Les différentes positions dans la relation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les différentes positions dans la relation"

Transcription

1 1 Les différentes positions dans la relation 1. L interaction humaine dans la vision de la communication du groupe Palo Alto Dans la vision de l interaction humaine, la première propriété de la communication est que «nous ne pouvons pas ne pas communiquer». Lorsque nous ne voulons pas communiquer avec quelqu un, c est ce message même que nous lui donnons. Exemple : si quelqu un détourne la tête pour ne pas saluer son voisin ou regarde ailleurs, que fait-il d autre qu envoyer un message concernant son refus d entrer en relation, ce qui est un contenu de communication. Il est intéressant de noter que la communication humaine se déroule le plus souvent simultanément sur les trois niveaux suivants, selon plusieurs canaux en rapport avec nos sens : l ouïe, la vue, le toucher, l odorat : Une partie de l information est en rapport avec le contexte : la maison, le lieu de travail, la rue, une situation d évaluation, d embauche, de licenciement, de rencontre, d entretien professionnel. Les éléments de la situation ont une influence sur l état d esprit, la manière de se situer dans la relation. Une seconde partie est l élément verbal et paraverbal, c est-à-dire ce qui est dit, le ton, l accent, la qualité de la voix, la diction, mais aussi le choix des mots, le niveau de langue, la conformité aux codes de langues. Une troisième catégorie est le non-verbal, c est-à-dire l attitude en termes de postures, la taille, les mimiques, la manière de s habiller qui offrent autant de signes décodés et interprétés par l entourage. Lors d une communication téléphonique, ce niveau est absent. Nous décodons ces messages de deux manières. Nous pouvons faire un tri qui ne parvient pas à la conscience, mais qui est pris en compte par notre cerveau. C est le cas dans le danger mais aussi dans les situations quotidiennes. C est à l origine de ce que nous appelons l intuition : le traitement d informations qui ne sont pas parvenues à notre conscience mais qui ont été intégrées, qui sont utilisées par nous et qui interviennent dans nos choix. Nous pouvons aussi accorder de l attention à des indices que nous percevons consciemment dans l instant, quitte à les oublier ensuite. 2. Les deux niveaux d un message Dans un message, il y a deux éléments : Le contenu La définition de la relation

2 2 Exemple : Je suis chez mon fils. Je lui dis : «Thomas, je suis gênée par le courant d air. Veux-tu aller fermer la fenêtre?» Le contenu concerne la fenêtre ouverte, le fait que je préfère qu elle soit fermée et la demande que je fais à mon fils d aller la fermer. La définition de la relation concerne la manière dont je me situe par rapport à mon fils. 3. Les positions dans la relation (les différentes manières d être en relation) Dans une relation interpersonnelle, chacun se situe par rapport à l autre, sans que rien ne soit dit sur ce sujet. Chacun des deux partenaires perçoit l autre comme supérieur, égal ou inférieur. Quelles sont les indications sur lesquelles je me base pour me situer dans la relation à l autre? Les éléments peuvent être d ordre physique. Ce sont la taille, la corpulence relative. Ils peuvent aussi être d ordre symbolique : statut, beauté, indicateurs de richesse, comme la montre, la voiture, les vêtements à la mode, indicateurs d aisance sociale, comme la maîtrise de l espace, la maîtrise de la langue. Ils peuvent parfois être liés au contexte : position de demande ou de donateur, situation sur son territoire ou sur le territoire de l autre. La relation inégale : position haute ou position basse Position haute Position basse Dans la relation inégale, chacun se situe de manière complémentaire par rapport à l autre. Les relations sociales sont faites, d une part, de positions d autorité et de responsabilité, et d autre part, de subordination ou de dépendance de l autre. Cependant, dans nos sociétés complexes, nous passons tour à tour d une position à l autre en fonction de notre âge, de nos statuts, de nos tâches et de nos cadres de vie : tantôt parents, tantôt clients ou patients, ou élèves, tantôt fournisseurs ou utilisateurs de services, tantôt inscrits dans une chaîne hiérarchique où nous sommes les supérieurs des uns et les subordonnés des autres. Le contexte social codifie généralement les relations de manière complémentaire.

3 3 La relation égale La relation d égalité est une autre possibilité. Elle est fondée sur la ressemblance. C est le cas d un dialogue entre deux mères, deux enseignants, deux soignants, deux élèves, deux malades. Quand des personnes travaillent dans une équipe, elles peuvent coopérer dans une relation d égalité. Le fonctionnement démocratique suppose la relation d égalité. La discussion, la négociation et la recherche du meilleur consensus en sont les caractéristiques. Comment la définition de la relation peut-elle s intérioriser? La manière dont nous avons été élevés a eu une influence sur la manière dont nous nous percevons par rapport aux autres. Les enfants jeunes ont l expérience du rapport inégal avec leur parent : la taille, le poids, la force, la dépendance en termes de survie et d amour, tout y contribue. Certains parents valorisent à l extrême leurs enfants et leur famille, si bien qu ils se considèrent comme supérieurs aux autres personnes. La manifestation peut en être une certaine arrogance, une morgue ou ce qui est perçu comme tel. On parle là des personnes qui se comportent comme en terrain conquis, comme si tout leur était dû. Ce comportement a des effets, en particulier celui d inviter les autres à s incliner et à prendre la position basse, ce qu ils font ou non. L inverse est vrai également. Le sentiment d infériorité peut être intégré, d où une faible estime de soi. Les parents y jouent un rôle, mais pas seulement eux : le reste de l entourage et le contexte économique ou historique comptent aussi. Les difficultés relationnelles commencent quand la position haute ou basse n est pas acceptée par un partenaire ou les deux. Exemples : certains médecins acceptent mal d être soignés, certains gradés d être commandés, mais c est aussi le cas des ouvriers qui ne veulent pas passer contremaître, des directeurs d école qui refusent d avoir un rôle hiérarchique etc. Cette notion est donc utile pour la compréhension des relations sociales et professionnelles. Quand il y a décalage entre la position dans la relation à l autre que la personne a intériorisée, et celle qui est d usage dans la relation sociale, si par exemple elle se perçoit comme «supérieure» alors qu elle en position de subordination, la discordance entre les messages émis inconsciemment par la personne et le contexte sera flagrante. La personne trop sûre d elle pour la situation sera mal perçue. L inverse se vérifie également. En revanche, la capacité à adopter une position égale dans la relation est une construction. Elle se développe chez ceux qui ont une bonne estime d eux-mêmes et font la différence entre leur personne et leur rôle. Pour eux, la relation ne se définit donc pas en termes de «gagner» et «perdre». Ils collaborent plus facilement avec leurs pairs et adoptent plus facilement un fonctionnement démocratique dans les groupes.

4 4 La compétition pour la position haute : l escalade Dans ce cas, chacun des deux peut penser en savoir plus que l autre ou avoir la bonne réponse à un problème ou mériter plus de considération. Dans la vie de tous les jours les situations de compétition pour la position haute sont extrêmement fréquentes, avec le risque que chacun mette son énergie à l emporter sur l autre dans un «bras de fer» qui met au second plan le contenu de l échange, par exemple la recherche de solutions à un problème. La relation compétitive pour la position basse Les partenaires sont parfois en compétition pour être ou paraître au service de l autre : assauts de politesse avec autodévalorisation verbale ou déclaration d impuissance. La compétition pour la position basse fait parfois partie des règles de politesse qui sont destinées à faciliter la vie sociale. Elle peut être poussée très loin. Le choix de la position dans la relation Quel que soit son rôle, chacun a le choix de communiquer depuis une position ou l autre, à partir du moment où il a pris conscience de celles qu il adopte spontanément selon les circonstances. C est à lui de choisir celle qui est la plus adéquate en fonction de ses objectifs. Le pouvoir de communiquer, c est d abord celui de choisir sa position. Souvent la position basse est plus efficace et plus confortable. Elle évite un grand nombre de conflits et elle est codifiée socialement dans les règles de politesse. C est par exemple, celle que prend le coach quand il n intervient pas sur le contenu, mais qu il intervient comme facilitateur du processus. En revanche, quand il fait une interprétation, il se met en position haute. Attention à ne pas assimiler position haute et basse aux positions de dominant et de dominé. Ces derniers sont fortement marqués par l idée du pouvoir que l on exerce sur l autre ; il faut les réserver aux rapports de force, alors que les termes de position haute et basse dans la relation sont neutres et compatibles avec l idée de souplesse et de choix.

5 5 Les cinq conditions à la coopération selon Claude Steiner (tiré du livre «Des scénarios et des hommes Analyse Transactionnelle des scénarios de vie») Selon Claude Steiner, la coopération est un mode de relations interpersonnelles qui, en faisant l hypothèse qu il n y a pas de manque en ce qui concerne les besoins de base (alimentation, couvert, espace), fournit à chacun la possibilité d avoir tout ce dont il a besoin. Selon lui, le couple est un très bon contexte dans lequel on peut apprendre à lutter contre l individualisme et la compétitivité et favoriser une coopération qui aboutisse. C est donc, en se basant sur l analyse de la coopération entre deux personnes, que Claude Steiner a défini cinq points sur lesquels les personnes doivent absolument être d accord. 1. Pas de pénurie Pas de pénurie de ce dont chacun peut avoir besoin venant de l autre, (venant des autres). Il peut s agir par exemple de liberté de sécurité de volonté de partager de soutien de savoir. Cet accord n est pas toujours possible dans la mesure où, dans certains cas, les gens ne disposent pas de ce dont l autre a besoin. Néanmoins, dans la plupart des situations, un compromis de coopération peut être trouvé. 2. Des droits égaux Une fois qu il y a suffisamment de ce dont les personnes ont besoin pour s en sortir, l accord suivant porte sur le fait que chacune des personnes a des droits égaux quant à sa satisfaction, et, une égale responsabilité du processus de coopération. 3. Pas de jeux de pouvoir La mise en place efficace d une relation de coopération est aussi fondée sur l acceptation que les jeux de pouvoir ne sont jamais une option, qu elles que soient les circonstances. Les jeux de pouvoir sont basés sur l hypothèse de la pénurie et de la compétitivité et sont l antithèse de comportements coopératifs. Ils doivent donc être abandonnés en tant que méthode pour obtenir ce que l on veut dans une relation de coopération. A noter que ce point semble simple à première vue, mais il apparaît par la suite être l un des accords de coopération les plus difficiles à honorer. Nous sommes profondément immergés dans des peurs de pénurie et très entraînés à utiliser le pouvoir d une manière ou d une autre pour obtenir ce que nous voulons.

6 Les menaces, les bouderies, les hurlements, les portes qui claquent, les dévalorisations et ainsi de suite, sont des approches plus accessibles pour nous que la discussion et la négociation. 4. Pas de secrets sur ce que l on désire Si la coopération est en voie de se réaliser, il ne doit pas y avoir de secrets qui soient gardés, en particulier sur ce que chacun veut. Ainsi, dans la situation, chacun doit demander tout ce qu il veut et cela 100 % du temps. La tendance à utiliser les jeux de pouvoir pour obtenir ce que chacun désire va avec l incapacité à reconnaître ou à demander clairement et de manière ouverte ce que l on veut. La raison à cela est que révéler quels sont ses besoins dans une situation compétitive revient à prévenir son compétiteur de ce qu on demande si bien que la peur du manque va ainsi se trouver accrue. En conséquence, dans une situation de compétition individualiste, les gens sont tout à fait entraînés et endoctrinés à ne pas révéler leurs désirs, et cela pour une bonne raison : exprimer ses besoins va avoir pour effet immédiat de faire diminuer l approvisionnement de ce dont on a besoin et créer un peu plus de pénurie. Pourtant, dans une situation de coopération, demander ce dont on a besoin est un des requis de base pour obtenir satisfaction. Dans un contexte de volonté de lutte contre la compétitivité, annoncer ce qu on désire est le premier pas pour l obtenir. Cela va immédiatement mobiliser l intérêt et l énergie des autres afin de procurer la satisfaction de ces désirs. Dans ce travail pour accéder à la coopération, un des principaux obstacles est que, ou bien les gens ne veulent pas dire ce qu ils désirent ou bien ne sont pas en contact avec leurs désirs et, par la suite, deviennent rancuniers car ils n obtiennent pas satisfaction. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, demander tout ce qu on veut, tout le temps, semble une démarche individualiste et compétitive, alors que c est un aspect essentiel de la lutte contre la compétitivité et l individualisme. Chacun doit seulement comprendre que demander ce qu on désire, et cela tout le temps, n est pas la même chose que d obtenir ce qu on veut par appropriation, par ruse ou en flattant les gens ; il s agit simplement de faire état de sa situation, dans laquelle celui qui a fait état de la sienne peut coopérer et négocier. 5. Pas de Sauvetage Une cinquième exigence pour qu une situation de coopération soit efficace est qu il n y ait pas de Sauvetage. Les gens sont supposés demander tout ce dont ils ont besoin. Il est important que, s ils ne demandent pas aux autres de subvenir à leurs besoins, ceux-ci, à cause de la honte, de la culpabilité ou d instincts nourriciers mal orientés, n agissent pas sans une indication claire que le besoin existe. Dans ce cas précis, un Sauvetage consisterait à faire des choses ou à se trouver dans des situations qu on n a pas souhaitées, parce qu on a imaginé que l autre personne les voulait, celle-ci étant perçue comme une Victime, incapable de se débrouiller par ses propres moyens. 6

7 7 Cela constitue un Sauvetage en violation du contrat, qui est de demander ce que l on veut, et cela s applique aussi bien au Sauveteur qu à la Victime. Cela recrée aussi la situation dans laquelle les jeux de pouvoir, qui éveillent la culpabilité et la honte, peuvent être utilisés pour obtenir ce qu on veut au lieu de le demander. D autre part, dans une situation de coopération, il est aussi important que les gens ne se persécutent pas mutuellement par de l anti-sauvetage, attitude d indifférence envers ce qu on devine que l autre personne veut. L anti-sauvetage, forme de durcissement de sa propre perception des besoins des autres dans le but de ne pas faire du Sauvetage, devient alors de la Persécution. En conclusion, peu importe qu un combat coopératif ait des hauts et des bas, il arrive souvent qu une personne soit réticente ou ne veuille pas coopérer à un moment ou à un autre. La réponse adéquate à cette non-coopération temporaire consiste à être très explicite quant à son propre sentiment de déception. Se retirer du partage, en tant que réponse à un coup de non-coopération de quelqu un, est une manœuvre légitime dans un combat coopératif. Selon Clauder Steiner, il est même légitime d agir d une manière qui diminue sa propre volonté de coopérer et de partager. Ce n est pas un jeu de pouvoir car c est une manœuvre honnête, franche, loyale et ouverte, fondée sur ses propres sentiments. On perd son intérêt pour la coopération en présence de gens non coopératifs. C est donc une approche légitime quand elle est basée sur la règle que l on devrait toujours dire ce que l on veut.

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous

Plus en détail

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d

Plus en détail

location et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne.

location et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne. Chapitre 6 LA FONCTION COMMERCIALE 6.1 Organisation commerciale et distribution Une adaptation constante des modes de distribution et de l organisation commerciale aux produits, aux services et aux clients

Plus en détail

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.

Plus en détail

Oracle, Gestion du Capital Humain. Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin!

Oracle, Gestion du Capital Humain. Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin! Oracle, Gestion du Capital Humain Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin! Présentation des participants et du formateur Qu est-ce qu une équipe performante? Les dimensions de l équipe performante

Plus en détail

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU». Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses

Plus en détail

Mon boss ne délègue pas

Mon boss ne délègue pas Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction

Plus en détail

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Chapitre 7 Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Il y a en moi un désir profond d avoir une relation longue et pleine de sens avec quelqu un, mais cela me fait peur, parce que si vous

Plus en détail

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) 1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans

Plus en détail

Comprendre les différentes formes de communication

Comprendre les différentes formes de communication Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre

Plus en détail

L assurance est là pour protéger votre famille

L assurance est là pour protéger votre famille Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes

Plus en détail

Révélatrice de talents. Développement personnel

Révélatrice de talents. Développement personnel Révélatrice de talents Développement personnel Révélatrice de talents Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets Le développement personnel Notre

Plus en détail

La supervision en soins infirmiers

La supervision en soins infirmiers La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que

Plus en détail

5 postures pour mobiliser le don

5 postures pour mobiliser le don Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir

Plus en détail

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison D après LES DEVOIRS ET LES LEÇONS de Marie-Claude Béliveau 1 1 Rappels et définitions. Officiellement, les devoirs à la maison sont interdits depuis 1956 2 à l école primaire mais leur pratique reste très

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation

Plus en détail

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui

Plus en détail

Organiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu :

Organiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu : Organiser l espace dans une classe de maternelle : I - Les textes officiels : Quelques idées «L aménagement des salles de classe doit offrir de multiples occasions d expériences sensorielles et motrices.

Plus en détail

1. Composition des groupes en formation qui ont été interrogés sur le thème de l inter- culturalité:

1. Composition des groupes en formation qui ont été interrogés sur le thème de l inter- culturalité: 1. Composition des groupes en formation qui ont été interrogés sur le thème de l inter- culturalité: Nous avons consulté les 3 sites de l INSUP plus particulièrement confrontés à la mixité culturelle :

Plus en détail

DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE

DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion

Plus en détail

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

LA PNL. Programmation Neuro Linguistique

LA PNL. Programmation Neuro Linguistique LA PNL Programmation Neuro Linguistique Définition : Programmation «A partir des expériences que nous vivons depuis notre enfance (et peut être avant), nous nous créons des programmes de fonctionnement

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à

Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses

Plus en détail

Le livret des réponses

Le livret des réponses Le livret des réponses Achat 1 Avant de dépenser tout ton argent, il faut réfléchir aux conséquences de cet achat. Auras-tu besoin d argent pour faire d autres activités dans les semaines qui viennent,

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe. Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu

Plus en détail

5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 c.sanfacon@videotron.ca

5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 c.sanfacon@videotron.ca 5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 LES TECHNIQUES D INTERVENTION Accepter mes propres émotions, éviter l affrontement, respecter l image du jeune. Ce n est pas toujours évident d intervenir

Plus en détail

L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider

L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider Assurance L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider Nous savons que vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle

Plus en détail

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit

Plus en détail

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING Table des matières Master Recherche Management, Logistique et Stratégie Jean-Louis Moulins I. LA DEMARCHE MARKETING : CONTENU ET EVOLUTION 1. Le Protomarketing 2. Le Marketing Vente ou Marketing Commercial

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Management Interculturel

Management Interculturel Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION

CATALOGUE DE FORMATION CATALOGUE DE FORMATION 2014 Formations en image professionnelle, en efficacité relationnelle, en développement personnel 1 SOMMAIRE Image professionnelle Page 3 Valoriser son image et sa communication

Plus en détail

L enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est

L enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se

Plus en détail

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du

Plus en détail

Avoir confiance en soi

Avoir confiance en soi Sarah Famery Avoir confiance en soi Nouvelle édition Groupe Eyrolles, 1999, 2001, 2004, ISBN 2-7081-3537-6 Chapitre 2 Mettez-vous en situation et faites votre autodiagnostic L expression du manque de confiance

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être

Plus en détail

Le Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs

Le Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs Guide du formateur Atelier 1 Objectifs Obtenir un premier contact avec le groupe; présenter la formation Jeune Leader; transmettre des connaissances de base en leadership; définir le modèle de leader du

Plus en détail

Guide Confiance en soi

Guide Confiance en soi Guide Confiance en soi Phase Être en relation avec soi Guide.Confiance-juillet 2014.doc 27-07-14 Ce document, créé par ÉCOUTE TON CORPS, est destiné pour votre usage personnel seulement. Seuls nos diplômés

Plus en détail

Cultiver l esprit d équipe

Cultiver l esprit d équipe Cultiver l esprit d équipe Les objectifs : Promouvoir une prise de conscience de la nécessité de travailler en équipe et de cultiver les liens entre les personnes pour consolider l esprit d équipe Fournir

Plus en détail

Consultation Formations Tourisme ACTIONS SAISONNIERS 2016

Consultation Formations Tourisme ACTIONS SAISONNIERS 2016 Consultation Formations Tourisme ACTIONS SAISONNIERS 2016 Contact : Karel CHAUCHEPRAT Plan de Formation régional CRDT Auvergne Parc Technologique la Pardieu 7 allée Pierre de Fermat - CS 50502 63178 Aubière

Plus en détail

LES CROYANCES LIMITANTES

LES CROYANCES LIMITANTES 1998 Séminaire de Robert DILTS LES CROYANCES LIMITANTES Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d espoir (ce n est pas possible), le manque de confiance

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Synthèse Mon projet d emploi

Synthèse Mon projet d emploi Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences

Plus en détail

De quoi l assistance est-elle le minimum?

De quoi l assistance est-elle le minimum? De quoi l assistance est-elle le minimum? Soin, politique et relations sociales Frédéric WORMS Pour Frédéric Worms, l assistance ne doit pas s approcher seulement en termes quantitatifs, comme une prestation

Plus en détail

Au secours, je croule sous les mails!

Au secours, je croule sous les mails! Magazine "L'Entreprise" 10 septembre 2007 Au secours, je croule sous les mails! La surcharge de mails est un vrai casse tête au travail. Comment survivre sous le flux continu d'informations sans zapper

Plus en détail

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». 1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez

Plus en détail

«Les essentiels du coaching» «Le Coaching existentiel»

«Les essentiels du coaching» «Le Coaching existentiel» SARL METASOPHIA Organisme de formation professionnelle, 20 rue Théodore de Banville 06100 NICE Immatriculé au registre de commerce de Nice : N 450 630 363 00023 N de formateur : 93060567606 R.C.S. NICE

Plus en détail

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1 De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de

Plus en détail

«Le Leadership en Suisse»

«Le Leadership en Suisse» «Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE

L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein

Plus en détail

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins

Plus en détail

Mais revenons à ces deux textes du sermon sur la montagne dans l évangile de Matthieu.

Mais revenons à ces deux textes du sermon sur la montagne dans l évangile de Matthieu. «AIMER SES ENNEMIS» «Qui veut prendre ta tunique, laisse lui aussi ton manteau». Si quelqu un te force à faire mille pas, fais-en deux mille avec lui». «Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent»

Plus en détail

Une équipe à vos côtés pour toutes vos montées en compétences

Une équipe à vos côtés pour toutes vos montées en compétences MANAGEMENT & efficacite professionnelle Une équipe à vos côtés pour toutes vos montées en compétences conduite de reunion Les réunions sont devenues incontournables dans le processus de prises de décision

Plus en détail

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen

Plus en détail

La pratique des décisions dans les affaires

La pratique des décisions dans les affaires Association Française Edwards Deming Une philosophie de l action pour le XXIème siècle Conférence annuelle, Paris, 8 juin 1999 Jean-Marie Gogue, Président de l AFED La pratique des décisions dans les affaires

Plus en détail

CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION

CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste

Plus en détail

L art de la reconnaissance en gestion

L art de la reconnaissance en gestion L art de la reconnaissance en gestion Sophie Tremblay Coach & Stratège Dans votre parcours professionnel, quelle est la personne qui vous a offert la reconnaissance qui vous a le plus marqué? Quelles sont

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

La formule Leadership en Action TM. Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Leadership en Action TM

La formule Leadership en Action TM. Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Leadership en Action TM La formule Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Nous contacter : Monique Cumin, monique.cumin@lasting-success.com Tel : 06 95 09 10 31 La formule Formation-action : entraînement

Plus en détail

TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation

TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation La coopération réglementaire, une menace pour la capacité démocratique des pouvoirs publics à régule Il y a de bonnes raisons

Plus en détail

COACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates

COACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates COACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates Avec le support de Bernard Baert, Senior Consultant, A-Th. & Associates Et André Thioux, Fondateur A-Th & Associates

Plus en détail

Conform. Le Manager Coach Le Coach Professionnel

Conform. Le Manager Coach Le Coach Professionnel Conform Le Manager Coach Le Coach Professionnel 1 : Le Leadership Identifier les clés essentielles du leadership Exercer son leadership au quotidien Stimuler et mettre en mouvement ses équipes grâce à

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

Développement personnel

Développement personnel Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire

Plus en détail

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions

Plus en détail

Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi

Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par

Plus en détail

Ta mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi. Bonne nouvelle! Pour toi, un coach en recrutement!* mutuelle mclr

Ta mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi. Bonne nouvelle! Pour toi, un coach en recrutement!* mutuelle mclr mutuelle mclr Bonne nouvelle! Ta mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi Pour toi, un coach en recrutement!* (*) sous réserve du respect des conditions d accès à l offre Édito 40 ans d expérience à l

Plus en détail

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses

LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE Questions/réponses QUI EST CONCERNÉ PAR LA LOI DU 3 AOÜT 2009 RELATIVE A LA MOBILITÉ ET AUX PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION

Plus en détail

PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03

PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 Introduction : Questions/réponses : Qu est-ce que pour vous un bon recrutement? Cela dépend de quoi? Qu est-ce qui est sous votre contrôle?

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes

Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes L empire du milieu est le pays qui compte le plus grand

Plus en détail

Techniques d accueil clients

Techniques d accueil clients Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit

Plus en détail

A1 Parler avec quelqu un Je peux dire qui je suis, où je suis né(e), où j habite et demander le même type d informations à quelqu un. Je peux dire ce que je fais, comment je vais et demander à quelqu un

Plus en détail

Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance

Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM

Plus en détail

Retenir les meilleurs talents

Retenir les meilleurs talents Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre

Plus en détail

2) Les déterminants de la motivation des arbitres et entraîneurs:

2) Les déterminants de la motivation des arbitres et entraîneurs: Motivation et performance sportive : une caractéristique commune des arbitres et entraîneurs de haut niveau Support théorique : Jean Pierre Famose EPS N 35 Arbitre et entraîneur deux acteurs du sport moderne

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

STRATEGIES-ICMC. Ins tut de Communica on et Méthodologie du Changement

STRATEGIES-ICMC. Ins tut de Communica on et Méthodologie du Changement STRATEGIES-ICMC Ins tut de Communica on et Méthodologie du Changement L équipe STRATEGIES-ICMC vous accueille! Notre équipe d enseignants cer fié s et membres de fédéra on française NLPNL, vous emmène

Plus en détail

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?

Plus en détail

Statuts de «pr suisse»

Statuts de «pr suisse» Statuts de «pr suisse» Art. 1 L'Association Sous le nom «Association Suisse de Relations Publiques», «Schweizerischer Public Relations Verband», «Associazione Svizzera di Relazioni Pubbliche», «Swiss Public

Plus en détail

- Dossier de presse -

- Dossier de presse - - Dossier de presse - Janvier 2014 Sommaire I. Valérie Moissonnier & l Institut du Selfcoaching 1. Valérie Moissonnier : son parcours et son blog RadioCoaching 2. L équipe de l Institut du Selfcoaching

Plus en détail