- 1 - Dynamique physique de l habitat. 1.1 L hydrodynamisme du Plateau atlantique dans le défi golfe de Gascogne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "- 1 - Dynamique physique de l habitat. 1.1 L hydrodynamisme du Plateau atlantique dans le défi golfe de Gascogne"

Transcription

1 - 1 - Dynamique physique de l habitat 1.1 L hydrodynamisme du Plateau atlantique dans le défi golfe de Gascogne

2 L hydrodynamisme du plateau atlantique dans le Défi golfe de Gascogne Coordination : Frédéric Vandermeirsch 1. Objectifs Comprendre comment les fluctuations climatiques influent sur les structures physiques de l habitat pour déterminer l hydroclimat du Golfe de Gascogne, sa variabilité inter-annuelle et son évolution. Peut-on évaluer les stocks de poissons à partir de la variabilité, spatiale et temporelle, du climat et de l écosystème du Golfe du Gascogne? 2. Actions en océanographie physique Parmi les actions prévues, certaines s effectuent dans le cadre du PNEC chantier atlantique dont la problématique est entièrement incluse dans le Défi Golfe de Gascogne. Les actions prévues se déclinent en trois volets complémentaires : les mesures du milieu physique, la modélisation du Golfe de Gascogne et l analyse des phénomènes physiques Mesures du milieu physique Mesures in situ Les mesures in situ sur le plateau atlantique sont pour la quasi-totalité des profils de température et de salinité acquis lors de campagnes pluridisciplinaires dédiées en particulier à la biologie et à l halieutique. Depuis 1997, une série de campagnes en mer a été réalisée dans le cadre d une collaboration entre le SHOM et l IFREMER (campagnes Modycot). Ces campagnes ont permis de réaliser de nombreuses mesures hydrologiques avec une stratégie d échantillonnage plus synoptique et plus rapide. La couverture du plateau est réalisée en une semaine 2 à 3 fois par an, soit une cinquantaine de stations échantillonnées à chaque fois. Toutefois, ces campagnes ne permettent pas de disposer de mesures à toutes les saisons. Elles se déroulent en général au printemps et au début de l automne et il y a donc un manque d information concernant la période estivale et la période hivernale. D une manière générale, toutes les mesures hydrologiques réalisées sur le plateau depuis une dizaine d années de même que les résultats des simulations du devenir des panaches de la Loire et de la Gironde mettent en évidence une grande variabilité saisonnière et inter annuelle de la salinité. Mais les mesures in situ sont insuffisantes pour permettre une étude précise de cette variabilité. Il est donc apparu utile de mettre en œuvre un réseau de sondes TPS (MICREL) destiné à mesurer en continu l évolution de la salinité au cours du temps en plusieurs points du littoral. L objectif principal de cette action est d acquérir des séries temporelles assez longues pour mettre en évidence la variabilité inter annuelle de la salinité dans la zone soumise à influence des grands panaches fluviaux. Les sondes ont été fixées sur des constructions existantes à la côte (quais, pêcheries, etc.) plutôt que sur des mouillages en mer pour pouvoir mieux assurer la pérennité de la mesure et permettre un entretien et un contrôle régulier des capteurs. Les sites d implantation des appareils ont été choisis sur des îles en raison de la faible superficie des bassins versants qui minimise donc le risque de

3 perturbation de la mesure de salinité par des apports locaux. Quatre sites ont donc été retenus sur les îles des Glénan, Houat, Yeu et Oléron. Les mesures de salinité sont enregistrées toutes les 30 depuis une à deux années selon les sites. La durée des enregistrements varie en fonction de la période d installation des sondes et des aléas liés au fonctionnement du matériel. En raison des périodes d exondation variables selon le coefficient de marée et du site, la valeur maximale enregistrée chaque jour a été retenue pour analyser ces mesures Mesures satellitales Les données satellitales sont la température de surface de la mer (AVHRR/NOAA), la couleur de l eau (SeaWiFS/SeaStar) et la rugosité de surface de la mer (SAR/ERS). Leur résolution, leur couverture spatiale et temporelle diffèrent. Les données thermiques et de la couleur de l eau sont des données à basse résolution spatiale (~1 km) qui permettent une couverture instantanée journalière (couleur), voire plusieurs fois par jour (thermique) de la totalité du Golfe de Gascogne, en l absence de nuages. La résolution spatiale du SAR est plus fine (30m) mais en contrepartie la zone couverte est plus restreinte et la revisite du site moins fréquente (tous les 35 jours). Pour l imagerie SAR, une zone d intérêt a donc été choisie dans les parages de la Loire : région comprise entre Belle-Île, l île d Yeu et la Loire. L utilité de ces données spatiales pour le projet réside à la fois dans la validation du calcul des températures par le modèle hydrodynamique et pour l étude des zones de rétention. En effet les structures dynamiques comme les fronts et les structures associées (méandres, filaments, tourbillons) peuvent être mis en évidence par différents marqueurs des masses d eaux. Ainsi les fronts peuvent avoir une signature en thermique et/ou en concentration de particules terrigènes ou de chlorophylle ou encore par modification de l état de surface de la mer sous l effet des courants. Un inventaire et une analyse des structures thermiques, turbides et biologiques (chlorophylle A) et des structures dynamiques (SAR) ont donc été entrepris. Le jeu de données a été sélectionné sur la même période (1997 à 2000). Au total 3600 scènes AVHRR et 1100 scènes SeaWiFS ont été traitées par le «Remote Sensing Group du Plymouth Marine Laboratory» qui a fourni ces données et différents produits pour visualiser les structures ainsi que des cartes de fronts thermiques et de chlorophylle pour compléter leur description et l analyse de leur évolution. D autre part 20 images SAR acquises auprès d Eurimage ont été choisies à partir d un critère de vitesse du vent < 8m/s Base de données hydrologiques Un des objectifs du Défi en physique côtière est d apporter des éléments de réponses à l évolution de l écosystème du Golfe du Gascogne à partir de la variabilité, spatiale et temporelle du climat. Une analyse statistique des observations sur au moins les vingt dernières années permettrait de dégager les tendances de la circulation océanique dans le Golfe de Gascogne. Dans ce but, DEL-AO et le SISMER vont constituer une base de données hydrologiques du Golfe de Gascogne, à partir des mesures du SHOM-CMO, de l IFREMER et de la base mondiale du NODC (National Oceanographic Data Centres), et réaliser un atlas climatologie en température et en salinité. Actuellement, il n existe pas de climatologie de référence dans le Golfe de Gascogne. L intérêt d avoir une référence en température et en salinité commune à un ensemble de disciplines, halieutique, biologique et physique est multiple : support aux études scientifiques, initialisation et forçage des modèles numériques, calibration d'instruments de mesures. Le SHOM a fourni, après signature d une convention entre l EPSHOM et l IFREMER, les données hydrologiques archivées au CMO (sondes XBT, CTD, MBT, données bouteilles) entre 43N et 50N et de 15W à la côte. La durée de l exportation est limitée à 3 ans, temps

4 nécessaire à la réalisation de la base de données et de l atlas climatologique. Les données classifiées étrangères n ont pas été extraites de l enceinte du CMO. Le CMO s engage à fournir le libre accès à ces données au personnel de l IFREMER dans l enceinte de l EPSHOM. Le CMO s engage à fournir à l IFREMER les capacités humaines et logistiques nécessaires à l extraction des ces données. L accès à la base de données est limité à un nombre de scientifique restreint. Les étapes techniques de ce projet sont : 1 : Constituer une base de données unique regroupant les profils hydrologiques (température et salinité) collectés depuis le début du siècle par le SHOM-CMO, le SISMER et le NODC. 2 : Assurer le contrôle qualité des données : en particulier la détection des doublons. 3 : Réaliser une analyse objective (interpolation optimale en espace) : climatologie bimensuelle avec un maillage adapté à la région. 4 : Diffuser la climatologie sur un support informatisé (type CD) Développements technologiques de flotteur Notre demande de développements technologiques concerne l adaptation du profileur PROVOR au plateau continental. Deux systèmes de flotteurs profileurs sont à l étude selon la profondeur à étudier. Ils vont faire l objet d expériences in situ fin 2003 : un flotteur non encré approprié aux fonds supérieurs à 70 m dans la mesure où sa dérive est faible et un autre flotteur accroché a un câble encré permet de réduire fortement sa dérive sur des fonds inférieurs à 50 m. Sur les deux types d appareils, il est nécessaire d ajouter au flotteur PROVOR de la flottabilité en plus, afin de le maintenir debout sur le fond pour qu il puisse s'extraire et ne pas riper avec le courant de fond Modélisation du plateau continental et du Golfe de Gascogne Modèle numérique Un modèle hydrodynamique tridimensionnel, le modèle Mars 3D a été appliqué au plateau continental du golfe de Gascogne pour décrire l hydrodynamique à des échelles de temps variant de celle de la marée (quelques heures) à la décennie. Ce modèle décrit l évolution des courants de la température et de la salinité selon une maille horizontale de 5 km et 10 niveaux sur la verticale. Plusieurs simulations ont été réalisées. Aux limites ouvertes, les niveaux sont issus d un modèle 2D de plus grande emprise qui calcule les dénivellations sous l effet de la marée et du vent. Sur l ensemble du plateau, la tension du vent mesuré à Chassiron est imposée. Les flux de chaleur à l interface air mer sont calculés à partir de paramètres météorologiques issus pour partie de valeurs climatologiques (nébulosité, humidité relative et température de l air) et pour partie dépendant de la vitesse du vent mesuré Diffusion des résultats de modèle A la demande des halieutes, une base de donnée des résultats de 15 années de simulation (1985 à 2000) du modèle du plateau a été constituée. Cette base rassemble les résultats du modèle moyennés sur 4 cycles de marée (soit environ 2jours). Les variables de base sont les trois composantes du courant, la température, la salinité et la diffusivité turbulente. Des variables synthétiques ont été calculées telles que l épaisseur de la couche

5 de mélange et le déficit d énergie potentielle. Cette base de donnée représente l état d avancement du modèle à un instant donné, elle n a pas pour vocation de rester figée mais d être complétée et d évoluer au fur et à mesure des améliorations apportées au modèle (raffinement de la maille, forçages plus réalistes). Des simulations ont également été effectuées avant les campagnes en mer du PNEC (PEL2000, NUTRIGAS en 2001, GASPROD en 2002) pour fournir une description de l emplacement des panaches de la Loire et de la Gironde au moment de l appareillage du navire et pouvoir, en particulier, affiner le plan d échantillonnage pour les campagnes d étude du panache de la Loire Analyse des phénomènes physiques Une part importante de l analyse et de la réflexion en hydrodynamique s est portée sur la description des structures hydrologiques à méso échelle (typiquement de taille km et de durée 1-4 semaines). Ces structures hydrologiques sont d un grand intérêt car elles conditionnent en partie la notion d habitat biologique. Les mesures in situ, satellites et les résultats de modèle ont permis de décrire plusieurs zones d upwelling occasionnel le long des côtes atlantiques. Dans le sud de la Bretagne en particulier, les campagnes Modycot ont permis de valider l hypothèse de la génération d un upwelling par vent de W à NW dans la zone comprise entre Penmarch et Belle-Île. En hiver et au début du printemps un front thermique et halin a été mis en évidence. Ce front est lié aux forts débits fluviaux qui créent une bande d eau plus douce collée à la côte sous l effet des vents de secteur SW dominant à cette saison. En hiver ce front est très marqué et sa forme est apparue très dépendante des vents. L analyse des thermographies infra rouges a montré que par vent de secteur Est à NE, le front est lissé alors que par vent de NW il ondule et forme des méandres parfois de grande amplitude (> 30km). Bien que cette structure ne puisse être qualifiée de structure de rétention, elle doit limiter la dispersion vers le large des apports fluviaux jusqu à la renverse plus durable des vents au début du printemps qui soufflent alors plutôt du secteur NW et contribuent à la dispersion vers le large des apports hivernaux. Les séries temporelles de mesures acquises au moyen des sondes TPS ont révélé la grande variabilité des salinités à la côte. Alors que la salinité des eaux de surface au centre du golfe de Gascogne est de l ordre de 35,6 psu, un signal saisonnier est clairement apparu. En été, les salinités sont généralement maximales, de l ordre de 35 psu alors qu au printemps et en hiver, elles chutent à 32 en moyenne et peuvent descendre à 28 psu au Nord de l île d Oléron. Les fluctuations printanières et hivernales peuvent être reliées à celles des débits des fleuves (Houat et Oléron) ou à un changement de régime des vents (Yeu) L analyse des données a mis en évidence une accumulation des eaux moins salées dans la partie sud du golfe en été sans doute sous l effet des vents de NW dominants. Une attention particulière a été portée sur la formation des lentilles d eau douce détachées des panaches de la Loire et de la Gironde. L existence de telles structures a déjà été mentionnée dans la littérature et leur rôle clef au niveau de la biologie dans le Golfe de Gascogne a même été décrit, notamment par l observation de concentrations plus importantes d œufs et de larves d anchois dans des lentilles d eau moins salée repérées au cours de campagnes espagnoles. La modélisation des 15 dernières années a permis de mettre en évidence la formation de plusieurs lentilles d eau douce. Le mécanisme de formation semble être la conjonction d un vent de NW à NE fort ou soufflant sur une longue période (> la semaine) qui aura tendance à déplacer les eaux de surface vers le large et d une baisse de débit concomitante qui ne permet plus d alimenter le panache en eau douce. Il en résulte alors une scission du panache et la formation d une lentille d eau douce. En général le diamètre de ces lentilles est de l ordre de plusieurs dizaines de km et l extension verticale de 20 à 30m. La

6 fréquence de génération de ces lentilles varie donc avec les situations météorologiques et montre donc une grande variabilité inter annuelle. Ces structures se forment plutôt au printemps et au début de l été quand les débits des fleuves baissent et tendent vers le régime d étiage. La validation par mesure in situ est encore incomplète en raison du nombre limité de campagne en mer couvrant l ensemble du plateau. Toutefois, plusieurs lentilles ont pu être décrite en automne. Une campagne Modycot au printemps 2001 a montré l existence à plus d une centaine de km des côtes d une bulle d eau de salinité 32,5 psu et d un diamètre d environ 30km. Les analyses des sels nutritifs et des espèces phytoplanctoniques présentes ont montré que cette structure était propice au développement d espèces représentatives du milieu côtier, différentes du milieu marin environnant. 3. Perspectives Le travail entamé lors de ces deux années dans le cadre du Défi et du PNEC va se poursuivre : - l inventaire des structures satellitales SST et couleur de l océan pour la période et une synthèse des observations multi-capteurs. - L acquisition de nouvelles images satellites des années 2001 et suivantes avec le soutien de DEL/EC. Compte tenu des résultats décevants et du coût élevé des images SAR/ERS, l utilisation de ces données sera suspendue dans le cadre de ce projet. Par contre on pourra évaluer pour cette étude l intérêt des nouvelles données radar haute résolution transmises par le capteur ASAR du satellite ENVISAT dont bénéficieront 3 projets (IFREMER, DGO, LSEET) retenus par l ESA, en particulier pour les zones de la Gironde et de la Loire. - L analyse des mesures de courant des flotteurs lagrangiens lâchés par le CMO depuis 1997 et des données de thermosalinimètre des campagnes - Les forçages du modèle 3D à 5 km seront améliorés pour prendre en compte l hétérogénéité du champ de vent et des forçages thermiques plus réalistes. La base de données sera alors réactualisée. - Le travail de développement d un modèle plus fin du plateau atlantique de maille 1,6 km sera poursuivi. Les premiers résultats font apparaître des structures fines à la lisière des panaches fluviaux qu il sera intéressant de comparer avec les résultats du modèle à 5km. - Des études schématiques sur la dynamique des lentilles d eau douce seront entreprises afin d élucider les mécanismes de génération et la durée de vie de ces lentilles. La capacité de confinement des eaux sera également étudiée afin de comprendre si ces lentilles sont toutes de même nature. Les mesures récentes de 2001 seront particulièrement précieuses pour décrire le rôle possible de ces structures sur la biologie. - Le dialogue avec nos collègues biologistes spécialistes de la production primaire et les halieutes sera poursuivie afin de mettre en évidence les interactions avec l hydrodynamique, de déterminer quels sont les descripteurs les plus pertinents et de synthétiser les informations issues des modèles. 4. Valorisation Une partie des résultats exposés ci-dessus ont eté présentés au 2nd ICES Decadal symposium à Edinbourg (UK) en août 2001 et au 8 ème Colloque International d Océanographie du Golfe de Gascogne à Gijon (Espagne) en avril Plusieurs

7 publications ont été soumises à la revue Oceanologica Acta qui publiera les actes du colloque de Gijon et à d autres revues. 5. Publications Puillat I, Lazure P., Jegou A.M : Mesoscale, interannual and seasonal hydrological variability over the French continental shelf of the Bay of Biscay during the last decade. Acceptée pour ICES journal of marine science. Lazure P., Jegou A.M., Kerdreux M.: Analysis of salinity measurements near Islands in the bay of Biscay. Soumise à Oceanologica Acta Puillat I, Lazure P., Jegou A.M: Hydrological variability on the Bay of Biscay French continental shelf during the 1990 s. Soumise à Continental Shelf Research. Puillat I, Lazure P., Jegou A.M, Lampert L.: Mesoscale hydrological variability induced by north-westerly wind on the French continental shelf of the Bay of Biscay. Soumise à Oceanologica Acta Planque B., Lazure P., Jegou A.M: Typology of hydrological structures modelled and observed in the Bay of Biscay. Soumise à Oceanologica Acta. Puillat I, Lazure P., Jegou A.M : Mesoscale, interannual and seasonal hydrological variability over the French continental shelf of the Bay of Biscay during the last decade. Poster au Decadal Symposium du CIEM, août Bulles d eau douce dans l eau salée. Pour la Science, n 295, mai 2002, p: Colloques 8 ème Colloque International d Océanographie du Golfe de Gascogne, Gijon (10-12/04/02): Jegou A.M, Miller P., Lazure P., Froidefond J.M : Seasonal thermal structures from remote sensing on the Bay of Biscay Continental Shelf. Lazure P., Jegou A.M, Kerdreux M. : Analysis of salinity measurements near islands in the Bay of Biscay. Puillat I, Lazure P., Jegou A.M : Hydrological variability on the French continental shelf of the Bay of Biscay. Froidefond J.M, Miller P, Jegou A.M, Lazure P. : Surface structures observed on the Bay of Biscay continental shelf from SeaWiFS data. Miller P., Jegou A.M, Froidefond J.M.: Composite front maps for improved visualisation of retention structures in Bay of Biscay. Planque B, Lazure P., Jegou A.M: Comparison of hydrological structures modelled and observed in the Bay of Biscay during spring Loyer S., Menesguen A., Lampert L., Lazure P.: Model: a tool for a better understanding of the influence of freshwater inputs on the primary production along the french coast. 7. Participants F. Dumas, J.M. Froidefond, P. Forget, A.M. Jegou, P.Lazure, M. Kerdreux, P. Miller, B.Planque, I. Puillat, F.Vandermeirsch.

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013

Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013 Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches

Plus en détail

2. Méthodologie d estimation de la concentration de surface en Chlorophylle par satellite

2. Méthodologie d estimation de la concentration de surface en Chlorophylle par satellite Variation spatio-temporelle de la chlorophylle / SRM MMN Francis Gohin (Francis.Gohin@ifremer.fr) IFREMER/DYNECO/PELAGOS, Centre de Brest BP 70 29280 Plouzané Avec la participation de Felipe Artigas (ULCO),

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

Sextant V4.0. Le portail de diffusion de l information géographique de l Ifremer. Sextant Présentation générale

Sextant V4.0. Le portail de diffusion de l information géographique de l Ifremer. Sextant Présentation générale Sextant - Infrastructure de données spatiales sur le domaine marin Sextant V4.0 Le portail de diffusion de l information géographique de l Ifremer E. Quimbert, M. Bellouis, F. Lecuy, M. Treguer Centre

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

Expertise : lancement de satellite depuis une plate-forme en mer - septembre 2011

Expertise : lancement de satellite depuis une plate-forme en mer - septembre 2011 Expertise : lancement de satellite depuis une plate-forme en mer - septembre 2011 X COMMENTAIRE http://www.mercator-ocean.fr/eng/produits-services/bulletins/japan Produits spécifiques : pour modélisation

Plus en détail

L initiative COMODO. Compte rendu de la réunion d Autrans, Réunion COMODO MARMO, 29-31 mars 2010

L initiative COMODO. Compte rendu de la réunion d Autrans, Réunion COMODO MARMO, 29-31 mars 2010 L initiative COMODO Compte rendu de la réunion d Autrans, Réunion COMODO MARMO, 29-31 mars 2010 Les participants HYCOM MARS NEMO ROMS SYMPHONIE T-UGOm MERCATOR Autres Y. Morel F. Dumas, V. Garnier, S.

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012 T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies

Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Oral Master 2, Fonctionnement des Ecosystèmes Naturels et cultivés, 10 juin 2009 Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Elodie Blanchard Encadrant:

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Population responses to environmental forcing : approaches to model and monitor habitat characteristics

Population responses to environmental forcing : approaches to model and monitor habitat characteristics Approche systémique des pêches Boulogne-sur sur-mer 2008 Population responses to environmental forcing : approaches to model and monitor habitat characteristics Pierre Petitgas (1), M. Huret (1), B. Planque

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

janv-10 janv-11 oct-10 juil-11 juil-10 avr-11 avr-10

janv-10 janv-11 oct-10 juil-11 juil-10 avr-11 avr-10 13 Mars 2015 oct-07 janv-08 avr-08 juil-08 oct-08 janv-09 avr-09 juil-09 oct-09 janv-10 avr-10 juil-10 oct-10 janv-11 avr-11 juil-11 oct-11 janv-12 avr-12 juil-12 oct-12 janv-13 avr-13 juil-13 oct-13 janv-14

Plus en détail

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3

Plus en détail

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,

Plus en détail

Le programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris

Le programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris Le programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris Eléments de contexte sur les AMP Deux problématiques majeures: -Une

Plus en détail

RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE

RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE Johanna GRANDA (1), Alain ARNAUD (1) et Azzédine BOUDIAF (2) (1) ALTAMIRA INFORMATION S.L.,

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat (Résultats de WOOPI) N. Tran, A. Vernier (CLS) F. Rémy R (LEGOS) P. Féménias F (ESA) Calottes glaciaires & classification de la neige/glace

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en

Plus en détail

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES E. Fransolet, M. Crine, G. L Homme, Laboratoires de Génie Chimique, P. Marchot, D. Toye. Université

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A. De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel).

CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A. De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel). CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel). Le réservoir galvanisé augmente l espérance de vie du chauffe-eau.

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers

Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade

Plus en détail

INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET

INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET

Plus en détail

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique

Plus en détail

Mobilité du trait de côte et cartographie historique

Mobilité du trait de côte et cartographie historique Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique

Plus en détail

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "

 Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables " Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d

Plus en détail

BALISE GPS. Modèle EOLE. MANUEL INSTALLATEUR Version 3.4 GPS+GSM+SMS/GPRS

BALISE GPS. Modèle EOLE. MANUEL INSTALLATEUR Version 3.4 GPS+GSM+SMS/GPRS BALISE GPS GPS+GSM+SMS/GPRS Modèle EOLE MANUEL INSTALLATEUR Version 3.4 Vous venez de faire l acquisition de notre balise EOLE et nous vous remercions de votre confiance. EOLE est une balise utilisant

Plus en détail

SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance

SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance Olivier Hagolle Mercredi 6 février 2012 Sentinel-2 : révolution du suivi de la végétation par télédétection 13 bandes spectrales, résolution 10m à 20m,

Plus en détail

The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE

The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits

Plus en détail

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen

Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Présentation Avantages de la combinaison pompe à chaleur et chaleur solaire

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

ETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES

ETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES ETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES Julien Schaguene, Olivier Bertrand, Eric David Sogreah Consultants

Plus en détail

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE Maîtrise d ambiance et Qualité de l air SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE PERTURBATION À L ÉTAT STATIQUE OU DYNAMIQUE Alina SANTA CRUZ École d Ingénieurs de Cherbourg LUSAC «Équipe

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Compte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy

Compte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est

Plus en détail

Sommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22

Sommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22 Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

Claire NOEL Directeur Scientifique

Claire NOEL Directeur Scientifique Bureau d é études en océanographie acoustique SEMANTIC TS Sanary (Var) Claire NOEL Directeur Scientifique Docteur Ingénieur Opérateur sonar Capitaine 200 Plongeur PRO - Modélisation - Traitement du signal

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

Le projet DRIAS : premières études et documents

Le projet DRIAS : premières études et documents Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services

Plus en détail

Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique

Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique

Plus en détail

Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire

Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire Rapport Septembre 2007 Sommaire Chapitre 1 : Présentation de l outil «Base de donnée» du Pays Marennes Oléron.. p.5 1. Définition et principe...

Plus en détail

Projet évaluation : précipitation et

Projet évaluation : précipitation et Projet évaluation : précipitation et nuages du Global-Meso Groupe Global-Meso Meso: Stéphane Bélair,, Michel Roch,, Anne- Marie Leduc, Paul Vaillancourt Objectifs du projet d évaluation Développer des

Plus en détail

MODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN

MODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN MODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.262.5010 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER LA PUISSANCE

Plus en détail

FIELD ACCEPTANCE TEST PROCEDURE OF 40 VAISALA PRESENT WEATHER PWD22 SENSORS AND USE OF A THIES SPECTRO-RAIN GAUGE.

FIELD ACCEPTANCE TEST PROCEDURE OF 40 VAISALA PRESENT WEATHER PWD22 SENSORS AND USE OF A THIES SPECTRO-RAIN GAUGE. FIELD ACCEPTANCE TEST PROCEDURE OF 4 VAISALA PRESENT WEATHER PWD22 SENSORS AND USE OF A THIES SPECTRO-RAIN GAUGE. Fabrice Zanghi Météo-France, DSO/DOS/CAT, 7 Rue Teisserenc de Bort 7819 Trappes, France

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

ARGO-FRANCE 14/05/2009. Les procédures QC sur les flotteurs Argo

ARGO-FRANCE 14/05/2009. Les procédures QC sur les flotteurs Argo Les procédures QC sur les flotteurs Argo http://www.coriolis.eu.org codac@ifremer.fr 1 Flux des données Argo du temps réel au temps différé Déploiement du flotteur CORIOLIS Feuille de mise à l eau du flotteur

Plus en détail

Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre

Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre 1 Démarche générale Avec Gambit Création d une géométrie Maillage Définition des conditions aux limites Avec Fluent 3D Choix des équations

Plus en détail

MODULE 2.7A NÉPHANALYSE. Introduction et techniques

MODULE 2.7A NÉPHANALYSE. Introduction et techniques MODULE 2.7A NÉPHANALYSE Introduction et techniques 1 INTRODUCTION Une néphanalyse est l une des analyses les plus détaillées que fait régulièrement un météorologiste opérationnel. Elle consiste en une

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

Tout savoir sur Mr.Goodfish

Tout savoir sur Mr.Goodfish Tout savoir sur Mr.Goodfish 1 BIENVENUE DANS LE PROGRAMME MR.GOODFISH Par votre adhésion au programme Mr.Goodfish, vous faites un geste important pour une consommation durable des produits de la Mer. Soyez

Plus en détail

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière

L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec

Plus en détail

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

Les domaines. d intérêt pour. Directeur Scientifique d EDF R&D

Les domaines. d intérêt pour. Directeur Scientifique d EDF R&D Les domaines scientifiques d intérêt pour EDF Stéphane ANDRIEUX Directeur Scientifique d EDF R&D Plutôt une promenade entre Sciences et Applications à EDF Sciences Physiques et Chimiques Sciences de l'information

Plus en détail

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo

Plus en détail

Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1

Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1 Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1 Parc Naturel Marin d Iroise MERiFIC L étude du bruit des énergies marines renouvelables et impacts sur l environnement. L utilisation de l acoustique

Plus en détail

Comptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces

Comptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces ATELIER INFRAREGIONAL POUR LA REGION DE L AFRIQUE DE L OUEST SUBSAHARIENNE SUR L ÉVALUATION ET LES MESURES INCITATIVES Ouagadougou, Burkina Faso, 14 17 Mai 2013 COMPTABILITÉ DE L ENVIRONNEMENT ET DES ÉCOSYSTÈMES

Plus en détail

MODÈLE C Électronique

MODÈLE C Électronique MODÈLE C Électronique MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.880.5012 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

FAG Detector II le collecteur et l analyseur de données portatif. Information Technique Produit

FAG Detector II le collecteur et l analyseur de données portatif. Information Technique Produit FAG II le collecteur et l analyseur de données portatif Information Technique Produit Application La maintenance conditionnelle Principe de fonctionnement Application Le FAG II est, à la fois, un appareil

Plus en détail

IV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14

IV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14 Table des matières Rapport de l étude «Evaluation des changements climatiques futurs au niveau des zones oasiennes marocaines»... 1 élaborée pour le projet... 1 «Adaptation aux changements climatiques

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Confort, qualité d air et performance énergétique

Confort, qualité d air et performance énergétique Centrales double flux à récupération d énergie : Confort, qualité d air et performance énergétique VMC DOUBLE FLUX pour applications tertiaires BUREAUX LOCAUX D ENSEIGNEMENT COMMERCES HÔTELS LOCAUX D HÉBERGEMENT

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail