Journées du Travail Social. Groupe d appui national IAE Emploi Formation. Contribution aux travaux des ateliers

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1 Journées du Travail Social Groupe d appui national IAE Emploi Formation Contribution aux travaux des ateliers L Insertion par l Activité Economique (IAE) L IAE est née dans les années 1970 en réaction au développement du chômage de masse. Face aux phénomènes croissants d exclusion du marché de travail, des associations et des travailleurs sociaux, issus notamment des Centres d Hébergement et de Réinsertion Sociale fédérés par la FNARS, ont eu l idée d une action innovante pour permettre aux personnes privées d emploi d obtenir un revenu et surtout, de renforcer leurs chances de retrouver un emploi. Le principe : l exercice d une activité professionnelle, sous statut salarié, assortie à un encadrement, un accompagnement socioprofessionnel et des démarches de formation pour retrouver à terme un emploi de droit commun. Reconnue progressivement par l Etat, l IAE est aujourd hui une politique de l emploi constituée de plus de structures accompagnant chaque année environ personnes, pour un chiffre d affaires cumulé estimé à 2 milliards d euros par les réseaux de l IAE. Plus précisément, 4 dispositifs composent l IAE : 2 de production (Atelier et Chantier d Insertion, Entreprise d Insertion), 2 de mise à disposition de personnel (Association Intermédiaire, Entreprise de Travail Temporaire d Insertion). Réel exemple d Economie Sociale et Solidaire, les structures de l IAE, pour réaliser cette mission d accompagnement à l emploi, développent des activités innovantes et socialement utiles sur leur territoire. Développent et même créent : les services à la personne, la prévention et le recyclage des déchets ou encore le maraîchage biologique sont autant de secteurs largement défrichés par l IAE. En outre, une large part de l IAE respecte les valeurs de l Economie Sociale et Solidaire, avec une prise de décision collective et démocratique en interne et le réinvestissement des bénéfices dans le projet de la structure ou sous forme de participation aux salariés. Des salariés éloignés de l emploi (chiffres DARES, l IAE en 2011) Plus de 80% des salariés en insertion ont un niveau égal ou inférieur au CAP-BEP. Près de 30% des salariés en insertion des Ateliers et Chantiers d Insertion et Entreprises d Insertion étaient inscrits depuis au moins deux ans à Pôle Emploi lors de leur recrutement. 1

2 Acteur de l emploi, l IAE est donc également un acteur de développement du territoire, plaçant l activité économique au service de projets de vie, sources de cohésion sociale et de richesses collectives. Si les structures de l IAE ont ainsi progressivement développé de nombreuses compétences économiques et entrepreneuriales, elles s appuient avant tout sur une fonction d accompagnement socioprofessionnel des personnes, dans le cadre d un statut salarié. A ce titre, elles partagent les nombreuses préoccupations qui traversent le milieu du travail social. Nouvelles précarités, nouveau rôle, nouvelles pratiques L Insertion par l Activité Economique visant à permettre l accès au marché du travail de droit commun aux personnes privées d emploi, la crise économique actuelle pose deux questions fondamentales aux SIAE : Accompagner vers l emploi a-t-il encore un sens quand l'emploi manque et qu il se crée si peu d emploi? Le travail a-t-il encore une valeur, quand il ne suffit plus à insérer une personne, au vu du développement des travailleurs pauvres et de la précarité des emplois? Ces questions se déclinent en plusieurs interrogations plus précises : 1. Le rôle des SIAE : Les SIAE jouent un rôle de sas vers l emploi de droit commun. Au vu de l état du marché du travail, au vu des freins rencontrés par des personnes, ce rôle doit-il évoluer : les SIAE doivent-elles proposer des emplois durables à des personnes que le marché du travail de droit commun ne recruterait pas? 2. Le rôle de l accompagnement social : Si le travail ne suffit plus à insérer, faut-il proposer des actions à des personnes actuellement salariées dans le cadre du droit commun mais pouvant rencontrer des freins périphériques menaçant leur maintien dans l emploi ou subissant des conditions de vie dégradées? 3. Les méthodes d accompagnement dans la SIAE : La crise économique accentue la divergence des profils de personnes pouvant être salariées en insertion dans une même structure. Certaines personnes vont être des victimes récentes de la crise, ayant perdu leur emploi mais disposant d une expérience professionnelle, de qualification etc. D autres vont avoir vécu des trajectoires d exclusion plus anciennes, générant des problématiques sociales et/ou sanitaires importantes. Comment organiser l accompagnement individuel de ces personnes tout en restant cohérent avec le cadre d une équipe de production? Comment éviter de «tirer» vers le bas des personnes? Comment éviter une sélection par le haut? Comment organiser la mixité des publics? A ces questions, le GAN propose les réponses suivantes : 1. Le rôle des SIAE : rechercher le droit commun pour les personnes. La faible création actuelle d emploi n est pas une fatalité collective ; proposer des emplois durables au sein des SIAE risque de renforcer une forme de stigmatisation des personnes et d enfermement dans un marché du travail périphérique dont elles ne pourraient que difficilement sortir en cas de reprise économique. Le GAN constate également, et surtout, qu il est impossible de postuler qu une personne ne peut pas travailler en entreprise. Les parcours individuels ne sont pas 2

3 linéaires, la durée de chômage ne peut pas être estimée à l avance selon le nombre de freins à l emploi. S il est important de pouvoir individualiser l accompagnement proposé aux personnes, et donc de pouvoir donner du temps avant de rechercher le retour vers le marché du travail «classique», cette phase de transition doit elle-même se réaliser dans les conditions les plus proches du droit commun. Les SIAE peuvent ainsi elles-mêmes chercher à s aligner sur le droit commun, pour préserver des conditions de vie dignes pour les personnes et une chance de réinsertion future. En termes de pratiques : cela nécessite de rechercher le plus de connexions possibles avec le milieu du travail et notamment l entreprise. Les outils d immersion, de stage, de formation des personnes doivent être mobilisés pour multiplier les expériences de contact avec le droit commun. Les accompagnateurs sociaux des SIAE doivent également valoriser les compétences des personnes et les mettre en situation autant que possible, recherchant plus rapidement l accès à l emploi. Cela implique d adopter également une posture différente vis-à-vis de l entreprise, mettant en avant leur expertise professionnelle en terme d encadrement et d intégration dans un collectif de travail pour contourner les préjugés et proposer des processus de recrutement davantage centrés sur le besoin en compétence de l entreprise que sur des critères académiques (maîtrise du français, de l écrit ). 2. Le rôle de l accompagnement social : prévenir l exclusion La faible qualité de l emploi amène des personnes à vivre dans des conditions précaires, sans pour autant savoir à qui s adresser en cas de difficulté. Centrés sur la gestion des relations employeur/employé et l animation du dialogue social, les syndicats ne peuvent proposer de solutions à des personnes rencontrant des difficultés périphériques à l emploi dans l entreprise. Les services de travail social au sein des entreprises paraissent également dépourvus de solution d accompagnement, lorsqu ils existent. L accompagnement social que peuvent proposer notamment les acteurs associatifs a ici un rôle à jouer ; mobilisé par les acteurs de l entreprise (syndicats, employeur, médecine du travail), le travail social pourrait intervenir dans une logique de prévention, proposant aux personnes une écoute et une première orientation avant que ne surviennent les difficultés et que ne s ouvre, avec un délai souvent dramatique, le droit à un accompagnement poussé. Pour éviter toute stigmatisation, cette écoute et cet accompagnement devraient avoir lieu hors de l entreprise ; ils devraient être clairement positionnés sur les problématiques individuelles des personnes, hors relations à l employeur et éventuels contentieux professionnels. La précarité de l emploi peut aussi provoquer chez des personnes travaillant une forme d isolement social (temps très partiel, activité de services à la personne chez le client ). Plus que la résolution de freins périphériques à l emploi, l accompagnement social pourrait ici chercher à créer des lieux de vie et d accueil recréant du lien social. En termes de pratiques, cela impose de revoir son approche de l entreprise, d en développer une meilleure connaissance, de mieux valoriser son offre de service en tant que structure d insertion. Plus largement, cela nécessite un rapport différent aux parcours des personnes, pensé hors des dispositifs sur un premier temps d accueil, une adaptation à des profils variés de personnes et une inscription différente sur le territoire, en prise directe avec le monde de droit commun. 3. Renforcer les compétences de management et développer des partenariats pour organiser la mixité dans la SIAE La SIAE doit actionner plusieurs leviers pour faire de cette mixité des profils de personnes en insertion une situation positive, et éviter de sélectionner les publics pour limiter les risques de conflit. Plus que sur la mise en œuvre d actions collectives favorisant la vie de l équipe, la 3

4 SIAE doit se rapprocher du droit commun dans ses méthodes d action, considérant que l entreprise elle-même fait face à une grande hétérogénéité de l équipe salariée. C est ainsi la professionnalisation des fonctions de direction, d encadrement et d accompagnement socioprofessionnel, l articulation de ces fonctions au sein d un projet collectif qui va permettre de donner sens à la vie collective de la structure. Cette construction sera d autant plus efficace que les salariés en insertion seront impliqués dans le processus via la mise en œuvre de démarches participatives. C est ce cadre collectif structuré autour du travail et d objectifs communs qui permettra d individualiser au mieux ensuite l accompagnement des personnes, sans fragiliser la cohésion de l équipe. Pour faire face à des problématiques spécifiques rencontrées par certaines personnes, la SIAE doit pouvoir se former pour répondre à ces problématiques mais surtout, rechercher les partenaires spécialisés susceptibles de lui apporter de l aide (sur la santé, le logement, la mobilité, le surendettement ). En termes de pratiques, il s agit ici de développer une logique de structure forte, qui peut s appuyer sur des outils tels que la formation, les démarches qualités, la mise en œuvre du dialogue social. Des outils du monde du travail doivent donc être intégrés à la vie des structures de l IAE, dépassant le cadre strictement individuel de l accompagnement socioprofessionnel. La connaissance réciproque avec des acteurs des secteurs sociaux, médico-sociaux et sanitaires et sociaux est essentielle pour pouvoir proposer un accompagnement global aux personnes. A ce titre, il convient de travailler sur la temporalité et la réactivité de ces structures pour éviter que la situation de personnes en fragilité ne se dégrade rapidement. Enfin, il faut que le travailleur social puisse utiliser sa créativité, sortir s il le faut de sa fiche de poste, pour un accompagnement social plus efficace. Posture et identité professionnelle intervention sociale et territoire Ces trois orientations supposent une approche renforcée de deux paramètres fondamentaux : la relation à la personne accompagnée (salariée ici) et la relation au territoire. Posture et identité professionnelle : Le droit commun du monde du travail ne doit pas être vécu a priori comme inapplicable aux personnes en insertion. Tous les employeurs ne font pas le même usage du contrat de travail ; celui-ci peut être utilisé comme un support pédagogique, le cadre d une relation équilibrée et contractualisée, intégrant des actions d'accompagnement des personnes et ne se limitant pas à de simples obligations. La SIAE doit être un employeur tourné vers la qualité de vie et de projet des salariés en insertion, et s appuyer sur le droit du travail dans ce cadre. Ce droit du travail lui permet de suspendre le contrat des personnes pour des périodes d essai chez un autre employeur ; il lui permet également de pratiquer des périodes d immersion en entreprise. Il donne ainsi des occasions de mise en situation dans le droit commun. Partant de ces possibilités, les SIAE doivent croire dans le potentiel des personnes et ne pas nécessairement s attacher à lever tous les freins à l emploi avant de positionner les personnes dans l emploi ; l accès à l emploi peut en effet permettre, par des revenus supplémentaires, une plus grande sérénité de la personne ou encore une estime de soi renforcée, de résoudre dans un second temps des problèmes jugés rédhibitoires à l exercice d un emploi dans le droit commun. La posture professionnelle des accompagnateurs des SIAE doit ainsi reposer sur une conception renouvelée, non linéaire, de la notion de parcours d insertion, mais également, sur un rapport différent à l entreprise. La SIAE doit se sentir légitime à proposer d autres 4

5 normes de travail en entreprise, à la fois sur le recrutement des personnes (pour sortir des méthodes discriminantes et souvent inefficaces fondées sur le CV, la lettre de motivation ou le niveau de diplôme) mais aussi sur l intégration des personnes dans l entreprise et le tutorat. Dans ce cadre, la participation des salariés en insertion doit être encouragée, dans une optique de redynamisation de la personne, tout en la préparant à un monde du travail moins participatif. Intervention sociale et territoire : Les SIAE et plus largement, l accompagnement social autour de l emploi, doivent se déployer en lien étroit avec le territoire, à la fois avec les entreprises et les acteurs de la formation professionnelle mais aussi avec les acteurs de l accompagnement social, de la santé, sans oublier les services d orientation, à commencer par le Service public de l emploi. C est en effet en travaillant sur les méthodes de diagnostic, les outils de liaison et la définition des publics «cibles» avec le service public de l emploi et des structures d insertion que les SIAE pourront mieux faire connaître leur fonctionnement, leurs capacités et leurs besoins pour structurer une offre d accompagnement cohérente autour de la personne. C est en travaillant avec les acteurs de l emploi et de la formation que le développement et la valorisation des compétences des salariés en insertion permettront de multiplier leurs contacts avec l emploi de droit commun, et donc d augmenter leurs chances d accès à l emploi. C est enfin en étant facilement accessibles sur un territoire, connues et bien identifiées par le monde de l entreprise, que les SIAE et les structures d accompagnement social, pourront être accessibles aux personnes en situation de fragilité, dans une logique de consultation sociale de proximité. Les accompagnateurs doivent donc développer des logiques de partenariats forts, pour réunir les compétences nécessaires au parcours d insertion des personnes mais aussi pour intervenir le plus tôt possible, avant que la situation d une personne ne se soit dégradée. L IAE a vécu de nombreuses évolutions depuis sa naissance dans les années 1970 et s avère un secteur encore jeune, bien que déjà riche d expériences. Les questionnements soulevés par le contexte socioéconomique et sa propre évolution doivent l amener à s interroger sur les méthodes d accompagnement des personnes les plus efficaces. Le GAN considère qu elles doivent s articuler autour des principes suivants : - Etre un employeur solidaire, - Jouer le rôle d intermédiaire avec le marché du travail - Créer des partenariats pour réunir les compétences d accompagnement et de formation autour des personnes Quant à l accompagnement social, il paraît nécessaire de le décloisonner des logiques de statut, de demandeur d emploi notamment, pour pleinement prendre en compte les phénomènes de précarisation de l emploi. Un accompagnement recentré alors sur l écoute, l accueil, la création de lien social. 5

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