COMPTE-RENDU DE CERTIFICATION DU CENTRE HOSPITALIER PRIVÉ DU MONTGARDÉ ET DU CENTRE DE CONVALESCENCE D AUBERGENVILLE
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- Clarisse St-Jean
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1 COMPTE-RENDU DE CERTIFICATION DU CENTRE HOSPITALIER PRIVÉ DU MONTGARDÉ ET DU CENTRE DE CONVALESCENCE D AUBERGENVILLE 32, rue Montgardé AUBERGENVILLE Avril 2006
2 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU DE CERTIFICATION»... p.3 PARTIE 1 PRÉSENTATION DE L ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ... p.8 PARTIE 2 DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE DE CERTIFICATION... p.9 PARTIE 3 CONCLUSIONS DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ I APPRÉCIATION DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ SYNTHÈSE PAR RÉFÉRENTIEL... p.10 II. DÉCISIONS DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ II.1 Recommandations formulées par la Haute Autorité de santé... p.14 II.2 Modalités de suivi... p.14-2 / 14-
3 COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU DE CERTIFICATION» Le «compte-rendu de certification» dont vous disposez résulte d une procédure d évaluation externe d un établissement de santé (hôpital ou clinique), conduite par la Haute Autorité de santé (HAS). Cette procédure vise à développer les actions relatives à la qualité et à la sécurité des soins au sein de chaque établissement. Ce compte-rendu présente les résultats de la procédure engagée par l établissement. Pour en faciliter la lecture quelques informations vous sont proposées cidessous. I. QU EST-CE QUE LA CERTIFICATION DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ? La certification est un moyen pour inciter l ensemble des professionnels des établissements de santé (soignants, médecins, personnels administratifs, agents d entretien ) à analyser leur organisation et à améliorer la qualité de la prise en charge des patients. La procédure de certification est obligatoire et intervient périodiquement. CE QUE N EST PAS LA CERTIFICATION - Elle n établit pas un palmarès des hôpitaux ou cliniques. - Elle ne note pas les médecins, les soignants ou les services. - Elle ne décide pas de l attribution de moyens supplémentaires. -3 / 14-
4 QU APPORTE LA PROCÉDURE DE CERTIFICATION? La procédure de certification favorise une meilleure organisation de l établissement au service de la personne soignée. Grâce à l auto-évaluation et à la visite des experts-visiteurs, elle permet aux professionnels de l établissement de santé de : réfléchir ensemble à leur organisation, en fonction des différents besoins des personnes soignées ; reconnaître les points forts et les points à améliorer ; définir des actions prioritaires ; faire évoluer leur façon de travailler. dans le but de : permettre à tous d accéder à des soins de qualité ; contribuer à mieux répondre aux différents besoins de chaque personne soignée ; améliorer la qualité et la sécurité des soins (cf. encadré) et des autres services (accueil, hôtellerie, information ). APPORT POUR LA QUALITÉ DES SOINS - L information de la personne soignée et de sa famille sur les conditions de séjour et sur son état de santé. - L amélioration de la sécurité des soins. - Une meilleure coordination des professionnels intervenant auprès de la personne soignée. - La réalisation de soins respectant les bonnes pratiques recommandées. III. COMMENT EST ÉTABLI LE COMPTE-RENDU DE CERTIFICATION? La procédure de certification d un établissement de santé se déroule en plusieurs temps. Elle débute par une évaluation réalisée par les professionnels de cet établissement (appelée «auto-évaluation») à l aide d un manuel* de certification proposé par la HAS. Ce manuel comporte 300 questions permettant l appréciation de la sécurité et de la qualité regroupées en 10 chapitres appelés référentiels. Ces référentiels sont complémentaires, de façon à traiter l ensemble des activités d un établissement et aboutir à une vision transversale de son fonctionnement. * Le manuel de certification est disponible sur le site Internet de la HAS -4 / 14-
5 LES RÉFÉRENTIELS DE CERTIFICATION 1. Droits et information du patient 2. Dossier du patient 3. Organisation de la prise en charge du patient 4. Management de l établissement et des secteurs d activité 5. Gestion des ressources humaines 6. Gestion des fonctions logistiques 7. Gestion du système d information 8. Qualité et prévention des risques 9. Vigilances sanitaires et sécurité transfusionnelle 10. Surveillance, prévention, contrôle du risque infectieux Après l auto-évaluation, la HAS organise la visite de l établissement (la «visite de certification») pour observer son organisation et discuter avec les personnels des résultats de l auto-évaluation. Cette visite est réalisée par une équipe d «experts-visiteurs» (médecins, directeurs, soignants) formés par la HAS. Pour garantir l indépendance de la procédure de certification, les experts-visiteurs sont issus d établissements de santé publics et privés d une région différente de celle de l établissement visité. Les résultats de cette visite et les observations de l établissement sur celle-ci sont analysés par la Haute Autorité de santé. La Haute Autorité de santé établit un «rapport de certification» qui est transmis à l établissement de santé et à l autorité dont il dépend dans sa région (Agence Régionale de l Hospitalisation ou ARH ). Le compte-rendu de certification est élaboré à partir du rapport de certification. -5 / 14-
6 DÉROULEMENT D UNE PROCÉDURE DE CERTIFICATION Entrée de l établissement de santé dans la procédure Réalisation d une auto-évaluation par l établissement de santé Visite de l établissement et rédaction d un rapport par des experts-visiteurs Formulation d observations par l établissement de santé sur le rapport des experts-visiteurs Étude du rapport des experts-visiteurs et des observations de l établissement. Élaboration du rapport de certification par la HAS. Élaboration du compte-rendu de certification -6 / 14-
7 IV. QUE CONTIENT LE COMPTE-RENDU DE CERTIFICATION? Le compte-rendu de certification contient les informations suivantes : - la présentation de l établissement de santé, - le déroulement de la procédure de certification, - les conclusions de la HAS sur la situation de l établissement. Ces conclusions mettent en évidence une synthèse selon les 10 référentiels. Dans ses décisions, la HAS peut émettre : - des recommandations : demandes formulées à l établissement pour progresser sur des domaines précisés en perspective de la prochaine procédure ; - des réserves : constat(s) d insuffisances sur des domaines précisés et absence de dynamique de progrès ; - des réserves majeures : constat(s) d insuffisances graves relatives aux exigences de qualité et de sécurité, sans qu il y ait eu de preuves d actions correctrices. Les décisions de la HAS peuvent se résumer de la façon suivante : APPRÉCIATIONS Sans recommandation Avec recommandations Avec réserves Avec réserves majeures MODALITÉS DE SUIVI La HAS encourage l établissement de santé à poursuivre la dynamique engagée. L établissement de santé met en œuvre les mesures préconisées et assure le suivi des recommandations formulées par la HAS en vue de la prochaine procédure. L établissement de santé produit un rapport de suivi ou fait l objet d une «visite ciblée» sur les sujets concernés dans un délai fixé par la HAS. L établissement de santé doit apporter des solutions aux réserves majeures lors d une «visite ciblée» à une date fixée par la HAS. * * * Les comptes rendus de certifications des établissements de santé ayant conclu leur procédure de certification sont disponibles auprès de la direction de chaque établissement concerné et sur le site Internet de la HAS -7 / 14-
8 PARTIE 1 PRÉSENTATION DE L ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ Nom de l établissement Situation géographique Statut (privé-public) Type de l établissement (CHU, CH, CHS, Hop. Local, PSPH, Ets privé à but lucratif) Nombre de lits et places (préciser la répartition des lits par activité, non par service (MCO, SSR, USLD)) Nombre de sites de l établissement et leur éloignement s il y a lieu Activités principales (par exemple : existence d une seule activité ou d une activité dominante) Activités spécifiques (urgences, soins ambulatoires, consultations externes spécialisées, hospitalisation sous contrainte, etc.) Centre hospitalier privé du Montgardé Centre de convalescence d Aubergenville Ville : Aubergenville Département : Yvelines Société à actions simplifiées Établissement prive à but lucratif Région : Île-de-France 25 lits et 5 places de médecine et chimiothérapie 45 lits et 13 places de chirurgie dont les places d anesthésie ou de chirurgie ambulatoire 40 lits de soins de suite ou de réadaptation Deux établissements situés sur la même zone géographique Chirurgie : entrées Médecine : 908 entrées Soins de suite : 395 entrées Chirurgie ambulatoire : entrées Chimiothérapie : 742 séances -8 / 14-
9 PARTIE 2 DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE DE CERTIFICATION La présente procédure de certification concerne : - Le Centre Hospitalier du Montgardé et le Centre de Convalescence d Aubergenville sis 32 rue Montgardé AUBERGENVILLE. Ce rapport fait suite à l engagement de l établissement dans la procédure de certification en date du 6 septembre Cette procédure a donné lieu à une auto-évaluation réalisée par l établissement, suivie d une visite effectuée du 15 au 18 novembre 2005 par une équipe multiprofessionnelle de 3 experts-visiteurs mandatée par la Haute Autorité de santé. A l issue de cette visite un rapport des experts a été communiqué à l établissement qui a formulé ses observations auprès de la HAS. Le rapport des experts ainsi que les observations de l établissement audit rapport ont été communiqués à la HAS pour délibération en avril Après avoir pris connaissance : - du rapport des experts, et plus particulièrement des modalités de réalisation de l auto-évaluation et de la visite, de la mise à disposition des documents de synthèse sur la sécurité et du suivi des recommandations faites par les organismes de contrôle, - des observations et informations complémentaires au rapport des experts fournies par l établissement, La Haute Autorité de santé décide que l établissement faisant l objet du présent rapport a satisfait à la procédure de certification. -9 / 14-
10 PARTIE 3 CONCLUSIONS DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ I APPRECIATION DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ Synthèse par référentiel I.1 Droits et information du patient L établissement n a pas de projet annonçant ou traduisant la politique menée au niveau du respect des droits et de l information du patient. La diffusion de la charte du patient hospitalisé à tous les patients et à tout le personnel témoigne d une prise de conscience institutionnelle soutenue et développée par le comité de pilotage de l accréditation. La clinique accueille tous les patients sans distinction. L accueil et la circulation des personnes à mobilité réduite ont fait l objet d améliorations qui sont à étendre au niveau de l agencement des chambres. Le patient reçoit de la part du personnel des informations pratiques à chacune des étapes de son séjour. Les notions de personne de confiance et de personne à prévenir sont comprises et ces informations sont recherchées par les équipes. L information médicale donnée au patient n est pas systématiquement tracée de même que son consentement et la réflexion bénéfice-risque pour des actes invasifs ou des explorations. La confidentialité, le respect de l intimité et de la dignité sont des principes partagés et respectés dans l établissement. Ces principes sont entravés au niveau de l accueil du service des urgences par des locaux inadaptés. Le respect du secret professionnel fait l objet de multiples actions. Le traitement des plaintes et réclamations est personnalisé avec un engagement fort de la direction. L évaluation dans le domaine du respect des droits et de l information du patient repose sur les informations données par le questionnaire de satisfaction. La nécessité de renforcer cette évaluation est prise en compte par l établissement qui aura à mettre en place des outils de mesure ciblés. -10 / 14-
11 I.2 Dossier du patient L établissement a mis en place, de façon pluridisciplinaire, un dossier du patient complet et structuré, intégrant toutes les informations nécessaires. Les différentes étapes de cette mise en œuvre restent à évaluer. Compte tenu du nombre d intervenants médicaux, des avancées ont été réalisées pour une meilleure coordination de la prise en charge du patient dans la gestion et la tenue de son dossier, mais des améliorations sont attendues dans la traçabilité de la réflexion bénéfice-risque et des comptes rendus de sortie. La plupart des praticiens et l encadrement soignant ont la volonté de faire progresser l outil en travaillant à son uniformisation dans tous les secteurs d activité. Une informatisation du dossier du patient est prévue. Il conviendra de l inscrire dans l optique du projet d établissement. I.3 Organisation de la prise en charge des patients Le patient est pris en charge dans les plus brefs délais selon un protocole établi et est accompagné durant son séjour par l ensemble des professionnels. Les prises en charge du patient sont recherchées et connues des professionnels. La gestion de l urgence vitale devra être formalisée et le personnel formé. Le circuit du médicament doit être sécurisé en supprimant les transcriptions et en respectant les règles de dispensation. La politique qualité de la prise en charge du patient dans l établissement sera dynamisée par la finalisation du projet d établissement prenant en compte le projet médical, le projet de soins, le projet de formation, le projet social, le projet architectural, élaborés en concertation avec les professionnels de l institution. L engagement des professionnels s en trouvera conforté. La mise en place des évaluations professionnelles assurera la pérennité de la démarche. I.4 Management de l établissement et des secteurs d activité La politique de l établissement concernant son management doit être actualisée et dynamisée par l élaboration d un projet d établissement ou d orientations stratégiques validés par les instances. Cela permettra d évaluer le projet médical, le projet de soins et le projet social qui y sont inclus. L organigramme fonctionnel de la direction devra être diffusé aux différentes instances. La politique de communication devra être renforcée. La communication d outils de gestion lui permettant d impliquer les secteurs d activité à la politique financière et de suivi budgétaire par service, assurera l engagement des professionnels dans une démarche constante d amélioration de la qualité. -11 / 14-
12 I.5 Gestion des ressources humaines La note d orientations stratégiques n aborde pas la politique de gestion des ressources humaines. L établissement s engage à formaliser un projet social de manière participative. La gestion des ressources humaines est structurée et connue. Elle est caractérisée par une proximité et une disponibilité de l encadrement et de la direction qui favorise un dialogue social de qualité. La conférence médicale d établissement exerce ses compétences sur les questions la concernant. L établissement s inscrit dans une dynamique d amélioration de la gestion des ressources humaines avec la mise en place d outils tels que le livret d accueil du nouvel arrivant, les fiches de fonction et les profils de poste qui vont être généralisés. Les besoins en personnel à court et moyen terme sont identifiés et assurés pour permettre aux équipes des secteurs d activité de remplir leurs missions. La gestion des recrutements est opérationnelle et la procédure d accueil et d intégration des nouveaux professionnels et stagiaires est en place. Le plan de formation est élaboré et peut être affiné par un recensement des besoins des agents dans le cadre d entretiens annuels d évaluation qui sont à étendre à l ensemble du personnel. La direction veille à améliorer les conditions de travail du personnel et prend en compte les propositions faites par les partenaires sociaux. L ensemble des projets d amélioration fait l objet d un plan annuel. La politique d évaluation de la gestion des ressources humaines est à mettre en œuvre avec la mise en place d indicateurs et d enquêtes de satisfaction auprès du personnel. I.6 Gestion des fonctions logistiques L établissement dispose d une organisation permettant d adapter ses approvisionnements et ses équipements aux besoins habituels et urgents. La sécurité, la maintenance des bâtiments, des équipements et des installations sont assurées. La maintenance est organisée dans sa dimension préventive et curative, une permanence continue est organisée pour cette fonction. La fonction restauration répond aux besoins et aux attentes identifiées des patients et autres consommateurs. La démarche Hazard analysis control critical point (analyse des risques et maîtrise des points critiques :HACCP) et les règles d hygiène instaurées au sein de la cuisine sont respectées, leur efficience peut cependant être renforcée par des formations pour les agents concernés. La gestion et les circuits du linge et des déchets sont organisés. Ils ont fait l objet d améliorations récentes, suite à l auto-évaluation, témoignant de la réactivité de l établissement. Le nettoyage des locaux est organisé, des protocoles sont en places, des évaluations et des axes d amélioration sont mis en œuvre. La fonction transport est globalement formalisée. Cependant le brancardage vers le bloc doit faire l objet d une procédure qui détermine les conditions, les missions et la formation des agents concernés. L établissement prend en compte la sécurité des biens et des personnes. La prévention du risque incendie est prise en compte, elle peut être renforcée par la mise en place d exercices pratiques d évacuation. Une politique d évaluation permettra de valider les différentes étapes de progression sur l ensemble des fonctions logistiques. -12 / 14-
13 I.7 Gestion du système d information L établissement doit définir une politique des systèmes d information avec un schéma directeur établi en concertation avec tous les professionnels tout en prenant en compte le projet d établissement. Le recueil des besoins des utilisateurs, en particulier des praticiens, est indispensable notamment pour la concrétisation du projet d informatisation du dossier du patient. I.8 Gestion de la qualité et prévention des risques La politique de la qualité et prévention des risques ne trouvera véritablement son essor qu après la finalisation du projet d établissement ou des orientations stratégiques. L engagement des professionnels au travers de la mise en place d un comité de gestion et de prévention des risques sera pérennisé. La culture de l évaluation concernant cette politique doit être assurée pour contribuer à la pérennité de la démarche d amélioration de la qualité au sein de l établissement. I.9 Vigilances sanitaires et sécurité transfusionnelle Les vigilances et la sécurité transfusionnelle sont en place et structurées dans l établissement. L implication des professionnels et particulièrement des cadres soignants contribue à la dynamique qualité dans ce domaine. L hémovigilance a atteint un bon niveau opérationnel. Pour maintenir et améliorer les actions déjà mises en place qui restent à évaluer, l établissement doit établir pour tous les professionnels un programme d information et de formation aux vigilances. I.10 Surveillance, prévention et contrôle du risque infectieux Le comité de lutte contre les infections nosocomiales s est donné comme objectif de mettre en place des actions prioritaires de prévention et de formation en matière de risque infectieux. La dynamique existe pour l identification du risque, la rédaction et la mise en œuvre des procédures. Il reste à coordonner l ensemble de ce dispositif, qui sera facilité par la mise en place prochaine de l équipe opérationnelle d hygiène, et d assurer la participation des praticiens notamment des chirurgiens. L établissement doit maintenant être en mesure de définir une politique de maîtrise du risque infectieux, d établir un plan global de prévention du risque infectieux et de l évaluer. -13 / 14-
14 II. DÉCISIONS DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ II.1 Recommandations formulées par la Haute Autorité de santé - Finaliser et évaluer le projet d établissement dans toutes ses composantes ; - Assurer la traçabilité de la réflexion bénéfices-risques, de l information dispensée au patient et du recueil du consentement ; - Mettre en œuvre une politique de prise en charge de la douleur dans tous les secteurs ; - Supprimer les transcriptions médicales et respecter les règles d administration ; - Structurer, mettre en œuvre et évaluer une politique qualité s appuyant sur la gestion de la qualité et la prévention des risques ; - Définir, mettre en œuvre et évaluer la politique de maîtrise du risque infectieux ; - Renforcer la démarche qualité en restauration ; - Renforcer la gestion des ressources humaines par la généralisation des fiches de fonction et profils de poste, par la vérification des conditions d exercice des professionnels, et par le développement des entretiens d évaluation ; - Assurer l intégralité des déclarations à la commission nationale informatique et libertés (CNIL). II.2 Modalités de suivi Au vu des éléments contenus dans le présent rapport de certification issu des résultats de l auto-évaluation, du rapport des experts consécutif à la visite sur site et des observations de l établissement à ce rapport, la Haute Autorité de santé décide que l établissement a satisfait à la procédure de certification. Considérant la dynamique qualité de l établissement, la Haute Autorité de santé décide qu il fait l objet des recommandations mentionnées ci-dessus. L établissement met en œuvre les actions correctives et en assure le suivi en perspective de la prochaine procédure de certification. -14 / 14-
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