L érythropoïétine recombinante 25 ans d expérience
|
|
- Angélique Lévesque
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L érythropoïétine recombinante 25 ans d expérience Nicole CASADEVALL AFSOS, 2013
2 Subventions Honoraires Advisory Boards AMGEN J & J ROCHE SANDOZ SHIRE QIAGEN
3 Plus que centenaire.. Séance du 27 Août 1906 C.R. de l Académie des Sciences
4 En 1977 La protéïne à partir de litres d urine sujets aplasiques quelques milligrammes d Epo homogène pure
5 En 1985 Le gène Nature. 1985;313:
6 En 1986 La protéine recombinante humaine: rhuepo 1985 Clonage du gène de l Erythropoïétine (Jacobs et al., Nature Lin FK et Goldwasser E, Proc. Natl. Acad. Sci. USA 1986 Production de rhuepo dans des cellules de mammifères (CHO) (Egrié J. et al., Immunobiology) Masse moléculaire de la partie protéique : Da Masse moléculaire de la protéine glycosylée : Da Glycosylation nécessaire à l activité biologique in vivo o o 3 chaines de N glycosylation 1 chaine de O glycosylation
7 Mode d action de l EPO Prolifération Apoptosis Late progenitors Survie +++ Epo po2 Différenciation Kidney Mechanisms? Lignée-Erythroblastique po2 Epo Cellule Souche Erythropoïetine Consommation O 2 Vaisseaux Rein PO 2 Cœur Poumons GR Circulant Apoptosis Epo = facteur antiapoptotique Air inspiré O 2 Régulation par l hypoxie
8 1989 Clonage du gène du Récepteur à l Epo D Andréa AD, Cell Cristallisation de l Epo non glycosylée fixée au récepteur Syed et al. Nature 1998 Le R-Epo est pré-dimérisé à la surface cellulaire Livnah O, Science 1999
9 Expression du R-Epo Epo Cellules érythroblastiques (mégacaryocytes)
10 Expression du R-Epo Epo Cerveau Rétine Coeur Reins Cellules érythroblastiques (mégacaryocytes)
11 rhuepo Médicament
12 rhuepo en thérapeutique Traitement de l anémie de la maladie rénale Epo sérique, mu/ml 1986 Production de rhuepo (Egrié et al., Immunobiology) 1986 Premiers essais thérapeutiques (Winearls et al., Lancet Eschbach et al., NEJM) Réponse Epo appropriée 10 Réponse Epo inappropriée Hématocrite, %
13 Traitement de l anémie de la maladie rénale Winearls C.G. et al, The Lancet 1987 Eschbach J.W. et al, NEJM 1987
14 Traitement de l anémie de la maladie rénale 1988, 1 ère AMM chez l insuffisant rénal hémodialysé Epoetine α Plus de 1 million de patients dans le monde Environ hémodialysés en France % reçoivent de la rhuepo Peu d effets secondaires notables HTA, crises convulsives si correction trop rapide de l anémie Augmentation de l hémoglobine maximum 1 g / 15 jours Cible d hémoglobine entre 11 et 12 g/dl
15 Bénéfices Cliniques des ASE Diminution des transfusions et de l hyperimmunisation HLA (Cochrane Database Syst Rev, 2005) Amélioration de la qualité de vie et tolérance à l effort (Cochrane Database Syst Rev, 2005) Diminution de la prévalence de l HVG si l hémoglobine est maintenue > 10g/100ml (Parfrey PS, Clin J Am Soc Nephrol, 2009)
16 rhuepo Médicament rhuepo de 1 ère génération Epoétine Epoétine Biosimilaires de Epoétine ½ vie 5 à 8 heures (IV) Nécessité d injections fréquentes Stratégies de modification de la molécule afin d augmenter la demi-vie
17 rhuepo Médicament rhuepo de 2 ème génération, à longue durée d action Darbepoétine 5 chaînes de glycosylation ½ vie 25 heures (IV) Méthoxy polyéthylène glycol Epoétine ½ vie 133 heures (IV) Le groupe européen des recommandations des bonnes pratiques : Agents Stimulant l Erythropoïèse (ASE)
18 rhuepo immunogène? Protéine Très discrètes différences de glycosylation entre rhuepo et Epo endogène De 1988 à 1998 seulement 3 cas d anticorps anti-epo après traitement par rhuepo Bergrem H et al, 1993 Peces R et al, 1996 Prabhakar SS et al, 1997
19 Hb (g/dl) Ferritin (ng/ml) Patient 1, 72 ans Néphropathie vasculaire Epoetin 4000 IU/week En 1998 Epoetin 6000 IU/week R B C transfusion PRCA (5.7 RBC per month) Réticulocytes : 7000/mm Time (months) 0 Anticorps anti-epo positif
20 J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J Since Dec 93 Since Feb 93 Time Course of PRCA Cases A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J Voie sous-cutanée c Since Dec 95 c
21 Comment expliquer ces anticorps? En 1998, la sérum albumine humaine (HSA) (stabilisateur de l Epoétine ) est éliminée à la demande des régulateurs européens et remplacée (sauf aux USA) par du Polysorbate 80 (Tween 80)
22 Erythroblastopénies avec EPO alfa N of EPO alfa PRCA cases HSA supprimée hors USA < Year Epo alfa outside USA Epo alfa in USA Epoetin formulation in US still contains HSA No increase in EPO-associated PRCA in USA
23 Pourquoi ces anticorps? Nouvelle formulation moins stable, plus immunogène? Sûrement multifactoriel +++ Plusieurs hypothèses : Rupture de la chaîne du froid? Hypothèse des Micelles (Schellekens, 2003) Agrégats - Rôle du Tungstène? (Jiang, 2009) Impuretés? «Hypothèse des Leachates» (Sharma, 2004)
24 N of EPO alfa PRCA cases Erythroblastopénies avec EPO alfa HSA supprimée hors USA < Year Décembre 2002 Contre-indication Epo par voie souscutanée Piston des seringues recouvert de téflon Epo alfa outside USA Epo alfa in USA Epoetin formulation in US still contains HSA No increase in EPO-associated PRCA in USA
25 Incidence des érythroblastopénies Incidence pour patient années Seringues avec piston caoutchouc ( 2002) 4.61 Seringues avec piston téflon (après 2002) 0.26 Boven et al. Kidney Int 2005; 67: P < Contre-indication levée en 2006
26 Maladie Rénale - PRIMS PRospective IMmunogenicity Surveillance Registry Registre observationnel (J and J) (2005) patients répertoriés en 4 ans Incidence des anticorps anti-epo après administration souscutanée d Epoétine, Epoétine β ou Darbépoétine Pas d excès d anticorps anti-epo avec Epoétine
27 Les anticorps Anti-Epo en 2013 Dans l insuffisance rénale Les érythroblastopénies avec Ac-anti érythropoïétine sont rares (1 à 3 / patients.année) observées avec tous les ASE En dehors de l insuffisance rénale 3 cas dans des myélodysplasies pas de cas publié en oncologie dans l hépatite C, cas d érythroblastopénies médiées par Ac antiérythropoïétine chez des patients traités par : Interferon Ribavirine Et ASE Rôle immunomodulateur de l Interferon?
28 sepo (mu/ml) Anémie du Cancer Retentissement +++ chez les patients Iron deficiency anaemia Cancer Multifactorielle Chimio/radiothérapie Pertes sanguines Infiltration moelle Déficit nutritionnel Hémolyse déficit sécrétion d Epo Hb (g/dl) Miller et al, NEJM 322:1689, 1990
29 rhuepo en thérapeutique 1994 AMM pour le traitement de l anémie du cancer patients traités par chimiothérapie contenant des sels de platine élargie ensuite à toute chimiothérapie
30 Traitement par ASE des anémies du cancer Corriger l anémie Réduire les transfusions Améliorer la qualité de vie 1. Bokemeyer C, et al. Eur J Cancer. 2004;40: Rizzo JD, et al. J Clin Oncol. 2008;26: NCCN Clinical Practice Guidelines in Oncology: Cancer and treatment-related anemia. Version Mikhael J, et al. Curr Oncol -2.
31 Mais 30 % - 40 % des patients ne répondent pas aux traitements par ASE
32 Facteurs prédictifs de réponse? avant traitement facteurs favorables taux sérique Epo < 100/200 mu/ml plaquettes > /mm 3 avant traitement et à la 2 ème semaine et taux sérique Epo avant traitement < 100 mu/ml augmentation de l Hb > 0.5 g/dl à 2 ème semaine probabilité de réponse = 95 % Ludwig, 2001
33 Meta analyse = mortalité globale 53 essais pts RR = 1.17 (95% IC ) p = Bohlius J, Lancet 2009
34 Comment expliquer ces effets négatifs? Les effets secondaires Evènements thrombotiques et cardiovasculaires Le design des études Inclusion / exclusion critères Stratification Cible d hémoglobine Expression du R-Epo par les cellules tumorales
35 Meta analyse évènements thrombotiques Increased risk of VTE RR = IC à 95% ( ) Bennett CL; JAMA 2008
36 Comment expliquer ces effets négatifs? Les effets secondaires Evènements thrombotiques et cardiovasculaires Le design des études Inclusion / exclusion critères Stratification Cible d hémoglobine Expression du R-Epo par les cellules tumorales
37 Dérives dans l utilisation de rhuepo 59 essais contrôlés de phase III 8 avec complications majeures Chemotherapy 46 studies (N = 12,034) Long-term follow-up 19 studies (N= 8071) 4 studies of concern BEST (N = 939), PREPARE (N = 733), GOG-0191 (N = 109), AMG (N = 349) Anemia of Cancer Radiotherapy 4 studies (N = 1314) 2 studies of concern AMG (N = 989) EPO-CAN-20 (N = 70) 2 studies of concern ENHANCE (N = 351) DAHANCA (N = 522) Aapro M Spivak JL 2009
38 Meta analyse = mortalité dans les essais avec chimiothérapie 38 essais pts RR = 1.10 (95% IC ) p = 0.12 Bohlius J, Lancet 2009
39 Analyse par sous-groupe Gleason and Bennet, ASCO 2007 Meta-analyse : Essais selon les recommandations / off label cible Hb < 12 g/dl versus > 12 g/dl 49 essais Mortalité augmentée dans les études «off Label» RR 1.14 (IC 95 % ) Pas d augmentation du risque si «on label» RR 0.97 (IC 95 % ) Aapro et al, BJC essais selon les recommandations, pts. Epoiétine β Pas d augmentation de la mortalité Pas de progression tumorale
40 Comment expliquer ces effets négatifs? Les effets secondaires Evènements thrombotiques et cardiovasculaires Le design des études Inclusion / exclusion critères Stratification Cible d hémoglobine Expression du R-Epo par les cellules tumorales?
41 Expression du R-Epo sur les cellules tumorales Sujet à controverses ++++ Détecter l ARNm de EpoR dans une cellule ne préjuge pas de l expression de la protéine La majorité des anticorps anti-epor ne sont pas spécifiques En utilisant un anticorps spécifique et sensible pas de détection de Epo-R sur tumeurs ou cellules normales Des expériences in vitro et in vivo (lignées tumeurs animal homme) démontrent un effet de l Epo sur la prolifération / protection contre l apoptose. D autres ne mettent en évidence aucun effet
42 Recommandations Européennes Modifications 2008 Indication Avant Février 2008 Après Février 2008 Traitement de l anémie symptômatique chez le patient adulte avec hémopathie non-myéloïde traité par chimiothérapie Début de traitement 11 g/dl 10 g/dl Cible Hb Non spécifiée g/dl Ne pas dépasser 13 g/dl 12 g/dl Arrêt du traitement Hb > 13 g/dl Hb > 13 g/dl Ajustement de la dose évaluation à la 4 ème et 8 ème semaine arrêt 4 semaines après la fin de la chimiothérapie Reduce dose 12 g/dl, Withhold dose 13 g/dl, Reinitiate at reduced dose 12 g/dl réduire la dose pour maintenir Hb à un niveau suffisant pour contrôler les symptômes d anémie
43 Meta analyse COCHRANE 2012 Erythropoietin or darbepoietin for patients with cancer 91 essais T TONIA - J. BOHLIUS patients Augmentation significative de l hémoglobine Diminution significative des transfusions amélioration possible de la qualité de vie Augmentation mortalité (RR 1.17) Augmentation des thromboses (RR 1.52) Effet sur la réponse tumorale insuffisamment documenté
44 rhuepo Hors AMM
45 Syndromes myélodysplasiques de faible risque Anémie = la cytopénie la plus fréquente (> 80 %) un patient reçoit en moyenne 11 transfusions/an nombreux essais cliniques avec ASE +/- GCSF
46 PARK S. (for the GFM) BLOOD 2008 N= 403 pts traités ( ) avec rhuepo+/- G-CSF ou Darbepoetin alpha Hb<10g/dl (54% transfusés) 63% réponse (41% majeure, 22% mineure). (IWG 2000) Durée de réponse médiane : 22 mois
47 Amélioration de la survie globale S. Park, S.Grabar, C.Kelaidi et al, Blood 2008 Jadersten, JCO 2008 Greenberg, Blood 2009
48 Protocole thérapeutique temporaire pour les SMD recommandé par l AFSSAPS et l HAS depuis Juin 2010 Hb<10 g/dl ou besoins transfusionnels en GR IPSS de bas risque 0 ou 1 % de blastes < 10% si caryotype non réalisé Essais de phase III d enregistrement (Janssen-Cilag EPO α et Amgen Darbépoétine) en cours
49 Ce qui est établi Les ASE corrigent le taux d hémoglobine et diminuent les besoins transfusionnels chez les patients avec maladie rénale, avec cancer sous chimiothérapie La mortalité est augmentée en Néphrologie et en Oncologie si l hémoglobine cible est > 12g/dl Une explication probable : surmortalité due aux accidents cardio-vasculaires et à la thrombose veineuse Les ASE ont un rapport bénéfice/risque favorable si utilisés strictement selon les recommandations
50 Les interrogations Les ASE jouent-ils un rôle dans la progression tumorale?? Effet direct sur les tumeurs? Effet indirect angiogénèse oxygénation redistribution du fer autres facteurs? Quels sont les mécanismes responsables des thromboses? Augmentation de la viscocité? HTA? Effets propres de l Epo? Stimulation des fonctions plaquettaires? Les ASE peuvent-ils améliorer la survie?
51 Nécessité d études contrôlées avec suffisamment de recul Développement d outils pour clarifier les mécanismes d actions des ASE pour comprendre : - les mécanismes de la thrombose - les éffets potentiels sur la croissance tumorale Identifier les patients à risque
52 Pre-EPO Post-EPO Ian Mc Dougall, personal comunication
53
54 Synthèse rénale (90 %) En 1988 Lieu de synthèse J. Clin. Invest., 1988 cellules interstitielles péritubulaires du cortex rénal et de la médullaire externe fibroblastes de type 1 positifs pour la 5 nucléotidase Synthèse hépatique (10 %) Hépatocytes situés autour des veines centro-lobulaires Cellules de Ito périsinusoïdales Blood, 1994
55 NESP (Novel Erythropoiesis Stimulating Protein) r-huepo Mutagenèse dirigée NESP Trois chaînes N-glycosylées Jusqu à 14 acides sialiques 30,400 daltons 40% carbohydrates 1/2 vie (IV) 5 à 8 h Cinq chaînes N-glycosylées Jusqu à 22 acides sialiques 38,500 daltons 51% carbohydrates 1/2 vie (IV) 25 à 38 h Macdougall. Semin Nephrol 2000;20(4):375-81
56 CERA Continuous Erythropoietin Receptor Activator 2 sites: N-terminus Lysine HOOC D G T R C A E G T Y L K L K G R L F N S Y V R F s L K 140 s R S D C I L R P P A NH 2 F R 20 T V L E R T L L E A K E A E N I T T G C A D s A 45 E s 52 H T W A Y F N V K T D P V T I N G N L S C K I R T M R E V G Q Q A V E V W Q G L A L L S Q A V L 97 L P R A A K D V H L Q L P E W P Q S S N V L L A Q G A V S 116 S A G L R S L T T L L R A L G A Q K E A I S P P D A
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr Aranesp MD (darbépoétine alfa) Fioles unidoses (15, 25, 40, 60, 100, 200, 325 et 500 µg/fiole) Seringues préremplies SingleJect MD (10, 15, 20, 30, 40, 50, 60, 80, 100, 130, 150,
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 1 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 1 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, Forme pharmaceutique, Dosage, Présentation - ARANESP 10 µg, Darbépoétine
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailThe consent form is also available in English.
Université McGill et hôpitaux affiliés Centre universitaire de santé McGill (CUSM) Hôpital général juif - Sir Mortimer B. Davis The Sir Mortimer B. Davis - Jewish General Hospital Centre hospitalier de
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailSyndromes myélodysplasiques
Syndromes myélodysplasiques LEUCÉMIE LY M P H O M E MYÉLOM E PS22 50M 3/08 Table des matières Introduction 2 Sang et moelle osseuse normaux 3 Syndromes myélodysplasiques 5 Incidence 6 Causes et facteurs
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailI- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailMYÉLOME MULTIPLE PRÉSENTATION DU TRAITEMENT. Multiple Myeloma Research Foundation 383 Main Avenue, 5th Floor Norwalk, CT 06851 États-Unis
MYÉLOME MULTIPLE PRÉSENTATION DU TRAITEMENT Multiple Myeloma Research Foundation 383 Main Avenue, 5th Floor Norwalk, CT 06851 États-Unis www.themmrf.org email : info@themmrf.org MM.TO.11.2010 Des idées
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55
ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55 RAPPORT au nom de la Commission I (Biologie Immunologie Génétique) Les banques de sang de
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détail3 - Les SMD, notamment les SMD débutants, présentent souvent des difficultés de diagnostic pour le biologiste (cytologie).
1 Myélodysplasies (ou dysmyélopoïèses) Item n 161 :diagnostiquer une dysmyélopoïèse Les syndromes myélodysplasiques (SMD) sont des affections clonales des cellules souches hématopoïétiques, caractérisées
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailMYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP)
MYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP) La myélofibrose primitive (MP) est le plus rare des syndromes myéloprolifératifs (600à 800 patients en France, de 3 à 7 nouveaux cas/million d habitants/an) ; elle touche habituellement
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailStratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD
Édition canadienne Stratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD par Sandra Kurtin Initiative internationale de la MDS Foundation pour la défense des intérêts des patients en
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détail