MALADIES INFECTIEUSES ET

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MALADIES INFECTIEUSES ET"

Transcription

1 MISE À JOUR DES DONNÉES SOCIOSANITAIRES DE LA RÉGION DES LAURENTIDES ET DES TERRITOIRES DE CLSC 6 MALADIES INFECTIEUSES ET COUVERTURE VACCINALE Ce fascicule est le sixième d une série de six. Il met à jour des données sociosanitaires de la région des Laurentides et de ses territoires de CLSC en lien avec les plans d action de santé publique. Il traite de façon descriptive du domaine des maladies infectieuses, incluant la couverture vaccinale. Prévenir pour l avenir Direction régionale de santé publique des Laurentides Nous avons retenu pour ce fascicule des données provenant principalement du système provincial de surveillance des maladies à déclaration obligatoire (MADO). Les données présentées s inscrivent en continuité avec les données publiées dans les Rapports sur les maladies à déclaration obligatoire Région des Laurentides produits précédemment. Au regard de ce domaine, les autres sources utilisées sont les données recueillies par la DSP des Laurentides dans le cadre du suivi des enquêtes épidémiologiques en maladies infectieuses et du suivi de l application des programmes de vaccination. Quelques données de la couverture vaccinale contre l influenza proviennent de l Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, cycle 1.1 (ESCC). JANVIER 2004

2

3 JANVIER 2004 SOMMAIRE Page Maladies infectieuses Maladies à déclaration obligatoire...4 Enquêtes en maladies infectieuses...17 Rage : enquêtes concernant les morsures animales...18 Virus du Nil occidental (VNO)...20 Couverture vaccinale Vaccination hépatite B en milieu scolaire...21 Vaccination influenza...22 SOURCES Laboratoire de santé publique du Québec. Données de surveillance des maladies à déclaration obligatoire, Direction de santé publique des Laurentides. Données de suivi des enquêtes épidémiologiques en maladies infectieuses, Direction de santé publique des Laurentides. Données de suivi de l application des programmes de vaccination, Institut de la statistique du Québec. Compendium de tableaux produit avec le Fichier de microdonnées à grande diffusion de Statistique Canada. Québec, mai La série Mise à jour des données sociosanitaires de la région des Laurentides et des territoires de CLSC comprend 6 fascicules: 1-Démographie : dimensions sociale et économique 2-Naissances, morbidité et mortalité 3-Développement, adaptation et intégration sociale 4-Habitudes de vie et maladies chroniques 5-Traumatismes non intentionnels 6-Maladies infectieuses et couverture vaccinale Cette publication a été réalisée par : L équipe de la surveillance, de la recherche et de l évaluation de l Agence de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux des Laurentides 1000, rue Labelle, Bureau 210 Saint-Jérôme (Québec) J7Z 5N6 Téléphone : (450) Internet : http : // Dépôt légal : 1 e trimestre 2004 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISBN :

4 Maladies à déclaration obligatoire Le règlement d application de la Loi sur la santé publique prévoit qu une cinquantaine de maladies de nature infectieuse sont à déclaration obligatoire. Depuis le 20 novembre 2003, la liste des maladies à déclaration obligatoire (MADO) a été légèrement modifiée; ainsi, certaines maladies infectieuses telles que l infection à VNO (virus du Nil occidental) et le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) y ont été ajoutées. Les médecins et les laboratoires sont responsables de la déclaration des MADO auprès des Directeurs régionaux de santé publique. Ces derniers doivent transmettre les informations recueillies au ministère de la Santé et des Services sociaux. La déclaration de ces maladies permet de mettre en branle le plus rapidement possible l'intervention de santé publique visant à prévenir la survenue de cas secondaires (ex. recommandations de mesures d'hygiène, de chimioprophylaxie ou de vaccination des contacts, isolement). Les données de surveillance permettent aussi de planifier les programmes de prévention de ces maladies, de même que l évaluation de ces programmes. Les tableaux 1 et 2 présentent les données concernant l ensemble des MADO pour notre région pour les années 1999 à 2002, en comparaison avec les données provinciales. Les tableaux suivants contiennent les données MADO 2002, pour notre région, selon le territoire de CLSC, selon le mois, selon l'âge et le sexe. Ces tableaux s inscrivent en continuité avec les données présentées dans les Rapports sur les maladies à déclaration obligatoire Région des Laurentides produits précédemment. Les données présentées constituent un portrait de la déclaration de certaines maladies infectieuses, et non pas une image réelle et parfaitement fiable de la situation épidémiologique de ces maladies. Plusieurs maladies font en effet l'objet d'une certaine sous-déclaration, difficile à évaluer. La comparaison de l'incidence d'une maladie dans le temps doit donc être faite avec prudence puisque, d'une période à une autre, la sous-déclaration peut avoir atteint une proportion différente. De même, d'une région à une autre ou d une sous-région à une autre, le phénomène de sousdéclaration peut avoir joué différemment. Généralement, on considère que les MADO graves et peu fréquentes (ex.: infections à méningocoque, infections invasives à Haemophilus influenzae de type b) sont déclarées presque systématiquement. Il faut souligner que dans les régions ou sous-régions où la population est relativement peu nombreuse, lorsque le nombre de cas d'une maladie devient très petit (par exemple moins de 5 par sous-région), la simple survenue d'un cas de plus ou de moins fait varier l'incidence de façon importante. Il faut donc être attentif au nombre de cas observé lorsqu'on compare les taux. 4

5 1. Nombre de cas de MADO déclarés par année, région des Laurentides et le Québec, 1999 à 2002 MALADIE LAURENTIDES LE QUÉBEC Amibiase Botulisme Brucellose Campylobactériose Chancre mou Chlamydiose génitale Chlamydiose oculaire Chlamydiose pulmonaire Coqueluche Diarrhée épidémique Encéphalite virale arthropodes Encéphalite virale tiques Entérite à Escherichia Coli 0157:H Entérite à Yersinia Enterocolitica Fièvre paratyphoïde Fièvre Q Fièvre typhoïde Giardiase Haemophilus influenzae, bactériémie Haemophilus influenzae, méningite Haemophilus influenzae, autres formes Hépatite A Hépatite B aiguë Hépatite B porteur Hépatite B sans précision Hépatite C aiguë Hépatite C sans précision Herpès néonatal Infection gonococcique génito-urinaire Infection gonococcique oculaire Infection gonococcique autre localisation Infection à méningocoque

6 6 MALADIE LAURENTIDES LE QUÉBEC Légionellose Lèpre Méningite à entérovirus Coxsackie Méningite à entérovirus Echo Méningite à entérovirus sans précision Oreillons Paludisme Psittacose Rage Rougeole Rubéole Rubéole congénitale Salmonellose Scarlatine Shigellose Sida Streptocoque A invasif Streptocoque B invasif Streptocoque pneumoniae Syphilis congénitale Syphilis primaire Syphilis secondaire Syphilis latente (< 1an) Syphilis latente (> 1 an) Syphilis nerveuse asymptomatique Syphilis nerveuse symptomatique Syphilis autre Toxi-infection alimentaire Trichinose Tuberculose Tularémie TOTAL Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO, 2002

7 2. Incidence annuelle de cas de MADO déclarés pour personnes par année, région des Laurentides et le Québec, 1999 à 2002 MALADIE LAURENTIDES LE QUÉBEC Amibiase 0,0 0,4 1,3 0,4 3,0 2,9 2,9 2,7 Botulisme 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,1 Brucellose 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Campylobactériose 38,4 31,3 30,1 33,7 38,6 36,2 32,8 34,0 Chancre mou 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Chlamydiose génitale 86,6 107,7 136,5 164,4 108,7 118,5 137,9 149,0 Chlamydiose oculaire 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,1 0,2 0,2 Chlamydiose pulmonaire 0,2 0,0 0,0 0,2 0,1 0,1 0,1 0,1 Coqueluche 21,4 15,1 25,9 16,4 25,0 10,9 13,9 14,3 Diarrhée épidémique 0,4 0,4 0,0 0,4 0,4 0,9 0,4 1,3 Encéphalite virale arthropodes 0,0 0,0 0,0 0,4 0,0 0,0 0,0 0,2 Encéphalite virale tiques 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Entérite à Escherichia Coli 0157:H7 3,5 7,5 5,3 2,1 6,2 7,3 4,6 3,5 Entérite à Yersinia Enterocolitica 1,5 1,9 1,3 0,4 2,0 1,9 1,6 1,9 Fièvre paratyphoïde 0,2 0,0 0,0 0,0 0,1 0,1 0,2 0,2 Fièvre Q 0,0 0,0 0,0 0,0 1,5 0,6 0,6 0,4 Fièvre typhoïde 0,0 0,2 0,0 0,0 0,1 0,1 0,1 0,2 Giardiase 15,8 7,3 9,3 12,3 14,9 12,6 11,9 12,8 Haemophilus influenzae, bactériémie 0,0 0,2 0,0 0,0 0,1 0,1 0,0 0,0 Haemophilus influenzae, méningite 0,0 0,0 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Haemophilus influenzae, autres formes 0,0 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 Hépatite A 1,3 1,7 1,9 1,9 2,4 1,5 1,5 1,3 Hépatite B aiguë 0,7 1,1 0,8 1,3 2,2 2,5 1,3 1,3 Hépatite B porteur 4,1 6,8 10,5 8,5 13,3 13,2 14,4 13,0 Hépatite B sans précision 62,8 0,0 0,0 0,0 2,1 1,9 1,6 2,1 Hépatite C aiguë 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,0 Hépatite C sans précision 62,8 65,0 65,9 62,8 46,1 57,2 46,3 38,3 Herpès néonatal 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Infection gonococcique génito-urinaire 4,3 2,8 5,1 6,9 7,7 8,1 10,0 10,6 Infection gonococcique oculaire 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Infection gonococcique autre localisation 0,0 0,2 0,2 0,2 0,7 1,0 1,2 1,1 Infection à méningocoque 0,7 0,4 0,8 0,6 0,5 0,5 1,4 1,0 7

8 MALADIE LAURENTIDES LE QUÉBEC Légionellose 0,0 0,2 0,0 0,2 0,2 0,2 0,2 0,4 Lèpre 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Méningite à entérovirus Coxsackie 0,7 0,4 0,2 0,2 0,4 0,4 0,3 0,2 Méningite à entérovirus Echo 2,2 0,2 0,0 0,0 1,6 0,5 0,1 0,2 Méningite à entérovirus sans précision 0,0 0,0 0,4 1,5 0,7 0,2 0,5 1,3 Oreillons 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,3 0,2 0,0 Paludisme 0,2 0,6 0,0 0,6 1,3 2,4 2,3 1,3 Psittacose 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Rage 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Rougeole 0,0 6,0 0,0 0,0 0,0 0,4 0,0 0,0 Rubéole 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Rubéole congénitale 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Salmonellose 11,4 13,2 10,3 18,7 14,0 14,5 14,3 16,2 Scarlatine 33,0 17,1 16,4 13,9 15,2 17,6 8,4 8,8 Shigellose 1,7 2,8 1,5 1,5 2,9 6,2 4,0 2,6 Sida 0,2 0,0 0,0 0,2 2,4 2,2 1,5 1,2 Streptocoque A invasif 1,9 2,4 1,7 1,5 2,3 2,7 2,1 2,2 Streptocoque B invasif 0,7 0,0 0,4 0,8 1,1 0,7 0,5 0,7 Streptocoque pneumoniae 5,8 5,1 6,5 10,4 10,3 10,6 11,9 11,0 Syphilis congénitale 0,0 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Syphilis primaire 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,1 Syphilis secondaire 0,0 0,0 0,0 0,2 0,0 0,1 0,1 0,5 Syphilis latente (< 1an) 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 Syphilis latente (> 1 an) 0,0 0,4 0,0 0,0 0,3 0,2 0,4 0,5 Syphilis nerveuse asymptomatique 0,0 0,2 0,0 0,0 0,0 0,1 0,1 0,0 Syphilis nerveuse symptomatique 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Syphilis autre 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 Toxi-infection alimentaire 2,8 3,2 2,5 3,3 1,8 2,5 1,5 1,9 Trichinose 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Tuberculose 1,3 0,6 1,5 1,9 4,3 4,3 3,5 3,8 Tularémie 0,0 0,0 0,0 0,0 0,2 0,2 0,1 0,1 TOTAL 366,8 302,8 336,5 367,9 335,0 344,5 337,1 342,9 Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO,

9 3. Nombre de cas de déclarés par territoire de CLSC, région des Laurentides, 2002 Territoire de CLSC MALADIE Argenteuil Arthur-Buies Hautes- Laurentides J.-O. Chénier Pays-d'en-Haut Thérèse-de- Blainville Trois Vallées RÉGION DES LAURENTIDES Amibiase Campylobactériose Chlamydiose génitale Chlamydiose pulmonaire Coqueluche Diarrhée épidémique Encéphalite virale arthropodes Entérite à Escherichia Coli Entérite à Yersinia Enterocolitica Giardiase Hépatite A Hépatite B aiguë Hépatite B porteur chronique Hépatite C sans précision Infection gono. gén.-urinaire Infection gono. autre localisation Infection à méningocoque Légionellose Méningite Coxsackie Méningite sans précision Paludisme Salmonellose Scarlatine Shigellose Sida Streptocoque A invasif Streptocoque B invasif Streptocoque pneumoniae Syphilis secondaire Toxi-infection alimentaire Tuberculose TOTAL Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO,

10 4. Incidence de cas de MADO déclarés pour personnes par territoire de CLSC, région des Laurentides, 2002 Territoire de CLSC MALADIE Argenteuil Arthur-Buies Hautes- Laurentides J.-O. Chénier Pays-d'en- Haut Thérèse-de- Blainville Trois Vallées RÉGION DES LAURENTIDES Amibiase 0,0 0,0 0,0 0,0 3,1 0,7 0,0 3,8 Campylobactériose 102,5 35,9 31,4 23,2 33,8 21,3 47,3 295,5 Chlamydiose génitale 47,9 204,4 154,3 170,6 55,4 164,7 221,5 1018,6 Chlamydiose pulmonaire 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,5 2,5 Coqueluche 6,8 24,9 2,9 9,1 6,2 23,5 14,9 88,3 Diarrhée épidémique 3,4 0,9 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 4,3 Encéphalite virale arthropodes 0,0 0,0 0,0 1,0 0,0 0,7 0,0 1,8 Entérite à Escherichia Coli 0,0 2,8 0,0 3,0 0,0 1,5 5,0 12,2 Entérite à Yersinia Enterocolitica 0,0 1,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,8 Giardiase 20,5 22,1 5,7 8,1 0,0 14,0 0,0 70,4 Hépatite A 6,8 2,8 0,0 0,0 0,0 2,9 0,0 12,5 Hépatite B aiguë 0,0 3,7 0,0 0,0 3,1 0,7 0,0 7,5 Hépatite B porteur chronique 10,3 10,1 5,7 6,1 12,3 11,0 0,0 55,5 Hépatite C sans précision 88,9 90,2 31,4 15,1 27,7 83,8 72,2 409,3 Infection gono. gén.-urinaire 6,8 7,4 5,7 7,1 6,2 8,1 2,5 43,7 Infection gono. autre localisation 0,0 0,0 0,0 1,0 0,0 0,0 0,0 1,0 Infection à méningocoque 0,0 2,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,8 Légionellose 0,0 0,9 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,9 Méningite Coxsackie 0,0 0,0 0,0 1,0 0,0 0,0 0,0 1,0 Méningite sans précision 0,0 0,9 0,0 3,0 6,2 0,7 0,0 10,8 Paludisme 0,0 1,8 0,0 0,0 3,1 0,0 0,0 4,9 Salmonellose 20,5 24,9 17,1 13,1 9,2 17,7 27,4 129,9 Scarlatine 3,4 8,3 22,9 34,3 0,0 11,0 0,0 79,9 Shigellose 0,0 0,9 0,0 1,0 3,1 2,9 0,0 8,0 Sida 0,0 0,0 0,0 1,0 0,0 0,0 0,0 1,0 Streptocoque A invasif 0,0 0,9 0,0 3,0 0,0 0,7 5,0 9,7 Streptocoque B invasif 0,0 0,9 0,0 2,0 0,0 0,7 0,0 3,7 Streptocoque pneumoniae 6,8 6,5 2,9 17,2 6,2 13,2 7,5 60,2 Syphilis secondaire 0,0 0,9 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,9 Toxi-infection alimentaire 0,0 7,4 0,0 2,0 9,2 2,2 0,0 20,8 Tuberculose 0,0 2,8 0,0 2,0 3,1 2,2 0,0 10,1 TOTAL 324,7 466,8 279,9 324,0 187,6 384,6 405,6 367,9 Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO,

11 5. Nombre de cas de MADO déclarés par mois, région des Laurentides, 2002 MALADIE MOIS Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc TOTAL Amibiase Campylobactériose Chlamydiose génitale Chlamydiose pulmonaire Coqueluche Diarrhée épidémique Encéphalite virale arthrop Entérite à Escherichia Coli Entérite à Yersinia Enteroc Giardiase Hépatite A Hépatite B aiguë Hépatite B porteur chronique Hépatite C sans précision Infection gono. gén.-urinaire Infection gono. autre local Infection à méningocoque Légionellose Méningite Coxsackie Méningite sans précision Paludisme Salmonellose Scarlatine Shigellose Sida Streptocoque A invasif Streptocoque B invasif Streptocoque pneumoniae Syphilis secondaire Toxi-infection alimentaire Tuberculose TOTAL Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO,

12 6. Nombre de cas de MADO déclarés selon le groupe d âge et le sexe, région des Laurentides, 2002 GROUPE D'ÂGE MALADIE < M F M F M F M F M F M F M F M F M F M F Amibiase Campylobactériose Chlamydiose génitale Chlamydiose pulmonaire Coqueluche Diarrhée épidémique Encéphalite virale arthrop Entérite à Escherichia Coli Entérite à Yersinia enteroc Giardiase Hépatite A Hépatite B aiguë Hépatite B porteur chronique Hépatite C sans précision Infection gono. gén.-urinaire Infection gono. autre local Infection à méningocoque Légionellose Méningite Coxsackie Méningite sans précision Paludisme Salmonellose Scarlatine

13 GROUPE D'ÂGE MALADIE < M F M F M F M F M F M F M F M F M F M F Shigellose Sida Streptocoque A invasif Streptocoque B invasif Streptocoque pneumoniae Syphilis secondaire Toxi-infection alimentaire Tuberculose TOTAL Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO,

14 7. Incidence de cas de maladies à déclaration obligatoire déclarés pour personnes selon le groupe d âge et le sexe, région des Laurentides, 2002 GROUPE D'ÂGE MALADIE < M F M F M F M F M F M F M F M F M F M F Amibiase 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,7 0,0 0,0 1,4 0,0 0,0 Campylobactériose 79,1 41,8 47,2 49,8 23,8 6,2 5,6 11,7 70,8 40,8 64,2 39,9 71,0 51,2 57,0 27,2 31,7 27,0 23,0 19,9 Chlamydiose génitale 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 58,6 238,1 1856,8 417,0 1382,7 298,1 482,4 84,1 116,9 14,5 5,4 0,0 0,0 Chlamydiose pulmonaire 39,6 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Coqueluche 158,2 125,5 47,2 59,7 23,8 61,8 44,9 64,5 6,4 13,6 6,4 19,9 0,0 7,3 13,6 29,9 1,3 2,7 0,0 2,5 Diarrhée épidémique 0,0 0,0 0,0 10,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,9 0,0 Encéphalite virale arthrop. 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,7 0,0 0,0 1,4 0,0 0,0 Entérite à Escherichia Coli 0,0 0,0 0,0 0,0 6,0 6,2 0,0 0,0 0,0 13,6 0,0 13,3 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,4 2,9 5,0 Entérite à Yersinia enteroc. 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 7,1 7,3 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Giardiase 0,0 0,0 170,0 99,5 6,0 6,2 11,2 0,0 6,4 0,0 6,4 19,9 14,2 14,6 10,9 27,2 2,6 2,7 0,0 0,0 Hépatite A 0,0 0,0 0,0 0,0 11,9 6,2 0,0 0,0 6,4 0,0 0,0 0,0 7,1 0,0 0,0 0,0 1,3 2,7 2,9 0,0 Hépatite B aiguë 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 6,7 0,0 0,0 0,0 0,0 5,3 1,4 0,0 0,0 Hépatite B porteur chronique 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 5,6 5,9 0,0 0,0 6,4 0,0 7,1 7,3 13,6 5,4 23,8 5,4 8,6 9,9 Hépatite C sans précision 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 6,4 0,0 96,2 19,9 92,3 7,3 241,4 54,4 154,4 33,7 34,5 14,9 Infection gono. gén.-urinaire 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 12,9 61,2 25,7 19,9 28,4 14,6 10,9 2,7 5,3 0,0 0,0 0,0 Infection gono. autre local. 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 7,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Infection à méningocoque 39,6 0,0 9,4 10,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Légionellose 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,3 0,0 0,0 0,0 Méningite Coxsackie 0,0 41,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Méningite sans précision 39,6 0,0 9,4 19,9 6,0 6,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,7 0,0 0,0 0,0 0,0 Paludisme 0,0 0,0 9,4 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,7 0,0 1,3 0,0 0,0 0,0 Salmonellose 79,1 125,5 47,2 89,6 17,9 49,4 16,8 23,5 19,3 6,8 6,4 13,3 56,8 14,6 2,7 10,9 13,2 13,5 17,3 12,4 Scarlatine 0,0 0,0 47,2 29,9 178,8 129,8 22,5 23,5 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 14

15 GROUPE D'ÂGE MALADIE < M F M F M F M F M F M F M F M F M F M F Shigellose 0,0 0,0 28,3 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 5,4 0,0 2,7 0,0 0,0 Sida 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,3 0,0 0,0 0,0 Streptocoque A invasif 0,0 0,0 0,0 10,0 0,0 0,0 0,0 0,0 6,4 6,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 5,4 1,3 1,4 0,0 0,0 Streptocoque B invasif 39,6 41,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 7,3 0,0 0,0 1,3 0,0 0,0 0,0 Streptocoque pneumoniae 118,7 83,7 85,0 10,0 0,0 18,5 5,6 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 10,9 9,2 4,0 28,8 17,4 Syphilis secondaire 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,3 0,0 0,0 0,0 Toxi-infection alimentaire 0,0 0,0 9,4 10,0 6,0 0,0 0,0 0,0 6,4 6,8 0,0 0,0 0,0 14,6 0,0 8,2 2,6 5,4 0,0 0,0 Tuberculose 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 13,6 0,0 6,7 0,0 0,0 0,0 0,0 2,6 0,0 8,6 2,5 TOTAL 593,4 460,1 510,0 398,0 280,1 290,4 112,2 187,6 379,7 2020,0 628,6 1542,3 589,2 628,6 442,1 307,3 275,9 111,9 129,5 84,5 Source : LSPQ. Données de surveillance des MADO,

16 Tant dans les Laurentides qu au Québec, l incidence des MADO déclarées a augmenté légèrement au cours des dernières années (tableaux 1 et 2). Les maladies déclarées le plus fréquemment en 2002 ont été la chlamydiose génitale, l hépatite C, la campylobactériose, la salmonellose et la coqueluche. Le plus grand nombre de MADO déclarées dans la région en 2002 (523) a été observé dans le territoire du CLSC Thérèse-de-Blainville, suivi du territoire du CLSC Arthur-Buies (tableau 3). Ce dernier présentait toutefois le taux de déclaration le plus élevé, soit 466,8 cas par (tableau 4), alors que le territoire du CLSC des Pays-d en-haut présentait le taux de déclaration le plus faible, soit 187,6 par De façon générale, au cours des années 1999 à 2002 (tableaux 1 et 2), on a noté une augmentation du nombre de cas déclarés des infections transmises sexuellement (chlamydiose génitale et infection gonococcique). Notons que la chlamydiose génitale représentait 44,7 % des MADO déclarées dans les Laurentides en 2002 (45,8 % dans l ensemble du Québec). Parmi les infections transmises par voie fécale-orale ou par consommation d aliments contaminés, la salmonellose a vu son nombre de cas déclarés augmenter de 1999 à 2002, alors que l incidence de la campylobactériose est demeurée stable et l incidence de l entérite à E.Coli entéropathogène 0157:H7 a diminué de 2000 à En ce qui concerne les maladies évitables par la vaccination couvertes par le calendrier régulier d immunisation au Québec, aucun cas de diphtérie, tétanos, poliomyélite, rubéole, oreillons, n a été déclaré dans les Laurentides de 1999 à 2002 (tableau 1). Une éclosion de rougeole a été signalée en Par ailleurs, on a noté une diminution du nombre de cas de coqueluche au cours des dernières années. Quelques cas d hépatite B aiguë et de rares cas d infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ont été signalés. L influenza, qui fait aussi partie du calendrier régulier d immunisation, n est pas au nombre des maladies à déclaration obligatoire. Certaines maladies infectieuses présentent une distribution saisonnière. Ainsi, les infections transmises par voie fécale-orale ou par consommation d eau ou d aliments contaminés (campylobactériose, entérite à E. Coli, giardiase, salmonellose) sont légèrement plus fréquentes de la fin du printemps au début de l automne (tableau 5). Alors que certaines MADO affectent de façon semblable l ensemble des groupes d âge, d autres concernent davantage certains groupes. Ainsi, dans les Laurentides en 2002, 87,5 % des cas déclarés de chlamydiose génitale étaient âgés de 15 à 29 ans (tableau 6). Le taux d'incidence le plus élevé, soit 1856,8 par , appartenait aux femmes de 15 à 19 ans (tableau 7). Chez les 15 à 29 ans, 3,8 fois plus de cas de chlamydiose génitale ont été déclarés chez les femmes que chez les hommes et cette proportion atteignait 7,4 femmes pour un homme dans le groupe des ans. Par ailleurs, la coqueluche affecte davantage les jeunes de 14 ans ou moins, alors que la scarlatine concerne les enfants de 1 à 14 ans. La giardiase présente un taux d incidence plus élevé chez les 1 à 4 ans. Aucun cas d infection à VIH n a été signalé chez des nouveau-nés au cours des dernières années dans les Laurentides; il en est de même de la rubéole congénitale, alors qu un cas de syphilis congénitale a été déclaré en

17 Enquêtes en maladies infectieuses Définition : nombre annuel moyen d enquêtes concernant des déclarations de maladies infectieuses Toutes les maladies infectieuses signalées à la DSP ne font pas nécessairement l objet d une enquête épidémiologique auprès du cas déclaré (cas-index). À titre indicatif, le tableau suivant présente le nombre d enquêtes réalisées dans la région des Laurentides au cours des années 1999, 2000 et 2001 en fonction du territoire de résidence du cas-index. 8. Nombre moyen d enquêtes concernant des déclarations de maladies infectieuses réalisées annuellement, selon la catégorie de maladie, par territoire de CLSC, région des Laurentides, 1999 à 2001 Maladie Arthur-Buies Argenteuil Hautes- Laurentides J.-O.-Chénier Pays-d en-haut Thérèse-de- Blainville Trois Vallées Région des Laurentides Maladies entériques Coqueluche Hépatites Total Source : Plan de déploiement des enquêtes épidémiologiques vers les CLSC, DSP des Laurentides, déc

18 Enquêtes concernant des signalements de morsures animales Définition : nombre d enquêtes concernant des signalements de morsures animales 9. Nombre d enquêtes concernant des morsures animales et nombre de personnes vaccinées, par territoire de CLSC de résidence, région des Laurentides, 2000 à 2002 Territoire de CLSC Nombre d enquêtes réalisées Nombre de personnes vaccinées Nombre d enquêtes réalisées Nombre de personnes vaccinées Nombre d enquêtes réalisées Nombre de personnes vaccinées Jean-Olivier-Chénier Thérèse-de-Blainville Hautes-Laurentides Arthur-Buies Pays-d en-haut Trois Vallées Argenteuil Inconnu La région des Laurentides Source : Grenier JL. Rapport sur les enquêtes concernant les expositions potentielles au virus de la rage, région des Laurentides, déc Au cours des années 2000 à 2002, un total de 542 enquêtes concernant des morsures animales ont été réalisées dans la région des Laurentides; 154 personnes ont fait l objet d une vaccination contre la rage. Un cas de rage humaine, ayant entraîné le décès, a été signalé en 2000, suite à une exposition à une chauve-souris rabique. En général, les enquêtes concernant des morsures animales sont plus fréquentes durant les mois de mai à octobre. Les enfants âgés de 9 ans ou moins représentent le groupe d âge le plus fréquemment en cause dans les enquêtes de morsures animales (20 % des 542 cas de morsures signalées; 27 % des cas pour lesquels l âge a été documenté lors de l enquête). 18

19 10. Nombre d enquêtes concernant des morsures animales et nombre de personnes vaccinées, selon le type d animal en cause, région des Laurentides, 2000 à 2002 Animal en cause Nombre d enquêtes réalisées Nombre de personnes vaccinées Nombre d enquêtes réalisées Nombre de personnes vaccinées Nombre d enquêtes réalisées Nombre de personnes vaccinées Chauve-souris Chien / chat Mouffette / raton laveur / renard Divers Inconnu Total Source : Grenier JL. Rapport sur les enquêtes concernant les expositions potentielles au virus de la rage, région des Laurentides, déc Les animaux les plus fréquemment mis en cause lors des enquêtes épidémiologiques concernant des morsures dans les Laurentides au cours des années 2000 à 2002 étaient les chiens et les chats (252), suivis des chauvesouris (166). Toutefois, ce sont les expositions à des chauves-souris qui ont entraîné le plus grand nombre de vaccination antirabique (101 personnes vaccinées). 19

20 11. Données de surveillance du VNO, Québec, 2003 Régions sociosanitaires Signalements 1 TABLEAU DE SURVEILLANCE CORVIDÉS POOLS DE MOUSTIQUES HUMAINS Résultats positifs 2 Résultats négatifs Total capturés 3 Positifs Négatifs Cas probables Cas confirmés Bas-St-Laurent Saguenay Lac-St- Jean Québec Estrie Montréal Centre Outaouais Mauricie et Centredu-Québec Abitibi- Témiscamingue Côte-Nord Nord-du-Québec Gaspésie Iles de la Madeleine Chaudière- Appalaches Laval Lanaudière Laurentides Montérégie Nunavik Terres-Cries-de la Baie-James Non Localisé Total Source : MSSS. Flash VNO, Volume 4 numéro 12, 28 novembre Les signalements concernent uniquement les trois espèces d oiseaux ciblées. Certains oiseaux ne seront pas recueillis et ce, pour différentes raisons. Soit que l oiseau est en phase de décomposition avancée, soit qu il a été déclaré deux fois ou qu il est dans un endroit inaccessible. La municipalité peut l avoir déjà recueilli. il se peut que la localisation de l oiseau ne soit pas assez précise ou que la personne qui a signalé l oiseau n a pas donné la bonne adresse. 2 Résultats positifs : cas confirmés d infection par le virus du Nil occidental. 3 Parmi les acptures de moustiques, les pools à analyser sont sélectionnées parmi les espèces les plus susceptibles d être porteuses du VNO. Les autres pools sont conservés pour une éventuelle analyse. De mai à novembre 2003, 78 oiseaux et 3 pools de moustiques ont présenté un résultat positif pour l infection à VNO dans les Laurentides. Aucun cas humain n a été signalé dans la région; 16 cas ont été confirmés au Québec. Les cas humains confirmés se retrouvent principalement dans les régions situées dans la partie sud du Québec (Montérégie, Montréal-Centre, Laval). 20

21 COUVERTURE VACCINALE Vaccination hépatite B en milieu scolaire Définition : nombre de doses de vaccin contre l hépatite B reçues en 4 e année du primaire Un programme gratuit de vaccination est réalisé annuellement en milieu scolaire (4 e année du primaire) par le réseau des CLSC. La vaccination complète contre l hépatite B comprend l administration de 3 doses de vaccin (l'intervalle recommandé entre la 1 re et la 2 e dose est de 4 semaines alors que celui entre la 2 e et la 3 e dose est de 5 mois). En ce qui concerne la couverture vaccinale des enfants d âge préscolaire dans les Laurentides, les dernières données disponibles se retrouvent dans les portraits de santé des Laurentides Connaître pour agir publiés par la Direction de santé publique en Les données présentées ci-après portent sur les programmes de vaccination contre l hépatite B et contre l influenza. 12. Couverture vaccinale hépatite B en 4e année du primaire selon le nombre de doses reçues, par territoire de CLSC, région des Laurentides, année scolaire Territoire de CLSC au moins 1 dose vaccin HB reçue au moins 2 doses vaccin HB reçues au moins 3 doses vaccin HB reçues N (%) N (%) N (%) Jean-Olivier-Chénier 1440 (96,2) 1428 (95,4) 1410 (94,2) Thérèse-de-Blainville 2270 (94,9) 2256 (94,3) 2202 (92,0) Hautes-Laurentides 389 (94,6) 387 (94,2) 382 (92,9) Arthur-Buies 1575 (93,0) 1546 (91,3) 1485 (87,7) Pays-d en-haut 254 (88,8) 249 (87,1) 212 (74,1) Trois Vallées 480 (86,0) 463 (83,0) 447 (80,1) Argenteuil 354 (92,7) 349 (91,4) 335 (87,7) La région des Laurentides 6762 (93,6) 6678 (92,5) 6473 (89,6) Source : Grenier JL. Rapport concernant la couverture vaccinale Hépatite B 4e et 5e année, région des Laurentides, année 02-03, mise à jour en date du 08/13/2003 Pour l ensemble de la région, 89,6 % des jeunes de 4e année primaire ont reçu les 3 doses de vaccin recommandées contre l hépatite B au cours de l année scolaire La couverture vaccinale varie cependant selon le territoire de CLSC. 21

22 COUVERTURE VACCINALE Couverture vaccinale influenza autodéclarée Définition : déclare avoir reçu un vaccin contre l influenza au cours de la dernière année Le MSSS renouvelle chaque automne son programme de vaccination contre l influenza. Les personnes qui peuvent recevoir le vaccin gratuitement sont : toutes les personnes âgées de 60 ans ou plus; les personnes âgées de 6 mois ou plus présentant un risque élevé de complications (personnes souffrant de maladies cardio-respiratoires, métaboliques ou immunosuppressives). 13. Proportion de la population de 50 ans ou plus qui déclare avoir reçu un vaccin contre l influenza au cours de la dernière année, région des Laurentides et le Québec, Reçu vaccin Laurentides Le Québec % Oui 29,6 34,4 Non 70,5 65,7 Total 100,0 100,0 Source : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC), cycle 1.1 ( ) Les données de l ESCC menée en indiquent que, dans les Laurentides, près de 30 % de la population de 50 ans ou plus déclare avoir reçu un vaccin contre l influenza au cours de l année précédant l enquête. 14. Proportion de la population de 50 ans ou plus qui déclare avoir reçu un vaccin contre l influenza au cours de la dernière année selon le sexe, région des Laurentides et le Québec, Sexe Laurentides % Le Québec Hommes 35,3* 32,9 Femmes 23,3* 35,6 Source : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC), cycle 1.1 ( ) * Estimation marginale, coefficient de variation entre 16,6% et 33,3%, interpréter avec prudence 15. Proportion de la population de 50 ans ou plus qui déclare avoir reçu un vaccin contre l influenza au cours de la dernière année selon le groupe d âge, région des Laurentides et le Québec, Groupe d âge Laurentides % Le Québec ans 17,0* 19,3 65 ans + 52,0* 59,1 Source : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC), cycle 1.1 ( ) * Estimation marginale, coefficient de variation entre 16,6% et 33,3%, interpréter avec prudence 22

23 COUVERTURE VACCINALE Couverture vaccinale influenza Définition : données de couverture vaccinale recueillies dans le cadre de l application du programme de vaccination contre l influenza 16. Couverture vaccinale contre l influenza, région des Laurentides, Population cible Personnes âgées de 60 ans ou plus vivant en : Personnes âgées de 6 mois à 59 ans souffrant de maladie chronique, vivant en : Population cible Personnes vaccinées Couverture vaccinale N N % milieu ouvert ,2 milieu fermé ,1 milieu ouvert ,3 milieu fermé ,4 Personnel soignant ,1 Personnes vivant avec un malade chronique ND TOTAL ND Source : Grenier JL. Surveillance de la couverture vaccinale, région des Laurentides, Note : les dénominateurs pour la population cible utilisés dans le calcul de la couverture vaccinale pour la saison sont fournis à chaque RSS par le MSSS (Estimations de population selon la région sociosanitaire, 1981 à 1995, et projections, 1996 à Sources : 1981 à 1990 : MSSS, SDI; 1991 à 1995 : Institut de la statistique du Québec, mai 1995; 1996 à 2021 : Institut de la statistique du Québec, juin 2000, MSSS, SDI, décembre 2000). Dans les Laurentides, on estime que 55,2 % de la population âgée de 60 ans ou plus vivant en milieu ouvert a reçu le vaccin contre l influenza à l automne 2002 ou l hiver 2003, par rapport à 88,1 % de la population du même âge vivant en institution. 23

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Q1 Quel est votre sexe?

Q1 Quel est votre sexe? Q1 Quel est votre sexe? Répondues : 458 Ignorées : 0 Homme Femme Homme Femme 18,56% 85 81,44% 373 Total 458 1 / 11 Q2 Quel est votre âge? Répondues : 458 Ignorées : 0 18-24 ans 25-34 ans 35-44 ans 45-54

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS)

Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Introduction Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) offre, à tous les deux ans, une mammographie

Plus en détail

RÉSULTATS DU SONDAGE SUR LES INTERVENTIONS DES DIRECTIONS DE SANTÉ PUBLIQUE (DSP) RÉGIONALES

RÉSULTATS DU SONDAGE SUR LES INTERVENTIONS DES DIRECTIONS DE SANTÉ PUBLIQUE (DSP) RÉGIONALES RÉSULTATS DU SONDAGE SUR LES INTERVENTIONS DES DIRECTIONS DE SANTÉ PUBLIQUE (DSP) RÉGIONALES DU QUÉBEC RELATIVEMENT AUX MALADIES ENTÉRIQUES À DÉCLARATION OBLIGATOIRE LABORATOIRE DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014. Grand sondage régional. Étude quantitative. 25 mars 2014

Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014. Grand sondage régional. Étude quantitative. 25 mars 2014 Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014 Grand sondage régional Étude quantitative 25 mars 2014 Méthodologie MÉTHODOLOGIE SONDAGE INTERNET Un sondage Internet réalisé auprès du grand public

Plus en détail

Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004

Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 Rapport Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 UNITÉ SCIENTIFIQUE SUR LES INFECTIONS TRANSMISSIBLES

Plus en détail

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION

Plus en détail

Rapport annuel 2013 2014. Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014. www.crepic.ca

Rapport annuel 2013 2014. Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014. www.crepic.ca Rapport annuel 2013 2014 Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014 www.crepic.ca Table des matières MEMBRES DU COMITÉ DE GESTION... 4 STATISTIQUES SUR DIFFÉRENTES RECHERCHES DES

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015 Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis

Plus en détail

Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise

Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Le maintien de très faibles taux d intérêt depuis la dernière récession incite les ménages canadiens à s endetter

Plus en détail

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à

Plus en détail

Portrait des personnes assurées par le régime public d assurance médicaments qui ont reçu un traitement contre l hépatite C

Portrait des personnes assurées par le régime public d assurance médicaments qui ont reçu un traitement contre l hépatite C Portrait des personnes assurées par le régime public d assurance médicaments qui ont reçu un traitement contre l hépatite C Septembre 2014 Une production de l Institut national d excellence en santé et

Plus en détail

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production

Plus en détail

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER 2013 SOMMAIRE Depuis 1978,... le nombre de décès a chuté de 77,4 %. Il y a eu 399 décès sur les routes en 2013, soit 22 de moins qu en 2012, ce

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

Aussi dans ce numéro Les ventes de copropriétés perdent de leur élan Depuis un certain temps, la copropriété nous avait habitués à des hausses relativement soutenues des transactions MLS au Québec. Mais

Plus en détail

INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC RAPPORT

INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC RAPPORT INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC RAPPORT Statistiques sur les services relatifs aux programmes de prévention du virus de l immunodéficience humaine (VIH) et des hépatites B et C auprès des

Plus en détail

Transmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»

Transmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles» Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a

Plus en détail

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de et de services sociaux Présenté le 11 novembre 2003 Principe adopté le 10 décembre

Plus en détail

AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre

AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre AMMA ASSURANCES a.m. Association Mutuelle Médicale d Assurances entreprise d assurance mutuelle association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément

Plus en détail

Merci beaucoup de votre collaboration

Merci beaucoup de votre collaboration QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra de recueillir des informations sur l intégration des technologies de l information et de la communication (TIC) chez les futurs enseignants

Plus en détail

Essence ordinaire PRIX MOYEN AFFICHÉ

Essence ordinaire PRIX MOYEN AFFICHÉ PRIX MOYEN AFFICHÉ 2014 Prix moyen affiché - hebdomadaire janvier à mars page 2 avril à juin page 3 juillet à septembre page 4 octobre à décembre page 5 Prix moyen affiché - mensuel janvier à décembre

Plus en détail

A 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979

A 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979 Ne pas citer sans faire r~f~rence A 1 auteur Comit~ scientifique consultatif des peches canadiennes dans l 1 Atlantique CSCPCA Document de recherche 81/66 Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois

Plus en détail

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012

Plus en détail

Fonds d action québécois pour le développement durable (FAQDD) Mai 2007 CRE-GIM

Fonds d action québécois pour le développement durable (FAQDD) Mai 2007 CRE-GIM Fonds d action québécois pour le développement durable (FAQDD) Mai 2007 CRE-GIM Plan de présentation Mission du FAQDD Programmation III Programme Actions en développement durable Programme Partenariat

Plus en détail

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)? GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière. J u i n2 0 1 2 Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnatrice

Plus en détail

LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE

LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE 2 2014, CEFRIO NETendances LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN TABLE

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

CONSEILS AUX VOYAGEURS

CONSEILS AUX VOYAGEURS CONSEILS AUX VOYAGEURS Vous devez prochainement partir en mission à l étranger Au cours de votre séjour, vous pouvez être confronté à différents risques : risques infectieux : paludisme, diarrhées, hépatites,

Plus en détail

L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue

L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue Réservé à l administration Associés Questionnaire - Enseignants associés 1 QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

Nous remercions chacune des personnes suivantes pour leur précieuse contribution Hugues Boulanger, Régie de l assurance maladie du Québec Ginette

Nous remercions chacune des personnes suivantes pour leur précieuse contribution Hugues Boulanger, Régie de l assurance maladie du Québec Ginette Nous remercions chacune des personnes suivantes pour leur précieuse contribution Hugues Boulanger, Régie de l assurance maladie du Québec Ginette Diamond, Centre de réadaptation InterVal Lyne Dufresne,

Plus en détail

PARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins

PARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de

Plus en détail

* Certificat de secourisme. * Certificat de RCR S S S S S R

* Certificat de secourisme. * Certificat de RCR S S S S S R Il est essentiel de communiquer oralement et par écrit en français et en anglais lors des stages cliniques. Échéanciers: R Avant la rentrée S Avant le stage Assistant de l'ergothérapeute et assistant du

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnateur et rédacteur

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

Service Analyse du marché Fédération des chambres immobilières du Québec Mai 2010

Service Analyse du marché Fédération des chambres immobilières du Québec Mai 2010 Service Analyse du marché Fédération des chambres immobilières du Québec Mai 2010 Ce texte reprend les faits saillants du rapport Perspectives démographiques du Québec et des régions, 2006-2056 Édition

Plus en détail

Québec. Société d habitation du Québec. Un portrait de la copropriété au Québec. Le bulletin d information de la société d habitation du québec

Québec. Société d habitation du Québec. Un portrait de la copropriété au Québec. Le bulletin d information de la société d habitation du québec Société d habitation du Québec HABITATION Québec Le bulletin d information de la société d habitation du québec Volume 3, numéro 4, ÉTÉ 29 Un portrait de la copropriété au Québec Par Dany Dutil CONTEXTE

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 Lemarché du travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 600, boul. Casavant Est, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 7T2 450 773-7463 Plan de la présentation

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner

Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il

Plus en détail

Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers

Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Jacques Sénéchal, Monitoring de la qualité des eaux marines, Environnement Canada 12 et 13 mars 2013 Programme canadien de contrôle

Plus en détail

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de

Plus en détail

Programme DPC des infirmiers

Programme DPC des infirmiers Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE

Plus en détail

Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.

Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes

Plus en détail

Les infirmières et infirmiers auxiliaires : Partout, nous veillons à votre santé!

Les infirmières et infirmiers auxiliaires : Partout, nous veillons à votre santé! Trousse média 2013 Les infirmières et infirmiers auxiliaires : Partout, nous veillons à votre santé! Plus de 26 000 membres au Québec Revue Santé Québec Espaces publicitaires Encarts p. 4 web Espaces publicitaires

Plus en détail

RÉGIONS ADMINISTRATIVES

RÉGIONS ADMINISTRATIVES RÉGIONS ADMINISTRATIVES 01 Bas-Saint-Laurent 02 Saguenay Lac-Saint-Jean 03 Capitale-Nationale 04 Mauricie 05 Estrie 06 Montréal 07 Outaouais 08 Abitibi-Témiscamingue 09 Côte-Nord 10 Nord-du-Québec 11 Gaspésie

Plus en détail

Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)

Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) 1 - Problématique Les infections transmissibles sexuellement et par le sang représentent le plus fort pourcentage de cas de maladies à déclaration

Plus en détail

EOLE TRADING INTEGRALE

EOLE TRADING INTEGRALE EOLE TRADING INTEGRALE Formation 100% en ligne Coaching Live d un an Accès à nos outils exclusifs 1- PRESENTATION Eole Trading Intégrale est une formation d une année composée en 3 phases. Elle est accessible

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le petit Héron branché Infolettre pour les professionnels de l éducation www.heritagestbernard.qc.ca Volume 3 Numéro 3 AUTOMNE 2012 NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le À lire dans cette

Plus en détail

SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE

SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

RÉSULTATS DU SONDAGE BESOINS DE FORMATION : ASSURANCE DES ENTREPRISES

RÉSULTATS DU SONDAGE BESOINS DE FORMATION : ASSURANCE DES ENTREPRISES RÉSULTATS DU SONDAGE BESOINS DE FORMATION : ASSURANCE DES ENTREPRISES TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION... 3 PROFIL DES RÉPONDANTS... 4 PROVENANCE DES FORMATIONS... 5 SATISFACTION À L ÉGARD DE LA FORMATION...

Plus en détail

RAPPORT D ENQUÊTE RÉALISÉE AUPRÈS D INFIRMIÈRES ET DE GESTIONNAIRES ŒUVRANT EN PREMIÈRE LIGNE MAI-JUIN

RAPPORT D ENQUÊTE RÉALISÉE AUPRÈS D INFIRMIÈRES ET DE GESTIONNAIRES ŒUVRANT EN PREMIÈRE LIGNE MAI-JUIN Pratiques cliniques préventives relatives aux infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) RAPPRT D ENQUÊTE RÉALISÉE AUPRÈS D INFIRMIÈRES ET DE GESTINNAIRES ŒUVRANT EN PREMIÈRE LIGNE MAI-JUIN

Plus en détail

Parlons assurance. Taux de prime

Parlons assurance. Taux de prime Parlons assurance Taux de prime 2010 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) fournit un service d assurance essentiel aux entreprises établies au Québec. Cette assurance obligatoire

Plus en détail

Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012

Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012 Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb Dossier 70902-019 21 septembre 2012 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9 L analyse détaillée des résultats 10 Conclusions stratégiques

Plus en détail

12 mois pour un budget

12 mois pour un budget 12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec

Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec Par Alexandre Moïse 1 Marie Hélène Noiseux 2 1-Alexandre Moïse, B.Gest., M.Sc.A., Chercheur à l'université du Québec

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

La formation professionnelle et technique au Québec

La formation professionnelle et technique au Québec Version 2010 La formation professionnelle et technique au Québec Un aperçu Gouvernement du Québec Ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport, 2010 ISBN ISBN ISSN ISSN 978-2-550-59660-8 (imprimé) 978-2-550-59661-5

Plus en détail

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010 Province de Québec Le Baromètre MLS du marché résidentiel Faits saillants Premier ralentissement des ventes en cinq trimestres Seuls quelques centres urbains sont parvenus à être dynamiques Remontée dans

Plus en détail

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel

Plus en détail

SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE DE LA 26 ème SEMAINE 2015 OBJET EXPOSE DE LA QUESTION OBSERVATIONS

SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE DE LA 26 ème SEMAINE 2015 OBJET EXPOSE DE LA QUESTION OBSERVATIONS Ministère de la Santé et de l Hygiène Publique -------- Secrétariat Général République du Mali ---------- Un Peuple Un But - Une Foi SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE DE LA 26 ème SEMAINE 2015 OBJET EXPOSE DE

Plus en détail

Guide d utilisation de la signature officielle de la Société de l assurance automobile par les mandataires

Guide d utilisation de la signature officielle de la Société de l assurance automobile par les mandataires Guide d utilisation de la signature officielle de la Société de l assurance automobile par les mandataires La trousse d identification des mandataires La Société de l assurance automobile du Québec (SAAQ)

Plus en détail

LISTE DE TOUS LES CONTRATS

LISTE DE TOUS LES CONTRATS LISTE DE TOUS LES CONTRATS COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 25 000 $ ou COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 2 000 $ CONCLUS AVEC UN MÊME COCONTRACTANT LORSQUE L ENSEMBLE DE CES CONTRATS COMPORTE UNE DÉPENSE

Plus en détail

Représentant légal 1. Représentant légal 2. Situation de la famille

Représentant légal 1. Représentant légal 2. Situation de la famille DOSSIER FAMILLE PERISCOLAIRE 2014-2015 Ce dossier est à rendre en mairie avec les pièces justificatives et ce, quelque soit votre situation avant le Tout dossier non complet ne sera pas traité. Date de

Plus en détail

L expression. de la diversité. municipale au Québec. www.umq.qc.ca

L expression. de la diversité. municipale au Québec. www.umq.qc.ca L expression de la diversité municipale au Québec 1 2 3 4 5 6 7 8 3 4 1 2 3 4 5 8 9 1 2 3 4 5 1 2 3 0 0 2 1 2 1 2 1 6 1 9 2 8 3 7 4 6 5 www.umq.qc.ca Depuis sa fondation en 1919, l Union des municipalités

Plus en détail

LA MOBILITÉ AU QUÉBEC : UNE MONTÉE EN FLÈCHE VOLUME 4 NUMÉRO 7 AVEC LA COLLABORATION DE

LA MOBILITÉ AU QUÉBEC : UNE MONTÉE EN FLÈCHE VOLUME 4 NUMÉRO 7 AVEC LA COLLABORATION DE LA MOBILITÉ AU QUÉBEC : UNE MONTÉE EN FLÈCHE VOLUME 4 NUMÉRO 7 AVEC LA COLLABORATION DE 2 Publictié 2013, CEFRIO NETendances LA MOBILITÉ AU QUÉBEC : UNE MONTÉE EN FLÈCHE TABLE DES MATIÈRES FAITS SAILLANTS...

Plus en détail

STAGE DE NATATION. Perfectionnement A GRAND-COURONNE. Comité Ile de France de Natation. (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015

STAGE DE NATATION. Perfectionnement A GRAND-COURONNE. Comité Ile de France de Natation. (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015 Comité Ile de France de Natation STAGE DE NATATION Perfectionnement A GRAND-COURONNE (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015 Ouvert aux 11 / 13 ans - Licencié(e)s FFN 340 Transport compris - Départ

Plus en détail

Plan québécois de promotion de la vaccination

Plan québécois de promotion de la vaccination Plan québécois de promotion de la vaccination INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Plan québécois de promotion de la vaccination Direction des risques biologiques et de la santé au travail Octobre

Plus en détail

Geoffroy Ménard, agr.

Geoffroy Ménard, agr. Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation

Plus en détail

Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination

Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

BROCHURE ASSURANCE COLLECTIVE SOINS DE SANTÉ

BROCHURE ASSURANCE COLLECTIVE SOINS DE SANTÉ BROCHURE ASSURANCE COLLECTIVE SOINS DE SANTÉ ASBL Association pour la promotion du Service social du Ministère de la Communauté française - Police n 4 046 274 ASBL Association pour l encouragement à la

Plus en détail