2.3.6 Formation en matière d hygiène

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2.3.6 Formation en matière d hygiène"

Transcription

1 2.3.6 Formation en matière d hygiène Principe Quiconque fabrique, traite, entrepose, transporte ou distribue des denrées alimentaires, doit veiller à ce qu elles soient entreposées, transportées ou distribuées de telle façon qu elles ne puissent être altérées par des substances pouvant mettre la santé en danger ou altérées d une quelconque autre manière. Les denrées alimentaires ne doivent entrer en contact direct ou indirect qu avec des récipients, du matériel d emballage, des installations, des outils et autres objets semblables propres et en bon état. Elles doivent être entreposées et transportées uniquement dans des locaux et des véhicules propres, suffisamment grands et aménagés de façon à permettre un entreposage correct. Les denrées alimentaires ne doivent pas être altérées par des ravageurs et des parasites. Lorsqu elles manipulent des denrées alimentaires, les personnes qui excrètent des agents pathogènes pouvant mettre en danger la santé des consommateurs doivent prendre des mesures de protection particulières. Le propriétaire de l entreprise doit prendre toutes les mesures nécessaires pour que les denrées alimentaires restent irréprochables au point de vue hygiénique et qu elles soient à l abri de toute influence préjudiciable à leur odeur, à leur saveur ou à d autres caractéristiques. But et objectif de l hygiène Protéger les consommateurs contre les denrées alimentaires et les objets usuels pouvant mettre la santé en danger (denrées alimentaires avariées p. ex.) Protéger les consommateurs contre les tromperies relatives aux denrées alimentaires (anciennes denrées alimentaires, denrées alimentaires comportant des indications fausses ou fallacieuses telles que margarine au lieu de beurre p.ex.). Assurer la manutention des denrées alimentaires dans de bonnes conditions d hygiène (respect de la chaîne du froid, production propre et vente propre p. ex.). 1/10

2 Obligation d autocontrôle écrit Pour garantir l hygiène des denrées alimentaires, il y a lieu de rechercher les points critiques pour la sécurité des denrées alimentaires. Toutes les entreprises doivent disposer d un système d autocontrôle documenté par écrit, basé sur les principes HACCP. Que signifie HACCP? H = Hazard (risque) A = Analysis C = Critical C = Control P = Point Analyse des risques. «Exemples: infestation parasitaire, impuretés, dépassements de température». Quel est le risque de dommage? Conditions critiques à maîtriser. Qu est-ce qui doit être constamment contrôlé et consigné? Quels sont les moyens de contrôle? Quels points de contrôle donnés permettent de diminuer le risque? L application de la méthode HACCP dans le cadre de la réception, du stockage, de la fabrication et de la vente de denrées alimentaires doit permettre d identifi er, d analyser et de maîtriser les risques sanitaires importants liés aux denrées alimentaires. Quels sont les risques? 1. Risques microbiologiques 2. Risques biologiques Denrées 3. Risques chimiques 4. Risques physiques alimentaires 2/10

3 Formation du personnel/formation en matière d hygiène Toute personne qui travaille dans un établissement du secteur alimentaire doit veiller à avoir une hygiène personnelle et une propreté adéquates lorsqu elle utilise des denrées alimentaires. Les vêtements doivent être propres et adéquats. Le personnel doit être formé selon son activité, en matière d hygiène à respecter lors de la manipulation des denrées alimentaires. Bactériologie (micro-organismes) Les micro-organismes sont omniprésents: dans la terre, la boue, l eau, sur les hommes, et sur ou dans les denrées alimentaires. Pratiquement aucun objet n est stérile. Les micro-organismes se propagent par l air, l eau, la poussière et les matières premières. L homme et l animal porteurs de germes contribuent également à leur propagation. Leur structure permet de classer les micro-organismes en trois catégories principales: bactéries, levures, champignons. Les virus sont en fait des parasites cellulaires qui ont besoin pour se développer d une cellule humaine ou animale. Les micro-organismes peuvent influencer négativement la qualité des denrées alimentaires de multiples manières. Les plus à craindre sont les bactéries et les champignons, qui produisent dans les denrées alimentaires des toxiques forts, pouvant entraîner des maladies graves. Voici quelques noms de bactéries dangereuses connues: staphylocoque doré, Salmonella Enteritidis, Clostridium botulinum, Aspergillus flavus, listérias. 3/10

4 Croissance et multiplication des micro-organismes Eau: la croissance et la multiplication des petits organismes dépend de différents facteurs tels que disponibilité d eau/valeur aw, substances nutritives, oxygène, valeur ph et chaleur. Comme tous les organismes, ces derniers ont besoin d eau pour survivre et se multiplier. L humidité est propice à la croissance des micro-organismes. Substances nutritives: aucune croissance n est possible sans amidon, sucre (glucides) et protides (azote). Les articles de boulangerie, de pâtisserie et de confiserie représentent donc un substrat idéal pour les petits organismes. Oxygène: pour se multiplier, les bactéries ont généralement besoin d oxygène. Mais il en existe également qui n en ont pas besoin. Valeur ph: la valeur ph détermine si un milieu est acide ou alcalin. Les milieux nutritifs acides ne conviennent pas aux petits organismes et peuvent, le cas échéant, stopper leur croissance. Chaleur: la température est le facteur essentiel à la croissance. La chaleur favorise la croissance de la plupart des micro-organismes, et notamment des pathogènes. Vitesse de croissance: dans des conditions idéales, les bactéries se divisent toutes les 20 à 30 minutes environ: le nombre de germes augmente donc très rapidement. Leur croissance est exponentielle. A partir d une cellule, il faut compter environ 6½ heures pour atteindre le million de germes, pour autant que les conditions soient bonnes. Remarque: un produit peut contenir près de 10 x plus de germes après une heure. 4/10

5 Modes de transmission des micro-organismes Les modes de transmission de germes aux denrées alimentaires les plus courants sont les suivants: Personnel n Vêtements de travail non propres. n Absence de nettoyage des mains et de désinfection après chaque passage aux toilettes. n Plaies ouvertes, et donc suppurantes. n Eternuement et toux sur les denrées alimentaires. n Vecteurs de maladies infectieuses, salmonelle, hépatite A, etc. Matières premières, produits intermédiaires et produits finis n Matières premières et produits intermédiaires entreposés trop longtemps ou contaminés. n Saleté et poussière. n Décongélation non conforme. n Trop longue interruption de la chaîne du froid (crème vanille, crème et viandes p. ex.). n Restes de production. n Infestation parasitaire (mites, vers, blattes). n Animaux (oiseaux, chiens, chats, rats et souris). Infrastructure et utilisation n Bâtiments, atmosphère poussiéreuse. n Locaux difficiles à nettoyer. n Nettoyage ou entretien insuffisants des machines, installations et appareils. n Longue durée d emploi des matières premières, produits intermédiaires et produits finis. n Conservation insuffisante, respectivement utilisation non conforme des produits, installations de réfrigération et de congélation insuffisantes. 5/10

6 Conservation des denrées alimentaires Conservation des denrées alimentaires Conservation (Aperçu) Procédé chimique Procédé physique Procédé biologique Atmosphère gazeuse Baisse de de valeur aa w w Chaleur Irradiation Agents de de conservation Salaison Fumaison Déshydratation: Sécher Fumaison Congeler Saler Salaison Sucrer Cuire Pasteuriser Réduire à à la la cuisson Stériliser Réfrigérer Congeler Irradiations UV, UV, β β et et γ γ Fermentation lactique Gaz Gaz protecteur (CO (CO 2, 2 N, N 2 ) 2 ) Emballage sous vide vide Traitements thermiques des denrées alimentaires Traitements thermiques des denrées alimentaires Denrées alimentaires stériles Le chauffage à ultra-haute température (UHT), C, pendant Denrées quelques alimentaires secondes stériles permet de stériliser les denrées alimentaires. Le Le chauffage à ultra-haute température (UHT), C, pendant Denrées quelques alimentaires secondes pauvres permet en germes de de stériliser les denrées La alimentaires. pasteurisation haute nécessite entre 85 et 135 C. La pasteurisation permet de tuer tous les germes végétatifs et pathogènes. Denrées alimentaires pauvres en en germes Risque La La pasteurisation de prolifération haute des germes nécessite ente entre 5 et Cet et 135 C. La La pas- Les teurisation températures permet de réfrigération de de tuer permettent tous les de garantir germes la sécurité végétatifs et et alimentaire pathogènes. en tout temps. Dans l intérêt de la sécurité alimentaire, les produits à composition délicate devraient être stockés à moins de 5 C. Réfrigération Risque de de prolifération des germes ente 5 et et C C Réfrigérer Les températures aussi rapidement que réfrigération possible à 5 permettent C ou moins les de de denrées garantir la la alimentaires sécurité alimentaire chauffées (p. en en ex. tout crème temps. vanille Dans cuite), l intérêt et les conserver de de la la sécurité à alimentaire, cette température. les produits à composition délicate devraient être stockés à moins de de 5 C. Stopper la prolifération La prolifération des germes est lente en dessous de 0 C; elle est stoppée à partir de 18 C. 6/10

7 Hygiène personnelle et hygiène au sein de l entreprise de quoi faut-il tenir compte en particulier? Toute personne employée dans une entreprise travaillant avec des denrées alimentaires peut largement contribuer à la sécurité alimentaire en adoptant un comportement hygiénique. Les risques hygiéniques induits par l activité variée au poste de travail peuvent être évités en appliquant de simples règles d hygiène de base. L homme est un important vecteur de micro-organismes. Il faut donc toujours observer des règles d hygiène personnelle de base. Hygiène personnelle Les employés produisant et vendant des denrées alimentaires sont confrontés au public. Veiller aux points suivants: n bon soin corporel n douches régulières n cheveux propres n ongles propres n vêtements propres n chaussures propres Ne porter ni bracelet ni bague dans le cadre de la production de denrées alimentaires. Nettoyage adéquat des mains et désinfection n avant le début du travail n après les pauses n après utilisation de matières premières n après tout contact avec de la saleté et des déchets n après tout contact avec de l argent n après avoir fumé n après avoir toussé ou éternué n après tout contact avec des produits de nettoyage ou des graisses Remarque Toujours nettoyer préalablement avec de l eau et du savon, puis désinfecter! Alcool 7/10

8 Vêtements de travail propres et adéquats! n Les vêtements de travail doivent rester propres. n Les vêtements de travail ne doivent être portés qu au sein de l entreprise. n Les tabliers professionnels et les chemises doivent être changés quotidiennement. n A l achat, veiller à ce que les vêtements de travail n aient pas de poches extérieures. Les vestiaires et les toilettes doivent rester propres! Tenir compte de ce qui suit: n Le linge sale n a rien à faire dans les vestiaires. n Les vestiaires et les toilettes doivent rester propres. n Les chaussures, les vêtements et les autres ustensiles n ont rien à faire au-dessus des casiers de vestiaire. n L absence de papier de toilette, de savon, de désinfectant pour les mains et d essuie-mains à usage unique doit être notifiée au responsable de l entreprise. Remarque n Le vestiaire est une carte de visite personnelle. n Les clients peuvent en tout temps jeter un coup d œil dans les coulisses! Les blessures et les maladies doivent être annoncées! Même les plus petites blessures peuvent présenter des risques importants, les plaies ouvertes, infectieuses étant porteuses de bactéries. Coupure due à une trancheuse! n Bien protéger les plaies, porter éventuellement une protection en caoutchouc. n Porter des gants. n En cas de forte irritation de la peau ou d eczéma, contacter un dermatologue. Plaie correctement protégée! 8/10

9 Règles d hygiène dans la production n Ne pas éternuer ou tousser sur les denrées alimentaires. n Ne pas souffler dans les sacs à dresser. n Ne toucher des doigts les denrées alimentaires que si nécessaire. n Pour déguster, toujours utiliser une cuiller propre (appliquer le système des 2 cuillers). n Toujours réfrigérer les produits délicats à 5 C ou moins. n Ne pas produire de restes. n Toujours recouvrir les éventuels restes d une feuille plastifiée, et les dater. n Porter des gants à usage unique dans le cadre de processus de travail critiques (mélanger, brasser ou verser des produits délicats). n Dans le cadre des recettes, les points de contrôle doivent être observés strictement et contrôlés. n Interdiction de fumer dans les locaux dans lesquels on utilise des denrées alimentaires. Remarque Chaque collaborateur est coresponsable. Gestion des marchandises n En cas de livraison de marchandises, il faut contrôler la quantité, l état de l emballage, la qualité, la date et la température des produits. n Ne pas interrompre la chaîne du froid et de congélation! n Informer immédiatement le responsable de l entreprise des défauts des matières premières et des produits intermédiaires. n Recontrôler les matières premières avec tous les sens avant de les utiliser. n N utiliser qu une qualité irréprochable. n Notifier au responsable des ventes les ingrédients à déclarer, p. ex. les allergènes. n Stocker les nouvelles marchandises derrière les anciennes (principe «first in first out»). n Toujours stocker les produits critiques en hauteur, les autres plus bas. n Ne jamais stocker des produits finis à proximité immédiate de matières premières, de pâtes ou de levure. n Bien emballer les produits, et les dater. n Réfrigérateur à 5 C ou moins. n Armoire de congélation à 18 C ou plus froide encore. n Consigner régulièrement la température. n Prudence avec les retours (reworks). 9/10

10 Nettoyage et désinfection Les bactéries ne sont pas visibles à l œil nu!! Nettoyage de ce qui se voit Eau et produit de nettoyage Remarque Tout ce qui brille n est pas propre! Dans une enteprise travaillant avec des denrées alimentaires, la propreté optique ne suffit pas! Désinfection de ce qui ne se voit pas Chaleur (au moins 80 C) ou désinfectant (respecter le temps d action) Plans de nettoyage Les prescriptions de nettoyage stipulées dans des plans de nettoyage internes à l entreprise doivent être observées strictement. Les plans de nettoyage régissent le nettoyage en ces termes: QUOI, QUAND, COMMENT, PAR QUI, AVEC QUOI! Veiller à la propreté des: n surfaces de travail. n entrepôts. n chambres frigorifiques et de congélation. n tiroirs et armoires. n instruments de livraison. n véhicules de livraison. Elimination des déchets n Tri des déchets (verre, carton, papier, tubes fluorescents, vieux pain). n Eloigner les déchets aussi rapidement que possible des locaux de production. n Eliminer régulièrement les déchets. n Toujours couvrir les poubelles. n Nettoyer minutieusement les poubelles après les avoir vidées. n N acheter que des poubelles actionnées par pédale (couvercle). 10/10

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Introduction

Hygiène alimentaire. Introduction Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux

Plus en détail

CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999

CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 CAC/RCP 46 Page 1 of 22 CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...2 1. OBJECTIFS...2

Plus en détail

Fiche pratique. Les règles d hygiène en restauration. Mai 2014

Fiche pratique. Les règles d hygiène en restauration. Mai 2014 Fiche pratique Les règles d hygiène en restauration Délégation de Millau 38, bd de l Ayrolle BP 60145 12101 MILLAU cedex Tél : 05 65 59 59 00 17, rue Aristide Briand BP 3349 12000 RODEZ cedex 9 Tél : 05

Plus en détail

GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale

GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale La «marche en avant» consiste à éviter autant que possible le croisement

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS (1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE

Plus en détail

Service Hygiène & Sécurité

Service Hygiène & Sécurité Service Hygiène & Sécurité MAI Vous présente : N 16 Les locaux des cuisines de restauration collective, les matériels qu ils contiennent et les activités pratiquées exposent les agents et les consommateurs

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION

Plus en détail

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen

Plus en détail

Direction de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE

Direction de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE Réglementation relative à l hygiène alimentaire des marchands ambulants et des vendeurs sur foires et marchés (Activités de restauration, vente de poissons, activités de boucherie, charcuteries, pâtisseries,

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Les règles d hygiène en restauration

Les règles d hygiène en restauration Les règles d hygiène en restauration Collection Entreprises - Tourisme et CHR Page 1/19 Sommaire Introduction 4 La réglementation applicable à la restauration 4 Les principes HACCP 5 Principales règles

Plus en détail

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive

Plus en détail

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,

Plus en détail

817.024.1. Ordonnance du DFI sur l hygiène. (OHyg) Dispositions générales. du 23 novembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2014)

817.024.1. Ordonnance du DFI sur l hygiène. (OHyg) Dispositions générales. du 23 novembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2014) Ordonnance du DFI sur l hygiène (OHyg) du 23 novembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2014) Le Département fédéral de l intérieur (DFI), vu l art. 48, al. 1, let. a à d, de l ordonnance du 23 novembre 2005

Plus en détail

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

Le système HACCP. Plan. Plan. Introduction :

Le système HACCP. Plan. Plan. Introduction : Le système HACCP Introduction : Plan L importance de l alimentation Le risque alimentaire La gestion de la qualité : Les systèmes d assurance de la qualité Le système HACCP Origine Objectifs Principes

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

L hygiène en restauration

L hygiène en restauration L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités

Plus en détail

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques

Plus en détail

Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail

Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

1 Organiser et gérer. son poste de travail

1 Organiser et gérer. son poste de travail 1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans

Plus en détail

Programme d amélioration de la salubrité des aliments (PASA)

Programme d amélioration de la salubrité des aliments (PASA) Le système HACCP Ce cours se base sur la présentation de Stéphane Vanoirbeck sur le Guide des Bonnes Pratiques d Hygiène (GBPH) et le Manuel de l Agence Canadienne d Inspection des Aliments sur le Programme

Plus en détail

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

L application des principes HACCP dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation

L application des principes HACCP dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation L application des principes HACCP dans les entreprises alimentaires Guide d application de la réglementation Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement Direction

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Construire un plan de nettoyage et de désinfection Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

Registres de fermentation lente. Critères d inspection

Registres de fermentation lente. Critères d inspection Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon

Plus en détail

Parties communes et services

Parties communes et services Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire

Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et

Plus en détail

Lëtzebuerger Maarteverband. Guide de bonnes pratiques d hygiène pour établissements de restauration

Lëtzebuerger Maarteverband. Guide de bonnes pratiques d hygiène pour établissements de restauration Lëtzebuerger Maarteverband Guide de bonnes pratiques d hygiène pour établissements de restauration Eine deutsche Fassung ist erhältlich. (Diskette oder Schwarz/weiss Dossier) Mitgelieferte Arbeitsblätter

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

L hygiène alimentaire en EPHAD

L hygiène alimentaire en EPHAD L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

HYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES

HYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES HYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES Dernière mise à jour : 26 mars 2013 1 SOMMAIRE LA MARCHE EN AVANT. 2 FICHE : LE PERSONNEL.. 8 FICHE : AMENAGEMENT DES LOCAUX ET EQUIPEMENTS... 9 FICHES : FONCTIONNEMENT....

Plus en détail

Quelles sont les chances des petits producteurs de se

Quelles sont les chances des petits producteurs de se Quelles sont les chances des petits producteurs de se maintenir sur le marché? Quelles sont les solutions en France pour la réorientation des activités des petits producteurs? La Roumanie vient d entrer

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat LES CARAMELS MOUS

Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat LES CARAMELS MOUS LA CONFISERIE Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat Préambule LES CARAMELS MOUS Du latin «cannamella» qui signifie «canne à sucre» Proprement dit, le caramel est

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l

Plus en détail

Manuel Autocontrôle Fédération Wallonie-Bruxelles

Manuel Autocontrôle Fédération Wallonie-Bruxelles Fédération Wallonie-Bruxelles Euro Consultants - www.euroconsultants-group.com Page 2 sur 87 Introduction La a pour objectif, dans la gestion de ses cuisines, d observer les meilleures pratiques de sécurité

Plus en détail

1. GENERALITES SUR LES FICHES D'HYGIENE. 2.1. Connaître 2.1.1. Germes 2.1.2. Vitesse de propagation 3. HYGIENE PERSONNELLE

1. GENERALITES SUR LES FICHES D'HYGIENE. 2.1. Connaître 2.1.1. Germes 2.1.2. Vitesse de propagation 3. HYGIENE PERSONNELLE Manuel d hygiène 2 SOMMAIRE Dossier Hygiéne 1. GENERALITES SUR LES FICHES D'HYGIENE 2. MICROBES 2.1. Connaître 2.1.1. Germes 2.1.2. Vitesse de propagation 3. HYGIENE PERSONNELLE 3.1. Enlever 3.1.1. Vêtements

Plus en détail

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...

Plus en détail

Agent d entretien des locaux

Agent d entretien des locaux Agent d entretien des locaux L entretien des locaux (bureaux, écoles, salles polyvalentes, structures sanitaires, gymnases ) nécessite l emploi de techniques, de produits et de matériels spécifiques qui

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

Note de Synthèse. FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication

Note de Synthèse. FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication Diplôme Universitaire Gardien de Refuge de Montagne Note de Synthèse FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication Laborde Paul DU Gardien

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise

Plus en détail

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques

Plus en détail

L hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD

L hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,

Plus en détail

J ai l honneur, par la présente, de vous faire part d une demande d agrément communautaire pour mon commerce de détail en crémerie-fromagerie situé

J ai l honneur, par la présente, de vous faire part d une demande d agrément communautaire pour mon commerce de détail en crémerie-fromagerie situé Coordonnées / cachet de l établissement Coordonnées de la DD(CS)PP du département A..., le.. Objet : Demande d agrément sanitaire Madame, Monsieur, J ai l honneur, par la présente, de vous faire part d

Plus en détail

PRINCIPES GÉNÉRAUX D'HYGIÈNE ALIMENTAIRE CAC/RCP 1-1969

PRINCIPES GÉNÉRAUX D'HYGIÈNE ALIMENTAIRE CAC/RCP 1-1969 PRINCIPES GÉNÉRAUX D'HYGIÈNE ALIMENTAIRE CAC/RCP 1-1969 INTRODUCTION... 3 SECTION I - OBJECTIFS... 3 SECTION II - CHAMP D'APPLICATION, UTILISATION ET DÉFINITIONS... 4 2.1 CHAMP D'APPLICATION... 4 2.2 UTILISATION...

Plus en détail

La réglementation quelques incontournables

La réglementation quelques incontournables Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Precor MD EC. CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments

Precor MD EC. CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments 2013-06-24 2012-4592 Carton October 2008 Precor MD EC CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments COMMERCIAL AVERTISSEMENT: IRRITANT POUR LES YEUX ET LA PEAU

Plus en détail

FORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle

FORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle FORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle 1 Le cadre réglementaire 2 Arrêté du 29 septembre 1997 fixant les conditions d hygiène applicables dans les établissements

Plus en détail

H A C C P. DEFINITION Hazard analysis control critical points. Analyse des dangers et maîtrise des points critiques

H A C C P. DEFINITION Hazard analysis control critical points. Analyse des dangers et maîtrise des points critiques H A C C P DEFINITION Hazard analysis control critical points Analyse des dangers et maîtrise des points critiques Pourquoi HACCP? Satisfaire à la réglementation Garantir la qualité hygiénique des aliments

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009 Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage

Plus en détail

Cinq clefs pour des aliments plus sûrs Manuel

Cinq clefs pour des aliments plus sûrs Manuel Cinq clefs pour des aliments plus sûrs Manuel Département sécurité sanitaire des aliments, zoonoses et maladies d origine alimentaire Cinq clefs pour des aliments plus sûrs Manuel Département sécurité

Plus en détail

QUIZZ! C est toi l expert en énergie! Ta mission: Répondre aux questions du cahier en explorant cette maison sur le site energie-environnement.

QUIZZ! C est toi l expert en énergie! Ta mission: Répondre aux questions du cahier en explorant cette maison sur le site energie-environnement. QI! C est toi l expert en énergie! a mission: Répondre aux questions du cahier en explorant cette maison sur le site energie-environnement.ch i tu réponds correctement, tu obtiendras un code secret qui

Plus en détail

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation

Plus en détail

La démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation

La démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation La démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation Un expert à votre service pour votre réussite 1 La démarche HACCP en cuisine de collectivité Sommaire I. Hygiène en cuisine... 4 A. L hygiène...

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Guide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs

Guide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs Guide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs Edition 2011 ISBN : 978-2-11-076672-4 ISSN : 0767-4538 AVIS AUX PROFESSIONNELS DE L ALIMENTATION

Plus en détail

Guide de bonnes pratiques d'hygiène pour bouchers-charcutiers

Guide de bonnes pratiques d'hygiène pour bouchers-charcutiers Guide de bonnes pratiques d'hygiène pour bouchers-charcutiers (élaboré par le Centre de Promotion et de Recherche de la Chambre des Métiers en collaboration avec la Fédération des Patrons Bouchers-Charcutiers)

Plus en détail

Guide de Bonnes Pratiques d Hygiène de la filière vanille

Guide de Bonnes Pratiques d Hygiène de la filière vanille SOMMAIRE Comment utiliser ce guide?... 4 Préambule... 5 1. Champ d application et objectifs du guide... 6 2. Présentation générale de la filière et description du produit 2.1. Présentation générale de

Plus en détail

Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP)

Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 59 Chapitre 11 Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 11.1 PRINCIPES DE BASE DE L HACCP... 59 11.2 APPLICATION DES PRINCIPES HACCP À LA PURIFICATION DES MOLLUSQUES BIVALVES...

Plus en détail

Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE

Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Logo CERVIA Parce que l enjeu alimentaire est plus que jamais un défi pour demain, le CERVIA PARIS Ilede-France,

Plus en détail

LES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD

LES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD LES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD Réseau LImousin NUTrition : Journée des directeurs 05 décembre 2014 Pascal Peyronnet Ingénieur hospitalier responsable restauration CHU de Limoges LES DIFFERENTS

Plus en détail

Factsheet Qu est-ce que le yogourt?

Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les

Plus en détail

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés

Plus en détail

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage 80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme

Plus en détail

Marque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA

Marque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA Marque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA N FR05/00392 SAS au capital de 53.357,16 Siège Social : 34, Rue de Paris 60330 LE PLESSIS BELLEVILLE - Téléphone : 03.44.58.14.21. - Fax : 03.44.58.20.98.

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs 0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Plus en détail

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes 1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon

Plus en détail