Comparaison et répartition du financement 2009 en par habitant
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- Corinne Marier
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1 CS1 423 Comparaison et répartition du financement 2009 en par habitant Verst transports Dotations billetterie LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Nous avons divisé la totalité des recettes perçues par l organisme gérant les transports en commun des 6 principales agglomérations françaises, région parisienne exclue, par la population que ce service dessert, que les habitants utilisent ou non les transports en commun. Strasbourg mis à part, Lyon est l agglomération où on dépense le plus d argent pour les transports en commun : 423 en 2009, 8% de plus que la moyenne de ces 6 villes. Ce financement est assuré par 3 recettes : la billetterie : à Lyon, elle est très élevée et supérieure de 55% à la moyenne les dotations des collectivités et de l Etat (essentiellement les subventions versées par le Grand Lyon et Département du Rhône) : c est à Lyon qu elles sont les plus faibles le «versement transports», il taxe la masse salariale des entreprises employant plus de 9 salariés : à Lyon, il est supérieur de 11% à la moyenne
2 CS2 répartition du financement en % 44,9% 42,1% 35,9% 53,5% 47,8% 34,5% 43,4% 26,6% 35,5% 44,0% 32,0% 37,0% 49,1% 35,8% Verst transports Dotations billetterie 28,5% 22,4% 20,2% 14,5% 15,2% 16,4% 20,8% LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne la billetterie assure 28,5% des recettes à Lyon, alors que la moyenne est de 20,8% les dotations des collectivités et de l Etat : 26,6% Lyon contre 35,8% en moyenne le «versement transports», 44,9% à Lyon, à comparer à une moyenne de 43,4%.
3 CS3 +7% % coût d'exploitation en euros par habitant +16% +57% +40% % % LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne A Lyon, c est ce que coûte la gestion des TCL, confiée par le SYTRAL à KEOLIS. Elle est élevée à Lyon : 247 pour chaque habitant, 12% de plus que la moyenne, alors qu il faudrait y ajouter le coût du SYTRAL (environ 10% de plus), la plupart des autres agglomérations gérant en direct leurs transports en commun et n ayant donc pas de structure comparable. Bien que des efforts aient été faits depuis 2004 dans la maîtrise des coûts (augmentation de 7% seulement depuis 2004), des marges de manoeuvre importantes subsistent pour revenir à un niveau comparable à celui des autres agglomérations.
4 CS4 +24% recettes de billetterie en par habitant % % % +91% % +23% LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Elles sont très fortes à Lyon : 55% supérieures à la moyenne et en progression de 24%, suite à : une augmentation importante des tarifs (11% pour l abonnement mensuel et 19% pour le carnet de tickets la multiplication des contrôles : mise en place de portiques dans le métro, accès dans les bus par la porte avant, renforcement des équipes anti-fraudes,... La diminution de la fraude, certaine, est cependant difficile à évaluer. D après ces chiffres, l accroissement des contrôles a permis un accroissement des recettes de billetterie d environ 10%. L évolution de la fréquentation des transports en commun lyonnais joue également son rôle, mais, comme nous le verrons dans la rubrique «voyages», celle-ci a baissé globalement.
5 CS5 déficit de gestion en par habitant +22% % +19% % % % % LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Le déficit de gestion est la différence entre les recettes de billetterie qu apporte ce service et le coût global du service, charge de la dette et investissements inclus. Suite à une forte hausse des recettes de billetterie de 2004 à 2009, le déficit de Lyon, qui était supérieur à la moyenne en 2004, est en 2009 du même ordre que celui des autres agglomérations.
6 CS6 50 comparaison des tarifs d'abonnement mensuel en euros LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Les usagers de Lyon paient leur abonnement mensuel en moyenne 20% plus cher qu ailleurs. Le prix de cet abonnement, qui était de 45,10 en 2004, a augmenté de 11% en 5 ans.
7 S7 Calcul de la Capacité d autofinancement (C.A.F.) Valeurs exprimées en K Crédit comptes 70 à % Débit des comptes 60 à % Excédent Brut de fonctionnement % + comptes 76 et comptes 66 et comptes comptes CAF brute % Comptes (sauf 16449) CAF nette % Montant de la dette au 31/ % Dette / E.B.E. 7,1 5,7 5,9 5,4 5,1 On constate que cette capacité s améliore très sensiblement (+ 41%) pendant la période de 4 ans. Cela est dû aux facteurs suivants : les recettes augmentent plus vite que les dépenses depuis 2005, le SYTRAL a bénéficié de remboursements de TVA précédemment versée. Cette amélioration de la capacité d autofinancement a permis de diminuer la dette, qui a baissé de 13% en 4 ans. Il nous aurait paru équitable que les usagers bénéficient de l augmentation des recettes et de la suppression de la TVA... plutôt que cet argent aille dans la poche des agents du SYTRAL ou dans des projets d investissements dont l intérêt est très contesté, comme le «grand stade» de Décines.
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9 CS8 117 comparaison des réseaux 2009 en nombre de lignes LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Alors que la longueur moyenne des lignes est sensiblement la même que dans les autres agglomérations (10,5 km par ligne), Lyon possède un réseau qui est 48% plus étendu que celui des autres agglomérations.
10 CS9 capacité offerte (PKO) par habitant % % % % +56% % % LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne La capacité offerte s exprime en «places-kilomètres offertes» (PKO), c est-à dire en multipliant le nombre de kilomètres parcourus par l ensemble des moyens de transport dans l année par la capacité des véhicules. Pour les rendre comparables, nous avons divisés les chiffres publiés par la population de chaque agglomération. Celle-ci a augmenté de 7% à Lyon de 2004 à On s aperçoit que l offre par habitant est inférieure de 8% à la moyenne et qu elle a stagné à Lyon, alors qu elle progresse en moyenne de 16%. d autres graphiques nous éclairerons, afin de savoir si cette stagnation de l offre est due à une modification des moyens de transport (remplacement du bus par le tramway par exemple), si elle vient d une baisse de la fréquentation, ou si elle fait suite à une meilleure organisation du réseau.
11 CS % 281 fréquentation des réseaux nombre moyen de voyages par habitant et par an % 136-4% +31% % % % 174 LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne La fréquentation des réseaux s exprime par le nombre de voyages effectués par la population divisé par le nombre d habitants. Quand un usager utilise 2 moyens de transport pour son déplacement, donc avec une correspondance, on considère qu il fait 2 voyages. Elle est la plus forte à Lyon, les habitants faisant en 2009 en moyenne 281 voyages par an chacun. Elle est supérieure de 61 % à la moyenne. Les lyonnais prennent donc beaucoup plus les transports en commun que les habitants des autres villes. Mais elle a diminué proportionnellement de 5% à Lyon en 5 ans, la population ayant augmenté de 7%, alors qu elle augmentait globalement de 17% ailleurs. Une des causes principales de cette diminution de la fréquentation est l action anti-fraude menée pendant cette période : installation de portillons dans le métro, montée dans les bus par la porte avant, contrôles plus fréquents. Certains «voyageurs», qui voyageaient auparavant sans titre de transport, semblent aujourd hui avoir renoncé à prendre des transports en commun payants.
12 CS11 coût moyen d'un voyage en 2004 et ,45 1,55 1,52 1,66 1,56 +13% 1,26 1,05 1,25 1,24 1,23 1,05 1,07 0,78 0,88 LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Les Lyonnais utilisant beaucoup plus les transports en commun que les habitants des autres villes pour une offre par habitant (PKO) qui est inférieure à la moyenne, il est naturel qu un voyage coûte moins cher à Lyon qu ailleurs (28% de moins). Le coût du voyage a cependant augmenté de 13% à Lyon, la fréquentation moyenne diminuant de 5% et le coût d exploitation augmentant de 7%. Ce coût serait de 10% plus élevé si on y ajoutait le coût de la structure SYTRAL, qui n a pas son équivalent ailleurs, les réseaux y étant gérés directement par les communautés urbaines.
13 CS11 coût moyen d'un voyage en 2004 et ,45 1,55 1,52 1,66 1,56 +13% 1,26 1,05 1,25 1,24 1,23 1,05 1,07 0,78 0,88 LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Les Lyonnais utilisant beaucoup plus les transports en commun que les habitants des autres villes pour une offre par habitant (PKO) qui est inférieure à la moyenne, il est naturel qu un voyage coûte moins cher à Lyon qu ailleurs (28% de moins). Le coût du voyage a cependant augmenté de 13% à Lyon, la fréquentation moyenne diminuant de 5% et le coût d exploitation augmentant de 7%. Ce coût serait de 10% plus élevé si on y ajoutait le coût de la structure SYTRAL, qui n a pas son équivalent ailleurs, les réseaux y étant gérés directement par les communautés urbaines.
14 CS12 coût moyen et recette usager moyenne 2009 d'un voyage 1,55 1,52 1,56 Coût recette 1,25 1,24 1,23 0,88 0,62 0,43 0,47 0,37 0,43 0,40 0,46 LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Les recettes de billetterie par voyage sont partout très inférieures au coût d un voyage. Suite à la tarification élevée à Lyon, et du fait du nombre très supérieur de voyages que font les usagers, la recette de billetterie couvre 49% du prix d un voyage. C est le score le moins mauvais des villes étudiées.
15 CS13 recette moyenne par voyage 2004 et 2009 en euros 0,64 0, ,33 +31% 0,43 0,43 0,47 0,32 0,37 0,34 0,43 0,45 0,40 0,40 0,46 LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Elle reste à Lyon légèrement inférieure à la moyenne des villes françaises importantes. Elle a cependant augmenté de 31% sous l effet combiné de l augmentation des tarifs et de la baisse de la fréquentation par habitant.
16 CS14 +49% recette et coût 2009 par habitant +32% Recettes coût exploit % % % % % LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Si on compare recettes d exploitation (billetterie) et coût d exploitation ramenés à un habitant de l agglomération, donc sans considération du nombre de voyages qu il effectue dans l année, on fait les constatations suivantes : la recette de 121 est supérieure de 55% à la moyenne le coût de 247 est supérieur de 12% à la moyenne la recette à Lyon couvre 49% du coût, plus que la moyenne des villes (37%).
17 CS15 part respective des moyens de transport en ,2% 14,8% 31,3% 5,7% 46,3% 9,2% Bus TRAMWAY METRO 47,0% 63,0% 44,4% LYON LILLE MARSEILLE Examinons la part respective de chaque moyen de transport (métro, tramway et bus) exprimée en nombre de voyages pour les 3 agglomérations de taille sensiblement égales : Lyon, population de habitants desservie, Lille, hab., Marseille, hab, qui utilisent les 3 moyens de transport : métro, tramway et bus. On constate que : o le métro est légèrement plus utilisé à Lyon qu à Marseille, mais beaucoup moins qu à Lille o le tramway a pris une part de plus en plus importante à Lyon, bien plus que dans les 2 autres villes o la part des bus (38%) reste importante à Lyon, mais moins qu à Marseille
18 CS16 part 2009 du métro LYON 63,0% LILLE MARSEILLE 51,9% 47,0% 44,4% 32,3% 37,4% 33,1% 13,2% 9,7% 2,4% 3,7% 2,9% lignes km PKO Voyages En 2009, à Lyon, avec 2,4% des lignes (en longueur), 13,2% des kilomètres parcourus par les rames, et 37,4% des kilomètres offerts (PKO), 47% des voyages ont été effectués par ce moyen de transport. Le rapport est de 1 à 20 entre la longueur des lignes et la fréquentation (nb de voyages).
19 CS17 part 2009 du tramway 14,6% 14,8% LYON LILLE MARSEILLE 8,6% 9,4% 9,2% 7,0% 4,0% 3,7% 4,7% 5,7% 1,8% 1,7% lignes km PKO Voyages En 2009, à Lyon, avec 4% des lignes (en longueur), 8,6% des kilomètres parcourus par les rames, et 14,6% des kilomètres offerts (PKO), 14,8% des voyages ont été effectués par ce moyen de transport. Le rapport est de 1 à 3,7 entre la longueur des lignes et la fréquentation (nb de voyages), à comparer à 1 à 20 pour le métro..
20 CS18 93,6% 94,5% 95,4% 78,2% part 2009 des bus 85,7% LYON LILLE MARSEILLE 64,0% 57,5% 48,1% 41,1% 38,2% 31,3% 46,3% lignes km PKO Voyages En 2009, à Lyon, avec 93,6% des lignes (en longueur), 78,2% des kilomètres parcourus par les bus, et 48,1% des kilomètres offerts (PKO), 38,2% des voyages ont été effectués par ce moyen de transport. Le rapport est de 1 à 0,41 entre la longueur des lignes et la fréquentation (nb de voyages), à comparer à 1 à 20 pour le métro et 1 à 3,7 pour le tramway. Pour 1 km de ligne construit, quand on transporte 1 passager dans un bus, on en transporte 9 dans le tramway et 49 dans le métro. C est une comparaison dangereuse si on ne tient pas compte de l importance de la population desservie, mais à Lyon intra-muros, un km de métro coûte-t-il 5 fois plus cher qu un km de tramway. Et pourquoi a-t-on choisi de faire des lignes de tramway dans Lyon?
21 CS19-4% Taux d'occupation du métro : nb de voyages par PKO 8,9% 8,5% ,0% 6,0% 5,8% 5,8% 3,1% 3,6% LYON LILLE MARSEILLE Moyenne Ce graphique exprime le taux de remplissage du métro, c est-à-dire le nombre de voyages divisé par le nombre de places offertes. Le taux de remplissage du métro est nettement plus élevé à Lyon qu à Lille ou Marseille. Il est cependant en baisse relative de 4%, l offre par habitant ayant diminué de 8% sur la période, et le nombre de voyages de 6%. Cela tient sans doute également à la concurrence du tramway que l on a fait venir en centre-ville.
22 CS20-9% Taux d'occupation du tramway : nb de voyages / PKO 2004/2009 7,6% 6,9% ,4% 5,3% 5,2% 2,1% 2,4% 0,0% LYON LILLE MARSEILLE Moyenne Ce graphique exprime le taux de remplissage du tramway, c est-à-dire le nombre de voyages divisé par le nombre de places offertes. Le taux d occupation du tramway est nettement plus élevé à Lyon qu à Lille ou Marseille. Il est cependant en baisse relative de 9%, de nouvelles lignes ayant été construites dans des secteurs moins peuplés et requérant un temps d adaptation de la part de la population. L offre de tramway est passée de 421 km par habitant à 605 km, soit un accroissement de 43%. Le taux de remplissage pour Lyon en 2009, 6,9%, est nettement inférieur à celui du métro (8,5%).
23 CS21 Taux d'occupation des bus : nb de voyages / PKO 2004/2009 5,5% -3% 5,4% ,8% 3,6% 4,0% 3,9% 2,2% 2,3% LYON LILLE MARSEILLE Moyenne Ce graphique exprime le taux de remplissage des bus, c est-à-dire le nombre de voyages divisé par le nombre de places offertes. Le taux d occupation des bus est nettement plus élevé à Lyon qu à Lille ou Marseille. Il est cependant en baisse relative de 3%, du fait de l implantation de lignes de tramway dans des secteurs jusqu alors desservis uniquement par bus. Le taux de remplissage pour Lyon en 2009, 5,4%, est inférieur à celui du métro (8,5%) et du tramway (6,9%).
24 CS22 coût d'exploitation par salarié % % LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Si on divise le coût annuel d exploitation des TCL par le nombre d agents, on obtient le coût moyen par salarié. Celui de Lyon est dans la moyenne des autres villes françaises étudiées. Il a moins augmenté (8%) qu ailleurs (+16%), ce qui confirme une meilleure maîtrise des coûts. Il est élevé pour une agglomération dotée de 60% de moyens de transport lourds (métro et tramway), doté d une offre de places-kilomètres inférieure à la moyenne des autres villes.
25 CS23 places-kilomètres offertes (PKO) par agent roulant LYON LILLE MARSEILLE TOULOUSE BORDEAUX STRASBOURG Moyenne Quand on divise l offre du service, exprimée en places-kilomètres offertes, par le nombre d agents roulants (2 520 en 2009 pour Lyon), nous constatons que la performance de Lyon n est pas bonne, comparée aux autres agglomérations. Alors que Lyon bénéficie d une offre constituée à plus de 60% par des modes de transport lourds (métro et tramway) qui demandent peu d agents roulants, et qu elle devrait donc être bien mieux placée que les villes non dotées de métro, l agglomération se situe à la queue, seule Marseille étant moins performant. Pour Lyon, l effectif roulant a augmenté de 1,3% de 2004 à 2009 alors que l offre globale (sans tenir compte de la population desservie) augmentait de 7%, soit une amélioration de la productivité... qui pourrait et devrait encore être améliorée!
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