Physiologie digestive
|
|
- Michele Pelletier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Physiologie des grandes fonctions Physiologie digestive Fanny Pilot-Storck Introduction La physiologie digestive : une fonction passionnante! Des records Homme : 400m 2 de surface d échange Vache : rumen de 200L Foie Bactéries > cellules propres de l organisme Jéjunum Un centre neuro-hormonal de premier plan Colon «petit cerveau» : neurones Automatisme, intégration de réflexes courts >30 neurotransmetteurs, hormones, facteurs paracrines Consultations vétérinaires D après Atlas d anatomie du chien et du chat, J. Ruberte et J. Sautet 1
2 Introduction La physiologie digestive : une fonction passionnante! Des défis Transformer le milieu extérieur en milieu intérieur ph, composition, éléments indigestes, contendants Adaptations de l activité motrice et des sécrétions Equilibre efficacité / respect des structures Intestin Foie Estomac D après Atlas d anatomie du chien et du chat, J. Ruberte et J. Sautet Introduction La physiologie digestive : une fonction passionnante! Des défis Les écueils Echecs digestion/absorption obstruction constipation diarrhée vomissements malabsorption Lésions du tractus gastro-intestinal perforation occlusion ulcères paralysie-iléus coliques Retentissement général 2
3 Introduction Système métabolique héliotrope : hétérotrophie - nutrition à partir d'organismes autotrophes / hétérotrophes divergence fonctionnelle dans les mécanismes et la régulation distinction entre herbivores mono/polygastriques & les carnivores/omnivores Définition de la digestion : ensemble des mécanismes physiques & chimiques qui assurent la transformation des aliments en nutriments, molécules absorbables. préhension - mastication - déglutition phénomènes moteurs - digestion physico-chimique (ph, enzymes) absorption Introduction Extension de la fonction digestive : Avant d'être mastiqués, propulsés, digérés, absorbés : les aliments doivent parvenir à la bouche comportement alimentaire prise alimentaire arrêt de la prise : la satiété 3
4 Physiologie de la Digestion Introduction Physiologie digestive chez les animaux domestiques 2. Régulation de l'appétit (S8) Molécules et mécanismes de régulation de la prise alimentaire Hélène Combrisson, UP de Physiologie ENVA 1. Physiologie digestive (S7) Phénomènes moteurs et digestion chimique chez les carnivores Phénomènes moteurs et digestion chimique chez les herbivores Physiologie de la digestion Plan I. Phénomènes moteurs de la digestion II. Phénomènes chimiques de la digestion III. Absorption des nutriments 4
5 Physiologie de la digestion I. Phénomènes moteurs de la digestion Motricité de la région bucco-pharyngée Préhension des aliments, Mastication Déglutition Motricité du tube digestif Motricité de l'œsophage Motricité gastrique Motricité intestinale Vomissement - défécation La mastication : réduction physique de la taille des aliments - primaire Motricité bucco-pharyngée - secondaire : rumination, ou activité mérycique 5
6 Motricité bucco-pharyngée La mastication Mouvements et EMG des muscles masticateurs chez le Lapin I IIa IIb D'après Nakatura et Katakura, Neuroscience research, 23, Comportement rythmique (à déterminisme neuronal) Motricité bucco-pharyngée La mastication : contrôle par l'aire Masticatoire Corticale Mouvements masticatoires reproduits par stimulation corticale (Chat, Lapin, Cochon d'inde, Rat) Associés à des mouvements de la langue et une salivation comportement oro-facial identique à la mastication naturelle D'après Nakatura et Katakura, Neuroscience research, 23, Décérébration : Maintien de la mastication Diminution de l'amplitude des mouvements masticateurs Amplitude maintenue après stimulations des voies pyramidales il existe un centre du rythme L'AMC est responsable de l'amplitude des mouvements 6
7 Motricité bucco-pharyngée La mastication : le Générateur Central du Rythme masticatoire (GCR) Expérience d'enregistrement de l'activité électrique d'un seul neurone (Cochon d'inde) (Formation parvocellulaire) D'après Nakatura et Katakura, Neuroscience research, 23, La mastication : intégration périphérique Motricité bucco-pharyngée Déterminisme central double AMC CGR Réflexe complexe Stimuli centraux (ganglions de la base) Stimuli périphériques (mécanorécepteurs face, bouche, gencives, langue, muscles) Voies centripètes : V et IX Intégration sensorielle via le noyau sensoriel du nerf V D'après S.I. Fox, Human physiology, 6th ed. Mc Graw Hill 7
8 Motricité bucco-pharyngée Déglutition : phases orale et pharyngée Air Pharynx Aliments Oesophage Larynx D après Atlas d anatomie du chien et du chat, J. Ruberte et J. Sautet Motricité bucco-pharyngée Déglutition : phases orale et pharyngée Air V, IX, X Centre bulbaire de la déglutition Aliments D après Atlas d anatomie du chien et du chat, J. Ruberte et J. Sautet Apnée, fermeture du larynx, progression des aliments (V, IX, X) 8
9 Motricité bucco-pharyngée Déglutition : phase oesophagienne Déterminisme centrale de la déglutition centre bulbaire : Générateur du Programme de la Déglutition relais sur les noyaux V, IX, X et XII sensibilité des piliers palatoglosses par le X (n. laryngé supérieur) Déglutition : stimulation du nerf laryngé supérieur Souris Motricité bucco-pharyngée D'après Sang et Goyal, 2001 Am J Physiol Gastrointest Liver Physiol, 280, G
10 Motricité bucco-pharyngée Chien, Chat, Homme 1 - Défaut de fonctionnement du sphincter sup. œsophagien neuropathie, myopathie, hypothyroïdie achalasie oesophagienne (hypertension du sphincter inf.) 2 - Lésion du nerf laryngé supérieur : troubles de la déglutition (dysphagie) hypersalivation troubles de la vocalisation troubles de la respiration Homme, Chien, Chat Motricité bucco-pharyngée Lésion chirurgicale du nerf laryngé réinnervation par la branche supérieure du nerf phrénique 10
11 Motricité bucco-pharyngée Déglutition : phase œsophagienne Ouverture du muscle crico-pharyngien (sphincter supérieur) Péristaltisme œsophagien Relâchement du sphincter inférieur Eventuellement, seconde vague péristaltique Motricité du sphincter œsophagien inférieur mesure de la pression interne Régulation nerveuse 11
12 Motricité du sphincter œsophagien inférieur Chien Œsophage : musculature striée SOI : musculature lisse (jonctions gap) Cavéoline-3 : membranes fms Myosine du muscle lisse Partie moyenne Partie sphinctérienne Motricité œsophagienne Chien, chat 1 - Mégaœsophage idiopathique? primaire ICC secondaire : neuro-myopathie 7-15 ans Setter irlandais, Labrador, Berger A., Schnauzer nain Photo : Stéphane Blot 2 - Reflux gastro-œsophagien œsophagite 12
13 Motricité du sphincter œsophagien inférieur cellules de Chat isolées en culture Motricité du sphincter œsophagien inférieur mesure de la pression interne Régulation chimique Endocrine : gastrine motiline paracrine ph, PGF2α 13
14 Physiologie de la digestion Plan I. Phénomènes moteurs de la digestion Motricité bucco-pharyngo-œsophagienne Motricité gastrique & intestinale dilatation/torsion, régurgitation, iléus, intussusception, hypermotricité vomissement, constipation II. Phénomènes chimiques de la digestion III. Absorption des nutriments Mécanisme et régulation des mouvements La motricité du tube digestif est permise par des fibres musculaires innervées par : - le système neurovégétatif (musculeuse et sphincters lisses) - le système somatique (sphincters striés) Duodénum de chien F. Bernex, ENV Alfort 14
15 Mécanisme et régulation des mouvements La motricité du tube digestif est permise par 3 types cellulaires l'automatisme est assuré par les cellules interstitielles de Cajal (ICC) les potentiels d'actions sont transmis aux cellules musculaires les neurones des plexus ( ) harmonisent les contractions mouvements fonctionnels Mécanisme et régulation des mouvements les plexus nerveux : sous-muqueux, myentérique Automatisme, intégration, réception efférences 15
16 Mécanisme et régulation des mouvements l'automatisme est assuré par les cellules de Cajal (ICC) Mécanisme et régulation des mouvements l'automatisme est assuré par les cellules de Cajal (ICC) les potentiels d'actions sont transmis aux cellules musculaires les neurones des plexus ( ) harmonisent les contractions 16
17 Mécanisme et régulation des mouvements La motricité du tube digestif est intégrée par : le système nerveux (afférences et efférences) stimulation : inhibition : Ach, substance P, 5-HT, GRP NorA, dopamine, NO, VIP, CGRP des hormones du tractus gastro-intestinal (peptides) stimulation : gastrine, motiline inhibition : sécrétine, GIP, CCK des facteurs paracrines stimulation : histamine, prostaglandines inhibition : somatostatine Mécanisme et régulation des mouvements Automatisme : les cellules interstitielles de Cajal (ICC) Origine embryologique Identification Localisation tissulaire Propriétés électriques Mise en évidence de leur rôle 17
18 Automatisme : ICC Origine embryologique cellules mésenchymateuses de même origine que les fibres musculaires lisses mésoderme progénitrice musculaire interstitielle de Cajal Automatisme : ICC Identification forme étoilée morphologique µie optique µie e ique x d'après Lee et al., Am J Phy Gastro 277, G409. un cytoplasme dense de nombreuses mitochondries hétérochromatine dense périnucléaire x
19 Automatisme : ICC Identification Estomac de : B-souriceau nouveau-né C-embryon E15.5 moléculaire elles expriment c-kit d'après Bernex et al., Development 122, Automatisme : ICC Localisation tissulaire côlon sigmoïde humain, couche circulaire c-kit ( de Cajal) PGP (neurones) d'après He et al., Gastroenterology 118,
20 Anomalie de l'automatisme par les ICC Mise en évidence indirecte de leur rôle modèles animaux, maladies humaines, expérimentation gastroparésie des diabétiques iléus de subocclusion intestinale constipation chronique d'après Sanders et al., Am J Phy Gastro 282, G747. Automatisme : ICC gastroparésie des diabétiques d'après Sanders et al., Am J Phy Gastro 282, G
21 Automatisme : ICC gastroparésie des diabétiques antre distal c-kit antre proximal d'après Sanders et al., Am J Phy Gastro 282, G747. Automatisme : ICC gastroparésie des diabétiques d'après Sanders et al., Am J Phy Gastro 282, G
22 Eléments d'électrophysiologie Le potentiel de membrane P.A. d'une cellule sinusale cardiaque Eléments d'électrophysiologie Dépolarisation lente diastolique 22
23 Motricité intestinale Automatisme : ICC Propriétés électriques origine des mouvements ioniques Automatisme : ICC Propriétés électriques et mécaniques genèse de potentiel d'action au sommet des ondes lentes seuil critique de dépolarisation : -40 à -37 mv la contraction dépend de la présence et du nombre de PA - 30 mv - 40 mv - 50 mv 23
24 Automatisme : ICC Propriétés électriques la genèse des ondes lentes met en jeu un courant sodique la genèse des potentiels d'action, un courant calcique Automatisme : ICC Propriétés électriques l'activité pacemaker explique : les mouvements gastriques le péristaltisme oral-aboral intestinal 24
25 Mouvements A fonction différente, motricité particulière estomac fundus corps et antre 1- relâchement réceptif 2- brassage et fragmentation 3- vidange Mouvements A fonction différente, motricité particulière estomac fundus corps et antre 1- relâchement réceptif 2- brassage et fragmentation 3- vidange 1- relâchement réceptif : Arrivée du bol alimentaire réflexe vago-vagal (VIP) relaxation de la partie orale 25
26 Mouvements A fonction différente, motricité particulière estomac fundus corps et antre 1- relâchement réceptif 2- brassage et fragmentation 3- vidange 2- brassage et fragmentation : Zone du croissant vagues de contraction Paroi musculaire épaisse brassage, fragmentation, fermeture du pylore Chyme : passage du pylore ou rétropulsion vague, gastrine, motiline ortho, sécrétine, GIP Mouvements A fonction différente, motricité particulière estomac fundus corps et antre 1- relâchement réceptif 2- brassage et fragmentation 3- vidange 3- vidange : A jeûn, toutes les 90 min motiline 26
27 Mouvements Temps de vidange chez le Chien les besoins vétérinaires études de tolérance digestive inter-raciale torsion d'estomac gastroparésie du diabétique hypo- hypermotricité intestinale rétention colique les paramètres mesurés le temps de latence / T 50 / de vidange gastrique totale (TVGT) le temps de transit dans l'intestin grêle (TTIG) le temps de transit oro-cœcal (TTOC) le temps de séjour moyen dans le côlon (TSM) le temps de transit total (TTT) Mouvements Temps de vidange chez le Chien 27
28 Mouvements Temps de vidange chez le Chien les techniques utilisées la scintigraphie ( 99m Tc) la radiographie utilisant le sulfate de baryum la radiographie utilisant des sphères imprégnées (BIPS ) le test expiratoire utilisant le 13 C-octanoate de sodium le dosage de la sulfapyridine (SP) à partir de la sulfasalazine le dosage du sulphate de chrome et des marqueurs solides Mouvements Temps de vidange chez le Chien les techniques utilisées : test expiratoire 13 C-octanoate de sodium 28
29 Mouvements Temps de vidange chez le Chien les résultats comparatifs la scintigraphie ( 99m Tc) vs les BIPS Mouvements Temps de vidange : variations estomac 29
30 Mouvements Temps de vidange chez le Chien les résultats globaux Régulation de la motricité gastrique hypoglycémie goût, odorat CCK sécrétine GIP ph hyperosmolarité Motiline ouvert Fermé VIP, NO Relaxation réceptive distension réflexe vago-vagal CGRP Ach D (ph<3) GRP Gastrine SIH 30
Os Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration
MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailChapitre 1 Œsophage. Embryologie
Chapitre 1 Œsophage 1. Embryologie 2. Anatomie 3. Radioanatomie 4. Histologie 5. Physiologie œsophagienne 6. Sémiologie œsophagienne 7. Reflux gastro-œsophagien 8. Examen clinique d un patient consultant
Plus en détailMédecine ostéopathique. L oesophage et l estomac. Luc Peeters & Grégoire Lason
Médecine ostéopathique L oesophage et l estomac Luc Peeters & Grégoire Lason L oesophage et l estomac Luc Peeters & Grégoire Lason Copyright par Osteo 2000 sprl 2015. Aucun élément de cette édition ne
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailRappel physiologique et explorations fonctionnelles œsophagiennes. Frank Zerbib
1 Rappel physiologique et explorations fonctionnelles œsophagiennes Frank Zerbib Service d Hépato-gastroentérologie Hôpital Saint-André - Bordeaux Correspondance : Pr. Frank Zerbib Service d Hépatogastroentérologie
Plus en détailFonction digestive. et maladies neuromusculaires REPÈRES AVRIL 2010 SAVOIR ET COMPRENDRE
AFM / L. Audinet Shutterstock AFM / L. Audinet Fonction digestive et maladies neuromusculaires AVRIL 2010 Dans les maladies neuromusculaires, la fonction digestive peut être perturbée par l atteinte des
Plus en détailSolar GI. Manométrie digestive évolutive. Diagnostic complet de la motricité. Base de données universelle MMS. Configurations évolutives
M E D I C A L M E A S U R E M E N T S Y S T E M S Solar GI Manométrie digestive évolutive Diagnostic complet de la motricité Base de données universelle MMS Configurations évolutives M A K E S M E A S
Plus en détailLES ASPECTS MEDICAUX DE L ALIMENTATION CHEZ LA PERSONNE POLYHANDICAPEE
31 août au 2 septembre 2009 6ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée à l'uni Tobler, Berne Ouvrir l horizon Standardisation et différenciation en pédagogie spécialisée LES ASPECTS MEDICAUX DE L ALIMENTATION
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailLe système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -
1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailTroubles d ingestion, de digestion, d absorption et d élimination
Chapter.indd 250 4/10/11 5:46 PM PARTIE 10 Troubles d ingestion, de digestion, d absorption et d élimination CHAPITRE Évaluation clinique Système gastro-intestinal......... 252 CHAPITRE 54 Interventions
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailQue deviennent les aliments
Que deviennent les aliments que nous mangeons? cycle 3 Figure 1 Pour tout organisme vivant, se nourrir est un besoin fondamental. L alimentation humaine, thème interdisciplinaire par excellence, revêt
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailErosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo
Erosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo giques Le reflux gastro-œsophagien concerne 10% environ des enfants et des adultes et entraîne souvent des lésions dentaires
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Définition...1 2 Deux types de dysphagie...2 3 Démarche diagnostique en cas de dysphagie oesophagienne... 3 3. 1 Étape 1
Plus en détaildéglutition-respiration : couple fondamental et paradoxal Article paru dans : kinéréa, 2005;42:1
Michel GUATTERIE & Valérie LOZANO unité de rééducation de la déglutition Service de Médecine Physique et Réadaptation C.H.U. Pellegrin 33076 BORDEAUX Cedex déglutition-respiration : couple fondamental
Plus en détailMythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!
Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLivret de l agriculture. L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins
Livret de l agriculture L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins Christine CUVELIER*, Jean-Luc HORNICK*, Yves BECKERS*, Eric FROIDMONT**, Emilie KNAPP*, Louis ISTASSE*, Isabelle DUFRASNE*
Plus en détailLa manométrie oesophagienne et la PH-métrie
La manométrie oesophagienne et la PH-métrie Cette brochure a pour but de vous informer sur la manométrie œsophagienne et la ph- métrie concernant la préparation, le déroulement de l examen ainsi que les
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détail1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie
1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie C. Dubé Sections rédigées par : R.F. Bursey, M.C. Champion, J.M. Fardy, S. Grégoire, D.G. MacIntosh, D.G. Patel, A. Rostom, N. Saloojee, L.J. Scully,
Plus en détailChirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!
Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailComment traiter le reflux gastro-oesophagien?
Comment traiter le reflux gastro-oesophagien? Le reflux gastro-oesophagien ou RGO Il s agit d une pathologie d autant plus fréquente que l on vit dans un monde stressant, rapide, où l on est toujours sur
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailLes Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.
40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation
Plus en détailLes troubles de la déglutition postintubation et trachéotomie Swallowing disorders following endotracheal intubation and tracheostomy
Réanimation 13 (2004) 417 430 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Les troubles de la déglutition postintubation et trachéotomie Swallowing disorders following endotracheal intubation and tracheostomy
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailLES TROUBLES DE LA DÉGLUTITION APRÈS UN AVC AVC
LES TROUBLES DE LA DÉGLUTITION APRÈS UN AVC AVC 9 SOMMAIRE Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 2 Rappel 3 Les mécanismes de la déglutition 3 Les troubles de la déglutition, qu est-ce que
Plus en détailLES TROUBLES DE LA DEGLUTITION EN NEUROLOGIE
Enseignement National DES de Médecine Physique et de Réadaptation DIU de Rééducation Module : Moyens thérapeutiques LES TROUBLES DE LA DEGLUTITION EN NEUROLOGIE Frédérique LARDY - GAILLOT Orthophoniste
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailMaladie neuromusculaire
Définitions Maladie neuromusculaire Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détailService des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca
A. Bahlaoui & N. Zaghba Service des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca Pr. Abdelkrim BAHLAOUI Service des Maladies Respiratoires, Hôpital Ibn Rochd CHU, CASABLANCA (bahlaoui@hotmail.com)
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailLes vers de nos compagnons
Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur
Plus en détailEncyclopédie de la. Nutrition. Clinique Canine. Pascale Pibot Vincent Biourge Denise Elliott
Close window to return to IVIS Encyclopédie de la Nutrition Clinique Canine Pascale Pibot Vincent Biourge Denise Elliott Responsable des Éditions Scientifiques, Communication, Groupe Royal Canin Responsable
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailFonctionnement de l organisme et besoin en énergie
Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants. Acide acétylsalicylique
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants Acide acétylsalicylique Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailDéveloppement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage
Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détail