Société Tunisienne de Banque (STB) Analysts: Karim BLANCO Head of Research. Haifa BELGHITH Senior Analyst. Zahra BEN BRAHAM Senior Analyst
|
|
- Irène René
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Analysts: Karim BLANCO Head of Research Haifa BELGHITH Senior Analyst Société Tunisienne de Banque (STB) Zahra BEN BRAHAM Senior Analyst Ines KHOUAJA Financial Analyst Hawazen ATTIA Financial Analyst Neira KAOUACH Financial Analyst Contact: Tel: (+216) Fax: (+216) Mars 2011
2 p* 2011e* Chiffres clés (1000 TND) Cours 10,00 DT Fonds propres Capitalisation Résultat net Effectif 2380 Nbr agences 117 Nbr de GAB 131 Résultat net mdt BPA (DT) DPA (DT) Cours Boursier (DT) P/E (x) 7.51 x 6.94 x 8.91 x x x P/B (x) 0.52 x 0.46 x 0.70 x 0.48 x 0.47 x Div. Yield 4.19% 4.44% 3.13% 1.68% 2.07% ROE 6.9% 6.7% 7.8% 2.9% 3.5% * Prévisions établies par Amen Invest Présentation de la banque : La Société Tunisienne de Banque (STB) est le premier établissement bancaire publique à voir le jour en Tunisie. Entrée en activité en 1958 avec un statut de banque de dépôt et d investissement, la STB a représenté, durant des décennies, un opérateur privilégié pour la concrétisation de la politique financière du pays. Depuis sa création et jusqu aux années quatre vingt, la banque s est distinguée par la diversification de ses participations. A cette époque, le groupe STB se présentait comme une force économique de première importance, constitué de dizaines de filiales appartenant à tous les secteurs de l économie. Structure du capital au Etat tunisien 24.8% ETAP (établissement public) 13.9% CNSS (établissement public) 5.7% Autres 55.7% dont Etrangers 8.0% La banque a fini, progressivement, par se spécialiser dans les secteurs financier et touristique. En effet, le groupe compte actuellement 20 filiales, dont plus de la moitié opèrent dans le secteur financier, appuyant ainsi le rôle historique de la banque dans la promotion de nouveaux projets. Le reste est essentiellement polarisé dans le secteur touristique. Le développement de l activité de la banque, au fil des années, a été appuyé par une politique de renforcement des fonds propres, matérialisée par plusieurs augmentations de capital. En 2000, la banque a absorbé deux banques de développement à savoir la «Banque de Développement Economique de Tunisie (BDET)» et la «Banque Nationale de Développement Touristique (BNDT)». Une opération qui lui a donné une nouvelle dimension, mais, qui a engendré une détérioration de la qualité de son portefeuille des engagements ressentie jusqu à présent. Depuis cette date, le capital de la banque a été porté et maintenu à 124,3MD, soit un niveau conforme aux normes prudentielles nationales (un capital minimum de 100MD). Plus de la moitié du Structure du groupe STB Financier 55% Tourisme 30% Services 10% Immobilier 5% capital est actuellement détenue par des établissements publics, l Etat tunisien étant l actionnaire de référence avec une part de 24,8%. Notons à ce sujet, que l Etat a maintenu sa participation majoritaire dans plusieurs banques, telles que la STB, la BNA, la BH, la BFPME et la BTS où chacune se spécialisait dans le financement d un secteur stratégique. Ainsi, et avant d instaurer la notion de banque universelle, la STB a été chargée de l industrie et du tourisme, la BH finançait essentiellement l immobilier et la BNA se spécialisait dans l agriculture. AMEN INVEST 2
3 Activité de la banque Depuis sa création, la STB a été parmi les premiers établissements à contribuer au financement de l économie et à mobiliser l épargne nationale. Elle s est distinguée en tant que premier pourvoyeur de fonds pour les projets touristiques et les petites et moyennes entreprises (PME), fers de lance de l économie tunisienne. En effet, le tissu économique tunisien est composé essentiellement par des PME (plus de 90% des entreprises). Deuxième plus grande banque du secteur La croissance de l économie tunisienne et le développement de l industrie en particulier ont joué un rôle important dans le développement de l activité de la STB, sur les cinq dernières années. Evolution des créances/dépôts Créances Dépôts Les ressources et les engagements de la banque ont ainsi progressé, durant cette période, renforçant sa taille et sa position dans le système financier du pays. Notons à ce sujet, que le total bilan de la banque est passé de 4399MD en 2005 à 5937MD en 2009 (+7,8% en moyenne). La STB est classée ainsi deuxième du secteur 1, après la BIAT, en terme de taille d actifs. La banque détient une part de marché de 16,9% en terme de crédits à la clientèle Les emplois Sur les cinq dernières année, les encours de crédits à la clientèle ont évolué avec un rythme soutenu, soit une croissance annuelle moyenne de 9,6%, pour atteindre, en 2009, 4296MD (13.2% du total consenti par le système financier à l économie du pays). Evolution des crédits Structure des crédits ,6% % 4.6% 6.46% 7.07% 7.81% 6.99% 6.71% 49% 30.4% Créances Rentabilité appartente des créances Crédits d'investissement Crédits de gestion Crédits au particuliers Autres 1 Le secteur considéré est l ensemble des banques cotées en bourse. AMEN INVEST 3
4 La banque s est ainsi placée première dans le secteur en matière d octroi de crédits. A noter que les concours à l économie ont évolué avec un taux moyen de 10,6%, sur la même période. Le léger retard de la STB par rapport au système financier s explique par le fait qu elle n a pas investi dans l extension de son réseau de distribution, pendant les cinq dernières années, maintenant son réseau de distribution à 117 agences. Il revient également à l acharnement de la concurrence dans le secteur et la croissance rapide que certaines banques privées ont connu ces dernières années. Signalons aussi qu en terme de qualité de services la STB se trouve dépassée par plusieurs acteurs ayant bien investi dans leur image de marque, tels que la BIAT et ATTIJARI BANK. La structure du portefeuille des crédits révèle une part dominante des crédits d investissements et de gestion (79,4% en 2009), contre une part de 16% pour les crédits aux particuliers. Cette composition met en exergue le rôle de la banque dans le financement des secteurs jugés stratégiques par le gouvernement, en particulier ceux de l industrie, de services et de tourisme. Ces secteurs représentent, en 2009, plus de 60% du total des engagements de la banque. Les ressources Sur la même période, l ensemble des ressources de la banque a évolué avec un taux moyen de 7,7%, pour atteindre un total de 5 412MD. Les dépôts (tous types confondus), qui représentent près de 83% du total des ressources, sont la source de financement principale de la banque. Structure des ressources 9.5% 7.8% La banque détient une part de marché de 13,7% en terme de dépôts 82.7% Dépôts Empruntss et ressources spéciales Fonds propres Les dépôts de la clientèle (96% du total des dépôts) ont enregistré une croissance moyenne de 11,5%, pour atteindre 4 796MD, en Leur structure révèle une part de 25% des dépôts à terme (dont le coût est le plus élevé). Quant aux dépôts à vue (ressources gratuites), ils représentent 34%. Finalement, les dépôts d épargne accaparent une part de 38%. Quoiqu elle privilégie la prédominance des ressources les moins coûteuses, cette structure implique un coût apparent relativement élevé. En 2009, le coût apparent des dépôts de la STB s est aligné avec la moyenne du secteur pour atteindre 3,6%. Ce taux reste relativement élevé en comparaison avec d autres banques de la place, telles que la BIAT (2,2%) et l UIB (2,5%). AMEN INVEST 4
5 Structure des dépôts de la clientèle Evolution des dépôts 44% 43% 38% 37% 38% % 20% 25% 28% 25% 32% 34% 34% 32% 34% 4.80% 4.56% 4.17% 3.95% 3.61% 2% 3% 3% 3% 3% Autres D.A.V D.A.T D.E Dépôts Coût apparent des dépôts Un ratio de solvabilité en dégradation L évolution des dépôts a été plus rapide que celle des crédits, d une manière à entraîner une baisse du ratio crédits/dépôts de la banque, qui a passé de 134,0% en 2005 à 116,3% en Etant supérieur à 100%, ce ratio montre une sur utilisation des dépôts, que la banque compense en ayant recours à ses fonds propres et d autres ressources spéciales à l instar des lignes de crédits extérieurs et des emprunts obligataires. Notons que, sur la période , la banque a contracté trois emprunts obligataires d un montant total de 200MD. Cette enveloppe lui a permis de réduire son endettement extérieur et maîtriser son coût de financement moyennant des taux plus avantageux. Du côté des ressources propres de la banque, les cinq dernières années ont connu une croissance timide des fonds propres (+4,7% en moyenne contre +8,8% pour le secteur). Ceci s explique, d une part, par une faible évolution des bénéfices accompagnée par une distribution continue de dividendes, et d autre part, par la stagnation du capital de la banque. Rappelons qu aucune augmentation de capital en numéraire n a été enregistrée depuis l année Ainsi, et étant donnée la hausse notable des crédits accordés par la banque sur les cinq dernières années, le ratio de Solvabilité a enregistré une baisse passant de 10,4% en 2005 à 9,0% en Certes, ce taux est en conformité avec les normes prudentielles «Bâle I» (taux minimum de 8,0%), mais il demeure le plus faible du secteur, dont la moyenne se situe aux alentours de 12,5%. Evolution des FP % 9.6% 9.8% 9.3% 9.0% Faible évolution des fonds propres qui limite le potentiel de croissance de la banque Fonds Propres (M D) Ratio de solvabilité Le faible niveau du ratio de solvabilité de la STB, qui pourrait atteindre 8,2% en 2010, renseigne sur une sous-capitalisation de la banque, qui rend sa capacité future d octroi de crédits assez limitée. AMEN INVEST 5
6 Ce n est pas le cas pour la majorité des banques tunisiennes, qui se trouvent en situation de surliquidité, du fait de la décélération du rythme de progression des investissements ces dernières années. Ceci étant en rapport avec les retombées de la conjoncture internationale défavorable, récemment ressenties au niveau des exportations et des flux d investissement extérieurs. Signalons, toutefois, qu au début de l année 2011, la Tunisie a connu un changement radical de son paysage politique, qui, pour des raisons diverses, permettra d instaurer un environnement économique plus favorable à l investissement dans les années à venir. Dans ce contexte, il serait nécessaire pour la STB d augmenter son capital, en vue de renforcer ses fonds propres et pouvoir saisir les éventuelles opportunités d octroi de crédits, qui pourraient se présenter. Qualité d actifs La STB souffre, depuis plus d une décennie, de la faible qualité de ses actifs ainsi que du manque de couverture de risque. Un handicap, qui s est accentué, en 2000, suite à l absorption de la BDET et la BNDT. En effet, ces deux banques avaient un profil de risque de crédit très élevé, matérialisé par un poids accablant de créances douteuses liées, en particulier, aux secteurs de tourisme et de l industrie. Ces deux secteurs représentent, actuellement, 79% du portefeuille non performant de la STB. Une qualité d actifs faible matérialisée par un poids accablant de créances accrochées Pour remédier à cette insuffisance, la STB a multiplié ses efforts visant l assainissement de son portefeuille d engagements par le renforcement des actions de recouvrement et de recyclage des crédits. Par conséquent, elle a réussi à réduire le taux de créances classées à 19.5% en 2009 contre 35% en La banque a également renforcé son effort de provisionnement pour assurer une meilleure couverture du risque, ramenant le taux de couverture des créances accrochées de 43% en 2005 à 49,7% en Evolution du taux de CDL 34.9% % % % 19.5% Evolution du taux de couverture des CDL % 49.0% 48.1% % 42.1% Créances CDLs % CDLs CDLs Provisions % Couverture En dépit de cette évolution favorable, la banque n est pas arrivée à atteindre les normes prudentielles recommandées par la Banque Centrale, à savoir un taux de créances accrochées de 15% et un taux de provisionnement de 70%. Elle souffre également d un niveau de risque résiduel trop élevé, dont le montant dépasse largement les fonds propres de la banque. En 2009, ces derniers ne couvrent que 78% du risque résiduel de la banque. AMEN INVEST 6
7 839 Evolution du risque résiduel % 56% 51% % % 514 Risque résiduel FP %Couverture Le défi majeur de la STB demeure ainsi l assainissement de son portefeuille d engagements, dans le but de réduire le coût du risque et de se garantir une croissance future saine. Les performances financières La progression conjuguée des crédits et des dépôts, sur la période , a été à l origine d une progression notable du produit net bancaire (PNB) de la banque, lui permettant d occuper la deuxième place du secteur. Deuxième PNB de la place avec une part de marché de 14,5% Le PNB a ainsi enregistré une progression annuelle moyenne de 14,2% (+12,0% pour le secteur), pour atteindre 244MD en Cette performance est tirée essentiellement de l appréciation des marges d intermédiation (+19,5% en moyenne), dont le poids dans le PNB a toujours été prédominant, représentant plus de 65% du PNB depuis 2006, contre une moyenne de 58% pour le secteur. Ceci revient à la nature de l activité de la STB en tant que banque de détail ayant pour métier principal l intermédiation financière, ainsi que son rôle joué dans le financement des PME et du tourisme nécessitant des investissements importants. Evolution du PNB Structure du PNB ,2% % 25.1% 10.7% 7.9% 9.7% 10.8% 23.5% 20.4% 20.7% 21.0% % 65.8% 71.7% 69.6% 68.3% PNB Intérêts Commissions PF Notons, néanmoins, que la structure du PNB a légèrement évolué, sur les trois dernières années, pour dévoiler une part un peu plus importante des marges sur commissions et des produits du portefeuille titres commercial et d investissement. Une évolution, qui résulte de la stratégie de renforcement des opérations de marché adoptée par la banque, dans une optique de réduction de son exposition au risque de variation des taux d intérêt. AMEN INVEST 7
8 Coefficient d exploitation en amélioration Cette stratégie se situe dans un contexte de baisse des taux et des pressions sur les marges d intérêts imposé par la crise économique et financière de 2008, en plus de l acharnement de la concurrence entre les banques. Le secteur bancaire s est orienté, depuis, vers une structure plus équilibrée du PNB entre marges d intérêt et autres sources de revenus. Sans, toutefois, perdre de vue que certaines banques ont renforcé leur activité de marché dans le but de réduire leur excédent de liquidité. Les cinq dernières années ont, également, été marquées par une nette amélioration du coefficient d exploitation de la banque, qui a cédé 19 points de pourcentage pour atteindre 46% en Certes, ce taux est inférieur à la moyenne du secteur (50% en 2009), mais il reste encore élevé en comparaison avec celui enregistré par d autres banques tunisiennes à l instar de la BT (29,5%) et Amen Bank (37,2%). Evolution du coefficient d'exploitation 65.1% 58.5% % 46.5% 46.1% PNB Ch.opératoires Coef d'exp. Il est, également, important de signaler que le coefficient d exploitation de la STB est demeuré quasistable, depuis l exercice En effet, la banque n est arrivée à poursuivre son effort de maîtrise des charges opératoires 2 fourni jusqu à cette date. Ainsi la compression des charges présente encore un enjeu pour la banque, vu notamment qu elle n a pas investi dans de nouveaux points de vente. Coût du risque élevé du fait de l abondance des engagements douteux de la banque Outre le poids considérable des charges opératoires, la banque souffre d un coût de risque élevé matérialisé par d importants montants de dotations aux provisions, qui pèsent lourd sur le résultat net de la banque. Ces prélèvements ont épuisé une moyenne de 56,5% du résultat brut d exploitation, depuis l année En effet, pour atteindre le taux de couverture recommandé, la STB a adopté une stratégie de couverture de risque progressive en amortissant le coût de ses engagements douteux antérieurs sur plusieurs années. Ainsi, elle provisionne les créances classées de l exercice et une partie des CDL antérieures. L importance des charges opératoires et des dotations aux provisions a été à l origine d une évolution très timide du résultat net de la banque. Notons qu en 2006, la banque a plus que doublé ses dotations aux provisions, ce qui a impliqué une chute du résultat net (-39%). Ce dernier, n a augmenté que de 2,6% en moyenne, sur les cinq derniers exercices, contre 27,7% pour le secteur. 2 Charges opératoires : frais de personnel + charges générales d exploitation + dotations aux amortissements. AMEN INVEST 8
9 Evolution de l'activité e RBE Provisions R.net Il ne faut pas, toutefois, perdre de vue la progression remarquable du résultat net au titre de l exercice 2009, qui a atteint 40MD (+24,6% contre +19,4% pour le secteur). En dépit de cette performance, la banque continue à afficher la rentabilité des fonds propres la plus faible du secteur, avec un taux de 7,8% contre une moyenne sectorielle de 12,7%. Evolution de la rentabilité 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0% 8.5% 6.9% 7.8% 6.7% 0.8% 5.0% 0.6% 0.8% 0.8% 0.8% ROE ROA Concernant sa stratégie de distribution de dividendes, la banque a distribué 29% de résultat net en moyenne, sur les cinq dernières années. Ce taux est considéré assez faible par rapport au secteur, dont la moyenne se situe aux alentours des 39%. Cette stratégie s explique par la nécessité de renforcer les fonds propres de la banque pour se maintenir en conformité avec les normes de solvabilité. Réalisations de l exercice 2010 et perspectives d avenir La croissance de l activité de la banque observée, jusqu à 2009, s est poursuivie avec le même rythme en 2010, soit une augmentation de 12,9% pour les crédits et de 16,6% pour les dépôts. Le PNB provisoire s est, toutefois, affiché en quasi-stagnation (+1,1% à 247,1MD). Un ralentissement qui revient à une évolution plus rapide des dépôts que celle des crédits ainsi qu une baisse des produits du portefeuille titre commercial et d investissement (-12,5%). Ainsi et suite à une hausse des charges opératoires de 4,4%, le coefficient d exploitation de la banque s est détérioré passant à 47,6% contre 46,1% en AMEN INVEST 9
10 Notons, par ailleurs, que suite aux bouleversements politiques survenus en Tunisie, depuis le mois de janvier 2011, le système bancaire a dû subir un coût du risque supplémentaire important. En effet, les banques tunisiennes, et plus particulièrement les établissements publics, se sont retrouvées avec des montants considérables d engagements vis-à-vis des membres du régime déchu et de leurs entreprises. Ces engagements totalisent une enveloppe de MD, dont près de 15% représentent des créances douteuses. Ce niveau de risque supplémentaire devrait impacter les résultats de la majorité des banques, au titre de l exercice 2010 et probablement celui de Pour ce qui est de la STB, la banque est la plus impliquée avec les membres de l ancien régime avec un total des engagements d environ 500MD. Le montant des créances douteuses s élève à 215,2MD, représentant 13,3% du total des créances accrochées de la banque. La STB a ainsi été amenée à constater des dotations sur provisions de 30,5MD, à répercuter sur l exercice Par conséquent, le résultat net 2010, devrait enregistrer une forte baisse pour s établir aux alentours des 15MD. L impact des bouleversements politiques ne se limite pas au coût du risque supplémentaire susmentionné. En effet, la chute de l ancien régime a engendré des dégâts significatifs ainsi qu un ralentissement de l activité dans plusieurs secteurs d activité. Le pays se trouve désormais dans une phase de transition politique marquée par une conjoncture économique difficile. Dans ce contexte, l année 2011 s annonce difficile pour les banques, qui devraient subir une baisse de la demande des crédits, du fait du manque de nouveaux investissements, ainsi qu une augmentation du risque lié aux entreprises en face de difficultés. Outre cette conjoncture défavorable, rappelons que la STB présente des handicaps, qui la rendent fragile dans ce genre de situations et affaiblit son aptitude de s adapter à la nouvelle conjoncture. Parmi les plus importants, notons le poids accablant des créances accrochées et le niveau faible du ratio de solvabilité. Ainsi, les perspectives à court terme de la banque ne semblent pas être prometteuses. Concernant le moyen et le long terme, les années futures s annoncent porteuses d opportunités de croissance dans le sens où l environnement économique serait plus favorable à l investissement. Ainsi, pour survivre cette période transitoire et saisir les opportunités futures la STB se trouve dans la nécessité de concrétiser les axes de développement suivants : Le développement commercial, par le renforcement de son réseau d agences et l amélioration de la qualité de services. Le renforcement de ses fonds propres pour réduire son risque d insolvabilité. L amélioration de l efficacité opérationnelle, par le moyen d une meilleure maîtrise des charges opératoires et de la modernisation du système d information. L assainissement du portefeuille des engagements dans l objectif de réduire le coût du risque. La banque devrait ainsi poursuivre sa politique rigoureuse de recouvrement et de recyclage des crédits. AMEN INVEST 10
11 Comportement boursier Après avoir clôturé l année 2008 avec une performance négative de 12,7%, le titre STB s est lancé dans une tendance globalement haussière, qui s est étalée jusqu à la fin du troisième trimestre de Ce mouvement a toutefois été marqué par un certain nombre de corrections résultant essentiellement de mouvements de prises de bénéfices. En 2010, STB a été parmi les dix valeurs les plus échangées sur la cote avec une rotation de plus de 7 millions de titres et un volume de transactions dépassant les 126,8MD. Le titre a terminé l exercice avec une progression de 35% à 18,99DT. Une performance qui venait consolider la hausse notable (+64.44%) enregistrée en Suite aux évènements que connaît le pays depuis janvier 2011 et leur impact négatif sur l économie, d une manière générale, et sur la banque, en particulier, le cours boursier du titre STB n a cessé de baisser pour atteindre, actuellement, la barre des 10DT, soit une perte de 47,39% depuis le début de l année. Malgré cette baisse du cours, le titre présente un niveau de valorisation élevé, du à la régression du résultat net 2010, soit un P/E10 de 16,57x (contre 13,34x pour le secteur). Vu l incertitude qui règne sur le marché financier et les perspectives ambiguës de l évolution de la banque, à court terme, nous estimons que le cours boursier pourrait prolonger encore sa tendance baissière. Sa reprise reste ainsi tributaire de l environnement économique dans lequel la banque opère. Evolution cu titre STB janv.-09 juin-09 déc.-09 juin-10 déc.-10 STB TUNINDEX Volume Forces - Un bon positionnement par rapport au le secteur en terme de taille et d'activité ; - Une forte présence de l Etat dans le capital et son éventuel soutien en cas de difficultés. Opportunités - Environnement plus favorable à l investissement à moyen et long terme ; - Assainissement du portefeuille des engagements et baisse conséquente du coût du risque. Faiblesses - Charges opératoires élevées ; - Poids accablant d actifs douteux pesant lourd sur la rentabilité de la banque ; - Insuffisance des fonds propres, impliquant un ratio de solvabilité faible par rapport au secteur. Menaces - Concurrence d autres banques ayant un pas d avance en terme d efficacité opérationnelle ; - Situation économique actuelle assez difficile. AMEN INVEST 11
12 Synthèse et recommandation Première banque publique en Tunisie, la STB jouit d'un positionnement favorable dans la place financière en terme de taille d'actifs, de crédits et de dépôts. En dépit de la concurrence acharnée que connaît le secteur et l'étroitesse du marché, la banque a réussi à maintenir un rythme de croissance soutenu, sur les cinq dernières années. L'importance des charges opératoires demeure, toutefois, un point faible en terme d'efficacité opérationnelle de la banque. La STB souffre également d'un poids accablant de créances douteuses, qui malgré les efforts d'assainissement consentis, engendrent encore un coût du risque élevé et pèsent lourd sur la rentabilité. L'amélioration de la qualité d'actifs, en vue de s'aligner aux normes prudentielles nationales, et l'optimisation des charges opératoires demeurent ainsi les enjeux primordiaux pour augmenter les résultats de la banque. Le résultat de l exercice 2010 sera largement affecté par des dotations aux provisions qui viennent couvrir les engagements envers les entreprises des membres des familles de l ancien régime. Les perspectives proches annoncent, par ailleurs, une année 2011 difficile pour l ensemble du secteur. La STB devrait ainsi subir les répercussions du ralentissement économique que connaissent la Tunisie et d autres pays arabes servant de marché à l export d un grand nombre d entreprises tunisiennes. Nous estimons que l amélioration du climat d affaires et l instauration d un environnement favorable à l investissement en Tunisie, ce qui permettrait au système financier de retrouver son dynamisme, ne pourraient se rétablir qu à moyen terme. Du point de vue boursier, malgré la baisse du cours de plus de 47% depuis le début de l année, le titre présente un niveau de valorisation assez élevé du fait de la baisse importante du résultat de l année Nous prévoyons, par conséquent, une diminution du dividende à distribuer. Nous estimons, enfin, que la reprise du titre STB sera tributaire de l amélioration de la situation économique et politique dans le pays. Ainsi, et vu l incertitude du contexte économique actuel, nous recommandons d Alléger la position sur le titre. AMEN INVEST 12
13 Financial summary- 10 periods Etat de résultat PNB PNB% 27.2% 13.0% 6.5% 11.0% 1.1% -2.0% 9.1% 5.4% 4.8% Charges d'exploitation RBE D aux provisions EBIT Résultat net RN% -39.7% 44.4% 2.1% 24.6% -62.6% 23.3% 108.8% 43.7% 13.6% Structure du PNB marge d'intérêt % du PNB 56.9% 65.8% 71.7% 69.6% 68.3% 69.6% 70.2% 71.0% 70.8% 70.4% marge sur commissions % du PNB 25.1% 23.5% 20.4% 20.7% 21.0% 21.0% 21.7% 21.0% 21.0% 21.1% marge sur portefeuille % du PNB 18.0% 10.7% 7.9% 9.7% 10.8% 9.3% 8.1% 8.0% 8.2% 8.5% Ratios d'exploitation coefficient d'exploitation 65.1% 58.5% 46.5% 46.5% 46.1% 48.0% 50.7% 48.9% 48.8% 49.0% Taux RBE 41.1% 46.4% 57.7% 57.3% 57.1% 55.6% 53.1% 54.5% 54.2% 53.7% Taux Provisions 13.9% 29.3% 34.4% 35.3% 36.6% 45.3% 41.2% 33.1% 26.2% 23.8% Ratios de structure Capital Résultat Fonds Propres Créances Dépôts Créances/dépôts 119.9% 120.1% 105.9% 111.1% 111.6% 110.6% 105.6% 100.9% 96.4% 92.1% Fonds propres/créances 12.9% 12.0% 12.0% 10.9% 10.7% 10.1% 9.6% 9.6% 9.8% 10.1% Qualité d'actifs Créances classées Taux des créances classées 34.9% 29.6% 26.7% 23.1% 19.5% Provisions cumulées Taux de couverture des créances classées 43.1% 42.1% 48.1% 49.0% 49.7% Rentabilité ROE 8.5% 5.0% 6.9% 6.7% 7.8% 2.9% 3.5% 6.9% 9.1% 9.5% ROA 0.8% 0.6% 0.8% 0.8% 0.8% 0.4% 0.4% 0.9% 1.2% 1.2% Coût des ressources 4.8% 4.6% 4.2% 4.0% 3.6% 3.6% 3.2% 3.0% 2.7% 2.5% Rentabilité des emplois 6.5% 7.1% 7.8% 7.0% 6.7% 6.6% 6.2% 6.2% 6.0% 5.8% 27.9% Autres indicateurs Nombre d'actions Cours boursier Dividende / action Bénéfice / action P/E 3.32 x 5.68 x 7.51 x 6.94 x 8.91 x x x 6.44 x 4.48 x 3.94 x P/B 0.28 x 0.28 x 0.52 x 0.46 x 0.70 x 0.48 x 0.47 x 0.45 x 0.41 x 0.37 x Div. Yield 6.19% 6.00% 4.19% 4.44% 3.13% 1.68% 2.07% 3.00% 3.00% 3.00% Capitalisation Copyrignt Amen Invest 12/04/ :57
14 Disclaimer The information contained here is purely indicative and has been obtained from sources believed to be reliable but is not guaranteed as to accuracy or completeness although Amen Invest believe it to be fair and not misleading or deceptive. Consequently, Amen Invest does not accept any liability whatsoever arising from the use of the material or information contained. Prior to any investment in the product, you should make your own appraisal of the risks from a legal, tax and accounting perspective by consulting your advisors in these matters or any other professional advisor.
15 Analysts: Karim BLANCO Head of Research Haifa BELGHITH Senior Analyst Zahra BEN BRAHAM Senior Analyst Ines KHOUAJA Financial Analyst Hawazen ATTIA Financial Analyst Neira KAOUACH Financial Analyst Contact: Tel: (+216) Fax: (+216) E mail: analyse@ameninvest.com.tn
SERVICOM mise sur l internationalisation. Analyste chargé de l étude. Naira KAOUACH neira.kaouach@ameninvest.com.tn
Analyste chargé de l étude Naira KAOUACH neira.kaouach@ameninvest.com.tn SERVICOM mise sur l internationalisation Contact: Tel: (+216) 71 965 400 Fax: (+216) 71 965 426 E-mail: analyse@ameninvest.com.tn
Plus en détailLa Banque Attijari de Tunisie. Une banque en plein essor. Mai 2009 www.macsa.com.tn - 1 Mai 2009
MAC SA Intermédiaire en Bourse Green Center Bloc C, 2éme étage, 1053 Les Berges du Lac- Tunis Tunisie Tél.: + 216 71 964 102 / + 216 71 962 472 Fax: + 216 71 960 903 Email: macsa@gnet.tn www.macsa.com.tn
Plus en détailPrésentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie
Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Mai 2009 Rencontre avec les Intermédiaires en Bourse Plan de la rencontre Composition du groupe Banque de Tunisie Faits marquants de l année 2008
Plus en détailETUDE DU SECTEUR BANCAIRE EN TUNISIE
j MAC SA Intermédiaire en Bourse Green Center, Bloc C, 2 éme étage Rue du lac Constance 1053 Les Berges du Lac - Tunisie Tel: (216) 71 964 102 / 962 472 Fax: (216) 71 960 903/ 962 363 E-mail: macsa@gnet.tn
Plus en détailEn 2014, la croissance a été
05 Mai DÉPARTEMENT RECHERCHES 2015 ACHETER Cours actuel 14,3 DT Prix Cible 27,6 DT Potentiel de hausse +93 % Actionnaires Etat tunisien 32,62% Entreprises publiques 16,57% Horchani Finance 9,92% Med Habib
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailRésultats annuels 2005
Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006
Plus en détailCOMMUNICATION FINANCIÈRE DU 19 MAI 2014
COMMUNICATION FINANCIÈRE DU 19 MAI 2014 Plan A. Présentation du groupe B. Les indicateurs opérationnels audités de l exercice 2013 C. Les liens entre TELNET et Syphax Airlines D. TELNET INNOVATION LABS
Plus en détailMatinée sur «Banques et cadre d investissement en Tunisie» Maison du Barreau, Paris 24 Janvier 2014
Pa ge 1 Matinée sur «Banques et cadre d investissement en Tunisie» Maison du Barreau, Paris 24 Janvier 2014 PRÉSENTATION DU SECTEUR BANCAIRE TUNISIEN Chiheb Mahjoub Antoine Day (FSI 2010/2012) Page 1 Kurt
Plus en détailAtelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie
République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailRésultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Communiqué de presse La Fouillouse, le lundi 9 décembre 2013 Résultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailIsabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr
Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare
Plus en détailAnalyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF
Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur
Plus en détailCIC Activité commerciale toujours en croissance
Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailRapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015
Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailLa méthode des scores, particulièrement de la Banque de France
La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailEvolution récente du secteur financier (secteur bancaire, Bourse des Valeurs de Casablanca)
Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation Direction de la Politique Economique Générale Evolution récente du secteur financier (secteur bancaire, Bourse des Valeurs
Plus en détailLE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION
LE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION Marija Vukmanovic, Director, chef de secteur clientèle entreprises Office de Promotion Economique du Canton de Genève Petit-déjeuner
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats
Plus en détailLe financement de l entreprise
Le financement de l entreprise Lors de sa création, puis au cours de son développement, l entreprise au moment opportun, doit détenir les ressources financières nécessaires pour faire face à ses échéances,
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailFAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008
SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailLa société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont
La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont résultats et autres renseignements caractéristiques de la société au cours des cinq derniers exercices) La société mère : Comptes
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailLes temps forts de l année 2000. Les grandes masses budgétaires 1995-2000. Les résultats de la politique financière. La dette régionale et le bilan
S O M M A I R E Les temps forts de l année 2000 Les grandes masses budgétaires 1995-2000 L équilibre financier 2000 et les dépenses par secteurs d intervention Les résultats de la politique financière
Plus en détailAnnexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION
FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailLe leasing en Tunisie : Les clefs du succés. Fethi MESTIRI Rabat - 22-25 September, 2014 -Session n.
Le leasing en Tunisie : Les clefs du succés Fethi MESTIRI Rabat - 22-25 September, 2014 -Session n. Présentation de Tunisie Leasing Nos métiers: 1/ Crédit Bail : Tunisie : Tunisie Leasing (TL) (1984) Algérie
Plus en détailLE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON
LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON Un vent d optimisme nouveau commence à souffler sur le marché francilien de la location de bureaux. Le volume des transactions s est
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 juillet 2015 RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 Croissance des résultats opérationnels Produit Net Bancaire : 2 929 millions d euros (+ 2.9
Plus en détailMalgré un environnement économique difficile, IMMOBEL continue à investir pour assurer sa croissance
Bruxelles, le 31 août 2012 8h40 Information réglementée COMMUNIQUÉ DE PRESSE Malgré un environnement économique difficile, IMMOBEL continue à investir pour assurer sa croissance Résultat opérationnel consolidé
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailUne banque engagée et responsable
Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013
Plus en détailRAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. Exercice clos le 31 décembre 2014
RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES Exercice clos le 31 décembre 2014 Avril2015 RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR ETATS
Plus en détailANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE
Annexe C. Éléments d'analyse financière 143 ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Résumé Cette annexe présente quelques éléments comptables qui peuvent servir à l'analyse financière des entreprises.
Plus en détail- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux
BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des
Plus en détailSTRUCTURE DES COMPTES DE RESULTAT ET EVOLUTION DES FRAIS GENERAUX
COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE 4 ème réunion annuelle de concertation avec la Profession Bancaire et Financière (Douala, le 16 janvier 2012) STRUCTURE DES COMPTES DE RESULTAT ET EVOLUTION DES
Plus en détailCOMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014
COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 ca-des-savoie.fr Arrêtés par le Conseil d administration du Crédit Agricole des Savoie en date du 23 janvier 2015 soumis à l approbation de l Assemblée Générale Ordinaire
Plus en détailLes entreprises en France en 2012 : dégradation des performances mais consolidation des équilibres financiers
Les entreprises en France en 212 : dégradation des performances mais consolidation des équilibres financiers Dominique LEFILLIATRE et Lionel RHEIN Direction des Entreprises Observatoire des entreprises
Plus en détailEngagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable
Paris, le 17 mars 2011 Engagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable * Crédit Agricole S.A : premier groupe bancaire français à publier un plan stratégique en environnement
Plus en détailRésultats annuels 2013 en forte croissance
Communiqué de presse - Clichy, 25 mars 2014, 18h Résultats annuels 2013 en forte croissance Chiffre d affaires en hausse de 5,3% à 420,7 M Résultat opérationnel en hausse de 31,7% à 43,4 M Résultat net
Plus en détailGROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT
GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31/12/2012 Groupe BIAT Etats financiers consolidés arrêtés au 31 décembre 2012 Page ~ 2~ BILAN CONSOLIDE ARRETE AU 31 DECEMBRE
Plus en détailIntroduction au Rapport 2005 de la Commission bancaire : la situation d ensemble du système bancaire
Introduction au Rapport 2005 de la Commission bancaire : la situation d ensemble du système bancaire 1 LE NIVEAU ÉLEVÉ DES RÉSULTATS NETS DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT FRANÇAIS EN 2005 S EST APPUYÉ SUR
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailRésultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %
SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailSOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES
SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES Bilan Compte de résultat Tableau des flux de trésorerie Variation des capitaux propres Annexe aux comptes consolidés 1 Transition aux normes IFRS 2 Principes et
Plus en détailPrix de souscription : 20 DT. Aperçu sur la Société. Flash sur l opération. Recommandation
M a i 2 1 4 Prix de souscription : 2 DT Recommandation Valeur Secteur Montant de l offre Prix de l émission Flash sur l opération Souscrire AMI Assurances Assurances 31 4 DT 2 DT Nombre de titres offerts
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailrapport ANNUEL 2013 ensemble GAGNoNS l'avenir,
rapport ANNUEL 2013 GAGNoNS l'avenir, ensemble Amphitéâtre El Jem Sommaire Profil de la BIAT 1. Environnement économique, bancaire et financier 1.1 Environnement économique 1.2 Environnement bancaire
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailRESULTATS DU 1 ER SEMESTRE 2012-2013
COMMUNIQUE D INFORMATION Sète, le 17 avril 2013-17h45 RESULTATS DU 1 ER SEMESTRE 2012-2013 GILBERT GANIVENQ, PRESIDENT, ET OLIVIER GANIVENQ, DIRECTEUR GENERAL «Groupe Promeo a engagé depuis plusieurs mois
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)
COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3
Plus en détailUne épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales
Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer
Plus en détail25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II
25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détail2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;
Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique
Plus en détailRÉSULTATS AU 30 JUIN 2014
RÉSULTATS AU 30 JUIN 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 31 juillet 2014 CHARGES EXCEPTIONNELLES RELATIVES A L ACCORD GLOBAL AVEC LES AUTORITÉS DES ÉTATS-UNIS 5 950 M AU 2T14 DONT : - PÉNALITÉS* : 5 750
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailDEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015
DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements
Plus en détailLE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques
Plus en détailCdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014
BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges
Plus en détailSOMMAIRE. 3. Groupe BIAT et Participations 35 3.1 Groupe BIAT 3.2 Evolution du portefeuille participations
Mot du Président du Conseil d Administration Mot du Directeur Général SOMMAIRE Profil de la BIAT 8 1. Environnement économique, bancaire et financier 11 1.1 Environnement économique 1.2 Environnement bancaire
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailMULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK
MULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK MediCapital Bank Acteur de Référence en Afrique Dans un contexte économique pourtant difficile, Medi- Capital Bank (MCB) a démontré sa capacité à générer du chiffre
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailCOUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ
COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ SOMMAIRE LE MARCHÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 2 LA RÉGLEMENTATION DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 5 L'ACTIVITÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 8 LES POINTS DE VIGILANCE
Plus en détailSOMMAIRE. Présentation Résumée de la Banque... 5. Chapitre 1. Responsable du Document de Référence et Responsables du Contrôle des Comptes 8
SOMMAIRE Présentation Résumée de la Banque..... 5 Chapitre 1. Responsable du Document de Référence et Responsables du Contrôle des Comptes 8 1.1 Responsable du document de référence.. 8 1.2 Attestation
Plus en détailPrésentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème "Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration"
1 SOMMAIRE 1. Crise bancaire : contexte sociopolitique 2. Résolution des crises 3. Situation du système bancaire 4. Vulnérabilités 2 I. CRISES BANCAIRES : CONTEXTE SOCIOPOLITIQUES A l accession de la Guinée
Plus en détailDépartement Études & Recherches. Introduction en Bourse - One Tech Holding. + Acheter. Prix de l action: 6.5Dt
+ Acheter Prix de l action: 6.5Dt Actionnariat post IPO: Famille Sellami: 55.05% Familles partenaires : 17.52% SFI *: 3.90% Public: 23.53% *Filiale de la Banque Mondiale Période de souscription: Du 16
Plus en détailLE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier
Conférence ATEL - 11 décembre 2012 LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier Marc-Antoine DOLFI, associé 1 PLAN DE PRESENTATION Le contrat de capitalisation 1. Description 2.
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détail10 février 2015. Présentation des résultats annuels 2014
10 février 2015 Présentation des résultats annuels 2014 Activité 2014 Bertrand CHEVALLIER Directeur Général Adjoint Présentation des résultats annuels 2014 du Crédit Agricole d Ile-de-France - 10 février
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailRAPPORT ANNUEL Exercice 2006
RAPPORT ANNUEL Exercice 2006 1 MESSAGE DE LA PRESIDENTE Chers Membres, Honorables délégués régionaux, Ce jour marque la tenue de la 13 ème Assemblée Générale de notre Mutuelle d Epargne et de Crédit depuis
Plus en détailSWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre
Communiqué de presse 27 mai 2003 SWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre La compagnie aérienne SWISS a réalisé un chiffre d affaires de 1 044 milliards de francs suisses au cours
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détail