LES ENFANTS ET LA SANTÉ

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES ENFANTS ET LA SANTÉ"

Transcription

1 Francesco Zizola / Noor FICHES PÉDAGOGIQUES LES ENFANTS ET LA SANTÉ mode d emploi Ce programme pédagogique se compose d une série de fiches illustrées destinées à être utilisées dans les classes. Ces fiches sont uniquement accessibles sur le site Internet de Médecins Sans Frontières ( Elles peuvent être téléchargées et imprimées gratuitement. Leur format a été spécialement étudié et adapté à leur utilisation. --- Informations Médecins Sans Frontières, R 68 rue de Gasperich L-1617 Luxembourg Tél.: Merci pour votre intérêt et bonne lecture!

2 FICHE 1 LES ENFANTS ET LA SANTÉ Tous les enfants ont des droits notamment en matière de santé. Etre en bonne santé est un droit et, à ce titre, il est inscrit dans la Convention internationale des droits de l enfant (adoptée en 1989 par l Assemblée Générale des Nations Unies). De cette bonne santé dépend, en effet, la croissance et le développement futur de l enfant dans les meilleures conditions. Les enfants doivent donc bénéficier de la protection et des soins nécessaires à leur bien-être. Au Luxembourg, pour éviter que les plus jeunes n attrapent certaines maladies, qui peuvent parfois se révéler dangereuses, il existe des programmes de vaccination appropriés. De même, en cas de problèmes de santé, les enfants doivent se rendre chez le médecin, le dentiste, l ophtalmologue ou encore à l hôpital. Les soins de santé de qualité coûtant souvent chers, les autorités sanitaires font en sorte de les rendre financièrement accessibles à tous, particulièrement aux enfants et aux jeunes. Ainsi, les vaccins obligatoires sont gratuits et tous les enfants doivent se rendre à la visite médicale scolaire. Les adultes sont affiliés à une mutuelle, qui rembourse en partie le prix d une visite chez le médecin ou le spécialiste. Le système n étant pas par-fait, pour une certaine catégorie de personnes, les soins de santé peuvent cependant rester chers. Toujours est-il que le Luxembourg dispose d un des meilleurs systèmes de soins de santé au monde. Dans les pays pauvres, par contre, le système de santé n est pas aussi développé. Les soins sont souvent trop chers et parfois même inexistants. Dans ces pays, de nombreux enfants meurent ainsi avant l âge de cinq ans de causes diverses, dont les principales sont la malnutrition, les infections respiratoires, les diarrhées, le paludisme, la rougeole ou encore le sida. Or, s ils avaient reçu les médicaments adéquats, ou mieux, s ils avaient été vaccinés, ces enfants seraient peut-être encore en vie. Déjà au cours de la grossesse, la santé est importante tant pour la mère que pour l enfant à naître. Au Luxembourg, les femmes enceintes sont donc suivies par leur gynécologue ou leur sage-femme. Elles reçoivent des compléments de vitamines et, grâce à des techniques modernes comme l échographie, elles savent comment se porte leur bébé: s il grandit bien, ou s il y a un risque de complications. La qualité de ces soins permet donc, la plupart du temps, à la grossesse de se terminer de façon heureuse. Dans les pays en développement, les femmes enceintes ne se font pas examiner tous les mois. Parfois, il n y a tout simplement pas de médecin à proximité. Dans d autres cas, l hôpital le plus proche est à plusieurs heures de marche. Beaucoup de femmes enceintes meurent pendant la grossesse, pendant l accouchement ou juste après. Dans certains pays, il y a même jusqu à deux cent fois plus de femmes qui meurent dans ces circonstances qu'au Luxembourg.

3 FICHE 2 QUELQUES CHIFFRES Chaque année, près de 11 millions d enfants meurent avant leur cinquième anniversaire faute de soins. Ils succombent à des infections des voies respiratoires, à la rougeole, le paludisme ou la diarrhée. Des maladies pourtant faciles à soigner lorsque l enfant peut bénéficier d un traitement et de soins adaptés. Chaque année, dans le monde, de 3,5 à 5 millions d enfants meurent avant d atteindre l âge de 5 ans des conséquences de la malnutrition. Pendant leur premier mois d existence, les bébés sont souvent sujets à des infections. 98% des nouveau-nés qui ne survivent pas sont nés dans un pays pauvre. Chaque année, plus d un million d enfants meurent du paludisme. 75% d entre eux vivent sur le continent africain et sont âgés de moins de 5 ans. 1,9 million d enfants vivent avec le VIH/sida. Or, seul 1 enfant sur 10 reçoit effectivement un traitement. Dans le monde, un enfant sur cinq ne dispose pas de suffisamment d eau potable et de bonnes installations sanitaires (comme des toilettes, des lavabos et des douches). Chaque jour, décès d enfants sont liés à cette situation. Misha Friedman

4 FICHE 3 QUE FAIT MSF? Médecins Sans Frontières est une organisation humanitaire médicale. Il est donc logique que la santé des enfants constitue une préoccupation majeure pour l organisation. Le travail de Médecins Sans Frontières n est pas d enseigner ou de collecter des jouets. D autres organisations s en chargent. MSF aide les femmes enceintes autant que possible lors de consultations prénatales, par exemple, en prenant leur tension artérielle et en leur donnant des comprimés de fer. MSF effectue aussi des tests de dépistage du sida et d autres maladies qui peuvent s avérer dangereuses pour leur enfant. L organisation apprend également aux femmes à prendre soin d elles-mêmes et de leur bébé. MSF s efforce aussi d améliorer la santé des enfants ainsi que leur accès aux divers systèmes publics de soins. Ainsi, pour les enfants souffrant de malnutrition, des centres de traitement spéciaux sont mis en place. Pour lutter contre le sida ou le paludisme, l organisation fait de la prévention, soigne les patients et plaide en faveur de médicaments meilleur marché et adaptés aux enfants. Enfin, la santé publique et les campagnes de vaccination gratuites font également partie de l approche mise en place par Médecins Sans Frontières. Vaccination Espen Rasmussen Pendant leur enfance, les jeunes enfants luxembourgeois reçoivent quantité de vaccins qui les protègeront toute leur vie durant contre certaines maladies comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, le tétanos, la polio, l hépatite, etc. En Afrique, entre autres, la vaccination n est pas automatique. Les enfants ne sont généralement vaccinés qu en cas d épidémie. Des campagnes de vaccination à grande échelle, sont alors organisées et permettent de vacciner des milliers d enfants. Une vaccination (ou la vaccination) prépare le système immunitaire du corps à lutter contre une maladie infectieuse. Un enfant vacciné contre une maladie développe les anticorps contre cette maladie sans pour autant tomber malade. La vaccination améliore la résistance à la maladie. Elle offre une protection contre des maladies qui peuvent avoir des conséquences graves comme par exemple la rougeole. Toutes les maladies ne peuvent, cependant, pas être évitées par une vaccination. Une bonne hygiène est donc essentielle, les bactéries à l origine de graves maladies, comme le typhus et le choléra, se propageant dans l eau sale, les toilettes souillées et par une mauvaise hygiène des mains. De nombreux parasites, comme les moustiques et les mouches, peuvent également être responsables de maladies. Dans ce cas, la prévention est souvent la meilleure solution. MSF lutte contre ces vecteurs de maladies comme le paludisme en vaporisant les maisons avec des insecticides ou en distribuant des moustiquaires. Et, bien sûr, en soignant les malades. Pour éviter la propagation de ce type de maladies, MSF travaille avec des collaborateurs spécialisés dans l approvisionnement en eau, dans l hygiène et dans les installations sanitaires. Ils ont des profils très variés: techniciens, ingénieurs, architectes, géologues ou encore biologistes et sont appelés Watsan. Ces experts veillent à ce que les populations aient accès à l eau potable. Ils aident à la construction de toilettes, s occupent de la gestion des déchets, mais surtout, sensibilisent à l importance d une bonne hygiène. Dans certaines situations, par exemple après une catastrophe naturelle dans laquelle les habitants ont perdu leurs biens, MSF distribuera aussi des produits pour l hygiène, comme des seaux et du savon.

5 INTERVIEW AVEC UN DES WATSAN DE MÉDECINS SANS FRONTIÈRES Joos, le watsan FICHE 3 Identité : Joos Van Den Noortgate, 43 ans Formation : gradué en techniques automobiles ; ingénieur industriel, spécialisations en techniques de génie médical, en gestion de l eau et de l environnement dans les pays en développement. Expérience chez MSF : travaille depuis début 1991 sur le terrain, d abord comme logisticien, puis comme coordinateur technique et logistique et enfin comme Watsan (expert en eau, hygiène et assainissement). Depuis début 1999, travaille au siège à Bruxelles, d abord comme conseiller technique Watsan mobile. Aujourd hui, est en charge de la formation des nouveaux collaborateurs et du développement de nouveaux produits et systèmes au sein de l unité eau, hygiène et assainissement. Tim Dirven En quoi ce travail est-il important? «La grande majorité des maladies qui touchent les pays pauvres résulte d un manque d eau potable et de l absence d infrastructures sanitaires comme les latrines et les lavabos. Souvent, les conditions de vie sont tellement catastrophiques qu il est impossible de garantir une hygiène correcte. L eau potable peut être contaminée par les excréments et les déchets humains. Le côté agréable de ce travail, c est qu en tant que techniciens, nous pouvons toucher à différents domaines techniques et ainsi exercer une influence positive sur la santé publique, sans pour autant avoir suivi une formation médicale spécifique.» Quel est l aspect le plus difficile de ton travail? «Nous travaillons souvent dans des circonstances difficiles mais c est précisément ce défi qui me plaît: trouver des solutions, chacun dans notre domaine, mais toujours en tenant compte des missions des autres collaborateurs comme les médecins, le personnel soignant et le personnel logistique et administratif. As-tu un message pour les enfants d ici? «Économisez l eau et, d une manière générale, respectez l environnement. Lorsque vous savez que les réserves d eau de la planète sont comptées, que 97% de l eau est de l eau salée (et donc non potable) et que seulement un dixième de ces 3% sont disponibles pour couvrir tous nos besoins alors que la population mondiale ne cesse d augmenter on comprend clairement que nous devons tout faire pour mieux utiliser ce précieux liquide. Le plus choquant est de faire la comparaison, entre chez nous au Luxembourg, où nous utilisons au moins cent litres d eau par jour et par personne, contre même pas quinze à vingt litres dans les pays en développement.» Psychologiquement, le plus dur, c est d être confronté à de très jeunes victimes. Les enfants sont très vulnérables aux maladies, mais en plus, ils ne sont pas le moins du monde épargnés par les violences.»

6 QUELQUES MALADIES MORTELLES AFFECTANT LES ENFANTS FICHE 4 Rougeole On la croit bénigne et pourtant la rougeole reste l une des principales causes de mortalité chez l enfant avec plus de 30 millions de cas et décès par an au cours de ces dernières années. Chaque minute, un enfant meurt des suites de la rougeole, essentiellement en Afrique et en Asie. Ces chiffres sont d autant plus choquants qu un vaccin efficace et peu coûteux existe depuis 30 ans. La rougeole est une infection virale qui se transmet par voie respiratoire (toux, éternuement) ou par contact avec des sécrétions (salive, nez). La maladie touche, en tout premier lieu, les enfants et se manifeste par de la fièvre et une éruption cutanée. Les premiers symptômes apparaissent huit à dix jours après la contamination. Sans complications, la phase active de la maladie dure environ une semaine. Les risques de complications sont importants et peuvent se présenter sous la forme d une pneumonie, d otite, de diarrhées avec risque de déshydratation ou d une atteinte oculaire avec risque de cécité. Plus rarement, le virus peut toucher le système nerveux et provoquer une encéphalite. Quand la rougeole n est pas traitée, elle tue de 5 à 20% des personnes touchées. De plus, les malades traités peuvent encore développer des complications fatales jusqu à 12 mois après la maladie. Il n existe aucun traitement contre le virus de la rougeole. En cas de maladie, seuls les symptômes et les éventuelles complications peuvent être endigués par l administration de paracétamol, d antibiotiques, de pommade pour les yeux et de vitamine A. Une alimentation adaptée est parfois exigée. En effet, dans les régions pauvres, la malnutrition est souvent une conséquence de la rougeole, la maladie ayant affaibli l enfant. Un vaccin efficace et bon marché (0,32 euro par dose) existe depuis déjà 30 ans. Une seule dose protège un enfant toute sa vie contre une maladie extrêmement contagieuse et mortelle. Les épidémiologistes estiment qu un pourcentage de couverture vaccinale inférieur ou égal à 85% est insuffisant. Chez nous, la rougeole n est plus une menace puisque le vaccin est fortement conseillé et que la couverture vaccinale est supérieure à 85%. Un objectif encore loin d être atteint dans certains pays. En 2008, Médecins Sans Frontières a organisé de vastes campagnes de vaccination contre la rougeole au Congo, au Tchad et au Niger. Au Tchad, enfants ont été vaccinés, au Niger, Ces campagnes de vaccination sont difficiles à organiser. Surtout au niveau logistique, où les défis sont énormes notamment pour maintenir la chaîne de froid. Au Congo, les équipes ont dû marcher plusieurs jours à pied dans la forêt et camper avec le matériel de vaccination dans des «frigo box». De même, le nombre d enfants n est souvent pas connu d avance et certains villages sont difficiles à atteindre. Paludisme Le paludisme est une des causes les plus importantes de mortalité infantile dans les pays pauvres. Dans certains pays, 90% des décès sont dus au paludisme. Ce sont essentiellement des enfants. En Afrique subsaharienne, le paludisme est soupçonné d être à l origine de la plupart des consultations médicales. En 2006, on estime à 247 millions le nombre de cas de paludisme. Cette année, la maladie a surtout fait un million de victimes chez les plus jeunes. En Afrique, un enfant succombe au paludisme toutes les trente secondes. Pourtant le diagnostic est simple à poser et des médicaments efficaces et abordables existent. Le paludisme est une maladie parasitaire transmise par un moustique femelle. Elle se manifeste par de la fièvre, des symptômes grippaux et dans les cas sévères par des troubles neurologiques, une anémie et des signes d infection grave pouvant aboutir au décès. Le parasite en cause appartient à la famille des Plasmodium mais seul le Plasmodium Falciparum cause un paludisme sévère. Les personnes les plus touchées par les formes graves sont les enfants en bas âge, les personnes peu ou pas immunes (l immunité se développe après un contact avec le parasite) et les femmes enceintes.

7 FICHE 4 William Daniels Comme le paludisme est transmis par la piqûre du moustique, le moyen le plus efficace de prévention contre la maladie est la moustiquaire. Médecins Sans Frontières distribue donc des moustiquaires imprégnées d insecticide pour aider les populations à se protéger contre les moustiques. Les médicaments les plus couramment utilisés ne fonctionnent plus dans un nombre toujours plus grand de régions. Depuis un certain nombre d années, un traitement alternatif a cependant été développé, la combinaison thérapeutique à base d artémisinine (ACT) qui peut aujourd hui sauver un grand nombre de vies. Malheureusement, ce traitement n est pas encore suffisamment utilisé dans les programmes de lutte contre le paludisme. Ces dernières années, Médecins Sans Frontières a cherché des solutions concrètes et efficaces pour combattre la maladie. Elle a ainsi mis en place une stratégie qui combine un meilleur diagnostic, un traitement adéquat et gratuit à une meilleure accessibilité géographique assurée dans les communautés par des «agents palu». Une méthode qui a permis de réduire significativement la mortalité due au paludisme. Pour une personne qui vit dans un contexte de pauvreté généralisée, même une petite contribution financière représente déjà beaucoup. La mesure de gratuité totale semble donc cruciale pour le patient. Sa mise en place, au Mali, a permis de diagnostiquer et de traiter cinq fois plus d enfants. Malheureusement, cette gratuité ne semble pas être à l ordre du jour dans les politiques de santé publique des pays pauvres. Un diagnostic systématique est également crucial afin de pouvoir correctement traiter le patient. Si le malade ausculté est souvent bien atteint de paludisme, il peu parfois arriver qu il souffre d une autre infection comme une pneumonie. En Sierra Leone, où la maladie fait des victimes toute l année, 30% des enfants présentant de la fièvre ont été testés négativement pour le paludisme. Depuis peu de temps, des tests de diagnostic rapide, faciles d utilisation, sont disponibles et offrent une réponse en seulement quinze minutes. Ils restent cependant peu répandus. Dans certains pays, des zones sont entièrement isolées lors de la saison des pluies. La population arrive donc difficilement jusqu aux centres de santé. Pour

8 FICHE 4 cette raison, Médecins Sans Frontières a formé des «agents palu», qui sont choisis au sein de la communauté pour effectuer les tests de diagnostic rapide et pour distribuer les traitements contre le paludisme. Cette approche a permis de soigner beaucoup d enfants. Dans la région de Bongor, à l est du Tchad, le nombre d enfants traités par an est ainsi passé de en 2005 à en Sida Médecins Sans Frontières a réalisé un ensemble de fiches pédagogiques sur le sujet que vous pouvez trouver sur notre site Le sida (Syndrome de l Immunodéficience Acquise (qui vient de l anglais Acquired Immune deficiency Syndrome, AIDS), est le nom d un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus. Le sida est le dernier stade de l infection par ce virus et finit par la mort de l organisme infecté des suites de maladies opportunistes (maladies de la peau, tuberculose, pneumonie). Il existe plusieurs rétrovirus responsables du sida, chacun infectant une espèce particulière. Le plus connu d entre eux est le virus de l immunodéficience humaine (VIH) infectant l Homme. Il n existe actuellement aucun vaccin permettant de se protéger du virus, et les traitements antirétroviraux disponibles actuellement ne permettent aucune guérison. Bien qu ayant une certaine efficacité, ils ne peuvent que retarder la venue du stade «sida», en ralentissant la prolifération du VIH au sein de l organisme. Plus tôt le malade commence donc son traitement, plus il a de chances que les médicaments fonctionnent. sida chez l enfant reste donc largement un problème spécifique des pays pauvres où le suivi médical des femmes enceintes est souvent inexistant, ce qui limite grandement les possibilités de test et de mise en œuvre de mesures de prévention contre la transmission. Médecins Sans Frontières essaye de prévenir cette contamination en mettant en place des programmes de prévention de la transmission mère-enfant (PMTCT) dans lesquels on administre à la femme enceinte des médicaments spéciaux pendant la grossesse, on met l enfant au monde par césarienne, ou on veille à ce que la mère n allaite pas en lui donnant du lait en poudre pour bébé. Le PMTCT est une partie importante du programme sida de Médecins Sans Frontières. En termes de traitement, malgré certains progrès, les possibilités restent bien plus limitées pour l enfant que pour l adulte. Aujourd hui, alors qu il existe 42 combinaisons thérapeutiques destinées aux adultes, on n en compte qu une seule certifiée par l OMS pour les enfants. Dès qu un enfant développe une résistance à une certaine classe d anti-rétroviraux, c est souvent la catastrophe parce qu il n existe pas assez d alternatives de traitement. Dieter Telemans Aujourd hui dans le monde, près de 35 millions de personnes dont plus de 2 millions d enfants sont touchés par le sida. L enfant a, en effet, 40% de risques d être contaminé par sa mère in utero dans les dernières semaines de la grossesse, au moment de l accouchement et de l allaitement. Financièrement peu encouragées à mettre au point des formules pédiatriques qu elles vendront difficilement, les entreprises pharmaceutiques tardent à mettre sur le marché des anti-rétroviraux adaptés aux enfants. Lorsqu ils existent, ils sont en plus nettement plus coûteux que les médicaments réservés aux adultes. Dans nos pays, grâce à l efficacité des mesures permettant d éviter la transmission du virus de la mère à l enfant, le nombre d enfants infectés est très réduit. Le Parmi les trop rares anti-rétroviraux pour les enfants, beaucoup sont mal adaptés aux conditions de vie. Certains se présentent sous forme de sirops. Outre

9 FICHE 4 leur très mauvais goût, ils sont lourds à transporter et nécessitent d être réfrigérés. Ce qui complique grandement les choses dans des régions où l accès à un frigo est loin d être généralisé. D autres existent en poudres à diluer dans de l eau, bien évidemment potable, denrée rare dans beaucoup de zones d Afrique. MSF peut se prévaloir d une expérience de 8 ans dans le soin des enfants. Très conscientes de la gravité du problème, et parallèlement à la mise en place de programmes systématiques de prévention de la transmission du sida de la mère à l enfant, les équipes MSF ont commencé à prendre en charge des enfants malades du sida en décembre Près de enfants de moins de 15 ans ont ainsi reçu un traitement anti-rétroviral. Même si les difficultés liées au dépistage et au manque de variété de médicament subsistent, la plupart répondent très bien au traitement et leur état s améliore rapidement. Diarrhée Dans les pays pauvres, la diarrhée est très répandue et est la cause de nombreux décès. La diarrhée est le symptôme de différentes maladies infectieuses, comme le typhus, la dysenterie et le choléra. La perte rapide d eau peut mener à la déshydratation et au choc. En cas de diarrhée, il est donc nécessaire de boire beaucoup. Non traitée, la diarrhée peut mener à la mort en quelques heures seulement, surtout chez les nourrissons et les jeunes enfants ainsi que chez les personnes qui ont un système immunitaire faible ou qui sont sous-alimentés. Les personnes qui souffrent de diarrhée sont soignées se voient administrer un mélange sous forme de poudre contenant du sel et du sucre et qui est dissout dans l eau (solution de réhydratation orale). Ainsi, contrairement aux préjugés fatalistes, un enfant infecté par le sida n est pas condamné. Mais son avenir dépend toutefois d un accès à des soins de santé suffisants et à des traitements adaptés. Ni plus ni moins que ce que chaque être humain est en droit de demander. Comment les enfants séropositifs voient leur virus Tanatswa, 15 ans : une araignée noire et blanche, avec deux longues pattes et quatre pattes plus courtes. Elle a aussi deux antennes et sa peau est dure comme de la glace. Nozipho, 15 ans : un insecte vert avec des antennes. Il est vert car il y a du vert presque partout dans le monde et il ressemble au VIH car «il ne choisit pas, tout le monde peut l attraper». Doris, 9 ans : un cafard brun qui mord. «Il est partout et peut manger tout le monde». Il est plein de microbes mais on peut les tuer en «vaporisant quelque chose». Milantre, 15 ans : un chien bleu et blanc car «le ciel est bleu et les nuages sont blancs.» Parfois, le chien «a le sourire de la maladie, parfois il sourit de joie.» Fortunate, 15 ans : un petit insecte vert avec une petit tête qui «sourit parce qu il croit qu il est heureux.» Pep Bonet / Noor

10 FICHE 5 MALNUTRITION Juan Carlos Tomasi / MSF Médecins Sans Frontières a réalisé un ensemble de fiches pédagogiques sur le sujet que vous pouvez trouver sur notre site cliquez «Vous êtes enseignant» dans la rubrique «MSF et les jeunes». Chaque année, la malnutrition aiguë entraîne la mort évitable de plusieurs millions d enfants aux quatre coins du monde. À tout moment, plus de 60 millions de jeunes enfants partout dans le monde présentent des signes de malnutrition aiguë caractérisée par une perte de poids ou un amaigrissement soudains et sont exposés à un danger mortel grave, à moins de recevoir des soins spécialisés. La malnutrition est définie comme un déséquilibre entre les apports en éléments nutritifs et les besoins de l organisme (croissance, métabolisme et activités spécifiques). Lorsque les apports en nutriments sont inférieurs aux besoins, l organisme commence à dépérir. La graisse disparaît en premier, puis c est le tour des muscles. La malnutrition et les maladies s inscrivent souvent dans un cercle vicieux. Des apports nutritionnels insuffisants finissent par rendre l organisme de plus en plus sujet aux infections. Celles-ci provoquent souvent une perte d appétit et des nausées ce qui entraîne une réduction de la prise de nourriture et peuvent également perturber l absorption des nutriments. A son tour, la malnutrition affaiblit le système immunitaire et augmente l incidence, la gravité et la durée des infections. Ce cycle dangereux risque d aboutir au décès du patient. Les jeunes enfants sont plus vulnérables face à la malnutrition que les adultes. Parce qu ils sont en pleine croissance, leurs besoins en nutriments sont relativement plus grands. Les femmes enceintes et allaitant sont également particulièrement sujettes à la malnutrition, vu que la grossesse et l allaitement requièrent des ressources énergétiques supplémentaires.

11 FICHE 5 Per Anders Petterson / Getty Images Il faut distinguer la malnutrition aiguë de la malnutrition chronique, qui se définit comme un retard de croissance en taille. On parle de malnutrition aiguë, lorsqu un enfant ne pèse pas plus de 70 à 80% du poids moyen d un enfant de sa taille. Parmi la malnutrition aiguë, on retrouve la malnutrition aiguë sévère et la malnutrition aiguë modérée. Le bracelet MUAC (Mid-Upper Arm Circumference) sert à mesurer le périmètre brachial (périmètre du bras) des enfants de 65 à 110 cm, soit les enfants de six mois à cinq ans. Il donne une première indication de l état nutritionnel de l enfant. Il s agit d un outil important pour MSF qui permet de détecter très vite qui est en danger de mort. de enfants dans ses programmes répartis dans 22 pays. Un traitement médical et un suivi sont indispensables pour éviter le décès de ces patients, qui sont en réel danger de mort. Les enfants atteints de malnutrition sévère ne présentant pas de complications médicales sont traités en ambulatoire (c est-à-dire à domicile). Ils se rendent une fois par semaine au centre nutritionnel thérapeutique où ils seront vus par un médecin qui vérifiera l évolution de leur poids. Ils recevront également le traitement médical approprié ainsi que de la nourriture thérapeutique prête à l emploi. Un programme nutritionnel thérapeutique assure le traitement médical et nutritionnel intensif de personnes souffrant de malnutrition sévère. Les enfants atteints de malnutrition sévère avec complications médicales (infections respiratoires aiguës, déshydratation sévère, paludisme sévère, etc.) sont alors pris en charge 24h/24h dans des centres nutritionnels thérapeutiques. Ils y restent environ quatre semaines et sont nourris à base de lait thérapeutique huit fois par jour d abord en très petites quantités. Ainsi, ces deux dernières années, MSF a pris en charge plus MSF utilise, en effet, généralement de la nourriture thérapeutique prête à consommer. Ces produits existent sous différentes formes: des biscuits hyperprotéinés qui se mangent secs ou en porridge en y ajoutant de l eau; ou encore sous la forme de pâte d arachides très nutritive enrichie en vitamines et minéraux. Un sachet de 92 grammes de pâte ou deux biscuits contiennent 500 kilocalories. Ces produits présentent l avantage d être faciles à manger pour les enfants très affaiblis car ils apportent beaucoup d énergie sous un faible volume.

12 FICHE 5 Malnutrition : l histoire de Sheleme Sheleme est une fillette de quatre ans qui habite en Éthiopie. Avec Kutuba, sa sœur jumelle, elle a été admise dans un centre de MSF spécialement conçu pour soigner les enfants sous-alimentés de l Oromiya, une région de l Éthiopie. Deux petites filles avec la même robe à fleurs sont assises sur l un des matelas bleus du centre pour enfants sous-alimentés de MSF. Contrairement à tous les enfants de leur âge, elles ne rient pas et ne parlent pas. Elles regardent fixement, droit devant elles. Les deux fillettes sont toutes les deux gravement sous-alimentées et doivent être prises en charge de toute urgence. Karen, le médecin MSF, examine les deux enfants. Elle constate directement que Sheleme a des œdèmes. C est pour cela que ses jambes, ses pieds et sont visage sont très gonflés. Elle souffre de kwashiorkor, une forme très grave de malnutrition. Sheleme a déjà vomi le lait à plusieurs reprises et parfois, elle refuse de boire. Les médecins sont inquiets. Ils risquent de devoir la nourrir par sonde. Mais Sheleme est encore toute gonflée. Il est difficile de se dire qu elle a pu avoir l air en bonne santé avant de souffrir de malnutrition. Mais maman Subo, la mère de Sheleme ne se décourage pas, elle continue à lui donner du lait. Et son acharnement porte ses fruits. Après quelques jours, les œdèmes commencent lentement à disparaître. Et la petite fille arrive maintenant à bouger un peu sa tête. Dans les tentes du «stade 2», on accueille les enfants qui ont retrouvé l appétit. On leur distribue alors des sachets qui contiennent une pâte énergétique, une sorte de fromage aux cacahuètes dont la plupart des enfants raffolent. Ils en reçoivent une portion trois fois par jour et continuent à boire un lait spécial. Les choses ne s annoncent pas très bien pour ses deux filles, surtout pour Sheleme. Elle risque de mourir. Il est important qu elle garde dans son estomac le lait spécial qu elle a reçu durant la première phase de son traitement. Ce matin, Sheleme et Kutuba sont transférées dans ces tentes. Si tout se déroule comme prévu, les jumelles pourront rentrer chez elles le lendemain. Elles seront ensuite suivies à distance par MSF. Sheleme dans le centre de Shashemene, Ethiopie, juillet 2008 MSF

13 FICHE 6 ACTIVITÉS POUR LES ENFANTS Tim Dirven Thèmes de réflexion pour la classe Mon carnet de vaccination. Demandez aux enfants d apporter à l école leur carnet de vaccination. Discutez des différentes maladies que ces vaccins permettent d éviter. Une bonne hygiène dans le respect de l eau! Qu est-ce qu une bonne hygiène pour toi? Te laves-tu les mains avant de passer à table? Te laves-tu les mains après avoir été aux toilettes? Combien de bains prends-tu par semaine? Mais aussi : fermes-tu le robinet quand tu te brosses les dents? Sais-tu d où vient l eau du robinet et ce qu elle coûte en réalité? Activité : photographier dans ton quartier des situations de manque d hygiène. La pyramide alimentaire Les friandises sont-elles autorisées dans ton école? Manges-tu souvent des fruits? Être en bonne santé Que signifie «être en bonne santé» pour toi? As-tu déjà été toi-même gravement malade?

14 Prépare toi-même une solution ORS et goûte-la en classe. De quoi as-tu besoin? Un litre d eau du robinet, une cuiller à thé de sel et huit cuillers à thé de sucre (ou huit morceaux de sucre). Bien secouer et goûter! Discutez du dessin de la campagne d Accès aux médicaments essentiels de Médecins Sans Frontières.

15 FICHE 6 Mots croisés HORIZONTALEMENT 1. La forme très grave de malnutrition dont souffre la petite Sheleme. 3. La maman de Sheleme et Kutuba. 6. Le médecin qui suit les femmes enceintes. 7. Qui n est pas en bonne santé? 9. Cette maladie est bénigne chez nous, mais elle peut être mortelle pour des enfants très faibles dans les pays en développement. 10. Le médecin qui soigne les yeux. 12. Avant la guerre civile qui a fait rage dans ce pays européen, la vie de ses habitants ressemblait fort à celle des Belges. 13. Cette terrible catastrophe naturelle a fait d innombrables victimes, notamment en Indonésie. 17. Dans les pays en développement, les enfants malades n ont pas souvent la possibilité d y aller pour se faire soigner. 18. Quand une maman est contaminée par le sida, cette technique permet de mettre son enfant au monde tout en le protégeant de la contamination. 20. Il soigne les dents. 21. Toilettes, construites dans des camps, par exemple. 23. Quand elle est élevée, c est un symptôme de maladie. 24. Enfant qui fait la guerre (2 mots). 27. Bracelet qui permet de mesurer la circonférence de l avant-bras afin de diagnostiquer la malnutrition. 28. Le pays de Sheleme. 31. Pour toi, c est tout à fait normal d aller y acheter des médicaments. 34. Le «F» de MSF. 35. Représentation illustrée de l alimentation équilibrée (2 mots). 36. Maladie transmise par un moustique et qui provoque de fortes fièvres. 39. Acte de guerre qui consiste à attaquer un pays avec des avions. 41. Le virus du sida. 42. Acte qui consiste à injecter une petite quantité d une maladie à un enfant pour le protéger contre le risque d attraper cette maladie. 44. Produits qui tuent les insectes. 45. Qualifie une eau qui est «salie» par des bactéries et n est donc pas potable. 46. Les d eau de la planète sont comptées. 47. Le «M» de MSF. 48. La première profession de Joos Van Den Noortgate chez MSF. VERTICALEMENT 2. Tu es certainement vacciné(e) contre cette maladie. 3. Voile protecteur contre les insectes. 4. Région de l Ethiopie où vivent Sheleme et Kutuba. 5. Traité international qui vise à améliorer les conditions de vie de tous les enfants du monde (plusieurs mots!). 8. Le moustique responsable de la malaria. 11. Personnes qui ont fui leur pays à cause de la guerre, d une catastrophe naturelle, 14. «Etat de choc». 15. Un cadeau inestimable pour tous les MSF qui travaillent sur le terrain. 16. Sous-alimentation. 19. Le médecin MSF qui a soigné Sheleme. 22. Tu trouves tout à fait normal d en prendre trois par jour. 24. Technique qui permet de «voir» le bébé pendant la grossesse. 25. Sorte de fromage aux cacahuètes qui permet de redonner des forces aux enfants sous-alimentés (2 mots). 26. Maladie qui entraîne une perte de liquides et peut provoquer une grave déshydratation. 29. Chez MSF, technicien spécialisé dans la bonne gestion de l eau. 30. Dans les pays en développement, la population n a pas toujours les moyens d en acheter pour se soigner. 32. Ensemble de mesures et de pratiques qui permettent de préserver la santé. 33. Se dit d une maladie qui se transmet rapidement d une personne à une autre. 37. Catastrophe naturelle provoquée par des pluies excessives. 38. Se dit d une maladie qui a totalement disparu. 40. Insectes qui véhiculent des maladies. 43. Grand pays d Asie, souvent victime de catastrophes naturelles au moment de la mousson.

16 FICHE 6

17 FICHE 6

18 FICHE 7 FICHE D EVALUATION Nom de l enseignant : Classe : Nombre d élèves : École : Adresse : Téléphone : Adresse électronique : 1. Combien d heures de cours avez-vous consacré au thème «Les enfants et la santé»? 1 à 2 heures 2 à 4 heures Plus de 4 heures Autre : 2. Dans le cadre de quel(s) cours? 3. Avez-vous utilisé toutes les fiches? Oui Non Si vous avez répondu non, quels sont les thèmes que vous n avez pas abordé et pourquoi? 4. Quelles fiches/quelles informations avez-vous trouvées : les plus utiles les moins utiles 5. Jugez-vous utile que nous développions des dossiers similaires sur d autres thèmes? Oui Non

19 FICHE 7 6. Si oui, quels thèmes vous intéresseraient? Les urgences (catastrophes naturelles, conflits ) L eau Les réfugiés MSF en général Autre : 7. Comment trouvez-vous le format de ce dossier? OUI NON Le format des fiches est pratique Le téléchargement et l impression des fiches à partir du site de MSF est simple Le téléchargement et l impression des fiches à partir du site de MSF est avantageux Il devrait y avoir une version papier Le nombre d illustrations est suffisant Les explications sont claires et adaptées aux élèves Autres : 8. Avez-vous encore d autres remarques? Merci de bien vouloir nous renvoyer ce formulaire complété à : MSF Département Communication 68 rue de Gasperich L-1617 Luxembourg Fax: Merci pour votre collaboration! Marcel Bickert / MSF

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)? GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche

Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

LÉGUEZ-LEUR UN AVENIR!

LÉGUEZ-LEUR UN AVENIR! LÉGUEZ-LEUR UN AVENIR! 1 SOMMAIRE Page 3 Unhéritage àpartager Pages 4-5 Le legs: un geste pour la vie Pages 6-8 Tendez-leur la main en leur offrant un avenir! Pages 9-11 Vous vous posez des questions?

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)

Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

Le VIH-sida, qu est-ce que c est?

Le VIH-sida, qu est-ce que c est? LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80

Plus en détail

Vivre avec le VIH. Point de départ

Vivre avec le VIH. Point de départ Vivre avec le VIH Point de départ Vous venez d apprendre que vous avez le VIH et vous cherchez des repères? Nous pouvons vous aider. Voici quelques questions auxquelles vous trouverez réponse dans ce livret

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité

Plus en détail

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques!

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider

Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Quoi faire ou ne pas faire? Voilà souvent la question que se posent les parents et ami(e)s proches d une personne souffrant d anorexie et de boulimie.

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

La lutte contre le paludisme

La lutte contre le paludisme FICHES DE DIALOGUE Fiche n 1 La lutte contre le paludisme Montrez le premier dessin Question : Que voyez-vous sur cette image? Réponse : Un enfant qui a l air très malade. Il grelotte et transpire. Des

Plus en détail

QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE

QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39. postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

que dois-tu savoir sur le diabète?

que dois-tu savoir sur le diabète? INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521

Plus en détail

Investir dans l avenir

Investir dans l avenir Investir dans l avenir RÉSUMÉ DU RAPPORT MONDIAL 2009 BANQUE MONDIALE www.unitedcalltoaction.org La communauté mondiale devrait être choquée par les millions d enfants qui meurent ou sont rendus invalides

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va? Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple

Plus en détail

Date: Avant de commencer, nous aimerions savoir à qui nous devons un immense MERCI! pour t avoir référé à nous

Date: Avant de commencer, nous aimerions savoir à qui nous devons un immense MERCI! pour t avoir référé à nous 1 457 route 105, unité 2 Chelsea (QC) J9B 1L2 (819) 827-4499 Fax : (819) 827-4459 Drmartine4kids@hotmail.com www.chelseachiro.com Formulaire pour les nouveaux Petits Date: Avant de commencer, nous aimerions

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé.

le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. L association plaisirs de l eau vous présente le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. http://plaisir-de-leau.wifeo.com 27/09/14 Plaisirs de l eau livret bébé nageur 1 BIENVENUE à l association

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration

Plus en détail

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?

QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?

Plus en détail

Le protecteur buccal : tout à fait génial!

Le protecteur buccal : tout à fait génial! Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières

Plus en détail

BIEN PRENDRE SON TRAITEMENT. Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH

BIEN PRENDRE SON TRAITEMENT. Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH BIEN PRENDRE SON TRAITEMENT Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH Cette brochure a été conçue en 2008 dans le cadre du programme GRANDIR, programme de renforcement des capacités

Plus en détail

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015 Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad

Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

VIH : Parlons-en franchement!

VIH : Parlons-en franchement! VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT

Plus en détail

13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF

13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF 13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président

Plus en détail

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins

Plus en détail

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE 15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en

Plus en détail

Notre système. Immunitaire

Notre système. Immunitaire Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

www.programmeaccord.org

www.programmeaccord.org LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir

Plus en détail

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection

Plus en détail

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES 3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6 Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les

Plus en détail

L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013

L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013 1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009 Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil

Plus en détail

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences

Plus en détail

INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME

INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.

Plus en détail

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont

Plus en détail