MEDEF Actu-Eco - n 220

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1 MEDEF Actu-Eco - n 220 Semaine du 5 au 9 octobre 2015 FRANCE SOMMAIRE 1. Prévisions de l INSEE pour le 2 nd semestre 2015 : ralentissement des exportations, accélération modérée de l investissement des entreprises, consommation soutenue des ménages 2. Immatriculations de voitures neuves en septembre 2015 : +0,5% sur l ensemble de 3 ème trimestre, un redressement qui semble interrompu à cause des voitures de marques françaises (-2,4%) 3. Construction de logements en août 2015 : baisse de -4,1% en cumul sur un an des mises en chantier, hausse dans 6 régions 4. Balance commerciale en août 2015 : reflux des échanges sur un mois, mais déficit en cumul sur un an à son plus bas niveau depuis février 2010 INTERNATIONAL 5. Climat des affaires aux Etats-Unis en septembre 2015 : nouveau ralentissement de l activité manufacturière et non manufacturière 6. Marché de l emploi aux Etats-Unis en septembre 2015 : créations d emploi, contre en moyenne sur les 9 premiers mois de l année 7. Tendances récentes des marchés : remontée des cours de bourses, prix du pétrole de nouveau audessus de la ligne des 50$ le baril de Brent MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

2 1. Prévisions de l INSEE pour le 2 nd semestre 2015 : ralentissement des exportations, accélération modérée de l investissement des entreprises, consommation soutenue des ménages Dans son Point de conjoncture d octobre 2015, l INSEE souligne que «la croissance dans la zone euro resterait solide d ici la fin de l année (+0,4% au 3 ème trimestre, +0,5% au 4 ème )». Par ailleurs, «à l exception de l Espagne qui continuerait de croître très rapidement (+0,9% par trimestre au 2 nd semestre), le rythme de croissance des principaux pays serait relativement homogène, signe d une reprise qui se diffuse dans la zone euro». Points à souligner concernant la France : Activité - Croissance du PIB au 2 nd semestre 2015 à un rythme comparable à celui du 1 er semestre (+0,2% au 3 ème trimestre, puis +0,4% au 4 ème trimestre). D où une croissance attendue de +1,1% pour l ensemble de l année 2015 (+0,2% en 2014), rythme inférieur à celui dans la moyenne de la zone euro (+1,6%) ; - Ralentissement des exportations au 2 nd semestre 2015, tout en restant dynamiques (+0,7% au 3 ème trimestre, puis +1,2% au 4 ème trimestre). Nette accélération de ces dernières sur l ensemble de l année 2015 : +6,5% (+2,4% en 2014), «progressant singulièrement plus vite que la demande mondiale adressée au pays (+3,7%, après +3,1%)», moins marquée pour les importations (+5,8%, après +3,9%), «l économie française croissant globalement moins vite que celle de ses principaux partenaires» ; Evolution en % 2014 T T T T T T PIB +0,3 +0,1 +0,7 0,0 +0,2 +0,4 +0,7 +0,2 +1,1 Importations +1,5 +1,8 +2,1 +0,5 +1,4 +0,9 +1,8 +3,9 +5,8 Exportations +1,1 +2,9 +1,5 +2,0 +0,7 +1,2 +1,8 +2,4 +6,5 Consommation des ménages +0,4 +0,2 +0,9 0,0 +0,4 +0,4 +0,5 +0,6 +1,6 Consommation des administrations +0,5 +0,5 +0,4 +0,4 +0,4 +0,4 +1,6 +1,6 +1,7 Investissement, dont: -0,4-0,3 0,0-0,2 +0,1 +0,2-0,4-1,2-0,6 Entreprises non financières +0,3 0,0 +0,6 +0,3 +0,5 +0,6 +0,8 +2,0 +1,5 Ménages -1,1-0,8-1,2-1,5-1,0-0,6-1,5-5,3-4,5 Contribution à la croissance du PIB Demande intérieure hors stocks +0,3 +0,2 +0,6 +0,1 +0,3 +0,3 +0,6 +0,5 +1,2 Variations de stocks +0,2-0,3 +0,3-0,5 +0,1 0,0 +0,2 +0,2-0,2 Commerce extérieur -0,2 +0,3-0,2 +0,4-0,2 +0,1 0,0-0,5 +0,1 Source : INSEE Ménages - Consommation soutenue au 2 nd semestre 2015 (+0,4% par trimestre), portée par les gains de pouvoir d achat (+0,6% puis +0,1% au 4 ème trimestre 2015). Croissance quasiment identique de la consommation (+1,6%) et du pouvoir d achat du revenu des ménages sur l ensemble de l année 2015 (+1,7%). Il s agit pour le pouvoir d achat de sa plus forte hausse depuis 2007 ; - Nouveau recul de leur investissement en logement au 2 nd semestre (-1% au 3 ème trimestre puis -0,6% au 4 ème trimestre), malgré des signaux positifs comme le redressement du nombre de permis de construire (délais de production dans le secteur) ; - Stagnation du taux d épargne au 2 nd semestre 2015 autour de 15,2% du RDB, comme sur l ensemble de l année MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

3 Comptes des ménages 2014 T T T T T Pouvoir d'achat du RDB 0,0 +1,1-0,1 +0,6 +0,1-0,1 +1,1 +1,7 Taux d'épargne (épargne/rdb, %) 15,0 15,2 15,2 15,3 15,1 14,7 15,1 15,2 Taux d'épargne financière (épargne financière/rdb, %) 6,0 6,4 6,4 6,8 6,7 5,6 6,5 7,1 Source : INSEE Entreprises - Accélération modérée de leurs investissements au 2 nd semestre 2015 (+0,5%, puis +0,6%) ; - Poursuite du redressement du taux de marge au 2 nd semestre En moyenne annuelle, après être tombé à 29,5% de la valeur ajoutée en 2014, il devrait s établir à 31,3% en 2015 ; - Raffermissement du taux d autofinancement au 2 nd semestre. Progression de +11,5 points entre 2014 et 2015 à 86,7%. «Le dégel de l investissement des entreprises se profile : les perspectives de demandes interne et externe sont plus favorables, le taux de marge s est nettement amélioré en début d année grâce au CICE, au Pacte de responsabilité et à la baisse du cours du pétrole, et enfin, les conditions de financement externes se sont encore assouplies», toujours selon l INSEE. Comptes des sociétés non financières 2014 T T T T T Taux de marge (EBE/VA, %) 29,8 31,2 31,1 31,3 31,5 29,7 29,5 31,3 Taux d'investissement (FBCF/VA, %) 23,0 22,7 22,8 22,9 22,9 22,8 23,1 22,8 Taux d'autofinancement (Epargne/FBCF, %) 79,9 85,1 85,3 87,2 89,1 74,0 75,2 86,7 Source : INSEE Conséquence mécanique de ce regain modéré de l activité, l emploi marchand continuerait de se redresser au 2 nd semestre 2015 : postes. Il devrait progresser de postes sur l ensemble de l année 2015, après en 2014, «favorisé par une activité plus soutenue et par l enrichissement de la croissance en emplois apporté par le CICE et le Pacte de responsabilité et de solidarité». Le taux de chômage serait stable à 10,3% de la population active au 2 nd semestre, la hausse attendue de l emploi étant suffisante pour compenser celle de la population active. * * * L INSEE met en évidence plusieurs aléas associés à ce scenario : - Incertitudes sur les marchés financiers (volatilité accrue?) et concernant les économies émergentes (ralentissement?) ; - Incertitudes sur l évolution de la production manufacturière. MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

4 2. Immatriculations de voitures neuves en septembre 2015 : +0,5% sur l ensemble de 3 ème trimestre, un redressement qui semble interrompu à cause des voitures de marques françaises (-2,4%) * Les immatriculations de voitures particulières et commerciales neuves, y compris véhicules des domaines et transit temporaire (données cvs-cjo) ont un peu ralenti en septembre 2015 : +1,3%, après +2,1%. Cette nouvelle progression est entièrement imputable aux immatriculations de voitures de marques françaises (+10,6%, après +0,5%), alors que les immatriculations de voitures de marques étrangères se sont contractées (-6,6%, après +3,5%). Entre septembre 2014 et septembre 2015, l ensemble des immatriculations s est accru de +8,3% (+3,3% pour les voitures de marques françaises, +13,7% pour les voitures de marques étrangères). 2,7 2,5 2,3 2,1 1,9 1,7 1,5 Immatriculations de voitures neuves (millions annualisés, moyenne mobile sur trois mois, données CVS CJO) Moyenne = 2,1 millions 2,0 1,5 1,4 1,3 1,2 1,1 1,0 0,9 0,8 0,7 Immatriculations de voitures neuves (millions annualisés, moyenne mobile sur trois mois, données CVS CJO) Marques étrangères Marques françaises 1,02 0,93 Source : CCFA Calculs Coe-Rexecode * Au 3 ème trimestre 2015, les immatriculations de véhicules neufs ont progressé de seulement +0,5% par rapport au trimestre précédent (+5,7% sur un an). Elles se sont ainsi établies à unités, niveau inférieur de -5,4% à la moyenne de longue période ( ). Ainsi, la tendance au redressement du marché automobile semble s être interrompue. Dans le détail, les immatriculations se sont contractées pour les voitures de marques françaises (-2,4%). En revanche, elles se sont accrues de +3,2% pour les voitures de marques étrangères. A titre de comparaison, les immatriculations ont augmenté de +5,1% entre le 2 ème et le 3 ème trimestre en Allemagne (+6,2% sur un an), dépassant ainsi leur moyenne (+0,8%). A contrario, elles se sont repliées de -1,8% en Italie (+14,7% sur un an), se situant à un niveau inférieur de -24,3% à leur moyenne de longue période. MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

5 3. Construction de logements en août 2015 : baisse de -4,1% en cumul sur un an des mises en chantier, hausse dans 6 régions * En moyenne mobile sur les trois derniers mois connus (juin, juillet, août 2015), les mises en chantier de logement se sont inscrites en hausse de +1% par rapport aux trois mois précédents. La hausse des permis de construire a été nettement plus marquée : +11% sur la même période Constructions de logements (glissement sur douze mois, milliers, données CVS, date de prise en compte) Permis de construire Mises en chantier 361,9 344,7 Source : SOeS / Coe-Rexecode * En glissement sur douze mois, les mises en chantier se sont repliées de -4,1% entre août 2014 et août 2015, soit près de logements nouveaux en moins. A unités, elles se sont établies à un niveau inférieur de -13,2% à la moyenne des années (près de unités), plus bas niveau depuis novembre Dans le détail, ce repli des mises en chantier se retrouve dans 16 des 22 régions de France métropolitaine et dans les DROM (Départements et régions d outre-mer, Mayotte non compris). En revanche, fait plutôt encourageant, six régions ont enregistré une progression de leurs mises en chantier : +0,4% en Midi-Pyrénées et dans les pays de la Loire, +0,6% en Languedoc-Roussillon, +5,6% en Picardie, +7,5% dans la région Nord- Pas-de-Calais, +10,4% en Alsace (hausse marquée en lien avec la mise en place de l Euro-métropole Strasbourg-Kehl). Dans le même temps, les permis de construire se sont repliés de -5,8% sur la même période, soit unités. Ils sont désormais au nombre de unités, niveau inférieur de -21,5% à leur niveau moyen de longue période. * Selon l intervention du 18 septembre 2015 du Président de la Fédération Française du Bâtiment (FFB), «si la tendance se confirme, l année en cours se soldera par logements commencés, contre en 2014». Cependant, le marché du logement neuf devrait commencer à enregistrer les effets du dynamisme du crédit immobilier et de la reprise des ventes, «et ces effets se renforceraient durant l hiver ». MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

6 Evolution des mises en chantier de logements (août 2015, glissement sur douze mois, %) Nord-Pas-de-Calais +7,5% Haute Normandie -12,6% Picardie +5,6% Bretagne -4,7% Basse Normandie -16% Ile-de-France -6% Champagne Ardenne -1,6% Lorraine -3,7% Alsace +10,4% Pays de la Loire +0,4% Centre-Val de Loire -5,1% Bourgogne -7,5% Franche-Comté -3,7% Poitou-Charentes -15,7% Limousin -27,2% Auvergne -5,3 Rhône-Alpes -1,5% Aquitaine -0,8% Midi-Pyrénées +0,4% Languedoc- Roussillon +0,6% Provence-Alpes-Côte d Azur -16,6% >0 de 0 à -10 de -10 à -20 <-20 Corse -14,8% Source : SOeS MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

7 Balance commerciale en août 2015 : reflux des échanges sur un mois, mais déficit en cumul sur un an à son plus bas niveau depuis février 2010 * Le déficit FAB-FAB des échanges de marchandises s est réduit à -3 milliards d euros en août 2015, après -3,2 milliards d euros en juillet. Les échanges se sont de nouveau repliés, en raison «de causes ponctuelles diverses, notamment d à-coups dans les calendriers d approvisionnement ou de livraison». La baisse a été plus marquée pour les importations, d où la réduction du déficit o -3% pour les exportations, après -1,7% ; o -3,2% pour les importations après -0,3%. * Au-delà de ces variations mensuelles, en glissement sur douze mois, le déficit commercial s est établi à -44,4 milliards d euros en août 2015, contre -62,9 milliards d euros un an plus tôt. Il s agit du plus faible déficit enregistré depuis février Les exportations ont progressé de +4,2% entre août 2014 et août 2015, alors que les importations se sont contractées de -0,1% Solde FAB-FAB des échanges de marchandises (milliards d'euros, cumul sur douze mois) -44,4 Source : Douanes * En données FAB-CAF (pour une analyse sectorielle et géographique), le déficit, toujours en cumul sur un an, est passé de -80,4 milliards d euros en août 2014 à -61,8 milliards d euros en août Cette réduction de 18,5 milliards d euros recouvre : - Par zone géographique : o une réduction du déficit avec nos partenaires européens, de 6,4 milliards d euros à -28,2 milliards d euros concernant l Union européenne (+1,6% pour les exportations, - 0,8% pour les importations), plus faible déficit depuis avril 2010 ; de 3,8 milliards d euros à - 6,3 milliards d euros concernant l Europe hors UE (-0,2% pour les exportations, -9,3% pour les importations) ; o un déficit avec l Amérique devenu excédent à +1,6 milliards d euros (+13,5% pour les exportations, +4% pour les importations) ; o un accroissement de l excédent avec l Afrique à +4,8 milliards d euros (+6% pour les exportations, -6% pour les importations) et avec le Proche et Moyen-Orient à +4,9 milliards d euros (+11,8% pour les exportations, -19,6 milliards d euros pour les importations) ; o un creusement du déficit avec l Asie de 2 milliards d euros à -27,4 milliards d euros (+8,5% pour les exportations, +8,3% pour les importations), retombant à son niveau de juin 2012 ; MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

8 - Par secteur : o une réduction du déficit industriel à -27,6 milliards d euros (+5,4% pour les exportations, +4,5% pour les importations) ; o une réduction encore plus marquée du déficit énergétique à -43,8 milliards d euros (-9,4% pour les exportations, -22,5% pour les importations), plus faible déficit enregistré depuis juin 2010 ; o un léger effritement de l excédent agroalimentaire (+2,1% pour les exportations, +2,8% pour les importations). Solde des échanges de marchandises (cumul sur douze mois, milliards d euros) Août 2014 Août 2015 par zone géographique Union européenne, dont: -34,6-28,2 Zone Euro -40,6-36,5 Europe hors UE -10,1-6,3 Afrique +1,6 +4,8 Amérique -2,3 +1,6 Proche et Moyen-Orient +0,9 +4,9 Asie -25,4-27,4 par secteur Industrie manufacturière* -29,5-27,6 Agroalimentaire +9,5 +9,4 Energie -60,1-43,8 Ensemble CAF/FAB (hors matériel militaire) -80,4-61,8 Source : Douanes / (*) hors IAA et produits pétroliers raffinés et coke MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

9 5. Climat des affaires aux Etats-Unis en septembre 2015 : nouveau ralentissement de l activité manufacturière et non manufacturière * Selon la dernière enquête réalisée auprès des directeurs d achat, le climat des affaires aux Etats-Unis s est dégradé dans le secteur manufacturier pour le troisième mois consécutif en septembre L indicateur est à son plus bas niveau depuis mai Dans le détail, cette nouvelle dégradation, qui traduit un ralentissement de l activité manufacturière aux Etats-Unis, recouvre : - un repli de la composante «perspectives de production» pour le deuxième mois consécutif, l indicateur restant ainsi sous sa moyenne des années ; - un nouveau recul de l indice relatif aux carnets de commandes globaux, alors que celui relatif aux carnets de commandes à l exportation a stagné. Ce dernier se situe sous la ligne des 50 (seuil délimitant la zone d expansion et la zone de contraction) depuis quatre mois, signe que les exportations se contractent ; - une baisse de la composante «emploi» pour le troisième mois consécutif, tout en restant supérieur à sa moyenne de longue période. Elle traduit un ralentissement des créations d emploi Indice synthétique ISM (solde d'opinion des chefs d'entreprise, %) Expansion de l'activité Contraction de l'activité non manufacturier manufacturier Source : Institute for Supply Management * Dans le même temps, dans le secteur non manufacturier, l indice synthétique ISM s est replié pour le deuxième mois consécutif en septembre 2015, tout en se maintenant audessus de son niveau moyen Dans le détail, cette évolution, qui traduit, là aussi, un ralentissement de l activité non manufacturière américaine, recouvre : - un repli de la composante «production», pour le deuxième mois consécutif ; - une forte contraction de l indice relatif aux carnets de commandes globaux, alors que celui relatif aux carnets de commandes à l exportation a légèrement progressé ; - un accroissement de la composante «emploi». MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

10 6. Marché du travail aux Etats-Unis en septembre 2015 : créations d emploi, contre en moyenne sur les 9 premiers mois de l année * Les créations d emploi dans le secteur non agricole aux Etats-Unis ont été décevantes en septembre 2015 : postes. Et ceci d autant plus que les créations de l été ont été révisées à la baisse : de à en juillet et de à en août. L activité américaine a été pénalisée par l appréciation du dollar et par la faiblesse de la demande mondiale, avec des inquiétudes concernant le ralentissement de la Chine. Ces créations recouvrent des créations pour le cinquième mois consécutif dans le secteur public ( , après ) et nouveaux postes dans le secteur privé ( en août). Par secteur, l industrie manufacturière a enregistré pertes d emploi en septembre 2015, après en août. Il y a eu créations d emploi dans la construction ( postes en juillet comme en août) et dans le tertiaire ( en août), dont postes dans le commerce de gros, dans le commerce de détail, dans les services aux entreprises, etc. Au total, sur l ensemble des neufs premiers mois de l année 2015, postes auront été créés, contre en Evolution de l'emploi salarié (milliers, secteur non agricole) 8,5 Taux de chômage aux Etats-Unis (%) ,0 7, , ,5 6, ,5 5,0 5,10 Source : US Bureau of Labor Statistics * Le taux de chômage est resté stable à 5,1% de la population active en septembre Il s agit de son plus bas niveau depuis avril Le taux d activité s est replié à 62,4%. La population active s est en effet réduite de personnes : le nombre de personnes en emploi s est réduit de personnes, et le nombre de chômeurs s est réduit de personnes à 7,9 millions. MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

11 7. Tendances récentes des marchés : remontée des cours de bourses, prix du pétrole de nouveau au-dessus de la ligne des 50$ le baril de Brent 1,4 1,2 1,0 0,8 0,6 0,4 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) France Allemagne 0,89 0,60 2,5 2,0 1,5 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) Italie Espagne 1,85 1,70 0,2 0,0 1,0 1,17 1 euro =... dollar 1,15 1,13 1,11 1,09 1,07 1,05 1, Indice boursier CAC 40 (100 = 2008) Indice boursier Eurostoxx 50 (100 = 2008) Indice boursier Standard and Poor's(100 = 2008) MEDEF Actu-Eco semaine du 5 au 9 octobre

12 Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux (100 = 1988) 192 euros dollars Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) dollars 50,17 44,5 euros 200 Cours des matières premières alimentaires (1988 = 100) 190 Cours des matières premières industrielles (1988=100) dollars euros dollars euros Cours des matières premières métaux communs (1988=100) dollars euros 1250 Cours de l'once d'or (en dollars) Contact : cdefleuriau@medef.fr Rédaction achevée le 8 octobre t MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 novembre 2014

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