Chômage et exclusion sociale
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- Nathalie Bellefleur
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1 Chômage et exclusion sociale Denis FOUGÈRE (CNRS, CREST-INSEE) Conseil d Orientation de l Emploi Mardi 13 décembre 2005
2 Chômage et exclusion sociale Chômage et exclusion sociale: une double causalité Le chômage de masse est générateur d exclusion Mais en retour l exclusion est un «multiplicateur» du chômage en raison: du confinement des individus dans la précarité de sa transmission intergénérationnelle de sa concentration territoriale
3 La précarisation des parcours professionnels 1. La progression des emplois précaires à bas salaires : la proportion d actifs occupés dans des emplois précaires (CDD ou intérim), à temps plein ou à temps partiel, rémunérés à des niveaux de salaire inférieurs au salaire médian est passée entre 1990 et 2002 de 5,9 à 7,5% dans le cas des hommes, de 7,6 à 10,4% dans celui des femmes 2. Une précarisation accrue des trajectoires professionnelles : en 20 ans, la proportion d actifs en chômage ou en emploi précaire trois ans de suite est passée de 4 % des actifs à plus de 9 %, après avoir atteint un maximum égal à 11% en Une protection sociale mal adaptée aux évolutions du marché du travail : la précarisation a des conséquences directes sur la protection sociale des salariés (notamment pour l ouverture des droits à l assurance-chômage); nécessité de repenser l ensemble de la protection sociale pour prendre en compte les grandes tendances des marchés du travail contemporains
4 Transitions emploi chômage et type de contrat Moins d un an d ancienneté 1 à 5 ans d ancienneté 0,45 45,0% 0,4 Emp. aidés Intérim 40,0% Intérim Emp. aidés 0,35 0,3 CDD CDI 35,0% 30,0% CDD CDI 0,25 25,0% 0,2 20,0% 0,15 15,0% 0,1 10,0% 0,05 5,0% ,0%
5 Précarisation des trajectoires 12,0% 10,0% 8,0% 3 années consécutives de chômage ou d'emploi précaire 3 années consécutives en chômage 6,0% 2 années en chômage, une année en emploi précaire 4,0% 2,0% 2 années en emploi précaire, une année en chômage 3 années consécutives en emploi précaire 0,0%
6 Le devenir des salariés précaires 60,0% 50,0% 40,0% 30,0% 20,0% 10,0% 0,0% Chômage Emploi précaire Inactivité Emploi CDI Les transitions vers le chômage sont très fréquentes et contracycliques Les transitions vers les CDI sont peu fréquentes et pro-cycliques Croissance continue de la fréquence des transitions vers l emploi précaire ( précarisation)
7 Autres exemples Chômage et santé : Le chômage détériore la santé (Mesrine, 2000; Kuhn, Lalive et Zweimuller, 2004) Une mauvaise santé rend plus difficile le retour à l emploi Chômage (ou pauvreté) des parents et échec scolaire des enfants (Goux et Maurin, 2005) Chômage et délinquance: Le chômage (et la pauvreté) accroissent le nombre de délits (Entorf et Spengler, 2000; Kelly, 2000; Fougère, Kramarz et Pouget, 2005) La hausse de la délinquance provoque la fuite des «classes moyennes» (Levitt et Cullen, 1999, Fougère, Kramarz et Pouget, 2005) et accroît la concentration
8 Le constat général La montée continue du chômage et de la précarité a engendré l exclusion durable d une part croissante de la population hors de la sphère de l emploi On peut aujourd hui parler d un noyau dur de la pauvreté, c est-à-dire de personnes, et parfois de ménages entiers, durablement pauvres Malgré l amélioration de la situation macroéconomique de la fin des années 90, ce noyau dur de la pauvreté a résisté (travaux de l Observatoire National de la pauvreté et de l exclusion sociale) Ces nouvelles formes de pauvreté sont de plus en plus ancrées dans certaines zones urbaines ou périurbaines
9 Le cumul des difficultés Cumul et récurrence des difficultés vécues par les personnes et ménages pauvres : pour près des deux tiers des allocataires de minima sociaux qui recherchent activement un emploi, cette recherche d emploi se heurte à des contraintes financières et matérielles (difficultés de garde d enfants, coût ou absence de transports, etc.) les difficultés d accès au logement se doublent souvent, pour les ménages les plus pauvres, de difficultés d accès aux services bancaires et financiers corrélation très forte entre difficultés scolaires et pauvreté monétaire : le taux de retard en sixième est de 35% pour les enfants des familles les plus pauvres, contre 12% pour les enfants des ménages les plus riches (pauvreté des enfants; illettrisme)
10 Une ségrégation urbaine plus sensible Polarisation socio-économique dans l espace des villes et de leurs quartiers (Maurin, 2004; Guilluy et Noyé, 2005) Dans les ZUS, la proportion de chômeurs était de 25,4% en 1999 La part de non-diplômés chez les 15 ans et plus était de 33,1% (17,7% en moyenne nationale) La part des salariés en CDD, intérim et stages était de 20% (12,1% en moyenne nationale) Disjonction accrue entre domicile et lieu de travail, sensible en particulier pour tous ceux dont l emploi est localisé dans le centre des grandes villes
11 Le sur-chômage des immigrés et des français enfants d étrangers Le taux de chômage des travailleurs étrangers (respectivement, originaires d un pays d Afrique) est strictement le double (resp. le triple) du taux de chômage des travailleurs de nationalité française Les jeunes Français d origine maghrébine sont deux fois et demi plus souvent en chômage que les jeunes Français d origine française, quel que soit leur niveau d études (Fougère et Pouget, 2004) Une grande partie de l'écart de salaire entre salariés de parents français et salariés de parents africains est expliquée par les différences de caractéristiques observables (niveau d éducation, expérience de travail, etc.) En revanche, les caractéristiques observables sont incapables d'expliquer les écarts de fréquence d accès à l emploi (Aeberhardt, Fougère, Pouget et Rathelot, 2005)
12 Évolution des CSP des actifs occupés 70% 40% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Français ouvriers Etrangers ouvriers Français employés Etrangers employés 0% Français art., com., ent. Etrangers art., com., ent. Français cadres, prof. int. Etrangers cadres, prof. int.
13 Évolution des taux de chômage 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Français Etrangers 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Français Europe de l'ouest Maghreb Afrique
14 L école est-elle encore un vecteur d intégration? L accès à l enseignement supérieur ne progresse plus La part des jeunes qui sortent du système éducatif initial sans diplôme professionnel ou sans diplôme général supérieur au brevet ne décroît plus ; elle reste à un niveau élevé (près d un sortant sur cinq) Le phénomène de ségrégation sociale dans les établissements scolaires n aurait pas évolué de manière importante dans la période récente Mais il se concentrerait sur certaines zones urbaines et y exercerait un effet local important, peu sensible à un niveau agrégé Ainsi Felouzis (2004) a mis en évidence une ségrégation «ethnique» au sein des collèges de la région bordelaise relégation des élèves en grande difficulté scolaire
15 Les grandes orientations pour l action Réduire les distances physiques et sociales au marché du travail : désenclavement des quartiers, amélioration des dessertes par transports collectifs, aides aux activités économiques créatrices d emploi dans les zones concernées (y compris par la mise en place de politiques de micro-crédits) Accélérer la construction de logements sociaux locatifs (créer un service public de caution permettant notamment aux jeunes ménages d accéder plus facilement au premier logement) Renforcer l aide aux ménages pauvres avec enfants, par exemple en instaurant une allocation familiale dès le premier enfant (sous conditions de ressources), et en relevant les majorations pour enfants dans les barèmes des minima sociaux et de l aide au logement Concentrer l effort et les moyens d éducation et de formation, notamment en réduisant de façon significative, pour les catégories d élèves les plus en difficulté, le nombre moyen d élèves par classe, et ce dès la maternelle Lutter contre les discriminations à l œuvre dans les processus d accès à la formation, à l emploi et au logement et à la santé
16 Les programmes de lutte contre les ghettos aux Etats-Unis (1) Programmes centrés autour de l action sur les personnes, avec l idée de les sortir des ghettos Programme Gautreaux, mis en œuvre à Chicago à partir de 1976, ciblé sur les ménages Noirs ayant des faibles revenus et vivant dans des immeubles publics d habitation. Le programme leur offrait des aides financières afin de s installer dans des quartiers périphériques comptant moins de 30% de Noirs Les études réalisées ont montré qu après déménagement, les résultats scolaires des enfants des familles concernées se sont significativement améliorés. Il en a été de même pour les perspectives d emploi de leurs parents
17 Les programmes de lutte contre les ghettos aux Etats-Unis (2) Le U.S. Department of Housing and Urban Development a étendu ce programme sous la forme d une expérimentation baptisée Moving to Opportunity (MTO) conduite à partir de 1994 dans cinq grandes villes : Baltimore, Boston, Chicago, Los Angeles, et New-York Etaient éligibles à ce programme expérimental les ménages vivant dans des immeubles publics d habitation et dans des quartiers où le taux de pauvreté dépassait 40% Les aides prenaient la forme de bons (vouchers) permettant de louer des appartements à des propriétaires privés ou de se reloger dans des quartiers moins pauvres (+ aide dans la recherche et l installation) Ce programme a amélioré les conditions de vie des ménages bénéficiaires, et notamment du point de vue de leur santé et de leur sécurité (Katz, Kling et Leibman, 2001) Malheureusement, les perspectives d emploi et de revenu des parents ne semblent pas avoir été significativement modifiées par le programme
18 La réduction de la taille des classes La plus vaste expérimentation à ce jour a été conduite aux Etats-Unis dans le cadre du projet STAR (Student/Teacher Achievement Ratio) Ce projet a concerné près de élèves répartis aléatoirement dans des classes de 13 à 17 élèves ou de 22 à 26 élèves, depuis la dernière année de maternelle jusqu à l équivalent du CE2 Les résultats de cette expérience sont sans ambiguïté : le passage dans une petite classe a un effet bénéfique pour les élèves appartenant aux minorités et aux ménages pauvres Par ailleurs, l essentiel du gain est obtenu dès la première année et les effets perdurent au cours des années suivantes, sans pour autant que les écarts se creusent (Krueger, 2001) Autres études : Angrist et Lavy (1999), Piketty (2004)
19 Et l affirmative action? Point de vue des économistes : théorie de la «discrimination statistique» (Aigner et Cain, Lundberg, Rotschild et Stiglitz) Les écarts de salaires à l embauche entre groupes reflètent, dans le cas des minorités, la moindre précision des informations disponibles sur la qualité des candidats (effets de CV, mais surtout absence de garants, cf. argument des «liens faibles») Cette situation peut conduire les membres des minorités à sous-investir en formation (équilibre auto-entretenu, cercle vicieux) Solutions : améliorer l information statistique et sa diffusion, mettre en œuvre des politiques d equal pay ou même d affirmative action (forcer le recrutement des individus issus des minorités dans les emplois qualifiés) L affirmative action a une justification du point de vue de l efficacité économique si le coût des distorsions allocatives est inférieur à celui du sous-investissement en capital humain Question non résolue théoriquement, d où nécessité d études empiriques
20 Les effets de l affirmative action aux U.S.A. L accent est unilatéralement mis sur les effets pervers de l affirmative action (AA) Mais l ensemble des études empiriques disponibles oblige à nuancer l analyse (Holzer et Neumark, 2000) Pas de conclusions nettes sur l efficacité productive (coût/production) Pas d effets des politiques d AA dans la police sur la criminalité (pas de hausse en particulier) Remarquable étude d Arcidiacono (2005): l existence de politiques d AA à l entrée des universités (règles d admissions et aides financières) influencent fortement la décision de suivre des études supérieures
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