Sommeil, Vigilance et Travail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sommeil, Vigilance et Travail"

Transcription

1 Sommeil, Vigilance et Travail Pr. Damien Léger PUPH Dr. Arnaud Metlaine Pra6cien Hospitalier Centre du Sommeil et de la vigilance de l Hôtel Dieu Université René Descartes Paris V 31ème Congrès de Médecine et Santé au Travail

2 Plan 1. Introduction 2. Pathologies responsables de troubles de la vigilance 3. Épidémiologie : troubles de la vigilance et travail 4. Conduite à tenir devant un trouble de vigilance au travail 5. Conclusion

3 Introduction I Troubles du sommeil fréquents en population générale et en population active insomnie = 20% syndrome d apnée du sommeil = 5% privation chronique de sommeil = 30% Facteurs professionnels influençant le sommeil sont nombreux amplitude d horaire horaire atypiques : décalés, travail de nuit stress : forte demande, faible autonomie Retentissement qualitatifs et quantitatifs

4 Introduction II Le sommeil permet la restauration psychique et physique Toute altération du sommeil peut avoir des conséquences qualité de vie au travail : adaptation sécurité : réduction de la vigilance conséquences graves +++ : surraccidentalité Sommeil = facteur d information majeur en médecine du travail Meilleure prévention des accidents en relations avec les troubles du sommeil

5 Pathologies responsables de troubles de la vigilance On distingue 6 groupes : Insomnie Syndrome d apnée du sommeil Privation de sommeil Travail de nuit ou en horaires atypiques Narcolepsie et autre hypersomnie Médicaments

6 Épidémiologie : insomnie et accidents Dans les 12 derniers mois Accidents du travail = 8 X plus fréquents chez les IS (8%) que chez les BD (1%) (p=0,0150) avec un nombre moyen d accident 1,6 X plus élevé dans l insomnie. Accidents de la route : pas de différence statistique Leger et coll, Sur la vie entière Le risque d accidents de travail est presque 2 X plus élevé chez les salariés souffrant d insomnie. Lavie et coll,

7 Épidémiologie : accidents et insomnie 23,5% des insomniaques considèrent que leur troubles jouent un rôle dans leur accident Dailey et coll, 2009 Accident chez les insomniaques : pas de différence significative entre les deux sexe Nakata et coll, 2006

8 Accident conduite et Syndrome d Apnées du Sommeil (SAS) Risque accident de la route bien identifié Nombreux travaux scientifiques RR variant de 1,9 à 10,8 (George et coll, 2004) Parmi 20 études portant sur le risque accidentel des apnéiques : Risque X 2 à 3 (Ellen et coll, 2007) Capacité à conduire perturbée : allongement des temps de réactions +++ (Mazza et coll, 2008)

9 Accident conduite et Syndrome d Apnées du Sommeil (SAS) Fréquent chez les routiers USA Prévalence = 4% Australie Prévalence = 15,8% et 24% SDE France étude dépistage du SAS en MDT Effet de la PPC Améliore les performances Diminue le risque d accident

10 Privation chronique de sommeil Cause la plus fréquente de somnolence diurne excessive Plusieurs causes : trouble du sommeil intrinsèque (insomnie) travail de nuit mauvaise hygiène de sommeil Prévalence estimée à environ 30% Accident mortels durée moyenne environ 6 heures dans les 24 heures précédent l accident

11 Travail posté Un salarié sur cinq est concerné Prévalence des troubles du sommeil élevée : autour de 60% Somnolence diurne excessive plus de 25% des salariés Facteur circadien Facteur homéostatique : dette de sommeil +++

12 Somnolence sévère ressentie Etude sur 126 conducteurs de trains et 104 contrôleurs Finlandais en horaires postés (Sallinen et al, 2005). Prévalence d hypersomnolence au travail (selon les critères du KSS) 25% à 62% parmi le groupe terminant leur cycle par un poste de nuit 12% à 27% parmi le groupe terminant leur cycle par un poste du matin Etude réalisée sur 17 conducteurs de trains Suédois (Ingre et al, 2004). Prévalence d hypersomnolence 82% chez les sujets du poste du matin (05h49-17h41) soit un RR 4.9 versus poste de jour (07h49-19h41).

13 Risque d accident Risque moyen d accident au travail en fonc4on des horaires de travail La majorité des accidents, en particulier des accidents mortels, se produisent dans les périodes chronobiologiques de somnolence maximale. 2 et 5 heures du matin 13 et 15 heures De plus, la dette de sommeil est responsable d une dégradation de l attention et des performances.

14 Risque d accident Risque moyen d accident au travail en fonc4on des horaires de travail Pour un rythme de travail en 3 X 8 référence le risque observé sur le poste du matin le risque est majoré de : - 18% au cours de l après-midi - 30% au cours de la nuit risque maximal d accident au cours de la nuit Folkard, Lombardi et Tucker (Folkard S, 2005)

15 Risque d accident Risque moyen d accident au travail en fonc4on accumula4on de nuit L accumulation de plusieurs Risque d accident lié au poste de nuit nuit de travail successives augmente le risque d accident qui est majoré - de 6% la deuxième nuit - de 17% la troisième nuit - de 36% la quatrième nuit Majora4on du risque 40% 36% 30% 17% 20% 10% 0% 0% N1 6% N2 N3 Nuits successives N4

16 Risque d accident Risque moyen d accident au travail en fonc4on des postes du ma4n - 2% la deuxième matinée - 7% la troisième matinée - 17% la quatrième matinée Majora4on du risque Risque d accident lié au poste du ma9n 40% 30% 17% 20% 7% 10% 0% 0% M1 2% M2 M3 Ma4ns successifs M4

17 Narcolepsie-cataplexie ou maladie de Gélineau Affection chronique caractérisée par une tétrade symptomatique : 2 symptômes cardinaux principaux : des accès de sommeil irrésistibles des chutes de tonus musculaires ou cataplexies 2 symptômes secondaires inconstants : des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques des paralysies du sommeil

18 Narcolepsie-cataplexie ou maladie de Gélineau La somnolence diurne excessive quotidienne mais non permanente surmontable ou irrésistible accès de sommeil de durée variable, rafraîchissants ± automatismes Les attaques de cataplexie brusque relâchement du tonus musculaire sous l influence de facteurs émotionnels global ou partiel sans perte de connaissance de fréquence variable

19 Narcolepsie-cataplexie ou maladie de Gélineau La polysomnographie endormissements en sommeil paradoxal (SP) éveils nombreux, sommeil fragmenté souvent légère augmentation du SP, répartition anormale du SLP (Sommeil Lent Profond) Test itératif des latences d endormissement (siestes de 20 min par 2h) latence moyenne d endormissement < 8 min et/ou au moins 2 endormissements en SP

20 Médicaments Interférences entre certaines prescriptions médicamenteuses et qualité de l éveil hypnotiques ou anxiolytiques à demi-vie longue Dans une étude au Royaume-Uni chez conducteurs accidentés, 235 sujets traités par benzodiazepines soit un Odds Ratio de 1,62 (1,24-2,12) Barbonne F. et coll, 1998 Le médecin doit avertir le patient des éventuels troubles de la vigilance. Nouvelle signalétique sur les boîtes de médicaments, risque d accidents

21 Conduite à tenir : aptitude face à un trouble de la vigilance La démarche du médecin du travail devra se calquer sur : la réglementation en cours relative à l obtention ou au maintien du permis de conduire L arrêté de 1997 modifié par celui du 21 décembre 2005, fixe : la liste des affections incompatibles avec l obtention ou le maintien du permis de conduire pouvant donner lieu à une délivrance du permis pour une durée limitée Cet arrêté concerne la prévention du risque routier

22 Conduite à tenir : aptitude face à un trouble de la vigilance Troubles du sommeil avec retentissement sur la vigilance inclus dans la liste des affections Rôle du médecin du travail : information de la nécessité de se présenter devant la commission des permis apporter la preuve que l information a été donnée au salarié

23 Conduite à tenir : aptitude face à un trouble de la vigilance Deux groupes de conducteurs selon le type de véhicule Groupe 1 : «véhicules légers» concerne les permis A, B et E Groupe 2 : «véhicules dits lourds» concerne les permis C, D et E = C ou D + remorque. Le candidat au permis de conduire doit remplir un formulaire de déclaration sur l honneur de l absence ou non de pathologies incompatibles En cas de déclaration positive convocation à la préfecture Groupe 2 : visites obligatoire avec évaluation de la vigilance par un test de maintien d éveil

24 Évaluation de la vigilance : intérêt du Test de Maintien d Eveil 4 tests de 40 minutes réalisés au cours de la journée Sujet position demi-allongé en faible ambiance lumineuse et sonore Doit lutter contre l endormissement Latence moyenne doit être supérieure à 34 minutes

25 Évaluation de la vigilance : intérêt du Test de Maintien d Eveil TME sont corrélés au test de franchissement de la ligne médiane en simulation de conduite Différence significative par rapport aux témoins Très somnolents (latences moyenne d endormissement = 0-19 minutes) Somnolents (latences moyenne d endormissement = minutes) Éveillés (latences moyenne d endormissement = minutes) Intérêt dans l aide à la décision d aptitude

26 Évaluation clinique de la vigilance en médecine du travail Interrogatoire, examen clinique, psychiatrique : (dysthyroïdie, diabète, dépression ) Traitement : psychotrope? Hygiène et habitude de vie : dette de sommeil Facteurs professionnels

27 Importance de la notion de presqu accident Chez les conducteurs corrélation entre le risque accidentel et antécédent de presqu accident. Risque accidentel = 23% en l absence d antécédents de presqu accident lié à la somnolence Risque accidentel = 44 si plus de 4 antécédents de presqu accident Powell et coll, 2007

28 Évaluation subjective de la vigilance 1. Agenda du sommeil 2. Échelle d Epworth 3. Questionnaire sur les troubles du sommeil = QHD 43 items (short version - Damien Leger et coll, 2001)

29 Évaluation subjective : agenda du sommeil

30 Échelle de somnolence d Epworth L échelle d Epworth est un auto-questionnaire du niveau habituel de somnolence diurne, Elle présente donc des situations de la vie quotidienne favorables à une somnolence par exemple : se trouver dans une salle d attente, se trouver devant la télévision se trouver assis après un repas

31 Échelle de somnolence d Epworth* Afin de pouvoir mesurer une éventuelle somnolence dans la journée, voici quelques voici quelques situaeons de la vie quoedienne, où nous vous demandons d évaluer le risque de vous assoupir. Même si vous ne vous êtes pas trouvé récemment dans l une des situaeons suivantes, essayer d imaginer ce qui aurait pu se passer. Remplissez le tableau ci- dessous en vous demandant pour chaque situaeon quelles auraient été vos chances d assoupissement. Entourez le chiffre de la case correspondante. Enfin, calculez votre score final en addieonnant tous les chiffres entourés. 0 = Jamais d assoupissement 2 = Chance moyenne d assoupissement 1 = Faible chance d assoupissement 3 = Forte chance d assoupissement Si votre score final est supérieur ou égal à 10, Parlez- en à votre médecin traitant Chances de m assoupir 0 Jamais 1 Faible 2 Moyenne 3 Forte Assis en train de lire En regardant la télévision Assis inac6f dans un lieu public (cinéma, théâtre, réunions ) Allongé dans l après- midi lorsque les circonstances le permeqent Assis en train de parler avec quelqu un Assis au calme après un déjeuner sans alcool SITUATION Passager d une voiture ou d un transport en commun roulant depuis plus d une heure sans interrup6on Dans une voiture immobilisée quelques minutes, à un feu rouge ou dans un embouteillage * Johns MW (1991) A new method for measuring dayeme sleepiness : the Epworth Sleepiness Scale. Sleep, 14 : Score final :

32 Interprétation Le sujet doit signaler si il considère avoir un risque, de s assoupir ou de lutter contre le sommeil Ce risque est côté de 0 à 3 selon qu il est inexistant, faible, moyen ou fort. Un score supérieur ou égal à 10 évoque une somnolence avérée

33 ESE et médecine du travail Fiable Supériorité clinique nette sur l estimation subjective du degré de somnolence diurne excessive Auto-évaluation rapide : du degré de somnolence Efficacité de réponse à un traitement Pratique en médecine du travail +++

34 Actimétrie au poignet

35 Résultats Rythme activité-repos et le rythme veille-sommeil, Logiciel Sleepwatch Sommeil / Inactivité si < 40 mouvements / min Eveil / Activité si > 40 mouvements / min Cet appareil donne une bonne indication sur les horaires de sommeil et les éveils dans la nuit

36 Résultats Il permet de mesurer le temps de sommeil total, la latence d endormissement, le temps d éveil intra sommeil et l index d efficacité du sommeil Il ne permet pas de mesurer le pourcentage de sommeil lent profond ou de sommeil paradoxal.

37 Actimétrie d un sujet normal

38 Diagnostic d un trouble de la vigilance Plainte de somnolence Interrogatoire clinique SAS privation de sommeil Hypersomnie secondaire Facteur aggravant ou d entretien Interrogatoire professionnel Risque accidentel Conduite? Presqu accident? Aptitude?

39 Poste de sécurité ou conduite professionnelle Salarié SDE Commission de permis Test de maintien d éveil après traitement Médecin du travail Évaluation du risque accidentel Antécédents d accidents Presqu accident Trajet domicile travail Dépistage de la cause possible Simulateur de conduite Confirmation du diagnostic conduite automobile G1 ou G2 Évaluation Spécialisée Centre du sommeil

40 Conclusions Somnolence et travail = préoccupation primordiale en santé au travail Majoration du risque accidentel Elle doit toujours faire l objet d une évaluation clinique : ne JAMAIS minimiser Évaluation para-clinique : importance de l évaluation du risque accidentel prudence : problèmes médico-légaux +++ évaluation pluridisciplinaire Rôle clé du médecin du travail

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,

Plus en détail

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs 06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Marseille 21 > 23. Novembre

Marseille 21 > 23. Novembre Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

SOMMEIL ET TRAVAIL 6

SOMMEIL ET TRAVAIL 6 6 SOMMEIL ET TRAVAIL AVANT-PROPOS En médecine du travail, 20 à 40% des salariés se plaignent de leur sommeil avec pour principale conséquence la somnolence et son corolaire la baisse de vigilance. Les

Plus en détail

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé

Plus en détail

Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18

Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Lundi 18 Octobre 2010 (Responsable MF Vecchierini )

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées

Plus en détail

Diabète et Permis de Conduire

Diabète et Permis de Conduire Diabète et Permis de Conduire Exposé du Dr. François Moreau lors de la Table ronde organisée conjointement par Activ Diab 67 et Insulib le 29 mars 2014 Questions déclaration du diabète pour les candidats

Plus en détail

Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr

Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL o p t i o n 5 Ergonomie

Plus en détail

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

paris descartes le sommeil le 16 mars!

paris descartes le sommeil le 16 mars! de l université paris descartes LE SOMMEIL Qu est-ce que le sommeil? Sommeil et culture Les 10 règles du sommeil Bien dormir pour bien réussir La sieste au travail La journée du sommeil : le 16 mars! ÉDITO

Plus en détail

Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009)

Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) 1. Introduction Le sommeil est un comportement qui occupe 1/3 de notre temps et qui s inscrit dans un

Plus en détail

SOUTENANCE A CRETEIL UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2014 N THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT

SOUTENANCE A CRETEIL UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2014 N THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT 1 SOUTENANCE A CRETEIL UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2014 N THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Discipline : Médecine Générale ------------

Plus en détail

Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours

Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours Santé Publique Santé Travail Travail d Application Tutoré année 2010 Quatrième

Plus en détail

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si

Plus en détail

Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer

Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Josée Savard, Ph.D. Professeure titulaire École de psychologie, Université Laval Centre de recherche du CHU de Québec et Centre de recherche sur

Plus en détail

Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale

Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations pour la pratique clinique Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations Décembre 2006 Avec le partenariat méthodologique et le concours

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Journée mondiale du sommeil 2012 Rhône-Alpes

Journée mondiale du sommeil 2012 Rhône-Alpes Journée mondiale du sommeil 2012 Rhône-Alpes Date : 16 mars 2012 Action de sensibilisation grand public sur le sommeil en région Rhône-Alpes. Sommaire Introduction... 3 Actions en Rhône-Alpes... 4 Conférences

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Gina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!

Gina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout

Plus en détail

Charte de partenariat Risque Routier Professionnel

Charte de partenariat Risque Routier Professionnel Charte de partenariat Risque Routier Professionnel Entre : La CRAM XXX représentée par et La Préfecture du département YY représentée d'une part, et L entreprise ZZ représentée par d autre part. Il est

Plus en détail

Dossier de presse 10 ème Journée du Sommeil Vendredi 19 mars 2010

Dossier de presse 10 ème Journée du Sommeil Vendredi 19 mars 2010 Sous le patronage de Madame Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de la Santé et des Sports www.institut-sommeil-vigilance.org Sous le haut patronage de Monsieur Xavier Darcos, Ministre du Travail, des Relations

Plus en détail

Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale

Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations pour la pratique clinique Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Argumentaire Décembre 2006 Avec le partenariat méthodologique et le soutien financier

Plus en détail

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue

Plus en détail

La conduite automobile et le vieillissement

La conduite automobile et le vieillissement La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL :

RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL : RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL : Notre besoin de sommeil est rythmé comme une horloge (rythme chronobiologique ). Ce rythme nous impose des périodes de veille et de sommeil qui alternent au cours

Plus en détail

«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes

«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Introduction Les troubles du sommeil et de la vigilance interviennent de façon importante dans le monde du travail et notamment dans le travail à horaires

Plus en détail

LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE

LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE Le sommeil est très important pour la croissance et le bon développement de l enfant. Toutefois, il arrive que certains bébés aient plus de mal à dormir que

Plus en détail

Politique du sommeil

Politique du sommeil Politique du sommeil Centre de la Petite Enfance Beauce-Sartigan Politique du sommeil Novembre 2012 Objectif; L objectif de cette politique est de guider le personnel éducateur et d informer les parents

Plus en détail

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des

Plus en détail

En quoi consistera ce jeu?

En quoi consistera ce jeu? 1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage

Plus en détail

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie? P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes

Plus en détail

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

Madame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation.

Madame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation. Madame, Monsieur, La santé est un bien précieux que chacun doit absolument apprendre à gérer au mieux de ses intérêts. Elle doit être prise sous tous ses aspects, c est-à-dire, non seulement comme l absence

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

dmt Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 En résumé notes de congrès

dmt Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 En résumé notes de congrès dmt TD notes de congrès 168 Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 L Institut national de médecine agricole (INMA), situé à Tours, a organisé un colloque sur le thème «Sommeil et rythme de

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Diabète et législation. M.Chirola,C.Coureau,R.Chenebault,C.Chiappe,A.Casals

Diabète et législation. M.Chirola,C.Coureau,R.Chenebault,C.Chiappe,A.Casals Diabète et législation M.Chirola,C.Coureau,R.Chenebault,C.Chiappe,A.Casals 1 PLAN INTRODUCTION I)DIABETE ET SECURITE SOCIALE a)prise en charge b)la couverture maladie universelle II) DIABETE ET VIE SOCIALE

Plus en détail

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...

Plus en détail

LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline

LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs

Plus en détail

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments

Plus en détail

l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue

l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue Surveiller et punir/ le panoptisme Michel Foucault Un assujettissement réel nait mécaniquement

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Le risque TMS chez les intervenants à domicile

Le risque TMS chez les intervenants à domicile Le risque TMS chez les intervenants à domicile Quelques chiffres accident est dû aux manutentions manuelles Quelques chiffres + de 85% des maladies professionnelles sont des T.M.S. 5 tableaux de maladies

Plus en détail

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance

Plus en détail

Syndrome d'apnées du Sommeil

Syndrome d'apnées du Sommeil Collaboration Labo : ASTRAZENECA Page 1 sur 7 Article de synthèse réalisé le 28 Avril 2001_Patrick Lévy, Jean Louis Pépin, Bruno Lepaulle Secteur Sommeil et Respiration. CHU Grenoble 38043 France Syndrome

Plus en détail

RAPPORT SUR LE THEME DU SOMMEIL. Ministère de la Santé et des Solidarités

RAPPORT SUR LE THEME DU SOMMEIL. Ministère de la Santé et des Solidarités RAPPORT SUR LE THEME DU SOMMEIL Ministère de la Santé et des Solidarités DECEMBRE 2006 Rapport à Monsieur Xavier BERTRAND Ministère de la Santé et des Solidarités Sur la question du Sommeil en France «assortie

Plus en détail

Manuel des réglementeurs

Manuel des réglementeurs Doc 9966 Systèmes de gestion des risques de fatigue Manuel des réglementeurs Édition de 2012 Publié séparément en ligne, en français, en anglais, en arabe, en chinois, en espagnol et en russe par l ORGANISATION

Plus en détail

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec

Plus en détail

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté

Plus en détail

Urgent- information de sécurité

Urgent- information de sécurité Urgent- information de sécurité Risque augmenté de décès cardiovasculaire chez les patients insuffisants cardiaques chroniques symptomatiques avec une fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) altérée,

Plus en détail

Conseils pour réaliser un tableau de sortie

Conseils pour réaliser un tableau de sortie Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4

> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Autisme Questions/Réponses

Autisme Questions/Réponses Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions

Plus en détail

Le sommeil Des milliards de neurones en activité

Le sommeil Des milliards de neurones en activité Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Le sommeil Des milliards de neurones

Plus en détail

DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT

DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS

BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS C-4052 DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS Service des

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien

La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien 27 Mars 2015 Dr Emilie Chazelle, coordonnateur du programme TMS Institut de veille sanitaire Journées d étude de la Société de Réadaptation du

Plus en détail

La prise en charge de votre épilepsie

La prise en charge de votre épilepsie G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008 LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres

Plus en détail

Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5

Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Table des matières Introduction...1 Module 1 Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Chapitre 1..Historique de la profession d hygiéniste dentaire en santé dentaire publique au Québec...7

Plus en détail

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques

Plus en détail

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques

Plus en détail

SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 1 SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Dr Sylvain PEREAUX 1. L APTITUDE MÉDICALE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le but de l aptitude médicale à un poste de travail est de vérifier

Plus en détail

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?» Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine

MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine N 13 : 30 mars 2011 Priorité Santé Mutualiste : un kit de communication pour permettre aux mutuelles de promouvoir

Plus en détail

Risques liés à l'activité physique au travail. Mireille Loizeau

Risques liés à l'activité physique au travail. Mireille Loizeau Risques liés à l'activité physique au travail Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Activité physique 2 Définition Quotidien Travail Loisirs Sports... Définition Organisation Mondiale

Plus en détail

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi

Plus en détail

Expertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.

Expertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat. Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s

Plus en détail

Projet d action de prévention routière. la société xxxxxx

Projet d action de prévention routière. la société xxxxxx Projet d action de prévention routière À l attention de: Le aa/aa/ 2013 la société xxxxxx Comité du VAL D OISE CATALOGUE DES ACTIONS EN ENTREPRISE Association Prévention Routière (APR) Crée en 1949 loi

Plus en détail