Contrôle de la qualité des eaux d alimentation. Etat des lieux en Lorraine. Journée Santé-Environnement 27 Mai Lorraine
|
|
- Nicolas Lapierre
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lorraine Direction de la Santé Publique Service Régional Santé Environnement Philippe VANNIER Contrôle de la qualité des eaux d alimentation Etat des lieux en Lorraine Journée Santé-Environnement 27 Mai 2014
2 Le contrôle sanitaire de l eau potable en Lorraine 961 collectivités (mairies, syndicats) assurant la gestion de 1252 réseaux d eau 2323 captages d eau potable prélèvements d eau réalisés en 2013 sur la région environ résultats d analyse pour l année 2013 (valeurs paramétriques) 12 agents ARS répartis sur la région et assurant quotidiennement ce contrôle 2
3 Pré-requis : la protection des captages d eau La mise en place de périmètres de protection autour des captages est l outil privilégié pour prévenir et diminuer toute cause de pollution ponctuelle ou accidentelle susceptible d altérer la qualité des eaux Elle constitue par ailleurs une obligation réglementaire de santé publique Pour chaque point d eau, des prescriptions, rendues opposables par une déclaration d'utilité publique (DUP), interdisent ou réglementent les activités qui pourraient nuire à la qualité des eaux captées. 3
4 La protection des captages d eau potable BILAN % des captages de Lorraine sont protégés = disposent d'un arrêté de Déclaration d'utilité Publique (DUP) instituant les périmètres Captages non protégés Captages protégés par DUP 4
5 Le suivi sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine Suivi sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine = contrôle sanitaire (ARS) + surveillance (Exploitants) La surveillance s appuie idéalement sur une démarche d analyse de dangers Le contrôle sanitaire est réalisé suivant un cadre règlementaire précis (Code de la santé publique) fixant lieux, fréquences, et paramètres (mais pas la liste des pesticides à rechercher) 5
6 Le programme de contrôle L ARS établit le programme de contrôle de la qualité de l eau en fonction de la quantité d eau produite et/ou du nombre d abonnés desservis. Il comprend des analyses de routine et des analyses complètes réalisées aux trois points principaux d un réseau d adduction/distribution : au niveau de la ressource en eau (eau brute au captage), - au point de mise en distribution (eau produite en sortie de station de traitement), - au robinet du consommateur (eau distribuée)
7 La réalisation du contrôle sanitaire Les prélèvements et analyses sont réalisés par un laboratoire agréé retenu dans le cadre d un marché public Pour chaque paramètre et à chaque analyse, le respect de l exigence de qualité est vérifié par l ARS = valeurs seuils (maxima ou minima) fixées en fonction des connaissances scientifiques et médicales disponibles et classées en 2 groupes : - des limites de qualité : paramètres dont la présence dans l eau induit des risques immédiats ou à plus ou moins long terme pour la santé du consommateur. Ex : paramètres bactériologiques, nitrates, métaux, solvants chlorés, hydrocarbures aromatiques, pesticides, etc. - des références de qualité : paramètres qui n ont pas d incidence directe sur la santé mais qui peuvent mettre en évidence un dysfonctionnement des installations de traitement ou être à l origine de désagrément pour le consommateur. Ex : ph, conductivité, fer, manganèse, etc. 7
8 Le rôle de l ARS L ARS envoie les résultats d analyses aux exploitants dès leur transmission par le laboratoire, en leur indiquant l'interprétation sanitaire de ces résultats et les éventuelles mesures à prendre lors de dépassement des exigences de qualité Elle établit en concertation avec l exploitant les mesures correctives à mettre en œuvre et définit les messages d information à destination des consommateurs si nécessaire Lorsqu une exigence de qualité n est pas respectée, des restrictions d usage de l eau peuvent être communiquées aux consommateurs en cas de risque sanitaire Nombre de restrictions de consommation de l eau préconisées par l ARS et mises en œuvre par les collectivités en 2013 : - 99 restrictions préconisées en 2013 principalement en raison de contaminations bactériologiques 8
9 La qualité de l eau distribuée en Lorraine : Bactériologie Pesticides Nitrates Agressivité Polluants émergents 9
10 La qualité bactériologique des eaux distribuées BILAN La présence de germes dans l eau peut entraîner des pathologies plus ou moins bénignes, sauf pour les populations fragilisées, comme des troubles gastrointestinaux (diarrhées vomissements) Exigence de qualité = absence de microorganismes 10
11 La qualité bactériologique des eaux distribuées En nombre de réseaux d eau En population QUALITE SATISFAISANTE NC <= 5 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 5% < NC <= 10 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 10% < NC <= 30 % MAUVAISE QUALITE NC > 30 % QUALITE SATISFAISANTE NC <= 5 % EPISODIQUEMEN T CONTAMINEE 5% < NC <= 10 % EPISODIQUEMEN T CONTAMINEE 10% < NC <= 30 % MAUVAISE QUALITE NC > 30 % Nombre total de réseaux d eau = 1261 réseaux Population totale = lorrains Hghfh 11
12 Les pesticides dans les eaux distribuées La toxicité des pesticides est démontrée à forte dose : troubles nerveux, digestifs, cardiovasculaires, musculaires. S agissant de l exposition à faible dose et à long terme, la connaissance des effets est encore aujourd hui incomplète. Certains pesticides sont toutefois suspectés d être cancérigènes voire mutagènes. Limites de qualité = 0,1 µg/l pour chaque pesticide et 0,5 µg/l par litre pour le total des substances recherchées gdf 12
13 La qualité des eaux distribuées en pesticides en 2012 En nombre de réseaux d eau (=UDI) 14; 1% UDI pas d'analyses 8; 1% 0; 0% disponibles en ; 23% UDI conformes En population ; 1% 0; 0% POP pas d'analyses ; 3% disponibles en 7 103; 0% 2012 POP conforme 952; 75% UDI non conformes (- de 30 jours sans restriction) UDI non conformes (+ de 30 jours sans restriction) UDI non conformes (avec restriction) ; 96% POP non conforme (- de 30 jours sans restriction) POP non conforme (+ de 30 jours sans restriction) 974 réseaux d eau avec données disponibles sur 1262 réseaux au total sur la région, soit 77 % des réseaux d eau 2,27 M d habitants avec données disponibles sur 2,33 M d habitants au total sur la région, soit 97,5 % de la population 13
14 Les nitrates dans les eaux distribuées Chez les nourrissons, les nitrates transformés par le corps humain en nitrites peuvent altérer le transport de l oxygène dans le sang et causer une cyanose (risque chez le nourrisson et la femme enceinte) Limite de qualité = 50 mg/l 14
15 La qualité des eaux distribuées en nitrates en ; 9% En nombre de réseaux (=UDI) 4; 0% 19; 2% 15; 1% UDI sans d'analyses disponibles en ; 1% ; 5% En population 579; 0% ; 0% POP sans analyses disponibles en 2012 POP conforme <= 25 mg/l 1 108; 88% UDI conformes <= 25 mg/l UDI conformes ] 25 mg/l 40 mg/l ] UDI conformes ] 40 mg/l 50 mg/l ] UDI non conformes (avec restriction) > 50 mg/l ; 94% POP conforme ] 25 mg/l 40 mg/l ] POP conforme ] 40 mg/l 50 mg/l ] POP non conformes (avec restriction) > 50 mg/l 15
16 L agressivité des eaux distribuées Les eaux dites «agressives» sont des eaux faiblement minéralisées des massifs anciens (massif vosgien). Ce caractère agressif entraîne la corrosion des canalisations et la dissolution de substances telles que le plomb. Le saturnisme se manifeste principalement chez les jeunes enfants par des atteintes du système nerveux (troubles comportementaux, déficience intellectuelle). 16
17 Substances émergentes dans les eaux distribuées Campagnes de mesures nationales exploratoires (DGS / ANSES) - Résidus de médicaments dans les eaux (2009 / 2011) - Composés perfluorés (2009 / 2011) - Sous-produits de désinfection (nitrosamines, HAA, HAN), alkylphénols, CVM, perchlorates (2011 / 2012) - Chrome hexavalent, phtalates (2013 / 2014) Campagnes de mesures locales (ARS Lorraine) - Perchlorates (2013 / 2014) Adaptation du contrôle sanitaire (ARS Lorraine) - CVM (2014 / 2015) 17
18 Où trouver les informations sur la qualité des eaux distribuées Affichage en mairie des bulletins d analyses papier Bilan qualité joint à la facture d eau de chaque abonné En ligne sur le site internet de l ARS Lorraine : Bilans annuels par commune Résultats d analyses «en direct» Rubrique Votre santé > Votre Environnement > Eau > Eaux de consommation 18
19 19
20 20
21 Merci de votre attention 21
22 Diapositives complémentaires utiles 22
23 La qualité bactériologique des eaux distribuées POPULATION DEP QUALITE SATISFAISANTE NC <= 5 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 5% < NC <= 10 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 10% < NC <= 30 % MAUVAISE QUALITE NC > 30 % POPULATION DEP QUALITE SATISFAISANTE NC <= 5 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 5% < NC <= 10 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 10% < NC <= 30 % MAUVAISE QUALITE NC > 30 % Hghfh POPULATION DEP QUALITE SATISFAISANTE NC <= 5 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 5% < NC <= 10 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 10% < NC <= 30 % MAUVAISE QUALITE NC > 30 % POPULATION DEP QUALITE SATISFAISANTE NC <= 5 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 5% < NC <= 10 % EPISODIQUEMENT CONTAMINEE 10% < NC <= 30 % MAUVAISE QUALITE NC > 30 % 23
24 La qualité des eaux distribuées en pesticides 4 situations peuvent se présenter : C (conforme) = absence de pesticides ou présence <= à la limite de qualité NC0 = 1 ou plusieurs pesticides avec concentration > limite de qualité sur une période n excédent pas 30 jours (mais < Vmax). NC1 = 1 ou plusieurs pesticides avec concentration > limite de qualité sur une période de plus de 30 jours (mais < Vmax) NC2 = 1 ou plusieurs pesticides avec concentration > Vmax ou présence simultanée de plusieurs pesticides avec somme [Ci/(Vmax)i] > 1 Eau présentant des risques sanitaires, ne doit pas être utilisée pour la boisson et la préparation des aliments 24
25 Substances émergentes dans les eaux distribuées Les perchlorates en Lorraine 2012 : 16 captages prélevés (4/départements) lors d une campagne nationale exploratoire => pas de contaminations constatées Été 2013 : 36 UDI prélevées dont 28 en Meuse sur sites historique première guerre mondiale 1 UDI avec teneur > 15 µg/l 1 UDI avec teneur comprise entre 4 et 15 µg/l 21 UDI avec présence de traces < 4 µg/l 13 UDI sans présence détectée de perchlorates Automne 2013 / Printemps 2014 => 446 UDI prélevées sur l ensemble de la ligne de front 1916 => résultats en cours de finalisation 25
1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailJournée «Eau et Assainissement
Journée «Eau et Assainissement Enjeux et qualité de l eau sur le territoire du SAGE ATG Véronique GONZALEZ 23/01/2014 2 Agence Régionale de Santé Bretagne Origine des ARS : créées par l article 118 de
Plus en détailDélégation du Service Public de l Eau Potable
DEPARTEMENT DU RHONE Délégation du Service Public de l Eau Potable Dossier de Consultation des Entreprises Pièce n 2 Mémoire Explicatif 1 PRESENTATION DU SERVICE 1.1 Les ressources 1.1.1 Origine de l eau
Plus en détailL eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires
L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE
Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL Prix Qualité Transparence 2010 1 Le présent rapport a pour objet de Présenter les différents éléments techniques et financiers relatif au prix et à la qualité
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailLE GRAND VIZIR, A ARRETE :
Arrêté viziriel du 3 février 1953 (18 joumada I 1372) pris pour l application du dahir du 20 mars 1951 (12 joumada Il 1370) portant réglementation de l exploitation et de la vente des eaux minérales naturelles
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailCaractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire
Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailIndividualisation de votre contrat de fourniture d eau
GUIDE PRATIQUE Individualisation de votre contrat de fourniture d eau Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser une demande d individualisation SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z Service de l Eau Potable Année 2013 Elaboré
Plus en détailRISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE
RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailDénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :
1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailPIÈCE B - DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION DE DISTRIBUTION ET DE TRAITEMENT DES EAUX ETABLI AU TITRE DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE
DEPARTEMENT DU LOT-ET-GARONNE MAITRE D OUVRAGE SYNDICAT DES EAUX DE LA LEMANCE LIEU DE LA MISE EN CONFORMITE «LENCLIO» - COMMUNE DE MAUROUX - 46 MISE EN CONFORMITE DE LA SOURCE DE LENCLIO PIÈCE B - DOSSIER
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détail2.1 Tarifs... 6 2.2 Délibérations... 7 2.3 Facture d eau type pour une consommation de 120 m³... 7 2.4 Recettes d exploitation...
Exercice 2012 Rapport annuel sur le Prix et la Qualité du Service Public de l Eau potable Eau du robinet : source de minéraux Des contrôles pour une eau sûre L exigence de qualité Syndicat des Eaux de
Plus en détailPREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale.
1 PREAMBULE Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. Les élus souhaitent disposer d'une analyse exacte de la situation actuelle,
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailVILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES
VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES
Plus en détailCentre d expertise en analyse environnementale du Québec GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT
Centre d expertise en analyse environnementale du Québec Programme d accréditation des laboratoires d analyse GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT Nom du laboratoire : N o du laboratoire : Date de
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2013. sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD
RAPPORT ANNUEL 201 sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD Syndicat des Eaux de Strasbourg- Nord Syndicat des Eaux et de l
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détail- - - - - - - - - - - - - - - o o o o - - - - - - - - - P (mm) 140 120 100 80 60 40 20 0 Janvier Février Diagramme ombrothermique sur la vallée de la Bresle Mars Avril Mai Juin Hauteur moyenne des
Plus en détailQuantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY.
Quantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY. Présentation M. BEAU Pierre-Alexis, 20 ans, En 2 ème année de BTSA GEMEAU, Gestion Et Maitrise de l Eau à l ENIL
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailLes systèmes d alimentation en eau potable
Eau et Santé Guide technique HO Les systèmes d alimentation en eau potable Évaluer leur vulnérabilité Les systèmes d alimentation en eau potable Évaluer leur vulnérabilité Mars 007 Préface Le maintien
Plus en détailCONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR
Plus en détailLa qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation
La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires Guide d application de la réglementation Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement Direction
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailLe plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires?
Le plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires? Septembre 2011 Ministère de l Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement MEDDTL_PLOMB_12pages.indd 1 29/07/11
Plus en détailFiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait!
Fiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait! Eco E Team Sommaire Remplacer l achat de bouteilles d eau par le placement de fontaines à eau ou par la consommation directe de l eau du robinet, c
Plus en détailEN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL
EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailDEPARTEMENT DE L HERAULT COMMUNE DE PUECHABON SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE
DEPARTEMENT DE L HERAULT 1/46 COMMUNE DE PUECHABON SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE Rapport final Bureau d études Méditerranéen pour l Eau et l Assainissement Mas Caussignac 1140, Avenue
Plus en détailRAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN
" PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL
Plus en détailRégion du lac de Gras
E. Davey and W. Puznicki le 3 août 1997 Division de la gestion des eaux Affaires indiennes et du Nord canadien, Yellowknife (T. N.-O.) Résumé Dans ce rapport, on présente les résultats d'une étude sur
Plus en détailDépartement DU LOT (46)
Département DU LOT (46) MAIRIE DE FIGEAC RECONSTRUCTION DE LA STATION D EAU POTABLE DE PRENTEGARDE DOSSIER DE DEMANDE DE DECLARATION D UTILITE PUBLIQUE AU TITRE DU CODE LA SANTE PUBLIQUE MISE EN PLACE
Plus en détailTout le monde est potentiellement
DOCUMENT DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ Détection des cancers d origine professionnelle: quelques clés pour agir CANCERS PROFESSIONNELS Cette année, vous avez vu 10 nouveaux patients atteints de cancer
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailRéunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau
Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements
Plus en détailSommaire INTRODUCTION...4 L eau potable...5 UNE COMPETENCE COMMUNALE... 5 Etat du droit antérieur à la loi n 2006-1772 du 30 décembre 2006...
Les services publics d eau et d assainissement Sommaire INTRODUCTION...4 L eau potable...5 UNE COMPETENCE COMMUNALE... 5 Etat du droit antérieur à la loi n 2006-1772 du 30 décembre 2006... 5 Modifications
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailPARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER
ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. Obligations des propriétaires. Dispositions générales
REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Les cases grisées de commentaires sont à supprimer avant toute diffusion Le règlement du service, délibéré et voté par l'assemblée délibérante dans
Plus en détailrapport annuel 2011 : Baisse du prix de l eau potable Cœur de métier relation aux usagers et abonnés gouvernance et gestion
rapport annuel 2011 Cœur de métier relation aux usagers et abonnés gouvernance et gestion 2011 : Baisse du prix de l eau potable Sommaire Éditorial De la source au robinet Eau de Paris en chiffres Une
Plus en détailPrésentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com
1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailDIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR
COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailCRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation?
CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? Sommaire page 2 > A { Qu est ce qu une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE)?
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie
Plus en détailSyndicat Mixte Oise-Aronde
Syndicat Mixte Oise-Aronde Compte-rendu du Syndicat Mixte Oise-Aronde (SMOA) du 13 décembre 2012 L ordre du jour est le suivant : Approbation du compte rendu de la séance précédente 1. Modélisation de
Plus en détailinspection, nettoyage et désinfection
Réservoirs et canalisations d eau destinée à la consommation humaine : inspection, nettoyage et désinfection GUIDE TECHNIQUE Ce guide a été réalisé à l initiative du ministère chargé de la santé MINISTÈRE
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable
GUIDE PRATIQUE Branchement d eau potable Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser un branchement d eau potable SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel Qui sont vos interlocuteurs
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailL autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?
L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. ❶ Dispositions générales
REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Le règlement du service définit les obligations mutuelles entre le service public de l'assainissement non collectif (SPANC) et ses usagers qui sont
Plus en détailLes guides pratiques de l eau. Votre branchement d eau potable
Les guides pratiques de l eau Votre branchement d eau potable Vous allez faire construire votre maison et vous souhaitez la mise en service de l eau Pour que l eau arrive jusqu à votre robinet, les équipes
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détail2013 RAPPORT ANNUEL DU DELEGATAIRE. Syndicat de Production des Eaux du Nord-Ouest-Isère
2013 RAPPORT ANNUEL DU DELEGATAIRE Syndicat de Production des Eaux du Nord-Ouest-Isère «Une année de performance et de gestion durable de votre service public de l eau» Conforme au décret 2005-236 du 14
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2013. sur le prix et la qualité du service public d eau potable COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DE LA RÉGION DE MOLSHEIM-MUTZIG
RAPPORT ANNUEL 201 sur le prix et la qualité du service public d eau potable COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DE LA RÉGION DE MOLSHEIM-MUTZIG Communauté de Communes de La Région de Molsheim-Mutzig Syndicat des Eaux
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailUtilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
département Aménagement et Développement Durables Réseau Scientifique et Technique Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
Plus en détailRESULTATS D'ANALYSES DE FEVRIER,MARS, AVRIL, MAI 2014 - NZEREKORE
RESULTATS D'ANALYSES DE FEVRIER,MARS, AVRIL, MAI 2014 - NZEREKORE Sample Collection Institution Name of person conducting testing Lab Sample ID collection (d/m/y) (d/m/y) Town/ Scheme Sub-District (if
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailREACH : Actualités et Perspectives
: Actualités et Perspectives Sylvie Drugeon DGPR,SPNQE 5 avril 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr = Règlement n 1907/2006
Plus en détailMot indicateur (SGH-E.U.) Mentions de danger (SGH-E.U.) Conseils de prudence (SGH-E.U.)
Solution de nitrate d ammonium et d urée_28 %, 30 %, 32 % N (NAU) Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 01/01/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1.
Plus en détailInterreg III Acheter malin, c est jeter moins! Atelier transfrontalier n 2 L eau du robinet. Rapport de la journée
Interreg III Acheter malin, c est jeter moins! Atelier transfrontalier n 2 L eau du robinet 13 mai 2003, Le Panoramique (Tournai) Rapport de la journée 1. Discours d'accueil Gonzague Delbar, Directeur
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailExemples de clauses et outils
Exemples de clauses et outils Des critères au cahier des charges Léa CHAMPON Chargée de mission écoconso Choix d un matériau de finition Essai de classement des priorités Caractéristiques techniques du
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailPour tester vos connaissances, répondez correctement aux questions suivantes. Bonne chance!
NOM durée contexte contenu objectif cibles: QUIZZ 5 à 15 minutes formation / mise à disposition des artisans de passage à la CMAR / entreprise 8 quizz thématiques tester la connaissance des participants
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailGuide de prise en main
Logiciel BEA 4.0 Guide de prise en main Direction régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement BRETAGNE www.bretagne.developpement-durable.gouv.fr BEA 4.0 Guide de prise en main Sommaire
Plus en détail