PLAN DE MAITRISE DE LA DIFFUSION DES BMR IMPORTEES EN FRANCE

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1 PLAN DE MAITRISE DE LA DIFFUSION DES BMR IMPORTEES EN FRANCE Hélène Sénéchal CCLIN OUEST 1

2 Contexte Plusieurs épisodes de rapatriement de patients polytraumatisés porteurs de bactéries hautement résistantes aux ATB (souches et mécanismes de résistance multiples) Saisine du HCSP par le DGS Maîtriser la propagation Faire des recommandations sur la prise en charge des patients porteurs et contact 2

3 Groupe de travail Dr Bruno Grandbastien (Président de la CsSP du HCSP), Lille Pr Antoine Andremont (Coordinateur du groupe de travail), Bichat, Paris Dr Didier Lepelletier (rapporteur national auprès de la CsSP), Nantes Pr Vincent Jarlier, Pitié-Salpétrière, Paris Pr Patrice Nordmann, Bicêtre, Paris Pr Christian Brun-Buisson, Créteil Pr Christian Rabaud, Nancy Pr Michel Dupon, Bordeaux Dr Bruno Coignard, InVS Dr Sandra Fournier, AP-HP, Paris 3 3

4 Groupe de relecture Pr Jean-Christophe Lucet, Bichat, Paris Pr Patrick Pléziat, Besançon Pr Marie-Hélène Nicolas-Chanoine Beaujon, Paris Pr Roland Leclerc, Caen Pr Eric Caumes, Paris Pr Stephan Harbarth, Genève 4 4

5 Un 1 ier rapport sort en mai 2010 suivi d un second en novembre 5 5

6 Objectifs Retarder la diffusion des BHR En repérant les patients rapatriés et patients ayant des ATCD d hospitalisation à l étranger dans les 12 mois précédant 6

7 Patients concernés Tous les patients rapatriés d un établissement de santé étranger (rapatriement sanitaire ou assurances) quel que soit le mode d admission dans l établissement de santé en France (séjour ou des séances répétées) Tous les patients ayant des antécédents d hospitalisation (au moins 24h) récent (dans l année) à l étranger, dans des «services hautement spécifiques» (greffe d organses, chirurgie complexe ) Exclus : les patients des secteurs de consultation Application à la métropole, aux départements et régions d outremer 7 7

8 Patients concernés Ces recommandations sont élargies aux patients (présentation du 21 sept 2010) Ces patients sont admis dans les établissements de santé français sans rapatriement sanitaire au sens strict du terme Ces recommandations s appliquent àla métropole aux Département et Régions d Outre Mer (DOM-ROM) et aux Pays et Collectivités d Outre Mer (POM et COM) 8 8

9 Caractéristiques des séjours àl étranger Tous les patients hospitalisés au moins 24 heures dans un service de soins dans un établissement de santé à l étranger pas seulement les services de réanimation ou de chirurgie 9 9

10 Les bactéries concernées prioritairement bactéries commensales émergentes, ayant déjà diffusés en France sur un mode sporadique ou épidémique limité, en opposition à des bactéries dont la diffusion sur le territoire nationale est déjà installée. Prioritairement Entérobactéries productrices de carbapénémases (pas les ESBL), Entérocoques résistants aux glycopeptides. 10

11 Recommandations De 1 à 6 sur la prise en charge des patients à l admission De 7 à10 sur la conduuite à tenir en cas de portage digestif positif (ERG ou EPC) 11

12 A l admission du patient transféré de l étranger par rapatriement sanitaire ou par une compagnie d assurance directement ou indirectement d une structure de soins localisée dans un pays autre que la France 1. Le personnel prenant en charge le patient notifiera le statut du patient dans le SIH et s assurera de la transmission de l information à l EOH 2. Le patient sera informé de sa situation et de la nécessité de procéder à un dépistage 3. Pour identifier ces patients, mettre en place un système de signalement à l EOH des rapatriés et encourager le corps médical à rechercher un ATCD d hospitalisation récente à l étranger 4. Réaliser immédiatement un dépistage des EPC et ERG 5. Mettre en place les précautions complémentaires contact, réévaluées après le résultat microbiologique. 6. Il n est pas recommandé de réaliser un dépistage des contacts si les PCC ont été mises en place dès l admission 12

13 En cas de positivité du dépistage du patient rapatrié 7. Le laboratoire de bactétiologie alertera l EOH dès la positivité de la recherche d EPC et ERV ou de P. aeruginosa et A. baumannii 8. Un signalement externe au CCLIN et à l ARS sera fait pour tout cas d EPC ou ERV 9. Il est recommandé d identifier le mécanisme de résistance au laboratoire local ou au CNR 10. En cas de positivité du dépistage, il est recommandé de mettre en place les mesures préconisées pour la maîtrise de la diffusion des ERG 13

14 Conclusions Des recommandations nécessaires sans doute Enorme travail pour les services devant prendre en charge ces patients (cohorting ) pour les EOH à qui doivent être signalés ces patients Ne résoud rien au problème de fond qui est l utilisation massive des ATB, en médecine humaine, vétérinaire et en agriculture 14

15 Des recommandations permettant 3 actions 1. De décrire le flux Son intensité Ses facteurs de risque 2. De décrire le devenir des patients Survenue d infections Dissémination secondaire Chiffrer les conséquences et le bénéfice des recommandations Économiques Médicaux (consommation antibiotiques) 3. D imaginer de «faire mieux» En terme de dépistage (puces?, meilleure phénotypie) En terme de prise en charge Place exacte des PCC Décontamination? 15

16 Au total, Un formidable challenge Un premier temps indispensable Certainement pas suffisant De nature à stimuler la recherche et l innovation Bienvenues en ces temps de «pauvreté antibiotique» 16

17 La circulaire ministérielle du 6 décembre 2010 Contexte de rédaction et diffusion Différence par rapport aux recommandations Bactérie cible : EPC Urgences Carbapénèmes Dépistage des contacts et des transferts Cohorting Information Mise en œuvre des recommandations des mesures «ERG» 17

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