbes de vulnérabilité 8
9 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques principes des méthodes analytiques Bâtiment 1 - On modélise le bâtiment par une poutre (RDM) avec ses paramètres géométriques et mécaniques (L,H,q ou p, E, G) 2 - On impose un déplacement vertical (effet de la courbure) et une déformation horizontale à la poutre (effet de l affaissement) =F(q,L,H,E,I,G, ) 3 - On calcule la déformation maximale du bâtiment associée à la flexion et au cisaillement et on la compare à des valeurs seuils. Terrain =f(l/h,e/g,, Terrain ) d d b 9
10 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques Valeurs seuils de déformation horizontale 0-0,5 mm/m 0,5-0,75 0,75-1,5 1,5-3 >3 Catégorie de dommage Négligeable Très légères Légères Modérée à Sévère Très Sévères On peut définir le niveau de dommage d un bâtiment en fonction de la déflexion et de la déformation horizontale transmise au bâti. 10
11 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques Modifications et développements La courbe développée n est valable que pour L/H=1, E/G=2,6 Développement de courbes d évaluation des dommages pour n importe quels paramètres géométriques (L/H) et mécaniques (E / G, ) E/G compris entre 0,5 et 12,5 mais E/G=2(1+ ) 3 On considère un modèle isotrope transverse pour justifier des valeurs indépendantes de E, G, Hypothèse :E x = E y = E et xy = xz = On peut justifier les valeurs de E/G > 2,6 11
12 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques Prise en compte de l'interaction sol structure Case 1: terrain sans bâti Case 2: Terrain avec bâti Avant l'affaissement Après l'affaissement structure K Terrain structure K Terrain K et K définis à partir des résultats de Boscardin et Cording (1989) et Potts et Addenbrook (1996) 12
13 2 Développement des fonctions de vulnérabilité basées sur les méthodes analytiques Bâtiment Sol et interaction sol structure Type de bâtiment L H E/G K site K K M açonnerie non renforcée (URM ) ,2-0,3 0,1 0, % 10-30% M açonnerie renforcée (RM) ,3 0,1 0, % 1 à 20% Comparaison avec les résultats observés dans le bassin ferrifère Lorrain 13
14 3- Base de données :(ville de Joeuf) Présentation de Joeuf > 7000 habitants > 1600 bâtiments Majorité des bâtiments en maçonnerie Nombreuses zones homogènes (cités minières) Quelques zones très hétérogènes 4 couches exploitées Mines exploitées sous une grande majorité de la surface de la ville. Affaissement maximal prévisible de 2 m avec une déformation horizontale > 40 mm/m (DRIRE) 14
15 3- Base de données : (ville de Joeuf) Définir différents scénarios d affaissement possibles Couche Grise Couche S3 2 3 Hypothèses de travail pour les scénarios 15
16 3- Base de données :(ville de Joeuf) Typologie retenue à Joeuf (6 types principaux) Zonage consolidé sur la base des époques de construction et des visites sur le terrain. Définition de 6 types de bâtiments 2 types de bâtiments en maçonnerie non renforcée (UR1, UR2) 2 types de bâtiments en maçonneries renforcée (R1, R2) 1 type de bâtiments en béton armé (CF) 8 16
17 4- Résultats du simulateur de dommage 1- Pour chaque scénario d affaissement : Déformation Horizontale par bâti (Aléa) D : Moyenne de dommage 2- Pour plusieurs scénarios d affaissement (approche probabiliste) Scénario Probabilité d occurrence (mm/m) D 1 P 1 ok ok 2 P 2 ok ok ok ok n P n ok ok Les probabilités d occurrence P 1, P 2 P n sont inconnues. Si on considère les scénarios équiprobables, on peut calculer l espérance et l écart type de (Aléa) et D (Moyenne de dommage) 17
18 4- Résultats du simulateur de dommage Moyenne de dommage pour un scénario 18
19 4- Résultats du simulateur de dommage Espérance et écart type de E pour plusieurs affaissements (Aléa) Espérance de Ecart type de Histogramme de la déformation horizontale dans un bâtiment 19
20 4- Résultats du simulateur de dommage Espérance et écart type de D pour des scénarios équiprobables (Dommage) Ecart type de la moyenne de dommages Espérance de la moyenne de dommages Nombre de scénarios Histogramme de la moyenne de dommage dans un bâtiment Catégorie de dommages 20
21 5- Conclusions et perspectives : Conclusions: Objective atteint: Développement d un simulateur de dommages : Perspectives Possibilité de calculer des fonctions de vulnérabilité pour les bâtiments en zone d'affaissement minier. Une approche probabiliste afin d exploiter l ensemble des résultats. Volet prévision des affaissements : Développement d une méthodologie d'ajustement de la méthode des fonctions d influence pour chaque bassin minier. Volet développement «théorique» du simulateur de dommages : Poursuivre le développement de l approche probabiliste en identifiant et justifiant les principaux résultats pertinents et leur mode de représentation, dans une optique d amélioration des politiques de gestion des risques (+ pondération des scénarios) Volet développement «pratique» du simulateur de dommages : Développer l ergonomie du logiciel en permettant une modélisation simplifiée de la ville sur la base de données existantes (SIG, plans Autocad ) et l ajustement des différents paramètres (choix des scénarios, attribution des fonctions de vulnérabilité ). 21
22 Merci de votre attention
SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailTP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites
TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les
Plus en détailEtat des risques naturels, miniers et technologiques
Etat des risques naturels, miniers et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Référence : 15/IMO/0204 Date de réalisation : 16 avril 2015 (Valable 6 mois)
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailEtat des risques naturels et technologiques
Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailI Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I
I Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I I Déroulement de la présentation I Les missions de la cellule programmation Le patrimoine routier Le
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailAnticiper. Définir. mesurer. optimiser DE GAMMA - ARCOLE RH DE GAMMA. arcole rh. Gestion de la Paie et des Ressources Humaines
Définir Analyser planifier optimiser mesurer Anticiper 01 DE GAMMA arcole rh T Gestion de la Paie et des Ressources Humaines Accélérateur de Performance Métier L optimisation de la productivité de votre
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détailJournée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR
Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics
Plus en détailLE GÉNIE PARASISMIQUE
LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailLe risque sismique : ce qui change
Le risque sismique : ce qui change Conséquences de la publication des décrets Intervenant Service Date Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailCatalogue 1.1.6. Diffuseur industriel WKD 381
Catalogue 116 WKD 381 Modèle WKD 381 WKD 1 WKD Dimensions et Comportement de l induction WKD 3 Données aérodynamiques et domaines d application WKD 4 Diagrammes WKD 5 WKD 9 WKD 9 contenu C 116 WKD 381
Plus en détailAMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE
AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463
Plus en détailÉtat des RISQUES Naturels et Technologiques
État des RISQUES Naturels et Technologiques Pays Basque : Résidence PHAROS 7 Bis, Rue du Pont de l Aveugle 64600 ANGLET Tél : 05.59.52.20.93 Fax : 05.59.42.05.65 Page 1 / 10 Art. L. 125-5 I du Code de
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailStratégie de rémunération
CONSULTING Offre Conseil RH Stratégie de rémunération La stratégie de rémunération est un facteur de stabilité et de performance de l'entreprise. GFI Consulting vous accompagne en mettant en cohérence
Plus en détail1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil
1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil Unité d Enseignement VHS V.H hebdomadaire Coeff. Créd Mode
Plus en détailS84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle. 842 - La segmentation de la clientèle
S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle 842 - La segmentation de la clientèle 843 - Les actions personnalisées utilisation des procédures de consultation
Plus en détailFORMATION ECLAIRAGE PUBLIC
FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF
Plus en détailEtat des Risques Naturels et Technologiques
Etat des Risques Naturels et Technologiques Articles L 125-5 et R 125-26 du code de l environnement 1. Cet état des risques est établi sur la base des informations mises à disposition par arrêté préfectoral
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailUnity Real Time 2.0 Service Pack 2 update
Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen
Plus en détailDépartement de Maine et Loire OASIS. Observatoire d Analyse du Système d Information Stratégique
Département de Maine et Loire OASIS Observatoire d Analyse du Système d Information Stratégique Système Information d Analyse Décisionnelle Plan de la présentation L informatique décisionnelle? Les Objectifs
Plus en détailIntroduction: 1. définition d un ETL 2. importance et diversité des données spatiales utilitédes ETL géographiques
1 2 Introduction: 1. définition d un ETL 2. importance et diversité des données spatiales utilitédes ETL géographiques 3 ETL = extracto-chargeur = datadumping La Business Intelligence, BI, (ou informatique
Plus en détailFONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE.
STILE FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. 2 3 Magia. Une gamme de produits qui facilitera le choix de votre escalier idéal. 4 06 Guide pour la sélection. 16
Plus en détailFermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme
* Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailINBTP-TECHNOBAT-LECON_011
CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailExemples de dynamique sur base modale
Dynamique sur base modale 1 Exemples de dynamique sur base modale L. CHAMPANEY et Ph. TROMPETTE Objectifs : Dynamique sur base modale réduite, Comparaison avec solution de référence, Influence des modes
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailRÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3
RÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3 Pour construire un graphique : On lance l assistant graphique à l aide du menu Insérer è Diagramme en ayant sélectionné au préalable une cellule vide dans
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailHSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net
HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.
Plus en détailBeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m
BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.
Plus en détailMACONNERIE/GROS OEUVRE
GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage
Plus en détailLe béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures
TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications
Plus en détailProjet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA
Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailEtablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique
Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique Etude réalisée en 2003 pour le compte de l Office National des Forêts Eric Delboulbé, Docteur en Mécanique des Fluides
Plus en détailLe Guide Pratique des Processus Métiers
Guides Pratiques Objecteering Le Guide Pratique des Processus Métiers Auteur : Version : 1.0 Copyright : Softeam Equipe Conseil Softeam Supervisée par Philippe Desfray Softeam 21 avenue Victor Hugo 75016
Plus en détailTitre : La BI vue par l intégrateur Orange
Titre : La BI vue par l intégrateur Orange Résumé : L entité Orange IT&L@bs, partenaire privilégié des entreprises et des collectivités dans la conception et l implémentation de SI Décisionnels innovants,
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailCatalogue 1.1.1. Diffuseur à jet hélicoïdal DAL 359
Catalogue 1.1.1 DAL 359 Modèle DAL 359 Description, domaines d'application et bénéfices................ DAL 359 1 Configuration et Fonctionnement................................ DAL 359 2 Données aérodynamiques
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Introduction aux Sciences de l Information et de la Communication Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Consolidation de fondamentaux Démarche en sciences humaines
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT1412044R Intitulé des textes : projet d ordonnance relative à la réforme du taux d intérêt légal et projet d arrêté fixant les catégories de prêts
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES
ETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES Julien Schaguene, Olivier Bertrand, Eric David Sogreah Consultants
Plus en détailTP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse.
ACTIVITE ITEC TP2 Durée : 2H Centre d intérêt : COMPORTEMENT D UNE PIECE AUBE D UN MIRAGE 2000 BA133 COMPETENCES TERMINALES ATTENDUES NIVEAU D ACQUISITION 1 2 3 * * Rendre compte de son travail par écrit.
Plus en détailIntroduction à l approche bootstrap
Introduction à l approche bootstrap Irène Buvat U494 INSERM buvat@imedjussieufr 25 septembre 2000 Introduction à l approche bootstrap - Irène Buvat - 21/9/00-1 Plan du cours Qu est-ce que le bootstrap?
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailPilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailPROGRAMME SYSMIN, 8 ème FED, 2004-2009 Appui au secteur minier du Gabon «Financement et structuration du programme» Présenté par
PROGRAMME SYSMIN, 8 ème FED, 2004-2009 Appui au secteur minier du Gabon «Financement et structuration du programme» Présenté par Séverin EMANE MBA Directeur Général des Mines et de la Géologie Ministère
Plus en détailObjectif : Passer de l analyse métier et fonctionnelle à la définition des applications qui
Formation PARTIE 1 : ARCHITECTURE APPLICATIVE DUREE : 5 h Objectif : Passer de l analyse métier et fonctionnelle à la définition des applications qui automatisent les fonctions Définir une architecture
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailINTRODUCTION AUX TESTS DE PERFORMANCE ET DE CHARGE
INTRODUCTION AUX TESTS DE PERFORMANCE ET DE CHARGE 1 Introduction aux tests de performance et de charge Sommaire Avertissement...2 Aperçu...3 1. Création du scénario de navigation web (Test web)...4 2.
Plus en détailLES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES
LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien
Plus en détailComment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain?
DOSSIER SOLUTION Solution CA Virtual Placement and Balancing Comment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain? agility made possible La solution automatisée
Plus en détailAtelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?
Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle
Plus en détailCéline Blanc (BRGM) Avec la collaboration de P.Bodenez, A.Margueret (MEDDE, DGPR/B3S) L.Rouvreau, M.Scamps (BRGM)
Actualités sur la mise en place de la méthodologie de réutilisation hors site des terres excavées : Bilan de la mise en place au bout d un an, mise en place de nouveaux GT, rédaction de nouveaux guides,
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailBienvenue, Ce guide vous accompagnera dans la découverte et l utilisation de l interface TaHoma
Guide d utilisation Bienvenue, Ce guide vous accompagnera dans la découverte et l utilisation de l interface TaHoma Avant de commencer Avant d utiliser TaHoma assurez-vous que : les branchements sont bien
Plus en détailAnticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto
Atelier 1 groupe de travail sismique franco-italo-suisse du projet Interreg Alcotra RiskNET Atelier 1 gruppo di lavoro sismico franco-italo-svizzero del progetto Interreg Alcotra RiskNET Anticiper la gestion
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailRapport du Conseil communal au Conseil général
République et Canton de Neuchâtel COMMUNE DE L A T E NE Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de 53 000 francs pour la réfection des points d ancrage de trois
Plus en détailSolution logicielle pour le pilotage et l ERM. Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010
Présentation d ERMS Solution logicielle pour le pilotage et l ERM Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010 Sommaire 1 Présentation d ACTUARIS 2 Les problématiques rencontrées 3 Présentation d ERMS
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailCours de résistance des matériaux
ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables
Plus en détailPilot4IT Monitoring : Mesurez la qualité et la performance perçue de vos applications.
Pilot4IT Monitoring : Mesurez la qualité et la performance perçue de vos applications. La supervision est la «surveillance du bon fonctionnement d un système ou d une activité». Elle permet de surveiller,
Plus en détailLA VIRTUALISATION. Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques. 18/01/2010.
Guillaume ANSEL M2 ISIDIS 2009-2010 / ULCO Dossier d étude sur la virtualisation LA VIRTUALISATION 18/01/2010 Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques.
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé
Plus en détailLogiciel Orgabat V.Net. Maîtrisez et valorisez vos infrastructures VDI et datacenter
Logiciel Orgabat V.Net Maîtrisez et valorisez vos infrastructures VDI et datacenter Logiciel Orgabat V.Net Pour l exploitation au quotidien des salles de données et réseaux VDI Orgabat est le logiciel
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailwww.type3.com DECOUVREZ Discover TYPE EDIT V12 Français
www.type3.com DECOUVREZ Discover TYPE EDIT V12 Français 12-2013 1 Découvrez TYPE EDIT V12, la nouvelle version de notre logiciel de CFAO pour les applications industrielles et artistiques dédiées aux machines
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailCatalogue produits. - Plates-formes élévatrices & transports publics
Catalogue produits - Plates-formes élévatrices & transports publics 2 P r e s e n tat i o n Imaginez un monde rempli d obstacles. Un monde où vous ne contrôleriez plus les bâtiments, boutiques, restaurants
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailZone Industrielle. Kehlen... 1
Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel
Plus en détail