N 02. Le magazine de l actualité boursière Mai - Juin analyse macro-économie. fiche pédagogique. Repli de l activité attendu dans la zone euro
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- Gilbert Boivin
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1 Le magazine de l actualité boursière N 02 analyse macro-économie Repli de l activité attendu dans la zone euro fiche pédagogique Horaires de négociation élargis sur les Produits...
2 2 Sommaire ÉDITO «Etats Uniques» par Bertrand Alfandari agenda Les rendez-vous importants de l économie et des marchés 07 analyses Analyse stratégie «Il va falloir être de plus en plus réactif» le point de vue de Nathalie Benatia AnAlyse MAtièRes premières «Du potentiel de hausse pour le brut courant 2013» par Harry Tchilinguirian AnAlyse MAcRO-ÉcOnOMie «Repli de l activité attendu dans la zone euro» par Philippe d Arvisenet 13 recommandations Cac 40 et S&P FICHE PÉDAGOGIQUE Horaires de négociation élargis sur les Produits de Bourse AVERTISSEMENT
3 03 Edito Etats Uniques Rédigé le 26 avril 2013 Bertrand Alfandari Du fait des aléas sur les marchés obligataires, immobiliers ou actions, il est toujours compliqué de mettre en place une bonne allocation d actif au sein de son patrimoine. Avec des marchés de taux peu propices à la performance, des craintes de plus en plus fortes sur le marché immobilier et les matières premières et des marchés actions qui n offrent pas beaucoup de visibilité, les investisseurs peuvent se retrouver désemparés face à l univers foisonnant de placements susceptibles d offrir mieux que le taux sans risque. Peu importe la solution retenue en fonction de votre appétence au risque (actions en direct, fonds communs de placement, certificats, turbos, warrants, ), l une des étapes préalables à l investissement sur les marchés financiers est de définir son allocation «géographique» ; les épargnants français sont en général trop exposés aux valeurs françaises qu ils connaissent sans doute mieux mais qui n ont pas forcément le meilleur potentiel de performance. Les mauvaises nouvelles vont bon train en Europe et les dernières en date font état d un marché du travail en déclin, particulièrement en Espagne, la France n étant pas épargnée. Ce contexte économique et social ne va pas forcément attirer les investissements étrangers et devrait peser sur la croissance du vieux Continent avec, par ricochet, une influence négative sur les marchés d actions européens. C est la raison pour laquelle de nombreux spécialistes conseillent de privilégier les actifs en dehors de la zone Euro et de reconsidérer les Etats-Unis qui vivent un tournant favorable. Encore récemment considérée comme atone, dépassée par le développement des pays émergents, l Amérique du Nord a repris des forces pour reconquérir durablement sa place de leader mondial. Les produits de Bourse BNP Paribas sur valeurs et indices américains sont d ailleurs négociables depuis peu de 8h00 à 18h30 sur Nyse Euronext (voir en p.15 la fiche pédagogique sur les horaires de négociation élargis). Pour ceux qui souhaitent obtenir plus d informations sur les produits de bourse et les services que nous proposons aux investisseurs actifs, n hésitez pas à naviguer sur notre site cib.bnpparibas.be Excellente lecture. L équipe BNP Paribas Produits de Bourse Mode d emploi POur lire le PdF interactif
4 04 Agenda 1 er Mai USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h00. ADP Variation de l emploi à 14h15. Dépenses de construction et ISM Manufacturier à 16h00. 2 Mai Europe : annonce des taux d intérêt de la BCE à 13h45. USA : balance commerciale, nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. 3 Mai Allemagne : PMI des services à 09h55. Europe : PMI des services et PMI composite à 10h00. USA : taux de chômage à 14h30. Commandes industrielles et ISM non manufacturier composite à 16h00. 6 Mai France : PMI des services à 09h50. Europe : Sentix confiance des investisseurs à 10h30. Ventes au détail zone euro à 11h00. 7 Mai France : Balance commerciale, production industrielle et production manufacturière à 08h45. 8 Mai France : Bdf Sentiment dans les affaires. Allemagne : production industrielle à 12h00. USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h00. 9 Mai USA : nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. Stocks de commerce en gros à 16h Mai Allemagne : balance commerciale à 08h Mai USA : ventes au détail anticipées à 14h30. Stocks d entreprises à 16h Mai Allemagne : sondage ZEW (sentiment économique) à 11h00. Europe : production industrielle zone euro et sondage ZEW (sentiment économique) à 11h00. USA : indice des prix à l importation à 14h Mai France : PIB à 07h30. Europe : indice des prix à la consommation et PIB à 11h00. USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h00. Indice Empire Manufacturing et indice des prix à la production à 14h30. Production industrielle et utilisation des capacités à 15h Mai Europe : balance commerciale zone euro à 11h00. USA : mises en chantier à 11h00. Permis de construire, nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. Indicateur de confiance de la Fed de Philadelphie à 16h00. CERTIFICATS : dernier jour de cotation pour les Turbos et Warrants sur le CAC 40 ainsi que pour les Cappés + et Floorés + arrivant à échéance le 17 mai Mai USA : indice de confiance de l Université du Michigan à 15h55. Indicateurs avancés à 16h Mai USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h00. Ventes de logements existants à 16h Mai France : PMI des services à 09h00. Allemagne : PMI des services à 09h30.
5 Agenda Europe : PMI des services et PMI composite à 10h00. Confiance des consommateurs de la zone euro à 16h00. USA : nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. Ventes de logements neufs à 16h Mai France : indice de confiance dans les affaires à 08h45. Allemagne : IFO climat des affaires à 10h00. Indice des prix à l importation. USA : commandes de biens durables à 14h Mai France : indice de confiance des consommateurs à 08h45. USA : indice manufacturier de la Fed de Richmond et confiance du consommateur à 16h00. Activité manufacturière de la Fed de Dallas à 16h Mai USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h Mai France : demandeurs d emploi à 18h00. Europe : indicateur du climat des affaires et confiance des consommateurs de la zone euro à 11h00. USA : PIB, indice des prix du PIB, consommation de base des ménages, nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h Mai Europe : taux de chômage zone euro à 11h00. USA : revenu personnel, consommation des ménages et indice des Directeurs d Achats de Chicago à 14h30. Indice de confiance de l Université du Michigan à 15h55. 3 Juin USA : dépenses de construction et ISM Manufacturier à 16h00. 4 Juin USA : balance commerciale à 14h30. 5 Juin France : PMI des services 09h50. Allemagne : PMI des services à 09h55. Europe : PMI des services et PMI composite à 10h00. PIB, consommation des ménages zone euro et ventes au détail zone euro à 11h00. USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h00. ADP Variation de l emploi à 14h15. Commandes industrielles et ISM non manufacturier composite à 16h00. 6 Juin Europe : annonce des taux d intérêt de la BCE à 13h45. USA : nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. 7 Juin France : balance commerciale et Bdf Sentiment dans les affaires à 08h45. Allemagne : balance commerciale à 08h00. Production industrielle à 12h00. USA : taux de chômage à 14h Juin France : production industrielle et production manufacturière à 08h45. Europe : Sentix confiance des investisseurs à 10h Juin USA : stocks de commerce en gros à 16h Juin Europe : production industrielle zone euro à 11h00. USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h Juin USA : indice des prix à l importation, ventes au 05
6 Agenda détail anticipées, nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. Stocks d entreprises à 16h00. Dernier jour de cotation pour les Warrants sur le NIKKEI arrivant à échéance le 13 juin Juin Europe : indice des prix à la consommation à 11h00. USA : indice des prix à la production à 14h30. Production industrielle et utilisation des capacités à 15h15. Indice de confiance de l Université du Michigan à 15h Juin Europe : balance commerciale zone euro à 11h00. USA : Indice Empire Manufacturing à 14h Juin Allemagne : sondage ZEW (sentiment économique) à 11h00. Europe : sondage ZEW (sentiment économique) à 11h00. USA : mises en chantier et permis de construire à 14h Juin USA : MBA demandes de prêts hypothécaires 20 Juin Allemagne : PMI des services à 09h30. Europe : PMI des services et PMI composite à 10h00. Confiance des consommateurs de la zone euro à 14h30. USA : nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h30. Indicateur de confiance de la Fed de Philadelphie, ventes de logements existants et indicateurs avancés à 16h00. WARRANTS et CERTIFICATS: dernier jour de cotation pour les produits de bourse arrivant à échéance le 21 Juin Juin France : PMI des services à 09h Juin Allemagne : IFO climat des affaires à 10h00. Indice des prix à l importation. USA : Activité manufacturière de la Fed de Dallas à 16h Juin France : indice de confiance dans les affaires à 08h45. USA : commandes de biens durables à 14h30. Indice manufacturier de la Fed de Richmond, confiance du consommateur et ventes de logements neufs à 16h Juin France : PIB à 08h45. Demandeurs d emploi à 18h00. USA : MBA demandes de prêts hypothécaires à 13h00. PIB, indice des prix du PIB et consommation de base des ménages à 14h Juin France : Indice de confiance des consommateurs à 08h45. Europe : Indicateur du climat des affaires et confiance des consommateurs de la zone euro 11h00. USA : revenu personnel, consommation des ménages, nouvelles demandes d allocations chômage et demandes continues à 14h Juin USA : indice des Directeurs d Achats de Chicago à 15h45. Indice de confiance de l Université du Michigan à 15h55. 06
7 Analyse stratégie «Il va falloir être de plus en plus réactif» Rédigé le 18 avril 2013 Nathalie Benatia Stratégiste chez BNP Paribas Investment Partners Que vous inspirent les derniers développements économiques? Les données économiques publiées ces dernières semaines valident notre scénario prudent sur la conjoncture. Les États-Unis bénéficient d une reprise industrielle liée à la reconstitution des stocks et le marché de l immobilier s améliore. Cependant, l emploi reste très en retard par rapport aux cycles précédents. L amélioration «substantielle» recherchée par la Fed n est pas encore à l ordre du jour. Dans la zone euro, les enquêtes d activité s infléchissent à la baisse alors qu elles se redressaient depuis l automne. La zone euro va rester en récession dans l immédiat. L économie japonaise devrait bénéficier à court terme des programmes de relance budgétaire et, plus généralement du «climat» favorable créé par la volonté du gouvernement Abe de faire avancer les choses rapidement. La reprise mondiale demeure modeste et fragile au-delà du rattrapage en cours après la très faible croissance enregistrée fin Par ailleurs, les éléments de nature politique ont pris ces derniers mois une importance grandissante, en particulier en Europe où deux événements sont venus rappeler que tous les problèmes autour de la crise souveraine ne sont pas réglés et que les citoyens européens acceptent de plus en plus difficilement les programmes d ajustements. La situation très particulière de Chypre, réglée après de pénibles tergiversations, illustre le premier aspect tandis que le résultat des élections italiennes des 24 et 25 février sonne comme un *primes de risque : écart de rentabilité entre le marché et l actif sans risque avertissement pour tous les gouvernements engagés dans des ajustements plus ou moins brutaux. Quelles sont les conséquences sur les marchés? Ces événements n ont pas entraîné de désaffection généralisée pour les actions mais une nette sous-performance des actions de la zone euro, un affaiblissement de la devise et une progression des obligations gouvernementales allemandes. Dans le même ordre d idée, les tensions géopolitiques entre les deux Corées ou les cas rapportés de grippe aviaire en Chine ne semblent pas préoccuper les investisseurs. Dans notre dernier article nous évoquions les «œillères» qui selon nous, aveuglaient quelque peu les intervenants. Les performances boursières sont impressionnantes depuis le début de l année mais ne traduisent pas forcément un franc retour de l appétit pour le risque, puisque les marchés et secteurs défensifs ont eu tendance à surperformer. Toutefois, les nouveaux records historiques enregistrés par les indices boursiers américains indiquent que les œillères restent bien en place pour le moment. Pour cette raison, nous avons des doutes sur la poursuite du rally boursier : il résulte des politiques monétaires très accommodantes (qui font baisser les primes de risque*) et pas d une solide croissance économique qui soutiendrait les bénéfices des entreprises. A court terme, les investisseurs vont avoir à cœur de vérifier si la croissance américaine résiste au durcissement suite 07
8 Analyse stratégie de la politique budgétaire ou, au contraire, commence à ralentir. Si cette dernière hypothèse se vérifie, la volatilité sera de retour. Quelle solution adopter? A l heure actuelle, aucune classe d actifs n apparaît véritablement attractive, les valorisations étant normales (obligations gouvernementales de référence et ce malgré les très bas niveaux atteints récemment par les taux allemands et américains) ou très légèrement tendues (actions américaines notamment). Les actions européennes, qui présentent une nette sousvalorisation, sont la seule exception notable. Une allocation d actifs dynamique doit donc être privilégiée pour contrebalancer le risque baissier lié au contexte général a priori peu porteur pour les actifs risqués. Nous restons par exemple convaincus qu une exposition longue en duration** sur les obligations de référence de la zone euro pourra être renouvelée sur tout repli significatif du marché. La faible croissance et la décélération de l inflation dans la zone euro ne plaident pas en effet pour une envolée des taux dans les prochains mois. Le seul risque en la matière pourrait venir des États-Unis mais la Fed, manifestement désireuse de poursuivre le plus longtemps possible sa politique d assouplissement quantitatif, fera tout pour éviter que les anticipations d un arrêt des achats de titres ne se traduisent par de fortes tensions sur les taux longs. Plus généralement, dans ces marchés troublés, il faut avoir (au moins) un coup d avance. Nous envisageons ainsi de prendre des bénéfices sur notre exposition négative sur les actions émergentes, notamment parce que, après une sousperformance de près de 10% par rapport aux actions développées depuis le début de l année, leur valorisation redevient plus intéressante. **duration : durée de vie moyenne actualisée des flux (intérêt et capital) 08
9 09 Analyse Matières Premières «Du potentiel de hausse pour le brut courant 2013» Rédigé le 11 avril 2013 Harry Tchilinguirian Responsable stratégie matières premières BNP Paribas Les cours du pétrole ont progressé fin 2012 et en janvier, soutenus par une demande saisonnière et une baisse de la production de l OPEP. Un regain d appétit pour le risque a également tiré les cours. A la fin de l année, les États-Unis ont évité de justesse la «falaise fiscale», les républicains et les démocrates s entendant sur le budget. Dans le même temps, la Réserve Fédérale a approuvé une troisième vague de politique accommodante (QE3) en janvier, achetant des actifs sur le marché au rythme de 85 milliards de dollars par mois. Un début d année décevant Pourtant la hausse du pétrole s est interrompue en février et une correction a suivi, due à la résistance du dollar, à des statistiques économiques décevantes, à un hiver plus doux que prévu dans l hémisphère nord et des projections optimistes pour l offre américaine. Les cours se sont légèrement repris par la suite. Nous restons pourtant confiant sur un environnement global qui devrait soutenir substantiellement les cours du pétrole, en particulier sur la deuxième partie de Nous anticipons un WTI se traitant au dessus des 100 dollars au 4 e trimestre 2013, alors que le Brent devrait dépasser les 115 dollars. Des fondamentaux favorables Si les perspectives économiques globales ont été révisées en légère baisse pour 2013 et 2014, la croissance devrait rester supérieure à 3% sur ces deux années, soit l équivalent de la tendance long terme, puis accélérer en 2014 à 3,6%. Nous n anticipons donc pas de faiblesse de la demande industrielle de pétrole. De plus, la croissance dans les pays émergents, gourmands en matières premières, reste robuste. Coté offre, l analyse de la production est mitigée : alors que la production de l OPEP a baissé sur ses plus hauts du 2e trimestre 2012, celle hors OPEP a augmenté. Le marché est resté affecté par des ruptures d approvisionnements qui persistent en Syrie, au Yémen ou au Soudan, même si la production devrait reprendre dans ce pays vers la fin de l année. Dans le même temps, des sanctions plus strictes sur l Iran ont conduit les principaux importateurs (Chine, Japon, Corée et Inde) à réduire leurs importations tout en recherchant des approvisionnements alternatifs. Si aucun progrès n est réalisé sur le programme nucléaire iranien, les tensions géopolitiques vont s accroître et les prix du pétrole augmenter. Face à ces contraintes du coté de l offre, le marché s est focalisé sur les projections très optimistes de production au Canada et aux États- Unis, en particulier à cause du développement de la production de gaz de schistes. Sur le papier, si les développements de la production en Amérique du Nord débouchent sur un équilibre confortable de l offre et la demande globales, il faut bien comprendre que l offre est largement confinée à cette région. Les États- Unis ne peuvent pas exporter leur pétrole. Et si leurs capacités de production progressent, la croissance des infrastructures permettant une livraison aux utilisateurs finaux, principalement sur la cote Est,reste toujours à la traîne. suite
10 10 Analyse Matières Premières Cela signifie qu une forte hausse de la production américaine ne pèsera probablement pas sur les prix internationaux avant la fin Les excédents de production américains devraient plus probablement conduire à une hausse des stocks au hub pétrolier de Cushing. Ce qui permettra de maintenir les échéances rapprochées en contango. Cependant, lorsque les infrastructures se seront développées, la dépendance énergétique américaine se réduira ainsi que les excédents à Cushing. Et la décote du WTI par rapport au Brent se réduira substantiellement. La politique de la Fed entraîne une inflation des actifs Au delà des fondamentaux du marché pétrolier, on ne peut ignorer l impact des facteurs financiers sur les cours du pétrole. L action de la Fédéral Réserve va continuer d avoir un impact significatif sur les cours des matières premières et du pétrole. Des craintes d un arrêt plus tôt que prévu de son QE3 ont été en partie à l origine de la correction en février-mars. Mais, alors que le QE3 se déroule comme prévu initialement, nous anticipons une baisse du dollar comme lors des deux précédents QE. Du coup, la demande en actifs réels libellés en dollars, comme le pétrole ou l or va augmenter. Nous pensons que la Fed conservera cette politique en 2013 tant qu il n y aura pas d amélioration sensible sur le marché du travail. La récente résistance du dollar est liée aux crises italiennes et Chypriotes. Mais, lorsque ces craintes se dissiperont et alors que la Fed augmentera son bilan, nous pensons que vers le milieu de l année la liquidité sur le dollar pèsera finalement sur la devise, ce qui soutiendra les cours du pétrole.
11 Analyse Macro-Economie «Repli de l activité attendu dans la zone euro» Rédigé le 18 avril 2013 Philippe d Arvisenet Directeur des études économiques BNP Paribas En 2012, la croissance mondiale s est élevée à 3,2%. Le FMI anticipe une performance similaire cette année, une progression de l activité en ligne avec son rythme de long terme. Cette donnée moyenne masque des évolutions hétérogènes. La hausse du PIB des économies émergentes est attendue à 5,3% contre seulement 1,2% pour les économies avancées. Parmi ces dernières, le contraste est notable entre, d une part, les États-Unis (1,9% après 2,2% en 2012) et le Japon qui bénéficie d un «policy mix» très agressif et, d autre part, le Royaume-Uni dont la croissance ne devrait guère dépasser 0,5%, et plus encore, la zone euro qui entame sa deuxième année de récession (-0,3% après -0,6% en 2012). Les États-Unis ont évité la crise Aux Etats-Unis, le pire a été évité, l économie ayant échappé au fameux «fiscal cliff» qui, s il s était matérialisé, n aurait pas manqué de provoquer une récession. Sans doute, la croissance est-elle appelée à rebondir autour de 2,5%-3% au 1 er trimestre, une correction étant attendue après le chiffre très décevant du dernier trimestre 2012 imputable à un fort déstockage et à une chute des dépenses militaires. Pour autant, les mesures de consolidation budgétaire se font sentir depuis mars. La production manufacturière s est repliée de 0,1% en mars (+0,9% en février), les ventes au détail ont également été décevantes : hors éléments volatils, elles n ont progressé que de 0,6% en rythme annualisé sur les trois derniers *OMT : achat d obligations sur le marché par la BCE mois. Il en a été de même pour l emploi. Les créations de postes, de en mars contre en février, ont été bien en deçà des attentes. Le secteur immobilier, en revanche, reste très dynamique. Les mises en chantier ont ainsi bondi de 7% en mars et affichent une hausse de 46,7% sur un an. Les prix poursuivent leur redressement. L indice Case- Shiller pour les vingt principales villes augmentait de 8,1% en glissement annuel en janvier. L inflation subit le contrecoup de la volatilité des prix de l énergie (-2,6% en mars après +5,4% en février). Son glissement annuel est revenu de 2% à 1,5%, et sa composante sous- jacente (hors alimentation et énergie) de 2% à 1,9%. Sur un mois, les anticipations inflationnistes des marchés, à horizon de cinq ans, se sont repliées d une trentaine de points de base, à 2,1%. En dépit des discussions qui ont vu le jour au sein de la Fed quant aux risques inhérents à la poursuite du quantitative easing (gonflement de bulles ), le comportement de l inflation et le tassement récent des indicateurs conjoncturels, qui porte à anticiper une croissance revenant en deçà de 2% au second trimestre, plaident pour le maintien du caractère très accommodant de la politique monétaire. Détente des taux en Europe Dans la zone euro, les craintes d éclatement ont été repoussées par l OMT*. En dépit de nouvelles qui n ont pas manqué de réveiller les inquiétudes, qu il s agisse des incertitudes suite 11
12 Analyse Macro-Economie liées à l incapacité de l Italie à former un nouveau gouvernement, ou encore des errements qui ont accompagné la mise en place du plan de sauvetage de Chypre, la détente des taux ne s est pas démentie. En un mois, les taux italiens à 10 ans se sont repliés de 30 points de base à 4,31% (16 avril), les taux espagnols de 20 pb à 4,73%, les taux portugais de 33 pb à 6,1%, les taux irlandais de 24 pb à 3,85%. Le pragmatisme a prévalu lors de la réunion de l euro group le 12 avril : les prêts de l EFSF et du MES en faveur de l Irlande et du Portugal ont vu leur maturité allongée, ce qui allègera leurs besoins de financement et devrait favoriser le retour de la confiance. Après cinq trimestres consécutifs de repli, l activité économique de la zone continue à se détériorer. Le léger redressement des indicateurs conjoncturels, observé au tournant , a fait long feu. La production manufacturière pour février est en recul de 2,7% en glissement annuel (-2,2% en décembre), la contraction touche non seulement les pays de la périphérie tels l Italie (-3,9%), mais aussi la France (-2,5%) et même l Allemagne (-2%). Tout ceci suggère un nouveau repli de l activité, tant au premier qu au second trimestre. L inflation, qui avait atteint 2,6% en août dernier, est tombée à 1,7%. La BCE anticipe 1,3% courant Compte tenu du caractère général de la détérioration de la conjoncture et du repli de la distribution du crédit, témoignant de la poursuite d un mauvais fonctionnement des canaux de transmission de la politique monétaire, un assouplissement** paraît judicieux. Son éventualité a été discutée lors de la dernière réunion du comité des gouverneurs. M. DRAGHI a d ailleurs utilisé des propos (examen approfondi des données économiques) qui dans le passé ont été suivis d une détente du taux phare de la banque centrale. ** assouplissement : baisse des taux directeurs de la Banque centrale 12
13 Recommandations RECO CAC40 Rédigé le 17 avril 2013 Type : ligne journalier Traits verts : objectifs alternatifs Trait bleu : stop-loss Trait rouge : objectifs Courbe bleue : moyenne mobile à 100 jours Courbe rouge : moyenne mobile à 50 jours Analyse fondamentale Retournement à la baisse L indice parisien se retourne à la baisse au regard de plusieurs éléments graphiques. Ainsi, la récente cassure des points (support depuis fin 2012 et résistance en mars 2012 (rôle pivot) constitue un signal négatif. Cette rupture valide, à la baisse, une configuration dite en «formation élargie angle-droit». De plus, les cours sont coiffés par une oblique descendante née du sommet de l année Par ailleurs, la moyenne mobile à 50 jours prend désormais une orientation négative. En somme, l ensemble de ces éléments nous incite à anticiper une poursuite du mouvement baissier vers points, dans un premier temps, puis points dans un second temps (creux de mi-novembre 2012). Seul le dépassement du précédent sommet court terme à points permettrait de remettre en cause ce scénario baissier. Analyse technique A la peine L accumulation de mauvaises nouvelles est finalement venue à bout du CAC40 qui avait déjà du mal à suivre l optimisme récent de Wall Street. Cette fois, les choses se sont compliquées avec les révisions en baisse de la croissance européenne par le FMI, France en tête, des déceptions concernant l activité venues de Chine et une inquiétude diffuse outre-atlantique après les records du Dow Jones. Le CAC40 est donc retombé brutalement dans le bas de son «range», c est-à-dire dans la zone des points, niveau déjà testé par trois fois en décembre, fin janvier et fin février. Il est vrai qu en France, la crise politique dont le gouvernement a du mal à s extraire, complique un peu plus la situation, à l image de ce qui se passe déjà du côté des autres «maillons faibles» du Vieux Continent, à savoir l Italie, l Espagne ou Chypre. Malgré la remontée récente des indices asiatiques sur fond de détente monétaire extrême mise en place par la Banque du Japon et de soutien de Wall Street, le CAC40 n a pas su trouver la force nécessaire pour sortir par le haut d une longue séquence de compression en direction des points. De quoi donc retomber dans ses travers que certains croyaient oubliés. Stratégie LEVIER : Le Cappé+ «H726B» peut servir vos anticipations haussières sur le CAC 40. Le Flooré + «H727B» constitue lui une protection adéquate pour couvrir son portefeuille contre une éventuelle baisse de l indice parisien. WARRANT Sélection de Produits de Bourse (Cours du CAC 40 au 22 avril 2013 : 3652,13 points) Type Mnémo Prix d'exercice Cours Elasticité Échéance Call K404B ,05 9,73% 20 décembre 2013 Put Y249B ,85 7,73% 20 septembre 2013 Type Mnémo Borne Basse Borne Haute Cours Échéance Cappé (+) Cappé + H726B ,50 20 septembre 2013 Flooré (+) Flooré + H727B ,20 20 septembre 2013 Sélection effectuée par BNP Paribas. Les recommandations sur actions ont été rédigées par Boursier.com. Les analyses graphiques et techniques ont été réalisées par Chart s. La responsabilité de BNP Paribas ne saurait être recherchée ou engagée du fait des prises de position, sous quelque forme que ce soit, des analystes financiers de Boursier.com et de Chart s, leurs prises de position n engageant qu eux. 13
14 Recommandations RECO S&P 500 Rédigé le 17 avril 2013 Type : ligne journalier Trait vert : objectifs Trait bleu : stop Traits rouges : objectifs alternatifs Courbe rouge : moyenne mobile à 50 jours Courbe bleue: moyenne mobile à 100 jours Analyse fondamentale Prudence pour le court terme Wall Street qui a atteint des sommets début avril, à l image d un indice S&P flirtant avec la zone des pts, a été rattrapé par quelques doutes. Les événements se sont en effet précipités outre-atlantique sur fond de croissance décevante en Chine et de correction brutale du marché de l or. Par ailleurs, des signes de fébrilité commençaient depuis peu à poindre du côté de la Fed, en vue de changements importants qui pourraient avoir lieu lors des prochaines réunions du Comité de politique monétaire de la banque centrale américaine. Certains responsables de la Fed sont en effet préoccupés par les coûts et les risques associés aux achats d actifs massifs, qui ont continué d alimenter la hausse des marchés récemment. Avant cela, certains indicateurs avaient montré une économie américaine encore hésitante, avec un indice d activité manufacturière régionale, dit «Empire State», de la Fed de New York pour le mois d avril qui est ressorti à seulement 3,1, contre un consensus de place proche de 7 et un niveau de 9,2 sur le mois antérieur. L indice reste positif, mais traduit donc un ralentissement de l expansion de l activité manufacturière de la région en avril. Autant de raisons de se montrer plus prudent à court terme. Analyse technique Supporté par un canal ascendant D un point de vue graphique, l indice le plus représentatif du marché boursier américain, le S&P500, se maintient dans une configuration haussière à moyen terme. En effet, l indice évolue actuellement au sein d un canal haussier en place depuis novembre Du coté des indicateurs, la moyenne mobile à 50 jours actuellement autour des points continue de jouer son rôle de support. De plus, l ancien niveau de résistance des points qui a été dépassé en mars 2013 devrait désormais faire office de support. En conclusion, le biais reste haussier en direction des 1 615, 1 685, voire des points. Seule une clôture sous les validerait un retournement de tendance en direction des points et des points. Stratégie LEVIER : Amplifiez les évolutions de l indice américain à la hausse et à la baisse avec le Warrant Call «Z389B» et le Warrant Put «K733B». Sélection de Produits de Bourse (Cours du S&P 500 au 22 avril 2013 : 1560,10 points) Type Mnémo Prix d'exercice Cours Elasticité Échéance WARRANT Call Z389B ,36 12,95% 20 septembre 2013 Put K733B ,48 9,96% 20 septembre 2013 Sélection effectuée par BNP Paribas. Les recommandations sur actions ont été rédigées par Boursier.com. Les analyses graphiques et techniques ont été réalisées par Chart s. La responsabilité de BNP Paribas ne saurait être recherchée ou engagée du fait des prises de position, sous quelque forme que ce soit, des analystes financiers de Boursier.com et de Chart s, leurs prises de position n engageant qu eux. 14
15 Fiche Pédagogique Horaires de négociation élargis sur les Produits de Bourse Produits présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance Les horaires de négociation des Produits de Bourse BNP Paribas s allongent : vous pouvez désormais négocier certains Warrants, Turbos et Certificats dès 8h00 et jusqu à 18h30*. Ces horaires de négociation élargis concernent les Produits de Bourse ayant comme sous-jacents : les indices (comme le CAC 40 ), les actions américaines, les matières premières et les devises. Les avantages d une cotation élargie Le matin : pouvoir se positionner dès 8h00 selon les tendances de la préouverture. Le soir : pouvoir réagir selon l évolution des marchés américains. Vous disposerez d une heure de plus pour négocier de nombreux produits, dont les Warrants et Turbos sur indices et sur actions américains. Comment BNP Paribas assure la liquidité des produits alors que le marché des sous jacents est fermé? Pour les Warrants, Turbos et Certificats sur les matières premières et sur les devises, la cotation en horaires élargis est possible car les différents sous-jacents cotent pendant ces horaires. Pour les produits ayant comme sous-jacent un indice européen (CAC 40, Dax 30 ), il existe un contrat Future sur le CAC 40 comme sur les principaux indices européens, cotant de 8h à 22h. Les cotations des produits varient en fonction de ce contrat Future, ce qui permet à BNP Paribas de faire coter ces produits en horaires élargis. Pour les Warrants et Certificats sur actions américaines, la cotation des produits est possible de 8h à 15h30, alors que le marché américain est fermé, grâce à l évolution du cours du sous-jacent qui cote sur la bourse allemande. A partir de 15h30 le marché des actions américaines ouvre, permettant ainsi la cotation des produits de Bourse jusqu à 18h30. suite *Dans des conditions normales de marché et de fonctionnement informatique. 15
16 Fiche Pédagogique Horaires de négociation élargis sur les Produits de Bourse (suite) Produits présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance Quelle est la liquidité des produits avant 9h05 et après 17h30? Avant 9h05 et après 17h30, la liquidité des produits proposés peut différer de celle pendant les horaires d ouverture classiques, afin de refléter la baisse de liquidité disponible sur le sous-jacent. Exemple : les conditions de liquidité sont adaptées sur les actions américaines ; les écarts de fourchette achat/vente (spreads) peuvent être augmentés et les tailles de contribution réduites. Quelles sont les règles de désactivation des Turbos? Les règles de désactivation des Turbos restent inchangées malgré l élargissement des horaires de négociation : les Turbos ne peuvent être désactivés que pendant les horaires d ouverture du marché de référence du sous-jacent. Par exemple, un Turbo sur le CAC 40 ne peut être désactivé qu entre 9h et 17h35 ; un Turbo sur l or pourra quant à lui être désactivé 24h/24h. Sous-jacents Indices et actions européennes Matières premières et devises Horaires de Désactivation 9h-17h35 24h/24h, chaque jour de bourse 16
17 Avertissement AVERTISSEMENT Les produits mentionnés aux présentes (Certificats, Warrants) sont des instruments dérivés au sens du règlement européen 809/2004 qui présentent un risque de perte de 100% du capital investi. L Emetteur ne s engage pas à rembourser le capital investi (hors frais). Ainsi, en cas de défaut (par exemple faillite) de l Emetteur et du Garant ainsi qu en cas d évolution négative du sous-jacent, vous risquez de ne pas récupérer les sommes investies. Ces instruments s adressent aux investisseurs expérimentés qui ont une connaissance suffisante pour évaluer, au regard de leur situation financière, les avantages et les risques d investir dans ces instruments complexes et qui acceptent un risque de perte en capital. S agissant plus particulièrement des Certificats Turbos BNP Paribas, leur promotion est prise en charge par Fortis Banque SA en Belgique, aux Pays- Bas et au Luxembourg. La marque «TURBO» est une marque enregistrée et protégée sur le territoire du Benelux (sous le numéro ) que Fortis Banque SA exploite sous contrat. BNP Paribas recommande à tout investisseur potentiel, préalablement à sa décision d investissement, de prendre connaissance de l ensemble des supports d information relatifs à chaque instrument financier (à savoir le Prospectus de Base dénommé «Warrant & Certificate Programme» daté du 1er juin 2012 et approuvé par l AFM (Autoriteit Financiële Markten, régulateur néerlandais), ses Suppléments et les Conditions Définitives (Final Terms)) et de lire attentivement la rubrique «facteurs de risques» du Prospectus de Base. Les supports d information sont consultables sur le site Internet (Rubrique Documentation). Les données macro-économiques figurant en première partie du document ont été fournies par Boursier.com, l Analyse Technique figurant en dernière partie du document a été réalisée par Chart s. Les avis rédigés par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si elle ne peut en garantir l exhaustivité ni la fiabilité. La responsabilité de BNP Paribas ne saurait être recherchée ou engagée du fait de ces avis. Ils n ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d achat d instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d erreur, d omission ou d investissement inopportun. L Analyse Technique figurant en page 5 du document a été réalisée par Chart s. La responsabilité de BNP Paribas ne saurait être recherchée ou engagée du fait des prises de position, sous quelque forme que ce soit, des analystes financiers de Chart s, leurs prises de position n engageant qu eux. Le Groupe BNP Paribas décline toute responsabilité (i) quant à la pertinence, l exactitude ou l opportunité des informations figurant aux présentes, ces dernières n ayant aucune valeur contractuelle et (ii) pour toute perte, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l utilisation de ces informations. Les informations contenues aux présentes ne doivent en aucun cas faire l objet de reproduction, copies, distribution sans le consentement préalable et écrit de BNP Paribas. 17
18 18 Mode d emploi N 02 Découvrez à travers ce mode d emploi comment utiliser toute l intéractivité de votre magazine Expert. Depuis la couverture, vous pouvez accédear directement à la rubrique. Depuis le sommaire, vous pouvez accéder directement à l article souhaité. Tout au long de votre magazine, vous pourrez retourner au sommaire en cliquant sur cet icone. Comment utiliser les icônes? Retour au sommaire Envoyer un commentaire à BNP Paribas sur cette page Tout au long de votre magazine, dès que votre curseur se transforme en main, cela vous indique que vous pouvez accéder à de l information en ligne, par exemple sur les pages agenda et les tableaux des recommandations pour voir les cours du jour. ASTUCE : téléchargez votre PDF sur votre ipad pour consulter votre magazine où vous voulez et quand vous le souhaitez. Pour cela, glissez le PDF dans votre itunes et synchronisez votre ipad. Le PDF se chargera automatiquement dans l appli ibooks.
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