Bulletins économiques 24 mars 2015

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1 Bulletins économiques 4 mars Perspectives économie Belge L économie belge a timidement poursuivi en 4 la reprise amorcée au début. Jusqu à présent, elle se redresse parallèlement à la zone euro. Ces derniers mois, le ciel conjoncturel s est progressivement éclairci en Europe, grâce à l embellie de l économie mondiale, à la décrue des prix pétroliers et à la dépréciation de l euro. La Belgique en profite, d autant que sa compétitivité évolue favorablement. Tout porte à croire que la faible confiance des entrepreneurs changera de cap et que le PIB belge grimpera de,% en, contre % avancé par la BNB et le Bureau fédéral du Plan. Si cette prévision se concrétise, le budget s en porterait mieux. Les gouvernements ont encore du chemin à faire en matière d assainissement et l atteinte de l équilibre structurel en 8 est peu probable étant donné le retard accusé. L inflation a fortement baissé ces derniers mois, en phase avec la chute des prix énergétiques. L inflation de base sous-jacente s est toutefois obstinément maintenue au-dessus du niveau de la zone euro, notamment en raison de l augmentation de prix régulés. L économie belge a clôturé l année 4 sur une modeste croissance de %, faisant ainsi un peu mieux que la zone euro (,8%). Parmi les pays voisins, l Allemagne est sortie du lot (,%), tandis que les Pays-Bas (,7%) et la France (,4%) sont restés à la traîne. Depuis le début de la relance conjoncturelle au début, l activité économique belge a crû de,8%, ce qui est comparable à l évolution observée dans la zone euro. Si l on remonte davantage dans le passé, elle dépasse de,4% le sommet observé au printemps 8, juste avant l éclatement de la crise financière. Dans l ensemble de la zone euro, le PIB se situe environ % en dessous du sommet de l époque, ce qui démontre une fois de plus que la Belgique s en est relativement bien sortie (graphique ). La bonne nouvelle est que les pays périphériques, fortement touchés par la crise, ont également renoué avec la croissance en 4. Après avoir plongé dans le rouge en, l Espagne, le Portugal et la Grèce ont signé une croissance positive au moins aussi robuste que l ensemble de la zone euro. L économie irlandaise a même crû de près de % en 4. En revanche, la contraction continue du PIB en Italie confirme le problème de croissance structurel auquel le pays est confronté. Le consommateur soutient la croissance Durant ces derniers mois, le ciel conjoncturel s est progressivement éclairci en Europe, grâce notamment à la vigueur de l activité dans les pays anglo-saxons, surtout aux États-Unis, à la baisse des prix du pétrole et des matières premières et à la dépréciation de l euro. Nous assistons également à une amélioration de la situation sur le marché du travail et à un regain de moral des consommateurs. La consommation représente dès lors un pilier important de la reprise actuellement en cours dans la zone euro. En Belgique, le consommateur est le moteur de la croissance depuis plus longtemps, sous l effet de la baisse du taux d épargne depuis 9. En 4, la consommation des ménages a essentiellement été déterminée par la hausse du pouvoir d achat réel, la première depuis 9 (graphique ), qui est attribuable à la décrue de l inflation, à la hausse des revenus du patrimoine et à la progression, certes limitée, de la population active. La consommation a repris des couleurs en 4 sur fond de détérioration de la confiance des consommateurs pendant quasiment toute l année. L indicateur ne remonte que

2 Bulletins économiques Graphique - PIB réel dans la zone euro (T 8 = ) Graphique - Revenus et économies des ménages belges Belgique France Zone euro Allemagne Pays-Bas België Duitsland Frankrijk Nederland depuis décembre, Eurozone ce qui montre que le moral des consommateurs à court terme n est pas toujours en corrélation parfaite avec la propension à consommer (graphique ). Entre fin et fin 4, l emploi a progressé de,4% en Belgique, ce qui représente une augmentation nette de postes. Le taux de chômage et le taux d emploi se sont pourtant maintenus à environ 8,% et 67,% respectivement. La modeste croissance de l emploi n a en effet pas suffi à compenser la hausse de l offre. Mesuré sur la base de la variation annuelle du nombre de demandeurs d emploi inoccupés, le chômage diminue depuis fin 4, ce qui est surtout visible en Wallonie et à Bruxelles (graphique 4). Cette amélioration est notamment attribuable à la diminution du nombre de faillites de 8% en 4 par rapport à. Les créations d emplois devraient progressivement s étoffer dans les prochains trimestres, notamment à la faveur des mesures du gouvernement. Le franc redémarrage du marché du travail intérimaire ces derniers mois pointe en tout Revenu disponible réel (T 8 =, échelle de gauche) Taux d épargne (en % du revenu disponible, échelle de droite) Reëel beschikbaar inkomen (Q 8 =, linkse schaal) Spaarquote (in % beschikbaar inkomen, rechtse schaal) cas dans cette direction. Cet indicateur est souvent considéré comme un signe précurseur de l évolution du marché de l emploi et suit en général la dynamique du PIB réel (graphique ). Une plus grande partie des chômeurs avec complément d entreprise doivent désormais rester disponibles sur le marché de l emploi, ce qui entraînera une hausse du nombre de demandeurs d emploi inoccupés et, dans la foulée, du chômage et de la population active. Le taux de chômage pourrait donc encore grimper en pour des raisons techniques. La reprise repose sur une large assise La relance conjoncturelle suscite encore des doutes parmi les entrepreneurs. Le baromètre de confiance des entrepreneurs de la BNB est donc demeuré très faible en 4 et ces derniers mois. Il a récemment piqué du nez en Wallonie (graphique 6). Malgré ce mauvais moral, les investissements des entreprises ont continué de se redresser en 4, de manière impressionnante même, Graphique - Confiance des consommateurs et consommation réelle Graphique 4 - Nombre de demandeurs d emploi inoccupés (variation annuelle en %) Consommation privée réelle (T 8 =, échelle de gauche) Confiance des consommateurs (échelle de droite) Flandre Wallonie Bruxelles Reële private consumptie (Q 8 =, linkse schaal) Consumentenvertrouwen (rechtse schaal) Vlaanderen Wallonië Brussel

3 Graphique - Lien entre le travail intérimaire et l activité économique Graphique 6 - Indicateur de confiance des entrepreneurs de la BNB,6,4, -, -,4,,, -, -, -, , PIB réel (variation annuelle en %, échelle de gauche) Travail intérimaire (variation annuelle indice Federgon, en %, échelle de droite) Reëel bbp (jaarwijziging, in %, linkse schaal) mais ce Uitzendarbeid rebond est (jaarwijziging en partie Federgon-index, dû à des opérations in %, rechtse exceptionnelles schaal) et, en particulier, à un important achat de vraquiers à l étranger. Mais même abstraction faite des éléments exceptionnels, les investissements ont grimpé en 4, grâce à l amélioration escomptée de la demande et au taux d utilisation des capacités dans l industrie. Ce dernier a atteint sa moyenne à long terme, ce qui dénote un besoin d investissements d extension. Après s être contractés pendant deux ans, les investissements des ménages dans la construction résiduelle sont repartis à la hausse en 4, certes de manière très limitée. Ces derniers mois, la confiance des entrepreneurs a toutefois fortement reculé, témoignant des difficultés auxquelles le secteur de la construction est confronté. La demande intérieure finale et les exportations nettes ont contribué à la croissance du PIB à hauteur de,7 et,4 point de pourcentage respectivement. La hausse du PIB de seulement % s explique par l importante contribution négative de la variation des stocks (graphique 7), qui témoigne de l incertitude manifestée -, Flandre Wallonie Bruxelles Vlaanderen Wallonië par les entreprises à l égard Brussel de la conjoncture. Les entreprises ont augmenté leur production avec prudence et ont surtout sollicité leurs stocks pour satisfaire la demande intérieure relativement robuste. Elles reconstitueront leurs stocks à mesure que le ciel conjoncturel s éclaircira. La variation des stocks devrait apporter une contribution positive à la croissance à partir de cette année. Après avoir connu un quatrième trimestre 4 en demi-teinte, les exportations belges devraient aussi tenir la forme en, dans le sillage de la reprise conjoncturelle en Europe. Conjuguée à la baisse des prix pétroliers, cette évolution débouchera sur une amélioration considérable du solde de la balance courante. Amélioration de la compétitivité Tout comme dans les autres États membres de la zone euro, l inflation a fortement baissé en 4 en Belgique pour la troisième année consécutive (cf. encadré à la page 4). Conjuguée à la modération salariale réelle, la décrue de l inflation s est Graphique 7 - Contribution à la croissance du PIB réel belge (en points de pourcentage) Graphique 8 - Indicateur de compétitivité BCE (sur la base du coût du travail par unité produite, T 999 = ) Détérioration relative Amélioration relative Demande intérieure finale Exportations nettes Finale binnenlandse vraag Netto-uitvoer Voorraadwijziging Reëel bbp Variation des stocks Croissance du PIB réel Par rapport à l Allemagne Par rapport à trois pays voisins (Pays-Bas, Allemagne et France) Tegenover Duitsland Tegenover drie buurlanden

4 Bulletins économiques L inflation de base remonte en Belgique Mesurée sur la base de l indice harmonisé des prix à la consommation (IHPC), l inflation s est en moyenne élevée à,% en 4 en Belgique, contre,4% en. Elle a même plongé sous zéro fin 4 et a avoisiné -,% pendant les premiers mois de (graphique 9). La décrue de l inflation amorcée fin s explique en premier lieu par la baisse des prix de produits dérivés du pétrole, du gaz et de l électricité. Après s être effrités de 4,6% en, les prix de ces sources d énergie ont encore baissé de 6% en 4, à la suite de la chute notable de la cotation internationale du brut et du gaz. La diminution du taux de TVA applicable à l électricité à partir d avril 4 a également eu un impact important. En outre, le ralentissement de la hausse des prix alimentaires a aussi contribué à la désinflation. Les prix des denrées alimentaires fraîches (non traitées) ont chuté en 4 (-,%), alors qu ils avaient rebondi (4,4%) en. Deux facteurs sont à l origine de cette évolution. Tout d abord, les récoltes de fruits et légumes ont bénéficié de conditions météorologiques favorables. Ensuite, une partie des exportations destinées à la Russie est arrivée sur le marché belge à la suite de l embargo, ce qui a comprimé les prix. L inflation globale en Belgique a décéléré quasiment à la même cadence que dans la zone euro, mais cela n a pas été le cas de l inflation de base, qui mesure l inflation sous-jacente sur la base de l évolution de l IHPC, hors énergie et alimentation (graphique ). En Belgique, l inflation de base a diminué à partir de l été 4, mais s est maintenue largement au-dessus du niveau observé dans la zone euro. Elle s est élevée à,% en 4, contre,8% dans la zone euro. L explication réside dans l augmentation notable (en termes relatifs) des prix des services, qui est à son tour due à la hausse des tarifs de certains services régulés par le gouvernement et à des changements au niveau des méthodes utilisées. De nombreuses communes ont ainsi augmenté le prix de l épuration de l eau et de la collecte des déchets, tandis que le prix des titres-services a lui aussi été relevé. Au niveau des méthodes de calcul, l enregistrement des 8 Graphique 9 - Désinflation due à la baisse des prix de l énergie et des denrées alimentaires fraîches (variation annuelle en %) 4 loyers a notamment changé. Outre l indexation en fonction de l indice santé, qui concerne uniquement les contrats en cours, les adaptations de prix pratiquées au moment de la conclusion de nouveaux baux sont désormais également prises en compte. L inflation de base a grimpé à,9% en janvier, soit le triple du niveau atteint dans la zone euro. Ce phénomène s explique à nouveau par la modification de prix régulés, dont une augmentation des tarifs de distribution de l électricité et du gaz, du ticket modérateur de spécialistes et des accises sur le tabac, le vin et les spiritueux. Le prix de services spécifiques, comme l Internet, les télécommunications et les timbres, a aussi été rehaussé en janvier. L inflation de base relativement élevée contraste avec l inflation mesurée sur la base de l indice santé, qui est dérivé de l indice national des prix à la consommation et est utilisé pour l indexation automatique des salaires et des prestations sociales. Durant ces derniers mois, la hausse annuelle de l indice santé a à peine dépassé %. Contrairement à l inflation de base, dérivée de l IHPC, l indice santé exclut l alcool, le tabac et les carburants. Il inclut toutefois d autres sources d énergie (comme le fioul domestique) et est par conséquent très sensible aux variations des prix de l énergie. Le prix du pétrole devrait légèrement grimper, pour passer de USD le baril fin mars à 6-6 USD fin. L inflation devrait progressivement repartir à la hausse en, notamment en raison de la dépréciation escomptée de l euro face au dollar. En, l inflation globale et l inflation basée sur l indice santé devraient s établir en moyenne à respectivement,% et,4% en Belgique. Cette hausse modérée des prix est également induite par la modération salariale. À mesure que les effets des augmentations de prix régulés s estomperont dans l indice, l inflation de base décéléra et se rapprochera à nouveau davantage de l inflation globale. Graphique - L inflation de base est plus élevée en Belgique que dans la zone euro (en %) Indice harmonisé des prix (échelle de gauche) Denrées alimentaires non traitées (échelle de gauche) Sources d énergie (échelle de droite) Geharmoniseerde prijsindex Niet-bewerkte levensmiddelen Energiedragers (rechtse schaal) - - -,,, Belgique Zone euro België Eurozone 4

5 fortement répercutée sur les charges salariales, ce qui a amélioré la compétitivité des entreprises belges, comme l illustre notamment l indicateur de compétitivité harmonisé de la BCE. Ce dernier tient compte de la croissance salariale et de l évolution de la productivité et a connu une évolution favorable en 4 par rapport aux trois pays voisins et en particulier l Allemagne (graphique 8). L écart accumulé en matière de charges salariales pendant les quinze dernières années demeure néanmoins considérable et de gros progrès doivent être réalisés dans ce domaine. La basse inflation, combinée au saut d index et à la modération salariale réelle, devrait permettre à la Belgique d enregistrer une faible croissance salariale jusque fin 6, ce qui devrait atténuer le handicap concurrentiel. Le pays a également encore du chemin à parcourir en matière d assainissement des finances publiques. Pour ce qui est de l amélioration du solde budgétaire structurel, seul,9% du PIB (,4 milliards EUR) a été assaini depuis. La Commission européenne a récemment estimé le déficit structurel de la Belgique à,8% du PIB en 4, alors que le gouvernement visait,%. Pour atteindre l équilibre structurel en 8, un effort d assainissement de,8% du PIB ( milliards EUR) doit encore être réalisé sur la période -8. Compte tenu du retard accumulé, cet objectif à moyen terme ne sera pas atteint en 8 si les solutions élaborées demeurent inchangées. L atteinte de l équilibre structurel sera donc une nouvelle fois reportée. L amélioration structurelle avancée pour s élève à,7% du PIB. Le comité de surveillance, qui suit le budget, a récemment calculé que le gouvernement doit réaliser, milliard EUR d économies et/ou revenus supplémentaires pour atteindre cet objectif. Ce contrôle budgétaire se base sur une croissance de seulement % en. Nous sommes convaincus que la croissance réelle du PIB s inscrira à,%, ce qui constitue une bonne nouvelle pour le budget. D autres institutions, comme la Commission et l OCDE, ont récemment relevé leur prévision de croissance en direction de ce chiffre. Johan Van Gompel johan.vangompel@kbc.be COMPTES NATIONAUX (croissance réelle en %) 4 6 Consommation privée,8,,,,4 Consommation publique,4,,4,9, Investissements en capital fixe, -, 4,8,,7 Investissements des entreprises -, -, 6,7 -,, Investissements publics,4 -,4,6,, Investissements en construction -, -,,9,, La demande intérieure finale (hors variation des stocks),8 -,,7,, Variation des stocks (contribution à la croissance) -,7 -, -,,, Exportations de biens et de services,9,9,,4 4,8 Importations de biens et de services,8,7,9, 4, Produit intérieur brut (PIB),,,,,7 Revenu disponible des ménages -, -,,,,8 Taux d'épargne brut des ménages (en % des revenus disponibles),9,,8,, INDICATEURS D EQUILIBRE et TAUX 4 6 Inflation (hausse annuelle moyenne en %) Prix à la consommation,8,,,, Indice santé,7,,4,4, Finances publiques (en % du PIB, avec les politiques actuelles) Solde de financement -4, -,9 -, -, -, Solde primaire -,7, -,,6,8 Dette publique 4, 4, 6,4 6,7 6, Marché du travail Emploi intérieur (variation en cours d année, en ) -4, -,6, 4 Taux de chômage (fin d année, définition Eurostat) 8,4 8, 8, 8,6 8, Compte courant (en % du PIB) -,9,,4,, Prix des maisons (augmentation au cours de l année, Eurostat,en %),4, -,6-4, -, Taux (fin d année) Taux d intérêt à dix ans (en %),,6,,8,4 Différentiels de taux d intérêt avec l Allemagne (en points de base) 7 6 Nos publications sont disponibles en ligne sur le site Il est également possible de recevoir nos publications gratuitement par . Surfez sur ep/lettre-info/ et enregistrez vos coordonnées. Pour toute question relative au contenu de cette publication, veuillez vous adresser à : Johan Van Gompel () () johan.vangompel@kbc.be Editeur responsable : Johan Van Gompel, Avenue du Port, B-8 Bruxelles Adresse de correspondance & gestion des abonnements : KBC Groupe SA, GCE, Avenue du Port, 8 Bruxelles, economic.research@kbc.be La présente publication est réalisée par la section Chief Economist de KBC Groupe. Ni la mesure dans laquelle les scénarios, les risques et les pronostics présentés reflètent les prévisions du marché, ni la mesure dans laquelle ils seront corroborés par la réalité ne peuvent être garanties. Les projections sont fournies à titre purement indicatif. Les données figurant dans cette publication sont à caractère général et purement informatif. Elles ne peuvent pas être considérées comme un conseil d investissement, conformément à la loi du 6 avril 99 relative aux marchés secondaires, au statut des entreprises d investissement et à leur contrôle, aux intermédiaires et conseillers en placements. KBC ne peut pas être tenu responsable de son exactitude ou de son exhaustivité. Tous les cours historiques, statistiques et graphiques sont d actualité jusqu au 9 mars inclus, sauf stipulation contraire. Les opinions et prévisions décrites sont telles qu en vigueur au mars.

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