Les déterminants de l investissement.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les déterminants de l investissement."

Transcription

1 Intrductin Les déterminants de l investissement. La prblématique du cût de l investissement. Le taux d intérêt réel et l effet de levier Hypthèse Cmprendre l effet de levier La prfitabilité Le rôle des anticipatins et de l incertitude. La prblématique de l épargne : principe de sacrifice u de dépense? Le rôle majeur des anticipatins. L efficacité marginale du capital Le rôle clé de la demande anticipée. intrductin Les déterminants de l investissement, cela signifie les causes, les facteurs de l investissement. Quels snt les éléments que le chef d entreprise prend en cmpte pur investir? Étude de marché : il faut cnnaître la demande (investissement de capacité). La cncurrence : pur être cncurrentiel il faut baisser les cûts de prductin (investissement de prductivité). Le financement de l investissement : Il y a le bénéfice pur financer l investissement Il y a les emprunts avec les taux d intérêt Il y a également les actins. La rentabilité de l investissement : l investissement sera décidé si n estime qu il sera rentable. Purqui cherche t n à cmprendre ses déterminants? La FBCF est un élément de la demande. PIB + M = Cnsmmatin finale + FBCF + Exprtatins + variatin de stcks + dépenses publiques.

2 Si les entreprises investissent alrs il faudra prduire pur satisfaire cette demande de biens d équipement. La Fbcf est également un élément de l ffre. Si les entreprises investissent plus alrs la prductin va augmenter. Cnclusin : Si l investissement n augmente pas beaucup d une année sur l autre, cela freinera la crissance écnmique. Cmment une entreprise se finance-t-elle? Financement Interne / financement Externe Financement direct / financement indirect Écnmie d endettement / écnmie de marché Le financement interne c est l autfinancement c est à dire que les entreprises financent par elles-mêmes leur investissement à l aide des prfits mis en réserve. Le financement externe des entreprises peut prvenir des banques, des sciétés financières mais également de l émissin d bligatins u d actins. Émettre des actins c est accepter de nuveaux prpriétaires (l actin est un titre de prpriété). Émettre des bligatins, c est s endetter (l bligatin est un titre de créance). Quand le financement se fait par le crédit bancaire, il y a créatin mnétaire. Lrsqu une entreprise a un besin de financement il n y a pas tujurs créatin mnétaire dans la mesure ù les entreprises u les ménages à capacité de financement prêtent leur épargne.

3 Prblématique intéressante : En qui le passage d une écnmie d endettement à une écnmie de marché financier affecte-t-il la décisin d investir? Annnce du plan : Pur cmprendre l investissement il faut s intéresser à deux questins : l influence du cût de l investissement sur la décisin d investir l influence de l incertitude sur la décisin d investir, décisin face au futur. La prblématique du cût de l investissement. Le taux d intérêt intervient dans le calcul du cût de l investissement (le cût de l équipement est majré de l intérêt à payer si le financement est fait par emprunt). Pur cmprendre l influence du taux d intérêt sur l investissement il nus faut distinguer le taux d intérêt nminal, du taux d intérêt réel sachant que celui qui imprte est le taux d intérêt réel (c est à dire en francs cnstants, c est à dire en vlume, il faut dnc enlever au taux d intérêt nminal, le taux d inflatin.) Le taux d intérêt réel = taux d intérêt nminal taux d inflatin.

4 Le taux d intérêt réel et l effet de levier On peut avir un taux d inflatin supérieur au taux d intérêt nminal dnc le taux d intérêt réel sera négatif. Quand n emprunte, il vaut mieux que le taux d inflatin sit élevé et le taux d intérêt réel négatif u faible. Quand le taux d intérêt réel diminue, les entreprises nt mins d appréhensin à emprunter. Par cntre pur ceux qui prêtent de l argent il vaut mieux que les taux d intérêt réels sient élevés c est à dire le taux d inflatin bas. Hypthèse A la fin des années 80, le taux d inflatin était supérieur au taux d intérêt nminal. Cnstat (vir le graphique ci dessus) Entre 1980 et 1992, le taux d intérêt réel ne cesse d augmenter. A partir de 1992, il baisse mais il demeure psitif. Le fait que le taux d intérêt réel augmente n entraîne pas une baisse du taux d investissement, au cntraire. L évlutin du taux d investissement n est dnc pas celle du taux d intérêt réel. Bilan Pur préciser l influence du taux d intérêt réel sur la décisin d investir, nus avns besin d intrduire 2 ntins : L effet de levier La prfitabilité Cmprendre l effet de levier

5 Pur cmprendre l effet de levier n dit distinguer tut d abrd 2 frmes de rentabilité. L entreprise dit cnnaître la capacité de l investissement à prcurer des revenus (s il est rentable u nn d investir) La rentabilité écnmique Elle est un indicateur de la perfrmance de l ensemble des capitaux engagés. Fnds prpres (KP) : autfinancement et capital scial. Dettes (D) : crédits, bligatins Capitaux engagés (K) = dettes (D) + fnds prpres (KP) La rentabilité écnmique intéresse l entreprise. Elle mesure sa capacité à dégager du prfit à partir de l investissement réalisé. La rentabilité financière Elle est un indicateur de la perfrmance des fnds prpres La rentabilité financière intéresse les prpriétaires de l entreprise. Ils snt intéressés par sn augmentatin. La rentabilité financière est fnctin de la rentabilité écnmique ; elle se calcule de la manière suivante : Frais financiers/dettes : taux d intérêt Dettes / capitaux prpres : levier d endettement. Exercice p102 EBE = 10 et K = 100 dnc RE = 10 %

6 RE = 10% Origine des capitaux Hypthèse 1 : Hypthèse 2 : Taux d endettement Taux = 5% Taux = 15% levier KP = 100 ; D= 0 10,00% 10,00% 0,00% 0 KP = 90 ; D= 10 10,55% 9,44% 10,00% 1/9 KP = 50 ; D= 50 15,00% 5,00% 50,00% 1 KP = 10 ; D= 90 55,00% -35,00% 90,00% 9 Cmprendre les calculs - Exemple : Pur un taux d intérêt de 5 % - si KP = 90 et D= 10 alrs RF = 10,55 %

7 RF = 10 + ((10 5) X 1/9) = 10,55 % Cnstats Lrsque le taux d intérêt est de 5 %, n bserve une crrélatin psitive entre le taux d endettement et la rentabilité financière. On cnstate que l augmentatin du taux d endettement s accmpagne d une augmentatin du taux de rentabilité financière. On vit que la rentabilité financière est systématiquement supérieure à la rentabilité écnmique et cela d autant plus que le levier d endettement est imprtant. C est l effet de levier. Lrsque le taux d intérêt est de 15%, n bserve une crrélatin négative entre le taux d endettement et la rentabilité financière. On cnstate que l augmentatin du taux d endettement s accmpagne d une diminutin du taux de rentabilité financière. On vit que la rentabilité financière est systématiquement inférieure à la rentabilité écnmique et cela d autant plus que le levier d endettement est imprtant. C est l effet bmerang. Enseignements Jusque dans les années 70, n est dans une situatin d inflatin dnc les taux d intérêt réels snt bas vire négatifs. L écnmie d endettement a dnc favrisé le financement de l investissement par la dette et dnc finalement l investissement. Durant les années 80 il y a une hausse du taux d intérêt nminal (plitique écnmique d austérité) et une baisse de l inflatin dnc une hausse du taux d intérêt réel. L effet bmerang va peser sur la rentabilité financière de l investissement, cela d autant plus si l entreprise a un levier d endettement imprtant. Dans ce cntexte, la préccupatin va être d abaisser ce levier en se désendettant (au détriment de l investissement) et en augmentant les fnds prpres mais pur cela il faut rétablir la rentabilité financière (les entreprises vnt chercher à réduire les cûts de prductin par la recherche d une plus grande flexibilité de la prductin). (vir la créatin de valeur pur l actinnaire) Le taux d intérêt réel influence l investissement par un autre canal. La prfitabilité C est la différence entre la rentabilité financière (u écnmique) et le taux d intérêt réel.

8 Dans cette frmule, le taux d intérêt dit être cmpris sit cmme le cût de l investissement sit cmme la rémunératin de placements financiers. C est cette secnde acceptin qui nus intéresse ici. Si la prfitabilité est négative, les épargnants n nt aucun intérêt à une augmentatin du capital scial (achat d actins) car la rémunératin des capitaux prpres (rentabilité financière) est inférieure à celle de placements financiers grâce au taux d intérêt. Cela finalement ne prfite pas à l investissement. Il faut que la prfitabilité sit au mins psitive pur inciter les actinnaires à financer des prjets d investissement. Aujurd hui, les exigences en terme de prfitabilité snt frtes. (vir la créatin de valeur pur l actinnaire) Dcument 15 p102 Ce qui intéresse l entreprise c est de satisfaire ses actinnaires. La prfitabilité est très imprtante pur une entreprise aujurd hui. Elle indique s il est avantageux d investir u nn. C est le capital scial qui jue un rôle imprtant aujurd hui. La rémunératin des actinnaires par les dividendes est avantagée par rapprt à l investissement. Le taux d intérêt réel influence la décisin d investir de deux manières : Au niveau du cût de l investissement Au niveau de la prfitabilité Si le taux d intérêt réel jue un rôle pur expliquer l évlutin de l investissement, les mécanismes snt lin d être autmatiques. Le rôle des anticipatins et de l incertitude. L entreprise qui a une capacité d investissement peut chisir sit de faire de l épargne sit d investir. La prblématique de l épargne : principe de sacrifice u de dépense? Dc 19 p105 Principe de sacrifice : La thérie libérale (thérie néclassique) dit que pur tut investissement, il faut une épargne préalable.

9 Marché de fnds préalables est la rencntre des agents à capacité de financement (Offre de fnds préalable = l épargne) avec des agents à besin de financement (Demande de fnds préalables = investissement). L investissement s adapte à l épargne et dnc pur un investissement, n a besin d une épargne préalable. Prblématique Est-ce que l épargne des entreprises est un préalable à l investissement? C est à dire faut-il que les entreprises fassent du bénéfice pur investir? p. 102 dc 14 Il y a tris curbes sur ce graphique : une représente le taux de marge, une autre le taux d investissement et une autre enfin le taux d autfinancement. Taux de marge = (EBE/VAB) x 100 Taux d autfinancement = (EB/FBCF) x 100. Taux d investissement = (FBCF / VAB) x 100 Avant 1982 le taux de marge est de plus en plus faible. A partir de 1982 il y a une prgressin du taux de marge. Dnc les entreprises s enrichissent. Le fait que le taux de marge augmente explique que le taux d autfinancement augmente. Est-ce que cette prgressin du taux de marge a favrisé la crissance de l investissement? Sur l ensemble de la péride cette hypthèse n est pas ttalement vérifiée. Exemples : Entre 1982 et 1985, le taux de marge augmente et le taux d investissement baisse. A partir de 1990, le taux d investissement baisse alrs que le taux de marge reste stable. Cette analyse met en cause le principe de sacrifice qui peut-être illustré par la thérème de Schmidt : «les prfits d aujurd hui snt les investissements de demain»

10 Cela démntre que l épargne n est pas une cnditin suffisante pur l investissement. C est à dire qu il ne suffit pas que l entreprise épargne pur investir. A ce stade n peut s intéresser au principe de dépense de la thérie keynésienne. Ce principe est illustré par le thérème de Kalecki. Il dit «les capitalistes gagnent ce qu ils dépensent, et les salariés dépensent ce qu ils gagnent.» C est à dire que pur les capitalistes leur dépense c est l investissement et c est l investissement qui fait le bénéfice. Ce principe de dépense entre en cntradictin avec le principe de sacrifice. (Parce que le principe de sacrifice c est : épargner et après vus investirez). En effet, si les agents écnmiques épargnent, cela signifie que la demande va baisser et dnc les entreprises aurnt mins l ccasin de prduire et dnc de faire du bénéfice. Ce principe de dépense permet de cmprendre l évlutin cntradictire du taux d autfinancement et celle du taux d investissement. Car malgré le fait que les entreprises fassent du bénéfice, si elles ne prévient pas une crissance de la demande alrs elles ne sernt pas incitées à investir pur prduire. Les prfits ne suffisent pur investir. Ce qui va cmpter c est la cnfiance dans l avenir, autrement dit les anticipatins que vnt faire les entrepreneurs sur l évlutin de la demande. Le rôle majeur des anticipatins. L efficacité marginale du capital L analyse keynésienne a insisté sur cet aspect cnsidérant que le chef d entreprise prend la décisin d investir dans un univers incertain et que face à cette incertitude il a un cmprtement mimétique (c est à dire qu il fait cmme les autres). Keynes dit : «Il vaut mieux se trmper tus ensemble, qu avir raisn tut seul». Dans l analyse de Keynes, le taux d intérêt va juer un rôle imprtant. En effet, n cnsidère qu il cristallise la cnfiance u l absence de cnfiance dans l avenir. Cncrètement, lrsque l avenir est de plus en plus incertain les taux d intérêt nt tendance à augmenter.

11 Dans un cntexte d incertitude, face à l avenir, les entrepreneurs cherchent à prévir ce que sera la demande et surtut cherchent à préciser leurs recettes futures. Pur cela, la variable clé est le taux d intérêt qui indique l état des anticipatins cncernant le futur. On dit cnsidérer que le taux d intérêt va représenter 2 chses : il est le cût du financement de l investissement. Il est également le taux d actualisatin des recettes futures. L entrepreneur va cmparer ce que lui cûte sn investissement avec ce qu il va lui rapprter. Pur cela deux prblèmes se psent : prévir les revenus futurs et les actualiser. Pur cela il va utiliser le taux d actualisatin dnc le taux d intérêt. Le raisnnement est le suivant : L entrepreneur prévit ses revenus futurs et les actualise (1 apprche de la ntin d efficacité marginale du capital (EMC)). Par hypthèse, l entrepreneur va avir un cmprtement mimétique c est à dire qu il va faire cmme les autres. Les anticipatins pur le futur vnt se retruver dans le taux d intérêt. Le taux d intérêt représente l anticipatin. Si les taux d intérêt augmentent traduisant une perte de cnfiance dans le futur, alrs les revenus futurs actualisés baissent. Ainsi, les anticipatins sur le futur juent un rôle imprtant sur la décisin d investir. Même si les entreprises fnt du prfit, elles peuvent prévir que le futur se dégrade et dnc elles hésiternt à investir. Il est difficile pur une entreprise de faire des anticipatins. Cependant n sait que ce qui préccupe l entreprise c est la demande anticipée. Hausse de la demande anticipée hausse de la prductin hausse de l investissement. Le rôle clé de la demande anticipée. Nus avns vu que la décisin d investir dépendait de plusieurs facteurs : les taux d intérêt réels l effet de levier la prfitabilité les bénéfices On vient de vir que l investissement dépend des anticipatins que fnt les entrepreneurs. Dans ce dernier pint, n insistera sur le rôle de la demande et n mntrera que ce dernier facteur ( la demande anticipée) est un élément essentiel dans la décisin d investir. On s intéresse à un mécanisme qui s appelle le principe de l accélérateur. Nus savns que

12 l investissement est un élément de la demande et dnc si l investissement augmente, la prductin augmente également. Nus allns nus intéresser au raisnnement inverse : lrsque la prductin augmente, l investissement augmente. sit l'exercice suivant : Demande anticipée (P) Équipement nécessaire (K) Investissement induit Taux de variatin de la demande Taux de variatin de l investissement % (110 x 3) 21 ( ) + 6,8 % 133% ([( 21 9)/9] x 100) ,6 % 11,4% ([( )/110] x 100) % - 66,6 % % -100 % Quel est le cefficient de capital de cette écnmie? K/P = Capital/prductin C est le nmbre d unités de capital qu il faut pur une unité de prductin. Équipement nécessaire = K Demande anticipée = P Ici K/P = 3 L investissement induit c est la même chse que l investissement prvqué par la variatin de la demande.

13 Si la demande augmente, la prductin augmente, dnc le capital nécessaire augmente (seln le cefficient de capital) et dnc il y a une variatin de l investissement (variatin du capital) et inversement. Ceci explique le fait que si la demande varie alrs l investissement varie aussi. Quand n passe d une demande de 125 à une demande de 130, n cnstate que la demande augmente mins vite, il y a un ralentissement de la demande. Ce ralentissement de la demande induit une variatin de l investissement qui devient négative. Phénmène accélérateur : la demande augmentant de mins en mins vite, cela prvque une variatin de l investissement très faible. L investissement a baissé parce que la demande n a pas suffisamment augmenté par rapprt au capital détenu par l entreprise. Principe d accélératin : la variatin de la demande finale anticipée induit une variatin plus que prprtinnelle de l investissement. ntes de curs prpsées par Marin et Pauline - année sclaire 2001 / 2002 Jana C. et

Résumé du module 6 : Coût et structure du capital

Résumé du module 6 : Coût et structure du capital Résumé du mdule 6 : Cût et structure du capital Ce mdule explique tut d abrd cmment une sciété établit sn cût du capital. Vus apprenez cmment calculer la pndératin des cmpsantes et les cûts du capital

Plus en détail

a) Financement par des tiers : emprunts, crédits bancaires, leasing, crédit spontané (lors d un achat à crédit) ;

a) Financement par des tiers : emprunts, crédits bancaires, leasing, crédit spontané (lors d un achat à crédit) ; Chapitre 3 : Analyse de la trésrerie 1 Intrductin La gestin de la trésrerie est indispensable à tute entreprise puisqu elle lui permet d assurer sa slvabilité. Le rôle du gestinnaire de trésrerie demande

Plus en détail

FIN-INTER-04 LA GESTION DES RISQUES INTERNATIONAUX

FIN-INTER-04 LA GESTION DES RISQUES INTERNATIONAUX FIN-INTER-04 LA GESTION DES RISQUES INTERNATIONAUX Public cncerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 6 à 8 heures. Objectifs : Pré requis : Mdalités : Identifier les utils permettant de gérer

Plus en détail

Financement des investissements Page 1 sur 6

Financement des investissements Page 1 sur 6 Financement des investissements Page 1 sur 6 Une UC a tujurs besin d investir que ce sit pur : - Remplacer du matériel bslète (ex : investir dans l util infrmatique) - Augmenter sa capacité de vente (ex

Plus en détail

L'ANALYSE DU BILAN PATRIMONIAL EN VALEURS NETTES. Approfondir l'analyse du bilan financier : retraitements du bilan comptable.

L'ANALYSE DU BILAN PATRIMONIAL EN VALEURS NETTES. Approfondir l'analyse du bilan financier : retraitements du bilan comptable. L'ANALYSE DU BILAN PATRIMONIAL EN VALEURS NETTES Objectif(s) : Pré-requis : Apprfndir l'analyse du bilan financier : retraitements du bilan cmptable. Principes d'analyse du bilan financier : Mdalités :

Plus en détail

Sociétés Non Financières - taux endettement - % PIB, valeur nominale

Sociétés Non Financières - taux endettement - % PIB, valeur nominale T1 1999 T4 1999 T3 2000 T2 2001 T1 2002 T4 2002 T3 2003 T2 2004 T1 2005 T4 2005 T3 2006 T2 2007 T1 2008 T4 2008 T3 2009 T2 2010 T1 2011 T4 2011 T3 2012 T2 2013 Accmpagner le muvement de désintermédiatin

Plus en détail

- 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES. Outils de gestion prévisionnelle, d'analyse financière et du contrôle de gestion. TABLE DES MATIERES

- 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES. Outils de gestion prévisionnelle, d'analyse financière et du contrôle de gestion. TABLE DES MATIERES - 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES Objectif(s) : Pré requis : Mdalités : Présentatin du tableau de brd, Principes de la remntée des cmptes. Outils de gestin prévisinnelle, d'analyse financière

Plus en détail

LE RVER EN UN COUP D ŒIL

LE RVER EN UN COUP D ŒIL LE RVER EN UN COUP D ŒIL Le terme RVER est l acrnyme pur Régime Vlntaire d Epargne-Retraite. C est un nuveau régime de retraite régi par la Li sur les régimes vlntaires d'épargneretraite (Li sur les RVER)

Plus en détail

Dossier Spécial. Les 5 étapes pour vendre ACT! Apprendre à détecter un besoin en Gestion de Contacts

Dossier Spécial. Les 5 étapes pour vendre ACT! Apprendre à détecter un besoin en Gestion de Contacts Dssier Spécial Les 5 étapes pur vendre ACT! Apprendre à détecter un besin en Gestin de Cntacts Ce dssier à pur bjectif de vus aider à cmmercialiser ACT! auprès de vs clients et prspects. Nus allns vus

Plus en détail

Retour à la rentabilité opérationnelle et résultat net de 4,4 M

Retour à la rentabilité opérationnelle et résultat net de 4,4 M Retur à la rentabilité pératinnelle et résultat net de 4,4 M 28-02-2007 Retur à la rentabilité pératinnelle et résultat net de 4,4 M Chiffre d affaires : 36,3 M en hausse de 71% Résultat net de 12% du

Plus en détail

Recommandations de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain au gouvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016

Recommandations de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain au gouvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016 Recmmandatins de la Chambre de cmmerce du Mntréal métrplitain au guvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016 Juillet 2015 1 Préambule La Chambre de cmmerce du Mntréal métrplitain (la Chambre) cmpte

Plus en détail

- Le service aux tables. - Le service rapide & commande pour emporter. - Le service à l auto. - La livraison. o Voir le feuillet Livraison.

- Le service aux tables. - Le service rapide & commande pour emporter. - Le service à l auto. - La livraison. o Voir le feuillet Livraison. Pint De Vente Lgiciel de gestin Les Lgiciels Velce, Vtre gestinnaire La versatilité, la simplicité et la rapidité de ntre pint de vente, ne fnt pas qu amélirer vtre service à la clientèle, elles permettent

Plus en détail

Les prix de l électricité en France : évolutions passées et perspectives

Les prix de l électricité en France : évolutions passées et perspectives Les prix de l électricité en France : évlutins passées et perspectives A l heure ù la Cmmissin Eurpéenne vient de publier un rapprt cmplet sur les prix de l énergie en Eurpe, présentant leur évlutin sur

Plus en détail

Amandine CUER INDUSTRIELS! GAGNEZ DU TEMPS DANS VOS ECHANGES AVEC VOS INFORMATIQUE - INTERNET - TELECOMMUNICATIONS LA LETTRE D INFORMATION - MAI 2011

Amandine CUER INDUSTRIELS! GAGNEZ DU TEMPS DANS VOS ECHANGES AVEC VOS INFORMATIQUE - INTERNET - TELECOMMUNICATIONS LA LETTRE D INFORMATION - MAI 2011 Amandine CUER À: Amandine CUER Objet: Cyb@rdèche - Osez les nuvelles technlgies... Pièces jintes: image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg Imprtance: Haute Si

Plus en détail

Démarche d'observation de la société de l'information en région Provence Alpes Côte d'azur. Atelier thématique n 1 :

Démarche d'observation de la société de l'information en région Provence Alpes Côte d'azur. Atelier thématique n 1 : Observatire Réginal de la sciété de l infrmatin Démarche d'bservatin de la sciété de l'infrmatin en régin Prvence Alpes Côte d'azur Atelier thématique n 1 : Les PME de la Régin Prvence-Alpes-Côte d'azur

Plus en détail

MISSIONS COMMERCIALES

MISSIONS COMMERCIALES DEVELOPPEMENT ET OBJECTIFS MISSIONS COMMERCIALES Prcédure et bjectifs Le but d'une missin cmmerciale est de distribuer et prmuvir les prduits u services d'une entreprise. Les démarches à suivre snt les

Plus en détail

GUIDE pour la CONDUITE D ENTRETIEN

GUIDE pour la CONDUITE D ENTRETIEN GUIDE pur la CONDUITE D ENTRETIEN - 1 - 1. La situatin d entretien L entretien s éligne des échanges spntanés que l n rencntre qutidiennement en situatin de travail. Une situatin finalisée à durée limitée

Plus en détail

Terrain de jeu Analogie au sport professionnel

Terrain de jeu Analogie au sport professionnel Terrain de jeu Analgie au sprt prfessinnel USO : US Oynnax Rugby : management dans le sprt Le 9 décembre 2009, Olivier Nier, entraîneur de l USO, Pr D2 de rugby, réalisait dans le cadre d une cnférence

Plus en détail

Pour répondre au besoin de sécurité juridique et de prévisibilité, la Loi type devrait traiter des questions suivantes:

Pour répondre au besoin de sécurité juridique et de prévisibilité, la Loi type devrait traiter des questions suivantes: Descriptin de la prpsitin du Canada cncernant l élabratin d une Li type sur les règles de cmpétence et de cnflits de lis en matière de cntrats de cnsmmatin dans le cadre de la CIDIP-VII Dans le cadre de

Plus en détail

FOCUS : LES SYSTÈMES D INFORMATION

FOCUS : LES SYSTÈMES D INFORMATION Une autre apprche pur un enjeu stratégique Les systèmes d infrmatin, qui innervent l entreprise et qui impactent de manière sensible sn fnctinnement, cnstituent encre suvent un dmaine «réservé aux experts»,

Plus en détail

Les assurances automobiles

Les assurances automobiles Les assurances autmbiles I. Les différentes assurances a) L assurance au tiers est une bligatin légale Cette assurance au tiers que l n peut qualifier de base cuvre uniquement les dmmages causés à un tiers.

Plus en détail

Haut Conseil de la santé publique

Haut Conseil de la santé publique Haut Cnseil de la santé publique AVIS relatif à la vaccinatin par le vaccin pneumcccique cnjugué 11 décembre 2009 Vaccin pneumcccique cnjugué Un nuveau vaccin pneumcccique cnjugué (Prevenar 13 ), cmpsé

Plus en détail

Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d ordre actuariel

Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d ordre actuariel Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d rdre actuariel Jurnées d études du SACEI et de l IA Deauville, jeudi 20 septembre 2012 Nrbert Gautrn ngautrn@galea-asscies.eu Smmaire 1.

Plus en détail

COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Information financière au 30 juin 2014

COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Information financière au 30 juin 2014 COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Infrmatin financière au 30 juin 2014 INFORMATION PRESSE Clermnt-Ferrand, le 29 juillet 2014 1 er semestre 2014 : Slide résultat pératinnel avant éléments

Plus en détail

OBSERVATION DES CLASSES

OBSERVATION DES CLASSES Prpsitin Graz OBSERVATION DES CLASSES 30-08-2002 NOTES POUR LES OBSERVATEURS OBJECTIFS: Observer la manière dnt l enseignant(e)intègre l apprche dans ses activités qutidiennes. Cela implique aussi une

Plus en détail

22 LE FINANCEMENT DE L ÉCONOMIE

22 LE FINANCEMENT DE L ÉCONOMIE 22 LE FINANCEMENT DE L ÉCONOMIE A LES DIFFÉRENTES FORMES DE FINANCEMENT 1 L'ajustement des capacités et des besins de financement a) Capacités et besin de financement des agents en France 1. Le financement

Plus en détail

Chap 10 : L évaluation et la valorisation du potentiel de l équipe commerciale

Chap 10 : L évaluation et la valorisation du potentiel de l équipe commerciale Chap 10 : L évaluatin et la valrisatin du ptentiel de l équipe cmmerciale I. L évaluatin du ptentiel de l équipe A. Les enjeux de l évaluatin Les enjeux : Pur l évaluateur : Faire le bilan de l année :

Plus en détail

PROCEDURE POUR UN BESOIN DE SANTE PARTICULIER «PBSP»

PROCEDURE POUR UN BESOIN DE SANTE PARTICULIER «PBSP» Département de la frmatin et de la sécurité Service de l'enseignement Departement für Bildung und Sicherheit Dienststelle für Unterrichtswesen PROCEDURE POUR UN BESOIN DE SANTE PARTICULIER «PBSP» 2 Table

Plus en détail

Sessions préparation à la retraite Formule Express 1 journée

Sessions préparation à la retraite Formule Express 1 journée OFFRE DE SERVICES Sessins préparatin à la retraite Frmule Express 1 jurnée SÉMINAIRES Par Cégep Marie-Victrin, Centre de services aux entreprises Mnsieur Jean Perrn, cnseiller en frmatin 767, rue Bélanger

Plus en détail

ACCORD SUR LE RECOUVREMENT AMIABLE EN CREDIT A LA CONSOMMATION

ACCORD SUR LE RECOUVREMENT AMIABLE EN CREDIT A LA CONSOMMATION ACCORD SUR LE RECOUVREMENT AMIABLE EN CREDIT A LA CONSOMMATION L ASF et les rganisatins de cnsmmateurs c-signataires snt cnvenues de ce qui suit!: Le présent accrd cncerne le recuvrement amiable, c est-à-dire

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER DU PREMIER SEMESTRE DE L EXERCICE 2013-2014

RAPPORT FINANCIER DU PREMIER SEMESTRE DE L EXERCICE 2013-2014 RAPPORT FINANCIER DU PREMIER SEMESTRE DE L EXERCICE 2013-2014 PAIRI DAIZA SA - RAPPORT FINANCIER DU PREMIER SEMESTRE DE L EXERCICE 2013-2014 infrmatin réglementée - Publié le 31 INTRODUCTION En tant que

Plus en détail

Solutions de pilotage énergétique pour les bâtiments d activité professionnelle

Solutions de pilotage énergétique pour les bâtiments d activité professionnelle Slutins de piltage énergétique pur les bâtiments d activité prfessinnelle Efficiency Builder CONFIDENTIEL - Prpriété de Bnext Energy BNEXT ENERGY: HISTORIQUE ET CHIFFRES CLÉS Entrée à l incubateur Midi

Plus en détail

Vente de Capacités de Stockage de gaz du 13 mai 2015

Vente de Capacités de Stockage de gaz du 13 mai 2015 Vente de Capacités de Stckage de gaz Prduit & Quantité Prpsée SEDIANE NORD 120 90 JUIN 2015 1 TWh sur le Grupement Sediane Nrd. Type de prduit Capacité Nminale de Stckage : vlume dnnant drit à des capacités

Plus en détail

Archivage et valeur probatoire. Livre blanc

Archivage et valeur probatoire. Livre blanc Archivage et valeur prbatire Livre blanc Les nms, lieux u événements cités dans cette publicatin ne visent aucune persnne, assemblée u assciatin existante u ayant existé. Tute similitude u ressemblance

Plus en détail

Approche générale de l OCRCVM pour l évaluation des risques de crédit liés aux contreparties

Approche générale de l OCRCVM pour l évaluation des risques de crédit liés aux contreparties Avis sur les règles Appel à cmmentaires Règles des curtiers membres Persnne-ressurce : Richard J. Crner Vice-président à la plitique de réglementatin des membres 416 943-6908 rcrner@iirc.ca Destinataires

Plus en détail

Article. «Simulations d un modèle basé sur l hypothèse du cycle de vie» Jean-Pierre Aubry et Diane Fleurent

Article. «Simulations d un modèle basé sur l hypothèse du cycle de vie» Jean-Pierre Aubry et Diane Fleurent Article «Simulatins d un mdèle basé sur l hypthèse du cycle de vie» Jean-Pierre Aubry et Diane Fleurent L'Actualité écnmique, vl. 55, n 4, 1979, p. 467-500. Pur citer cet article, utiliser l'infrmatin

Plus en détail

Coalition énergie et construction durable

Coalition énergie et construction durable RÉALISATION D UN CONCEPT D EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE DANS UN CADRE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE BÂTIMENT DE MOISSON MONTRÉAL CONCEPT PRÉPARÉ PAR L ENSEMBLE DES PROFESSIONNELS MEMBRES DU COMITÉ EXPERTS

Plus en détail

Scénario 2 : La promesse

Scénario 2 : La promesse Scénari 2 : La prmesse D enise est infirmière auxiliaire autrisée depuis 10 ans, Elle exerce dans une clinique externe d un grand hôpital général. Aujurd hui, elle est chargée de prendre sin d Amanda,

Plus en détail

e x o s CORRIGÉ 07-01 ... Chapitre 7. La conduite du diagnostic 1. Bilan fonctionnel par grandes masses Bilan fonctionnel de la société Bastin

e x o s CORRIGÉ 07-01 ... Chapitre 7. La conduite du diagnostic 1. Bilan fonctionnel par grandes masses Bilan fonctionnel de la société Bastin ................................................... Chapitr 7. La cnduit du diagntic CORRIGÉ 07-01 1. Bilan fnctinnl par grand ma Bilan fnctinnl d la ciété Batin Empli tabl 3 900 Rurc prpr 3 870 Actif

Plus en détail

Nouveautés apportées à l assessment-tool

Nouveautés apportées à l assessment-tool Nuveautés apprtées à l assessment-tl La dcumentatin et les utils d aide de Friendly Wrk Space snt régulièrement révisés, actualisés et dévelppés. Ainsi, la directive a une nuvelle fis été mise à jur en

Plus en détail

PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Toulois et chargée de mission en économie et gestion option vente

PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Toulois et chargée de mission en économie et gestion option vente PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Tulis et chargée de missin en écnmie et gestin ptin vente Sus le piltage de Christine Françis IEN Définir PFMP :.. Vus

Plus en détail

Formation Référencement / SEO e-commerce

Formation Référencement / SEO e-commerce Page 1 sur 5 28 bd Pissnnière 75009 Paris T. +33 (0) 1 45 63 19 89 cntact@ecmmerce-academy.fr http://www.ecmmerce-academy.fr/ Frmatin Référencement / SEO e-cmmerce Optimisez et amélirer vtre visibilité

Plus en détail

Programme Eau, Climat et Développement pour l'afrique. Termes de référence pour le recrutement d un Expert Socio/agro-économiste

Programme Eau, Climat et Développement pour l'afrique. Termes de référence pour le recrutement d un Expert Socio/agro-économiste Prgramme Eau, Climat et Dévelppement pur l'afrique Termes de référence pur le recrutement d un Expert Sci/agr-écnmiste Dans le cadre de l élabratin de l étude sur l intégratin des impacts du changement

Plus en détail

Dossier de Presse. 1 ier guide Interactif pour créateurs et entrepreneurs

Dossier de Presse. 1 ier guide Interactif pour créateurs et entrepreneurs Dssier de Presse 1 ier guide Interactif pur créateurs et entrepreneurs «Une applicatin innvante accmpagnée par les leaders du marché» www.e-parcurs.fr (Micrsft, Gan Assurances, Cegid, Accr Services France,

Plus en détail

Je suis capable tout seul!

Je suis capable tout seul! Je suis capable tut seul! Cette vignette vise à faire décuvrir aux parents (et autres membres significatifs de l enturage) cmment favriser l autnmie de leur enfant dans tutes les sphères de sn qutidien.

Plus en détail

Proposition de Veille Internet Campagnes Electorales 2012

Proposition de Veille Internet Campagnes Electorales 2012 Prpsitin de Veille Internet Campagnes Electrales 2012 Pur tut savir sur ce que les respnsables plitiques, candidats à l électin Présidentielle, candidats aux électins législatives disent de vus et sur

Plus en détail

Processus des services

Processus des services Prcessus des services TABLE DES MATIÈRES: 1 Garantie sur les prduits 2 Supprt pur les prduits 3 Cmpsant à remplacer par l utilisateur final (EURP : End User Replaceable Part) 4 Défectueux à l arrivée (DOA

Plus en détail

Fiche de projet pour les institutions publiques

Fiche de projet pour les institutions publiques Fiche de prjet pur les institutins publiques Infrmatins pratiques Nm de l institutin publique ayant intrduit le prjet: SPF Technlgie de l'infrmatin et de la Cmmunicatin (Fedict). Nm du prjet : egv Mnitr

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Consultation expert en investissement participatif

CAHIER DES CHARGES Consultation expert en investissement participatif CAHIER DES CHARGES Cnsultatin expert en investissement participatif Date de publicatin : 06/04/2014 Date de reprt des candidatures : 10/01/2014 à 13h00 Le présent cahier des charges a pur bjet une missin

Plus en détail

Présentation de la SCHL Canada

Présentation de la SCHL Canada Habitatin Présentatin de la SCHL Canada André Asselin Habitatin Habitatin Crissance cntinue du crédit hypthécaire à l habitatin $1 400 $1 200 Sciétés de titrisatin spécialisées TH. LNH Autres cies. sans

Plus en détail

Gestion des Prospects : Adresses à exporter

Gestion des Prospects : Adresses à exporter Gestin des Prspects : Adresses à exprter 2 Tables des matières 1. Intrductin : Adresses à exprter p 3 2. Que signifie une adresse qualifiée? p4 2.1 Particulier = le client final 2.2 Cnducteur lié à une

Plus en détail

Bourse Étienne-Beauclair Banque Nationale

Bourse Étienne-Beauclair Banque Nationale La Burse Étienne-Beauclair Banque Natinale Burse d' excellence destinée aux persnnes ayant une déficience visuelle pur la réalisatin de prjets nvateurs 15 000 $ Dépsez vs candidatures entre Le 15 décembre

Plus en détail

Les dossiers de FO RÉSIDENCE PRINCIPALE. Prêts soumis à conditions de revenus : o Critères d attribution :

Les dossiers de FO RÉSIDENCE PRINCIPALE. Prêts soumis à conditions de revenus : o Critères d attribution : Les dssiers de FO Maj septembre 2013 RÉSIDENCE PRINCIPALE Prêts sumis à cnditins de revenus : Critères d attributin : Salarié sus cntrat à durée indéterminée dnt l'ancienneté minimale est de 1 an, en vue

Plus en détail

PRIMONIAL SÉRÉNIPIERRE CONTRAT D ASSURANCE VIE

PRIMONIAL SÉRÉNIPIERRE CONTRAT D ASSURANCE VIE PRIMONIAL SÉRÉNIPIERRE CONTRAT D ASSURANCE VIE AVEC LE FONDS SÉCURITÉ PIERRE EURO : >> un investissement en immbilier avec une garantie permanente en capital, assrtie d une perspective de rendement particulièrement

Plus en détail

[SIMULATEUR DE CREDIT IMMOBILIER]

[SIMULATEUR DE CREDIT IMMOBILIER] Telecm Bretagne - Département LUSSI Simulateur de crédit immbilier TP d'initiatin au langage C# Philippe Tanguy / Frédéric Cadier IADBA 2008-2009 IADBA 2008-2009 [SIMULATEUR DE CREDIT IMMOBILIER] OBJECTIFS

Plus en détail

Fiche sur les assurances nécessaires lors d un séjour à l étranger

Fiche sur les assurances nécessaires lors d un séjour à l étranger Fiche sur les assurances nécessaires lrs d un séjur à l étranger Préambule Cette fiche cncerne les assurances nécessaires lrs d un séjur à l étranger. En effet, Éducatin internatinale cnsidère maintenant

Plus en détail

Comportement sécuritaire en clinique

Comportement sécuritaire en clinique Cmprtement sécuritaire en clinique Interventins en physithérapie Avec la clientèle à risque Gisèle Burdeau, physithérapeute Intrductin Que ce sit avec les persnnes âgées u les clients en phase aiguë de

Plus en détail

CYBERLEARN COURS MOODLE. SUPPORT DE TRAVAIL Pour professeur-es et assistant-es d'enseignement

CYBERLEARN COURS MOODLE. SUPPORT DE TRAVAIL Pour professeur-es et assistant-es d'enseignement CENTRE e-learning HES-SO CYBERLEARN COURS MOODLE SUPPORT DE TRAVAIL Pur prfesseur-es et assistant-es d'enseignement Sndages et tests : rendez vs curs Mdle interactifs! HES-SO 2010 Team Cyberlearn Table

Plus en détail

Chap I : Economie d'entreprises

Chap I : Economie d'entreprises Chap I : Ecnmie d'entreprises Au sens large, le terme entreprise s'utilise pur des prjets uniques mais d'apparence risquée u difficile (par exemple, un grand vyage u une recherche scientifique), car il

Plus en détail

Vivre avec un conjoint alcoolodépendant

Vivre avec un conjoint alcoolodépendant Vivre avec un cnjint alcldépendant Addictin Suisse Lausanne 2011, 3e éditin revue En cllabratin avec le GREA, Fachverband Sucht et Ingrad. La brchure décrit la situatin d'une femme vivant avec un partenaire

Plus en détail

ENREGISTEUR NUMERIQUE USB Guide utilisateur

ENREGISTEUR NUMERIQUE USB Guide utilisateur Intrductin La netbx HD ffre désrmais la fnctinnalité d Enregistreur Numérique USB (PVR-USB) vus permettant : D enregistrer directement sur vtre disque USB les prgrammes TNT u TNT-HD reçu par vtre netbx

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS»

CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS» CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS» APS Frmatin 15 Rue de Ngent 51100 REIMS Tel : 03.26.82.84.84 / Fax : 03.26.82.58.23 www.apscnsult.fr CONTEXTE Dans l Entreprise, le rôle de l Expert-Cmptable

Plus en détail

Titre II / Chapitre 1I : Faciliter l accès au soins de premier recours

Titre II / Chapitre 1I : Faciliter l accès au soins de premier recours Titre II / Chapitre 1I : Faciliter l accès au sins de premier recurs Article 18 : Généralisatin du tiers-payant Cmmuniqué du Ministère Purqui le Guvernement prend-il cette mesure? De nmbreux Français renncent

Plus en détail

ITIL V3. Les principes de la conception des services

ITIL V3. Les principes de la conception des services ITIL V3 Les principes de la cnceptin des services Créatin : janvier 2008 Mise à jur : janvier 2010 A prps A prps du dcument Ce dcument de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé en se basant

Plus en détail

ÉTAPES CLÉS DE LA RÉPONSE AUX VIOLATIONS DU RESPECT DE LA

ÉTAPES CLÉS DE LA RÉPONSE AUX VIOLATIONS DU RESPECT DE LA AVIS DE PRATIQUE DE L OMBUDSMAN DU MANITOBA Les avis de pratique snt préparés par l Ombudsman du Manitba afin d aider les persnnes qui utilisent la législatin. Leur bjet en est un de cnseil seulement et

Plus en détail

Consultation relative aux pratiques commerciales dans le secteur du courtage en assurance de dommages au Québec Commentaires présentés à

Consultation relative aux pratiques commerciales dans le secteur du courtage en assurance de dommages au Québec Commentaires présentés à Cnsultatin relative aux pratiques cmmerciales dans le secteur du curtage en assurance de dmmages au Québec Cmmentaires présentés à L Autrité des marchés financiers Septembre 2005 TABLE DES MATIÈRES PRÉAMBULE...1

Plus en détail

Obligations des employeurs par seuils d effectifs de l entreprise. Toutes entreprises confondues

Obligations des employeurs par seuils d effectifs de l entreprise. Toutes entreprises confondues Obligatins des emplyeurs par seuils d effectifs de l entreprise Tutes entreprises cnfndues Affichages bligatires Déclaratin et cmmunicatin à caractère péridique : Déclaratins et cmmunicatins à caractère

Plus en détail

Kluwer ERP Dashboard - VERO. www.kluwer.be/software

Kluwer ERP Dashboard - VERO. www.kluwer.be/software Kluwer ERP Dashbard - VERO www.kluwer.be/sftware Table des matières INFORMATIONS UTILES... 2 COMMENT UTILISER LE DASHBOARD... 4 LE CONTENU DU DASHBOARD... 6 LES CHIFFRES ET LES INDICATEURS... 6 LES GRAPHIQUES...

Plus en détail

Les stratégies de Backup dans WSS V3

Les stratégies de Backup dans WSS V3 Les stratégies de Backup dans WSS V3 Quelles snt les différentes slutins de BackUp Nus avns vu au travers des précédents articles différents sujets pur Windws SharePint Services V3. Il nus faut maintenant

Plus en détail

esil PROJET DE MODELISATION ORIENTEE OBJET INFORMATIQUE - 3 ANNEE

esil PROJET DE MODELISATION ORIENTEE OBJET INFORMATIQUE - 3 ANNEE Thmas DE SIANO Cédric ESCALLIER Thierry BAUD esil département infrmatique 3 ième année Prfesseur Mr. F. DUMAS Table des matières CHAPITRE 1 : ETUDE SUR RATIONAL ROSE ENTREPRISE V.2001A... 3 1.1. FONCTIONNALITES...3

Plus en détail

AC T I V I T É PHYSIQUE

AC T I V I T É PHYSIQUE AC T I V I T É PHYSIQUE Mieux cnnaitre et prendre en cmpte les mtivatins des publics à la pratique d activités physiques : repères pur les prfessinnels Oc t b r e 2 0 1 0 IREPS Rhône-Alpes Instance Réginale

Plus en détail

PROCESSUS DE CERTIFICATION DES MONITEURS JE NAGE INFORMATIONS POUR LES MAITRE ÉVALUATEURS

PROCESSUS DE CERTIFICATION DES MONITEURS JE NAGE INFORMATIONS POUR LES MAITRE ÉVALUATEURS PROCESSUS DE CERTIFICATION DES MONITEURS JE NAGE INFORMATIONS POUR LES MAITRE ÉVALUATEURS NOTE: Les mniteurs qui suivent la frmatin de mise à niveau et de mise à niveau à distance ne snt pas tenus de remplir

Plus en détail

Service de mobilité interbancaire - Règlement

Service de mobilité interbancaire - Règlement versin 3-1/7/2011 Service de mbilité interbancaire - Règlement Ce règlement cnstitue le cadre général dans lequel les banques participantes ffrent en Belgique au cnsmmateur un service de mbilité interbancaire

Plus en détail

Guide d aide à la rédaction d un essai

Guide d aide à la rédaction d un essai Guide d aide à la rédactin d un essai Un essai peut avir plusieurs bjectifs, mais la structure de base reste la même quel qu en sit le sujet. Vus puvez l écrire afin de discuter d un pint de vue particulier

Plus en détail

Expertises juridiques et entreprises dans la Région Nord - Pas de Calais : quels besoins? Quelles réponses? Quelle adéquation?

Expertises juridiques et entreprises dans la Région Nord - Pas de Calais : quels besoins? Quelles réponses? Quelle adéquation? Expertises juridiques et entreprises dans la Régin Nrd - Pas de Calais : quels besins? Quelles répnses? Quelle adéquatin? EDHEC Survey Etude réalisée par Sarah CUNY, Charltte GARD, Mandana LATIFI, Camille

Plus en détail

Manuel d'utilisation: Gestion commerciale - CRM

Manuel d'utilisation: Gestion commerciale - CRM Manuel d'utilisatin: Gestin cmmerciale - CRM Partie: Actins de la CRM Versin : 1.1 Structure du dcument 1 Intrductin...2 2 Glssaire...2 3 Actins de la CRM...3 3.1 Tri...3 3.1.1 Tri client...4 3.1.2 Tri

Plus en détail

Service de mobilité interbancaire - Règlement

Service de mobilité interbancaire - Règlement versin 1.0-28/10/2009 Service de mbilité interbancaire - Règlement Ce règlement cnstitue le cadre général dans lequel les banques participantes ffrent en Belgique au cnsmmateur un service de mbilité interbancaire

Plus en détail

Forum 3.0 de l industrie des médias interactifs

Forum 3.0 de l industrie des médias interactifs Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Rapprt des grupes de discussin: faits saillants Préparé par Harld Gendrn, Cnsultant Recherche et veille en médias interactifs et Jean-Pierre Faucher, Cnsultant

Plus en détail

3 extraits de l Observatoire des Grandes Ecoles Gallileo Edition 2014 :

3 extraits de l Observatoire des Grandes Ecoles Gallileo Edition 2014 : GALLILEO Business Cnsulting 29 Rue Jean-Jacques Russeau - 75001 Paris : 01 55 74 68 00 Email: quentin.ballu@gallile.fr URL : www.gallile.fr COMMUNIQUE DE PRESSE : Les aspiratins prfessinnelles des cadres

Plus en détail

Promotion Le défi des étoiles Aéroplan 2013. Q1. Qu est-ce que la promotion Le défi des étoiles Aéroplan?

Promotion Le défi des étoiles Aéroplan 2013. Q1. Qu est-ce que la promotion Le défi des étoiles Aéroplan? Prmtin Le défi des étiles Aérplan 2013 Q1. Qu est-ce que la prmtin Le défi des étiles Aérplan? La prmtin Le défi des étiles est une ffre de milles-bnis destinée à récmpenser les membres qui accumulent

Plus en détail

Contenu de version 2.1.13

Contenu de version 2.1.13 Cntenu de versin 2.1.13 Auteur : CGI DIFFUSION Respnsables clients Versin Date Rédacteur Cmmentaires 0.0 19/03/2014 RDUB Initialisatin du dcument 1.0 20/04/2015 TLEC Mdificatin du dcument ENT_V2 1 13_Cntenu

Plus en détail

Les accidents du travail

Les accidents du travail Les accidents du travail Table des matières Qu est-ce qu un accident du travail?... 2 Que faire en cas d accident du travail?... 3 Cmment s effectue l indemnisatin?... 4 Pur les membres de SMartBe?...

Plus en détail

Patrice LE LOUS. Rapport de stage

Patrice LE LOUS. Rapport de stage Rapprt de stage DESS Ingénierie Financière Année universitaire 2002-2003 REMERCIEMENTS Mes premiers remerciements vnt naturellement vers M. Jacques GRAZILLY, créateur et gérant de la S.A.R.L. BATISPORT,

Plus en détail

Projet «Pour une Europe sociale, apprenons la MOC»

Projet «Pour une Europe sociale, apprenons la MOC» Prjet «Pur une Eurpe sciale, apprenns la MOC» Synthèse des échanges du cllectif cityen Plusieurs réunins nt eu lieu, entre juillet 2009 et juin 2010 en régin Nrd Pas de Calais, autur du prjet «Pur une

Plus en détail

Agilité et gestion de projet

Agilité et gestion de projet Agilité et gestin de prjet Sensibilisatin Yann Olive AUTOPORTRAIT RAPIDE 2 Dates clés Avant : Etudes de Physilgie végétale 2000 : Débuts dans le dévelppement Web 2012 : Respnsable Prductin et Qualité Web

Plus en détail

ALL Arts, Lettres, Langues. Information Communication Culture

ALL Arts, Lettres, Langues. Information Communication Culture Niveau : MASTER année Dmaine : Mentin : ALL Arts, Lettres, Langues Infrmatin Cmmunicatin Culture M2 Spécialité : Master 2 Recherche, «Cmmunicatin et médiatins» 120 ES Vlume hraire étudiant : 100 h 38 h

Plus en détail

CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES. Exposés des principes liés aux participations et aux contrôles des sociétés, Exercices corrigés, Synthèse.

CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES. Exposés des principes liés aux participations et aux contrôles des sociétés, Exercices corrigés, Synthèse. CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES Objectif(s) : Présentatin des principes écnmiques et juridiques relatifs à la cnslidatin des cmptes dans les grupes de sciétés, Ntins : périmètre de cnslidatin, purcentage

Plus en détail

(les caractères apparaissent en vidéo inversé : blanc sur fond

(les caractères apparaissent en vidéo inversé : blanc sur fond Editin d un dcument De l allumage du PC à sa sauvegarde et à sn impressin RF : PeMWrdSyst_0707/Tice/Web/DataSite Objet: Ntice d utilisatin d un traitement de texte pur la créatin d un dcument, de la mise

Plus en détail

GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS. Préparation aux examens de l AMF. Pour : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES

GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS. Préparation aux examens de l AMF. Pour : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS Préparatin aux examens de l AMF Pur : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES Prfesseur : Jacques Bélanger 04-2012 TABLE DES MATIÈRES I.

Plus en détail

CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE

CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE Décembre 2014 1 SOMMAIRE CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS LE MARCHE UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE UNE DEMARCHE STRATEGIQUE INSCRITE DANS LA DUREE LE

Plus en détail

A toutes les Directrices et à tous les Directeurs des établissements scolaires de l enseignement secondaire et secondaire technique

A toutes les Directrices et à tous les Directeurs des établissements scolaires de l enseignement secondaire et secondaire technique SERVICE INFORMATIQUE Luxemburg, le 20 ctbre 2010 Référence: SI/DW/101020 A tutes les Directrices et à tus les Directeurs des établissements sclaires de l enseignement secndaire et secndaire technique Cncerne:

Plus en détail

Impôt des personnes physiques - Habitation propre et avantages fiscaux avant 2015

Impôt des personnes physiques - Habitation propre et avantages fiscaux avant 2015 23 février 2015 Impôt des persnnes physiques - Habitatin prpre et avantages fiscaux avant 2015 Bernard Mariscal, Benefits Expert, Delitte Belgium Publié dans : Lettre d'inf Actualités Fiscales n 7, 23.02.2015,

Plus en détail

livraisons en centrale

livraisons en centrale 2013 Cahier des charges pur livraisns en centrale A l attentin des furnisseurs de Carrefur Belgium Table des matières A/ ETIQUETAGE LOGISTIQUE... 2 A1/Rappel... 2 A2/ Le manuel d'étiquetage lgistique de

Plus en détail

E-COMMERCE ET TVA. Cliquez pour modifier les styles du texte du masque. Deuxième niveau > Troisième niveau Quatrième niveau #ECP14

E-COMMERCE ET TVA. Cliquez pour modifier les styles du texte du masque. Deuxième niveau > Troisième niveau Quatrième niveau #ECP14 1 E-COMMERCE ET TVA 2 4 / 0 9 / 2 0 1 4 Cliquez pur mdifier les styles du texte du masque > Trisième niveau THE CROSS-CHANNEL EVENT 23 > 25 SEPTEMBER 2014 I PARIS I PORTE DE VERSAILLES I PAVILION 7-3 #ECP14

Plus en détail

Logiciel de gestion des inscriptions en CPGE

Logiciel de gestion des inscriptions en CPGE Admissin CPGE Lgiciel de gestin des inscriptins en CPGE La réfrme du mde de recrutement en classes préparatires aux Grandes Écles intervenu en 2003 a prfndément mdifié la gestin par les établissements

Plus en détail

GUIDE INSTALLATION IAS

GUIDE INSTALLATION IAS Guide d installatin IAS 1 IMPACT TECHNOLOGIES se réserve le drit de mdifier à tut mment le cntenu de ce dcument. Bien que l exactitude des renseignements qu il cntient sit cntrôlée avec sin, IMPACT TECHNOLOGIES

Plus en détail

Master en alternance dans l enseignement supérieur. Vade-mecum à destination des étudiants

Master en alternance dans l enseignement supérieur. Vade-mecum à destination des étudiants Master en alternance dans l enseignement supérieur Vade-mecum à destinatin des étudiants Préambule Ce dcument ne préjuge pas de l évlutin des législatins ni de l indexatin et /u des mdificatins des mntants

Plus en détail

GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES

GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES Nvembre 2009 Table des matières Intrductin...1 1. Règles de cnfrmité...3

Plus en détail

PHASE 1 : choix et définition du sujet du TM.

PHASE 1 : choix et définition du sujet du TM. PHASE 1 : chix et définitin du sujet du TM. Le chix du sujet est une partie imprtante du TM. Ce chix se fait durant la 1 ère phase. La prblématique du thème cncerne le rapprt entre la chimie et la vie

Plus en détail