Quelques réflexions autour du concept de respect de la dignité de la personne

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1 C.Tannier,nov2006 Avec la grande aide de l enseignement de D.Folscheid et E.Fiat.

2 Le respect C est le sentiment moral C est le seul qui vienne de la raison Ce n est pas l amour ni l amitié C est la référence du soignant Le respect s est substitué à l amour du prochain

3 Le respect C est aussi considérer la personne qu on a en face de soi non pas seulement «ici et maintenant» mais aussi en fonction de son passé, de ce que pourrait être son avenir, C est exercer sa «mentalité élargie» c est à dire prendre distance de soi-même pour se «mettre à la place d autrui», accéder à la singularité de l autre qui dépasse ses particularités actuelles.

4 La personne humaine Quelques réflexions autour du C est l homme indépendamment de ses particularités Ce n est pas la personnalité Sans sa race, sa religion, son état de santé. Et il est hors de question de la définir plus avant. Cette abstraction constitue une exigence morale En tant que soignant, on se soumet à l obligation morale de respecter la personne,et de traiter tout être humain comme une personne

5 La personne humaine Quelques réflexions autour du «not all humans are persons.not all humans are selfconscious, rational, and able to conceive of the possibility of blaming and praising.fétuses, infants, the profoundly mentally retarded,and the hopelessly comatose provide examples of human non persons.» H.T.Engelhardt

6 La personne humaine Quelques réflexions autour du Cette conception est à l opposé de celle que nous enseigne Kant: la personne est la mesure inconditionnée qui nous impose le respect, et non pas un objet conditionné par une évaluation préalable «agis de telle sorte que tu traites l humanité, toujours comme une fin, et que tu ne t en serves jamais simplement comme d un moyen»

7 La personne humaine Quelques réflexions autour du «convaincus de la nécessité de respecter l être humain à la fois comme individu et dans son appartenance à l espèce humaine et reconnaissant l importance d assurer sa dignité» Préambule de la déclaration des droits de l homme

8 Pour Kant, la dignité est intrinsèque à la personne humaine, absolue, elle ne peut se perdre. Cependant le sentiment de dignité peut se perdre.

9 1) La conception bourgeoise est dépendante de la conduite Elle s associe aux idées de maîtrise, de retenue, de pudeur, de contenance. Actuellement encore la pudeur reste la première des dignités

10 2) La conception religieuse est absolue et intrinsèque à la personne humaine, dans la mesure où tous les hommes sont à l image de Dieu. Mais plus on souffre, plus on est proche du Christ.

11 3) La conception kantienne Qui laïcise la notion de dignité. «tous les hommes sont dignes de la même dignité et cela serait vrai même si Dieu n existait pas.»

12 3) La conception kantienne Cette dignité est absolue, intrinsèque, inaliénable. Elle n a pas de prix, mais une valeur

13 3) La conception kantienne «ce qui a un prix peut aussi bien être remplacé par quelque chose d équivalent; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n admet pas d équivalent, c est ce qui a une dignité.»

14 4) La conception hégelienne S attache à l importance de la reconnaissance de la dignité par autrui, du regard de l autre. «Chaque conscience de soi n est pour soi effectivement, que par la médiation de l autre qui la reconnaît.» «Le moi ne s éveille que par la grâce du toi» Bachelard

15 4) La conception moderne Introduit la notion : D autonomie. De maîtrise de soi et de son destin. Et par conséquent de consentement éclairé pour tout soin la concernant, De la nécessité de respecter la volonté du patient.

16 4) La conception moderne On passe donc d une éthique de conviction à une éthique de responsabilité Ce qui signifie qu on reste attaché aux grands principes,mais qu on s inquiète de leur application qui n est pas inconditionnelle

17 4) La conception moderne Le respect de la dignité et du sentiment de dignité doit être sans arrêt évalué et discuté, la prise de décision partagée. Essayer de distinguer : le raisonnable et le déraisonnable le faire et le laisser faire la volonté exprimée du patient et la connaissance objective de la situation

18 4) La conception moderne Ce qui nécessite d anticiper si possible les situations, Car toute décision éthique, toute délibération, (permettre à la personne malade de construire ses décisions de manière autonome), demande du temps Eviter la décision en urgence. Discuter au cas par cas.

19 4) La conception moderne Par exemple, la décision de mise en route ou d arrêt de la suppléance respiratoire dans une SLA est subordonnée aux principes d autonomie, de consentement, de dialogue adapté, d anticipation,de non obstination thérapeutique déraisonnable, de non abandon.

20 Au total, l éthique, c est un effort pour rendre le tragique moins tragique. E.Fiat

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