Plateau technique. Imagerie médicale 146 Évaluer, organiser et manager son service d imagerie La certification peut-elle être un atout?

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1 Bloc opératoire 142 Le management des risques et des performances au bloc opératoire 142 La conformité technique des blocs opératoires 142 Rentabiliser le fonctionnement d un bloc opératoire 142 La chirurgie ambulatoire De la définition du projet aux réalisations concrètes 143 L informatisation du bloc opératoire 143 L organisation fonctionnelle de la maintenance au bloc opératoire 143 L évaluation des compétences paramédicales au bloc opératoire 144 La réanimation adulte spects réglementaires et organisationnels 144 L analyse des risques en anesthésie 144 Les plateaux opératoires d instrumentation onnaissance de l instrumentation 145 Les plateaux opératoires d instrumentation Rationalisation, traçabilité et maîtrise des coûts 145 La recomposition des plateaux opératoires Une nouvelle activité du service de stérilisation 146 La maîtrise de l infection en per-opératoire 146 Imagerie médicale 146 Évaluer, organiser et manager son service d imagerie La certification peut-elle être un atout? 146 L informatisation du service d imagerie 147 Les réseaux d images onduire un projet PS (Picture rchiving and ommunication Systems) 147 onduire un projet TEP-TDM De l autorisation à l implantation 147 Initiation à l imagerie par résonance magnétique 148 La gestion des risques en imagerie par résonance magnétique 148 Le contrôle qualité en imagerie par résonance magnétique 148 Le contrôle qualité en mammographie (analogique et numérique) 149 Le contrôle qualité en imagerie conventionnelle 149 Le contrôle qualité en scanographie 149 L hygiène en imagerie médicale 150 Laboratoire 150 L informatique au laboratoire 150 La robotisation et l automatisation au laboratoire 150 La biologie délocalisée 151 L audit qualité au laboratoire 151 Le référent qualité de paillasse au laboratoire 151 L accréditation du Guide de bonne exécution des analyses (GBE) Quel bénéfice pour le laboratoire hospitalier? 152 La démarche qualité au secrétariat de laboratoire d analyses de biologie médicale 152 Services techniques 153 La garde technique 153 La prévention des risques liés à la sécurité électrique 153 Les risques techniques et environnementaux 153 Thèmes transversaux 154 La certification ISO 9001 version 2000 pour les plateaux techniques 154 La maintenance biomédicale Réglementation et stratégie 154 La matériovigilance 154 Les risques professionnels 155 L organisation du transport interne des patients dans les établissements de santé 155 L organisation du transport des patients en ambulance dans les établissements de santé 155 Formation agréée par le Haut omité de la formation pharmaceutique continue (HFP) 141

2 Bloc opératoire Bloc opératoire Le management des risques et des performances au bloc opératoire hirurgiens nesthésistes adres de bloc Directeurs adres IDE Zied Guerfali, ingénieur biomédical, consultant, coordinateur NEH rchitecte nesthésiste hirurgien Médecin hygiéniste Spécialiste du traitement de l air adre de bloc onnaître la spécificité des risques au bloc opératoire nalyser ses pratiques et son organisation Mettre en place une organisation performante Les spécificités du secteur les normes techniques et la réglementation les facteurs de risques et la prévention des infections nosocomiales au bloc opératoire L organisation et la gestion des risques le dimensionnement et l organisation architecturale des blocs la méthodologie d analyse des flux opératoires la sécurité en matière d asepsie et de techniques de traitement de l air Réf. : la coordination et le conseil de bloc la gestion des risques relatifs aux équipements : la matériovigilance Travaux pratiques : la charte de fonctionnement et la programmation opératoire D 2,5 jours 5, 6, 7 février 10, 11, 12 septembre La conformité technique des blocs opératoires Ingénieurs bâtiment Directeurs des services économiques Intervenant technique, NEH Réf. : Maîtriser la réglementation et appréhender les référentiels de conformité technique onnaître les règles de sécurité S approprier les bonnes pratiques en matière de conception et de programmation La conformité technique d un bloc opératoire : dimensionnement, définition de l espace normatif, sécurités La sécurité de l air : ventilation, climatisation, conditionnement et traitement de l air La sécurité des fluides : réglementation, fluides médicaux la sécurité électrique : réglementation, spécificités des blocs opératoires La sécurité incendie : réglementation, spécificités des blocs opératoires L architecture du bloc opératoire les concepts et les évolutions les bonnes pratiques la préparation de l interface entre les équipements et le bâtiment 5, 6 mars 3, 4 octobre Rentabiliser le fonctionnement d un bloc opératoire Directeurs des services informatiques Présidents de conseil de bloc hirurgiens nesthésistes adres de bloc ontrôleurs de gestion Responsables assurance qualité technique, coordinateur NEH Dr Giordan, chirurgien viscéral, clinique Beausoleil, président de l F Savoir identifier et valoriser les indicateurs de bon fonctionnement du bloc opératoire nticiper les changements Mettre en œuvre une organisation efficiente Identifier les nouveaux enjeux des blocs opératoires et le rôle des acteurs Valoriser les enjeux financiers Mesurer l efficience du fonctionnement La contribution architecturale à l efficience Retours d expériences dans deux établissements Réf. : Débat : qualité et efficience s opposent-elles? omment conjuguer qualité, sécurité, efficience et économie? 30, 31 mai 4, 5 décembre 142 bulletin d inscription en page 207

3 Bloc opératoire La chirurgie ambulatoire De la définition du projet aux réalisations concrètes hirurgiens nesthésistes Directeurs adres de santé technique, coordinateur NEH Martine oustin, DHOS Dr Giordan, chirurgien viscéral, clinique Beausoleil, président de l F Dr Venutolo, anesthésiste, coordinateur de la chirurgie ambulatoire, H de Gonesse, vice-président de l F Michel Seraqui, architecte hospitalier, NMS rchitecture erner l importance stratégique de la chirurgie ambulatoire Définir son organisation Identifier les points de vigilance et les clés de succès Les enjeux de la chirurgie ambulatoire les perspectives et les développements potentiels de l activité ambulatoire le SROS 3 e génération : enjeux médicaux et économiques de la chirurgie ambulatoire L organisation de l activité ambulatoire et son architecture spécifique l analyse de l activité de chirurgie ambulatoire par le PMSI l ouverture d un site : anticiper la gestion des flux, la coordination et la programmation des interventions Réf. : Retours d expériences l expérience d un centre de chirurgie ambulatoire dédié l expérience d un établissement ayant appliqué les indicateurs qualité de l F 8, 9 janvier 10, 11 juillet L informatisation du bloc opératoire Radiologues technique, coordinateur NEH Sylvie Delplanque, directrice du service informatique et téléphonie, H de alais Industriels onnaître les solutions actuelles d informatisation d un bloc opératoire Entrer dans une démarche d achat Identifier les apports d un système informatisé de gestion d un bloc opératoire Lister les points essentiels d un cahier des charges Bilan de l offre industrielle Retours d expériences sur l informatisation d un bloc opératoire 17, 18 avril 20, 21 novembre Réf. : L organisation fonctionnelle de la maintenance au bloc opératoire adres de bloc opératoire Responsable des services techniques Jean-Luc Le Moal, pharmacien, consultant, coordinateur NEH Réf. : Objectif Optimiser la gestion de la maintenance en minimisant les impacts sur le fonctionnement du bloc opératoire La maintenance des équipements lourds : les fluides La gestion de la maintenance préventive : le planning, la gestion des fermetures La maintenance des autres équipements : le planning, les outils, la répartition des rôles 26, 27 avril 1 er, 2 octobre tarifs des formations en page 9 143

4 Bloc opératoire L évaluation des compétences paramédicales au bloc opératoire adres de bloc opératoire atherine Marino, cadre supérieur de santé, HU de Nîmes Jean-Luc Le Moal, pharmacien, consultant, coordinateur NEH Être en mesure d évaluer les compétences des équipes de bloc opératoire Mettre en œuvre une organisation adéquate de l évaluation L évaluation des professionnels, l évaluation des compétences Les aspects réglementaires Les outils d appréciation et de mesure l identification des compétences nécessaires la mesure de l expertise la mesure de la qualité des actes, le recueil des événements indésirables la mesure de l aspect relationnel Les leviers d amélioration des compétences 25, 26 juin 26, 27 novembre Réf. : La réanimation adulte spects réglementaires et organisationnels Directeurs nesthésistes Réanimateurs adres de réanimation Zied Guerfali, ingénieur biomédical, consultant, coordinateur NEH Dr rnaud de Lassence, réanimateur médical, hôpital Louis-Mourier, P-HP rchitecte Ingénieur biomédical Objectif Optimiser l organisation et l architecture des unités de réanimation pour améliorer la prise en charge du patient Présentation commentée du décret sur la réanimation du 5 avril 2002 Les unités de surveillance continue (US) les exigences réglementaires les aspects organisationnels La programmation et le dimensionnement des unités de réanimation l architecture la fusion des réanimations 19 janvier 19 juillet Réf. : L analyse des risques en anesthésie Directeurs nesthésistes Réanimateurs adres d anesthésie adres de réanimation Gestionnaires de risques écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH nesthésistes ssureur Réf. : onnaître les méthodes d analyse des risques et les conduites à tenir en cas d accident Mesurer les responsabilités de l anesthésiste nalyser et améliorer ses pratiques La responsabilité juridique des personnels en cas d accident La conduite à tenir en cas d accident L analyse systémique du risque en anesthésie De l analyse des risques à leur prévention Travaux pratiques et étude de cas 28 mars 3 octobre 144 bulletin d inscription en page 207

5 Bloc opératoire Les plateaux opératoires d instrumentation onnaissance de l instrumentation Préparateurs en pharmacie gents de stérilisation Valérie Jacques, pharmacien, HU de Tours Françoise Bordenave, cadre supérieur de santé, bloc opératoire et stérilisation Jean-Luc Le Moal, pharmacien, consultant, coordinateur NEH Maîtriser l instrumentation opératoire Savoir préparer et recomposer les plateaux opératoires avant la phase de stérilisation Les différents types d instruments les spécificités et les finalités des instruments la fonctionnalité des instruments Les missions du service de stérilisation fournir une instrumentation fiable et complète répondre aux besoins des clients des blocs opératoires Le processus de vérification des instruments la vérification qualitative des instruments la vérification quantitative des instruments les actions correctives en cas de non-conformité la traçabilité des opérations La recomposition des plateaux opératoires les différents types de conditionnement et leurs indications les différents types d assemblage les bonnes pratiques professionnelles les exigences réglementaires Réf. : L organisation du travail Les fiches de recomposition des plateaux opératoires la rédaction et l application des fiches les catalogues illustrés des fiches de recomposition D 2,5 jours 24, 25, 26 janvier 21, 22, 23 mars 13, 14, 15 juin 19, 20, 21 septembre 28, 29, 30 novembre Sessions délocalisées Strasbourg 7, 8, 9 février Marseille 30, 31 mai, 1 er juin 17, 18, 19 octobre Les plateaux opératoires d instrumentation Rationalisation, traçabilité et maîtrise des coûts adres de bloc opératoire adres de stérilisation Pharmaciens Préparateurs en pharmacie IBODE - IDE de bloc opératoire gents de stérilisation Jacqueline Rongeot, cadre de stérilisation, H d ntibes Lydie Rigaud, cadre de stérilisation, H Lacassagne de Nice Jean-Luc Le Moal, pharmacien, consultant, coordinateur NEH Rationaliser le processus de composition des plateaux opératoires ssurer l ergonomie, la sécurité et la traçabilité La rationalisation des processus de composition des plateaux opératoires les méthodes de rationalisation et d harmonisation la simplification des compositions L évaluation des coûts les coûts de composition des plateaux les coûts d entretien des instruments La traçabilité des plateaux opératoires les exigences réglementaires les logiciels l élaboration d un cahier des charges vers une traçabilité à l instrument 18, 19 janvier 28, 29 juin 29, 30 octobre Réf. : Formation agréée par le Haut omité de la formation pharmaceutique continue (HFP) tarifs des formations en page 9 145

6 Bloc opératoire La recomposition des plateaux opératoires Une nouvelle activité du service de stérilisation Pharmaciens adres de stérilisation adres de bloc opératoire Valérie Jacques, pharmacien, HU de Tours Françoise Bordenave, cadre supérieur de santé, bloc opératoire et stérilisation Jean-Luc Le Moal, pharmacien, consultant, coordinateur NEH Réf. : Optimiser la réorganisation de l activité de recomposition des plateaux opératoires Permettre une transmission des connaissances aux agents de stérilisation Les conditions préliminaires à la mise en œuvre du projet l harmonisation et la rationalisation des boîtes d instrumentation la connaissance qualitative et quantitative du parc d instruments La mise en place du projet les responsabilités et l engagement des acteurs les outils à mettre en place la communication entre les services La réorganisation du service de stérilisation l élaboration d une charte de fonctionnement la gestion et la formation des personnels Le suivi et l amélioration du projet les indicateurs la non-conformité et les actions correctives les audits B 1,5 jour 3, 4 mai 10, 11 décembre La maîtrise de l infection en per-opératoire hirurgiens Médecins adres de bloc opératoire IBODE Membres de la cellule opérationnelle d hygiène Mary-armen ubry-rocès, cadre expert en hygiène hospitalière, P-HP Jean-Luc Le Moal, pharmacien, consultant, coordinateur NEH ppréhender les facteurs d infections nosocomiales au bloc opératoire ppliquer les procédures et les techniques pour maîtriser le risque infectieux Épidémiologie des infections sur site opératoire Les recommandations de bonnes pratiques Les axes prioritaires du programme de prévention le patient : antibioprophylaxie, préparation avant l intervention l environnement : organisation architecturale, traitement de l eau, de l air et des surfaces Réf. : les soignants : hygiène et comportement l organisation des séquences de soins l évaluation des pratiques et les indicateurs de gestion du risque Les aspects médico-légaux du risque infectieux dans les secteurs opératoires 15, 16 mars 18, 19 octobre Imagerie médicale Évaluer, organiser et manager son service d imagerie La certification peut-elle être un atout? adres d imagerie Responsables qualité Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultant, coordinatrice NEH Yves Martin-Bouyer, radiologue, entre d imagerie de l ouest parisien (IMOP) Karine Dupré, responsable qualité, H de lermont-de-l Oise hristine Kertesz, responsable développement santé, FNOR Savoir conduire un audit organisationnel et fonctionnel de son service d imagerie Optimiser l organisation de son service ppréhender la méthode de certification ISO 9001 Maîtriser la méthodologie de l audit et de l évaluation les méthodes de l audit interne les outils de management et de gestion onduire un audit organisationnel et fonctionnel Élaborer des scénarios de réorganisation et un plan d amélioration de la qualité ertification ISO versus HS : les points communs et les divergences Retours d expériences terrains des deux approches Travaux pratiques : exemple d audits internes, suivi d indicateurs, analyse d intéractions entre processus B 1,5 jour 8, 9 février 20, 21 septembre Réf. : bulletin d inscription en page 207

7 Imagerie médicale L informatisation du service d imagerie hefs d établissement DSIO adres d imagerie Ingénieurs informatiques Radiologue DSIO Industriels du secteur Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Réf. : onnaître les différentes approches en matière d informatisation d un service d imagerie omprendre en quoi l informatisation peut améliorer la qualité des prestations et l organisation des soins au sein du service d imagerie de la structure hospitalière Identifier la place et le rôle d un réseau d images (type PS) dans l informatisation du service d imagerie La gestion des flux d information en radiologie L informatisation d un service de radiologie les fonctionnalités les spécificités et les outils d un système d information en radiologie L organisation d un service avec et sans PS la définition et les principes d un réseau d images les avantages, les inconvénients et les impacts sur la performance du service La place du dossier patient dans l informatisation du service (interopérabilité des solutions) 25 mai 7 novembre Les réseaux d images onduire un projet PS (Picture rchiving and ommunication Systems) Ingénieurs informatiques adres d imagerie DSIO Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Stéphanie Ségui-Saulnier, juriste, consultante au entre de droit Jurisanté Karine Seymour, consultante en système d information Martine Decouvelaere, ingénieur biomédical, Hospices civils de Lyon Industriels du secteur ppréhender la nature et les fonctionnalités d un PS Savoir conduire un projet PS et rédiger un cahier des charges onnaître l offre industrielle et les dernières innovations Introduction aux réseaux d images les définitions, les concepts, le périmètre la réglementation relative aux réseaux d images : archivage, contenu, supports, élimination La définition du projet PS les objectifs les moyens les acteurs les arguments préparatoires La conduite du projet l architecture et la mise en œuvre d un réseau : aspects pratiques Réf. : ce qu il faut attendre de DIOM et d IHE l acquisition d un réseau d images : appel d offres, cahier des charges, dialogue compétitif La gestion de l information en radiologie : SIH, SIR, PS, relations avec les unités de soins Panorama de l offre industrielle de réseaux d images E 3 jours 5, 6, 7 juin 11, 12, 13 décembre onduire un projet TEP-TDM De l autorisation à l implantation Médecins nucléaires adres de médecine nucléaire Ingénieur travaux Manipulateurs Dr Jacques Pasquier, spécialiste de médecine nucléaire Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH ppréhender les caractéristiques techniques d un TEP-TDM Savoir analyser une offre et rédiger le cahier des charges onnaître les dernières évolutions de l offre industrielle Préparer efficacement l installation de l équipement Les aspects techniques et l intérêt médical du projet La demande d autorisation L élaboration du cahier des charges et l analyse des points critiques Retour d expérience d un projet finalisé la présentation du projet et de sa conduite le bilan technique et le bilan médical Panorama de l offre industrielle les caractéristiques techniques et fonctionnelles les points forts technologiques le working progress Date 11 juin Réf. : tarifs des formations en page 9 147

8 Imagerie médicale Initiation à l imagerie par résonance magnétique adres d imagerie Manipulateurs d électroradiologie Laurent Barantin, ingénieur de recherche INSERM, HU de Tours Jacques de ertaines, docteur ès sciences physiques et biologie Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH cquérir les bases de l IRM (techniques et applications cliniques) onnaître le fonctionnement d un appareil d IRM ppréhender l offre industrielle Principe de l imagerie par résonance magnétique la base physique de l IRM le principe de la résonance magnétique nucléaire la formation de l image les principes de base d une séquence d acquisition IRM Les techniques d imagerie rapide, spectroscopiques et d imagerie particulières Les principes de technologie de l IRM la composante d un appareil d IRM le principe de fonctionnement d un appareil les principaux aspects de l offre industrielle 31 janvier 27 septembre Réf. : La gestion des risques en imagerie par résonance magnétique adres d imagerie Manipulateurs d imagerie Gestionnaires de risques Physiciens Médecin radiologue Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Optimiser l organisation de la démarche qualité en imagerie et spectrométrie par résonance magnétique Prévenir les risques pour le patient et l équipe médicale de mise en œuvre, assurer leur sécurité Bénéficier de retours d expériences Qualité et sécurité en IRM-SRM les aspects réglementaires : code de santé publique, loi sur la veille sanitaire, directive Euratom 97/43 autoévaluation rapide du système «qualité et sécurité» de votre établissement Le contrôle qualité en IRM-SRM les aspects techniques : acteurs, fréquence, méthodes exemples de méthodes d évaluation standard de paramètres Réf. : La sécurité en IRM-SRM les biomatériaux métalliques et l IRM les interactions et les risques les bonnes pratiques à mettre en œuvre Retours d expériences pratiques sur la qualité et la sécurité en IRM-SRM 1 er février 28 septembre Le contrôle qualité en imagerie par résonance magnétique Techniciens biomédicaux adres d imagerie Manipulateurs d électroradiologie Hind Bouk hil, docteur en génie biomédical Jacques de ertaines, docteur ès sciences physiques et biologie Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Réf. : onnaître la méthodologie du contrôle qualité en IRM Optimiser le fonctionnement de l appareil d IRM en anticipant les dérives ppréhender le contrôle qualité dans le cadre d études multicentriques en IRM cquérir une autonomie pour l évaluation en routine de la qualité en IRM Rappels des principes technologiques de l IRM Le contrôle de la qualité en IRM-SRM les aspects réglementaires les bénéfices en termes de coûts le contrôle qualité : acteurs, fréquence, méthodes exemples de méthodes standards d évaluation de paramètres Retours d expériences pratiques de contrôles qualité en IRM-SRM Date 20 juin 148 bulletin d inscription en page 207

9 Imagerie médicale Le contrôle qualité en mammographie (analogique et numérique) Ingénieurs et techniciens biomédicaux adres et manipulateurs d imagerie Physiciens Gérard Berthier, responsable contrôle qualité des dispositifs médicaux, FSSPS Organisme de contrôle Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Maîtriser la réglementation onnaître la méthodologie du contrôle qualité en mammographie analogique et numérique Bénéficier de retours d expériences pratiques Les modalités du contrôle qualité en mammographie (analogique et numérique) Les activités concernées par le contrôle qualité le processus d achat la réception les contrôles qualité périodiques et routiniers Réf. : Réglementation (des référentiels en vigueur) Expériences concrètes de mise en œuvre dans différents centres hospitaliers Travaux pratiques 25 janvier 5 juillet Le contrôle qualité en imagerie conventionnelle Ingénieurs et techniciens biomédicaux adres et manipulateurs d imagerie Physiciens Physiciens Organisme de contrôle laude Dominique, chef de l unité de physique médicale, hôpital Saint-Louis, Paris Mourad Ghomari, chef de département d ingénierie biomédicale, HU-Hôpitaux de Rouen Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Maîtriser la réglementation onnaître la méthodologie du contrôle qualité en imagerie conventionnelle Bénéficier de retours d expériences Le contrôle qualité en imagerie médicale la terminologie la théorie l avancement des travaux de l FSSPS La place du contrôle qualité le processus d achat la réception les contrôles qualité périodiques et routiniers la réforme Réf. : Point réglementaire et normatif sur l obligation du contrôle qualité en imagerie médicale Expériences concrètes de mise en œuvre dans différents centres hospitaliers Les modalités concernées : radiologie standard, conventionnelle et numérique, échographie 24 janvier 4 juillet Le contrôle qualité en scanographie Techniciens biomédicaux adres d imagerie Manipulateurs d électroradiologie Maurice Page, ingénieur biomédical, département de Haute-Savoie Organisme de contrôle Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Réf. : onnaître la méthodologie du contrôle qualité en scanographie Optimiser le fonctionnement d un scanographe en anticipant les dérives cquérir une autonomie pour l évaluation en routine de la qualité en scanographie Principes technologiques de la scanographie et du traitement d images Le contrôle qualité en scanographie les aspects réglementaires les bénéfices en termes de coûts le contrôle qualité : acteurs, fréquence, méthodes exemples de méthodes standards d évaluation de paramètres Retours d expériences pratiques sur le contrôle qualité en scanographie Date 21 juin tarifs des formations en page 9 149

10 Imagerie médicale L hygiène en imagerie médicale adres d imagerie Personnels du service d imagerie Médecins et infirmiers hygiénistes Ensemble du personnel d imagerie Médecin et infirmier hygiéniste Programmiste hospitalier Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Identifier les risques infectieux en radiologie Mettre en œuvre des procédures de prévention cquérir les bonnes pratiques en matière d hygiène Les risques identifiés d infection nosocomiale en radiologie La réglementation en vigueur La gestion et la prévention du risque infectieux les contraintes techniques et architecturales (traitement de l eau, de l air, des déchets) le nettoyage des locaux le comportement du personnel en matière d hygiène Réf. : Les procédures spécifiques à l entretien de certains dispositifs médicaux en imagerie médicale (échographie) Les protocoles de soins (cathéters, sondages ) 5 avril 11 octobre Laboratoire L informatique au laboratoire Biologistes Informaticiens onnaître et analyser l offre industrielle Sécuriser la rédaction de son cahier des charges Réf. : technique, coordinateur NEH lain œur, expert en informatique médicale Martine Otter, expert en informatique médicale hoisir un système de gestion pour son laboratoire la méthodologie pour bien définir les besoins la préparation du cahier des charges Présentation des travaux de la Société française d informatique de laboratoire (SFIL) le guide de bonne utilisation de l informatique le cahier des charges national pour l informatisation des laboratoires Présentation de l offre de fournisseurs industriels : MEDSYS, MIPS France, INLOG, HEXFLUX, BYER DIGNOSTIS, SYSMEX 13, 14 février 18, 19 septembre La robotisation et l automatisation au laboratoire Biologistes adres de santé Informaticiens Intervenant technique, coordinateur NEH ppréhender les nouvelles problématiques de la robotique en laboratoire onnaître et analyser l offre industrielle Sécuriser la rédaction de son cahier des charges Enjeux et problématiques de la robotique de laboratoire Les concepts de la robotique aujourd hui L étude de flux L analyse des besoins La rédaction du cahier des charges Panorama de l offre industrielle 13, 14 mars 9, 10 octobre Réf. : tarifs des formations en page 9

11 Laboratoire La biologie délocalisée Biologistes Techniciens de laboratoire adres de santé adres médico-techniques Frédéric Poujade, médecin biologiste, expert NEH écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH Mettre en place une démarche qualité concernant la biologie délocalisée Définir les indicateurs de suivi et évaluer sa démarche qualité hoisir ses partenaires industriels nalyser les problématiques de la biologie délocalisée la cartographie des partenaires la revue du matériel existant la structure de l hôpital les besoins cliniques Mettre en place une démarche qualité la définition des objectifs le rôle et les responsabilités des acteurs l analyse de l existant Définir les indicateurs de suivi la feuille de contrôle qualité les corrélations entre la biologie délocalisée et la biologie classique le risque d accident d exposition au sang (manipulateur et patient) le coût Réf. : Gérer les relations avec les fournisseurs qu attendre des fournisseurs? établir une coopération mettre en place la contractualisation La gestion informatisée de la biologie délocalisée les connections au SIL les projets des industriels les différentes architectures Manipulation d outils de résolution de problème et retours d expériences 8, 9 mai 24, 25 septembre L audit qualité au laboratoire adres techniques Techniciens udrey Lannoy, ingénieur santé, expert NEH Gérard Martin, cadre technique en laboratoire écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH Maîtriser la méthodologie et les phases de l audit Savoir réaliser des audits de procédures et des modes opératoires Préparer un programme d audit qualité interne Les principes de l audit qualité typologie des audits l intérêt de l audit interne en laboratoire d analyses de biologie médicale le rôle et les responsabilité des acteurs les conditions de réussite les qualités de l auditeur Le déroulement d un audit qualité définir les objectifs réaliser la phase préparatoire organiser l information et la réunion d ouverture Réf. : relever les observations, classer les écarts, organiser et optimiser la revue d audit formaliser les résultats et rédiger le compte-rendu définir un plan d action adéquat Mises en pratique préparation des grilles d audit qualité simulation d audit retours d expériences 12, 13 février 22, 23 octobre Le référent qualité de paillasse au laboratoire Techniciens adres techniques udrey Lannoy, ingénieur santé, expert NEH Gérard Martin, cadre technique en laboratoire écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH Réf. : onnaître et utiliser les concepts et les outils du management de la qualité appliqués à une paillasse technique Définir et mettre en œuvre la démarche d amélioration de la qualité onstruire des indicateurs de suivi de la qualité La fonction de référent de paillasse les responsabilités du référent de paillasse la réglementation et les processus supports adaptés à la paillasse technique L harmonisation des pratiques la gestion de la traçabilité des données l organisation de la validation analytique la gestion de la documentation qualité à la paillasse Les méthodologies à maîtriser l audit interne, les indicateurs qualité, la gestion des non-conformités l analyse des données de calibration : intérêt, fréquence, conditions d évaluation l analyse des contrôles qualité : notions statistiques, contrôles internes et externes, indicateurs de performance la constitution du dossier de validation de méthode : exploitation des données fournisseurs, mise en place de tests, évaluations périodiques Retours d expériences hospitalières 8, 9 janvier 17, 18 septembre Session délocalisée Nice 14, 15 mai 151

12 Laboratoire L accréditation du guide de bonne exécution des analyses (GBE) Quel bénéfice pour le laboratoire hospitalier? Médecins Responsables qualité Référents qualité adres de laboratoire Techniciens de laboratoire udrey Lannoy, ingénieur santé, expert NEH écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH omprendre l intérêt et les enjeux de la démarche Mettre en œuvre et suivre la démarche d accréditation GBE dans son laboratoire d analyse Définition de la qualité et ses concepts Les différents référentiels existants dans le milieu de la santé Présentation générale du GBE Les règles de fonctionnement le personnel les procédures d activité les installations l équipement et l instrumentation les réactifs et les consommables l élimination des déchets L assurance qualité le contrôle de la qualité interne et externe les actions préventives et correctives Le rôle du responsable qualité et des différents personnels Le GBE et le système documentaire Les chapitres d accréditation à valeur ajoutée pour le laboratoire Réf. : La gestion des contrôles qualité internes et externes la méthodologie l utilisation des données statistiques la mise en place d indicateurs assurer la qualité des procédures analytiques Les atouts des protocoles de validation des méthodes du OFR La métrologie : quel impact pour garantir la qualité des résultats? L évaluation des fournisseurs : méthodologie et gains pratiques La gestion des non-conformités : anomalies, réclamations patients et prescripteurs Plan d audits internes périodiques organisationnels et techniques 5, 6 mars 19, 20 novembre Session délocalisée Toulouse 11, 12 juin La démarche qualité au secrétariat de laboratoire d analyses de biologie médicale Biologistes Secrétaires médicales en laboratoire d analyses de biologie médicale udrey Lannoy, ingénieur santé, expert NEH écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH ppliquer la démarche qualité à l organisation de son secrétariat onnaître la réglementation applicable dans le cadre du GBE et les recommandations des normes d accréditation Mettre en place des outils d amélioration de la qualité Sensibilisation à la démarche qualité l historique de la qualité les référentiels GBE, accréditation OFR, HS l amélioration continue : principes et fondamentaux le système documentaire : spécificités rédactionnelles La fonction du secrétariat dans le processus préanalytique et post-analytique les modalités d accueil physique et téléphonique la réception et la conformité des échantillons l enregistrement des dossiers et ses implications la transmission des analyses externes la transmission des résultats et la facturation Réf. : La fonction du secrétariat dans les processus support l hygiène, la sécurité, l élimination des déchets l approvisionnement en consommables la conservation et l archivage des documents Le secrétariat médical et les thèmes transversaux la confidentialité et le secret professionnel l identification et la traçabilité des données la gestion des non-conformités et des réclamations patients/prescripteurs l organisation du personnel et la définition des habilitations 9 février 8 octobre Session délocalisée Nice 16 mai 152 bulletin d inscription en page 207

13 Services techniques Services techniques La garde technique Directeurs des services techniques Ingénieurs des services techniques Ingénieurs travaux djoints techniques hospitaliers ontremaîtres gents chefs Lydie Brecq-outant, avocat, expert NEH Olivier Vilain, ingénieur en chef, direction du patrimoine et de la logistique, P-HP Zied Guerfali, ingénieur biomédical, consultant, coordinateur NEH Réf. : Objectif cquérir les connaissances réglementaires et organisationnelles indispensables pour assurer une garde technique Le régime juridique des astreintes et des gardes les textes légaux et réglementaires l application dans le cadre des principes qui régissent le service public hospitalier (obligation d obéissance, principe de sécurité, de continuité, notion d urgence ) La mise en œuvre et les responsabilités rappel des différents régimes de responsabilités illustrations La mise en application des textes l organisation les prérequis de formation la sécurité du travail La mise au point d une procédure générale de garde : processus d information, intervenants, etc. L habilitation interne à la garde : formation requise, outils indispensables, entraînements (manœuvres électriques ) 21, 22 février 24, 25 septembre La prévention des risques liés à la sécurité électrique Ingénieurs travaux Ingénieurs services techniques djoints techniques hospitaliers ontremaîtres gents chefs Ingénieurs Techniciens des services techniques Zied Guerfali, ingénieur biomédical, consultant, coordinateur NEH ctualiser ses connaissances réglementaires Savoir anticiper et gérer les risques Le contexte réglementaire en matière de secours électrique La gestion des crises aux plans national et départemental Les obligations réglementaires et l habilitation du personnel Les différentes architectures de réseau et la normalisation L alimentation électrique de secours les secteurs et les champs couverts les groupes électrogènes les systèmes autonomes Réf. : La maintenance des équipements Le contrôle et la vérification du fonctionnement des secours et de leur autonomie Expérience d un plan de délestage interne 1 er, 2 mars 16, 17 octobre Les risques techniques et environnementaux hefs d établissement Ingénieurs travaux Directeurs des services techniques Ingénieurs des services techniques djoints techniques hospitaliers ontremaîtres gents chefs Olivier Vilain, ingénieur en chef, direction du patrimoine et de la logistique, P-HP Zied Guerfali, ingénieur biomédical, consultant, coordinateur NEH ppréhender les enjeux de la gestion des risques techniques cquérir les outils et les méthodes pour sécuriser les installations techniques Les aspects théoriques : comprendre la démarche de gestion des risques techniques et environnementaux rappel des missions des directions techniques l analyse de l environnement l approche de la gestion de risque la réglementation spécifique des risques techniques Réf. : Les aspects pratiques : mettre en place la démarche dans l optique du plan de sûreté de fonctionnement (étude de cas) le volet organisationnel : organiser l exploitation et la maintenance le volet matériel : la gestion des risques le volet dynamique : la gestion des vigilances 27, 28 mars 22, 23 octobre tarifs des formations en page 9 153

14 Thèmes transversaux Thèmes transversaux La certification ISO 9001 version 2000 pour les plateaux techniques Responsables assurance qualité Responsables de la gestion des risques Biologistes Radiologues adres de santé (biologie, radiologie, bloc opératoire) Directeurs des soins Zied Guerfali, ingénieur biomédical, consultant, coordinateur NEH Mourad Ghomari, chef de département d ingénierie biomédicale, HU-Hôpitaux de Rouen Yves Martin-Bouyer, radiologue, IMOP (entre d imagerie de l ouest parisien) Dr Pascal Lievin, biologiste, laboratoire BIOPJ, Valenciennes Optimiser les résultats et la performance du plateau technique Maîtriser la maintenance des dispositifs médicaux Piloter la programmation opératoire Rationaliser le plateau technique de biologie Optimiser les flux en imagerie La certification dans les établissements de santé : principes, procédures, bénéfices et différences avec l accréditation Retours d expériences la certification du service biomédical la certification d un laboratoire d analyses de biologie médicale la certification d un service d imagerie la certification d un bloc opératoire Réf. : Débat : quel investissement, quels coûts pour un projet de certification? quels résultats en attendre? 12, 13 avril 12, 13 novembre La maintenance biomédicale Réglementation et stratégie Médecins du travail Techniciens biomédicaux Ingénieurs des services techniques Industriels Directeurs des services économiques Myriam oulibaly, ingénieur biomédical, consultante, coordinatrice NEH Représentant d un organisme de contrôle Représentant de l FNOR, FSSPS Nicolas ateau, ingénieur biomédical, hôpital Robert-Debré, Paris Pierre Kouam, ingénieur biomédical, H Sud-Francilien onnaître les enjeux du décret sur la maintenance et ses arrêtés d application Gérer l application concrète de la réglementation dans son établissement onnaître les limites de la mise en place d une gestion de la maintenance assistée par ordinateur La réglementation sur la maintenance biomédicale le décret du 5 décembre 2001 les arrêtés d application La mise en place du décret au sein des hôpitaux les enjeux et les difficultés exemples de démarches opérationnelles le point de vue des acteurs : industriels, organismes de contrôle, établissements hospitaliers La gestion de la maintenance assistée par ordinateur (GMO) un outil d optimisation de la gestion de la maintenance hospitalière les applications dans le domaine biomédical le choix d un outil de GMO La mise en œuvre du contrôle qualité Les responsabilités en matière de maintenance biomédicale B 1,5 jour 19, 20 mars 29, 30 octobre Réf. : La matériovigilance orrespondants de matériovigilance adres de soins Pharmaciens écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH Pharmacien nesthésiste réanimateur ncien expert à la ommission de Bruxelles onnaître les procédures de matériovigilance aux niveaux international, national et local Savoir construire une déclaration pertinente et déjouer les pièges La matériovigilance dans le contexte international Les perspectives dans le cadre de l harmonisation globale Les procédures de matériovigilance en France l historique, la réglementation, le fonctionnement de l échelon national le fonctionnement de l échelon local : le rôle du matériovigilant, l aide à la déclaration Réf. : Présentation d une expérience d organisation dans un établissement Témoignage concernant les dispositifs stériles et les problématiques de traçabilité Les pièges à éviter Études de cas (fiches de déclaration) et jeux de rôles 23 janvier 14 septembre 154

15 Thèmes transversaux Les risques professionnels Médecins du travail Ingénieurs travaux Responsables services techniques Membres du HST Directeurs écile Goguet, ingénieur en gestion des risques, consultante, coordinatrice NEH Pascale Ravé, directeur qualité, hôpital Notre-Dame-de-Bon-Secours, expert NEH Ingénieurs hygiène et sécurité vocat Représentant du ministère de l Emploi et de la ohésion sociale Fournisseurs de logiciels Réf. : onnaître la réglementation et les obligations en matière de risques professionnels Maîtriser leurs enjeux : l élaboration du document unique Mettre en œuvre les outils nécessaires à la mise en place d une politique de surveillance et de prévention Les risques professionnels et le contexte international et réglementaire hamps d application et définitions Les risques juridiques La gestion et la prévention des risques professionnels au travers de l élaboration d un document unique Les logiciels du marché Exemples de méthodologies élaborées par certains établissements hospitaliers Vidéos des risques professionnels spécifiques à l hôpital teliers de construction de supports d inventaire (première démarche à mettre en œuvre pour répondre à la réglementation) 12, 13 mars 11, 12 octobre L organisation du transport interne des patients dans les établissements de santé Directeurs Directeurs des soins Évaluer l efficience d une organisation de transport des patients (brancardage) oncevoir une organisation optimale pour gagner en efficacité Réf. : Intervenant technique, NEH Les différents types d organisation : avantages/inconvénients Importance de la dimension «Soin» dans le transport du patient Évaluer les flux de transport Identifier les clés d une organisation efficiente Poser un diagnostic sur l organisation du brancardage Retours d expériences de deux centres hospitaliers 23, 24 avril 26, 27 novembre L organisation du transport des patients en ambulance dans les établissements de santé Directeurs Directeurs des soins Directeurs des services économiques Responsables des transports ambulanciers technique, coordinateur NEH Jean-Yves Gerbet, responsable transport, HU de Dijon Objectif Évaluer l efficience d une organisation de transport des patients en ambulance Des enjeux pointés par la sécurité sociale : un poste de dépenses qui croît de manière exponentielle Le point sur la réglementation en vigueur en matière de transports de patients motorisés Retour d expérience du HU de Dijon 22 mai 28 novembre Réf. : tarifs des formations en page 9 155

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