+-Logiques communicationnelles et mutations de temporalités

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "+-Logiques communicationnelles et mutations de temporalités"

Transcription

1 1 +-Logiques communicationnelles et mutations de temporalités Enjeux et défis pour l adulte contemporain Janvier 2010 Jean-Pierre Boutinet Comprendre le monde dans lequel nous évoluons c est pour une part chercher à reconnaître les temporalités qui l organisent. Ce faisant, on ne saura jamais si ces temporalités sont initiatrices de certains phénomènes ou la conséquences d autres phénomènes. Elles constituent pour le moins des situations auxquelles sont étroitement associées certaines formes de comportements : à l urgence par exemple peut être lié le stress comme la réactivité le sera à l immédiateté. Parler par ailleurs de capitalisme financier, de mobilité professionnelle obligée tous les trois ou cinq ans, de gestion des flux tendus, d échéances à prendre en compte ou de management par projet, c est toujours à chaque fois convoquer une forme de temporalité sous-jacente, nous invitant à identifier les comportements qui lui sont liés. Ainsi derrière ces exemples banaux mais aujourd hui très familiers, se profilent les mêmes temporalités d un présentisme exacerbé, celui du temps accéléré, de l immédiateté, de l instantanéité, de l urgence ou d un présentisme plus tempéré comme celui de la transition. De ces temporalités, nous avons pris l habitude de dire que nous en sommes devenus malades ou qu elles nous ont rendu malades. Ces nouvelles temporalités dominantes, nous avons l impression qu elles nous assujettissent et s imposent à nous dans leur tyrannie, supplantant désormais d anciennes temporalités jugées désuètes et contre productives, car plus distendues et moins agressives, telles entre autres les temporalités de la continuité, de la rythmicité ou de l anticipation. C est donc dans le contexte de ces nouvelles temporalités ressenties comme coercitives que voudrait se placer la présente contribution pour en comprendre l émergence et pointer dans le contexte actuel les enjeux et défis qu elles posent aux adultes qui les affrontent. Un double anniversaire éditorial à célébrer La thèse qui traverse le présent propos prend appui sur l informatisation récente mais venue rapidement des pratiques sociales, une informatisation hier encore rampante, aujourd hui triomphante qui pour une large part serait à l origine des nouvelles temporalités présentistes. Celles-ci se déploient autour de nous et conditionnent l adulte contemporain dans ses modes de vie quotidiens en le campant dans de nouvelles formes de vulnérabilité. Qui s intéresse en 2009 aux processus à l œuvre dans l informatisation de la société, ne peut faire l économie d évoquer l anniversaire d un double évènement éditorial vieux seulement d une trentaine d années, un évènement marqueur de cette informatisation grandissante, qui s est manifesté dans ses deux dimensions, l une technologique, l autre réflexive : la première renvoie à ce que l on appelait à l époque la télématique qui permettait

2 2 déjà à nos contemporains, par les ordinateurs qu ils fabriquaient de gérer avec une grande facilité et une efficacité élevée des réseaux de transmissions d information ; le minitel de l époque en est un exemple caractéristique ; la seconde concerne la capacité des utilisateurs des réseaux informationnels à élucider ce qu il vivent à travers ce choc technologique sur les espaces existentiels de tout un chacun, que l on va désormais dénommer la condition postmoderne, en faisant entrer le concept de postmodernité dans le langage courant.. C est donc cet anniversaire à célébrer de l avènement d une civilisation postmoderne à dominante informationnelle qui va d abord retenir notre attention à travers ce double évènement éditorial survenu en 1978 et 1979 avec la publication de deux Rapports d études qui prirent dates et sans doute encore plus le second que le premier. En 1978, S. Nora et A. Minc dans leur Rapport au Président de la République publié par La Documentation française, dressent les contours sociologiques de ce qu ils nomment alors L informatisation de la société 1. Quelques mois plus tard un autre Rapport voit le jour sous la plume du philosophe J-F. Lyotard, un rapport sur l état du savoir dans les sociétés les plus développées, proposé au Conseil des Universités auprès du Gouvernement du Québec, rapport que l auteur intitule La condition postmoderne 2. Essayant de décrire les nouvelles technologies de l information pour apprécier leur impact sur la société, Nora et Minc s interrogent déjà sur les risques d l informatique à même de bouleverser notre vie, posant des doutes sur notre capacité à en maîtriser le développement. Les auteurs comparent l époque de la télématique à celle de la fin du Néolithique. Ils évoquent ce temps historique des Sumériens qui par l invention des hiéroglyphes sur leurs tablettes opérèrent une mutation de l humanité en favorisant l avènement de l écriture. Ils rapprochent une telle mutation du passage historique actuel qui nous conduit d un régime élitiste du traitement de l information à un phénomène de masse, ce dernier en venant à modifier les grands équilibres, aussi bien, disent-ils, celui du Commerce extérieur que celui de l emploi. De nouveaux rapports de pouvoir semblent organiser une nouvelle société à travers le développement de la télématique, conçu comme ce mariage entre les ordinateurs et les réseaux de transmission d information. Fêter présentement l anniversaire de l avènement de la télématique, un modeste anniversaire de trente ans, c est pourtant nous situer au regard d un temps qui nous apparaît, vu d aujourd hui, comme très reculé, bien qu il ne remonte qu à un peu plus d une génération ; en ce temps là, il n était alors question que d information, sans que jamais n apparaisse encore le concept de communication qui ne figure même pas dans le Glossaire terminal de l ouvrage. Mais cette approche d une sociologie de l information sera marquante. Elle sera relayée et amplifiée l année suivante par un manifeste philosophique beaucoup plus ambitieux autour de l avènement d une société postmoderne caractérisée par l association entre la marchandise informationnelle et la transparence communicationnelle. Ce manifeste est le second évènement éditorial qui survient peu après le premier mais lui est historiquement associé, à travers la publication du travail de Jean-François Lyotard, qui, lui, va vite faire date. La condition postmoderne est un petit essai, encore moins volumineux que le premier puisqu il ne comprend qu une centaine de pages, quand le précédent en comportait 150 en dehors des nombreuses annexes. Ce qui est spectaculaire dans le passage en quelques mois du premier travail au second c est le fait que nous changeons de période culturelle, nous passons d une société de modernité tardive, pour reprendre l expression d A. Giddens (1988), centrée sur la prolifération des transmissions d information 1 Ouvrage paru sous ce titre en 1978 à La Documentation française 2 Ce rapport La condition postmoderne est édité en 1979 par les Editions de Minuit.

3 3 à une société dite postmoderne qui met au centre de ses préoccupations le paradigme de la communication. L homme postmoderne y est décrit aux prises avec la multiplication des machines informationnelles qui affectent la circulation des connaissances. Celles-ci en viennent à perdre leur légitimité et leur valeur d usage pour être réduites à des échanges incessants dans une idéologie de la transparence communicationnelle. Le soi que nous associerons ici à un adulte, est pris dans une texture de relations plus complexes et plus mobiles, placé continuellement à des noeuds de circuits communicationnels. Nos deux ouvrages sont intéressants autant par ce qui les différencient, l information technologique d un côté, la communication culturelle de l autre que par ce qui les unit, l avènement de cette nouvelle société de l information et de la communication qui s impose au plus grand nombre et que nous prenons l habitude de désigner à la suite de Lyotard par société postmoderne porteuse d une mutation culturelle, articulée autour de tous autres paradigmes que ceux de la société dite moderne qui mettait au centre de ses préoccupations les concepts de rationalité, de production, de déterminisme, de progrès, d avenir. Nous devenons sensibles à ces nouveaux paradigmes qui se superposent aux précédents, les effacent sans toutefois les faire disparaître et c est ainsi que nous devenons sensibles au flou, à l incertitude, à la complexité, au réseau communicationnel. Postmodernité communicationnelle et changement de temporalités De ce qui précède, nous pouvons retenir en guise de signification à attribuer à ce double anniversaire quelques éléments saillants. D abord l avènement de la nouvelle culture postmoderne se déploie sur une dominante communicationnelle ; de plus elle se développe sur fond de mutations technologiques, amenant à une maîtrise spectaculaire dans la circulation des informations et de leurs échanges : de ce point de vue, le recours au Minitel, si enthousiasmant qu il fut à l époque, n était finalement que le discret signe annonciateur de l avènement quelques années plus tard d une technologie qui va bouleverser nos cadres sociaux et existentiels avec l irruption d Internet et de ses nombreuses possibilités C est en ce sens qu avec Ph. Breton (1995) on a pu parler d utopie de la communication. Il faut par ailleurs noter que cette maîtrise spectaculaire des techniques communicationnelles va de pair avec des changements existentiels et sociaux au niveau de leurs utilisateurs individuels ou organisationnels dans leurs modes de vie. La postmodernité de l information et de la communication amène avec elle un changement des temporalités, si, par temporalités nous entendons ces façons individuelles et collectives que nous avons d organiser notre temps, nos mouvements. De nouvelles temporalités dominantes émergent, qui affectent directement nos cadres de vie actuels. En modernité, ces temporalités dominantes étaient centrées sur une linéarité orientée vers un avenir à anticiper, lesquelles temporalités s étaient imposées par rapport aux temporalités cycliques des cultures rurales traditionnelles. Le temps cyclique était celui du calendrier astronomique dans son souci de s adapter à la circularité des rythmes saisonniers liés aux mouvements des astres et de donner toute son importance à la transmission de l héritage. En contraste le temps linéaire de la modernité urbaine et industrielle va devenir celui de l horloge, un temps mesuré et planifié, marqué d irréversibilité et avide de progrès, qui nous oriente vers ce qu il y a à entreprendre pour poursuivre la marche en avant de l histoire vers plus de maîtrise (Castells, 1996).. Au regard de ce temps projeté, planifié, encadré dans un

4 4 souci de contrôle, les temporalités de nos cultures postmodernes apparaissent bien brouillées avec soudainement une prééminence accordée au moment présent, face à une dévalorisation de l avenir (Sue, 1994) et à une relation ambivalente au passé, tantôt relativisé dans ses dynamiques historiques, tantôt sollicité lorsqu il s agit d en faire mémoire pour le commémorer (de Conninck, 1995). Nous délaissons alors aussi bien le calendrier que l horloge ; d ailleurs cette dernière en abandonnant récemment son fonctionnement mécanique pour prendre celui de l électronique a changé nos représentations du temps, nous amenant d une représentation linéaire et irréversible de ce temps, indiquée par le cadran, tout circulaire qu il fut, vers une représentation en simultanéité des nouvelles temporalités, celles du moment présent délivrées par le spot de l horodateur : le temps n évolue plus à la cadence du déplacement de l aiguille, il est donné là, dans sa momentanéité des chiffres affichés ; il cesse d être continu pour devenir discontinu. Mais l horloge électronique n a pas la fréquence d utilisation de ce nouvel instrument qu est devenu l agenda. Celui-ci devient désormais le plus utilisé des organisateurs de temporalités mais sa caractéristique dominante est de nous orienter dans les nouvelles temporalités d un présent de plus en plus complexe (Boutinet, 2004). Cet agenda est destiné à planifier les engagements pris à un moment donné mais à réaliser dans un horizon temporel plus ou moins reculé qui n est finalement qu une extension de ce moment présent avec le risque dans une société de la mobilité que ce présent se transforme en palimpseste lorsque dans l urgence une activité se substitue à une autre, appelant à modifier plus ou moins brusquement l agenda, en sur-imprimant sur un premier engagement devenu caduc un nouvel engagement. L agenda, comme aménageur des temporalités brouillées du moment présent est un grand contempteur de l idée d avenir, n ayant de cesse de repousser ce dernier aux limites de l engagement le plus reculé que son propriétaire consigne en son sein. Nous ne nous attarderons pas ici sur ces autres temporalités postmodernes devenues aujourd hui plus secondes, tournées vers le passé, celles notamment de la mémoire comme celles orientées vers un avenir déprécié et souvent redouté, saturé d anticipations défensives, notamment de précaution et de prévention. Restons-en aux nouvelles temporalités dominantes du présentisme, bien mises en évidence à travers ce néologisme suggestif, par l historien F. Hartog, (2003). Ces temporalités sont pour certaines d entre elles évanescentes et largement tributaires des espaces informationnels et communicationnels qui se trouvent être en même temps, par la force des choses, des espaces de mobilité. Sans prétendre à l exhaustivité, nous mentionnerons ici trois nouvelles temporalités dominantes à caractère évanescent typiques de ces espaces. Parmi ces temporalités liées à un présent court, évanescent, fuyant évoquons celles de l urgence qui prend actuellement de plus en plus d importance (Aubert, 2003), avec son caractère inattendu et contraignant parce que dramatique (Agamben, 2003), impliquant de déployer dans les délais les plus courts une action appropriée au regard d une situation jugée périlleuse. Cette urgence de fait, les espaces communicationnels la transforme souvent en urgence instrumentalisée pour obtenir des usagers communicants les comportements appropriés, notamment avec le fameux et suggestif dead line. A côté de l urgence, mais souvent en lien avec elle, il faut donner toute sa place à l immédiateté, nouveau paradigme de la révolution numérique (Josephe, 2008) qui trouve l une de ses formes d expression privilégiées dans la messagerie électronique produite par l information qui surgit dans son imprévisibilité (Lechner, 1999). Cette information possède, ou on va lui attribuer, un caractère injonctif susceptible de la rapprocher des situations d urgence, dans la mesure où elle demande à être traitée dans les meilleurs délais. Enfin, comme troisième figure de ces temporalités présentistes de l évanescence, mentionnons l instantanéité à travers l interaction

5 5 qu elle génère grâce à la mise en place des différents dispositifs communicationnels qui favorisent le chat conversationnel. En contraste avec les deux premières figures évanescentes, très souvent productrices de stress, cette nouvelle figure est souvent porteuse de réenchantement, celui de l instant éternel, dans son intensité, comme les video-clips et autres jeux informatiques (Maffessoli, 2000). Ces trois figures aujourd hui dominantes du présent évanescent peuvent être considérées comme confrontant l adulte communicant et agissant à des situations-limites, celles du temps réel qui n admet aucune attente, aucun délai ou pour le moins le minimum entre l émission-réception de l information et le comportement réactif attendu du destinataire. Ces trois formes de temporalités ont comme trait commun une certaine imprévisibilité sans autre possibilité de recul que d adopter une posture réactive, imposée par une interactivité incessante entre un système informationnel en flux continu et le récepteur toujours plus ou moins pris au dépourvu, en impossibilité d anticiper. Un paysage brouillé plus qu il n y paraît Ce changement de temporalités sur fond de paysage informationnel et communicationnel voit certes des figures saillantes s imposer, telle nous venons de l évoquer, le présentisme de l évanescence dans ses différentes déclinaisons mais ce paysage apparaît beaucoup plus brouillé et flou qu il ne pourrait le laisser supposer au premier regard. Nous avons en effet actuellement quitté les temporalités de la modernité, ces temporalités à dominante linéaire faites d une rupture avec le passé et orientées vers l anticipation d un avenir pronostiqué comme meilleur. Ces temporalités ont pu hier par un véritable rapport de force imposer leur suprématie sur leurs consœurs plus craintives issues des sociétés traditionnelles et délibérément tournées vers un passé à préserver. Aujourd hui, on peut assimiler le présentisme régnant à une variante de postmodernité que nous appellerons un audelà de la modernité cherchant à s imposer de deux façons privilégiées, soit par le présent de l évanescence sur lequel nous nous sommes déjà arrêté, soit par le présent de la durée au travers de ces deux figures caractéristiques que sont la transition et l alternance. On voit alors cette instance présentiste à double face devoir cohabiter de façon plus ou moins confortable avec trois autres instances temporelles qui recourent elles aussi aux espaces communicationnels pour s affirmer et conquérir leur légitimité. Ces instances d hypermodernité, d anti-modernité et de contre-modernité se laissent dénommer à travers leurs attitudes contrastées vis à vis de la modernité, soit une attitude attestataire qui cherche à porter la modernité à son paroxysme progressiste à travers l hyper-modernité, soit une attitude oppositionnelle à cette même modernité qui se concrétise dans différentes formes aversives d anti-modernité illustrées par le souci du retour à l ancien, soit enfin une attitude de contrepoint plus ou moins marqué, cherchant dans la contre-modernité à redonner valeur à ce que la modernité avait disqualifié, la mémoire,(boutinet, 2004). L hyper-modernité progressiste, celle par exemple de l innovation et de la croissance, est dans le toujours plus. Elle se soucie d installer des ruptures continuelles avec le présent jugé déficitaire, archaïque (Agamben, 2008) pour introduire momentanément du nouveau notamment technologique mais aussi organisationnel considéré comme meilleur que ce qui est, un nouveau destiné demain à être supplanté, selon la logique de l obsolescence, propre à cette hyper-modernité (Aubert, 2004) par un changement qui sera jugé alors plus approprié. Les mises à jour continuelles des logiciels informatiques pour les maintenir d actualité

6 6 illustrent ce souci, constant d innovation permanente ; elles consacrent la dépréciation du moment présent tributaire du passé considéré comme obsolète au profit d un présent porteur d avenir quasi immédiat jugé meilleur. Face à cette frénésie de changements, les temporalités antimodernes, telles qu elles s expriment actuellement dans différentes formes de fondamentalisme religieux en viennent à regretter ces temps anciens vers lesquels il faudrait revenir, les temps d une tradition organisés à partir d une interprétation convenue que l on peut tirer de tel texte considéré comme fondateur ou de tel évènement historique entrevu comme emblématique. Cette attitude antimoderniste qui avance en regardant dans le rétroviseur (Compagnon, 2005) se complaît dans le pessimisme et la vitupération autour de la décadence, du dévoiement et du désœuvrement ; elle aspire à convoquer la mémoire lointaine de temps anciens considérés par elle comme plus heureux et salvateurs et elle est en recherche de temps régénérateurs, susceptibles de faire entrevoir enfin l une ou l autre forme de sublime.. Quant à la contre-modernité, sans remettre en cause systématiquement la modernité, elle cherche au contraire à lui apporter ce qui lui a manqué, ce souci d un passé plus ou moins immédiat qui donne des racines au présent. Ne se reconnaissant pas dans les ruptures, pas plus que dans les changements incessants, elle cherche à tirer sens du passé plus ou moins proche, en reconstituant telle ou telle histoire, en faisant œuvre de mémoire, notamment évènementielle. La célébration de l évènement à travers telle ou telle forme de commémoration devient l expression privilégiée d une perspective contre-moderne, tout comme le culte des histories de vie (Delory-Momberger, 2000) et autobiographies (Lejeune, 2004). L espace communicationnel postmoderne est donc à situer dans cette tension entre quatre logiques temporelles enchevêtrées avec dominance de deux d entre elles, d abord le présentisme mais aussi l hyper-modernité. Cet enchevêtrement offre un paysage brouillé au sein duquel chacune veut imposer sa suprématie sur les trois autres, une hyper-modernité qui dans les ruptures et changements qu elle produit n entend pas faire le deuil de l idée de progrès, une anti-modernité qui s installe dans le refus des temps actuels au profit d un passé jugé salvateur et du culte d une tradition refondatrice, une contre-modernité prompte à cultiver une certaine forme de nostalgie purificatrice dans un travail de mémoire de proximité, enfin un au-delà de la modernité qui dans son présentisme interactif consomme à haute dose de l immédiateté, de l urgence, du stress et de la transition, sans savoir vers quel horizon elle se sent entraînée. Entre immédiateté temporelle et medias communicationnels, un espace paradoxal à prendre en compte Pour ne pas nous disperser restons-en à ces temporalités évanescentes de l au-delà de la modernité, dans ce présentisme à plus d un titre actuellement dominateur et tout à fait en phase avec les espaces informationnels et communicationnels qui prolifèrent. Il y a là une relation curieuse et instructive entre l immédiateté générée par de tels espaces informationnels et les medias qui véhiculent ces messages. En effet, c est par l artifice d une médiation technique, voire technologique que se trouve engendré un sentiment d immédiateté, qu il s agisse d Internet, du téléphone portable ou du récepteur de télévision qui produit l image télévisuelle, cette image pour laquelle M-J. /Mondzain (2002, 59) nous dit justement que sa

7 7 caractéristique fondamentale est son immédiateté et sa résistance primitive à la médiation. Or les communications postmodernes, tout en véhiculant de l oral et de l écrit sont saturées d images, donc d immédiateté. Aussi tout se passe comme si de façon paradoxale les medias engendraient de l immédiat, les medias techniques produisant des variantes d immédiat subjectif. Nous sommes donc ici dans une situation paradoxale entre la sensation d immédiateté intersubjective propre à la temporalité communicationnelle et l utilisation d écrans media qui s interposent entre deux subjectivités pour rendre possible la communication Une telle situation paradoxale peut s exprimer aussi à travers l impression de transparence informationnelle entre communicants, amenant à une limpidité de compréhension dans les messages échangés et une opacité des dispositifs technologiques présents, une opacité qui peut se manifester subitement en obstruction lorsque les dits dispositifs sans raison se plantent. La question de l existence de cet espace paradoxal immédiat/média, fondateur de la logique communicationnelle est à camper au regard de la logique relationnelle, celle du face à face en présentiel de deux subjectivités ; dans cette dernière situation, se trouvent en vis à vis ces deux subjectivités prises dans leur spontanéité, dans l expression de leurs facies ; elles peuvent elles aussi être assimilées à une situation d immédiateté alors que dans le même temps l un et l autre protagonistes de la relation découvrent dans leur conversation langagière l opacité de leurs échanges qui laissent toujours entendre que derrière le face à face mimique, se profilent des écarts de compréhension, des sur-entendus et sous-entendus problématiques pour la limpidité de la relation : on se trouve ici dans cette situation relationnelle à l intérieur d un espace paradoxal inverse au précédent : ce n est plus le message échangé qui devient transparent dans la relation ; il est au contraire entouré de sa gaine d opacité ; ce qui évoque une transparence porteuse d immédiateté, c est la relation expressive, les expressions corporelles par lesquelles se transmettent le message. Finalement pour éviter de se laisser abuser, on doit se poser la question de savoir dans l un et l autre cas de la communication médiatique et de la relation interpersonnelle de quelle immédiateté, de quelle spontanéité il s agit. Où se situe la transparence et quelle transparence? Le manque de recul que cette dernière implique tend à induire une compréhension porteuse d illusions et de facticité, nous introduisant dans le registre de l équivoque ; En fait les communicants, tout comme les interlocuteurs, ont à gagner à ne pas oublier de rester dans le paradoxe en se souvenant que toute impression de transparence à l un ou l autre niveau du message ou du canal de communication est obtenue au prix d une opacité à un autre niveau ou mieux derrière la transparence se profile l opacité. C est en conséquence ce présentisme que l on ne saurait prendre pour argent comptant, que ce soit un présent à distance comme dans la communication ou un présent en situation comme dans la relation car il comporte sa part d illusion et d aliénation ; il est à traiter de façon paradoxale, autant par ce qu il cache que parce qu il révèle des obstacles à entrer en relation ou en communication, quant comme des facilités aussi qu il procure de pouvoir communiquer ou être en relation. Reconnaissons qu au regard des facilités que communication et relation apportent à l adulte qui de nécessité vit dans leur mouvance, cet adulte le paie cher en risques d assujettissements par le fait d occulter les opacités qui se dissimulent derrière les facilités.

8 8 Les conduites à projet dans leur vulnérabilité Dans un tel contexte intéressons-nous aux conduites à projet caractéristiques des temps modernes, ces conduites qui à l opposé de toute forme d immédiateté ont pour caractéristiques de recourir à maintes médiations pour acheminer n importer quel projet au terme de sa réalisation. Ces conduites se déploient avec leurs horizons d anticipation plus ou moins reculés, leurs ancrages dans une situation momentanée face à un avenir à aménager, à travers le volontarisme de leur détermination et la modélisation de leur devenir. Or leur mise en œuvre dans les espaces communicationnels en régime postmoderne, va s en trouver métamorphosée et fragilisée, car tributaire de temporalités dominantes de plus en plus courttermistes. Ce qui est à remarquer à ce sujet sur un peu plus d une génération (Boutinet, 2010), c est effectivement le glissement du concept de projet vers de nouvelles significations, alors que son usage n a cessé d être grandissant. En modernité tardive, celle des années de société post-industrielle qui couvrent les dernières décennies du 20 e siècle alors que prenaient progressivement de l ampleur les processus d informatisation de nos modes de vie, le projet était encore entrevu comme cet outil d anticipation opératoire d un avenir plus ou moins reculé, tel le projet d orientation des jeunes au niveau individuel (Dubet, 1991) ou le projet de développement socio-technique à un niveau sociétal ( Le Boterf, Lessard, 1986). La remise en cause de la société bureaucratique d alors l amenait, de par son caractère flou à se substituer à l une ou l autre forme de planification rationnelle. Désormais immergé dans un espace communicationnel, il change de nature au niveau de ses usages et donc de ses significations. Hier il se définissait par sa singularité et son unicité : le jeune, l adulte n étaient invité à penser leur devenir qu à travers un seul projet d orientation, de carrière ou de vie. Or de singulier le projet est devenu pluriel ; le jeune et l adulte ne sont plus présentement attelés à l élaboration ou à la réalisation d un projet unique défini qui polariserait l ensemble de leurs activités : projet d études, projet professionnel, projet de vie, projet de formation, projet de carrière. Ils se trouvent confrontés dans une société communicationnelle de réseaux à mener simultanément une diversité de projets et de micro-projets : un projet de stage, un projet de mémoire, un projet de chantier sur le plan professionnel, un projet associatif dans l espace social, un projet de changement de résidence sur le plan familial.. Cet éclatement voire même cette fragmentation de la sphère des projets au niveau individuel a son correspondant dans le domaine organisationnel avec le passage du projet d entreprise intégrant dans une même dynamique les orientations qu entendait se donner une organisation vers le management de projets impliquant pour l organisation concernée de lancer une diversité de projets autonomes menés concurremment et latéralement, selon des modes appropriés de gestion par projet. La configuration d une telle diversité de projets menés simultanément au niveau individuel ou au niveau organisationnel, L. Boltansky et E. Chiapello (1999) la dénomment cité par projets. Une telle cité devient l espace architectural au sein duquel gravitent désormais les organisations postmodernes, celles d un monde en réseau. La figure du projet devient donc plurielle : dans un environnement de complexité, mieux vaut pour un individu, pour une organisation, mener plusieurs projets à la fois que d être tributaire d un seul projet qui pourrait se trouver vulnérabilisé ; elle ne vise plus le flou du futur mais s inscrit dans le transitoire du moment présent avec des délais imposés de début de projet et de dead line que se fixe le responsable de projet ou qui lui sont imposés. Il s agit donc dans la cité par projets de conduire simultanément plusieurs projets destinés à cohabiter en réseaux mais il est plus difficile de rendre compatibles dans le temps d une vie une succession de projets, d où l émergence de plus en plus fréquente chez les adultes

9 9 contemporains de parcours atypiques, ces parcours qui tentent d intégrer une succession de projets contrastés.. De l adulte transmetteur à l adulte communiquant Avec la métamorphose des conduites à projet, c est le statut même des acteurs impliqués dans les projets qui va s en trouver transformé. De tels acteurs sont incarnés par ces adultes transitoires qui incessamment dans l espace et dans le temps passent d un projet à l autre,. De tels adultes dans leur positionnement délaissent la permanence d une identité bien campée et la transmission d un héritage de savoirs et de savoirs faire stables pour devenir de plus en plus des communicants de l immédiateté, cherchant à accrocher leur affiliation provisoire à une diversité de réseaux d appartenance. Ces adultes pluriels (Lahire, 1998), continuellement en quête de reconnaissance, ont dû renoncer à la stabilité d antan, celle constitutive d une maturité, qui était l une des valeurs sociales de référence ; la stabilité imposée hier, aujourd hui disparue s est transformée dans son inverse, la mobilité forcée ; l impératif dans ce nouveau monde communicationnel, appelé à se régénérer sans cesse par l exigence d innovation, c est cette mobilité qui peut être source de dynamisation mais en même temps fragilise. L adulte postmoderne est rendu vulnérable par cette mobilité forcée à laquelle il est astreint et qu il lui faut aménager par lui-même. C est sans doute la montée d une telle vulnérabilité (Ehrenberg, 1998) qui a amené à penser différentes formes d accompagnement pour aider cet adulte fragilisé à gérer la diversité des temporalités chaotiques de son parcours de vie. De ce point de vue la place prise par les pratiques d accompagnement depuis une quinzaine d années est l un des symptômes de cette vulnérabilité, une vulnérabilité qui nécessite le besoin d être encadrée (Boutinet et alii, 2007). Le seul adjuvant possible pour atténuer cette vulnérabilité de la condition adulte, voire la corriger consiste à donner toute leur importance aux nouvelles temporalités présentistes de la durée, destinées à contrecarrer la trop grande place prise par les temporalités concurrentes de l évanescence. Ces temporalités de la durée associées à un présent aménagé, soit intentionnellement par l adulte, soit imposé à lui par le jeu des circonstances concernent plus spécialement, nous l avons vu, la transition et l alternance qui prennent dans les temps actuels de plus en plus d importance dans l organisation des parcours personnels et professionnels adultes, alors qu hier en modernité elles étaient disqualifiées. Si la transition aménage sur une durée variable des discontinuités dans un espace de mobilité et de flexibilité, elle permet de ponctuer des changements, d amortir des crises (Bridges, 2004). L alternance quant à elle, souvent associée dans ses manifestations à la transition, rend possible d habiter un espace pluriel en faisant cohabiter selon un rythme qui lui est propre (Pineau, 2000), plusieurs activités, plusieurs espaces existentiels, qu il s agisse de la vie domestique avec la vie professionnelle ou de cette dernière avec la formation, laquelle peut se vivre en alternance avec un stage. La transition favorise les passages d une étape de vie à une autre quand l alternance permet la cohabitation de champs d activité contrastés. Sans schématiser ni caricaturer ces deux familles de temporalités que nous avons mises en scène, l une incarnée par le présentisme de l évanescence, la seconde par le présentisme de la durée, reconnaissons à travers leurs effets respectifs que la première tend à générer plus facilement des temporalités assujettissantes quand la seconde met plus spontanément en place des temporalités d émancipation. Ces deux familles, en partie engendrées par les espaces communicationnels actuels, constituent des modes de réponse

10 10 contrastés à la mobilité forcée : dans le meilleur des cas, le présentisme de la durée dans ses dispositions structurantes est destiné à humaniser cette mobilité et à corriger les effets déstabilisateurs du présentisme de l évanescence. Un défi, redonner consistance à l avenir Ce travail de recadrage au niveau des temporalités présentistes, si nécessaire soit-il, ne semble pas suffisant pour tirer les adultes contemporains de leur grande fragilité. Il est nécessaire de repenser la place à donner aux temporalités de l anticipation. Or ces temporalités sont en crise profonde, nous leur avons d ailleurs accordé dans ce qui précède très peu d importance, fait sans doute significatif,. Non seulement les anticipations dans le contexte culturel de morosité actuelle et d horizon bouché sont redoutées, nous avons peur de l avenir, mais lorsqu elles se manifestent, c est très souvent sur le mode défensif de la précaution et de la prévention, c'est-à-dire sous celui d un avenir que l on ne saurait envisagé, que l on repousse. Dans un ancrage existentiel, qu il soit individuel ou collectif, l avenir est pourtant tout aussi essentiel que le passé. Il est en effet ce vide de possibles à inventer d autant plus nécessaire pour respirer dans la société actuelle du trop plein, spécialement d informations et de communications. De plus, la pensée phénoménologique y a insisté à de nombreuses reprises (Husserl, 1950), le propre de l avenir est de modaliser le passé, pour mieux le comprendre et rendre possible l histoire, quand le retour sur le passé peut être entrevu comme une façon de préparer l avenir. De ce point de vue crise de l avenir et crise de l historie ont parties liées. Reconstruire l avenir constitue sans doute la tache primordiale dans une reconfiguration des temporalités susceptibles d organiser nos espaces de vie. Mais cette tache ne peut être envisagée à partir d une fragmentation du moment présent. C est d abord à cette instance du présent qu il s agit de redonner consistance en conférant aux temporalités de la durée toute leur place structurante. Mais l espace communicationnel aujourd hui dominant est plus avide des temporalités éclatées de l évanescence qu il ne saurait se nourrir des temporalités structurantes de la durée. C est là un dilemme que sans doute les temps à avenir se chargeront de trancher à leur façon, si présentement nous ne prenons pas des initiatives opportunes pour le faire. Références bibliographiques Agamben G., (2003), Etat d exception, Paris, Le Euil, Agamben G., (2008), Qu est-ce que le contemporain?paris, Payot et Rivages, trad Aubert N., (2003), Le culte de l urgence, Paris, Le Seuil. Aubert N., (2004), L individu hypermoderne, Toulouise, Erès. Boltansky L., Chiapello E., (19998), Le nouvel esprit du capitalisme, Paris Gallimard. Boutinet J-P, (2004), Vers une société des agendas, Paris, Puf. Boutinet J-P., Denoyel N., Pineau G., Robin J-Y., (2007), Penser l accompagnement adulte, Ruptures, transitions, rebonds, Parisd Puf. Boutinet J-P. (2010), Grammaires des conduites à projet, Paqris, Puf. Breton Ph., (1995), L utopie de la communication, Paris, La Découverte. Bridges W., Transitions de vie, comment s adapter aux tournats de nos existences, Paris, Interéiditions 2006, trad<.

11 Castells M, (1996), La société en réseaux, Paris,Fayard, 1998, trad. de Conninck F., Société éclatée, travail intégré, Paris, Puf. Compagnon A., (2005), Les antimodernes, Parfis, Gallimard. Dubet F., (1991), Les lycéens, Paris, Le Seuil. Delory-Momberger, C., (2000), Les histoires de vie, Paruis, Anthropos. Ehrenberg A., (1998), La fatigue d être soi, Paris, Odile Jacob. Giddens A., (1988), Les conséquences de la modernité, Paris, L Harmattan, Hartog F., (2003), Régimes d historicité, Présentisme et expériences du temps, Paris, Le Seuil. Husserl E., (1950), Idées directrices pour une phénoménologie, Paris, Gallimard, trad. Lahire B., (1998), L homme pluriel, Paris, Nathan. Le Boterf G., LessardP., L ingénierie des projets de développement, Montréal, Agence d Arc. Lechner G., (1999), Le succès de la «société de la satisfaction immédiate» et les erreurs les plus connues de sa réception, Concilium, 282, Lejeune Ph., (2004), L autobiographie en Franbce, Paris, A. Colon. Lyotard J-F., 1979, La condition postmoderne, Les Editions de Minuit. Maffessoli M., (2000), L instant éternel, Paris,Denoël. Mondzain M-J., (2002), L image peut-elle tuer? Paris Bayard. Nora S., Minc A., 2009, L informatisation de la société, Paris La Documentation française. Pineau G., (2000), Temporalités en formation,paris Anthropos. Sue R., (1994), Temps et ordre social,paris, Puf. 11

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1 De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT

Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT NOTE DE LECTURE Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT par André TURCOTTE «Pourquoi s intéresser au téléphone public?» En posant cette question dès le début de son livre,

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

Stratégies favorisant ma réussite au cégep

Stratégies favorisant ma réussite au cégep Source de l image :daphneestmagnifique.blogspot.ca Stratégies favorisant ma réussite au cégep par Services adaptés du Cégep de Sainte-Foy Table des matières UN GUIDE POUR TOI!... 2 STRATÉGIES DE GESTION

Plus en détail

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique

Plus en détail

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE 1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir

Plus en détail

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Ville-École-Intégration, n 119, décembre 1999 LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Jean-Pierre ARCHAMBAULT (*) Les TICE favorisent le travail collectif et aident au travail individuel, ont l attrait de

Plus en détail

Neuf principes actualisés qui fondent l action de l association ARTfactories/Autre(s)pARTs

Neuf principes actualisés qui fondent l action de l association ARTfactories/Autre(s)pARTs Neuf principes actualisés qui fondent l action de l association ARTfactories/Autre(s)pARTs Décembre 2012 Préambule L association Autre(s)pARTs, constituée en septembre 2000, a fusionné avec l association

Plus en détail

De l idée au produit acheté

De l idée au produit acheté De l idée au produit acheté les ressorts d une démarche de vente orientée clients : le «full house marketing concept» Parce que le produit acheté n est pas celui qui est vendu......les hommes de marketing

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique

Plus en détail

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE

Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice

Plus en détail

Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008

Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 1 Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 L auteur Loïc Blondiaux est professeur des Universités à l Institut

Plus en détail

Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à

Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes

Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,

Plus en détail

Développement des compétences humaines de la Cour des comptes en République Démocratique du Congo

Développement des compétences humaines de la Cour des comptes en République Démocratique du Congo Développement des compétences humaines de la Cour des comptes en République Démocratique du Congo I. OBJECTIFS POURSUIVIS DANS LE DEVELOPPEMENT DES COMPETENCES HUMAINES. Dans la réalisation de leur noble

Plus en détail

CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION

CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

Assurer l avenir de votre activité grâce à l open marketing. Par David Mennie, Senior Director, Product Marketing, Acquia

Assurer l avenir de votre activité grâce à l open marketing. Par David Mennie, Senior Director, Product Marketing, Acquia Assurer l avenir de votre activité grâce à l open marketing Par David Mennie, Senior Director, Product Marketing, Acquia Table des matières Le Marketing à l ère de l ouverture 3 L émergence du marketeur

Plus en détail

Nous avons besoin de passeurs

Nous avons besoin de passeurs 1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire

Plus en détail

La place des seniors dans le bénévolat

La place des seniors dans le bénévolat La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils

Plus en détail

Les ressources numériques

Les ressources numériques Les ressources numériques Les ressources numériques sont diverses et regroupent entre autres, les applications, les bases de données et les infrastructures informatiques. C est un ensemble de ressources

Plus en détail

NE PAS EXTERNALISER SA RESPONSABILITÉ

NE PAS EXTERNALISER SA RESPONSABILITÉ NE PAS EXTERNALISER SA RESPONSABILITÉ OUTSOURCING IT Le succès d une opération d outsourcing se mesure au degré de préparation et d implication des parties concernées. Mieux vaut donc faire preuve de pragmatisme

Plus en détail

Coaching et Team Building

Coaching et Team Building recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME

Plus en détail

BILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.

BILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol. - 1 - Conseil RH et Formation BILAN DE CARRIERE La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.fr L heure est au changement et, pour

Plus en détail

Le «e-mail Pass» : une réponse e-learning à l apprentissage de la messagerie électronique

Le «e-mail Pass» : une réponse e-learning à l apprentissage de la messagerie électronique Le «e-mail Pass» : une réponse e-learning à l apprentissage de la messagerie électronique =================================================================== David Autissier, maître de conférences, Université

Plus en détail

L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE

L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE LA TRANSFORMATION DES ENTREPRISES De l idée simple de mettre en relation les différents acteurs du progrès est née une plateforme de travail collaboratif proche du métier

Plus en détail

coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur

coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit?

Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? Retour au sommaire Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? BIM n 32-01 octobre 2002 Frédéric DE SOUSA-SANTOS Le BIM de cette semaine se propose de vous présenter un ouvrage de Mark Schreiner

Plus en détail

des valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS

des valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur

Plus en détail

Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress

Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress GÉRER LE STRESS DANS L ENTREPRISE OBJECTIFS PEDAGOGIQUES DUREE : 1 JOUR Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress Identifier la notion de risques psychosociaux au titre de la Loi

Plus en détail

ORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE

ORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE CHAPITRE 1 ORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE L enjeu théorique COOPÉRATION ET ÉCONOMIE SOCIALE : UNE SYNTHÈSE INTRODUCTIVE L initiative

Plus en détail

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE Table des matières INTRODUCTION... 2 POURQUOI UNE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE... 3 L'IMPORTANCE DE LA SIESTE ET DU RESPECT DES RYTHMES BIOLOGIQUES... 3 À

Plus en détail

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

L érotisme des problèmes

L érotisme des problèmes L érotisme des problèmes Apprendre à philosopher au risque du désir «Tous les hommes ont naturellement le désir de savoir», écrit Aristote. Si seulement! L incipit de La Métaphysique ne saurait être un

Plus en détail

CHARTE DES PROGRAMMES

CHARTE DES PROGRAMMES CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR

Plus en détail

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress Formation Développement personnel M2S formation La confiance en soi Gestion du stress Gestion du temps et gestion du stress Gestion des tensions et des conflits Gestion des conflits et de l agressivité

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis

Plus en détail

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Là où vont nos pères1

Là où vont nos pères1 Là où vont nos pères1 Ces pages ne cherchent pas à servir de guide d interprétation pour cet album sans paroles. Chacun y cherchera et y trouvera des significations personnelles, des situations familières

Plus en détail

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Fonction émettrice Département des Ressources humaines Auteur/département émetteur

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Les stéréotypes sont aussi vieux que l'humanité et reflètent l'idée que nous nous faisons de ceux qui sont différents de nous.

Les stéréotypes sont aussi vieux que l'humanité et reflètent l'idée que nous nous faisons de ceux qui sont différents de nous. Qu'est-ce qu'un stéréotype? (by Krystyna Szymankiewic) Stéréotype : idée ou image populaire et caricaturale que l'on se fait d'une personne ou d'un groupe, en se basant sur une simplification abusive de

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

Méthode universitaire du commentaire de texte

Méthode universitaire du commentaire de texte Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent

Plus en détail

Origines possibles et solutions

Origines possibles et solutions Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante

Plus en détail

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

La gestion des problèmes

La gestion des problèmes Chapitre 6 La gestion des problèmes Les incidents se succèdent, toujours les mêmes. Des petits désagréments la plupart du temps, mais qui finissent par pourrir la vie. Toute l équipe informatique se mobilise

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE

Plus en détail

Dans quelle situation se trouve l enseignant dans sa classe, sachant que nous restons là, à un degré de généralités?

Dans quelle situation se trouve l enseignant dans sa classe, sachant que nous restons là, à un degré de généralités? L autonomie de l enseignant dans sa classe : quelles compétences? INTRODUCTION L autonomie, finalité qui avec la socialisation, la responsabilité, sont revenues sur le devant de la scène dans les discours

Plus en détail

Newsletter. Éditorial. Janvier - février 2012 SOMMAIRE

Newsletter. Éditorial. Janvier - février 2012 SOMMAIRE Newsletter Janvier - février 2012 Éditorial Philippe-Pierre Dornier Président directeur général Alexandre de la Nézière Directeur général Yann Jaouën Manager L année 2012 a débuté pour chacun d entre vous

Plus en détail

Accès des gouvernements aux données du secteur privé

Accès des gouvernements aux données du secteur privé Accès des gouvernements aux données du secteur privé Jérusalem, le 28 octobre 2010 (32 e conférence internationale des commissaires à la protection des données et de la vie privée) Giovanni Buttarelli

Plus en détail

L analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4

L analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4 FICHES TECHNIQUES La carrière de l'enseignant : comment durer dans le métier? Comment optimiser les ressources des professeurs expérimentés? Usure, adaptation, épreuves et ressources.... 3 L analyse des

Plus en détail

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST

Plus en détail

MASTER MAE MANAGEMENT

MASTER MAE MANAGEMENT MASTER MAE MANAGEMENT Parcours INGÉNIERIE DE PROJET N habilitation de la formation au RNCP : 20070790 Présentation de la formation Année 2012 Public Cible N d agrément formation Diplômés de niveau Bac

Plus en détail

Programme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique»

Programme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Intitulé de la formation Programme de formation «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Organisateur Organisme de formation : ARMETI : Email : armetiformations@gmail.com

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

Formation à la systémique pour consultants et personnels RH

Formation à la systémique pour consultants et personnels RH J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Master Etudes françaises et francophones

Master Etudes françaises et francophones Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme

Plus en détail

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL... Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

Introduction commune. Une présentation dynamique des programmes

Introduction commune. Une présentation dynamique des programmes Programme de l enseignement de sciences de gestion en classe de première et programmes des enseignements spécifiques des spécialités de la classe terminale de la série sciences et technologies du management

Plus en détail

Choisir son logiciel de caisse

Choisir son logiciel de caisse GUIDE PRATIQUE Choisir son logiciel de caisse Qu est-ce qu un logiciel de caisse? Un logiciel de caisse, aussi appelé caisse enregistreuse ou caisse tactile est un programme informatique qui vous permet

Plus en détail

LES RELATIONS PUBLIQUES

LES RELATIONS PUBLIQUES Andrea Catellani, Caroline Sauvajol-Rialland LES RELATIONS PUBLIQUES Préfaces Jean-Luc Letouzé Thierry Libaert DES MÊMES AUTEURS Caroline Sauvajol-Rialland, Infobésité, Vuibert, 2013. Caroline Sauvajol-Rialland,

Plus en détail

POUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES

POUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES POUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES Coordination et rédaction : Ana HOURS Catherine LAPIERRE Co-rédacteurs

Plus en détail

HORLOGE ET MONTRE IN SITU : MÉCANIQUE 2

HORLOGE ET MONTRE IN SITU : MÉCANIQUE 2 IN SITU : MÉCANIQUE 2 HORLOGE ET MONTRE Réalisation : Toni Marin CNDP, le Département d Enseignement de la Generalitat de Catalunnya, 2000 Durée : 04 min 12 s Le film démarre par un historique chronologique

Plus en détail

ogiciel Véronique Messager

ogiciel Véronique Messager énie ogiciel Véronique Messager Préface de Bernadette Lecerf-Thomas Postface de Françoise Engrand Coacher une équipe agile Guide à l usage des ScrumMasters, chefs de projets, managers et de leurs équipes!

Plus en détail

L orientation tout au long de la vie

L orientation tout au long de la vie Bruno Bertoli L orientation tout au long de la vie Daniel Pémartin L orientation était un moment ; elle est devenue un processus De l orientation ponctuelle A l orientation pluriponctuelle Vers l orientation

Plus en détail

«Qu est-ce qui fait courir les gens aisés?» Aspirations, valeurs et styles de vie Etude HSBC Premier / CSA

«Qu est-ce qui fait courir les gens aisés?» Aspirations, valeurs et styles de vie Etude HSBC Premier / CSA «Qu est-ce qui fait courir les gens aisés?» Aspirations, valeurs et styles de vie Etude HSBC Premier / CSA Une enquête online auprès de 507 Françaises et Français détenant plus de 75000 euros d avoirs

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

LICENCE PRO MANINFO 2014/2015. LA VEILLE STRATEGIQUE : quels liens avec l intelligence économique, la documentation et le knowledge management?

LICENCE PRO MANINFO 2014/2015. LA VEILLE STRATEGIQUE : quels liens avec l intelligence économique, la documentation et le knowledge management? NOM ET PRENOM : BABA KODJO LICENCE PRO MANINFO 2014/2015 LA VEILLE STRATEGIQUE : quels liens avec l intelligence économique, la documentation et le knowledge management? 11 janvier 2015 1 Introduction

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,

Plus en détail

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein

Plus en détail

Annie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir

Annie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.

Plus en détail