VEHICLENEWS. magazine. étude. étude Etat des relations clients-fournisseurs dans l industrie automobile ame ricaine. Depuis 1971

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1 N 407 magazine VEHICLENEWS Depuis 1971 ACTU PLUS Semaine du 12/11 au 15/ Statistiques Indice de la production industrielle française En septembre 2013, la production manufacturie re baisse (-0,7 %) + étude Filie re marche automobile Enque te de performance industrielle 2013 sur les exercices 2012 et 2011 étude Etat des relations clients-fournisseurs dans l industrie automobile ame ricaine

2 EDITO & SOMMAIRE redaction PAGE 4 ACTU + En octobre 2013, le marche franc ais des ve hicules e lectriques et hybrides poursuit sa nette progression Des nontissés polyvalents font rouler les voitures de demain Nouveaux procédés de transformation du bois en biocarburant PAGE 8 statistiques et analyses Indice de la production industrielle française En septembre 2013, la production manufacturie re baisse (-0,7 % Le N 1 mondial des salons de sous-traitance industrielle PAGE 10 ETUDE Filie re marche automobile Enque te de performance industrielle 2013 sur les exercices 2012 et 2011 PAGE 18 ETUDE Etat des relations clients-fournisseurs dans l industrie automobile américaine * Travailler ensemble N > 22 NOVEMBRE Paris Nord Villepinte - France Demandez dès maintenant PEUGEOT Direction de la Communication votre badge d entrée gratuit Editeur LBP International sarl 5, rue du Perche Paris +33 (0) R.C.S Paris ISSN (magazine) Tous les savoir-faire de la sous-traitance industrielle mondiale en un même lieu Directeur de la publication Stephen Poisson +33 (0) (0) info@vehiclenews.com Rédactrice en Chef Stéphanie Zoccola +33 (0) (0) editorial@vehiclenews.com Relation clients et abonnements Paul Stephenson +33 (0) subscriptions@vehiclenews.com Fondateur Roland Dana Propriétaire de la Marque Arhur Dana Informations au 20 novembre 2013 Vous cherchez une solution performante pour un projet en cours? souhaitez référencer de nouveaux sous-traitants? voulez rencontrer vos fournisseurs en une journée? vous informez des mutations économiques et technologiques? Trouvez des réponses efficaces et compétitives en 4 jours de rencontres! sur Code : PZ Focus 2013 Transformation des métaux / Transformation des plastiques, caoutchouc, composites / Electronique et électricité / Microtechniques / Traitements de surfaces / Fixations industrielles / Services à l industrie / Maintenance Industrielle Afrique du Sud, pays invité d honneur Energie, secteur à l honneur Les rendez-vous d affaires Le plateau TV midest 2012 en chiffres Restez connecté! exposants, dont 36 % d étrangers venus de 46 pays professionnels de 78 pays et de tous les secteurs d activité Près de 100 conférences techniques, stratégiques et économiques. Simultanément aux salons

3 WEEKLY NEWS, REDACTION WEEKLY NEWS REDACTION ACTU + En octobre 2013, le marche franc ais des ve hicules e lectriques et hybrides poursuit sa nette progression En octobre 2013, le marche franc ais des ve hicules e lectriques et hybrides poursuit sa nette progression. La confirmation du maintien du bonus e cologique va permettre de conforter le dynamisme de ce segment du marche automobile. En France, le bonus écologique pour l acquisition des véhicules électriques et hybrides rechargeables est maintenu depuis le 1er novembre Cette prime a l achat d un véhicule électrique, valable pour la premie re immatriculation, est passée a cette date de a (dans la limite de 30 % du prix d achat incluant la batterie). Elle se monte par ailleurs a pour les véhicules hybrides rechargeables a pour les hybrides (l aide ne peut excéder 8,25 % du cou t d acquisition, sans pouvoir e tre inférieure a la somme de euros). «Le maintien de ces bonus est un re el moteur pour ces marche s. Malgre leurs baisses, les bonus restent suffisamment élevés pour en permettre le développement. Ces aides sont en effet une condition essentielle a l émergence d un marché solide et devront e tre maintenues jusqu a ce que les volumes permettent une baisse mécanique des prix. Elles permettent de convaincre les particuliers et les collectivite s a rouler en ve hicules e lectriques et de couvrir ainsi une mobilite e co- citoyenne, plus e conomique, plus respectueuse de l environnement mais aussi tre s zen» commente Joseph Beretta - Pre sident de l Avere- France D autres pays ont fait le choix de soutenir le développement des marchés électriques et hybrides par l octroi de bonus. Ainsi, les subventions en vigueur sont de 500 a en Belgique- Wallonie, au Luxembourg et jusqu a 500 en Autriche. Des aides a l acquisition sont également proposées en Angleterre (5 000 ) et en Espagne (jusqu a 20% du prix du véhicule). Les incitations a l usage (fiscalité avantageuse et/ou conditions de circulation préférentielles) sont également en vigueur dans de nombreux pays comme la Norve ge, la République Tche que ou encore l Allemagne. Ve hicules e lectriques particuliers (VP) véhicules électriques particuliers ont été immatriculés en octobre On enregistre une progression de +64% par rapport au mois de septembre 2013 et un second record de ventes depuis le début de l année 2013 (1 350 ventes en mars 2013). Si la Renault Zoé continue de booster ce segment de marché avec 503 ventes, la Nissan Leaf conforte son succe s avec 198 immatriculations. La Smart For Two enregistre également un pic de ventes avec 52 immatriculations sur le seul mois d octobre Les ventes des Peugeot Ion, Citro en C- Ze ro et Mitsubishi imiev se maintiennent. Au total, véhicules électriques particuliers, dont Renault Zoé ont été vendus en France depuis le début de l année Les ventes véhicules électriques particuliers ont augmenté de +44% par rapport a 2012 sur la me me période. Ve hicules e lectriques utilitaires le gers (VUL) 510 véhicules électriques utilitaires légers ont été immatriculés en octobre Ce segment enregistre une progression de + 55 % par rapport au mois d octobre Le Renault Kangoo II cumule a lui seul 438 ventes. Au total, véhicules utilitaires légers, dont Renault Kangoo II ont été vendus en France depuis le début de l année Les ventes véhicules électriques utilitaires légers ont augmenté de +50% par rapport a la me me période sur Ve hicules hybrides véhicules hybrides ont été immatriculés en octobre Sur ce segment, Toyota conforte son leadership avec la Toyota Yaris (1 314 ventes) et Toyota Auris (1 173). Parmi les meilleures ventes enregistrées suivent la Peugeot 3008 (597 ventes), Peugeot 508 (446 ventes), Citroe n DS5 (289 ventes), Toyota Prius (288 ventes) et Volkswagen Jetta (42 ventes). Au total, véhicules hybrides ont été vendus en France depuis le début de l année Les ventes de véhicules hybrides ont augmenté de +71% par rapport a la me me période sur Le bonus e cologique : l acce le rateur des ventes

4 WEEKLY NEWS, REDACTION WEEKLY NEWS REDACTION ACTU + DES NONTISSe S POLYVALENTS FONT ROULER LES VOITURES DE DEMAIN ACTU + Nouveaux proce de S de transformation du bois en biocarburant Le secteur automobile utilise de plus en plus des solutions à base de nontisse s satisfaisant aux re glementations en vigueur en matière de recyclage et ame liorant la se curite et le confort selon EDANA, l association internationale des nontisse s et des secteurs apparente s. Les dernières e volutions et les nouvelles technologies des nontisse s utilise s dans le secteur automobile seront pre sente es à l occasion d INDEX 14, le plus grand salon mondial des nontisse s qui se tiendra à Genève pour la 11e fois conse cutive du 8 au 11 avril D ici a 2050, pre s de 70% de la population mondiale devraient vivre dans de grandes zones urbaines avec une densite de population e leve e où l acce s a des moyens de transport efficaces et efficients sera primordial. Il est donc ne cessaire de diminuer encore les e missions de CO2, d accroître l efficacite e nerge tique et de re duire la pollution sonore. Les applications automobiles, tels que capots des moteurs et filtres a air de l habitacle, et rembourrage des sie ges, ne cessiteront l utilisation de matie res durables novatrices et le ge res pour ame liorer l efficience du ve hicule, re duire sa consommation e nerge tique et fournir une isolation phonique intelligente. La demande mondiale croissante des consommateurs en sécurité et confort accrus et le besoin de produits respectant l environnement a déja provoqué une hausse de l utilisation des textiles, notamment des nontissés, grâce a leur excellente rentabilité. L utilisation des textiles dans les applications automobiles inte rieures et exte rieures devrait augmenter et passer de 20 kg a 30 kg d ici a Actuellement, plus de 40 pie ces d une voiture moderne comprennent des nontissés. Dans leurs efforts visant a re duire le poids tout en pre servant les niveaux de confort, les plus grands e quipementiers adoptent les nontisse s. PSA Peugeot par exemple abandonne la mousse de polyure thane de ses sie ges au profit des nontisse s lie s par fusion conçus a base de fibres de copolyme re de PET recycle, et e quipe s de fibres a effet retardateur de flamme non fusibles. Dans un même temps, BMW pre voit l interconnexion entre les nontisse s et le secteur automobile avec des composants nontisse s tre s le gers a base de fibres de carbone permettant aux voitures d atteindre de nouveaux records en matie re de consommation de carburant et de performance. La polyvalence des nontisse s garantit à tous les e gards le confort et la se curite de la voiture de demain. Comme l explique l un des principaux fabricants de nontissés pour les applications automobiles, un élément central du confort inte rieur d une voiture est son silence.: «Lorsqu il est installe dans le capot du moteur, le nontisse e touffe le bruit du moteur et garantit une acoustique agréable dans l habitacle. Tre s léger, stable en termes de température et recyclage avec de faibles taux d e mission, c est ce que les e quipementiers recherchent.» l utilisation croissante de cuir artificiel dans l habitacle constitue une autre évolution. Cette matie re est plus intéressante que le cuir naturel en raison de sa lége reté, de sa durabilité, de sa perméabilité a l air, de sa douceur et de sa flexibilite. Le cuir artificiel peut peser jusqu a 40% de moins que le cuir ve ritable tout en e tant aussi agréable sur le plan esthétique. L e-mobilité progresse. Le marché total des véhicules hybrides ou électriques purs devrait passer de 38.8 millions de véhicules (tous types) en 2013 a 116 millions de véhicules en Les nontissés apportent une contribution importante dans ce domaine en termes de sécurité en commenc ant avec les matériaux ignifuges mais aussi avec des séparateurs de batterie pour les batteries a haute énergie a ions lithium extre mement lége res. Etant donné que les batteries typiques de la plupart des véhicules hybrides contiennent entre 50 et 70 cellules séparées, les séparateurs de nontissés sont cruciaux pour séparer les champs positifs et négatifs. INDEX 14 permet aux concepteurs d intérieurs automobiles, aux professionnels des teintes et des garnitures, aux prescripteurs et sous-traitants des équipementiers, aux ingénieurs automobiles et aux experts en recherche et développement d assister a des présentations de produits et des conférences de haute volée, de participer a des ateliers interactifs et a des réceptions informelles pour échanger des informations et découvrir les possibilités de ces matériaux polyvalents. Pre s de 500 exposants ont de ja confirme leur participation sur une imposante surface d exposition de m2. Plus de visiteurs originaires de plus de 100 pays sont attendus a cette exposition de premier rang mondial organisée tous les trois ans. Se posant des questions éthiques concernant l origine des biocarburants, Finn Lillelund Aachmann pense qu une consommation écologique ne doit pas se faire au détriment de l accessibilité a la nourriture pour les populations concernées par cette agriculture. Il s est alors posé ces questions : que faire des copeaux et sciures de bois, dont la demande dans l industrie papetie re ne cesse de diminuer avec le ralentissement de leur activité? Comment créer de nouvelles opportunités d affaires pour l industrie forestie re norvégienne? Depuis la découverte d un super enzyme par les chercheurs de l Universite des Sciences de la Vie (UMB Aas), Finn Lillelund Aachmann et ses colle gues chercheurs en biotechnologie de l Université Norvégienne des Sciences et Technologies (NTNU Trondheim) ont voulu savoir comment ce super enzyme fonctionnait. Grâce a la technologie NMR (Nuclear Magnetic Resonance) utilise e en spectroscopie, ils ont pu e tudier chaque molécule en détails ainsi que leurs structures. Jusqu a aujourd hui, le temps nécessaire pour obtenir de l éthanol a partir du bois prenait plusieurs semaines, ce qui était un frein a toute perspective commerciale. Grâce a une meilleure connaissance de ce nouvel enzyme, il sera maintenant possible d obtenir du biocarburant en seulement quelques heures. C est ce qui a poussé les trois plus grandes universités de Norve ge a s engager dans un projet de recherche collaborative basée sur cette technologie NMR. Ce qui re pond par ailleurs aux objectifs du gouvernement pour les prochaines de cennies en termes de bioprospection, nanotechnologie et biotechnologie. Les deux nouveaux programmes du Conseil Norvégien de la Recherche (RCN), BIOTEK2021 et NANO2021, en sont la preuve. Du carburant pour l aviation à partir des forêts norve giennes pour Avec l aide de la compagnie Ramboll, SINTEF Energy a fait un inventaire des technologies les plus prometteuses pour produire du biocarburant pour l aviation norvégienne. Parmi elles, un procédé chimique transforme le monoxyde de carbone et l hydroge ne en hydrocarbone liquide. De la sorte, on peut donc obtenir un biocarburant a partir du bois, le tout grâce au procédé Fischer Tropsch. Avinor (compagnie de l Etat Norvégien, en charge des opérations et du développement de 46 aéroports en Norve ge) a pris l initiative, il y a deux ans, de lancer un appel d offre que Ramboll a remporté. Le travail a e te divise en plusieurs work-packages, dont l inventaire des technologies en est un. Les autres traitent des ressources forestie res, de l importation de la biomasse, de la logistique / infrastructure et finalement des algues. Les trois technologies retenues Dans la premie re technologie en question, le bois, une fois chauffé a tre s haute température, est transformé en biocarburant liquide (procédé Fischer Tropsch). La seconde méthode, appelée Alcohol-to-Jet, consiste a transformer le glucose tiré du bois en carburant pour l aviation. L industrie pétrochimique transforme déja l alcool en carburant a grande échelle. Le défi actuel résidant dans la production d alcool issu du bois. La dernie re technologie évaluée traite de l usage d oléagineux (amandes, noix,...) comme matie re premie re. Le proble me de cette technologie est qu elle accapare le fruit d une agriculture nourricie re, ce qui va a l encontre d une politique durable d apre s Berta Matas Guell. Malgre ces avancements, il ne faut pas perdre de vue que pour e tre utilisé en tant que carburant dans l aviation, les carburants doivent e tre certifiés. A ce jour, deux d entre eux le sont : via le procédé Fischer-Tropsch et celui d extraction de l huile des oléagineux. Ce qui n empe che pas ces carburants d avoir besoin d e tre mélangés avec 50% de carburant conventionnel (de source fossile). Seul l Alcohol-to-Jet est encore en cours de certification. Berta Matas Guell avance le fait que cette certification ne devrait pas nécessiter de mélanger l Alcohol-to-Jet avec du carburant conventionnel pour l aviation, ce qui lui donne un avantage sur le plan de la durabilité environnementale. La compagnie Ramboll, pour qui le développement durable est une priorité, conclut qu il serait techniquement et économiquement faisable de produire un carburant pour l aviation a partir des fore ts norvégiennes a l horizon Elle parle de la technologie Fischer- Tropsch et de l Alcohol-to-Jet comme les plus appropriées, ce qui corrobore les conclusions de SINTEF Energy.

5 STATISTIQUES & ANALYSES, INSEE STATISTIQUES & ANALYSES, INSEE STATISTIQUES & Analyses Indice de la production industrielle française En septembre 2013, la production manufacturie re baisse (-0,7 %) Au mois de septembre 2013, la production de l industrie manufacturie re en volume diminue par rapport a aou t ( 0,7 %, apre s +0,9 %). La production de l ensemble de l industrie baisse également, de 0,5 %, apre s une hausse de 0,7 % le mois dernier. Au cours du troisième trimestre, la production manufacturière baisse ( 1,1 %)... Au cours du troisie me trimestre, la production baisse dans l industrie manufacturie re ( 1,1 %) et dans l ensemble de l industrie ( 1,4 %). Sur cette période, la production diminue dans les autres produits industriels ( 0,8%), dans les matériels de transport ( 2,0 %) ainsi que dans les équipements élec- triques, électroniques, informatiques, machines ( 0,9 %). La production baisse fortement dans la coke - faction et raffinage ( 10,6 %).... et est infe rieure de 2,0% au niveau atteint l anne e pre ce dente. La production manufacturie re du troisie me trimestre est inférieure au niveau du me me trimestre de l année précédente ( 2,0 %). Sur cette période, la production décroi t significativement dans les autres produits industriels ( 2,3 %), dans les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines ( 1,9 %), ainsi que dans les industries agricoles et alimentaires ( 2,3 %). Elle baisse également fortement dans le raffinage ( 9,0 %). En revanche, elle progresse dans les matériels de transport (+0,7 %). matériels de transport ( 0,3 %).... dans la coke faction et le raffinage ( 2,1 %)... La production diminue dans la coke faction et le raffinage ( 2,1 %).... et dans les «produits agricoles et alimentaires» ( 2,0 %). La production diminue dans les produits agricoles et alimentaires ( 2,0 %). En revanche, la production augmente dans les «équipements électriques, électroniques, informatiques, machines» (+2,8 %). La production augmente fortement dans les produits informatiques, électroniques et optiques (+4,6 %). Elle est également en hausse dans les équipements électri- ques (+2,8 %) et les machines et équipements n.c.a. (+1,9 %). Comparaison France-Zone euro Dans la zone euro, la production industrielle augmentait en aou t (+1,0 %). En aou t 2013, la production industrielle augmentait dans la zone euro en données corrigées des variations saisonnie res (+1,0 %, source : Eurostat), avec, en parti- culier, une nette amélioration de la production des biens d investissement (+2,4 %) et, dans une moindre me- sure, des biens de consommation durables (+0,8 %). L évolution en France était de +0,7 % pour l ensemble de l industrie, de +1,2 % pour les biens d investissement et de 4,1 % pour les biens de consommation durables (chiffres révisés). Re visions : +0,6 point en aou t L indice manufacturier du mois d aou t 2013 est forte- ment révisé (+0,6 point), principalement en raison des révisions des données brutes (+0,5 point). En septembre 2013, la production diminue de 0,7 % dans les «autres produits industriels». La production baisse dans la métallurgie et produits métalliques ( 2,8 %), dans le bois, papier et imprimerie ( 3,0 %) et dans une moindre mesure dans le caout- chouc, plastique et minéraux non métalliques ( 0,5 %). En revanche, la production est en hausse dans la pharmacie (+0,5 %), dans les autres industries manu- facturie res y c. réparation et installation (+0,9 %), dans la chimie (+1,3 %) ainsi que dans le textile, habillement, cuir et chaussure (+2,2 %). La baisse est plus accentue e dans les «mate riels de transport» ( 3,4 %)... La production baisse de fac on marquée dans l automobile ( 7,0 %) et se maintient dans les autres

6 étude, PFA étude, PFA étude Filie re marche automobile ENQUE TE DE PERFORMANCE INDUSTRIELLE 2013 Sur les exercices 2012 et 2011 Comme chaque anne e depuis 1993, la filie re automobile me ne une enque te sur la performance industrielle de ses usines. La Plateforme de la Filière Automobile (PFA) remercie les 226 entreprises et sites de groupes qui ont participe cette anne e. Pratique s depuis la fin des anne es 80, les indicateurs de la filie re automobile sont un reflet de la maturite industrielle de ses sites et un gage de sa cohe sion. Dans la compe tition mondiale, la PFA sait que la filie re nationale renferme un fort potentiel de performance. Cette enque te est un outil donne a chacun pour concre tiser ce potentiel. Quels sont les avantages pour les industriels qui utilisent ces indicateurs? 1. Mesurer la performance industrielle, e conomique et humaine a travers des notions concre tes. 2. S e talonner avec les confre res du me me me tier, actifs dans la filie re. 3. En de duire les leviers d action ayant un fort sur le re sultat net et la tre sorerie. 4. S appuyer sur un outil de dialogue commun avec l ensemble des collaborateurs. 5. Disposer d e le ments de mesure pour e tayer les discussions entre clients et fournisseurs au sein de la filie re. La PFA1 et les ARIA2 visent a ce que ces indicateurs deviennent une bonne pratique effective dans toute la filie re nationale. C est ainsi que les e quipementiers de rang 1 ont e te invite s par la FIEV3 a faire participer toutes leurs usines et a convier leurs fournisseurs a le faire. Ce document est une analyse des donne es de l ensemble des sites ayant re pondu. En comple ment, chaque site se verra remettre par son ARIA une analyse des donne es propres a son me tier. Afin de pre server l anonymat, l identite de chaque site est cache e sous un nume ro d identifiant connu de lui seul, communique par l ARIA. Celle-ci est a la disposition du site pour un approfondissement. La PFA souhaite que ce travail soit utile à ses adhérents. Elle le met au service du souci des entrepreneurs de transformation de leur entreprise ou usine vers davantage d excellence industrielle. Elle juge extre mement important qu ils soient tre s nombreux a re pondre a cette enque te chaque anne e, pour euxme mes bien entendu, mais aussi pour la PFA et les ARIA, afin qu elles en de duisent les meilleures orientations a proposer. De me me, gra ce a ce travail, la PFA offre, aux pouvoirs publics notamment, une description de l e tat et de la dynamique de la filie re sans e gale, cette enque te e tant la seule qui soit base e sur des e le ments technico e conomiques factuels. C est pourquoi ces re ponses sont autant d irremplac ables te moignages du terrain. L activite est a choisir entre deux Activite se rie Il s agit de la production de la nomenclature du ve hicule pour l essentiel. Neuf me tiers sont retenus a ce jour, les deux derniers ayant e te distingue s cette anne e pour la premie re fois : 0. Autres se rie 1. Transformation des plastiques et des caoutchoucs 2. Forge et fonderie 3. Usinage, de colletage, visserie, boulonnerie 4. Assemblage 5. Industrie e lectrique et e lectronique 6. De coupage, emboutissage, transformation du fil et du tube 7. Traitement de surface 8. Textiles et garnitures Le me tier «Autres se rie» contient des sous-me tiers dont le nombre de re ponses est tre s re duit, ou dont les proce de s ont une spe cificite telle qu il est impossible de les classer ailleurs. Pour en minimiser l effectif, nous avons approfondi, via un appel te le phonique a chaque site concerne et la consultation de son site Web. Alors, nous avons e ventuellement reclasse le site sur un me tier pre de fini. Si l effectif d un sous-me tier vient a augmenter a l avenir, nous pourrions en faire un me tier a part entie re. Le traitement de surface, dont on connait la place spe cifique dans le processus de production du client (souvent, ope rations en gamme externalise es, absence de stock, lien GPAO spe cifique avec le client... avec les conse quences que l on imagine sur la logistique), a e te identifie cette anne e, malgre son faible effectif. De me me pour les textiles et garnitures. Une re flexion est a poursuivre avec les syndicats professionnels affe rents pour le nombre de re ponses et pour la pertinence des indicateurs, notamment pour le traitement de surface. Activite unitaire Pour la seconde anne e l enque te a identifie les acteurs de l unitaire en tant que tels. Deux grands me tiers sont inte gre s au sein de l activite : Les acteurs de la filie re automobile au sens classique, c est-a -dire les entreprises qui travaillent a la commande, conc oivent (chaque contrat inclut une e tude) et re alisent, a l unite ou en tre s petite se rie, des pie ces ou des e quipements

7 e Tude, PFA e Tude, PFA destinés a produire ou industrialiser les pie ces de série entrant dans la nomenclature des véhicules automobiles, y compris les poids lourds, bus, motocyclettes, tracteurs agricoles... A ce titre, les acteurs de l unitaire sont les précieux «ingénieristes» des acteurs de la série. Avec la mise en concurrence avec les pays a bas cou ts, cette population a connu une dure compétition depuis le début des années 2000, donc plus précocement que les acteurs de la série. Or, a plusieurs égards, les entreprises de l unitaire sont stratégiques pour la filie re4 : o Elles sont détentrices de nombreuses expertises technologiques, d autant plus précieuses qu elles se sont raréfiées. o Par la qualité de leurs productions, elles agissent sur le prix de revient de leurs clients de la série. o Elles sont sur le fil rouge des délais des projets. o Historiquement, elles n ont pas été autant conviées a la transformation que les acteurs de la série. o Elles sont un puits d innovation dans une filie re qui en a beaucoup besoin. Notre démarche consiste a leur offrir des éléments pour dynamiser par elles-me mes leur transformation, pour mieux s armer contre leurs concurrents. Dans l idéal, il faudrait que le nombre de réponses augmente, afin que nous puissions segmenter cette catégorie qui renferme des spécialités comme : o Les machines spéciales o Les moules au sens large (y compris les outillages de presse...) o Les maquettes, mode les et gabarits o Les prototypes o Les conteneurs spécifiques o Les pie ces usinées a fac on, notamment les pie ces techniques nobles des procédés de fabrication. Les carrossiers, dont la mission est de transformer des ve hicules, sur catalogue ou sur cahier des charges. Ces entreprises sont sur une logique différente du point de vue des affaires et des clients. Cette catégorie est homoge ne et il serait bon, si les entreprises de ce métier le souhaitent, que nous investissions sur lui. Notre postulat est que les bonnes pratiques industrielles sont universellement utiles au sein de la filie re au sens large et donc, dans l unitaire autant que dans la série. L enque te, animée par le Comité de Performance Industrielle de la PFA, est un outil de promotion de ce postulat. La vocation du CPI de la PFA est de traiter les problématiques «usine» donc, en ce qui concerne l unitaire, les études et la réalisation. Notre conviction est que ce que l on appelle aujourd hui Lean management contient, dans ses concepts, les ingrédients d une performance en rupture, me me pour l unitaire en les adaptant si besoin. Un enjeu de cette enque te est de faire éclore ce questionnement méthodologique au sein de nos entreprises. Parmi ces 226 re ponses, les sites de grands groupes6 sont le ge rement majoritaires, les PME et ETI e tant en nombre e gal. Nous avons retenu cette année 226 réponses : Activite unitaire Avec 20 réponses (14 l an dernier) sur 226 au total, il s agit cette année de prolonger un travail qui ne prendra toute sa valeur a l avenir qu avec l augmentation du nombre des réponses, les statistiques n étant probantes qu avec un échantillon nombreux. Parmi ces réponses : - 15 «inge nieristes» de la filie re automobile au sens classique. - 5 carrossiers.

8 e Tude, PFA e Tude, PFA SYNTHE SE L essentiel Contrairement aux conclusions de l an dernier (enque te 2011 / 2010) et peut e tre en partie a cause d une forte baisse des ventes, il n y a pas d amélioration globale des indicateurs de 2011 a 2012, mais un équilibre entre les améliorations est les détériorations. Apre s que les indicateurs qui se sont effondre s lors de la crise de 2008 sont revenus en 2011 a leur niveau d avant crise, on constate que certains d entre eux sont en progre s quasi constant depuis la fin des anne es 90 et que d autres sont plus volatils. Une raison peut e tre l élargissement de l échantillon a des fournisseurs de rang 2. En ce qui concerne les 11 indicateurs «historiques», des retours usines clients au nombre de suggestions par personne et par an, on constate qu ils peuvent e tre séparés en deux lots : - Ceux qui refle tent la qualite et la productivite globale affichent une tendance en progre s quasi continu : o Retours usines clients o Cou t des rebuts et des retouches o Valeur ajoute e par personne o Chiffre d affaires par personne o Suggestions par personne et par an. - Ceux qui refle tent la transformation du mode le industriel en tant qu organisation, e voluent de façon plus erratique (par exemple, le temps de changement de fabrication) ou n e voluent pas (par exemple, la rotation des stocks est stable a 18 par an) et ont souffert de la crise. De même, l investissement industriel ne marque pas d ame lioration par rapport a l anne e pre ce dente. Aucun indicateur n a de tendance structurelle a la détérioration. Globalement, nous pouvons reprendre le vieux constat que le niveau des indicateurs reste amplement éloigné des valeurs de référence attendues par les constructeurs et qui sont pourtant accessibles par tout un chacun, en prenant en compte les e ventuelles particularite s des me tiers (voir les rapports se pare s affe rents). Or, les atteindre, vite, est absolument indispensable pour nous ancrer solidement dans le jeu mondial. Et d autant plus vite que nous devons compenser d autres faiblesses, comme le cou t du travail et la baisse du volume des véhicules assemblés sur notre sol. Par ailleurs, on assiste, indicateur par indicateur, a une forte évolution générale des sites d une année sur l autre, dans un sens comme dans l autre, ce qui est le signe d un préoccupant défaut de robustesse. Les méthodes du Lean manufacturing nous rappellent que le traitement de la non robustesse est prioritaire face a celui de la non performance, sinon, la performance n est pas mai trisée ni pérennisée. Nos indicateurs nous invitent a progresser dans des domaines pour lesquels nos entreprises et usines ont les cartes en main, quels que soient le contexte économique et l état de la relation avec les clients. Ce travail requiert d e tre inscrit, dans la durée, dans les ge nes et dans la culture de l entreprise ou de l usine. Il peut s enrichir d un dialogue avec l Association Régionale des Industriels de l Automobile concernée. En France, moins de 2 millions de ve hicules sont assemble s, soit plus d un tiers de moins qu il y a dix ans. Afin que nous puissions nous maintenir durablement dans la compétition internationale, ne faudrait- il pas mener, chacun et ensemble, les actions de fond qui, seules, garantiront la bonne mise a niveau du mode le industriel, e conomique et social de notre filie re, dans toutes ses ramifications? L enque te de cette année doit nous alerter et susciter une réaction a contre-courant du contexte actuel de recul de notre activité, afin d être mieux arme s quand une reprise poindra et d e viter que des sites de production se re veillent hors compe tition. Au sein de cet ensemble, l unitaire, qui ne représente que 2,0% du CA, ne subit pas le sort de la série. Son CA est en croissance de 1,1% et ses effectifs en décroissance de -1,7% seulement. Indicateurs de l activité série seule - E volution sur deux ans Nombre de sites ayant répondu pour la série : 206. L évolution des 17 indicateurs est contrastée : Nombre d indicateurs 17 E volutions favorables 7 41% Stabilité 6 35% E volutions défavorables 4 24% Niveau de l activite : chiffre d affaires et effectifs (inscrits et inte rimaires) En ne retenant que les sites ayant documenté les trois données sur les deux exercices, donc a périme tre constant, le CA 2012 est de 10,9 Md, en de croissance de -9,3% sur 2011, succe dant a la hausse de 8,3% constate e lors de l enquête de l an dernier (2011 vs 2010). Ce niveau d activite en de croissance s est accompagne d une chute des effectifs8 presque aussi forte a - 6,4%, touchant sensiblement les inscrits (-2,5%) et tre s fortement les intérimaires (-33,8%). Cette lecture en moyenne ne doit pas faire oublier un fort contraste des situations individuelles, d une forte hausse des CA et effectifs a une forte baisse : hausses individuelles du CA jusqu a 52%9 et baisses individuelles jusqu a -56%, la moyenne de ces évolutions étant de -7%. Cela stoppe l embellie de l an dernier où ils avaient tous e volue favorablement. Malgre tout, il faut saluer l effort produit par nos industriels, car la dégradation reste modeste au regard de l ampleur de la baisse d activité. Qualité : - Les retours usines clients (PPM) ont une ame lioration ne gligeable, de cevante en comparaison de l embellie releve e lors de l enque te de l an dernier. - Le cou t des rebuts et des retouches s améliore lége rement, mais la moitié des sites se situent au-dela de 1%, ce qui est trop fort pour cet item qui grignote directement le résultat net. Cou t, délai : - La baisse des stocks n e tant pas a la hauteur de celle du CA, la rotation se de te riore. L enjeu financier reste tre s fort pour la filie re et le progre s est en partie contraint par la faible inventivite des pratiques B2B. - Le TRS est stable. Les sites sont-ils peu motivés a dégager de la capacité? Il ne faut pas oublier que cet indicateur est d abord fait pour traiter les causes de non TRS et doit donc rester l ossature de toute démarche de progre s en milieu capitalistique. Parmi ces causes, les rebuts / retouches et le temps de changement ayant e volue favorablement, productivite MOD et politique de maintenance semblent avoir été les sources des soucis. De me me que la conviction de nombreux sites d e tre au maximum possible de leur métier. - La surface n étant pas aisément élastique, l utilisation des surfaces se dégrade a la hauteur du CA. - La VA / Personne se de grade fortement, certes par la perte d activite, mais aussi amplement par une perte de productivite.

9 e Tude, PFA e Tude, PFA - Le CA / Personne se de te riore, ce qui montre que les sites ont pre fe re rester prudents sur l ajustement des effectifs. Cette prudence fut adoptée par une majorité de sites. - Le temps de de filement du produit phare est en ame lioration de -2,0 jours. Dans la mesure où la rotation des stocks globaux est, elle, en de te rioration, on discerne ici que la fluidite des produits phare au sein de leurs sites serait une pre occupation claire des patrons d usine. - Le temps de changement de fabrication est en amélioration sensible. - Le taux de service est en amélioration de 1,4 point, ce qui est tre s bien : la question du maigre volume n a pas fait baisser la garde. Mais site a site, la volatilite reste pre occupante. Personnel : - Suggestions par personne. Comme chaque année, ce ratio s améliore, cette année, modestement. - Le taux de fre quence des accidents du travail est en ame lioration. Mais les sites ayant des taux forts restent nombreux, ce qui montre le travail restant a faire face a l excellence. - Idem pour le taux de gravité. - Idem pour l absentéisme. - Les dépenses de formation sont restées constantes en proportion de la masse salariale, alors qu on aurait pense que le sureffectif entraine par la baisse des effectifs infe rieure a celle du CA aurait e te investi. Autres : - Le niveau d investissement face au CA (lissé sur 3 ans) est resté stable, mais les gros investissements sont concentrés sur une minorité de sites. Au global, le niveau d investissement est tre s (trop) faible. - Peu de sites ont documenté l indicateur performance environnementale. Il est globalement en amélioration. Récapitulatif de la série par métier : Indicateurs de l activité unitaire seule - E volution sur deux ans L e chantillon comprend un gros site qui, a lui seul, repre sente la moitie du CA et le tiers des effectifs, et distord en partie les moyennes des indicateurs. Malgre le maintien du niveau d activite, les indicateurs en progre s sont minoritaires. Nombre d indicateurs 17 E volutions favorables 4 24% Stabilité 4 24% E volutions défavorables 9 53% Qualité : - La non qualité client est en détérioration de 7,2% et les écarts site a site d une année sur l autre sont forts. - Le cou t des rebuts et des retouches, a 1,12%, est en forte détérioration, de 0,28 point de CA. Cou ts, délai : - A 20,0 rotations annuelles, la performance moyenne montre une de te rioration de -29,7%. Mais, dans cette activite, les en-cours jouent au yoyo. - Pour le TRS, les réponses sont trop rares pour conclure. - Comme le niveau de l activité, le CA / m2 est stable. - La VA / personne est en nette ame lioration (2,8 points). - Le CA / personne est en ame lioration, profitant de la croissance du CA et de la baisse de l effectif. - La tenue des budgets est en faible détérioration. - Pour le Temps de changement de fabrication, les réponses sont trop rares pour conclure sans commentaire. - A 79,5, le Taux de service est en amélioration de 1,2 points. Personnel, ai e : - Pour les suggestions, les réponses sont trop rares pour conclure. - Le Taux de fréquence des accidents est en détérioration, de 1,6 points, soit 8%. - Le Taux de gravité des accidents est en forte détérioration, a 13,4%. - L absentéisme est en détérioration de 6%, a 2, ,4% de la masse salariale furent investi en formation en année N, soit une augmentation de 43%. Autres : - A 4,5% du CA lissé sur 3 ans, le niveau d investissement semble de bon niveau pour ces métiers. Il est cependant en lége re détérioration, a -4%. - Pour la performance environnementale, les réponses sont trop rares pour conclure.

10 e Tude e Tude étude ETAT DES RELATIONS CLIENTS- FOURNISSEURS DANS L INDUSTRIE AUTOMOBILE AMERICAINE Nous revenons en de tail cette semaine sur un sujet que nous avions aborde le mois dernier lors des Ateliers de la Plateforme de la Filière Automobile (PFA) : la relation donneurs d ordres-sous traitants dont l intitule seul suffit à re sumer la philosophie... Lors d un de bat plutôt anime que nous avons retranscrit dans ces colonnes, Pierre Pelouzet, le me diateur National des Relations Interentreprises avait mentionne l e tablissement outre-atlantique d un Index de la qualite de la relation client-fournisseur dans l industrie automobile. Index re alise par le professeur John Henke de l Universite d Oakland à Rochester (Michigan). Nous vous proposons dans les pages suivantes une synthèse sche matise e de l e dition 2013 de cet Index.

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