BILAN DES ÉMISSIONS POUR LE DÉPARTEMENT DU VAL-D OISE. Mars 2012

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1 BILAN DES ÉMISSIONS POUR LE DÉPARTEMENT DU VAL-D OISE Mars 2012

2 BILAN DES EMISSIONS POUR LE DEPARTEMENT DU VAL D OISE DONNEES DE BASE ANNEE 2008 Mars 2012 Bilan réalisé par : Airparif, association de surveillance de la qualité de l air en Pôle Etudes 7, rue Crillon PARIS Tél. : Fax : Pour : Conseil Général du val d Oise Le bon geste environnemental : n'imprimez ce document que si nécessaire et pensez au recto-verso!

3 Sommaire 1 - L INVENTAIRE DES EMISSIONS : DEFINITIONS ET UTILISATIONS SPECIFICITES DEPARTEMENTALES BILAN D EMISSIONS DES POLLUANTS ATMOSPHERIQUES OXYDES D AZOTE (NOX) PARTICULES (PM10) PARTICULES (PM2.5) COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS NON METHANIQUES (COVNM) DIOXYDE DE SOUFRE (SO 2 ) GAZ A EFFET DE SERRE (GES : CO 2, CH 4, N 2 O) CONTRIBUTION DES EMISSIONS DU DEPARTEMENT AUX EMISSIONS FRANCILIENNES 9 5 CARTOGRAPHIES DES EMISSIONS EN ILE-DE-FRANCE POUR L ANNEE OXYDES D AZOTE (NOX) PARTICULES (PM10) PARTICULES (PM2.5) COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS NON METHANIQUES (COVNM) GAZ A EFFET DE SERRE (GES) CONCLUSIONS 13 7 POUR EN SAVOIR PLUS 13 1

4 Glossaire Généralités : Emissions : rejets de polluants dans l atmosphère. Modélisation : calcul des niveaux de pollution à partir d outils informatiques. Polluants : NOx : Oxydes d azote PM10 : Particules de diamètre inférieur à 10 m PM2,5 : Particules de diamètre inférieur à 2,5 m COVNM : Composés organiques volatils non méthaniques SO 2 : Dioxyde de soufre GES : Gaz à effet de serre (inclut le dioxyde de carbone (CO 2 ), le méthane (CH 4 ), et le protoxyde d azote(n 2 O)). Dans le total GES, les émissions de CH 4 et de N 2 O sont ramenées en équivalent CO 2, en fonction de leur pouvoir de réchauffement global. 2

5 Bilan des émissions pour le département du Val d Oise Données de base année 2008 Le bilan des émissions à l échelle départementale pour l année 2008 est effectué à partir de l inventaire régional des émissions. Il repose sur des méthodologies de calcul des émissions actualisées en Les émissions relatives aux années précédentes, calculées par AIRPARIF, ne sont donc pas directement comparables avec celles présentées ici. Les principales évolutions méthodologiques mises en place en 2011 pour l inventaire 2008 sont les suivantes : - Amélioration des méthodologies de calcul des émissions du secteur avec notamment une meilleure prise en compte du chauffage au bois. - Amélioration des méthodologies de calcul des émissions du secteur industriel, notamment une répartition affinée des installations dans les secteurs d activités. 1 - L inventaire des émissions : définitions et utilisations L inventaire des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre est réalisé à partir d un recensement le plus exhaustif possible de l ensemble des émissions, sur une période et un domaine géographique définis, ici l année 2008 et le département du Val d Oise. Cela nécessite l identification de toutes les sources de polluants atmosphériques. Les sources émettrices de polluants dans l'atmosphère sont nombreuses et concernent aussi bien les secteurs relatifs aux activités humaines (industrie, chauffage, agriculture, transports...) que les sources naturelles (végétation, forêts ). L inventaire des émissions est établi pour les besoins suivants : - Alimenter les outils de modélisation régionale ou urbaine. - Faire des bilans d émissions par activité et/ou secteur géographique et identifier les évolutions. - Servir de base à la construction de scénarii prospectifs. Les sources sont regroupées en 9 grandes catégories, pour lesquelles les émissions prises en compte sont précisées ci-dessous : - : émissions liées au trafic routier et aux stations services. Les émissions du trafic routier comprennent celles issues de la combustion des moteurs (émissions à chaud et démarrage à froid) ainsi que les émissions liées à l évaporation de carburant (dans le réservoir mais aussi dans le circuit de distribution du carburant), d une part, et à l usure des équipements (freins, pneus et routes), d autre part. Les émissions de particules liées à la remise en suspension des particules au sol lors du passage des véhicules ne sont pas prises en compte. - Plates-formes s : émissions des avions et des activités au sol (hors trafic routier induit en zone publique des plates-formes) pour les plates-formes de Roissy et Orly (les données relatives à l aéroport du Bourget ne sont pas disponibles). - : émissions du trafic ferroviaire (hors remise en suspension des poussières) et du trafic. - : émissions liées au chauffage des habitations et des locaux du secteur, ainsi que celles liées à la production d eau chaude et aux installations de chauffage urbain. Les habitations comprennent les maisons individuelles et les appartements pour le secteur résidentiel ; les établissements de santé, d enseignement, de sports et loisirs, les commerces, les cafés hôtels et restaurants, les bureaux, les habitats communautaires et les locaux liés aux activités de transport (logistique, gares,..) pour le secteur. Les émissions liées à l utilisation domestique de solvants sont également considérées : application de peinture, utilisation de produits cosmétiques, de nettoyants, 3

6 - : émissions liées aux procédés de production ainsi que celles liées au chauffage des locaux des entreprises. Les procédés industriels pris en compte sont principalement ceux mis en œuvre dans les aciéries, l industrie des métaux et l industrie chimique ; les émissions dues aux chantiers et travaux du BTP, aux carrières ainsi que celles liées aux utilisations industrielles de solvants (application de peinture, dégraissage, nettoyage à sec, imprimeries, application de colles ). - Production d énergie : émissions dues aux centrales thermiques de production d électricité, aux installations d extraction du pétrole et aux raffineries. - : émissions liées aux usines d incinération de ménagers et industriels, aux centres de stockage de ultimes et stabilisés de classe 2, et aux installations de traitement des eaux. - agricole : émissions des terres cultivées, des engins agricoles, ainsi que celles provenant des activités d élevage et des installations de chauffage de certains bâtiments (serres, ). Les émissions de particules lors des activités de labours et de moissons sont également prises en compte. - Emissions naturelles : émissions des végétaux et des sols des zones naturelles (hors zones cultivées). Les résultats concernent, pour l année 2008, les oxydes d azote, les particules PM10 et PM2.5, les COVNM, le dioxyde de soufre et les gaz à effet de serre. En, le dioxyde d'azote (lié aux émissions d oxydes d'azote), les PM10 et les PM2.5 sont les polluants atmosphériques les plus problématiques. Les émissions de gaz à effet de serre présentées ici sont uniquement les émissions directes, c est-à-dire celles directement produites sur le territoire départemental. Elles n intègrent pas les émissions générées à l extérieur par des activités du département, ni celles de combustibles fossiles utilisés hors du territoire pour produire de l énergie consommée à l intérieur du territoire. Les bilans concernent la ventilation départementale par secteur d activité et par polluant pour l échelle temporelle annuelle. La contribution du département aux émissions régionales annuelles est ensuite présentée. 2 - Spécificités départementales Le tableau ci-après présente quelques éléments statistiques territoriaux et démographiques du Val d Oise : Population Département 95 Source : INSEE Ile-de- France % Département / Population en % Densité de la population (nombre d'habitants au km²) en Superficie (en km²) % Logement Département Ile-de- France % Département / Nombre total de logements en % Établissements Nombre d'établissements actifs au 31 décembre 2009 Département Ile-de- France % Département / Part de l'agriculture, en % Part de l'industrie, en % Part de la construction, en % Part du commerce, transports et services divers, en % Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en % VAL D'OISE

7 Le département du Val d Oise est le moins peuplé d Ile de France puisqu il concentre environ 10% de la population régionale. Sa superficie de 1245 km² représente 10% de la superficie régionale. Il est le plus petit des 4 départements de grande couronne, et bénéficie d une densité moyenne d habitants proche de la densité moyenne régionale (presque 1000 habitants par km²). Le Val d Oise concentre environ logements ce qui correspond à 9% des logements franciliens. La constitution du territoire est relativement contrastée : zones rurales à l est avec la zone de la plaine de France et à l ouest avec le Vexin français, et des zones plus urbaines au sud-est, intégrant l agglomération parisienne. La surface agricole utile correspond à environ 10% du département, surface utilisée notamment pour les cultures céréalières et l élevage. Les zones naturelles boisées sont également importantes puisqu elles représentent environ 20% du territoire départemental. Le tissu économique est composé d une large majorité de PME et PMI ainsi que de pôles de compétitivité orientés vers des domaines de haute technologie : électronique, multimédia, biotechnologies Concernant l infrastructure routière, elle est organisée autour de deux axes majeurs (autoroutes A1 et A15), ainsi que d importantes routes nationales reliées par la Francilienne. Le Val d'oise accueille une partie de l'aéroport international Paris Roissy Charles-de-Gaulle (réparti sur 3 départements franciliens, dont la Seine-et-Marne et la Seine-Saint-Denis), premier aéroport d Europe continentale pour le nombre de passagers accueillis. 3 - Bilan d émissions des polluants atmosphériques Les tableaux ci-dessous présentent le bilan des émissions 2008, en tonnes, par polluant et par secteur d activité, pour le département (en bleu) et pour l (en violet). Emissions NOx, PM10, PM2.5, COVNM, SO 2 en tonnes ; GES en kilotonnes Val d'oise (95) NOx (t) PM10 (t) PM2.5 (t) COVNM (t) SO2 (t) GES (kt) Emissions naturelles Total départemental Il n y a pas dans ce département de grandes installations liées au secteur de l extraction, et distribution de l énergie (centrale électrique, plate-forme de raffinage). Les émissions de ce secteur sont dues à un stockage souterrain de gaz naturel (Saint-Clair-sur-Epte). Emissions NOx, PM10, PM2.5, COVNM, SO 2 en tonnes ; GES en kilotonnes NOx (t) PM10 (t) PM2.5 (t) COVNM (t) SO2 (t) GES (kt) Emissions naturelles Total

8 Les graphiques ci-après représentent la répartition des émissions en 2008 par polluant et par secteur d activité, dans le département (à gauche), au regard de la répartition des émissions à l échelle de l (à droite). 3.1 Oxydes d azote (NOx) 2 Emissions de NOx en 2008 Département 95 49% 3% 19% 3% 8% 50% Emissions de NOx en % 5% 24% Les émissions de NOx du département sont majoritairement dues au trafic routier (49%), réparti en particulier sur plusieurs grands axes. Les activités de la plate-forme prennent une place importante dans les émissions de NOx de ce département (2). Le Val d Oise est le département francilien pour lequel la part de NOx liée aux activités s est la plus importante. Viennent ensuite les émissions du secteur (19%), tandis que les émissions des autres secteurs d activités sont relativement faibles (moins de 5%). Hormis les émissions naturelles dont seules les émissions de COVNM sont représentées, tous les secteurs d activités sont présents dans le département. A l échelle régionale, les émissions de NOx se répartissent comme suit pour les plus importants : trafic routier : 50% ; : 24% ; plate-forme : 8% ; industrie : 6%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution du résidentiel-, de l industrie, du secteur de l énergie et de l agriculture ; une contribution sensiblement plus forte des activités s ; une contribution équivalente du trafic routier. 3.2 Particules (PM10) 6% 28% Emissions de PM10 en 2008 Département % 30% 0, 25% Emissions de PM10 en % 29% 0, 27% Les émissions de PM10 dans le département sont essentiellement dues aux secteurs du (30%), du trafic routier (28%), et de l industrie (23%). Dans ce dernier secteur d activité, 53% des émissions de 6

9 PM10 sont dues aux chantiers et BTP. Comme dans les quatre départements de grande couronne, la part d émissions due à l agriculture n est pas négligeable (1). Les activités s contribuent à hauteur de 6%. Les autres secteurs émettent relativement peu de PM10, moins de. A l échelle régionale, les émissions de PM10 se répartissent comme suit : trafic routier : 25% ; : 27% ; industrie : 29% ; agriculture : 14% ; plate-forme et secteur de l énergie : chacun. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution de l industrie ; une plus forte contribution des activités s ; une contribution à peu près équivalente des autres secteurs. 3.3 Particules (PM2.5) 5% 6% 29% Emissions de PM2.5 en 2008 Département 95 17% 0, 4 3% 26% Emissions de PM2.5 en % 2 40% 0, Les émissions de PM2.5 dans le département sont essentiellement dues aux secteurs du (4), puis du trafic routier (29%), et de l industrie (17%). Les activités s contribuent pour 6% aux émissions de PM2.5, l agriculture pour 5%. Les autres secteurs émettent relativement peu de PM2.5, moins de. Par rapport à l, la répartition des émissions de PM2.5 dans le département est assez peu différente. Une faible part régionale de liée au secteur de l énergie est inexistante dans le département. Tous les autres secteurs d activités sont représentés. A l échelle régionale, les émissions de PM2.5 se répartissent comme suit : trafic routier : 26% ; : 40% ; industrie : 2 ; agriculture : 6% ; plate-forme : 3%. Les autres secteurs émettent moins de 3%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution de l industrie ; une plus forte contribution des activités s ; une contribution à peu près équivalente des autres secteurs. 3.4 Composés organiques volatils non méthaniques (COVNM) 4% Emissions naturelles 13% 0,3% 0, Emissions de COVNM en 2008 Département 95 0,3% 34% Emissions naturelles 15% ferroviaire et 0, 0, Emissions de COVNM en % 24% résidentiel et 25% 2 25% 0, 7

10 On distingue 4 principaux secteurs contributeurs aux émissions départementales de COVNM : l industrie (34%), le (25%), le trafic routier (24%), et les émissions naturelles (13%). Ces dernières représentent un contributeur non négligeable, en effet, la végétation, présente notamment dans les nombreuses zones naturelles du département, est un émetteur de COVNM. On notera également la contribution de la plate-forme, pour 4%. Les autres secteurs d activités sont relativement peu émetteurs de COVNM. A l échelle régionale, les émissions de COVNM se répartissent essentiellement comme suit : trafic routier : 2 ; : 25% ; industrie : 35% ; émissions naturelles : 15%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, des contributions à peu près équivalentes des différents secteurs d activités aux émissions de PM2.5. On notera que les émissions des activités s, de en, se chiffrent à 4% à l échelle départementale. 3.5 Dioxyde de soufre (SO 2) 9% 0,4% Emissions de SO 2 en 2008 Département 95 75% 8% 5% 0,3% 39% Traitement des 4% Emissions de SO2 en Emissions naturelles 0% 4 Dans le département, le secteur, dont les émissions sont essentiellement dues au chauffage, est le plus fort contributeur aux émissions de dioxyde de soufre (75%). La part liée aux activités s est de 9%, celle de l industrie de 8%. Celle des autres secteurs d activités est inférieure à 5% pour chacun d eux. L absence sur le département de toute installation relative au secteur de l énergie (hormis un stockage souterrain de gaz naturel dont les émissions de SO 2 sont négligeables), induit une répartition très différente de celle des émissions régionales, dans lesquelles le secteur de l énergie émet 4 des émissions de dioxyde de soufre. Le secteur résidentiel- représente 39% des émissions de SO 2, celui de l industrie représente 1. A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de SO 2 se répartissent comme suit : résidentiel- : 66% ; industrie : 19% ; traitement des : 7% ; trafic routier et activités s : 3% chacun. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution de l industrie et du traitement des ; une plus forte contribution du résidentiel- et des activités s ; une contribution équivalente du trafic routier et de l agriculture. 3.6 Gaz à effet de serre (GES : CO 2, CH 4, N 2O) Les gaz à effet de serre (GES) ont la propriété de laisser passer la lumière du soleil vers la terre et de capter une partie du rayonnement infrarouge qui est émis à nouveau par la terre vers l espace, provoquant ainsi le réchauffement des basses couches de l atmosphère. En plus de l effet de serre naturel, l accroissement des émissions anthropiques de gaz à effet de serre des dernières décennies a créé un effet de serre anthropique (lié aux activités humaines), du changement climatique observé aujourd hui. Les gaz à effet de serre pris en compte dans l inventaire francilien d AIRPARIF sont le CO 2, le CH 4 et le N 2 O, qui correspondent à 98% des émissions franciliennes de GES recensées par le CITEPA. Les émissions de ces trois 8

11 polluants sont considérées en équivalent CO 2 (les émissions des différents gaz sont corrigées de leur pouvoir de réchauffement par rapport à celui du CO 2 ). Il est tenu compte uniquement des gaz et non des particules qui peuvent aussi contribuer à l effet de serre. 10% 0, 19% Emissions de GES en 2008 Département 95 5% 0, 3% 28% 35% 6% 4% 0,3% 2 Emissions de GES en % 10% 1 A l échelle du département, les principaux contributeurs aux émissions de GES sont les secteurs du traitement des (35%), du résidentiel- (28%) et du trafic routier (19%). La plate-forme participe pour une part non négligeable de 10%, l agriculture et l industrie respectivement pour 5% et 3%. Les autres secteurs contribuent pour moins de. La part de gaz à effet de serre due au traitement des sur le Val d Oise est la plus importante de tous les départements franciliens. Il existe en effet dans le Val d Oise plusieurs usines d incinération d ordures ménagères, plusieurs centres de stockage de ultimes (décharges), qui sont d importants émetteurs de CO 2 et de CH 4, ainsi qu une station d épuration, fortement émettrice de CO 2. A l échelle régionale, la répartition des émissions de GES est différente, mais prédomine également pour le secteur (4) et le trafic routier (2). Les autres secteurs contribuent relativement moins aux émissions de GES. A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de GES se répartissent comme suit : résidentiel- : 44% ; trafic routier : 23% ; industrie 1 : traitement des : 1. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution du résidentiel- et de l industrie ; une plus forte contribution du traitement des et des activités s ; une contribution équivalente du trafic routier et de l agriculture. 4 - Contribution des émissions du département aux émissions franciliennes Le tableau ci-après présente la contribution des émissions du département dans l, par secteur d activité et par polluant. Contribution des émissions du département à l'échelle régionale Val d'oise (95) NOx PM10 PM2.5 COVNM SO2 GES 4% 0.0% 0.0% 4% 0.0% 0.3% 5% 9% 9% 1 6% 5% 8% 8% 8% 13% 44% 10% % 9% 1 13% 13% % 36% 28% 29% 25% 30% 34% 10% 9% 10% % Emissions naturelles 7% - - 9% - 3% Contribution du département / 13% % 14% Par rapport à l ensemble des émissions régionales, les émissions du Val d Oise représentent : 9

12 - 13 % des émissions franciliennes de NOx - 11 % des émissions de PM10 et de COVNM - 12 % des émissions de PM2.5-9% des émissions de SO 2-14 % des émissions de Gaz à Effet de Serre A l échelle régionale, par rapport aux autres départements, le Val d Oise représente un contributeur moyen des émissions des différents polluants. 5 Cartographies des émissions en pour l année 2008 Les cartes suivantes représentent une répartition spatialisée des émissions sur la région, pour différents polluants, à la résolution de 1 km², en tonnes/km²/an. 5.1 Oxydes d azote (NOx) Cette cartographie permet d observer des émissions de NOx plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération - aux abords des grands axes de circulation dont le tracé apparaît clairement - aux abords des plates-formes s - dans les communes où sont implantées de grandes industries, apparaissant sous forme d émetteurs ponctuels. 10

13 5.2 Particules (PM10) Comme pour les NOx, on observe des émissions de PM10 plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération - aux abords des grands axes de circulation dont le tracé apparaît, bien que de façon moins nette que pour les NOx - dans les communes où sont implantées de grandes industries, sur une zone réduite 5.3 Particules (PM2.5) Le motif des émissions de PM2.5 est comparable à celui des PM10, avec une densité plus faible. 11

14 5.4 Composés organiques volatils non méthaniques (COVNM) Cette cartographie permet d observer des émissions de COVNM plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération - aux abords des grands axes de circulation mais de façon moins nette que pour les NOx - dans les communes où sont implantées de grandes industries, apparaissant sous forme d émetteurs ponctuels - en densité plus modérée mais visible, dans les zones rurales et les zones naturelles, au niveau des massifs forestiers. 5.5 Gaz à effet de serre (GES) Les émissions de GES apparaissent comme plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération 12

15 - aux abords des grands axes de circulation et aux abords des plates-formes s, - dans les communes où sont implantées de grandes industries, apparaissant sous forme d émetteurs ponctuels. 6 - Conclusions Le département du Val d Oise fait partie de la grande couronne régionale. Sa superficie est la plus faible des quatre départements de grande couronne. Elle couvre une partie de l agglomération parisienne, mais également de larges espaces ruraux. Comme dans la majorité des départements franciliens, les secteurs d activités les plus émetteurs sont le trafic routier, le résidentiel- et l industrie. Cependant, deux secteurs d activités se distinguent sur ce département : - d une part, la présence d une partie de l aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, qui induit une part notable d émissions (2 de NOx, vraisemblablement liés aux phases de décollage roulage, poussée, montée- face aux vents dominants). C est sur ce département que la proportion d émissions dues aux activités s est la plus élevée. - d autre part plusieurs installations importantes de traitement des (station d épuration des eaux, usines d incinération, centres de stockage de ), qui contribuent pour une part notable aux émissions de GES. La contribution des émissions liées aux autres secteurs est relativement modérée par rapport à celles des autres départements, celle du secteur de l énergie est infime, voire nulle pour certains polluants. Ce département contribue pour une part moyenne aux émissions régionales de différents secteurs d activités. 7 Pour en savoir plus Airparif Surveillance de la qualité de l'air en : Inventaire des émissions en Résultats - Année 2008 : Emissions : air et climat : 13

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