Licence 2 nde année Jussieu, année 2014/2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Licence 2 nde année Jussieu, année 2014/2015"

Transcription

1 Licence 2 nde année Jussieu, année 2014/2015

2 INTRODUCTION Rappel Le transfert d énergie par conduction se produit dans tout référentiel. Analogie électrique Il est aisément identifiable dans le référentiel lié à un élément matériel, dès lors qu il existe un gradient de température. Ce transfert représente l effet global du transport d énergie par les porteurs élémentaires (molécules, électrons, ).

3 INTRODUCTION Rappel Le transfert d énergie par conduction se produit dans tout référentiel. Analogie électrique Il est aisément identifiable dans le référentiel lié à un élément matériel, dès lors qu il existe un gradient de température. Ce transfert représente l effet global du transport d énergie par les porteurs élémentaires (molécules, électrons, ).

4 INTRODUCTION Rappel Le transfert d énergie par conduction se produit dans tout référentiel. Analogie électrique Il est aisément identifiable dans le référentiel lié à un élément matériel, dès lors qu il existe un gradient de température. Ce transfert représente l effet global du transport d énergie par les porteurs élémentaires (molécules, électrons, ).

5 INTRODUCTION Cas particulier 1: cas d un fluide Les porteurs élémentaires (molécules, atomes, ions, ) sont caractérisés par des énergies de translation, éventuellement de vibration/rotation et des énergies électroniques. Analogie électrique Le formalisme d Enskog permet d accéder avec une bonne précision aux propriétés de transport à partir de considérations au niveau élémentaire.

6 INTRODUCTION Cas particulier 1: cas d un fluide Les porteurs élémentaires (molécules, atomes, ions, ) sont caractérisés par des énergies de translation, éventuellement de vibration/rotation et des énergies électroniques. Analogie électrique Le formalisme d Enskog permet d accéder avec une bonne précision aux propriétés de transport à partir de considérations au niveau élémentaire.

7 INTRODUCTION Cas particulier 2: cas d un solide Analogie électrique Les atomes sont liés entre eux au sein d un réseau cristallin plus ou moins parfait. Les agents de thermalisation sont appelés phonons, résultant de la transmission de proche en proche des quanta de vibration du réseau. Ces porteurs élémentaires sont éventuellement aidés par les électrons libres. N.B.: conduction thermique ~ conduction électrique

8 INTRODUCTION Cas particulier 2: cas d un solide Analogie électrique Les atomes sont liés entre eux au sein d un réseau cristallin plus ou moins parfait. Les agents de thermalisation sont appelés phonons, résultant de la transmission de proche en proche des quanta de vibration du réseau. Ces porteurs élémentaires sont éventuellement aidés par les électrons libres. N.B.: conduction thermique ~ conduction électrique

9 INTRODUCTION Cas particulier 2: cas d un solide Analogie électrique Les atomes sont liés entre eux au sein d un réseau cristallin plus ou moins parfait. Les agents de thermalisation sont appelés phonons, résultant de la transmission de proche en proche des quanta de vibration du réseau. Ces porteurs élémentaires sont éventuellement aidés par les électrons libres. N.B.: conduction thermique ~ conduction électrique

10 INTRODUCTION Cas particulier 2: cas d un solide Analogie électrique Les atomes sont liés entre eux au sein d un réseau cristallin plus ou moins parfait. Les agents de thermalisation sont appelés phonons, résultant de la transmission de proche en proche des quanta de vibration du réseau. Ces porteurs élémentaires sont éventuellement aidés par les électrons libres. N.B.: conduction thermique ~ conduction électrique

11 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Milieu homogène et isotrope La loi de Fourier permet d exprimer le vecteur flux surfacique conduit au sein d un tel milieu: où λ(t) est appelée conductivité thermique [W/m/K] T est la température Analogie électrique N.B.: Le signe rend compte du 2 nd principe de la thermodynamique.

12 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Milieu homogène et isotrope La loi de Fourier permet d exprimer le vecteur flux surfacique conduit au sein d un tel milieu: où λ(t) est appelée conductivité thermique [W/m/K] T est la température Analogie électrique N.B.: Le signe rend compte du 2 nd principe de la thermodynamique.

13 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Analogies La loi de Fourier est une approximation de la réponse au 1 er ordre du milieu à une perturbation thermique. En cela, elle est l analogue de lois régissant des phénomènes similaires de diffusion. Analogie électrique Ex 1: loi d Ohm sous forme locale j j = σ E = σ où est le vecteur densité de courant σ la conductivité électrique du milieu E le champ électrique V le potentiel électrique gradv

14 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Analogies La loi de Fourier est une approximation de la réponse au 1 er ordre du milieu à une perturbation thermique. En cela, elle est l analogue de lois régissant des phénomènes similaires de diffusion. Analogie électrique Ex 1: loi d Ohm sous forme locale j j = σ E = σ où est le vecteur densité de courant σ la conductivité électrique du milieu E le champ électrique V le potentiel électrique gradv

15 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Analogies La loi de Fourier est une approximation de la réponse au 1 er ordre du milieu à une perturbation thermique. En cela, elle est l analogue de lois régissant des phénomènes similaires de diffusion. Analogie électrique Ex 1: loi d Ohm sous forme locale où est le vecteur densité de courant σ la conductivité électrique du milieu le champ électrique V le potentiel électrique

16 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Analogies La loi de Fourier est une approximation de la réponse au 1 er ordre du milieu à une perturbation thermique. En cela, elle est l analogue de lois régissant des phénomènes similaires de diffusion. Analogie électrique Ex 2: loi de Fick où est le vecteur flux surfacique de masse de l espèce S [kg/m 2 /s] D S la diffusivité de l espèce S [m 2 /s] C S la concentration massique en S [kg/m 3 ]

17 FLUX CONDUCTIFS Limitations Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur La loi de Fourier présuppose l instantanéité en tout point du milieu de la réponse à une perturbation thermique survenue en 1 point M. Analogie électrique Validité: cette hypothèse est valide dans le cas général où les échelles de temps considérées sont grandes en regard du temps de relaxation caractérisant le transfert par collision entre porteurs élémentaires.

18 FLUX CONDUCTIFS Limitations Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur La loi de Fourier présuppose l instantanéité en tout point du milieu de la réponse à une perturbation thermique survenue en 1 point M. Analogie électrique Validité: cette hypothèse est valide dans le cas général où les échelles de temps considérées sont grandes en regard du temps de relaxation caractérisant le transfert par collision entre porteurs élémentaires.

19 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Limitations La loi de Fourier présuppose sur sa forme basique l isotropie du matériau. conductivité du graphite pyrolithique: a/ parallèlement au plan de clivage b/ perpendiculairement Analogie électrique

20 FLUX CONDUCTIFS Limitations Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur La loi de Fourier présuppose sur sa forme basique l isotropie du matériau. la loi de Fourier peut se généraliser en traduisant les conductivités sous forme de tenseur conductivité du graphite pyrolithique: a/ parallèlement au plan de clivage b/ perpendiculairement Analogie électrique

21 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Ordre de grandeur La gamme de conductivité thermique s étend sur une échelle relative de 1 à N.B.: échelle de conductivité électrique = 1 à bons conducteurs Analogie électrique mauvais conducteurs

22 FLUX CONDUCTIFS Loi de Fourier Analogies Limitations Ordre de grandeur Ordre de grandeur Application: isolation par lame gazeuse (à condition de réduire la dimension caractéristique du volume dédié au gaz) ex: laine de verre bons conducteurs Analogie électrique mauvais conducteurs

23 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Phénomène de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. z tube de champ O y ds M x Débit-masse à travers ds:

24 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Phénomène de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. z tube de champ O y ds M x Débit d enthalpie associé: dφ cv = dm h = ρ v n h ds

25 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Phénomène de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. Débit d enthalpie associé: Vecteur flux surfacique associé: Flux surfacique associé:

26 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Types de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. Convection forcée (ex: radiateur de voiture) Convection naturelle (ex: chauffage par la sol) Convection mixte L efficacité de chacun de ces types de convection est intimement liée à l écoulement (laminaire/turbulent) qui lui donne naissance.

27 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Types de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. Convection forcée (ex: radiateur de voiture) Convection naturelle (ex: chauffage par la sol) Convection mixte L efficacité de chacun de ces types de convection est intimement liée à l écoulement (laminaire/turbulent) qui lui donne naissance.

28 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Types de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. Convection forcée (ex: radiateur de voiture) Convection naturelle (ex: chauffage par la sol) Convection mixte L efficacité de chacun de ces types de convection est intimement liée à l écoulement (laminaire/turbulent) qui lui donne naissance.

29 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur Types de convection Rappel: La convection thermique est un transfert d énergie par rapport à un repère donné, consécutif à un transport macroscopique de masse dans ce repère. Convection forcée (ex: radiateur de voiture) Convection naturelle (ex: chauffage par la sol) Convection mixte L efficacité de chacun de ces types de convection est intimement liée à l écoulement (laminaire/turbulent) qui lui donne naissance.

30 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS y Physique du phénomène l T 2 Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur O T 1 x l T 2 T profil purement conductif O T 1 T m T profil réel profil approché

31 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Formulation l T 2 T Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur O T 1 T m T profil approché Problème: le flux conduit en proche paroi résulte du couplage entre phénomènes conductifs (transverse à l écoulement) et phénomènes convectif (parallèle à l écoulement). En toute rigueur, il faut résoudre une formulation thermomécanique du problème

32 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Formulation l T 2 T Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur O T 1 T m T profil approché Problème: le flux conduit en proche paroi résulte du couplage entre phénomènes conductifs (transverse à l écoulement) et phénomènes convectif (parallèle à l écoulement). En toute rigueur, il faut résoudre une formulation thermomécanique du problème

33 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Formulation l T 2 T Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur ξ O T 1 T m T profil approché Approximation: on discrétise le profil de température en 3 parties linéaires.

34 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Formulation Approximation: Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur h est appelé coefficient de transfert convectif à la paroi. h dépend uniquement des propriétés thermophysiques du fluide et de la nature de l écoulement (donc de la rugosité).

35 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Formulation Approximation: Définitions Physique Formulation Ordres de grandeur h est appelé coefficient de transfert convectif à la paroi. h dépend uniquement des propriétés thermophysiques du fluide et de la nature de l écoulement (donc de la rugosité).

36 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Ordre de grandeur Définitions Physique Formulation Ordre de grandeur cas purement conductif cas convectif En général efficacité des transferts convectifs

37 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Ordre de grandeur Définitions Physique Formulation Ordre de grandeur cas purement conductif cas convectif En général efficacité des transferts convectifs

38 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Ordre de grandeur Définitions Physique Formulation Ordre de grandeur cas purement conductif cas convectif ϕ = λ T T l cd y= 0 f cc T T1 ϕ λ m = y= 0 f ξ + En général efficacité des transferts convectifs

39 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Ordre de grandeur Définitions Physique Formulation Ordre de grandeur cas purement conductif cas convectif En général efficacité des transferts convectifs

40 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Ordre de grandeur Définitions Physique Formulation Ordre de grandeur Type de transfert Fluide h (W/m2/K) convection naturelle convection forcée changement de phase (eau) gaz 5-30 eau gaz eau huile métal liquide ébullition condensation

41 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Généralités Généralités cas 1 cas 2 cas 3 De façon classique, la température T est supposée continue aux limites du domaine d étude. De même, le flux surfacique d énergie (au sens large) y est supposé continu. Contre-exemples: contact thermique imparfait interface entre 2 phases

42 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Généralités Généralités cas 1 cas 2 cas 3 De façon classique, la température T est supposée continue aux limites du domaine d étude. De même, le flux surfacique d énergie (au sens large) y est supposé continu. Contre-exemples: contact thermique imparfait interface entre 2 phases

43 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Généralités Généralités cas 1 cas 2 cas 3 De façon classique, la température T est supposée continue aux limites du domaine d étude. De même, le flux surfacique d énergie (au sens large) y est supposé continu. Contre-exemples: contact thermique imparfait interface entre 2 phases

44 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS C.L. 1: milieu opaque et milieu transparent Solide opaque Fluide transparent h T 0 λ S, T S 0 λ f, T f x Généralités cas 1 cas 2 cas 3 Continuité du flux surfacique suivant (Ox): T R [ ( 0) T ] S λ S = h TS 0 + ϕ x x= 0 avec ϕ R e = ϕ a ϕ

45 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS C.L. 1: milieu opaque et milieu transparent Solide opaque Fluide transparent h T 0 λ S, T S 0 λ f, T f x Généralités cas 1 cas 2 cas 3 Continuité du flux surfacique suivant (Ox): avec

46 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS C.L. 2: 2 milieux opaques Solide opaque Liquide opaque h T 0 λ S, T S 0 λ f, T f x Généralités cas 1 cas 2 cas 3 cd ϕ S R ϕ = 0 Continuité du flux surfacique suivant (Ox): λ S T x S x= 0 = [ ( 0) T ] h T S 0

47 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS C.L. 2: 2 milieux opaques Solide opaque Liquide opaque h T 0 λ S, T S 0 λ f, T f x Généralités cas 1 cas 2 cas 3 Continuité du flux surfacique suivant (Ox):

48 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Généralités cas 1 cas 2 cas 3 C.L. 3: milieu semi-transparent et milieu transparent Continuité du flux surfacique radiatif (pas d absorption surfacique): Solide semi transparent λ S, T S Fluide transparent h T 0 0 λ f, T f x Continuité du flux surfacique conductif:

49 FLUX CONDUCTO-CONVECTIFS Généralités cas 1 cas 2 cas 3 C.L. 3: milieu semi-transparent et milieu transparent Continuité du flux surfacique radiatif (pas d absorption surfacique): Solide semi transparent λ S, T S Fluide transparent h T 0 0 λ f, T f x Continuité du flux surfacique conductif:

50 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds S Formulation intégrale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale On réalise le bilan sous forme intégrale: où ε = t q = q q n ds + cd S= V ext V P dv + q R P: puissance volumique engendrée en un point M du système (ex: effet Joule)

51 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds S Formulation intégrale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale On réalise le bilan sous forme intégrale: où P: puissance volumique engendrée en un point M du système (ex: effet Joule)

52 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds Formulation locale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale Pour un régime stationnaire: S Avec le théorême de la divergence:

53 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds Formulation locale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale Pour un régime stationnaire: S Avec le théorême de la divergence:

54 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds Formulation locale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale Pour un régime stationnaire: S soit sous forme locale:

55 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds Formulation locale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale Pour un régime stationnaire: S soit sous forme locale:

56 EQUATION DE LA CHALEUR (V) ds Formulation locale Système indéformable fixe continu matériel Forme intégrale Forme locale Pour un régime stationnaire: S avec les conditions aux limites abordées précédemment, cette équation conduit à un problème mathématique clos, à solution unique.

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

Plan du cours : électricité 1

Plan du cours : électricité 1 Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

Les calculatrices sont autorisées

Les calculatrices sont autorisées Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de

Plus en détail

Cours de Mécanique du point matériel

Cours de Mécanique du point matériel Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον

Plus en détail

Cours de mécanique des fluides. Olivier LOUISNARD

Cours de mécanique des fluides. Olivier LOUISNARD Cours de mécanique des fluides Olivier LOUISNARD 25 septembre 2012 Cette création est mise à disposition selon le Contrat Paternité-Pas d Utilisation Commerciale-Pas de Modification 2.0 France disponible

Plus en détail

Cours 1. Bases physiques de l électronique

Cours 1. Bases physiques de l électronique Cours 1. Bases physiques de l électronique Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 2005 1 Champ électrique et ses propriétés Ce premier cours introduit

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique 1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis

Plus en détail

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition

Plus en détail

Conseils en Ingénierie mécanique

Conseils en Ingénierie mécanique Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

5. Les conducteurs électriques

5. Les conducteurs électriques 5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE

MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel

Plus en détail

3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels

3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels 3ème séance de Mécanique des fluides Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait 1 Généralités 1.1 Introduction 1.2 Équation d Euler 1.3 Premier théorème de Bernoulli 1.4

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

Génie Industriel et Maintenance

Génie Industriel et Maintenance Génie Industriel et Maintenance Pour qu aucun de ces systèmes ne tombe en panne. Plan de la visite 1 2 3 6 4 5 Guide visite du département Génie Industriel et Maintenance 1 Salles Informatiques Utilisation

Plus en détail

Choix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)

Choix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts) SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010

Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC

Plus en détail

Propriétés électriques de la matière

Propriétés électriques de la matière 1 Propriétés électriques de la matière La matière montre des propriétés électriques qui ont été observées depuis l antiquité. Nous allons distinguer les plus fondamentales de ces propriétés. 1 Propriétés

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Sophie Guézo Alexandra Junay

Sophie Guézo Alexandra Junay Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base

Plus en détail

Centre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique

Plus en détail

2.3. Validation expérimentale par des mesures dans la flamme. Tableau 2.7 Modèles préconisés pour la simulation d un brûleur à Oxydation sans Flamme.

2.3. Validation expérimentale par des mesures dans la flamme. Tableau 2.7 Modèles préconisés pour la simulation d un brûleur à Oxydation sans Flamme. 2.3. Validation expérimentale par des mesures dans la flamme Tableau 2.7 Modèles préconisés pour la simulation d un brûleur à Oxydation sans Flamme. Modèle Remarques Turbulence k ε standard Résolution

Plus en détail

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations

Plus en détail

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14

Plus en détail

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence. Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas

Plus en détail

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt

Plus en détail

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus

Plus en détail

Le nouveau programme en quelques mots :

Le nouveau programme en quelques mots : Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Etude aérodynamique du nouveau véhicule Eco-marathon ECAM

Etude aérodynamique du nouveau véhicule Eco-marathon ECAM Etude aérodynamique du nouveau véhicule Eco-marathon ECAM Ing. S. Vandenbussche Prof. Dr Ir L. Bricteux ECAM Bruxelles Prof. Dr Ir J. van Beeck Von Karman institute Cet article traite de l étude et de

Plus en détail

Le transistor bipolaire

Le transistor bipolaire IUT Louis Pasteur Mesures Physiques Electronique Analogique 2ème semestre 3ème partie Damien JACOB 08-09 Le transistor bipolaire I. Description et symboles Effet transistor : effet physique découvert en

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

Électricité statique Édition INRS ED 874

Électricité statique Édition INRS ED 874 Électricité statique L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS est un organisme scientifique et technique qui travaille,

Plus en détail

Université de Provence (Aix-Marseille I) UMR CNRS 6595 école polytechnique universitaire de Marseille. pour obtenir le grade de :

Université de Provence (Aix-Marseille I) UMR CNRS 6595 école polytechnique universitaire de Marseille. pour obtenir le grade de : Université de Provence (Aix-Marseille I) UMR CNRS 6595 école polytechnique universitaire de Marseille THÈSE pour obtenir le grade de : Docteur de l Université de Provence en Mécanique et Énergétique École

Plus en détail

hydrogène au service des énergies renouvelables

hydrogène au service des énergies renouvelables Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail

Catalogue de formation

Catalogue de formation Enregistré sous le numéro : 11 91 012 9991 auprès du Commissaire de la République de la Région Ile de France et du Département de Paris, CADLM propose un ensemble de formation dont les programmes sont

Plus en détail

Différents types de matériaux magnétiques

Différents types de matériaux magnétiques Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée

Plus en détail

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU) 0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2

Plus en détail

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre

Plus en détail

Physique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR

Physique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR hysique EMÉRAURE, CHALEUR rof. André errenoud Edition mai 8 Andre.errenoud (at) heig-vd.ch HEIG-D / AD A B L E D E S M A I E R E S AGE. INRODUCION.... NOIONS DE EMÉRAURE E DE CHALEUR.... LES ÉCHANGES

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen

Plus en détail

Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document

Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité

Plus en détail

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème... TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................

Plus en détail

Mécanique des fluides Rappels

Mécanique des fluides Rappels Mécanique des fluides Rappels Jean-Martial Coard Jean-martial.coard@mg.inpg.fr Plan du cours I- GENERLITE II- RPPEL DE STTIUE 1- Principe fondamentale de la statique 2- efforts sur les parois immergées

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

P7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine

P7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine P7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine Caractéristiques Modèle de démonstration d un système à vapeur représentatif d un Système d Alimentation Industriel Appareil

Plus en détail

Le modèle de Black et Scholes

Le modèle de Black et Scholes Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un

Plus en détail

Chapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique

Chapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors

Plus en détail

Les effets de température

Les effets de température Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil

Plus en détail

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques. Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.

Plus en détail

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du

Plus en détail

SYLLABUS SEMESTRE 9 Année 2011-2012

SYLLABUS SEMESTRE 9 Année 2011-2012 SYLLABUS SEMESTRE 9 2011-2012 Parcours GM «Génie Mer» Responsable : Olivier Kimmoun Tel.: 04 91 05 43 21 E-mail : olivier.kimmoun@centrale-marseille.fr TRONC COMMUN GM Nb heures élèves (hors examen) GMR-51-P-ELMA

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise

Plus en détail

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES !"#!$# #"%&&&&' 1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES DEMANDES... 5 1.5.1. Du lundi au vendredi

Plus en détail