LA PATHOLOGIE OVARIENNE HORMONO-SÉCRÉTANTE: CHERCHEZ LE LIEN
|
|
- Rodolphe Maxence Lapierre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Hopital Tenon, Paris LA PATHOLOGIE OVARIENNE HORMONO-SÉCRÉTANTE: CHERCHEZ LE LIEN S. Dechoux, N. Chabbert-Buffet, A. Cortez, I. Thomassin-Naggara, E. Daraï, M. Bazot
2 Objectifs Connaître la physiologie de la stéroïdogénèse, et les signes d appel cliniques d une dysfonction secrétoire Connaître et reconnaître les tumeurs et pseudotumeurs produisant des androgènes, des oestrogènes, ou des hormones non stéroïdiennes. Enjeux: -Savoir quelles données clinico-biologiques rechercher pour aider au diagnostic d une masse ovarienne. -Savoir éliminer une pseudo-tumeur. -Rechercher une lésion endométriale associée aux tumeurs oestrogéno-sécrétantes
3 Pré-requis: quelques notions sur les tumeurs ovariennes Ovaire= 3 structures anatomiques: Epithélium de surface Stroma tissu fibreux dense = structure interne contient des cellules thécales et de la granulosa dérivées des cordons sexuels, Cellules germinales (ovocytes) à la périphérie du stroma
4 Pré-requis: quelques notions sur les tumeurs ovariennes
5 La quasi-totalité des tumeurs dont nous allons parler appartient au groupe des tumeurs du mésenchyme et des cordons sexuels, qui représentent 8% des tumeurs de l ovaire.
6 Stéroides et stéroidogénèse Androgènes (testostérone) synthétisés à partir du cholestérol: sécretion directe ou transformation périphérique de l androstenedione Préménopause: surrénale et ovaire Post-ménopause: surrénale Oestrogènes formés par aromatisation périphérique des androgènes: Préménopause: ovaire Post-ménopause: tissu adipeux.
7
8 LH Production de stéroides FSH Post-ménopause++ ACTH HT-HP Cellules thécales Cellules de la granulosa (aromatisation) androgènes surrénale androgènes oestrogènes LH-FSH
9 Vue d ensemble hyperandrogénie hyperoestrogénie Autre Pseudo-tumeurs: SOPK, hyperthécose Tumeur de Sertoli-Leydig Tumeurs à cellules stéroides Tumeur de la granulosa Thécome HCG Choriocarcinome Hyperreactioluteinalis H thyroidiennes Struma ovarii
10 1. HYPERANDROGÉNIE
11 Hyperandrogénie Syndrome virilisant Eliminer la prise de dérivés cortisolés troubles du cycle en période d activité génitale, signes de déféminisation (diminution du volume des seins, perte du contour féminin de la silhouette, alopécie des lobes frontopariétaux) signes de masculinisation (hirsutisme, raucité de la voix, hypertrophie clitoridienne, hyperséborrhée). Chez la femme ménopausée s accompagne souvent de métrorragies par hyperplasie glandulokystique de l endomètre sous l effet de l inflation en oestrogènes, par aromatisation périphérique des androgènes Dosages hormonaux: Testérone plasmatique> à 2 ng/ml + signes de virilisation intenses: suspicion de tumeur androgéno-sécretante
12 Testostérone plasmatique +/- 4, 17OH-P après synacthène Normal 17 OH-P >10ng/ml Androgènes modérement élevés (T<1,2ng/ml) Androgènes très élevés (T>1,2 ng/ml) +/- LH +/- écho ovarienne typique Bilan non concluant Imagerie ovarienne anormale SDHEA Scanner surrénalien anormal Cathéterisme veineux Hirsutisme idiopathique Déficit partiel en 21- OHase SOPK Tumeur ovarienne D après C. Deneux, Rev. Prat. GO 2000 Tumeur surrénalienne
13 1.a: pseudo-tumeurs: SOPK Tryptique diagnostic Clinique: troubles du cycle, hyperandrogénie, surcharge pondérale Biologique: élevation LH, androstenedione, testostérone Imagerie: Echographie+++ Conférence de consensus, Rotterdam 2003
14 SOPK Echographie: Augmentation taille: Surface>6cm² Volume >8cm 3 Augmentation nombre de follicules Plus de 12 follicules/ovaire mesurant entre 2 et 9mm Distribution folliculaire à prédominance périphérique Hypertrophie et hyperéchogénicité du stroma Echographie normale n élimine pas le diagnostic si les autres critères sont présents Rôle de l IRM: Peu de place dans le diagnostic du SOPK Échographie impossible (obesité ou virginité) Éliminer tumeur androgéno-sécrétante
15
16 1.a: Pseudo-tumeurs: Hyperthécose Post-ménopause Testostérone souvent >2ng/dl Insulino-résistance associée fréquente Virilisation inconstante Augmentation bilatérale de la taille des ovaires Echographie: augmentation de taille par rapport au status ménopausique, ronds, stroma hypoéchogène IRM: Augmentation de taille, sans masse, sans hypervascularisation. Diagnostics differentiels: Fibromatose ovarienne Métastases bilatérales Tumeurs androgéno-sécrétantes bilatérales (Sertoli-Leydig). L imagerie permet d éviter la cathéterisation veineuse sélective des ovaires sur laquelle reposait le diagnostic L ovariectomie fait régresser la virilisation Rousset, USOG 2008
17 Pr JN Buy
18 Ovaires trop volumineux pour l âge, sans masse décelable Femme de 65 ans Obésité, virilisation
19 Diagnostic différentiel: Fibromatose Ovarienne Femme jeune Unilatéral (80%) Virilisation possible (rare) Bazot AJR 2003
20 1.b: tumeurs de Sertoli-Leydig Quelques chiffres: ¾ des patientes ont moins de 30 ans 30% sont virilisantes Bilatéralité rare: 1,5% Taille: 5-15cm En majorité bénignes, mais 20% récidivent ou produisent des métastases Imagerie: Le plus souvent solide ou mixte solide-kystique Signal T2: variable Shanboghe Radiographics 2011
21 T2 T1 Injection précoce Injection tardive
22 1.c Tumeurs à cellules stéroides Prédominance péri et post-ménopausique Unilatérale Potentiel malin, donc métastatique Petite taille: non détection fréquente en échographie et au scanner Intérêt du doppler couleur, de l IRM dynamique ou de l angioscanner pour démasquer l hypervascularisation majeure de ces tumeurs Richesse en lipides: parfois aide au diagnostic en IRM Jung AJR 2005
23 Tumeur à cellules de Leydig= tumeur à cellules stéroides. Ménopause Virilisation, hirsutisme (3/4) Taille : 2,4 cm Tumeur centrale unilatérale bénigne Hypervascularisation Pr JN Buy
24 2.HYPEROESTROGÉNIE
25 Hyperoestrogénie Clinique Pseudopuberté précoce Menométroragies Métrorragies post-ménopausiques Imagerie: hyperplasie endométriale/polype/ cancer de l endomètre Dosages biologiques: oestrogènes, Inhibine A (granulosa)
26 2a Tumeur de la granulosa Forme adulte> 95% : période péri et postménopausique Forme juvénile rare: 5%, prépubertaire ou femme jeune 30 ans Oestrogénosécretion: 70% des cas Taille moyenne:12cm Potentiel malin et métastatique, mais 90% découvertes au stade Ia de la class. de Figo= limité à un ovaire: excellent pronostic
27 2a Tumeur de la granulosa Aspect excessivement variable en échographie et en IRM Solide, mixte ou kystique multicloisonnée IRM Composante tissulaire en signal intermédiaire T1: rechercher une composante hémorragique IRM dynamique injectée : courbe de type 2 (ou 3) Signes utérins associés (hypertrophie endomètre, adénomyose)
28 T2 Tumeur de la granulosa «solide» T1 Courbe de type 3 Injection
29 Hypertrophie endométriale Imagerie de diffusion Tumeur de la granulosa «kystique» T2
30 T2 Forme mixte solide et kystique T1 Zones hémorragiques T1 FS Injection
31 2.b Thécome Tumeurs très rares du groupe fibrothécal (fibromes et tumeurs stromales sclerosantes sont plus fréquents, mais non sécrétants), bénigne 80% post-ménopausique 20% associés à un cancer endométrial Généralement unilatéral Thécome luteinisé: femme plus jeune, peut être oestrogéno ou androgéno sécretant Association fréquente avec fibrome: fibro-thécome Caractéristique principale: cellule thécales à riche contenu lipidique. Shanboghe, Radiographics 2011
32 TDM présence de graisse intra cellulaire: densité scanographique proche de 0.faussement interprété comme un kyste en raison de la densité liquidienne, Echographie plus hypo-échogène que le fibrome, de même forme IRM T1: signal intermédiaire Echo+IRM: HYPERTROPHIE ENDOMETRIALE T2 : signal relativement plus élevé que pour les fibromes en raison de la graisse intra cellulaire.
33 Hypertrophie endométriale Rehaussement homogène Hyposignal T2 prédominant T2 injection
34 3. AUTRES
35 3.Tumeurs ovariennes produisant de l HCG Choriocarcinome ovarien tumeurs rares et agressives. Gestationnels>> non gestationnels Le plus souvent métastatiques d un CCG tubaire ou utérin plutôt que résultant d une grossesse ovarienne. Imagerie: Rechercher grossesse intra ou extra utérine Masse avec multiples micro-kystes Hautement vascularisée Hémorragie/nécrose fréquentes Bazot AJR 2004
36 Echographie: masse hypoéchogène de 6 cm ovarienne gauche Angioscanner: multiples vaisseaux arteriels irréguliers Petites plages hémorragiques. (petites flèches) Grosse flèche= corps jaune T1
37 Hyper reactio luteinalis (HL) Augmentation de volume, le plus souvent bilatérale, des ovaires, pouvant aller jusqu à 35 cm3 Peut être détectée à n importe quel trimestre de la grossesse ou en postpartum, le plus souvent lors des 10 jours suivant l accouchement. Associée à une pathologie trophoblastique (môle hydatiforme ou choriocarcinome) dans 10 à 37 % des cas, à des cas d hyperplacentose (grossesses multiples, anasarque foetoplacentaire et grossesses diabétiques) ou peut accompagner une grossesse normale. Clinique: Asymptomatique++ Parfois, symptômes en rapport avec une torsion, une rupture de la masse kystique ou une hémorragie intratumorale. Virilisation maternelle: rapportée dans 14 à 25 % des observations de la littérature.
38 Hyper reactio luteinalis Echographie: 1 ou 2 volumineuses masses annexielles multiloculaires avec une zone échogène centrale. Kystes périphériques de tailles relativement proches (de 1 à 3 cm), avec contenu variable (remaniements hémorragiques intrakystiques). Partie centrale de l ovaire avec importante hypervascularisation en doppler: ne doit pas être prise à tort pour une portion tissulaire. IRM Signal global de type liquidien Hypervascularité de la portion centrale. Ascite fréquente Diagnostic différentiel avec tumeur épithéliale de type mucineuse, voire tumeur mésenchymateuse (granulosa).
39
40 4. Tératomes monodermiques Hyperthyroidie: Goitre ovarien ou struma-ovarii Tératome composé exclusivement ou majoritairement de tissu thyroidien 5% des tératomes 5 e décade Bénigne dans 95% des cas Imagerie: tumeur kystique multicloisonnée, liquides de signaux différents, parfois portions solides hypervasculaires Diagnostic différentiel: tumeur épithéliale mucineuse
41 Acquisition dynamique après injection T2 T1
42 Goitre ovarien: histologie se présente comme un kyste colloïde de la thyroïde.
43 4. Tératomes monodermiques Syndrome Carcinoide: Carcinoide ovarien Associé le plus souvent à un kyste dermoide Prédominance solide Pas de cas référencé en imagerie Carcinoide Strumeux: association carcinoide et goitre ovarien
44 Messages à retenir Hyperandrogénie: Testostérone plasmatique> à 2 ng/ml + signes de virilisation intenses: suspicion de tumeur androgéno-sécretante. Pseudotumeurs (SOPK)>>>Tumeurs Bilatéralité= pseudo-tumeurs (SOPK, thécome) Tumeur de Sertoli-Leydig les plus fréquentes Hyperoestrogénie: Hypertrophie endométriale!! Rechercher cancer Tumeur de la Granulosa les plus fréquentes Tumeurs sécrétant des stéroides: unilatérales de bon pronostic, mais potentiel malin: exérèse chirurgicale
45 Messages à retenir Sertoli-Leydig: Femme jeune, Taille et aspect variable en imagerie Cellules stéroides: Péri-ménopause, Petite taille, Hypervascularisation Granulosa: Forme adulte++, péri-ménopause, Grande taille, Solide ou kystique, Hémorragie fréquente Hypertrophie/ polype/cancer endométrial Dosage Inhibine A Thécome: Femme ménopausée Solide, Signal T2 selon composante fibreuse (fibro-thécome) 20% associés à un cancer de l endomètre
46 Bibliographie Clinical Syndromes Associated with Ovarian Neoplasms: A Comprehensive review, Shanboghe A. Radiographics 2011 Functioning Ovarian Tumors: Direct and Indirect Findings at MR Imaging, Tanaka Radiographics 2004 Ovarian hyperthecosis on grayscale and color Doppler ultrasound, Rousset P Ultrasound Obstet Gynecol 2008 CT and MRI Findings of Sex Cord Stromal Tumor of the Ovary, Jung AJR 2005 CT and MR Imaging of Ovarian Tumors with Emphasis on Differential Diagnosis, Yung S Radiographics 2002 MR findings of ovarian tumors with hormonal activity, with emphasis on tumors other than sex cord-stromal tumors, Tanaka EJR 2002 Imaging of Pure Primary Ovarian Choriocarcinoma, Bazot AJR 2004 Revised 2003 consensus on diagnostic criteria and long-term health risks related to polycystic ovary syndrome (PCOS). Rotterdam ESHRE/ASRM-Sponsored PCOS consensus workshop group Hum Reprod Jan;19(1):41-7.
Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailHyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase
Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE PNDS Cliquez ici LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Cliquez ici GUIDE MÉDECIN
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailContraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux
L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012. Dr Bernadette Pasquini
ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012 Dr Bernadette Pasquini ALOPÉCIE Alopécie - diminution de la densité des cheveux ou des poils, - diffuse ou localisée, - aiguë ou chronique. Effluvium (anagène, télogène,
Plus en détailLe syndrome de Cushing
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailBilans : tableau de conversion des unités
ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailnfocancer Le cancer de l'ovaire www.infocancer.org Une initiative bénévole universitaire
Le cancer de l'ovaire Informations médicales clés Options thérapeutiques et leur suivi Recherche clinique Infos pratiques et carnet d'adresses Démarches à suivre, les administrations Une initiative bénévole
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailCHAPITRE III : LA MENOPAUSE
CHAPITRE III : LA MENOPAUSE I- Définition II- Données démographiques III- Hormonologie de la péri et de la post-ménopause A- La péri-ménopause B- La ménopause C-La post-ménopause IV- La ménopause : savoir
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailÉchographie obstétricale
- Support de Cours (Version PDF) - Échographie obstétricale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/03/11 Université Médicale Virtuelle Francophone 1/38 - Support de Cours
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailBulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,
Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailPrise en charge de la ménopause
N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Endocrinologie. Niveau DCEM1 - Examen National Classant 2006-2007. Pr. F. Duron & Coll.
Université Pierre et Marie Curie Endocrinologie Niveau DCEM1 - Examen National Classant 2006-2007 Pr. F. Duron & Coll. Mise à jour : 15 novembre 2006 2/311 Endocrinologie - Pr. F. Duron & Coll. 2006-2007
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailÉcho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP
Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites Hervé Monpeyssen AHP Hyper Type 1 Hyper Type2 Mécanismes I - «carburant» Iodo-toxique Thyropathie Goitre/TAI/
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailCe qu il faut savoir sur la chute des cheveux.
01/ 2014 Sandoz Pharmaceuticals SA Suurstoffi 14 Case postale 6343 Rotkreuz Tél. 0800 858 885 Fax 0800 858 888 www.generiques.ch Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. Architecture du cheveu 4
Plus en détail