3 ème Journées Scientifiques du Site ANRS-CAMEROUN

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1 Site Cameroun 3 ème Journées Scientifiques du Site ANRS-CAMEROUN YAOUNDÉ JUIN 2009 Rapport Scientifique Pr Sinata Koulla Shiro Pr Eric Delaporte 1

2 I. SOMMAIRE I. SOMMAIRE...2 II. AVANT-PROPOS...3 SECTION I...6 LA RECHERCHE VIROLOGIQUE...6 ANRS 12125/ ANRS Action Concertée N 11 (AC11/AC12)...12 ANRS Action Concertée N 12 (AC11/AC12)...14 ANRS ANRS SECTION II...22 ETUDE DE LA TRANSMISSION MERE-ENFANT ET PRISE EN CHARGE PEDIATRIQUE...22 ANRS ANRS ANRS ANRS SECTION III...34 LA RECHERCHE CLINIQUE...34 ANRS ANRS / IMEA ANRS ANRS SECTION IV...45 LES SCIENCES SOCIALES ET ECONOMIQUES...45 ANRS ANRS ANRS ANRS ANRS ANRS ANRS ANRS ANRS ANRS PROGRAMME 3EMES JOURNEES SCIENTIFIQUES DU SITE ANRS-CAMEROUN

3 II. AVANT-PROPOS Le site ANRS de Recherche sur le Sida au Cameroun a été officialisé en 2005 à travers une convention tripartie entre les Ministères de la Santé et de la Recherche du Cameroun et l ANRS. Cette convention a concrétisé une collaboration ancienne entre les différentes équipes camerounaises et françaises financées par l ANRS depuis le début des années 1990 en particulier avec le Dr. Eitel Mpoudi-Ngole. Les 15 et 16 juin 2009 se tiennent les 3ièmes Journées Scientifiques du site où seront présentés les projets en cours. Ainsi que le montre le présent rapport, l activité scientifique de ce site est particulièrement forte avec plus de 20 projets différents financés par l ANRS. Une caractéristique de ce site est la nature pluridisciplinaire des recherches qui y sont menées, allant de la biologie moléculaire aux recherches en Sciences Sociales, et les très nombreuses institutions camerounaises et françaises impliquées. Une caractéristique également des activités du site concerne les projets de recherches opérationnelles avec la mise en synergie des actions d intervention et de recherche en particulier sur le thème de la décentralisation de l accès aux soins avec une action conjointe de l ANRS et du jumelage hospitalier ESTHER avec le CHU de Montpellier. A côté de la Recherche, la Formation et le Renforcement des structures sont les deux activités majeures du site. Dans chaque champs disciplinaire, des étudiants camerounais ont bénéficié ou bénéficient de formation en master et thèse. L année 2009 est marquée par la création d un diplôme inter-universitaire(diu) entre les Universités de Yaoundé et de Montpellier 1 sur la «prise en charge globale du VIH-Sida et les maladies associées». Ce DIU, complémentaire des actions de recherches et d interventions financées par l ANRS et ESTHER bénéficiera d un financement du C2D. Dans le domaine du renforcement des structures, à l occasion de ces journées, sera inauguré le Centre de Coordination et de Recherche Clinique du site ANRS au sein de l Hôpital Central de Yaoundé qui permettra ainsi l accueil, la formation et la conduite de Recherche Clinique dans des conditions optimales. Bénéficiant d un financement de l ANRS et de l IRD, ce Centre sera opérationnel dès juillet 2009 grâce en particulier aux efforts de M. Xavier Garde, Représentant de l IRD à Yaoundé que nous tenons à remercier. 3

4 Centre de coordination et de recherche clinique du site ANRS -Cameroun au sein de l'hôpital Central de Yaoundé (En fin de construction - Juin 2009) Dans le domaine de la biologie, le laboratoire de l IMPM/IRD vient d obtenir l accréditation de l OMS, le seul en Afrique Central pour l étude des résistances aux ARV. A l occasion de ces journées se tiendra la 1 ière Journée «porte ouverte» ANRS ayant pour objectif, à travers des conférences grand public de mieux faire connaître les résultats de la recherche pour la Santé Publique et les patients. Ces journées ont été organisées par le SCAC de l Ambassade de France et en particulier par M. JL Portal dont le soutien au site est un élément important de sa réussite. Au quotidien, ce site vit grâce à une personne clef toujours disponible et efficace, Gabrièle Laborde- Balen, Assistante Technique du MAE qui effectue un travail exceptionnel que nous tenons à souligner et à l en remercier. L ANRS a maintenu un engagement majeur pour soutenir la recherche dans et, pour les pays du Sud, et cela grâce à l impulsion de son Directeur, le Pr. JF Delfraissy avec pour la mise en œuvre de ces 4

5 projets, l équipe du Dr. Brigitte Bazin. Au nom de tous les Chercheurs camerounais et français, nous voulons leur témoigner notre très profonde gratitude. La mise en place d un environnement favorable à la recherche par le gouvernement Camerounais à travers les deux Ministres en charge de la Santé et de la Recherche au Cameroun permet aux chercheurs de travailler dans des conditions optimales et satisfaisantes. Pour cela et pour leur sollicitude constante nous leur exprimons nos remerciements. Nous ne saurons terminer ces avant-propos sans rendre un hommage tout particulier à un très grand chercheur Camerounais qui nous a quitté prématurément en 2008, le Dr. Severin Cécile Abega. Pr Sinata Koulla-Shiro Pr Eric Delaporte Coordinateurs du site ANRS du Cameroun 5

6 SECTION I LA RECHERCHE VIROLOGIQUE 6

7 ANRS 12125/12182 Intitulé du Projet : Identifier et caractériser les virus de l'immunodéficience simienne (SIV) circulants chez les primates non-humains et évaluer de potentielles nouvelles transmissions inter-espèces de SIV du singe à l homme. Coordonnateurs du Projet : Martine Peeters (IRD/UM1) et Eitel Mpoudi Ngole (PRESICA) ANRS Objectif general : Identifier et caractériser les virus de l'immunodéficience simienne (SIV) circulants chez les primates non-humains et évaluer de potentielles nouvelles transmissions inter-espèces de SIV du singe à l homme. Objectifs spécifiques : - Déterminer les caractéristiques moléculaires des SIV isolés dans les différentes espèces de singes présents et étudier leurs relations phylogénétiques avec les HIV/SIV déjà connus. - Etudier de façon approfondie la diversité génétique de SIVcpz dans les populations de chimpanzés sauvages afin de mieux déterminer l origine des HIV-1, en particulier du HIV-1 groupe O. - Documenter la variabilité génétique des différents SIV dans les régions clef du génome pour le diagnostic sérologique et moléculaire de ces infections lentivirales afin de disposer d outils diagnostiques performants. - Rechercher la présence d infection par un SIV dans différentes populations humaines - Etudier l éventuelle présence d une infection par un variant SIVcpz parmi les personnes identifiées comme étant infectées par HIV-1. ANRS12182 s inscrit dans la continuité du projet ANRS Objectif principal L objectif principal de cette nouvelle demande est centré sur l analyse d un des aspects les plus surprenant de nos résultats : l identification de virus HIV-1 apparentés au groupe O chez les gorilles sauvages et des virus HIV-1 M et N chez les chimpanzés. 7

8 Objectifs spécifiques - Identifier plus en détail le réservoir simien du HIV-1 M, N et O en Afrique Centrale et d identifier le réservoir naturel du SIVgor - Caractériser la diversité génétique et l évolution du SIVgor - Déterminer dans quelle mesure les chimpanzés et/ou les gorilles continuent de constituer un réservoir pour de nouvelles infections humaines. RESULTATS 1. Déterminer les caractéristiques moléculaires des SIV isolés dans les différentes espèces de singes présents et étudier leurs relations phylogénétiques avec les HIV/SIV déjà connus. Identifier et de caractériser de nouveaux lentivirus chez les colobes rouges d Afrique de l Ouest (SIVwrcPbt et Pbb) et chez le colobe olive (SIVolc) dans le parc national de la forêt de Taï en Côte d Ivoire et ce, afin d approfondir nos connaissances sur l histoire évolutive de lentivirus de primates (F. Liegeois, S. Locatelli) L analyse phylogénétique des génomes complets de ces virus a mis en évidence qu ils représentaient de nouvelles lignées lentivirales. Nous avons également montré que les colobes rouges en Afrique de l Ouest sont les hôtes naturels du SIVwrc et qu ils sont apparentés au SIVolc isolé chez le colobe olive. Plus généralement, les SIVwrc et SVolc sont également apparentés aux virus de la lignée lhoest et l ensemble de ces virus présente une histoire commune avec le SIVcol, isolé chez un Colobus guereza au Cameroun, sur la partie 5 du gène pol. L ensemble de nos résultats souligne, une fois de plus, la complexité de l histoire naturelle et de l évolution des lentivirus de primates. Locatelli S, Lafay B, Liegeois F, Ting N, Delaporte E, Peeters M. Full molecular characterization of a simian immunodeficiency virus, SIVwrcpbt from Temminck's red colobus (Piliocolobus badius temminckii) from Abuko Nature Reserve, The Gambia. Virology Jun 20;376(1): Epub 2008 Apr 28. Liégeois F, Lafay B, Formenty P, Locatelli S, Courgnaud V, Delaporte E, Peeters M. Full-length genome characterization of a novel simian immunodeficiency virus lineage (SIVolc) from olive Colobus (Procolobus verus) and new SIVwrcPbb strains from Western Red Colobus (Piliocolobus badius badius) from the Tai Forest in Ivory Coast. J Virol Jan;83(1): Epub 2008 Oct 15. Caractérisation du génome complet de SIVgor, et caractéristiques biologiques de SIVgor (A. Ayouba, C. Neel, F. Van Heuverswyn). Le génome complet a été séquencé pour 3 souches SIVgor et une partie du génome pour 1 souche (BQ664) collectée dans un autre site, à 300km de distance. L analyse phylogénétique montre que les SIVgor forment un clade monophyletique sur la totalité du génome. Une analyse approfondie des génomes complets de SIVcpzPtt et SIVgor, a montré la présence de séquences proches du groupe O 8

9 dans des fragments du gêne pol de souches SIVcpzPtt. Un clone infectieux moléculaire a été obtenu pour une souche SIVgor. La transfection de ce clone à montrer une réplication efficace dans les cellules CD4+ d origine humaine et de chimpanzés, ce virus utilise le co-récepteur CCR5 et a un phénotype de neutralisation similaire au HIV-1 et SIVcpz. Au total ces résultats confirment que le SIVgor résulte d une transmission inter-espèce du chimpanzé au gorille. Cependant il n est toujours pas clair qui du chimpanzé ou du gorille a transmis le groupe O à l homme. Takehisa J, Kraus MH, Ayouba A, Bailes E, Van Heuverswyn F, Decker JM, Li Y, Rudicell RS, Learn GH, Neel C, Ngole EM, Shaw GM, Peeters M, Sharp PM, Hahn BH.Origin and biology of simian immunodeficiency virus in wild-living western gorillas. J Virol Feb;83(4): Epub 2008 Dec 10. Caractérisation partielle ou complète de SIV (SIVcpz, SIVagi et SIVpan) infectant des primates non-humains en captivité au Cameroun. (A. Ayouba, F. Liegeois, S. Ahuka en collaboration avec le CPC) Entre 1998 et 2004, le Centre Pasteur du Cameroun (CPC) et les Zoos de Yaoundé-Mvogt Betsi et de Limbé ont signé une convention de partenariat pour le suivi des primates non humains (PNH) confisqués par les autorités aux chasseurs et confiés à ces structures. Pendant la période de quarantaine de ces animaux en général juvéniles, des analyses biologiques étaient effectuées par le service de virologie du CPC à la demande des conservateurs des Zoos. L UMR145 de l IRD à Montpellier, du fait de son expertise et de son intérêt dans l étude de l origine et de la diversité du SIV et du VIH, a signé une convention avec le CPC pour la caractérisation de lentivirus de PNH identifiés comme SIV positifs lors des analyses de quarantaine pratiquées au CPC. Les activités réalisées dans le cadre de ce partenariat font partie d un des objectifs spécifiques du projet ANRS Le matériel biologique (27 plasmas et 8 ADN) de 27 PNH (20 gorilles, 2 cercocèbes agiles, 3 babouins et 2 chimpanzés), dont certains présentaient des réactions croisées fortes avec des antigènes VIH par tests rapides et/ou ELISA, ont été reçus à l UMR145 de l IRD à Montpellier. Le LIA ainsi qu un test nouvellement développé au sein de l Unité basé sur la technologie Luminex, ont été utilisés pour la confirmation du statut sérologique des animaux. Les échantillons confirmés SIV positifs sont en cours de caractérisation par biologie moléculaire. 9

10 2. Evaluer les prévalences SIV dans les populations de primates (à l exception des grands singes) régulièrement chassées comme viande de brousse. Evaluer la prévalence de ces infections chez les colobes rouges de la forêt de Taï en Côte d Ivoire. (F. Liegeois, S. Locatelli). Nous avons realisé la première étude d épidémiologie moléculaire des SIVwrc dans une population de colobes rouges sauvages, lesquels sont fréquemment chassés par les populations humaines et par les chimpanzés (Pan troglodytes verus). Nous avons montré un taux minimal de prévalence des infections lentivirales de 26 % chez ces animaux. Par ailleurs, les associations polyspécifiques observées entre les colobes rouges et d autres espèces simiennes, la pression de chasse exercée par les chimpanzés et les braconniers autour et dans le parc pourraient mener à des transmissions inter-espèces du SIVwrc entre les singes mais également entre les singes et l Homme. Ces résultats illustrent la nécessité de conduire des campagnes de surveillance des microorganismes qui infectent les primates non humains et seraient susceptibles de franchir les barrières d espèces menant à l émergence de nouveaux agents infectieux dans les populations humaines en Afrique. Locatelli S, Liegeois F, Lafay B, Roeder AD, Bruford MW, Formenty P, Noë R, Delaporte E, Peeters M. Prevalence and genetic diversity of simian immunodeficiency virus infection in wild-living red colobus monkeys (Piliocolobus badius badius) from the Taï forest, Côte d'ivoire SIVwrc in wild-living western red colobus monkeys.infect Genet Evol Jan;8(1):1-14. Epub 2007 Sep 4. Prévalence et diversité génétique des SIVs chez les primates chassés et consommés comme viande de brousse au Cameroun et évaluation du risque actuel de nouvelles transmissions de SIVs du singe à l homme. (A. Aghokeng) Nos précédents travaux sur les lentivirus de singes (SIV) circulant au Cameroun ont permis de mieux documenter ces virus chez les grands singes, chimpanzés (SIVcpz) et gorilles (SIVgor) et confirmer l origine zoonotique du VIH-1 retrouvé chez l homme. Chez les petits singes qui vivent au Cameroun, nous avons montré que plus d une trentaine d espèces est naturellement porteuse d un SIV et la chasse et la consommation de ces singes qui reste encore courante au Cameroun et dans d autres pays d Afrique subsaharienne pourrait conduire au passage de ces SIV aux populations humaines dans ces régions. L objectif de cette étude était d évaluer ce risque actuel de nouvelles transmissions de SIV, en étudiant de façon très détaillée les prévalences et la diversité génétique des SIV qui infectent ces singes chassés et consommés au Cameroun. Entre 2001 et 2004, nous avons collecté sur papiers filtres des prélèvements de sang (DBS) de 11 espèces différentes de singes dans 7 régions distinctes du grand Sud Cameroun. Un total de 1856 DBS 10

11 a été collecté et associé à un panel de 730 échantillons de sang total collecté dans le cadre d un précédent projet. Une nouvelle version d un test ELISA SIV-spécifique utilisant des peptides synthétiques gp41 biotinylés, représentant la plupart des lignées SIV connues a été développée. La prévalence globale SIV était faible mais le fait nouveau que nos analyses a montré, est que les espèces de singes chez lesquelles nous observons des prévalences SIV élevées représentent une très faible proportion de viandes de brousse consommées au Cameroun. Cette nouvelle observation peut en partie expliquer l absence d évidences actuelles de nouvelles transmissions de SIV des singes aux humains dans cette région de l Afrique. De plus, cette prévalence semble évoluer en fonction des régions géographiques, et va croissante de la région sud-est au centre-sud. Avelin Aghokeng a bénéficié d une bourse postdoc ANRS dans le cadre de ce projet. Aghokeng AF, Ayouba A, Mpoudi-Ngole E, Loul S, Liegeois F, Delaporte E, Peeters M. Extensive survey on the prevalence and genetic diversity of SIVs in primate bushmeat provides insights into risks for potential new cross-species transmissions. Infect Genet Evol Apr 23. [Epub ahead of print] Prevalence et distribution géographique du SIVgor chez les gorilles sauvages au Cameroun. (C. Neel, L. Etienne) Des échantillons de fèces ont été collectés dans 15 sites, 13 au Cameroun et 2 en RCA (N= 2310). Sur 2310 échantillons collectés, 1760 appartenaient à des gorilles, 432 à des chimpanzés et le reste des échantillons correspond à d autres espèces. Dans 2 sites des échantillons positifs additionnels ont été trouvés. Ceci porte à 15 le nombre total de gorilles positifs au Cameroun. Les séquences SIVgor, pour 3 nouveaux gorilles de CP, sont génétiquement proches des lignées précédemment identifiées dans cette zone. La souche collecte a DJ forme une branche à part dans le cluster des SIVgor. Notre étude montre une distribution inégale de SIVgor chez les gorilles de l Ouest (G.g.gorilla) au Cameroun. 3. Développer les outils sérologiques permettant de rechercher la présence d infection par un SIV dans différentes populations humaines et d étudier l éventuelle présence d une infection par un variant SIVcpz parmi les personnes identifiées comme étant infectés par HIV-1. ( A.Ayouba). Afin de rechercher la présence d infections spécifiques, résultat d une transmission d un variant nouveau de SIV du singe à l Homme, nous avons développé un outil de screening basé sur la technologie du Luminex. Nous avons mis un point un test comprenant un panel de 25 peptides de la boucle V3 et 18 peptides de principal domaine immunodominant de la protéine gp41, représentant les principales lignées HIV/SIV connues à ce jour. Nous avons ainsi développé un outil générique permettant de rechercher des infections spécifiques SIV (et autres infections) dans les échantillons humains, avec efficacité sur un volume réduit de matériel (1 microlitre de plasma suffit). 11

12 ANRS Action Concertée N 11 (AC11/AC12) Groupe Quantification Virale Coordination du groupe : C. Rouzioux (Necker) Membres du groupe : Ammelal B. (CHU Pitié Salpetrière) ; Avettand-Fenouel V., Ganon A. (CHU Necker) ; Bargues G. (CHU Grenoble) ; Descamps D. (CHU Bichat) ; Geudin M., Plantier JC (CHU Rouen) ; Guistau O. (CHU Rennes) ; Pellegrin I., Capdepont S. (CHU Bordeaux) ; Saune K. (CHU Toulouse) ; Tamalet C., Colson P. (CHU Marseille) ; Vabret A. (CHU Caen) ; Chaix ML (CHU Necker) ; Joulia D. (Côte d Ivoire) ; Nerrienet E. (IPC, Cambodge) ; Ngo N. (Thaïlande) ; Rouet F. (Burkina Faso) ; Rousset D (CPC, Cameroun) ; Toure Kane C. (Sénégal) ; Truong Thi Xuan L. (IPHCM, Vietnam) ; Van de Perre P. (IRD, Montpellier). Date de début : 1992 Objectif du groupe : Développement de techniques alternatives de quantification virale par PCR Temps réel. Etat d avancement actuel : Renforcement du positionnement du kit ARN G2 de l ANRS (Biocentric) avec sa mise en place en routine dans de nombreux pays du Sud pour le suivi thérapeutique des Patients infectés par le VIH et le diagnostic précoce de l infection et avec plus de 20 publications faisant état de ses performances. Au Cameroun, son utilisation en routine depuis août 2008 a permis de diviser par 2 le coût de la charge virale Développement d un kit ADN dérivé du kit ARN appliqué au diagnostic précoce de l infection à VIH Etudes sur l utilisation de papiers filtres pour la détection de l ARN ou ADN du VIH / la quantification virale ou encore le génotypage de résistance (avec comparaisons des papiers / des techniques d extraction des durées et des conditions de conservation).. Perspectives : Poursuite des travaux sur les kits Biocentric ARN et ADN. 12

13 Evaluation de l intérêt d un diagnostic très précoce de l infection à VIH, dans un contexte de recommandations visant à la prise en charge et mise sous traitement précoce des nouveaux nés infectés par le VIH. Améliorer l accessibilité dans les pays du Sud des différents tests évoqués ci-dessus à travers l utilisation des papiers filtres. Poursuite d une veille sur les différents kits de quantification virale avec notamment suivi de l adaptation des kits aux souches circulantes. Valorisation depuis 2007 : Rouet et al., Impact if HIV-1 Genetic diversity on plasma HIV-1 RNA quantification. Usefulness of the Agence Nationale de Recherches sur le SIDA Second-Generation Long Terminal Repeat-Based Real Time Reverse transcriptase Polymerase Chain Reaction Test. J. Acquir. Immune Defic Synd 45 (4) august 1 : Rouet et al., In-house HIV-1 RNA real-time reverse transcription PCR assays: principle, available tests and usefulness in developing countries. Exp Rev Mol Diagn, 8(5) :

14 ANRS Action Concertée N 12 (AC11/AC12) Résistance aux antirétroviraux (ARV) des souches VIH-1 non-b dans les pays du sud Coordination du groupe : Marie-Laure Chaix (Necker), et Martine Peeters (IRD/UM1) Membres du groupe : D. Descamps (Bichat, Paris) ; C. Rekacewicz (ANRS, Paris) ; B. Bazin (ANRS, Paris) ; F. Barin (CHU Tours) ; B.Masquelier (CHU, Bordeaux) ; A. Ayouba (IRD, Montpellier) ; JC. Plantier (CHU, Rouen) ; A Aghokeng (IRD, Yaoundé) ; T. Lien (IP, Vietnam) ; F. Rouet (C. Muraz, Bobo- Dioulasso) ; D. Rousset (CPC, Yaoundé) ; C. Touré-Kane (HALD, Dakar) ; N. Ngo Giang-Huong (PHPT, Chiang Mai) ; T. Toni D Aquin/V. Yapo (CeDreS, Abidjan) ; E. Nerrienet (IP Cambodge). Objectifs : Etudier la résistance des VIH-1 non-b qui prédominent dans les pays du Sud dont l Afrique et l Asie du sud-est aux ARV à travers des études et des projets de recherche communs. Objectifs spécifiques : - Contrôle de Qualité pour les laboratoires participants identiques à celui des laboratoires nord (pré-requis pour les études cliniques). - Développer des projets de recherche multicentriques sur la résistance du VIH-1 aux ARV afin de mieux comprendre l impact de la diversité génétique sur l émergence de cette résistance, et également son évolution en fonction des traitements ARV utilisés dans chaque contexte. Projet ANRS : Etudier les résistances du VIH-1 aux ARV chez les personnes naïves de traitement, en Afrique et en Asie. Projet ANRS : Etudier l efficacité virologique et de la fréquence de virus résistants chez les personnes traitées, dans un contexte d accès élargi aux ARV. - Etudier le polymorphisme dans l intégrase. - Évaluer la faisabilité d étude des résistances sur du matériel sanguin prélevé sur papier filtre. Etat d avancement actuel: Au sein du groupe, plusieurs projets de recherche ont déjà été conduits (ANRS 12134) ou sont en cours de démarrage (ANRS 12186), avec pour objectif de mieux comprendre l émergence et l évolution de la résistance chez les patients naïfs ou sous traitement ARV en Afrique et en Asie du sud-est. 14

15 L étude ANRS a montré que la prévalence des mutations de résistance était inférieure à 5% dans tous les sites et pour chacune des 3 classes étudiées (PI ; NRTI et NNRTI), à l exception du Cameroun pour les NNRTI, où cette prévalence est classifiée modérée, comprise entre 5 et 15%. Dans ce cas de figure, les recommandations de ResNet stipulent que la surveillance soit refaite un an après cette première surveillance, soit en Dans la mesure où c est une information importante pour le site, une nouvelle surveillance en 2009 est prévue. L objectif principal du projet est d évaluer l efficacité virologique et les résistances aux ARV après 12 et 24 mois chez les patients traités en première ligne et suivis dans les programmes et structures nationaux selon l approche de santé publique de l OMS (sans suivi virologique). Les procédures administratives sont en cours dans les 7 sites + la France. Ces deux projets qui impliquent le Cameroun sont présentés plus en détails ci-après. Dans le cadre des activités du groupe, il a été décidé de mener une étude sur le polymorphisme de l intégrase complémentaire de celle faite dans le groupe résistances Nord et portant sur les soustypes/crfs circulants au Sud. Les travaux faits par les équipes de Rouen et Montpellier ont permis d identifier et d améliorer plusieurs étapes cruciales pour la mise en place des tests de résistances et charges virales sur DBS ; méthodes d extraction d ARN, comparaison DBS et DPS et la conservation. Un protocole sera établi pour être évalué sur les sites participant à l étude 12186, afin d évaluer la faisabilité sur le terrain des paramètres optimisés dans les labos au nord (projet DBS soumis couplé a l étude 12186). Perspectives : Poursuivre la conduite de projets de recherche d envergure et des travaux de groupe permettant une meilleure compréhension de l impact de la diversité génétique sur l émergence de la résistance du VIH au ARV et l impact sur les traitements. Développer des techniques alternatives d étude et de suivi de la résistance dans les pays du Sud et poursuivre les programmes de contrôle de qualité. Valorisation : Aghokeng AF, Vergne L, Mpoudi-Ngole E et al. Evaluation of transmitted HIV drug resistance among recently-infected antenatal clinic attendees in four Central African countries.antivir Ther. 2009;14(3): Nouhin J et al.low prevalence of drug resistance transmitted virus in HIV Type 1-infected ARV-naive patients in Cambodia. AIDS Res Hum Retroviruses May;25(5):

16 Ahidjo Ayouba, Truong T.X.Lien, Janin Nouhin, et al. Prevalence of HIV-1 drug resistance mutations in previously untreated, recently infected patients from Burkina Faso, Cambodia, Cameroon, Côte d Ivoire, Senegal, Thailand and Vietnam: The ANRS study. Submitted. Janin N, Sopheak N, Regis MP, et al. Low Prevalence of Drug Resistance Transmitted Virus in HIV Type 1-Infected ARV- Naive Patients in Cambodia. AIDS Res Hum Retroviruses Apr 23. Necker (ML. Chaix) Montpellier (A Ahidjo, M. Peeters) Bichat (D. Descamps, F. Brun-Vezinet) Bordeaux (B. Masquelier, H. Fleury) Rouen (JC. Plantier) 50% CRF02-AG A, D, C, CRF06.. Senegal (C. Toure-Kane) Côte d Ivoire (TA. Toni) Cameroon (A. Aghokeng) Burkina Faso (F. Rouet) Thaïlande (N. Ngo) Vietnam (L. Xuan) Cambodge (E. Nerrienet) CRF01-AE CRF02-AG ++ diversity in Cameroon 16

17 ANRS Intitulé du projet : Evaluation de la fréquence de virus VIH-1 résistant aux antirétroviraux chez des patients naïfs de traitement au Cambodge, Vietnam, Thaïlande, Burkina Faso, Cameroun, Côte d Ivoire et Sénégal : Données site Cameroun Coordinateurs du projet : Martine Peeters (IRD/UM1) et Marie-Laure Chaix (CHU Necker) Période : Objectif de l étude : Ce projet avait pour but d évaluer la prévalence des souches VIH-1 résistantes aux antirétroviraux (ARV) chez des patients naïfs de traitement en Asie du Sud-Est (Cambodge, Thaïlande et Vietnam) et en Afrique (Burkina Faso, Cameroun, Côte d Ivoire et Sénégal). Au Cameroun, le projet était conduit dans 2 sites, Yaoundé et Douala, suivant la méthode générique développée par l OMS, qui requiert un faible nombre de patients, une logistique minimale et un coût réduit. Cette méthode de surveillance de la résistance transmise appelée «HIV drug resistance threshold survey ou HIVDR-TS» permet de fournir aux décideurs des programmes, aux cliniciens et aux biologistes des données sur la fréquence des résistances transmises dans la population et les stratégies de prévention à développer. I étude a été financée pour le site Yaoundé par l ANRS et par l OCEAC/OMS-Afro pour le site Douala. Etat d avancement du projet : Au niveau du Cameroun, l étude a été conduite dans les 2 grands sites de prise en charge ARV du pays, Yaoundé et Douala où la population a une longue expérience d exposition aux ARV. La population d étude choisie était celle préférentiellement recommandée par l OMS, c est-à-dire les jeunes femmes âgées de moins de 25 ans, en première grossesse, et VIH-1 positives. Cette population est supposée mieux représenter les personnes nouvellement infectées et chez lesquelles le risque de traitement ARV antérieur au recrutement est faible. Le recrutement a été couplé à la séro-surveillance sentinelle organisée dans les sites ci-dessus mentionnés en 2006, et été prolongé sur 2007 en ciblant la tranche d age < 25 ans pour atteindre le panel souhaité. Tous les prélèvements ont été confirmés en sérologie VIH et testés pour la résistance aux ARV dans le laboratoire de virologie IMPM/IRD de Yaoundé (laboratoire accrédité OMS pour la surveillance de la résistance). 17

18 Les analyses statistiques ont été faites avec la méthode de seuil de l OMS et la liste des mutations également recommandée par l OMS pour ces études. Résultats obtenues : Dans les deux sites, le panel d étude a été atteint (50 à 70 échantillons éligibles), mais avec des délais supérieurs à plusieurs mois de ceux annoncés par l OMS, ce qui a représenté une des principales limitations de l étude, cette population étant trop restrictive. Dans les 2 sites Yaoundé et Douala, nous avons obtenu une fréquence de transmission des mutations de résistance faible (<5%) pour les inhibiteur de la protéase (IP) qui restent peu utilisés au Cameroun. Cette prévalence était également faible pour les inhibiteurs nucléosidiques/nucléotidiques de la reverse transcriptase (INRT) à Yaoundé et les inhibiteurs non nucléosidiques de la reverse transcriptase (INNRT) à Douala. Cependant, à Yaoundé nous avons obtenu une prévalence intermédiaire dite modérée (5%-15%) pour les INNRT avec 2 patients portant la mutation K103N, et à Douala pour les INRT, dont un patient avec la D67D/N (INRT), et un second avec la M184V (INRT) et K101E et G190A (INNRT). Une prévalence >5% indique qu un certain nombre de virus résistants sont transmis dans la population et des actions doivent être entreprises pour les limiter. Néanmoins, suivant les recommandations de l OMS, il faut d abord répéter l étude l année suivante et si cette tendance est confirmée, des mesures correctives doivent être prises. Durée du projet : Ce projet est actuellement terminé. Perspectives : Dans la suite logique de cette étude, il est indispensable de confirmer les prévalences observées dans les sites Yaoundé et Douala du Cameroun. Dans cette optique, l ANRS vient d accepter de financer au sein du groupe de travail sur la résistance AC 12, la reconduite de la surveillance dans le site Yaoundé à hauteur de Valorisation et publications : Aghokeng AF, Ayouba A, Vergne L, Butel C, Mpoudi Ngole E, Delaporte E and Peeters M. Surveillance and monitoring of HIVDR in Central Africa : The CEMAC Initiative. WHO workshop on surveillance and monitoring HIVDR in Africa Region, December 2007, Windhoek, Namibia (Communication orale, consultant OMS). Aghokeng AF, Vergne L, Atem-Tambe A, Tongo M, Peyou MN, Butel C, Delaporte E, Mpoudi-Ngole E, Peeters M, and OCEAC HIVDR study group. Evaluation of transmitted HIV drug resistance using the WHO HIVDR-TS model in four Central Africa countries. XVII international HIV drug resistance workshop. Basic principles and clinical implications, June 10-14, Sitges, Spain (Poster). 18

19 Aghokeng AF, Vergne L, Mpoudi-Ngole E, Mbangue M, Deoudje N, Mokondji E, Nambei S, Peyou-Ndi MM, Moka JL, Delaporte E and Peeters M. Evaluation of transmitted HIV drug resistance among recently-infected antenatal clinic attendees in four Central African countries. Antivir Ther. 2009;14(3): Diversité génétique des VIH-1 caractérisés dans les sites d étude, Yaoundé et Douala, au cours de cette surveillance de la résistance du VIH aux ARV. 19

20 ANRS Intitulé du projet : Evaluation de l échec virologique et résistances aux ARVs chez des patients VIH positifs pris en charge dans les programmes et structures nationaux au Burkina-Faso, Cameroun, Côté d Ivoire, Sénégal, Thaïlande, Togo et Vietnam Coordinateurs du projet : Ahidjo AYOUBA (IRD/UM1) et Avelin F. AGHOKENG (IRD/UM1) Période : Objectif de l étude : L objectif principal de ce projet est d évaluer l efficacité virologique et la fréquence de résistances aux ARV en cas d échec virologique après 12 et 24 mois chez les patients traités en première ligne et suivis dans les programmes et structures nationaux selon l approche de santé publique de l OMS (sans suivi virologique). Les objectifs spécifiques sont : Déterminer la proportion de patients ayant une charge virale plasmatique indétectable après 12 et 24 mois de traitement ARV. Déterminer la fréquence de virus résistants et le type de mutations sélectionnées chez les patients ayant une charge virale détectable (CV >1000). Déterminer les facteurs associés aux échecs virologiques et l apparition des mutations de résistances Étudier le type de mutations sélectionnées en fonction des traitements reçus et en fonction des différents sous-types/crf prédominants dans l étude : CRF01 (>90% en Asie du sud-est) versus CRF02 (>70% en Afrique centrale et de l ouest). État d avancement du projet : - La première étape de ce projet est une étape administrative avec la soumission du projet au sein des comités d éthique de chaque pays. La validation du projet auprès des comités éthiques a été obtenue déjà pour les pays suivants : Burkina-Faso, Cameroun, Sénégal, Togo, Vietnam, France. - En parallèle, les investigateurs principaux pour chaque pays ont commencé à mettre en place le projet avec des réunions d information des personnes impliquées (médecins, techniciens, infirmiers ). - Le questionnaire permettant de recueillir les informations socio-démographiques sur le patient, son historique de traitement et les données d observance a été rédigé et distribué (en Français et en 20

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