RESEAU DE METROLOGIE SANITAIRE AU CAMEROUN
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- Aline Renaud
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1 REPUBLIQUE DU CAMEROUN PAI TRAVAIL PATRIE MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIVISION DES ETUDES ET DES PROJETS CELLULE DES INFORMATIONS SANITAIRES REPUBLIC OF CAMEROON PEACE WORK FATHERLAND MINISTRY OF PUBLIC HEALTH GENERAL SECRETARIAT STUDIES AND PROJECTS DIVISION HEALTH UNIT INFORMATION RESEAU DE METROLOGIE SANITAIRE AU CAMEROUN *********************************** ANALYSE SITUATIONNELLE DU SYSTEME D INFORMATION SANITAIRE AU CAMEROUN Rapport Technique Yaoundé, Février
2 SOMMAIRE Page LISTE DES ABREVIATIONS.. 3 INTRODUCTION... 4 CONTETE ET JUSTIFICATION.. 5 APERÇU SUR LE SYSTEME D INFORMATION SANITAIRE.. 6 I - DIFFERENTES ETAPES D EECUTION DE L ANALYSE DE SITUATION Etape 1 : EAMEN ET ADOPTION DE L OUTIL D EVALUATION. 14 i. Objectifs 15 ii. Résultats.. 15 Etape 2 : FORMATION DES PERSONNELS D ENQUETE ET TEST DES OUTILS. 17 i. Objectifs.. 18 ii. Méthodologie 18 iii. Test des outils 20 Etape 3 : ENQUETE D EVALUATION SUR LE TERRAIN 22 i. Objectifs.. 23 ii. Eléments méthodologiques de l évaluation. 23 II - RESULTATS DE L EVALUATION III ANNEES. 40 III.1- Tableaux détaillés des résultats 40 III.2 Rapports des travaux d ateliers a) Atelier des partenaires sur l examen et l adoption de l outil. 84 b) Atelier de consensus sur les résultats de l évaluation.. 90 c) Retraite de finalisation du rapport sur l analyse de situation 95 En guise de Conclusion. 96 2
3 SIS = Système d Informations Sanitaires RMS = Réseau de Métrologie Sanitaire SWAP = Sector Wide Approach LISTE DES ABREVIATIONS ******* MSP = MINSANTE = Ministère de la Santé Publique SSP = Soins de Santé Primaires ECD = Equipe cadre de District OMS = Organisation Mondiale de la Santé CMA = Centre Médical d Arrondissement CSI = Centre de Santé Intégré COSADI = Comité de Santé de District COGEDI = Comité de Gestion de District COSA = Centre de Santé de l Aire COGE = Comité de Gestion INS = Institut National de la Statistique DEP = Division des Etudes et des Projets BUCREP = Bureau Central des Recensements et Etudes de la Population DPSP = Délégation Provinciale de la Santé Publique PEV = Programme Elargi de Vaccination SSD = Service de Santé de District EDS= Enquête démographique et de Santé CNLS= Comité National de Lutte contre le Sida PNLP= Programme National de Lutte contre le Paludisme PNLT= Programme National de Lutte contre la Tuberculose BISI= Bureau des Informations Sanitaires et de l Informatique NTIC = Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication ONG = Organisation Non Gouvernementale 3
4 INTRODUCTION Les orientations de la politique nationale de santé trouvent leur expression dans la stratégie sectorielle de santé _ mise en œuvre depuis 2001 et en cours d évaluation_ dont les axes s orientent vers l atteinte des objectifs du millénaire pour le développement dans sa composante santé. Le système d information sanitaire qui sous - tend sa mise en oeuvre, constitue un déterminant majeur du processus gestionnaire, partie intégrante de tout programme de santé. Dans ce cadre, le Ministère de la Santé Publique a saisi l opportunité qu offre le Réseau de Métrologie Sanitaire en vue d assurer la disponibilité, en temps réel, d une information de qualité et la plus exhaustive possible. C est en effet en Septembre 2005 que le projet relatif au renforcement du SIS, soumis par le Ministère de la Santé Publique à OMS/Genève, a permis l admission du Cameroun au Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS). Ce nouveau partenariat mondial, placé sous l égide de l OMS, a pour objectif d apporter un appui technique et financier aux pays intéressés en vue du renforcement et l amélioration de leurs systèmes d informations sanitaires. Dans ce cadre, le Cameroun a bénéficié d un financement initial à valeur catalytique (90.000USD pour ) afin de conduire une première série d activités en trois grandes phases : - L analyse de la situation du Système d information sanitaire; - L élaboration d un plan stratégique budgétisé et - La consolidation d une base de données spécifiques sur le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP), les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et la Stratégie sectorielle de Santé Le Gouvernement, à travers le Ministère de la Santé Publique, a déjà mobilisé la moitié de ce financement pour la conduite de l analyse de situation qui s est faite selon une approche systémique, à travers un outil d évaluation commun développé par le Réseau, mais relu et adapté. C est ce travail qui constitue l objet du présent rapport. Au-delà du contexte et la justification, ce rapport est articulé autour de trois grands points : - les différentes étapes d exécution; - les résultats obtenus ; - les annexes. 4
5 CONTETE ET JUSTIFICATION Depuis quelques années déjà, en cohérence avec l évolution du contexte socio sanitaire et les orientations de partenariat en matière de santé, le Ministère de la Santé Publique a entrepris de grandes réformes notamment la réforme hospitalière, la mutualisation du risque maladie. Cette évolution, sous le sceau de la mondialisation et des Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication (NTIC), s est amplifiée avec les changements survenus au plan socio-économique, notamment après l atteinte du point d achèvement de l initiative PPTE. A la suite de ces changements, le Cameroun a décidé de procéder à l évaluation à mi-parcours de sa Stratégie Sectorielle de Santé (SSS) afin d en proposer la nouvelle version sur la période Ayant souscrit en 2005 à la Déclaration de Paris sur l harmonisation et l alignement, le Cameroun a décidé de mettre en place un SWAP santé, approche sectorielle vers laquelle cette mise en œuvre va être orientée, dès Janvier Pour que ce redéploiement soit apte à impulser des améliorations notables, il est indispensable qu il s appuie sur un dispositif national de production de l information sanitaire performant et pérenne pour le sui/évaluation et la prise de décisions. Entre autres facteurs de succès de cette réorientation, deux sont primordiaux : 1. Le programme commun pour le processus de planification; 2. La mise en place d un dispositif de suivi / évaluation. L organisation du système sanitaire (voir annexe) s appuie sur la structuration des différents niveaux de la pyramide sanitaire. Toutefois cette organisation souffre de l existence, au sein du système de santé, de plusieurs sous systèmes parallèles rendant difficile l harmonisation de la collecte, de l exploitation, et de la surveillance épidémiologique. Par ailleurs d autres sources de collecte de données existent en dehors du secteur et qui n ont pratiquement pas de passerelle avec le système d information du Ministère de la Santé Publique. C est dans ce contexte d insuffisances, de souci de remise à flot du système de santé puis de valorisation du partenariat, qu intervient le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) qui se décline comme une opportunité visant à développer un système intégré du SIS. Ce rapide constat montre que le renforcement et l amélioration du Système d information constituent l un des défis majeurs du système de santé. Le Ministère de la Santé Publique et partant, l ensemble du secteur, ont un besoin urgent de disposer d un système d information sanitaire qui puisse se mettre à la hauteur des réformes en cours ou à venir. En ce sens, le présent travail d exploration aidera à identifier, dans un cadre cohérent, des pistes de solutions et les voies possibles d amélioration. 5
6 APERÇU SUR LE SYSTEME D INFORMATION SANITAIRE Ce paragraphe essaie d apporter un éclairage et quelques repères pour la compréhension du processus d exécution des étapes qui sont ensuite présentées./. 1. Quelques rappels sur le Système de Santé Le secteur santé s articule autour de trois sous-secteurs : - un sous-secteur public ; - un sous-secteur privé ; - un sous-secteur de la médecine traditionnelle. * Le sous-secteur public comprend également des structures sanitaires sous tutelle d autres départements ministériels. * Le sous-secteur privé regroupe des structures sanitaires privées à but non lucratif (confessions religieuses, associations.) et celles à but lucratif. * Le sous-secteur de la médecine traditionnelle pour lequel d importants efforts sont faits pour l intégration dans le système de santé. Le système national de santé répond au scénario africain en trois phases (voir figure 1) représentées par une pyramide à trois niveaux : - à la base de la pyramide, le niveau périphérique avec les districts de santé (subdivisés en aires de santé) qui constituent les unités opérationnelles ; - au centre du triangle, le niveau intermédiaire avec ses 10 Délégations Provinciales qui transforment les stratégies de santé en programmes techniques devant s appliquer au niveau des districts de santé. - au sommet de la pyramide, le niveau central, constitué des services et structures centrales du Ministère de la Santé Publique. Chaque niveau dispose de structures administratives, communautaires et techniques pour accomplir ses missions et exercer ses fonctions spécifiques. 6
7 I. Figure 1 : Système National de Santé du Cameroun Niveau Central (Stratégique) Ministère de la Santé Publique (Cabinet Secrétariat d Etat Secrétariat Général) Directions Divisions Conseil National de la Santé, de l hygiène et des affaires sociales Hôpitaux Nationaux Centre Hospitalier Universitaire Hôpitaux Centraux et assimilés Structures apparentées Niveau Intermédiaire (Appui technique) - secteurs prestataires - secteurs promoteurs - secteurs d appui-relais 10 Délégations Provinciales de la santé - 10 DPSP, Appui technique, coordination, contrôle, suivi évaluation des Districts de Santé - Hôpitaux provinciaux et assimilés - Polycliniques Fonds Spécial Provincial pour la Promotion de la Santé Régions Niveau Périphérique (Opérationnel) Districts de Santé - Unité opérationnelle du système national - ECD - Hôpital de référence appelé hôpital de district - Des services de santé du 1 er échelon - Les communautés Comité de Santé du District Comité de Santé de l Aire Communes Villages / Quartiers 7
8 Missions des différents niveaux de la pyramide Sanitaire NIVEAU CENTRAL Il conçoit les objectifs et les options stratégiques en santé. Il veille à : - La mobilisation et l utilisation des ressources - L acquisition des technologies traditionnelles et/ou modernes ; - L amélioration de la gestion. Ici, la structure de Dialogue est le Conseil national de santé, de l hygiène et des Affaires Sociales. NIVEAU INTERMEDIAIRE Ce niveau sélectionne et adapte les techniques pour la mise en œuvre de la politique de santé et canalise l expertise technique vers les Districts de Santé. La Délégation Provinciale de la Santé Publique est chargée d une mission permanente d information, de coordination technique des structures sanitaires, de synthèse et de gestion administrative du personnel. La structure de dialogue du niveau provincial est le fonds spécial provincial pour la promotion de la santé, appelé Fonds. NIVEAU PERIPHERIQUE C est l échelon opérationnel du système national de santé. C est ici que s opère l intégration des ressources pour rendre effective l action sanitaire aux communautés, ménages et individus à travers diverses activités. Comme structures de dialogue, l on retrouve les comités de santé du district (COSADI), émanation des comités de santé des aires de santé (COSA). 8
9 2. Système d Information Sanitaire A- QUELQUES RAPPELS DE BASE Le système d information sanitaire (SIS) peut être défini comme un ensemble d outils et mécanismes dont le fonctionnement permet : le recueil des données ; la compilation / traitement des données ; l analyse / interprétation ; le feedback ; le marketing des données. Du point de vue structurel, il est articulé autour de 05 principales entités: Les acteurs : Ils sont le moteur du système. Ils mettent en œuvre les mécanismes de production, de gestion et d utilisation de l information. Les données : Elles d information. sont la matière première du système Les outils : ils sont constitués : i) d instruments de collecte (registres, carnets de consultation ) ; ii) d instruments de transfert (diskettes, compacts disks, flash disk, réseaux informatique etc ) iii) d instruments de traitement des données (calculettes et microordinateurs, qui assurent les opérations permettant de traduire les données en tableaux, indicateurs, graphiques ou cartes. Les procédures C est l ensemble des indications et directives à mettre en oeuvre pour réaliser les activités. Pour chacune, l on précise «Qui fait Quoi? Comment?...». Les informations Ce sont des renseignements obtenus après transformation des données par le truchement des procédures et outils. B - SITUATION ACTUELLE Le MINSANTE a mis en place un système de routine sous le label NHMIS, «National Health Management Information System» qui vise à disposer d informations pour une prise de décisions appropriées afin d améliorer le fonctionnement et l efficacité des services et programmes de santé et, par voie de conséquence, l état de santé des populations. Les composantes / entités du NHMIS sont en place dans une large mesure, mais leur fonctionnement connaît des difficultés et se heurte à des contraintes. 9
10 Les acteurs : On les retrouve à tous les niveaux de la pyramide sanitaire. Il s agit de : - chefs de centres de santé, - chargés des statistiques, médecins- chefs des hôpitaux de district, surveillants généraux, chefs de bureau santé, majors de services des hôpitaux, et responsables des programmes, - responsables du bureau des informations sanitaires. Dans l ensemble, les personnels chargés des informations sanitaires sont en effectif limité et ils n accordent pas toujours à l activité l importance qu elle mérite. Ceux qui sont affectés à ces services, le sont souvent par mesure disciplinaire, les tâches étant considérées ici comme non valorisantes. A la base du système, au niveau du CSI, il n a y a pas d agents spécifiques pour remplir les formulaires de recueil des données. Les outils et les données : On les retrouve dans la quasi-totalité des formations sanitaires, avec en bonne place les formulaires NHMIS ( à périodicité mensuelle et annuelle). Cependant, l approvisionnement des outils est irrégulier, d où des ruptures de stocks et un fléchissement conséquent de l activité. Toutes choses liées entre autres, au fait que peu d importance étant accordée à cette activité, de faibles moyens d intervention lui sont également alloués. Procédures : Elles sont généralement décrites dans les différents manuels. Ceux-ci sont transmis aux FS en même temps que les autres outils de collecte. Leur niveau et rythme de vulgarisation sont fortement tributaires des moyens disponibles. Ces procédures, dans une large mesure, ne sont pas toujours appliquées pour diverses raisons dont celles liées à une faible culture de l information. Fonctionnement du NHMIS : L enregistrement des données constitue la première étape du processus et du fonctionnement du SIS. Il se fait au sein des formations sanitaires à l aide des outils déjà mentionnés. Que constate t-on? Certains utilisent des registres avec des colonnes définies à l avance, D autres les tracent au fur et à mesure de leurs activités, Ces registres n existent même pas dans bon nombre de formations sanitaires. Ceci entraîne un problème de complétude et de qualité des données. 10
11 Transfert des données Les données des registres sont reportées selon une base sélective sur des formulaires de recueil des données ou des fiches spécifiques des programmes prioritaires de santé. Ces fiches sont ensuite transférées aux services hiérarchiques pour satisfaire leurs besoins en informations. Ce transfert vers la hiérarchie se fait suivant une périodicité arrêtée (hebdomadaire ou mensuelle) mais qui n est pas toujours respectée. Dans le cadre du NHMIS, le CSI remplit le formulaire en trois exemplaires dont un pour le SSD et pour la DPSP. Les fichiers de données sont récupérés par le niveau central (CIS/DEP) pour synthèse nationale. Il faut déplorer ici le caractère trop centralisé de cette organisation dont les conséquences sont : - la difficulté à obtenir de manière exhaustive des données ; - la difficulté à produire des rapports d activités et à assurer la rétro information. Des sous systèmes d information sanitaire existent avec les autres programmes prioritaires de lutte contre la maladie qui disposent des formulaires qui leur sont spécifiques. La diversité et la spécificité de ces besoins en informations sont à l origine d une multitude des fiches de collecte des données dans les formations sanitaires. Du fait de ces informations éparpillées : - le profil épidémiologique des différentes régions du territoire est mal maîtrisé ; ce qui rend difficile la gestion des moyens de traitement des différentes pathologies ; - les performances réelles du système de santé ne sont pas connues ; - l amélioration de la qualité des services et des soins est rendue difficile ; - la production de la carte sanitaire est approximative ; - le système de surveillance et ses sous composantes sont loin d être intégrés malgré les efforts déployés. De même, le système de notification reste incomplet et donc peu viable. Il y a comme un cercle vicieux entre le contenu de tous ces outils de collecte et la cohérence de l information. Il faut sortir de ce cercle pour l harmonisation de ces outils. 11
12 D autres sources du SIS existent avec les enquêtes ménages réalisées par l Institut National de la Statistique (EDS ) ainsi que les études de populations exécutées par le BUCREP. La publication prochaine des résultats du 3 ème recensement général de la population et de l habitat vingt (20) ans après celui de 1987 ouvre d excellentes perspectives dans la matière. C - DIFFICULTES ET CONTRAINTES DU SIS. Un SIS n est utile que lorsqu il sert effectivement à la prise de décisions. Celle- ci devant elle même s appuyer sur une information fiable construite sur des bases harmonisées et consensuelles. Ce n est pas toujours le cas actuellement et cela laisse transparaître l importance des difficultés et contraintes auxquelles le SIS est confronté. Dans le cas du NHMIS, son fonctionnement a un coût lié à plusieurs éléments : - la production des registres et des formulaires de collecte de données, - les frais pour missions de collecte, monitoring et supervision, - les coûts de dissémination de l information. Actuellement le pays compte plus de trois mille formations sanitaires pour lesquelles le coût annuel de production des registres et des formulaires de recueil de données s élève à près de 50 millions de francs CFA. 12
13 II - LES DIFFERENTES ETAPES D EECUTION DE L ANALYSE DE SITUATION L activité de démarrage de l ensemble du processus a consisté en une réunion des partenaires et acteurs, une rencontre à caractère stratégique destinée à servir de «backstopping» à l ensemble des activités et qui répondait aux objectifs suivants: - Intéresser au Réseau, les acteurs du circuit de production de l information sanitaire au plan national et poser les bases de la synergie nécessaire à la réussite du projet; - Susciter une convergence de vues et promouvoir entre les parties le sens de l échange et de l action concertée ; - Obtenir un engagement actif de tous les responsables. Faisant suite à cette rencontre préalable, les activités ici décrites sont d ordre technique, et s inscrivent dans le processus méthodologique de mise en œuvre. 13
14 Etape 1 : EAMEN ET ADOPTION DE L OUTIL D EVALUATION 14
15 Cette étape se résume en un atelier qui s est tenu dans le cadre du Monastère des Bénédictins du Mont Fébé à Yaoundé. L atelier ciblait les principales structures du dispositif national de production de l information sanitaire ainsi que les principaux partenaires au développement en santé. Les participants, choisis en fonction de leur rôle actif et/ou de leur forte implication dans le processus de production de l information, étaient réunis sous le label de «Comité de pilotage», entendu comme l instance d animation et d impulsion des activités du Réseau. Les responsables de la Division des Etudes et Projets (Cellule des Informations Sanitaires) étaient chargés de l organisation et de la facilitation de l atelier. i- Objectifs L atelier (rapport joint en annexe) visait les objectifs spécifiques suivants : - Susciter la convergence de vues autour de l analyse de situation par des échanges entre membres sur les enjeux et l approche à suivre ; - Examiner l outil d évaluation proposé par le réseau, l amender selon les réalités de terrain et l adopter pour les besoins de l enquête ; - Planifier la mise en œuvre des actions à mener pour la suite. ii- Résultats De manière générale, les participants ont trouvé pertinents, les éléments d évaluation contenus dans les 06 sections qui composent l outil à savoir : 1- Politiques et ressources 2- Indicateurs 3- Sources de données 4- Gestion de données 5- Produits de l information 6- Dissémination et Utilisation De même, les questions à poser sont apparues comme étant de compréhension aisée pour l évaluation de notre système national d information sanitaire. Les divers ajustements opérés sont effectivement allés dans le sens de la simplification et de la clarté, notamment en ce qui concerne les notions techniques, les libellés d institutions, les concepts, le découpage géographique. 15
16 Ceux-ci ont été revus et exprimés dans la terminologie couramment utilisée dans le pays De fait, les résultats attendus de ces travaux ont été atteints : Les participants se sont accordés sur le contenu définitif de l outil à la suite des ajustements et corrections effectués ; Deux additifs importants ont été effectués qui concernent les volets de la coordination d une part et la rétro-information d autre part. Au terme de cette restitution, le consensus s est dégagé autour de la nécessité de garder à l esprit que le travail est collectif et que les résultats obtenus, les difficultés enregistrées au terme de chaque activité devront interpeller chaque membre du comité de pilotage. La convergence d approche a été également obtenue pour la mise en œuvre sur le terrain ; i) l outil validé par l équipe de pilotage sera finalisé à la lumière des observations enregistrées ; ii ) l outil servira comme document de base lors de la formation des équipes techniques à déployer sur le terrain pour aider à déceler d éventuelles coquilles et incompréhensions ; iii) Des tests grandeur nature seront menés dans quelques formations sanitaires pour boucler le processus avant la descente effective sur le terrain. L outil sera alors validé et prêt à être administré dans toutes les provinces, à différents niveaux de la pyramide sanitaire. Les questions à caractère stratégique qui touchent aux aspects institutionnels seront plus particulièrement soumises aux responsables des niveaux central et intermédiaire. Autant d éléments dont il faudra tenir compte lors de la formation des personnels appelés à mener l opération de collecte sur le terrain. 16
17 Etape 2 : ATELIER DE FORMATION DES PERSONNELS D ENQUETE ET TEST DES OUTILS 17
18 Dans le prolongement des travaux relatifs à l examen et l adoption de l outil d évaluation du Réseau, la formation des personnels d enquête,organisée à Yaoundé, s est étalée sur cinq (05) jours, répartis, par souci pédagogique, en deux étapes : du 04 au 06 puis du 09 au 10/10/06. Sous l encadrement du Chef de Division des Etudes et projets (DEP) et du Chef de Cellule des Informations Sanitaires (CIS), coordonnateur des travaux, la formation a impliqué 13 candidats formés en vue de disposer sur le terrain d un (01) enquêteur par province et d une réserve pour parer à d éventuels désistements. i. Objectifs La formation avait pour objectifs : 1. de renforcer les capacités des personnels d enquête sur l environnement de santé et le système d information ; 2. d outiller efficacement ces personnels pour l exécution du travail d évaluation spécifique à conduire sur le terrain. ii. Méthodologie La formation s est déroulée sur le principe de la participation active, les participants étant amenés autant que possible à réagir aux interventions des autres, à argumenter et à faire des propositions. Chaque journée nouvelle s ouvre sur le rappel des notions examinées la veille selon le principe du tour de table afin d assurer la participation de tous. Préalablement au démarrage de la formation, les participants ont reçu, pour imprégnation, au cours d une réunion préparatoire, une documentation variée, articulée autour de l outil d évaluation du Système d Information Sanitaire (SIS) proposé par le Réseau. C est sur la base de support que sera organisée la formation des personnels d enquête, à deux niveaux. D abord la formation de deux superviseurs appelés à suivre le travail des enquêteurs sur le terrain, assurée par le coordonnateur des travaux, ensuite celle des agents enquêteurs qui s est faite avec la contribution technique des superviseurs. Un manuel de l agent enquêteur a été élaboré pour faciliter et harmoniser la formation qui a été centralisée à Yaoundé pour des raisons de logistique mais surtout de cohérence technique. Dans un souci didactique de recherche d une plus grande efficacité, les activités de formation et de mise à niveau ont été menées en deux étapes selon l agencement suivant : 18
19 1 ère séquence : 03 jours * Notions de base ; A) Système de santé, Stratégie Sectorielle de Santé, B) Système d information Sanitaire et Réseau de Métrologie * Débats, échanges, clarifications * Présentation et lecture expliquée de l outil * Examen au fond de l outil, composante après composante 2 ème séquence : 02 jours * Examen au fond de l outil, Simulations/ exercices ; * Récapitulatifs iii. Profil et sélection des enquêteurs : Au plan du profil, les personnels techniques présélectionnés pour la formation constituaient un ensemble assez homogène. Ils ont été présélectionnés par consultation avec les responsables des diverses structures auxquelles appartiennent les membres du comité de pilotage. Ces postulants étaient pour l essentiel, des professionnels des corps de la santé, des statisticiens, des personnes disposant d une certaine expérience en matière de collecte de données, y compris ceux de la frange marginale constituée d étudiants ( Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales ) Au terme de la session de formation et de préparation technique, les enquêteurs ont été retenus en fonction de leurs capacités et performances, mais également en intégrant le principe de partage qui caractérise le Réseau. Au final, les personnels retenus pour la collecte relèvent, ainsi qu il suit, de divers départements techniques du MINSANTE, de l Institut National de la Statistique ainsi que des institutions confessionnelles et ONG : MINSANTE : Nombre Division des Etudes et des Projets (DEP) 02 Direction de la Lutte Contre la Maladie (DLM) 01 Direction de l Organisation des Soins et de la Technologique Sanitaire (DOST) 01 Comité National de Lutte Contre le Sida (CNLS) 01 Faculté Médicale des Sciences Biomédicales (FMSB) 01 Institut National de la Statistique (INS) 02 Organisation Non Gouvernementale (ONG) /Confessionnel 02 19
20 En raison des «longs» délais liés à des raisons d ordre administratif - entre la fin de formation et le démarrage de l enquête, des séances ultimes de mise au point et de remise à flot a été organisée avec les enquêteurs les 26 et 27/10/2006, la veille de leur déploiement sur le terrain. La durée de (02 jours) et son intensité ont été modulées en fonction du temps qui s est écoulé avant que les arrangements administratifs (signature par le Ministre de la Santé Publique de la lettre d information aux Délégués Provinciaux de la Santé ) ne soient bouclés, soit environ deux semaines. Les équipes ont été déployées dès le 28/10/06 (affectation des enquêteurs dans les provinces en tenant compte de critères d efficacité, distribution de formulaires de collecte et de divers équipements de travail, mise à disposition de la logistique). Les enquêteurs se mettront en route dès le lendemain 29/10/06 pour rallier les différents postes de travail et démarrer dès que possible les travaux d enquête. iii- Test des outils Il a été précédé de quelques cas de simulations et exercices directs sur des tranches du questionnaire. Quant au test pratique, mené auprès de quelques formations sanitaires voisines, il aura permis aux enquêteurs de se faire une idée concrète du travail à exécuter sur le terrain. L exercice a impliqué la moitié des enquêteurs répartis en trois équipes de deux personnes, notamment ceux dont les performances nécessitaient d être consolidées par des simulations et exercices cas pratiques. Il a été mené librement sans supervision véritable afin que les enquêteurs puissent s assumer face aux éventuelles difficultés. L exercice se poursuivra en salle avec l ensemble des participants se prolongeant sous forme des conseils pratiques et astuces de collecte qui viendront comme conclusion à la restitution de l expérience vécue à travers le test des outils sur le terrain. IMPRESSION DES OUTILS S agissant de l impression des outils (configurés en tableaux avec trame), les travaux se sont effectués en petite imprimerie ; l outil dans sa partie «tableaux» a fait l objet d une saisie nouvelle pour aérer davantage le texte et le rendre plus lisible. 20
21 L outil a ensuite été traduit en anglais pour tenir compte du caractère bilingue du pays dont deux des provinces sont anglophones. Le travail de traduction a été assuré par les responsables de la Cellule de traduction du MINSANTE sous le contrôle et l orientation du Point Focal pour veiller à ce que l esprit du texte traduit soit bien conservé. Une fois terminés la formation et le recrutement des enquêteurs, il fallait alors procéder à l opération de collecte de données. 21
22 Etape 3 : ENQUETE D EVALUATION SUR LE TERRAIN 22
23 i. Objectifs L enquête menée sur le terrain avait pour but de collecter de façon directe, auprès des autorités sanitaires et statistiques des services centraux, des délégués provinciaux de la santé et des responsables de quelques districts de santé, des informations visant à évaluer l état des lieux du système d information sanitaire (SIS). L évaluation s est faite selon une double orientation : - l existence des composantes du SIS - la fonctionnalité de ces composantes. Le recueil des données s est effectué sur la base de l outil RMS adapté par le comité de pilotage. ii. Eléments méthodologiques de l évaluation * Champ géographique Le champ géographique de l enquête couvrait l ensemble des dix provinces que compte le pays. Par souci de diversifier l éventail des intervenants dans le processus de collecte de données, ce champ a distingué deux niveaux d intervention : a) le niveau central b) le niveau périphérique Le niveau central a impliqué ; - la Division des Etudes et Projets (DEP), structure centrale de mise en œuvre et de coordination du système d information sanitaire (SIS) - l Institut National de la Statistique (INS) - le Bureau Central des Recensements et Etudes de Population (BUCREP), - le secteur privé confessionnel de la santé - les programmes prioritaires de santé (HIV/Sida, PEV) - le Ministère de l Administration Territoriale et de la Décentralisation notamment pour ce qui est de l état-civil. Le niveau périphérique a impliqué : - la Délégation Provinciale de la Santé Publique - le District de santé avec les formations sanitaires ( l hôpital de district, les Centres de Santé Intégrés). 23
24 C est ce niveau qui constitue l essentiel de l échantillon des structures concernées par l enquête ; l accent ayant été mis ici en raison de leur rôle majeur dans la chaîne de l information en tant que porte d entrée du SIS. * Procédures de collecte La stratégie de collecte des données a été celle de l interview directe ciblant des groupes restreints de 3 à 5intervenants spécifiés et identifiés au préalable. Ceux-ci sont constitués en équipe face à l enquêteur qui conduit les échanges. Cette procédure a été préférée au remplissage par travaux de groupe en atelier pour deux raisons : - l avantage de rencontrer effectivement les intervenants ciblés, contrairement à la situation de l atelier où ils peuvent être absents ; - la dynamique créée par la présence de l enquêteur en tant que facilitateur et la possibilité de relancer l échange. Deux provinces, le Nord et l Extrême-Nord se sont quelque peu écartées de cette procédure par calcul d opportunité ; la présence massive des responsables sanitaires au chef-lieu de province pour cause de réunion de coordination a été mise à profit pour l organisation des groupes de travail en salle avec une facilitation très serrée de l enquêteur qui, il faut le rappeler fort heureusement, est un membre du comité de pilotage. La collecte des données s est déroulée à hauteur de chaque Délégation Provinciale de la Santé Publique (DPSP) puis dans 05 Districts de santé répartis en urbain et rural. Le schéma de répartition des intervenants est le suivant : Au niveau central : - Les responsables des programmes, de la mise en œuvre du SIS ; - Les membres du comité de pilotage ; - Les responsables de l unité de suivi/évaluation. A la DPSP : Le Délégué Provincial, le Chef du Bureau des Information Sanitaires, le Surveillant Général de l hôpital Provincial Au District de santé: Le Chef du Service de santé de district, le médecin chef du district, le chargé des statistiques de l hôpital de district, le chef d un Centre de Santé Intégré (CSI), public ou privé. 24
25 Pour la démarche sur le terrain prescrite sous forme de TDR, l enquêteur devait : * rencontrer le Délégué Provincial, présenter le but de la mission et les objectifs de l enquête * établir avec lui le planning de travail : choisir les 05 Districts de santé à couvrir dresser le calendrier de passage dans les districts informer les responsables sanitaires ciblés commencer l enquête par la DPSP * faire un débriefing au Délégué en fin de mission * Déroulement des travaux Prévue pour durer 10 jours (02 jours en moyenne par District), l enquête, en raison de divers aléas, s est finalement étalée sur le terrain pendant deux semaines, du 28/10 au 13/11/2006. Les enquêteurs, à raison d un (01) par province ont travaillé dans le respect des indications techniques. La durée moyenne de l interview a été supérieure à trois (03) heures Certains responsables en périphérie n ont répondu qu aux questions relevant de leur sphère de compétence directe, renvoyant par le fait même, l enquêteur soit à la DPSP soit au Ministère de la Santé Publique. Certaines questions concernant le niveau national, ont été appliquées mutatis mutandis aux districts de santé ou au niveau provincial. Le principe du consensus a prévalu pour porter la note ; mais dans bon nombre de cas, ce consensus n a pas été facile à obtenir. Le mode de notation 0,1,2,3 a été utilisé. Les responsables interrogés se sont fortement impliqués dans l exercice, manifestant en cela leur intérêt pour l information sanitaire et exprimant le vœu de voir le renforcement du SIS devenir effectif. Le bon déroulement des travaux tient aussi à la grande disponibilité et la mobilisation de chaque Délégué Provincial et de son proche collaborateur en la matière, le Chef de Bureau des Informations Sanitaires. 25
26 En terme d observations, il faut relever la faiblesse de circulation de l information par le canal administratif. Cela explique que plusieurs responsables n aient pas pu être informés à temps de l arrivée de l enquêteur, ainsi que les problèmes de délais liés à l absence de quelques uns. Certaines questions, notamment celles relatives à la mortalité, ont semblé posé le problème de significativité des données. Les responsables enquêtés ont en effet fortement relevé les insuffisances de l état-civil estimant que la seule mortalité hospitalière était loin d y apporter une réponse acceptable. Le pré-codage de certaines questions a semblé soulever quelques difficultés et nécessité une plus grande attention à l exploitation. * Exploitation des données Le logiciel Excel a été utilisé pour la saisie des données. Quelques tests de cohérence opérés dans la base de données obtenue et la correction des erreurs détectées dans les tableaux issus du tri à plat ont permis de disposer d un fichier relativement propre pour l analyse. Les résultats de cette analyse, concernent les données non extrapolées. 26
27 II. RESULTATS DE L EVALUATION Les résultats ont été présentés dans le cadre d un atelier de consensus devant un auditoire large et diversifié pour permettre un débat ouvert et des plus participatifs (le rapport d atelier figure en annexe). Au plan du bilan méthodologique, les dix délégations provinciales ont été visitées pour interview. Le taux de couverture de l enquête, en termes du nombre de district interrogés (46) par rapport au nombre prévu (50) est de 92%. Dans deux provinces, seuls 03 districts sur 5 ont été couverts en raison de nombreuses difficultés dont notamment les moyens de transport et les grandes distances sur des routes dévastées par une saison de pluies sévère. En termes de personnels impliqués dans l exercice, ce taux est de 91.8% (92% en périphérie et 87% au niveau central) sur la base du tableau ci-après : Tableau : Distribution des effectifs de personnels interrogés Niveau périphérique Niveau central Effectif par groupe Nombre de district ou groupe Effectif Total Total attendu Le nombre de personnels minimum attendus se décline ainsi : (10 DPSP*3) + (5 Districts * 10 provinces*3) Par rapport à l établissement des résultats définitifs, il faut relever que la moyenne arithmétique a été appliquée pour obtenir, pour chaque rubrique au sein d une même province, la note finale. Il faut noter qu il s agit ici de données brutes telles que collectées sur le terrain. 27
28 Notons également que pour les calculs, les décimales ont été arrondies à la partie supérieure. La colonne total correspond au score obtenu au sein de la province tandis que la moyenne est obtenue à partir du rapport entre ce total et le nombre de districts de santé qui ont bénéficié de l évaluation Sur la base de ce principe, le récapitulatif des résultats globaux présentés par province, est consigné dans le tableau ci-après : 28
29 PROVINCES AD CE ES E-.N LT NO NW OU SU SW RUBRIQUES T M T M T M T M T M T M T M T M T M T M I. Ressource A. Politique et planification B. Institution du SIS, ressources humaines et financement C. Infrastructure du SIS II.Indicateurs III. Sources A.Recensement B.Statistique d étatcivil C.Enquêtes dans la population D. Rapports sanitaires et registres des maladies E. Registres/Rapports des services de santé F1. Base de données/carte des infrastructures et services de santé F2.. Base de données sur les ressoyurces humaines F3.Informations sur le financement et les dépenses de services de santé F4.Base de données des équipements,fournitures et produits IV. Gestion des données
30 V. Produits d information A1. Mortalité chez les enfants (0-5ans mois ou <36 mois) A.2 Mortalité chez les adultes A3 Mortalité maternelle A4 Prévalence du VIH A5Insuffisance pondérale chez l enfant (<59 mois ou <36 mois) B6 Taux de fréquentation des malades non hospitalisés B7 Couverture de la vaccination contre la rougeole ; enfants de 12 mois et 12 à 23 mois B8.Accouchements assistés par des professionnels de santé compétents B9Taux de réussite du traitement de la tuberculose sous DOTS B10Pourcentage des enfants(<59 mois ou <36 mois) dormant sous moustiquaire imprégnée B11 Dépenses publiques globales par tête (GGHE) en matière de santé B12 Dépenses des ménages par tête en
31 matière de santé ( dépenses d urgence, d assurance privé, ONGs) B13 Nombre de travailleurs du secteur de la santé C14Pourcentage des fumeurs dans la population âgée de 15 ans et plus C15 Utilisation du préservatif lors des rapports sexuels à haut risque C16 Proportion des ménages utilisant un système amélioré d(adduction d eau 0(robinet,forage,puits aménagé) Indicateur additionnel n 1 Indicateur additionnel n 2 VI. Dissémination et utilisation des données A Analyse et utilisation des données B Politique et plaidoyer C Planification et définition des priorités D Allocation et ressources E Mise en œuvre et actions T=Total M=Moyenne 31
32 Les résultats qui suivent utilisent le principe des quintiles. Ils sont présentés sous forme de tableaux suivant l approche par composante. Toutes les composantes et leurs items sont inclus et analysés isolément. La présentation est identique pour toutes les provinces ( les noms sont spécifiés en bas de page). Le tableau national décrit la situation sur l ensemble du territoire. Les quintiles ont été préférés aux notes totales par composante ou item. La définition des quintiles se fait en divisant la note totale possible par cinq ; dès lors, cinq classes sont construites. Toute note inférieure ou égale au cinquième de la note totale possible appartient au premier quintile. Toute note comprise entre un cinquième de la note totale possible appartient au deuxième quintile. En adoptant cette démarche l on définit le cinquième quintile pour lequel les notes sont supérieures à quatre cinquième de la note totale possible. Les composantes et items du premier quintile (Q1) sont ceux ayant obtenus les scores les plus faibles, alors que ceux appartenant au cinquième quintile (Q5) ont obtenu les meilleurs scores. Abréviations des noms de provinces: AD= Adamaoua CE= Centre ES= Est EN= Extrême -Nord LT= Littoral NW= Nord-Ouest NO= Nord OU=Ouest SU= Sud SW= Sud-Ouest CMR= Cameroun 32
33 Tableau 1: présentation générale par composantes et par quintile Catégories AD CE ES EN LT NW NO OU SU SW CMR I. Ressources Q3 Q2 Q2 Q2 Q3 Q3 Q3 Q2 Q4 Q3 Q3 A. Politique et planification Q1 Q2 Q1 Q2 Q3 Q3 Q2 Q2 Q4 Q3 Q2 B. Institutions du SIS, ressources humaines et financement Q3 Q2 Q2 Q3 Q3 Q2 Q2 Q2 Q3 Q2 Q2 C. Infrastructures du SIS Q4 Q4 Q4 Q1 Q4 Q4 Q4 Q3 Q4 Q4 Q4 II. Indicateurs Q4 Q3 Q2 Q3 Q4 Q3 Q4 Q3 Q3 Q3 Q3 III. Sources Q2 Q2 Q2 Q2 Q3 Q4 Q2 Q3 Q4 Q3 Q3 A. Recensement Q1 Q2 Q4 Q1 Q3 Q3 Q1 Q3 Q3 Q3 Q2 B. Statistiques de l état civil Q1 Q1 Q1 Q1 Q2 Q3 Q1 Q1 Q2 Q2 Q2 C. Enquêtes dans la population Q2 Q2 Q5 Q1 Q4 Q4 Q2 Q4 Q4 Q3 Q3 D. Rapports sanitaires et registres des maladies (y compris les systèmes de surveillance des maladies) Q3 Q3 Q3 Q3 Q3 Q4 Q3 Q2 Q4 Q4 Q3 E. Registres/ Rapports des services de santé Q3 Q3 Q3 Q3 Q3 Q4 Q3 Q3 Q4 Q3 Q3 F1. Base de données / carte des infrastructures et des services de santé Q3 Q2 Q2 Q2 Q3 Q4 Q1 Q3 Q3 Q3 Q3 F2. Base de données sur les ressources humaines Q1 Q2 Q3 Q4 Q4 Q4 Q4 Q3 Q4 Q3 Q3 F3. Informations sur le financement et les dépenses des services de santé Q3 Q1 Q1 Q3 Q4 Q3 Q2 Q2 Q4 Q3 Q3 F4. La base de données des équipements, des fournitures et produits Q3 Q3 Q1 Q3 Q4 Q4 Q3 Q4 Q4 Q3 Q3 IV Gestion des données Q2 Q1 Q1 Q2 Q3 Q2 Q1 Q2 Q2 Q2 Q2 V Produits d information Q1 Q2 Q2 Q2 Q3 Q4 Q2 Q2 Q3 Q3 Q2 A1. Mortalité chez les enfants de (0-5 ans) Q4 Q3 Q4 Q3 Q5 Q5 Q1 Q3 Q4 Q3 Q3 A2. Mortalité chez les adultes (toutes les causes) Q1 Q3 Q3 Q3 Q4 Q5 Q1 Q1 Q2 Q2 Q3 A3. Mortalité maternelle Q1 Q3 Q3 Q2 Q4 Q5 Q1 Q3 Q2 Q3 Q3 A4. Prévalence du VIH Q2 Q3 Q4 Q3 Q5 Q5 Q1 Q1 Q3 Q4 Q3 A5. Insuffisance pondérale chez l enfant (< 59 mois ou < 36 mois) Q1 Q2 Q3 Q3 Q3 Q3 Q1 Q1 Q3 Q3 Q2 B6. Taux de fréquentation des malades non hospitalisés Q1 Q3 Q2 Q4 Q4 Q4 Q3 Q4 Q4 Q3 Q3 B7. Couverture de la vaccination contre la rougeole chez les enfants de 12 mois et chez ceux âgés de 12 à 23 mois Q2 Q2 Q4 Q4 Q5 Q4 Q3 Q4 Q4 Q4 Q4 B8. Accouchements assistés par des professionnels de la santé compétents Q1 Q3 Q2 Q3 Q4 Q4 Q2 Q3 Q4 Q2 Q3 B9. Taux de réussite du traitement de la tuberculose sous DOTS Q2 Q4 Q1 Q3 Q5 Q4 Q4 Q4 Q5 Q4 Q4 B10. Pourcentage des enfants (< 59 mois ou < 36 mois) dormant sous une moustiquaire Q1 Q3 Q1 Q3 Q4 Q4 Q4 Q4 Q4 Q4 Q3 33
34 imprégnée B11. Dépenses publiques globales par tête (GGHE) en matière de santé Q1 Q1 Q1 Q1 Q1 Q2 Q1 Q1 Q2 Q3 Q1 B12. Dépenses des ménages par tête en matière de santé (dépenses d urgence, d assurance privée et ONGs) Q1 Q1 Q1 Q1 Q1 Q1 Q1 Q1 Q2 Q3 Q1 B13. Nombre de travailleurs du secteur de la santé (total et par catégorie professionnelle) pour 1000 habitants Q1 Q2 Q1 Q3 Q2 Q3 Q2 Q1 Q2 Q3 Q2 C14. Pourcentage des fumeurs dans la population âgée de 15 ans et plus Q1 Q1 Q1 Q1 Q2 Q1 Q1 Q1 Q1 Q2 Q1 C15. Utilisation du préservatif lors des rapports sexuels à haut risque Q2 Q1 Q3 Q1 Q5 Q5 Q1 Q1 Q2 Q2 Q2 C16. Proportion des ménages utilisant un système amélioré d adduction d eau (eau de robinet, forage, puits protégé) Q1 Q1 Q1 Q1 Q1 Q4 Q1 Q1 Q2 Q3 Q1 Indicateur additionnel numéro 1 Q1 Q3 Q1 Q2 Q1 Q4 Q2 Q1 Q1 Q3 Q2 Indicateur additionnel numéro 2 Q1 Q2 Q1 Q1 Q1 Q5 Q1 Q1 Q1 Q3 Q1 VI. Dissémination et utilisation des données Q1 Q4 Q2 Q4 Q4 Q5 Q3 Q3 Q4 Q4 Q3 A. Analyse et utilisation des données Q1 Q5 Q2 Q5 Q4 Q5 Q5 Q3 Q4 Q4 Q4 B. Politique et plaidoyer Q1 Q4 Q2 Q3 Q4 Q4 Q3 Q2 Q3 Q3 Q3 C. Planification et définition des priorités Q2 Q4 Q4 Q5 Q4 Q5 Q4 Q3 Q5 Q4 Q4 D. Allocations et ressources Q2 Q2 Q2 Q1 Q3 Q4 Q1 Q1 Q4 Q3 Q2 E. Mise en œuvre et actions Q1 Q4 Q2 Q4 Q4 Q5 Q3 Q3 Q4 Q4 Q3 Grille de lecture du tableau: Quintile Quintile 1et Quintile2 Quintile3 Quintile4 Quintile5 Représentation couleur Q1 Q2 Inappropriée ou non pratique Q4 appropriée Q3 Présence mais non appropriée Q5 Très appropriée 34
35 CAMEROUN I. Ressources A. Politique et planification B. Institutions du SIS, ressources humaines et financement C. Infrastructures du SIS II. Indicateurs III. Sources A. Recensement B. Statistiques de l état civil C. Enquêtes dans la population D. Rapports sanitaires et registres des maladies (y compris les systèmes de surveillance des maladies) E. Registres/ Rapports des services de santé F1. Base de données / carte des infrastructures et des services de santé F2. Base de données sur les ressources humaines F3. Informations sur le financement et les dépenses des services de santé F4. La base de données des équipements, des fournitures et produits IV Gestion des données V Produits d information A1. Mortalité chez les enfants de (0-5 ans) A2. Mortalité chez les adultes (toutes les causes) A3. Mortalité maternelle A4. Prévalence du VIH A5. Insuffisance pondérale chez l enfant (< 59 mois ou < 36 mois) ADAMAOUA CENTRE EST ETREME-NORD LITTORAL NORD-OUEST NORD OUEST SUD SUD-OUEST CAMEROUN NOTE TOTALE POSSIBLE 35
36 B6. Taux de fréquentation des malades non hospitalisés B7. Couverture de la vaccination contre la rougeole: les enfants de 12 mois et ceux âgés de 12 à 23 mois B8. Accouchements assistés par des professionnels de la santé compétents B9. Taux de réussite du traitement de la tuberculose sous DOTS B10. Pourcentage des enfants (< 59 mois ou < 36 mois) dormant sous une moustiquaire imprégnée B11. Dépenses publiques globales par tête (GGHE) en matière de santé B12. Dépenses des ménages par tête en matière de santé (dépenses d urgence, d assurance privée et ONGs) B13. Nombre de travailleurs du secteur de la santé (total et par catégorie professionnelle) pour 1000 htants C14. Pourcentage des fumeurs dans la population âgée de 15 ans et plus C15. Utilisation du préservatif lors des rapports sexuels à haut risque C16. Proportion des ménages utilisant un système amélioré d adduction d eau de robinet, forage, puits ) Indicateur additionnel numéro Indicateur additionnel numéro VI. Dissémination et utilisation des données A. Analyse et utilisation des données B. Politique et plaidoyer C. Planification et définition des priorités D. Allocations et ressources E. Mise en œuvre et actions
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