Disparités régionales de consommation pharmaceutique. Stéphane Sclison Directeur de la Stratégie, IMS Health

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1 Disparités régionales de consommation pharmaceutique Stéphane Sclison Directeur de la Stratégie, IMS Health

2 Agenda Contexte et objectifs Méthodologie Résultats Focus pathologies : diabète et cancer Pistes d économie et conclusion 2

3 Agenda Contexte et objectifs Méthodologie Résultats Focus pathologies : diabète et cancer Pistes d économie et conclusion 3

4 Contexte et objectifs Contexte : Le médicament représente une dépense annuelle de 22,6 milliards d euros pour la collectivité (Cnamts, 2013) S il ne représente qu environ 20% des dépenses de santé, il est cependant régulièrement en tête des postes de dépenses visés par des économies dans les lois annuelles de financement de la sécurité sociale Cette question est généralement gérée de façon nationale or on peut s interroger sur les différences locales Objectifs : Quantifier les écarts de consommation de médicaments en ville, liée à la prescriptions entre les régions, en volume et en valeur Tester le caractère explicatif de facteurs économiques, d offres de soins et comportementaux Analyser deux grandes pathologies chroniques sur les mêmes éléments 4

5 Agenda Contexte et objectifs Méthodologie Résultats Focus pathologies : diabète et cancer Pistes d économie et conclusion 5

6 Méthodologie Principale Base utilisée : base SDM d IMS Health Base des dispensations en officine de ville Echantillon de plus de pharmacies sur les pharmacies françaises Autres Bases : Données Insee sur la population régionale et Drees sur le nombre d activités par spécialités médicales Agrégats de médicaments Les classes thérapeutiques fines sont été regroupées en méta-classes : 40 classes regroupées en 9 familles Pour chaque région sont utilisés des agrégats de consommation médicale, coût, prescription médicale et niveau de vie. 6

7 Définition des Méta-classes METACLASSES CLASSES CODE EphMERA NEUROPSY SPECIALISTE ALZHEIMER N07D ANTIEPILEPT ET ANTIPARKIN N03A, N04A ANTIPSYCHOTIQUES N05A CANCER, PR ET INFECTIOLOGIE SPECIALISTE ANTI CANCEREUX L01, L02 EPO B03C IMMUNOSUPPRESSEURS L04A POLYARTHRITE RHUMATOIDE M01C ANTIRETROVIRAUX J05C IMMUNOSTIMULANTS L03 ANTIVIRAUX HEPATITES J05B1 CARDIOVASCULAIRE VILLE ANTIAGREGANTS B01C ANTITHROMBOTIQUES B01A, B01B, B01E, B0X ANTIDIABETIQUES ORAUX A10H, J, K, L, M, N, S, X + ACOMPLIA (classé App. digestifs divers) INSULINES A10C ANTIHYPERTENSEURS C02, C03, C07, C08, C09 HYPOLIPEMIANTS C10, C11 THERAPIE CARDIAQUE AUTRE C01 PATHOLOGIES MAJEURES VILLE ANTIASMATHIQUES R03 ANTIBIOTIQUES G04A, J01, J03 ANTIVIRAUX J05B hors J05B1 AUTRES ANTI-INFECTIEUX J02, J04 ANTIACIDES ET ANTIULCEREUX A02A, A02B, A03F (hors DEBRIDAT, MODULON, TRANSACALM et Génériques TRIMEBUTINE) ANTIDEPRESSEURS N06A PSYCHOTROPES N05B, N05C ANTIINFLAMMATOIRES M01A, M05X (hors PROTELOS) ANTIOSTEOPOROTIQUES M05B, A102 + EVISTA (G3J) + OPTRUMA (G3J) + PROTELOS (M05X) + FORSTEO (H04E) ANTALGIQUES ANALGESIQUES NARCOTIQUES N02A, N07F ANTALGIQUES N02B, N02C MEDICAMENT DE CONFORT ANTIALERGIQUES ET RHINITE R01A, R01B, R06A ANTITUSSIFS R05 APPAREIL DIGESTIF DIVERS Tous autres A hors ACOMPLIA, A12A et ajout de DEBRIDAT, MODULON, TRANSACALM et Générique TRIMEBUTINE HNP G04C VASODIL PERIF ET VINOTON C04, C05, N06D CONTRACEPTION ET HORMONETHERAPIES CONTRACEPTIFS G03A HORMONES H hors H04C et H04E (Forsteo) HORMONES DE CROISSANCE H04C HORMONOTHERAPIE SUBST G03B, G03C, G03D, G03F INDUCTEURS OVULATION G03G VACCINS VACCINS J07A, J07B AUTRES DERMATOLOGIE D OPHTALMOLOGIE S01 AUTRES toutes autres classes EphMERA 7

8 Variables utilisées dans l étude Définitions UCD : unités communes de dispensation (i.e. un comprimé pour une boîte et un flacon pour un sirop). CAPPUB : Chiffre d affaires en prix public. Euro / UCD = CAPPUB / nombre d unités communes de dispensation (cet indicateur mesure le coût moyen d une UCD par habitant d une région). UCD / HAB = nombre d unités communes de dispensation / nombre d habitant (cet indicateur mesure la consommation moyenne d UCD par habitant d une région). UCD / ALD = nombre d unités communes de dispensation / nombre de patient déclarés pour l Affection de Longue Durée concernée (cet indicateur mesure la consommation moyenne par patients de la pathologie relevant de l ALD). Coefficient de correction de l âge = âge moyen région / âge moyen France. Taux de substitution génériques= génériques / (génériques+princeps), mesurés en UCD dans le répertoire générique. Taux de prescription substituable = (génériques+princeps du répertoire) / total marché (pour la classe thérapeutique étudiée) 8

9 Agenda Contexte et objectifs Méthodologie Résultats Focus pathologies : diabète et cancer Pistes d économie et conclusion 9

10 UCD par habitant Ile-de-France -19 à -15% -14 à -10% -9 à -5% -4 à -1% 0 à +5% Limousin +6 à +10% +11 à +15% +16 à +20% >+20% Indice (1,00=moyenne France) 10

11 UCD par habitant corrigées de l'âge moyen de la population de la région : l âge est un facteur explicatif mais des disparités fortes demeurent Ile-de-France -14 à -10% -9 à -5% -4 à -1% 0 à +5% +6 à +10% Limousin +11 à +15% +16 à +20% >+20% Indice (1,00=moyenne France) 11

12 Euro par UCD Ile-de-France -9 à -5% -4 à -1% 0 à +5% Limousin +11 à +15% Indice (1,00=moyenne France) 12

13 / UCD Volume et valeur Plus on consomme, plus on est économe 0,650 Ile-de-France 0,600 0,550 0,500 0,450 Pays-de-la-Loire Rhône-Alpes Franche-Comté Bretagne Alsace Midi-Pyrénées Aquitaine Corse Haute- Normandie Languedoc- Roussillon Centre Basse- Normandie Auvergne PACA Poitou- Charentes Champagne -Ardennes Bourgogne Lorraine Nord-Pasde-Calais Picardie Limousin 0, UCD / habitant 13

14 Corrélation consommation médicamenteuse et niveau de richesse Régions / UCD corrigées de l'âge moyen UCD/hab corrigées de l'âge moyen Moyenne des niveaux de vie Île-de-France 0, Champagne-Ardenne 0, , Picardie 0, , Haute-Normandie 0, , Centre 0, , Basse-Normandie 0, , Bourgogne 0, , Nord-Pas-de-Calais 0, , Lorraine 0, , Alsace 0, Franche-Comté 0, , Pays de la Loire 0, , Bretagne 0, Poitou-Charentes 0, , Aquitaine 0, , Midi-Pyrénées 0, , Limousin 0, , Rhône-Alpes 0, , Auvergne 0, Languedoc-Roussillon 0, , Provence-Alpes-Côte d'azur 0,54 849, Corse 0, , corrélation / UCD corrigés de l'âge moyen 0,66 corrélation UCD/hab corrigées de l'âge moyen -0,60 14

15 UCD / habitant Volume (corrigé de l âge moyen) et densité médicale Plus de médecins, moins de volume Picardie Lorraine Nord-Pas-de- Calais Limousin 850 Centre Champagne- Ardennes Haute- Normandie Bourgogne Poitou- Charentes Auvergne Languedoc -Roussillon Basse- Normandie Pays-de-la- Loire Corse Franche- Comté Bretagne Densité médicale Aquitaine Alsace Midi- Pyrénées Rhône- Alpes Ile-de- France

16 Corrélation consommation médicamenteuse et densité médicale Régions / UCD corrigées de l'âge moyen UCD/hab corrigées de l'âge moyen Densité médicale pour habitants* 16 Île-de-France 0, ,4 Champagne-Ardenne 0, ,1 251,4 Picardie 0, ,4 231,2 Haute-Normandie 0, ,6 246,9 Centre 0, ,3 235,2 Basse-Normandie 0, ,8 259,4 Bourgogne 0, ,3 253,5 Nord-Pas-de-Calais 0, ,8 278,6 Lorraine 0, ,3 271,1 Alsace 0, ,9 Franche-Comté 0, ,6 273,4 Pays de la Loire 0, ,7 253,5 Bretagne 0, ,2 Poitou-Charentes 0, ,9 261,2 Aquitaine 0, ,4 309,1 Midi-Pyrénées 0, ,5 305,8 Limousin 0, ,6 299,6 Rhône-Alpes 0, ,2 305 Auvergne 0, ,6 Languedoc-Roussillon 0, ,9 305,8 Provence-Alpes-Côte d'azur 0,54 849,3 356,5 Corse 0, ,7 274 corrélation / UCD corrigés de l'âge moyen 0,50 corrélation UCD/hab corrigées de l'âge moyen -0,27 *source : Atlas de la démographie médicale CNOM 2014

17 / UCD Prix moyen de l UCD (corrigé de l âge moyen) et densité médicale Le densité médicale est associée à un niveau de prix de produits plus élevé 0,650 Ile-de- France 0,600 0,550 0,500 0,450 Picardie Centre Haute- Normandie Pays-de-la- Nord-Pas-de- Calais Corse Champagne- Loire Lorraine Franche-Comté Ardennes Basse- Normandie Bretagne Bourgogne Poitou- Auvergne Charentes Midi- Pyrénées Aquitaine Rhône- Alpes Languedoc -Roussillon Limousin Alsace 0, Presentation Title [via Insert tab > Header & Footer] 17 Fixed Date [via Insert tab > Header & Footer] Densité médicale

18 Corrélation des variables taux de substitution et de prescriptions substituables avec la variable densité toutes spécialités Taux de Régions françaises Densité toutes spécialités Taux de substitution prescription substituable Alsace 2,576 74% 67% Aquitaine 2,638 76% 67% Auvergne 2,055 77% 68% Basse-Normandie 1,919 81% 67% Bourgogne 2,261 79% 67% Bretagne 2,217 82% 67% Centre 1,930 80% 67% Champagne-Ardenne 2,114 80% 67% Corse 1,884 67% 68% Franche-Comté 2,071 77% 67% Haute-Normandie 2,089 79% 67% Île-de-France 3,241 75% 68% Languedoc-Roussillon 2,926 78% 67% Limousin 2,774 77% 67% Lorraine 2,202 76% 65% Midi-Pyrénées 2,282 75% 67% Nord-Pas-de-Calais 2,204 78% 67% Pays de la Loire 1,986 84% 67% Picardie 1,758 79% 66% Poitou-Charentes 1,917 79% 68% Provence-Alpes-Côte d'azur 3,182 78% 66% Rhône-Alpes 2,624 77% 66% CORRELATIONS densité toute spécialités -0,204-0,189 18

19 Taux moyens de prescriptions substituables(*) : une faible diversité sur les taux globaux Ile-de-France Limousin Indice (1,00=moyenne France) (*) Rapport des prescriptions dans le répertoire générique / totalité des prescriptions, UCD pour les classes avec répertoire génériques 19

20 Taux moyens de substitution en officine(*) : des différences plus marquées Ile-de-France Limousin Indice (1,00=moyenne France) (*) Dispensation de génériques / totalité des UCD dispensées dans le répertoire générique (génériques + princeps) pour les classes concernées 20

21 La diversité des scores de substitution par classes ne permet pas d expliquer le niveau de prix moyen de l UCD délivrée Régions classement euro/ucd corrigées de l'âge moyen Classement score total substitution* Limousin 1 18 Auvergne 2 10 Poitou-Charentes 3 4 Bourgogne 4 8 Basse-Normandie 5 3 Centre 6 5 Bretagne 7 1 Champagne-Ardenne 8 7 Aquitaine 9 17 Midi-Pyrénées Pays de la Loire 11 1 Lorraine Franche-Comté Picardie Corse Haute-Normandie 16 6 Languedoc-Roussillon 17 9 Nord-Pas-de-Calais Provence-Alpes-Côte d'azur Alsace Rhône-Alpes Île-de-France

22 Score Top 3 régions en nombre de classes supérieures à la moyenne du taux de substitution et de prescription substituable : des disparités fortes Score Score des plus fortes régions Score des plus faibles régions Nombre classes supérieures moyenne taux substitution 55 Nombre classes supérieures moyenne taux de prescription substtituable Score Maximum théorique :72 22

23 Taux moyens de prescriptions substituables - Taux moyens de substitution en officine Résultats Le calcul en moyenne toutes classes de ces taux offre une image très indifférencié des régions françaises L absence de disparités sur ces taux moyens masque des différences plus importantes quand on effectue les calculs au niveau plus fin de classe thérapeutique pour une pathologie donnée Ces différences sont illustrées par les analyses au niveau du diabète et du cancer 23

24 Conclusion : principaux enseignements Il existe bien des disparités régionales dans la consommation médicamenteuse Les disparités sont plus fortes en volume qu en prix moyen Les disparités en volumes sont moins prononcées lorsque l on tient compte du facteur âge La consommation en volume est inversement liée au niveau de vie La valeur des médicaments est positivement liée au niveau de vie La densité médicale est lié positivement au prix moyen de l UCD mais négativement (bien que légèrement) avec le volume. Les comportements de substitution et prescription des pharmacies sont très variables d une région à l autre 24

25 Agenda Contexte et objectifs Méthodologie Résultats Focus pathologies : diabète et cancer Pistes d économie et conclusion 25

26 /UCD vs moyenne France Consommation moyenne de UCD en ALD8 fonction du Coût moyen d une UCD par régions 1,20 1,15 Centre 1,10 1,05 1,00 0,95 Île-de-France Poitou-Charentes Picardie Rhône-Alpes Limousin Alsace Auvergne Midi-Pyrénées Basse-Normandie Provence-Alpes-Côte d'azur Bretagne Aquitaine Haute-Normandie Languedoc-Roussillon Nord-Pas-de-Calais Pays de la Loire Lorraine Franche-Comté Bourgogne 0,90 Champagne-Ardenne Corse 53 0,85 0,80 0,80 0,85 0,90 0,95 1,00 1,05 1,10 1,15 1,20 1,25 1,30 UCD/ALD8 vs moyenne France 26

27 Taux de générique et de prescription substituable, Antidiabétiques Oraux Taux de générique UCD (%) 96,0% Moyenne 78,1% Pays de la Loire 94,0% 92,0% 90,0% 88,0% Champagne- Ardenne Haute-Normandie Limousin Picardie Midi-Pyrénées Basse-Normandie Lorraine Alsace PACA Centre Bourgogne Rhône-Alpes Auvergne Nord-Pas-de- Calais Aquitaine Poitou-Charentes Ile-De-France Bretagne Moyenne 90% 86,0% 84,0% Franche-Comté Languedoc- Roussillon Corse 82,0% 72,0% 74,0% 76,0% 78,0% 80,0% 82,0% 84,0% Taux de prescription substituable UCD (%) 27

28 28 Corrélation des variables taux de substitution et de prescription substituable avec la variable euro/ucd, diabète DIABETE Regions françaises euro /UCD Taux de substitution Taux de prescription substituable Alsace 0,335 88,0% 75,6% Aquitaine 0,323 89,1% 78,6% Auvergne 0,302 90,0% 78,6% Basse-Normandie 0,316 92,5% 76,7% Bourgogne 0,323 90,7% 79,2% Bretagne 0,289 93,6% 83,2% Centre 0,314 92,8% 79,2% Champagne-Ardenne 0,316 90,9% 75,1% Corse 0,372 82,8% 83,2% Franche-Comté 0,332 89,0% 77,5% Haute-Normandie 0,321 90,4% 74,0% Île-de-France 0,315 88,2% 79,8% Languedoc-Roussillon 0,352 89,0% 76,9% Limousin 0,351 88,2% 74,6% Lorraine 0,349 89,0% 75,9% Midi-Pyrénées 0,323 89,3% 76,6% Nord-Pas-de-Calais 0,347 89,4% 78,7% Pays de la Loire 0,316 94,6% 81,6% Picardie 0,347 91,4% 75,3% Poitou-Charentes 0,288 90,9% 80,5% Provence-Alpes-Côte d'azur 0,332 90,4% 76,6% Rhône-Alpes 0,309 90,4% 79,9% CORRELATIONS CAPPUB/UCD -0,660-0,299 Une économie du médicament plus liée à la substitution générique qu à la prescription dans le répertoire

29 UCD/ALD8 vs moyenne France Consommation moyenne d une UCD en ALD8 fonction du niveau moyen de vie 1,25 1,20 1,15 Limousin Corse Languedoc-Roussillon Bourgogne 1,10 1,05 1,00 0,95 0,90 0,85 Poitou-Charentes Champagne-Ardenne Basse-Normandie Bretagne Franche-Comté Nord-Pas-de-Calais Auvergne Picardie Lorraine Aquitaine Midi-Pyrénées Provence-Alpes-Côte d'azur Centre Pays de la Loire Haute-Normandie Rhône-Alpes Alsace 53 Île-de-France 0,80 0,8 0,85 0,9 0,95 1 1,05 1,1 1,15 1,2 1,25 Niveau moyen de vie vs moyenne France 29

30 Corrélations Diabète Diabète Corrélation Entre coût moyen (2) consommation médicaments (3) population médicale (1) 0,202 0, (1) (Nombre médecins Endocrinologie et métabolisme + médecins généralistes) / nombre habitants région (2) Euro / nombre UCD région (3) Nombre UCD / nombre de patients en ALD8 région

31 /UCD8 vs moyenne France Coût moyen d une UCD en ALD8 fonction du niveau moyen de vie 1,15 Corse 1,10 1,05 1,00 0,95 0,90 Languedoc-Roussillon Nord-Pas-de-Calais Limousin Franche-Comté Bourgogne Haute-Normandie Basse-Normandie Champagne-Ardenne Pays de la Loire Auvergne Lorraine Picardie Alsace Provence-Alpes-Côte d'azur Midi-Pyrénées Aquitaine Centre Rhône-Alpes Île-de-France Poitou-Charentes Bretagne 0,85 0,8 0,85 0,9 0,95 1 1,05 1,1 1,15 1,2 1,25 1,3 Niveau moyen de vie vs moyenne France 31

32 Taux de générique UCD ( %) Taux de générique et de prescription substituable, Cancer 85,0% Moyenne 79,5% 80,0% Limousin Rhône-Alpes 75,0% 70,0% 65,0% 60,0% 55,0% Picardie Languedoc-Roussillon Île-de-France Haute-Normandie Pays de la Loire Lorraine Bourgogne Provence-Alpes-Côte d'azur Poitou-Charentes Corse Franche-Comté Nord-Pas-de-Calais Alsace Basse-Normandie Aquitaine Auvergne Midi-Pyrénées Centre Champagne-Ardenne Moyenne 67,5% 50,0% 45,0% Bretagne 40,0% 72,0% 74,0% 76,0% 78,0% 80,0% 82,0% 84,0% Taux de prescription substituable UCD ( %) 32

33 /UCD vs moyenne France Consommation moyenne de UCD en ALD30 et coût moyen d une UCD par régions 1,15 Faible & cher Auvergne Fort & cher 1,10 Bourgogne Picardie Corse Limousin 1,05 Franche-Comté Champagne-Ardenne Languedoc-Roussillon 1,00 0,95 0,90 Faible & peu cher Aquitaine Auvergne Midi-Pyrénées Lorraine PACA Alsace Île-de-France Nord-Pas-de-Calais Centre Haute-Normandie Poitou-Charentes 53 Rhône-Alpes Fort & peu cher Basse-Normandie 0,85 0,70 0,75 0,80 0,85 0,90 0,95 1,00 1,05 1,10 1,15 1,20 UCD/ALD30 vs moyenne France 33

34 Corrélation des variables taux de substitution et de prescription substituable avec la variable euro/ucd, cancer 34 CANCER Taux de prescription Regions françaises euro /UCD Taux de substitution substituable Alsace 8,166 62,2% 81,6% Aquitaine 8,144 69,0% 79,7% Auvergne 9,394 58,1% 81,4% Basse-Normandie 7,537 70,1% 82,7% Bourgogne 8,837 66,3% 79,2% Bretagne 8,239 78,8% 76,6% Centre 8,507 71,9% 81,8% Champagne-Ardenne 8,736 72,9% 79,8% Corse 8,877 44,0% 77,4% Franche-Comté 8,638 74,3% 74,0% Haute-Normandie 8,033 70,2% 79,9% Île-de-France 7,684 70,0% 78,3% Languedoc-Roussillon 8,726 65,5% 78,0% Limousin 8,880 67,7% 80,6% Lorraine 7,937 63,8% 80,8% Midi-Pyrénées 8,152 70,7% 79,9% Nord-Pas-de-Calais 7,554 66,4% 79,7% Pays de la Loire 7,892 78,5% 78,5% Picardie 8,844 61,8% 79,8% Poitou-Charentes 7,665 70,8% 79,6% Provence-Alpes-Côte d'azur 8,438 67,9% 79,4% Rhône-Alpes 8,197 63,1% 80,7% CORRELATIONS CAPPUB/UCD -0,408-0,174 Une économie du médicament plus liée à la substitution générique qu à la prescription dans le répertoire

35 UCD/ALD30 VS moyenne France Consommation moyenne d UCD en ALD30 et niveau de vie 1,2 1,15 Centre 1,1 Corse Franche-Comté Limousin 1,05 Picardie Alsace Poitou-Charentes Basse-Normandie Île-de-France 1 0,95 0,9 Auvergne Pays de la Loire Bretagne Provence-Alpes-Côte d'azur Bourgogne Languedoc-Roussillon Lorraine Rhône-Alpes Midi-Pyrénées Aquitaine Haute-Normandie Nord-Pas-de-Calais 0,85 0,8 0,75 Champagne-Ardenne 0,7 0,9 0,95 1 1,05 1,1 1,15 1,2 1,25 35 Niveau de vie vs moyenne France

36 /UCD30 vs moyenne France Coût moyen d une UCD en ALD30 fonction du niveau moyen de vie 1,15 Auvergne 1,10 1,05 1,00 0,95 0,90 Corse Bourgogne Limousin Picardie Champagne-Ardenne Languedoc-Roussillon Franche-Comté Provence-Alpes-Côte d'azur Bretagne Rhône-Alpes Midi-Pyrénées Alsace Aquitaine Haute-Normandie Lorraine Pays de la Loire Poitou-Charentes Nord-Pas-de-Calais Centre Basse-Normandie Île-de-France 0,85 0,8 0,85 0,9 0,95 1 1,05 1,1 1,15 1,2 1,25 1,3 Niveau moyen de vie vs moyenne France 36

37 Corrélations Cancer Cancer Corrélation Entre population médicale (1) coût moyen (2) consommation médicaments (3) 0,236 0,120 (1)Nombre activités Oncologie + Médecine nucléaire + Radio-thérapie / nombre habitants région (2)Euro / nombre UCD région (3)Nombre UCD / nombre de patients en ALD30 région 37

38 Conclusion : principaux enseignements L approche par pathologie révèle des disparités invisibles en total toutes classes. Pour le cancer comme le diabète, nous constatons une faible corrélation entre population médicale prenant en charge la pathologie et coût moyen ou la consommation de médicaments. Pour ces mêmes pathologies, nous observons une faible corrélation entre le taux de prescription substituable et la variable coût moyen d une UCD ; si la corrélation euro/ucd et taux de substitution est relativement forte pour le diabète, pour le cancer elle est plus faible. 38

39 Agenda Contexte et objectifs Méthodologie Résultats Focus pathologies : diabète et cancer Pistes d économie et conclusion 39

40 Modéliser les économies potentielles Approche méthodologique A partir de notre base de données, nous avons voulu appliquer trois modèles d optimisation. Nous avons développé ces modèles en prenant comme hypothèses : Une harmonisation des pratiques est possible à la hauteur de la moyenne observée des pratiques dans les différentes régions. Les volumes de chaque région ne doivent pas être affectés par ces modèles pour conserver la plus grande partie des spécificités épidémiologiques de la région. 40

41 Traitement des disparités régionales Les pistes d économies 1. Un modèle «pathologies» : l alignement du coût moyen du médicament prescrit des régions les plus chères sur la moyenne des régions pathologies par pathologies (métaclasses thérapeutique. 2. Un modèle «pratiques du générique» : l alignement des pratiques médicales et pharmaceutiques relatives au générique sur la pratique moyenne des régions pathologies par pathologies avec un alignement sur la pratique moyenne en taux de prescription dans le répertoire ainsi qu en taux de substitution effective. 41

42 Traitement des disparités régionales Le modèle «pathologies» Situation : l optimisation donne des résultats variables par domaine thérapeutique avec des enveloppes d optimisation en remboursement qui vont de 78 millions d euros pour la classe la plus «optimisable» à moins de euros pour l optimisation la plus modeste. En pourcentage des dépenses 2013 des domaines thérapeutiques cette optimisation va de 6,8% à 0,6%. Pour l ensemble des domaines thérapeutiques, l alignement donnerait une économie de : 738 millions d euros en base de remboursement soit 560 millions d euros en remboursement. 42

43 Modèle «pathologies» Top 10 domaine thérapeutiques en économies (chiffres en millions d euros) Méta-classes Economie base Economie remb. % économie 1. Autres 102,3 77,8 6,6% 2. Antiasthmatiques 88,2 67,0 6,4% 3. Polyyarthrite rhumatoïde 53,5 40,7 6,8% 4. Antithrombotiques 41,4 31,5 5,8% 5. Ophtalmologie 35,9 27,3 3,5% 6. Appareil digestif divers 35,4 26,9 3,7% 7. Antihypertenseurs 34,3 26,2 1,4% 8. Vaccins 22,2 16,9 4,3% 9. Antipsychotiques 21,2 16,1 3,7% 10. Hormones 21,1 16,1 4,6% TOTAL 737,9 560,8 2,7% 43

44 Modèle «pathologies» Analyse critique Plus proche de la réalité clinique il donne des objectifs par domaine thérapeutique. En revanche, il est tributaire de la précision de nos regroupements de classes thérapeutiques (les «métaclasses»). Il affecte des optimisations sur des classes où on peut interroger la nécessité d optimisation, comme les vaccins par exemple où la couverture vaccinale et sa conformité avec le calendrier de vaccination est un objectif majeur de santé publique. 44

45 Traitement des disparités régionales Le modèle «pratiques du générique» Situation : les taux de prescriptions substituables ainsi que les taux de substitution générique sont très variable selon les régions et les pathologies (cf. Top3 des régions sur ces critères). L application de ce modèle donne un potentiel d économies de : 143 millions d euros en base de remboursement soit 108 millions d euros en remboursement. 45

46 Le modèle «pratiques du générique» Top 10 méta-classes en économie potentielle (millions d euros) Hormones Antipsychotiques Antiagrégants Contraceptifs Analgésiques narcotiques Alzheimer Appareil digestif div. Antiasthmatiques Antihypertenseurs Autres 8,0 6,1 8,1 6,1 9,3 7,1 11,7 8,9 12,2 9,3 13,0 9,9 13,7 10,4 16,5 12,6 17,2 22,7 29,1 38,2 0,0 5,0 10,0 15,0 20,0 25,0 30,0 35,0 40,0 45,0 Base Remboursements Economie totale : 231,4 millions d euros en base, 175,8 millions d euros en remboursements Presentation Title [via Insert tab > Header & Footer] 46 Fixed Date [via Insert tab > Header & Footer]

47 Modèle «pratiques du générique» Analyse critique Il est encore plus proche du terrain en simulant l application de pratiques de prescription dans le répertoire et de substitution pharmaceutique par domaine thérapeutique mais il limite l optimisation à ce seul aspect. Le prix moyen de l UCD délivrée n est pas dépendant du seul niveau de pratiques génériques mais les économies potentielles, plus modestes, que pour le modèle radical, sont réelles. Elle constituent une voie intéressante dans la mesure où l extension du répertoire générique ne sera pas très forte dans le futur proche compte tenu de l absence de produits très importants tombant dans le domaine public et de l extension au paracétamol qui ne donnerait qu un très faible différentiel de prix. 47

48 Conclusion : les modèles d économies Pour chacun des modèles le changement supposé ne concerne que les régions au coût supérieur à la moyenne française. Il aligne les régions sur un objectif théorique atteignable car en rapport avec la pratique (moyenne observée sur les régions) et non sur un minimum qui pourrait représenter les régions donnant le plus faible accès aux innovations thérapeutiques plus chers. Aucun modèle ne suppose une régulation par les volumes. Les UCD restent constants, seul leur coût est modifié. Les pistes d actions dégagées par chacun des modèles pourraient être ciblées de façon plus précise en utilisant les chiffres disponibles dans la base créée pour cette étude, par exemple pour le modèle «pratiques» : Quelles classes thérapeutiques dans une région précise et la place du levier «prescription dans le répertoire» et «substitution générique»? Quelles régions pour une classe thérapeutique précises avec la place du levier «prescription dans le répertoire» et «substitution générique»? Quels couples régions-classes thérapeutiques à optimiser pour les leviers «prescription dans le répertoire» et «substitution générique»? 48

49 Conclusion : les perspectives Si nous avons vu que les disparités régionales sont importantes les facteurs de démographie (âge), démographie médicale ou d usage du générique n en explique qu une partie. Au-delà des facteurs épidémiologiques et de l état sanitaire moyen d une population d une région, d autres facteurs ont intuitivement un impact sur le médicament : Les pratiques médicales et les stratégies thérapeutiques utilisées pour de mêmes cas cliniques Les actions menées par les agences régionales sur ces mêmes pratiques Dans tous les cas les analyses plus fines à mener devraient adopter une approche par pathologie et une granularité plus fine comme le département pour rendre compte également des disparités intra-région. 49

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