Dédicace Préface Sigles et abréviations Sommaire Introduction... 19

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dédicace... 7. Préface... 9. Sigles et abréviations... 13. Sommaire... 17. Introduction... 19"

Transcription

1 TABLE DES MATIÈRES Dédicace Préface Sigles et abréviations Sommaire Introduction PREMIÈRE PARTIE La mise en place par l OHADA d un droit inadapté au secteur informel TITRE 1. LE DROIT DE L OHADA : UN DROIT D APPLICATION LIMITÉE MATÉRIELLEMENT ET EN PRATIQUE CHAPITRE 1. UN DROIT D APPLICATION LIMITÉE AU SECTEUR FORMEL Section I. En matière de droit commercial général La rénovation du statut de commerçant A. L extension du contenu de la notion de commerçant ) L amplifi cation de la gamme des actes de commerce ) La réglementation du statut des intermédiaires de commerce B. La rénovation du régime du fonds de commerce ) Un bail à usage professionnel protecteur pour le preneur ) La précision de la notion de fonds de commerce Le renforcement du rôle du registre du commerce et du crédit mobilier A. L immatriculation des personnes physiques ou morales commerçantes ) Les commerçants assujettis à l obligation d immatriculation au registre du commerce et du crédit mobilier ) Les effets de l immatriculation des commerçants au registre du commerce et du crédit mobilier B. L inscription des sûretés mobilières ) Les sûretés concernées par l inscription au registre du commerce et du crédit mobilier ) L effi cacité de l inscription des sûretés mobilières Section II. En matière de droit des sociétés commerciales L introduction de nouvelles structures juridiques A. L introduction de structures juridiques sans personnalité morale

2 424 TABLE DES MATIÈRES 1) L introduction de la société en participation ) L introduction de la société de fait B. L introduction de structures juridiques de coopération entre les sociétés ) La généralisation du groupement d intérêt économique ) La généralisation de la société coopérative ) La reconnaissance du groupe de sociétés La consécration de la société unipersonnelle A. La société unipersonnelle : une structure sociale originale B. Les différentes formes de sociétés unipersonnelles ) La société à responsabilité limitée unipersonnelle ) La société anonyme unipersonnelle CHAPITRE 2. UN DROIT D APPLICATION LIMITÉE PAR LA STRUCTURE DES ÉCONOMIES AFRICAINES : LE CAS DU CAMEROUN, EXEMPLE TOPIQUE DE PAYS À ÉCONOMIE INFORMELLE Section I. La place prépondérante du secteur informel dans l économie camerounaise Les dynamiques et faiblesses du secteur informel A. Les conditions d activité dans le secteur informel ) La structure du secteur informel a) Les critères d identifi cation du secteur informel b) Le poids du secteur informel dans l économie ) Les caractéristiques du secteur informel a) La précarité des conditions d activité b) La polarisation sur la création d emplois et l auto- emploi c) La forte réticence à migrer vers le secteur formel ) Les formes commerciales informelles au Cameroun a) Le commerce ambulant i) Le commerçant ambulant de détail ou colportage ii) La vente à la sauvette b) Le commerce fi xe i) Le commerce dit de «buyam- sellam» ii) L exploitation des gargotes B. Les diffi cultés rencontrées par les opérateurs du secteur informel ) Les diffi cultés liées à l exercice de l activité ) Les diffi cultés liées à l existence de l unité de production informelle Comparaison du secteur informel de Yaoundé et Douala avec le secteur informel des principales agglomérations des autres pays membres de l OHADA A. Une homogénéité dans les conditions d activité dans le secteur informel ) L homogénéité dans la structure du secteur informel ) L homogénéité dans les caractéristiques du secteur informel B. Des différences dans la formation des actifs du secteur informel

3 TABLE DES MATIÈRES 425 Section II. Les autorités étatiques camerounaises et le secteur informel La prise en compte du secteur informel dans la législation camerounaise A. L introduction d une procédure d enregistrement simplifi ée pour les opérateurs du secteur informel B. L ineffi cacité de la procédure d enregistrement spécifi que au secteur informel Les enjeux de la formalisation du secteur informel A. Les enjeux pour les opérateurs du secteur informel ) Le bénéfi ce d une protection juridique et sociale a) Le bénéfi ce d une protection juridique b) Le bénéfi ce d une protection sociale ) L accès facilité au crédit bancaire B. Les enjeux pour les autorités étatiques ) La maximisation des recouvrements ) Le développement du secteur privé CONCLUSION DU TITRE I TITRE 2. LES DIFFICULTÉS D APPLICATION DU DROIT DE L OHADA AU SECTEUR INFORMEL CHAPITRE 1. UNE RÉGLEMENTATION CONTRAIGNANTE EN MATIÈRE D ACCÈS AUX ACTIVITÉS COMMERCIALES Section I. Un accès diffi cile au statut de commerçant personne physique Les diffi cultés d application de la notion de commerçant au secteur informel A. Les diffi cultés découlant de l insuffi sance de la notion d acte de commerce B. Les diffi cultés découlant de la procédure d immatriculation des commerçants au registre du commerce et du crédit mobilier ) Une procédure contraignante d immatriculation au registre du commerce et du crédit mobilier ) Les diffi cultés de fonctionnement du registre du commerce et du crédit mobilier en pratique Les diffi cultés d application du statut juridique du commerçant au secteur informel A. Un champ d application du statut du bail à usage professionnel restreint aux professions réglementées ) L extension du champ d application du statut du bail commercial à tous les professionnels ) L exclusion des professions non réglementées du champ d application du statut du bail à usage professionnel B. Une conception restrictive de la notion de clientèle du fonds de commerce. 169

4 426 TABLE DES MATIÈRES Section II. Un accès diffi cile au statut de commerçant personne morale Une procédure générale contraignante en matière de constitution des sociétés A. Une procédure de création des sociétés alourdie par l accomplissement de nombreuses formalités ) L obligation d établir une déclaration de conformité ) Le cumul des formalités imposées par le droit de l OHADA avec les formalités propres au droit camerounais B. Une procédure de création des sociétés alourdie par l obligation d intervention d un notaire ) L obligation d établir les statuts sous forme authentique ) L obligation d établir la déclaration de souscription de versement par acte notarié La rigidité des règles de constitution de la SARL et de la société unipersonnelle A. La rigidité des règles de constitution de la SARL ) L exigence d un capital social minimum ) L obligation de libération immédiate des apports en nature et en numéraire 182 B. La rigidité des règles de constitution de la société unipersonnelle ) Le montant du capital social minimum ) L absence d autonomie de la société unipersonnelle CHAPITRE 2. UNE INSUFFISANTE ATTRACTIVITÉ DES MODES DE RÉSOLUTION DES LITIGES COMMERCIAUX Section I. L arbitrage : un mode alternatif de règlement des confl its inapproprié au secteur informel L arbitrage comme mode alternatif de règlement des confl its approprié au secteur formel A. Les avantages de l arbitrage ) La confi dentialité de la procédure d arbitrage ) La célérité de la procédure d arbitrage ) L effi cacité de l arbitrage B. L arbitrage : une alternative aux lacunes de la justice étatique ) La lenteur de la procédure judiciaire étatique ) La corruption du système judiciaire étatique Les diffi cultés d application de l arbitrage au secteur informel A. Les diffi cultés liées à l organisation de l arbitrage ) L existence de limitations à la liberté des parties ) Le coût de l arbitrage B. Les diffi cultés liées au déroulement de la procédure arbitrale ) Le choix entre l arbitrage institutionnel ou l arbitrage ad hoc ) L arbitrage institutionnel de la Cour Commune de Justice et d Arbitrage Section II. Un droit des procédures collectives inapproprié au secteur informel

5 TABLE DES MATIÈRES L application du droit des procédures collectives aux personnes physiques commerçantes Les diffi cultés d application du droit des procédures collectives aux commerçants du secteur informel CONCLUSION DU TITRE II CONCLUSION DE LA PREMIÈRE PARTIE DEUXIÈME PARTIE À la recherche d un cadre légal approprié au secteur informel TITRE 1. LA MISE EN PLACE D UN CADRE JURIDIQUE SOUPLE POUR LE SECTEUR INFORMEL CHAPITRE 1. L ASSOUPLISSEMENT DES CONDITIONS D ACCÈS AUX ACTIVITÉS COMMERCIALES Section I. L assouplissement des conditions d accès au statut d entrepreneur individuel par l Acte uniforme révisé portant sur le droit commercial général La réforme du statut juridique du commerçant A. L introduction du statut juridique d entreprenant ) Un statut juridique adapté au secteur informel ) Un statut juridique attrayant a) Une dispense d immatriculation b) Des obligations comptables allégées ) Un statut juridique inachevé a) L absence de protection du patrimoine personnel de l entreprenant b) Le choix d un système de protection du patrimoine personnel adapté au statut de l entreprenant i) La fi ducie ii) L entreprise individuelle à responsabilité limitée B. L extension du champ d application des règles relatives au statut juridique du commerçant ) La réforme de la notion d acte de commerce a) L élargissement de la notion d acte de commerce b) La possibilité d élargir davantage le champ de la commercialité par l introduction de la notion d activité économique ) L application des règles régissant le fonds de commerce à l entreprenant a) La reconnaissance du droit au bénéfi ce du bail à usage professionnel. 237 b) La reconnaissance du droit à l exploitation d un fonds de commerce L informatisation du registre du commerce et du crédit mobilier A. La reconnaissance de la dimension électronique dans l organisation et le fonctionnement du registre du commerce et du crédit mobilier ) Les enjeux de l utilisation des procédures électroniques ) L utilisation de la voie électronique pour la transmission des documents.. 240

6 428 TABLE DES MATIÈRES 3) L utilisation de la voie électronique pour la publicité et la diffusion des informations B. La reconnaissance de l écrit et de la signature électroniques dans le cadre de l organisation et du fonctionnement du registre du commerce et du crédit immobilier ) La validité des documents électroniques et de la signature électronique ) L utilisation et la conservation des documents électroniques Section II. L assouplissement des règles de constitution et de fonctionnement des sociétés commerciales La simplifi cation des règles générales de constitution et de fonctionnement des sociétés A. L allègement des formalités de constitution des sociétés ) La simplifi cation de la procédure d immatriculation des sociétés ) La suppression de l obligation d établir les statuts sous forme authentique. 246 B. L allègement des obligations comptables pour les très petites entreprises entrepris par l Acte uniforme portant organisation et harmonisation des comptabilités des entreprises ) L application du «système minimal de trésorerie» aux très petites entreprises ) Un système comptable adapté aux entreprises du secteur informel La simplifi cation des règles de constitution et de fonctionnement des structures sociales appropriées au secteur informel A. La simplifi cation de la procédure de constitution de la société unipersonnelle ) La société unipersonnelle : modèle type de la micro- entreprise du secteur informel ) La société à responsabilité limitée unipersonnelle : une structure sociale à améliorer a) La suppression de l exigence de capital minimum b) La mise en place de statuts types B. La simplifi cation des règles de constitution et de fonctionnement de certaines structures sociales pluripersonnelles ) Les sociétés pluripersonnelles appropriées au secteur informel a) Les assouplissements des règles de fonctionnement de la société à responsabilité limitée et des sociétés de personnes entrepris par l Acte uniforme sur les sociétés commerciales et le groupement d intérêt économique i) La dispense de publicité des comptes annuels ii) La dispense de nomination d un commissaire aux comptes b) L option entre la société à responsabilité limitée et la société en nom collectif i) La société à responsabilité limitée pluripersonnelle : société de capitaux appropriée au secteur informel ii) La société en nom collectif : société de personnes appropriée au secteur informel

7 TABLE DES MATIÈRES 429 2) Les groupements de personnes appropriés au secteur informel a) Le groupement d intérêt économique b) La société coopérative CHAPITRE 2. LA SIMPLIFICATION DES RÈGLES D EXERCICE DES ACTIVITÉS COMMERCIALES Section I. La simplifi cation du droit des sûretés réelles par l Acte uniforme révisé portant organisation des sûretés L enjeu de la simplifi cation du droit des sûretés réelles : le développement du micro- crédit A. Le micro- crédit : outil de fi nancement pour les commerçants du secteur informel ) La notion de micro- crédit ) La fonction socio- économique du micro- crédit B. Le micro- crédit en pratique ) Les techniques de prêt utilisées par les institutions de micro- fi nance ) La préférence des institutions de micro- fi nance pour les sûretés personnelles La réforme du droit des sûretés réelles mobilières A. La redéfi nition des notions de gage et de nantissement B. L allègement du coût des formalités de constitution des sûretés réelles mobilières ) La suppression de la double formalité d enregistrement des sûretés réelles mobilières a) La formalité d enregistrement des sûretés réelles mobilières avant la réforme b) La suppression de la formalité d enregistrement des sûretés réelles mobilières ) La limitation du nombre de sûretés concernées par la formalité préalable d immatriculation du débiteur avant toute constitution d une sûreté réelle mobilière a) L immatriculation préalable du débiteur au registre du commerce et du crédit mobilier avant toute constitution d une sûreté réelle mobilière avant la réforme b) La limitation du champ d application de la formalité d immatriculation préalable du débiteur C. L assouplissement des règles en matière de sûretés réelles mobilières ) La simplifi cation des règles de constitution des sûretés réelles mobilières a) L exigence de la mention des conditions d exigibilité de la créance garantie et de ses intérêts avant la réforme b) La suppression de l obligation de mentionner les conditions d exigibilité de la créance garantie et de ses intérêts ) La simplifi cation des règles régissant l exploitation des biens mis en garantie a) La simplifi cation des règles régissant le gage de droit commun i) L inexistence du gage sans dépossession de droit commun avant la réforme

8 430 TABLE DES MATIÈRES ii) La consécration du gage sans dépossession de droit commun b) La simplifi cation des règles régissant le gage des stocks i) Le gage des stocks : une sûreté appropriée au secteur informel ii) La rigidité des règles antérieures à la réforme iii) L assouplissement des règles par la réforme Section II. L introduction de modes de résolution des litiges commerciaux appropriés au secteur informel L introduction de modes amiables de règlement des confl its adaptés au secteur informel A. La distinction entre l arbitrage et la médiation B. La médiation comme mode de règlement des confl its approprié au secteur informel ) Les avantages de la médiation pour les opérateurs du secteur informel ) La possibilité de recourir à un centre de médiation La redéfi nition des critères d assujettissement des opérateurs du secteur informel au droit des procédures collectives ) Le recours au circuit formel du crédit par le débiteur ) L aptitude de l entreprise à supporter le coût et la complexité des procédures collectives CONCLUSION DU TITRE I TITRE 2. LA MISE EN PLACE D UN CADRE POLITIQUE D APPUI AU SECTEUR INFORMEL CHAPITRE 1. LES POLITIQUES D APPUI AU SECTEUR INFORMEL AU CAMEROUN Section I. Les actions d appui mises en œuvre pour formaliser le secteur informel Les actions appuyées par les structures étatiques A. La création de la sous- direction du secteur informel B. Le «Programme intégré d appui aux acteurs du secteur informel» (PIAASI) Les actions appuyées par les structures de coopération internationale : les projets de formation des entrepreneurs du secteur informel A. Le programme «promotion des initiatives locales» (PIL) B. Le «projet d appui aux artisans du secteur non structuré de la ville de Yaoundé» (PAASSY) C. Le programme «métiers- Cameroun» Section II. Les perspectives d évolution et d actions à mettre en œuvre pour formaliser le secteur informel La création de structures d appui au secteur informel A. La création de centres de formalités des entreprises ) Les centres de formalités de création d entreprises au Cameroun ) Les centres de formalités des entreprises dans les autres pays membres de l OHADA

9 TABLE DES MATIÈRES 431 B. La création de structures professionnelles ) L absence de structuration nationale de la dynamique associative a) Les différentes organisations professionnelles représentatives des commerçants du secteur informel i) L Association nationale des exploitants à la sauvette du Cameroun (ANESCAM) ii) L Association des petits commerçants et des débrouillards du marché central de Yaoundé (APECODEMCY) iii) La Fédération nationale des commerçants du Cameroun iv) L Association des «buyam- sellam» (ASBY) v) La Mutuelle des «buyam- sellam» du Cameroun (MUBASE) vi) L Association des vendeurs de porcs du Cameroun (AVPC) b) La faiblesse de la représentativité à l échelon national des organisations professionnelles existantes ) La structuration nationale des organisations professionnelles œuvrant dans le secteur informel C. La création de structures sociales La formation professionnelle et l information comme facteurs de dynamisation du secteur informel A. De l apprentissage traditionnel à la formation en alternance ) Mettre la formation professionnelle en alternance au cœur du dispositif de formation ) Mettre en place un dispositif de fi nancement et de gestion de la formation 338 B. Les actions d information en direction du secteur informel CHAPITRE 2. QUELLE FISCALITÉ POUR LE SECTEUR INFORMEL? Section I. Pour une refonte du système fi scal camerounais La fi scalité applicable au secteur informel au Cameroun A. La fi scalisation du secteur informel par le biais de l impôt libératoire B. L échec de l impôt libératoire La recherche des facteurs déterminants pour la conception d un régime fi scal effi cace et adapté aux micro- entreprises du secteur informel A. La mise en place d une fi scalité acceptée et appliquée ) La prise en compte des intérêts des contribuables du secteur informel dans les décisions étatiques a) L instauration d un «contrat social fi scal» b) La sensibilisation des contribuables du secteur informel au civisme fi scal 350 i) L information des contribuables du secteur informel ii) La mise en place d un réseau élargi de centres de gestion agréés ) L encouragement des opérateurs du secteur informel au civisme fi scal a) Réduire la charge du civisme fi scal i) L allègement des coûts de mise en conformité fi scale ii) La simplifi cation des procédures d immatriculation fi scale

10 432 TABLE DES MATIÈRES iii) La simplifi cation des procédures de déclaration et de paiement de l impôt b) L institution d un système d aide à la régularisation de la situation fi scale B. La réforme de l administration fi scale ) L informatisation de la gestion de l impôt ) La mise en place d un système de recouvrement de l impôt effi cace ) L encouragement à l effi cience et à l honnêteté du personnel de l administration fi scale Section II. La recherche d un système fi scal adapté aux micro- entreprises du secteur informel La recherche d une fi scalité adaptée à l entreprise individuelle A. Quel impôt forfaitaire pour le secteur informel? ) L élaboration des régimes forfaitaires : les facteurs d ordre général à prendre en considération ) Les impôts forfaitaires en pratique a) Les bases d imposition dans les régimes forfaitaires i) Les systèmes forfaitaires fondés sur le chiffre d affaires ii) Les systèmes forfaitaires fondés sur les fl ux de trésorerie iii) Les systèmes forfaitaires fondés sur des indicateurs b) Le principe de l unicité de l imposition forfaitaire c) Les exonérations temporaires de paiement de l impôt forfaitaire B. Quelles options de réforme de la taxe sur la valeur ajoutée? ) La substitution d une taxe forfaitaire à la TVA ) La réforme du régime de la franchise en base de TVA La recherche d une fi scalité adaptée à l entreprise sociétaire A. L option entre un impôt à taux réduit ou un impôt forfaitaire ) L application d un impôt à taux réduit ) L application d un impôt forfaitaire a) L impôt synthétique sur les facteurs de production b) L impôt forfaitaire sur le chiffre d affaires B. L institution d exonérations fi scales pour les micro- entreprises CONCLUSION DU TITRE II CONCLUSION DE LA DEUXIÈME PARTIE Conclusion générale Postface Liste des tableaux Bibliographie Index alphabétique Table des matières

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL L ENTREPRENEUR INDIVIDUEL À RESPONSABILITÉ LIMITÉE BERCY > LE 27 JANVIER 2010 FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL Quel est l intérêt du dispositif? L EIRL permet la séparation du patrimoine de l entrepreneur,

Plus en détail

Bien choisir son statut : la personnalisation est essentielle. Animé par : Aurélien DEMAURE

Bien choisir son statut : la personnalisation est essentielle. Animé par : Aurélien DEMAURE Bien choisir son statut : la personnalisation est essentielle Animé par : Aurélien DEMAURE Le cadre juridique L entreprise en nom propre L EIRL La société Les critères à retenir Le régime fiscal de l entrepreneur

Plus en détail

EIRL. Introduction. En 2010, les pouvoirs publics instaurent l EIRL avec un double objectif :

EIRL. Introduction. En 2010, les pouvoirs publics instaurent l EIRL avec un double objectif : EIRL Introduction Depuis plus de 30 ans, vos élus se sont battus pour atteindre un objectif : assurer la protection du patrimoine personnel de l entrepreneur individuel en cas de difficultés professionnelles

Plus en détail

Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats

Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats Plan de l intervention 1. Contexte du projet 2. Statut du projet Partie

Plus en détail

GUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE

GUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE GUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE Révision : 1/02/08 Impression : 8/02/08 GUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE I. CHOIX DE LA FORME JURIDIQUE Le Sénégal est, depuis le 18 septembre 1995, membre de l Organisation

Plus en détail

des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl.

des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl. Le nouveau droit OHADA des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com Juin 2011 Sommaire Introduction

Plus en détail

en10 points L entrepreneur individuel à responsabilité limitée

en10 points L entrepreneur individuel à responsabilité limitée L entrepreneur individuel à responsabilité limitée en10 points Frédéric LEFEBVRE, Secrétaire d État chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des

Plus en détail

Comment générer de l épargne au moment du remboursement d un crédit relais immobilier? Client

Comment générer de l épargne au moment du remboursement d un crédit relais immobilier? Client Fiche n Comment générer de l épargne au moment du remboursement d un crédit relais immobilier? Pour un client qui se porte acquéreur d un bien immobilier A (notamment résidence principale / résidence secondaire)

Plus en détail

L auto-entrepreneur. D i r e c t i o n d u c o m m e r c e, d e s p r o f e s s i o n s l i b é r a l e s

L auto-entrepreneur. D i r e c t i o n d u c o m m e r c e, d e s p r o f e s s i o n s l i b é r a l e s L auto-entrepreneur D i r e c t i o n d u c o m m e r c e, d e l a r t i s a n a t, d e s s e r v i c e s e t d e s p r o f e s s i o n s l i b é r a l e s 3-5, rue Barbet de Jouy - 75353 Paris 07 SP T

Plus en détail

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur

Plus en détail

Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014

Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 2 S O M M A I R E PAGES Contexte 3 Rappel des différentes procédures existantes

Plus en détail

MICRO CONFÉRENCE. «l auto-entrepreneur, avantages et inconvénients» Intervenants :

MICRO CONFÉRENCE. «l auto-entrepreneur, avantages et inconvénients» Intervenants : MICRO CONFÉRENCE «l auto-entrepreneur, avantages et inconvénients» Intervenants : DIRECCTE-LR L EFFET DU LOGIS BOUTIQUE DE GESTION ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES MICRO CONFÉRENCE «l auto-entrepreneur, avantages

Plus en détail

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de

Plus en détail

Rappel chronologique. Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014.

Rappel chronologique. Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014. Information Atelier PLH Grand Avignon 7 octobre 2014 Rappel chronologique Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014. Décision du Conseil constitutionnel

Plus en détail

DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015

DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la

Plus en détail

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À L AUTO-ENTREPRENEUR, L EIRL ET LES ARTISANS Salon des entrepreneurs de PARIS 5 février 2015 MESURES RELATIVES À L AUTO- ENTREPRENEUR Pour rappel L auto-entrepreneur est

Plus en détail

1. faciliter la création des sociétés à responsabilité limitée (SARL) :

1. faciliter la création des sociétés à responsabilité limitée (SARL) : Note de présentation du projet de loi modifiant et complétant la loi n 5-96 sur la société en nom collectif, la société en commandite simple, la société en commandite par actions, la société à responsabilité

Plus en détail

L AUTO - ENTREPRENEUR

L AUTO - ENTREPRENEUR L AUTO - ENTREPRENEUR Présenté par le CGAHDF Y. GRANIER et M. VILLERS 15 Avril 2009 Y.GRANIER - M. VILLERS 1 Qui peut le devenir? Tous les Français à titre principal ou accessoire Les salariés, les chômeurs,

Plus en détail

La réforme de l administration fiscale au Cameroun

La réforme de l administration fiscale au Cameroun Conférence sur la mobilisation des recettes fiscales dans les pays en développement Washington, 17-19 avril 2011 La réforme de l administration fiscale au Cameroun Alfred Bagueka ASSOBO Introduction (02)

Plus en détail

- Qu allez-vous faire? - Quelle forme juridique choisir? - Quels coûts allez-vous devoir supporter? - Quelles formalités faut il accomplir?...etc.

- Qu allez-vous faire? - Quelle forme juridique choisir? - Quels coûts allez-vous devoir supporter? - Quelles formalités faut il accomplir?...etc. Vous souhaitez réaliser vos rêves et créer votre propre entreprise dans la Région de Tanger Tétouan. Les questions qui vous viennent naturellement à l esprit sont les suivantes : - Qu allez-vous faire?

Plus en détail

REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC

REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC république démocratique du congo Ministère du Plan et Révolution de la Modernité Agence Nationale pour la Promotion des Investissements ANAPI REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE

Plus en détail

TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES

TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES Réforme globale du Code Général des Impôts Fiche technique thématique Mesures Modalités pratiques Objectif poursuivi 1 Crédit d impôt pour investissement (Impôt

Plus en détail

Les sociétés agricoles

Les sociétés agricoles Les sociétés agricoles L exercice d une activité agricole peut se faire soit dans le cadre d une entreprise individuelle soit dans le cadre d une société. Dans cette dernière situation, la loi prévoit

Plus en détail

REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR

REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR 1 Remarques introductives Statut mis en œuvre par la loi de Modernisation de l Economie du 4 août 2008 Statut en vigueur à compter du 1er janvier 2009 Site internet : http://www.auto-entrepreneur.cci.fr/

Plus en détail

LA PROTECTION DU PATRIMOINE DU CHEF D ENTREPRISE. Les petits déjeuners de l entreprise 17 11 09

LA PROTECTION DU PATRIMOINE DU CHEF D ENTREPRISE. Les petits déjeuners de l entreprise 17 11 09 LA PROTECTION DU PATRIMOINE DU CHEF D ENTREPRISE Les petits déjeuners de l entreprise 17 11 09 Avec la participation de Maître Mary-Line LEGRAND-MAMPEY, Notaire Maître Thierry BESSON, Avocat Sommaire INTRODUCTION

Plus en détail

L EIRL. Un nouveau statut juridique et fiscal pour l entrepreneur. Avril 2012

L EIRL. Un nouveau statut juridique et fiscal pour l entrepreneur. Avril 2012 L EIRL Un nouveau statut juridique et fiscal pour l entrepreneur Avril 2012 1 Un nouveau statut : l EIRL Présentation de l EIRL Pourquoi? Pour qui? Comment? Quand? Le contexte d adoption Les caractéristiques

Plus en détail

LA LETTRE DES ADHÉRENTS

LA LETTRE DES ADHÉRENTS LA LETTRE DES ADHÉRENTS NUMÉRO SPÉCIAL LOI DE FINANCES - 15 JANVIER 2014 N 2/2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 INTRODUCTION La loi de finances rectificative pour 2013, définitivement adoptée

Plus en détail

Statut d Auto-entrepreneur. Service du Commerce Extérieur Avril 2009

Statut d Auto-entrepreneur. Service du Commerce Extérieur Avril 2009 Statut d Auto-entrepreneur Service du Commerce Extérieur Avril 2009 Sommaire I/ Définition II/ L enregistrement III/ Cotisations/ Charges sociales IV/ Obligations fiscales V/ Les petits plus I/ Définition

Plus en détail

Centre de formalités de création d entreprises GUICHET UNIQUE

Centre de formalités de création d entreprises GUICHET UNIQUE REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON ---------- MINISTERE DE L ECONOMIE, DE LA PLANIFICATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE UNION EUROPEENNE EUROPEAN UNION ---------- FONDS EUROPEEN DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Créer une ASBL : Comment s y prendre?

Créer une ASBL : Comment s y prendre? Créer une ASBL : Comment s y prendre? Bruxelles, 11 décembre 2013 Programme du jour: 1) Introduction 2) La personnalité juridique, différences société-asbl 2) Constitution d une ASBL 3) Mesures de publicité

Plus en détail

Fiche: entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL)

Fiche: entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL) Fiche: entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL) L'entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL) est un régime qui s'adresse aux entrepreneurs individuels qui décident de limiter

Plus en détail

Table des matieres LARCIER

Table des matieres LARCIER Table des matieres Table des matieres 559 Pages Dédicace............................................................ 5 Remerciements... 7 Préface... 11 Principales abréviations... 15 Sommaire... 23 Introduction

Plus en détail

Population : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)

Population : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013) Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle

Plus en détail

FORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga

FORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga FORUM PROFESSIONNEL Fédération Nationale des Enseignants de Yoga Syndicat National des Professeurs de Yoga Divers statuts : I - Salarié (Association, Comité d entreprise, Société de portage, Entreprise

Plus en détail

LE CHOIX DE STATUT DU DIRIGEANT. Optimisation et conséquences sociales

LE CHOIX DE STATUT DU DIRIGEANT. Optimisation et conséquences sociales LE CHOIX DE STATUT DU DIRIGEANT Optimisation et conséquences sociales Le statut juridique conditionne le régime social du dirigeant I - Caractéristiques des différents statuts juridiques II - Optimisation

Plus en détail

LOI N 013-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT AU BURKINA FASO

LOI N 013-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT AU BURKINA FASO BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 013-2013/AN PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT

Plus en détail

A la découverte de l assurance vie HSBC France

A la découverte de l assurance vie HSBC France A la découverte de l assurance vie HSBC France L assurance vie, le placement qui vous accompagne dans tous vos projets Depuis quelques années, l assurance vie est devenue le placement préféré des Français

Plus en détail

Réunion d'information 1

Réunion d'information 1 Réunion d'information 1 Introduction Auto-entrepreneur = Immatriculation simplifiée et gratuite + Dispense de collecte de TVA + Régime micro-social simplifié + Sur option : régime micro-fiscal simplifié

Plus en détail

DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE SAUVEGARDE

DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE SAUVEGARDE DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE SAUVEGARDE Votre dossier doit être déposé par vous-même au Greffe ou par un avocat ou un mandataire muni d un pouvoir. Un dossier reçu par voie postale n est pas

Plus en détail

Investissement immobilier: la fin des SCPI?

Investissement immobilier: la fin des SCPI? Investissement immobilier: la fin des SCPI? La SCPI figure comme le premier véhicule structuré d investissement en immobilier. A l origine de ces investissements, des sociétés civiles se sont développées

Plus en détail

Congo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo

Congo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice

Plus en détail

ÉPARGNE BANCAIRE. Rémunérez vos économies!

ÉPARGNE BANCAIRE. Rémunérez vos économies! ÉPARGNE BANCAIRE Rémunérez vos économies! L ESSENTIEL POUR GÉRER VOTRE ÉPARGNE Avec les solutions Groupama, vous valorisez votre épargne à court, moyen ou long terme. ON A TOUS DES RAISONS R Que ce soit

Plus en détail

ÉPARGNE. Les solutions. pour votre épargne. > Épargne Disponible > Épargne Logement > Épargne Financière > Assurance Vie

ÉPARGNE. Les solutions. pour votre épargne. > Épargne Disponible > Épargne Logement > Épargne Financière > Assurance Vie ÉPARGNE Les solutions pour votre épargne > Épargne Disponible > Épargne Logement > Épargne Financière > Assurance Vie LES RÈGLES D OR D UNE ÉPARGNE CONSTRUITE EFFICACEMENT 1 2 3 ORIENTER Faire un bilan

Plus en détail

Journal Officiel. 15 Février 2011. Prix : 1000 FCFA ORGANISATION POUR L HARMONISATION EN AFRIQUE DU DROIT DES AFFAIRES OHADA

Journal Officiel. 15 Février 2011. Prix : 1000 FCFA ORGANISATION POUR L HARMONISATION EN AFRIQUE DU DROIT DES AFFAIRES OHADA 15 ème année N 23 Prix : 1000 FCFA Journal Officiel OHADA 15 Février 2011 ORGANISATION POUR L HARMONISATION EN AFRIQUE DU DROIT DES AFFAIRES Secrétariat permanent : B.P. 10071 Yaoundé (Cameroun) - Tél.:

Plus en détail

Chroniques notariales vol. 56. Table des matières

Chroniques notariales vol. 56. Table des matières Chroniques notariales vol. 56 Table des matières Chapitre I. Généralités..................................... 222 Section 1. Formalité de l enregistrement........................ 222 1. Obligation d enregistrement

Plus en détail

Le compte professionnel LES MINI-GUIDES BANCAIRES DES PROFESSIONNELS

Le compte professionnel LES MINI-GUIDES BANCAIRES DES PROFESSIONNELS Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification

Plus en détail

Crédits. Trésorerie, Financement, Création et Rachat d entreprise... Des solutions de crédit pointues et adaptées à vos besoins!

Crédits. Trésorerie, Financement, Création et Rachat d entreprise... Des solutions de crédit pointues et adaptées à vos besoins! Pour en savoir plus sur les solutions CRÉDITS du Crédit Mutuel, appelez votre conseiller au : Connaissez-vous Bail-Immo-Nord? Filiale spécialisée dans le Crédit Bail Immobilier, Bail Immo Nord vous apporte

Plus en détail

«Quel régime juridique et fiscal pour mon hébergement» Quel régime juridique et fiscal pour mon hébergement?... 2

«Quel régime juridique et fiscal pour mon hébergement» Quel régime juridique et fiscal pour mon hébergement?... 2 «Quel régime juridique et fiscal pour mon hébergement» Sommaire Quel régime juridique et fiscal pour mon hébergement?... 2 Statuts juridiques et fiscaux :... 3 Selon quelles conditions dois-je m inscrire

Plus en détail

Le Statut Auto-Entrepreneur

Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur en 10 points http://www.declaration-auto-entrepreneur.com L auto-entrepreneur est caractérisé par différents points clés. Lorsque l ont décide de

Plus en détail

CHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise?

CHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise? CHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise? Quelles conséquences sur le choix de votre statut social : Salarié ou Travailleurs Non salariés? Intervenants René-jacques MALAFOSSE,

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en 20 points

Ce qu il faut savoir en 20 points Ce qu il faut savoir en 20 points 1. Comptabilité allégée : o registre des ventes : les obligations comptables des autoentrepreneurs sont réduites. Ils peuvent simplement tenir un livre chronologique mentionnant

Plus en détail

141 NOUVEAUX ACTES, 117 ACTES ACTUALISES

141 NOUVEAUX ACTES, 117 ACTES ACTUALISES Lexis Legal Manager MISE À JOUR DES BIBLES D'ACTES Juillet 2014 141 NOUVEAUX ACTES, 117 ACTES ACTUALISES Fort de son expertise éditoriale, LexisNexis est soucieux d'offrir toujours plus d'actualité et

Plus en détail

RÉFORMES FISCALES. www.gestionprivee.banquepopulaire.fr. Document à caractère publicitaire

RÉFORMES FISCALES. www.gestionprivee.banquepopulaire.fr. Document à caractère publicitaire www.gestionprivee.banquepopulaire.fr BPCE Société Anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de 155 742 320 - Siège social : 50, avenue Pierre-Mendès-France - 75201 Paris Cedex 13 R.C.S

Plus en détail

L assurance de. Protection Juridique. Pour tous les litiges de la vie quotidienne, nos juristes sont là pour défendre vos clients.

L assurance de. Protection Juridique. Pour tous les litiges de la vie quotidienne, nos juristes sont là pour défendre vos clients. L assurance de Protection Juridique Un atout dans votre stratégie de développement 100 % Clients 100 % Innovant 100 % Simple www.allianz.fr Pour tous les litiges de la vie quotidienne, nos juristes sont

Plus en détail

REQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce)

REQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce) REQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce) Identification de la personne déposant la demande Nom de naissance : Nom d usage : Prénoms

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE DE LA SCI

GUIDE PRATIQUE DE LA SCI PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable et Commissaire aux Comptes DESS en Banques et Finances GUIDE PRATIQUE DE LA SCI Modèles prêts à l emploi sur CD-Rom www.editions-organisation.com/livres/denos

Plus en détail

ÉPARGNE BANCAIRE. Rémunérez vos économies!

ÉPARGNE BANCAIRE. Rémunérez vos économies! ÉPARGNE BANCAIRE Rémunérez vos économies! L ESSENTIEL POUR GÉRER VOTRE ÉPARGNE Avec les solutions Groupama, vous valorisez votre épargne à court, moyen ou long terme. ON A TOUS DES RAISONS R Que ce soit

Plus en détail

PROFESSIONNELS, FAITES LES BONS CALCULS POUR OPTIMISER VOTRE RETRAITE

PROFESSIONNELS, FAITES LES BONS CALCULS POUR OPTIMISER VOTRE RETRAITE LE GUIDE CONSEIL POUR PRÉPARER VOTRE RETRAITE PROFESSIONNELS, FAITES LES BONS CALCULS POUR OPTIMISER VOTRE RETRAITE Document à caractère publicitaire AVEZ-VOUS PENSÉ À PRÉPARER VOTRE RETRAITE? Vous êtes

Plus en détail

Le dispositif. Statut de l auto-entrepreneur

Le dispositif. Statut de l auto-entrepreneur L auto-entrepreneur L auto-entrepreneur Au sommaire Le dispositif, conditions, principes L adhésion Les cotisations, déclaration et paiement Les cumuls avec d autres exonérations La protection sociale

Plus en détail

ANTICIPEZ & CHOISISSEZ LA FORME JURIDIQUE LA MIEUX ADAPTEE A VOTRE PROJET

ANTICIPEZ & CHOISISSEZ LA FORME JURIDIQUE LA MIEUX ADAPTEE A VOTRE PROJET ANTICIPEZ & CHOISISSEZ LA FORME JURIDIQUE LA MIEUX ADAPTEE A VOTRE PROJET Optimisation et conséquences sociales Denis BARBAROSSA, Expert Comptable Cécile MOREIRA, Avocat Frédéric MEIERHANS, Gan Assurances

Plus en détail

Les dispositions à prendre en cours de fonction

Les dispositions à prendre en cours de fonction TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent

Plus en détail

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du

Plus en détail

COURTIER ET AGENT D ASSURANCE

COURTIER ET AGENT D ASSURANCE COURTIER ET AGENT D ASSURANCE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 4 L'ACTIVITÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 7 LES POINTS

Plus en détail

la conformité LES PRINCIPES D ACTION

la conformité LES PRINCIPES D ACTION La fonction Conformité au sein de BNP Paribas La fonction Conformité a été créée en décembre 2004, en anticipation de nouvelles dispositions du règlement 97-02 sur le contrôle interne des établissements

Plus en détail

Le créateur. Types de projets concernés

Le créateur. Types de projets concernés Mémofiches Comparatif des structures unipersonnelles Vous entreprenez seul, sans associé, et souhaitez le rester? Vous avez le choix entre : vous installer en entreprise individuelle : classique, auto-entrepreneur

Plus en détail

Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011

Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011 Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011 Loi de finances pour 2011 La loi de finances pour 2011 ne bouleverse pas notre fiscalité. Les principales dispositions sont relatives

Plus en détail

Les principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012

Les principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012 Les principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012 PLAFONNEMENT GLOBAL (CGI. art. 2000 A) Montant du plafonnement global des niches fiscales CGI. art. 2000 A Le montant du

Plus en détail

L existence de la société commerciale

L existence de la société commerciale TABLE DES MATIÈRES Liste des principales abréviations 5 Introduction 9 Section I Classification des sociétés commerciales 11 1. Grandes catégories 11 A) Sociétés commerciales par la forme ou par l objet

Plus en détail

conseils en assurances, crédit, gestion patrimoniale

conseils en assurances, crédit, gestion patrimoniale L INDEPENDANCE D UN GROUPE conseils en assurances, crédit, gestion patrimoniale LE GROUPE EUROPEA «La qualité s apprécie dans la durée» Cabinet de Courtage en Assurances, Crédits et Gestion de Patrimoine

Plus en détail

LOI DU 18 JUIN 2014 RELATIVE A L ARTISANAT, AU COMMERCE ET AUX TRES PETITES ENTREPRISES SOMMAIRE

LOI DU 18 JUIN 2014 RELATIVE A L ARTISANAT, AU COMMERCE ET AUX TRES PETITES ENTREPRISES SOMMAIRE LES PRINCIPALES ÉVOLUTIONS LOI DU 18 JUIN 2014 RELATIVE A L ARTISANAT, AU COMMERCE ET AUX TRES PETITES ENTREPRISES SOMMAIRE BAUX COMMERCIAUX... p. 02 DROIT DE PREEMPTION COMMERCIAL DES COMMUNES... p. 05

Plus en détail

Etaient présents Madame Souad El Kohen, Messieurs Driss Belmahi, Abdelaziz Benzakour et Omar Seghrouchni ;

Etaient présents Madame Souad El Kohen, Messieurs Driss Belmahi, Abdelaziz Benzakour et Omar Seghrouchni ; Délibération n 480-AU-2013 du 01/11/2013 portant modèle de demande d autorisation relative au traitement de données à caractère personnel mis en œuvre par des établissements de crédit et organismes assimilés

Plus en détail

MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT

MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT Les comités techniques dans la fonction publique de l État collection Ressources humaines UNE INSTANCE REPRÉSENTATIVE

Plus en détail

26 Contrat d assurance-vie

26 Contrat d assurance-vie 42 26 Contrat d assurance-vie est un contrat par lequel un assureur s engage à verser un capital en cas de vie ou de décès de l assuré, au profit du souscripteur ou d un tiers, moyennant une prime. Placement

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit

Plus en détail

PRINCIPALES MESURES FISCALES PROPOSEES PAR LE GOUVERNEMENT. (sur base des informations connues au 11/12/2011)

PRINCIPALES MESURES FISCALES PROPOSEES PAR LE GOUVERNEMENT. (sur base des informations connues au 11/12/2011) PRINCIPALES MESURES FISCALES PROPOSEES PAR LE GOUVERNEMENT (sur base des informations connues au 11/12/2011) 1. TAXATION DES REVENUS DU PATRIMOINE Précompte mobilier - Principes : le taux de base du précompte

Plus en détail

Réussir sa création d entreprise

Réussir sa création d entreprise Chambre des Experts Comptables du Cœur d Hérault Réussir sa création d entreprise Les conseils de l expert-comptable Support téléchargeable sur : www.cecch.fr CSOEC 2012 Comité Création d Entreprise La

Plus en détail

Boite à outils. Guide des formalités de création d entreprises. Document élaboré par le cabinet de conseil ORIGINAL INVEST

Boite à outils. Guide des formalités de création d entreprises. Document élaboré par le cabinet de conseil ORIGINAL INVEST Boite à outils Guide des formalités de création d entreprises Document élaboré par le cabinet de conseil ORIGINAL INVEST Casablanca Technopark Tel 0522 52 50 78 Email : contact@originalinvest.com Page

Plus en détail

Les Professionnels du Conseil en Habitat et en Immobilier

Les Professionnels du Conseil en Habitat et en Immobilier Présentation FRANCHISE ECO TRAVAUX PRESENTATION DU RESEAU Groupe ECO TRAVAUX MEMBRE EUROPEEN Siège administratif Tour Suisse 1 bd Vivier Merle 69003 LYON N INDIGO 0820.820.535. Email contact@eco-travaux.com

Plus en détail

Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur

Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si

Plus en détail

DIAGNOSTIC IMMOBILIER

DIAGNOSTIC IMMOBILIER DIAGNOSTIC IMMOBILIER SOMMAIRE LE MARCHÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 2 LA RÉGLEMENTATION DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 5 L'ACTIVITÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER...

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM Le point sur SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte»

Plus en détail

Guide juridique et fiscal -entrepreneur

Guide juridique et fiscal -entrepreneur Dossiers numériques Guide juridique et fiscal -entrepreneur présentation, analyse et commentaires textes et circulaires administratives formulaires et jurisprudences Francis VARENNES Juriste-Fiscaliste

Plus en détail

COMPTE EPARGNE LOGEMENT. Une épargne constructive. Conditions Générales

COMPTE EPARGNE LOGEMENT. Une épargne constructive. Conditions Générales COMPTE EPARGNE LOGEMENT Une épargne constructive Conditions Générales CONDITIONS GENERALES 1. Conditions d ouverture et de détention Toute personne physique peut être titulaire d un compte d épargnelogement

Plus en détail

! Un rythme de croisière.! Une fois l activité stable : votre société vous permet de faire des investissements patrimoniaux.!

! Un rythme de croisière.! Une fois l activité stable : votre société vous permet de faire des investissements patrimoniaux.! CRÉATION D ENTREPRISE : élaboration du business plan I INTRODUCTION Être autonome ou créer son propre emploi. Il faut s attendre à : - Devenir un chef d orchestre (généraliste sur qui repose touts les

Plus en détail

L indispensable à la croissance de votre entreprise LE VRP MULTICARTE! Petit aujourd hui forcément grand demain CCVRP

L indispensable à la croissance de votre entreprise LE VRP MULTICARTE! Petit aujourd hui forcément grand demain CCVRP CCVRP 7 et 9 rue Frédérick-Lemaître 75971 PARIS CEDEX 20 Téléphone : 01 40 33 77 77 Télécopie : 01 47 97 75 44 Site : www.ccvrp.com Mail : accueil@ccvrp.com Petit aujourd hui forcément grand demain Organisme

Plus en détail

KIT DE L AUTO-ENTREPRENEUR

KIT DE L AUTO-ENTREPRENEUR KIT DE L AUTO-ENTREPRENEUR ATTENTION! LE PROJET DE LOI DE MODERNISATION DE L¹ÉCONOMIE ÉTANT EN COURS DE DISCUSSION DEVANT L¹ASSEMBLÉE NATIONALE ET LE SÉNAT, LA COMPOSITION DU KIT DE L¹AUTO-ENTREPRENEUR

Plus en détail

infirmier kinésithérapeute avocat artisan commerçant

infirmier kinésithérapeute avocat artisan commerçant 2012 ASSURANCE EMPRUNTEUR La mutuelle des professions libérales et indépendantes Professions Libérales & Indépendantes médecin AMPLI-EMPRUNTEUR Spécial Professions Libérales chirurgien dentiste vétérinaire

Plus en détail

Réussir sa création d entreprise : les conseils de l expert-comptable

Réussir sa création d entreprise : les conseils de l expert-comptable CSOEC 2015 Comité Création d Entreprise Réussir sa création d entreprise : les conseils de l expert-comptable La création d entreprises en 2014 550 800 entreprises créées en 2014 en France (+2,3% / 2013)

Plus en détail

Actualité Juridique & Fiscale

Actualité Juridique & Fiscale Septembre 2011 2011 Actualité Juridique & Fiscale Sommaire Sommaire I Petits-enfants venant à une succession par suite de la renonciation de leur auteur, enfant unique : impossibilité d appliquer l abattement

Plus en détail

Maximiser la performance de vos projets immobiliers de bureaux

Maximiser la performance de vos projets immobiliers de bureaux Maximiser la performance de vos projets immobiliers de bureaux Concilier la performance économique et la performance d usage du bâtiment L équation économique de vos projets doit être optimisée sur la

Plus en détail

La fiscalité de l épargne salariale Entreprise

La fiscalité de l épargne salariale Entreprise Epargne Entreprise Dossier spécial Juridique et Fiscalité La fiscalité de l épargne salariale Entreprise Février 2014 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l entreprise Les versements de

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte» ou à titre

Plus en détail

IOlivier Pietri analyse et commente les principales mesures de la Loi de fi nances 2014

IOlivier Pietri analyse et commente les principales mesures de la Loi de fi nances 2014 Le cahier de la Lettre Spécial Fiscalité Analyse IOlivier Pietri analyse et commente les principales mesures de la Loi de fi nances 2014 Olivier Pietri, Consultant, ancien inspecteur principal des impôts

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL

JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL 1 sur 6 12.11.2010 16:41 JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 relative à la promotion et au développement des petites

Plus en détail

ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR

ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE

Plus en détail

«Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles

«Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles «Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles «Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles 3. «... Pour ces considérations, nous avons décidé qu il sera créé, sous la

Plus en détail

expertises management packages conseil patrimonial et family office entreprises familiales immobilier

expertises management packages conseil patrimonial et family office entreprises familiales immobilier expertises management packages conseil patrimonial et family office entreprises familiales immobilier + Management Packages Qu ils soient négociés à l occasion d un changement de contrôle ou, dans les

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015 Le point sur ( ) SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2015 L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur

Plus en détail