RACHITISME ET OSTEOMALACIE Définitions et bases moléculaires. 2. Principales causes de rachitisme / ostéomalacie.
|
|
- Jean-Christophe Doré
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RACHITISME ET OSTEOMALACIE Définitions et bases moléculaires 1. Définitions. 2. Principales causes de rachitisme / ostéomalacie. 3. La vitamine D3: métabolisme et effets biologiques. 4. Exploration biologique du rachitisme / oséomalacie.
2 Définitions: ostéoporose / rachitisme &ostéomalacie
3 Bref rappel sur le «remodelage osseux» + Rappel du cycle ostéorésorption/formation Différenciation des ostéoblastes et formation de l ostéoïde (matrice de collagène, de protéoglycanes, etc.. non minéralisée), + + Pi, Ca 2+ Comblement des lacunes de Howship Minéralisation (not. par fixation sur ostéocalcine et «MGLA» )
4 Définitions: ostéoporose / rachitisme &ostéomalacie Ostéoporose = PERTE ++ de MASSE osseuse Si perte > 90% masse «normale» -> risque fracturaire ++ («seuil fracturaire»). * Symptomato: douleurs, fractures (cause ++). * Aspect radio: perte de densité du «corps» de l os, avec liseré de condensation périph. * Origines: résorption (clastes) > formation (blastes) «type I»: ostéoporose post-ménauposique (femme ++) «type II»: ostéoporose «sénile» (2 femmes/1 homme): vieillissemen «physio» de l os.
5 OSTEOPOROSE = >> RESORPTION (ostéoclastes) >> FORMATION (ostéoblastes) NB1: autres cause (++ rares) = Cushing iatrogène, immobilisation ++.. NB2: l hyper - résorption liée à l hyperparathyroïdie doit être distinguée de l ostéoporose classique (radio.différente = résorp.sous-périostée des phalanges assez typique, avec «mitage» distal des troisièmes).
6 Rachitisme: Rachitisme (enfant) & Ostéomalacie (adulte) = défaut de MINERALISATION - Maladie de l enfant : début précoce (< 4ans, souvent visible à 6 mois) - Symptomato: déformations osseuses parfois +++, troubles de croissance. - Aspect radio: aspect «flou» de la trame osseuse, élargissement des poignets et des phalanges, déformations «en escalope», irrégularités des épiphyses. Déformations squelettiques (membres, thorax..), crâniotabès (mou), petiet taile.
7 Ostéomalacie : Maladie de l adulte : douleurs osseuses diffuses et + musculaires, fatigue (myasthénie) + déformations osseuses (assez rares, par exemple «thorax en cloche», cyphose..) ; fractures rares; contexte d isolement et mal (dé) nutrition chez un sujet âgé. Aspect radio: perte de densité du «corps» de l os (flou), avec liseré de condensation périphérique, tassements vertébraux (typique: «vertèbres biconcaves») + déformation des os longs, du bassin, du sternum..
8 Donc: rachitisme / ostéomalacie Formation de la matrice (ostéoïde) Minéralisation = Diminution de l ostéoformation (différenciation ostéoblastique, synthèse ostéoïde, réduction de la minéralisation), sans augmentation de la résorption osseuse.
9 Principales causes de rachitisme / ostéomalacie.
10 La cause la ++ fréquente: carence en vitamine D3, ou (beaucoup plus rarement) vitamine D inactive. Carences en vitamine D3: - Défaut d exposition solaire + combiné à alimentation pauvre en vitamine D3: le + souvent, dans pays développés, il s agit de sujets âgés, à alimentation déséquilibrée, sortant peu, régions peu ensoleillées. -> l isolement et le manque de ressources croissants des sujets âgés, et/ou qui négligent le côté «alimentaire» (dépression) sont quelques unes des causes qui font que l ostéomalacie doit être recherchée chez le sujet âgé se plaignant de fatigue, douleurs squelettiques et musculaires + diffuses.. (les vraies déformations squelettiques: thorax en cloche, cyphose, voire diminution visible de taille) étant assez rares. -> pourquoi défaut d exposition solaire? On verra ci - après que la vitamine D3, bien qu étant une «vitamine», est partiellement synthétisée au niveau de la peau sous l effet des UVB.
11 * Dans les pays oû la famine est endémique, c est le rachitisme (chez enfants), qui va prédominer (on ne manque pas de soleil, mais l alimentation est trop pauvre en vitamine D3 pour fournir la dose nécessaire; par ailleurs, les peaux très noires, protégées des UVB par la mélanine, fabriquent moins de vitamine D Enfant Somalien atteint de rachitisme Donc: si, dans les pays «développés», c est l ostéomalacie du sujet âgé, souvent isolé et à l alimentation déséquilibrée, qui prédomine, ne pas oublier que le rachitisme touche encore de nombreux enfantsdans les zones de famine
12 Autres causes (++ rares) - Défaut d absorption de la vitamine D 3 : toute cause de malabsorption Ex = cholestase prolongée, maladie de Crohn, pancréatite chronique, maladie coeliaque, mucoviscidose, certaines parasitoses (Giarda), syndrome du grèle court (résection chir. ), alcoolisme chronique, etc.. - Défaut «d activation» de la vitamine D 3 La vitamine D (voir + loin) doit, pour être active, être HYDROXYLEE, et ce 2 fois: - La première fois, en 25, par le FOIE : - Puis en 1, par le REIN :
13 * En conséquence, une insuffisance hépatique, ou une insuffisance rénale, empêcheront l activation de la vitamine D, même si l apport est suffisant. Supplémenter en forme active (hydroxylée = 1,25 dihydroxy D 3 NB: les traitements, les doses, seront traités par le Pr. P.Fardellone - Enfin, une cause encore +++ rare: récepteur vitamine D inactif. On verra ci - après que la vitamine D activée agit comme une hormone stéroïde, avec des récepteurs nucléaires spécifiques, mais très rarement on peut trouver des mutations affectant ces récepteurs, de sorte que la transcription des gènes sous contrôle ne peut être déclenchée. NB: là encore, les traitements et les doses, seront traités par le Pr. P.Fardellone, dans ce cas on dira juste: doses +++ de 1,25 dioh vitamine D et doses ++ Ca 2+
14 - Autres causes non liées à la vitamine D (non exhaustif): - Carences d apport en phosphate: très très rares, peu graves en général. - «Fuites» rénales de phosphate («diabète phosphoré»: - Hypophosphatémies familiales liées à l X - Ostéomalacie tumorale: Tumeurs intra-osseuses souvent bénignes secrétant des substances inhibant la réabsorption tubulaire du phosphate («phosphatonine»), exérèse si possible, sinon TT vitamine D3 + phosphate + Ca 2+ - Corticothérapies, diurétiques (rarement) - Syndrome de Toni-Debré-Fanconi = défaut de réabsorption tubulaire du Pi : - Causes très variées:, les principales: Hyperparathyroïdie primitive Intoxications métaux lourds (plomb, cadmium..), Myélome multiple, Transplantations rénales (altération greffon, cyclosporine?) Maladies métaboliques rares: Wilson, Tyrosinose, galactosémie, fructosémie, etc.. (y penser)
15 Puisque la carence en vit.d est la + fréquente cause d ostéomalacie/rachitisme Vitamine D: structure, origine, rôles et mécanismes d action
16 La vitamine D : structure, origine UVB Première fois Sur le doigt Dans le Foie A la fin, En 1, Dans le rein
17 Régulation de la formation de la structure active: hydroxylation rénale en 1 (1-α-hydroxylase)
18 La vitamine D : principaux mécanismes d action - Stimule absorption intestinale de Ca 2+ et phosphate - Stimulation de la réabsorption rénale du phosphate. Calcium et phosphate nécessaires à la minéralisation osseuse - Stimule la différenciation des ostéoclastes - Stimule la différenciation des ostéoblastes Stimule le remodelage osseux - Stimule la synthèse de la matrice osseuse - Stimule la minéralisation de l os (dépôts de phosphate de calcium = hydroxyapathite) Stimule la calcificationde l os (os «solide»)
19 NB: un mot sur un paradoxe apparent: la vitamine D - Stimule la différenciation des ostéoblastes - Stimule la différenciation des ostéoclastes Stimule le remodelage osseux La carence en vitamine D diminue à la fois l ostéoformation (blastes) et la résorption osseuse: il n y a donc pas d excès de résorption, et l effet global constaté sera donc un ralentissement du remodelage accompagné d une hypominéralisation. Donc différent de l ostéoporose, dans laquelle on a une résorption augmentée par rapport à l ostéoformation (déséquilibre).
20 Mécanismes d action: effets géniques (++) & «non-géniques» (?) Récepteurs cytosoliques («VDRs») translocation au noyau, dimérisation interaction avec promoteurs via des domaines en «doigts de zinc» (Cys) Effets géniques (les + documentés) + effets «non-géniques?
21 Vitamine D et absorption du calcium Absorption intestinale des ions Ca 2+ Autres tissus? Bien qu évoqué, le rôle de la vitamine D dans l absorption du calcium par d autres tissus (osseux, par ex.) n a pas été démontré. Effet gènique (synthèse de CaBP) les récepteurs de la vitamine D sont des facteurs de transcription
22 Vitamine D et absorption du phosphate La capture cellulaire du phosphate dans différents tissus (intestin, reins, os (ostéoblastes) etc.., se fait grâce à des transporteurs spécifiques: les «co-transporteurs» Na+/Pi, ou «Pit» (en fait une famille de cotransporteurs sodium / phosphate inorganique), le plus Important étant: «Pit-1» Exemple de la réabsorption rénale du phosphate par les celllules des tubules proximaux: «Pi t» type I, type II, type III, le + actif étant Pit-1 Pi-1 est augmenté par la vitamine D3 (effet génique», et réprimé par la PTH
23 Exemple au niveau de l os (ostéoblastes) La minéralisation consiste en la formation de cristaux de phosphate de calcium (hydroxyapathite) au sein de l ostéoblaste différencié («vésicules matricielles»), qui sont ensuite exocytées dans le milieu extracellulaire, i.e. la matrice de l ostéoïde, dépôts sur ostéocalcine, ostéopontine, matrix GLA protein etc..); NB: effet foscarnet. Veldman CM & al. Bone (1997) 1: La vitamine D stimule la pénétration du phosphate et l extrusion des vésicules matricielles, donc la minéralisation. Effet sur l expression génique du transporteur Pit-1.
24 La vitamine D (5) Selon certaines études la vitamine D pourrait également protéger significativement contre les K du sein, de la prostate et du colon. * Bouillon R & al. Vitamin D and cancer. J Steroid Biochem Mol Biol (2006) 102: * Garland CF & al. The role of vitamin D in cancer prevention. Am J Public Health (2006), 96: * Lappe JL & al. Vitamin D supplementation reduces cancer risk: results of a randomized trial. Am J Clin Nutr (2007) 85: * Dembrow M. High vitamin D: Rx for cancer prevention? Clin Advisor (2007) 10: * Zhang R, Naughton DP. Vitamin D in health and disease: current persperctives. Nutr J (2010) 9: etc..
25 La vitamine D (6) Principales sources Exposition solaire Sources alimentaires: foie, poissons gras (huile de foie de morue!!) = liposoluble. Compléments alimentaires multivitaminiques ou vit D seule (type Dedrogyl)
26 Exploration biologique de l ostéomalacie et du rachitisme Valeurs normales Ostéomalacie/rachitisme Hypocalcémie / urie+ hypophosphorémie + le plus souvent carence en vit.d3 (++) + éventuellement hyperphosphaturie (si patho causée par une «fuite» urinaire) Ostéoporose Bilan phosphocalcique = N doser les marqueurs du remodelage osseux (ex: produits de dégradation du collagène etc..)
27 Merci de votre attention
sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailUtilité clinique du dosage de la vitamine D
NOTE DE CADRAGE Utilité clinique du dosage de la vitamine D Date de validation par le collège : Janvier 2013 Service évaluation des actes professionnels Cette note de cadrage est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailTraitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr
Plus en détailLe point sur la vitamine D
Formation continue Vol. 23 No. 4 2012 Le point sur la vitamine D Aude Tonson la Tour*, Alexandra Wilhelm-Bals*, Elsa Gonzalez Nguyen Tang*, Eric Girardin*, Genève Introduction La vitamine D est une vitamine
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailLa chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure
REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n
Plus en détailspecial greffe ii numéro LA REVUE SEMESTRIELLE GRATUITE DE LA LIGUE REIN ET SANTÉ MARS 2012 - SEPT. 2012 DOSSIER GREFFE ET DIABÈTE page 41 à 47
n 12 MARS 2012 - SEPT. 2012 LA REVUE SEMESTRIELLE GRATUITE DE LA LIGUE REIN ET SANTÉ numéro special greffe ii DOSSIER GREFFE RÉNALE page 5 à 26 AIDE MÉMOIRE DU TRANSPLANTÉ page 26 à 40 DOSSIER GREFFE ET
Plus en détailSommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18
Sommaire Introduction 5 I. Des rappels anatomiques et physiologiques 6 A. Les cellules du tissu osseux 7 1. Les ostéoblastes 8 2. Les ostéocytes 8 3. Les cellules bordantes 9 4. Les ostéoclastes 9 B. La
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailPrise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter
Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailPathologies osseuses
Rhumatologie version: 1.0 Pathologies osseuses A. Métabolisme osseux I. Remodelage osseux a. Constitution du T osseux Eau (10%) Protéines (20%) (Collagène de type I surtout) Minéral (70%) (hydroxyapatite)
Plus en détailCinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org
Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailActivité physique et santé osseuse
L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailLa dysplasie fibreuse des os
La dysplasie fibreuse des os La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détail... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7
BIOLOGIE --1 LE SYSTÈME SQUELETTIQUE ET MUSCULAIRE CHEZ L HUMAIN BIO 5066-1 Novembre 2004 Table des matières Page INTRODUCTION... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6 Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailMédecine interne. VitamineDetfoie. Vitamin D and liver. Hegel Vol. 5 N 1-2015 DOI : 10.4267/2042/56334. Pierre Toulemonde. Résumé. Mots-clés.
10 DOI : 10.4267/2042/56334 VitamineDetfoie Vitamin D and liver Pierre Toulemonde Clinique Saint-Jean Languedoc pierre.toulemonde@wanadoo.fr Médecine interne Résumé Le rôle de la vitamine D sur l organisme
Plus en détail*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.
WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailProgramme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque
Bienvenue Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Le droit à la sécurité alimentaire et le Programme de certification sans gluten QMI-SAI Global Symposium sur la sécurité
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailLa constipation occasionnelle chez l adulte
Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailMaladies ostéo-articulaires
CHAPITRE 8 Maladies ostéo-articulaires PLAN DU CHAPITRE INTERPRÉTER LA PRÉSENCE D'ANTICORPS ANTI-PEPTIDES CYCLIQUES CITRULLINES (AC. ANTI-CCP) INTERPRÉTER LA PRÉSENCE D'UN FACTEUR RHUMATOÏDE INTERPRÉTER
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailOSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE
OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie
Plus en détailL été est arrivé et les vacances aussi.
L été est arrivé et les vacances aussi. Toute la famille se prépare pour aller à la plage, es-tu prêt à en profiter avec eux? Hélios et Hélia ont hâte de retrouver leurs amis et surtout de profiter de
Plus en détailPour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire
Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailLes clés du «bien vieillir»
Les clés du «bien vieillir» Prévention des chutes chez les seniors Dossier de presse Novembre 2001 Contacts presse : CNAMTS/ CFES : Anne Degroux : 01 41 33 33 06 e-mail : anne.degroux@cfes.sante.fr BBDO
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailLa gale d été arrive à grands pas que faire?
La gale d été arrive à grands pas que faire? Enfin chaque année - le printemps arrive, chevaux et cavaliers peuvent enfin retourner dans la nature verdoyante. Mais c est aussi le cas des moustiques et
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailTUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013
TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 réalisée par les tuteurs, non contrôlée par les professeurs de l'ue NON OFFICIELLE QCM n 1 : A, B, D, E L homéocode odontogénique regroupe 4 principaux
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailSommaire. Caractéristiques du TCH. Implantation animale. Recul clinique. Généralités sur les céramiques phosphocalciques poreuses
Sommaire Caractéristiques du TCH composition chimique résistance en compression sécurité biologique biocompatibilité contamination Références bibliographiques Implantation animale Protocole Résultats ostéoconduction
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailComposition corporelle
Composition corporelle Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Définition des compartiments... 3 I.1 Le modèle anatomique... 3 I.2 Le modèle biochimique...
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailConclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation. R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen
Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen Etat des lieux : prélèvements et greffes à l AP-HP Forte Activité de l AP-HP au plan national
Plus en détailFCC 8. Les perturbations endocriniennes après. chirurgie de l obésité
Congrès de l Association Française de Chirurgie Paris du 30 septembre au 2 octobre 2009 Séance de Formation Chirurgicale Continue FCC 8 Les perturbations endocriniennes après chirurgie de l obésité Organisateur
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailMythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!
Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailProcessus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte
Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte Yann Macé 1 La consolidation osseuse est un processus qui aboutit à la réparation du tissu osseux après une fracture, une
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailSUJET. M. Geoffrey DUPONT vient d'obtenir son CAP. Il envisage de rechercher son premier emploi, et son premier logement.
SUJET (l'usage de la calculatrice n'est pas autorisé) 1 - DOMAINE ENTREPRISE ET VIE PROFESSIONNELLE / 4 points M. Geoffrey DUPONT vient d'obtenir son CAP. Il envisage de rechercher son premier emploi,
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détail