Intégration. Rappels. Définition 3. Soit I un intervalle réel et f : I E. On dit que F : I E est. f(x) f(a) x a
|
|
- Alexis Vachon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intégrtion Les fonctions considérées ci-dessous sont des fonctions définies sur un intervlle réel I, à vleurs réelles ou complees ou, plus générlement, à vleurs dns un espce vectoriel normé de dimension finie sur K = R ou K = C. Pour lléger les énoncés, chque fois que l on prler d une fonction f à vleurs dns E, il ser sous-entendu que E est un espce vectoriel normé de dimension finie sur K = R ou K = C. Bien entendu cel inclut le cs des fonctions réelles (E = R) et le cs des fonctions complees (E = C). Dns tous les cs on noter l norme de (même si E est un espce vectoriel normé utre que R ou C). Il est importnt de rppeler que l intégrle de Leesgue n est ps u progrmme du Cpes. Aucune définition rigoureuse de l notion d intégrle n est u progrmme. L clsse des fonctions intégrles est réduite à l clsse des fonctions continues pr morceu sur un intervlle fermé orné [, ]. Rppels Définition. Soit I un intervlle réel quelconque. Une fonction f : I E est continue pr morceu si, pour chque intervlle fermé orné [, ] I, f est continue sur [, ] suf u plus en un nomre fini de points, et si f dmet une limite à guche et à droite en chque point de [, ]. Nottion : On noter C M (I, E) l ensemle des fonctions continues pr morceu définies sur l intervlle I de R et à vleurs dns E. Définition 2. Soit I un intervlle réel, I et f : I E. On dit que f est dérivle u point, de dérivée m (élément de E) si m = lim I\{} f() f(). Lorsque f est dérivle en, on note f () l dérivée de f en. 2. Lorsque f est dérivle en tout point de I on dit que f est dérivle sur I et on ppelle dérivée de f l ppliction de I dns E définie pr f (). Définition 3. Soit I un intervlle réel et f : I E. On dit que F : I E est une primitive de f si F est dérivle sur I et si F = f. Définition 4. Soit I un intervlle réel et f : I E. On dit que f est de clsse C si f est dérivle sur I et si s dérivée f est continue. On note C (I) l ensemle des fonctions de clsse C sur I.
2 Université Lyon Cpes Mth Intégrles ordinires Aucune construction de l notion d intégrle n est u progrmme. L notion d intégrle est donc une notion première. L intégrle f(t) dt est définie pour tout intervlle compct [, ]. et toute fonction f continue pr morceu sur cet intervlle. Une telle intégrle est souvent ppelée une intégrle ordinire. Une phrse surde qui trîne souvent dns les copies est f est continue sur l intervlle compct [, ] donc l intégrle f(t) dt est convergente. Elle n est ps convergente, elle est ien définie. Théorème 5. Soit f : I E définie sur l intervlle compct [, ] Si f est constnte de vleur m f(t) dt = m( ). Théorème 6. Soit E un espce normé de dimension finie, et I = [, ] un intervlle compct. L ppliction f E. f(t) dt est une ppliction linéire de C M (I, E) dns Théorème 7 (Croissnce de l intégrle.). Soient f et g deu fonctions réelles continues pr morceu sur l intervlle compct [, ]. Si f g lors f(t) dt g(t) dt. Théorème 8. Soit [, ] un intervlle compct et f C M ([, ], E). Alors f(t) dt f(t) dt. Théorème 9. Soit f continue, réelle et positive sur l intervlle fermé orne [, ]. Si f(t) dt = 0 lors f est l fonction nulle sur [, ]. Définition 0. Lorsque [, ] est un intervlle compct et f C M ([, ], E) il est commode de définir f(t) dt, pr l formule f(t) dt = f(t) dt. On conviendr ussi lorsque < que l nottion [, ] représente l intervlle [, ]. On peut lors énoncer les trois théorèmes suivnt. Théorème (Reltion de Chsles). Soient,, c réels quelconques, c est à dire que l on ne fit ucune hypothèse sur leurs positions reltives. Si f est continue pr morceu sur [, ] et [, c] (et donc sur [, c]). Alors c f(t) dt = f(t) dt + c f(t) dt. Rppels : Intégrles générlisées 2 M. Deléglise
3 Université Lyon Cpes Mth Théorème 2 (Théorème fondmentl du clcul différentiel et intégrl). Soit I un intervlle réel, f : I E une fonction continue, et I. L fonction F de f définie sur I pr F () = est l primtive de f qui prend l vleur 0 en. f(t) dt. Théorème 3 (Intégrtion pr chngement de vrile). Soit u une ijection de clsse C de l intervlle [, ] sur l intervlle J = [u(), u()] et f C M (J, E). Alors f(u())u () d = u() u() f(u) du. Théorème 4 (Intégrtion pr prties). Soit [, ] un intervlle fermé orné, et u et v deu éléments de C ([, ], E). Alors u()v() u()v() = u ()v() d + u()v () d. Théorème 5. Soit [, ] un intervlle compct et f C M ([, ], E). n ( ) lim f(ξ k ) = f(t) dt n + n k=0 pourvu que, pour tout k, 0 k < n, on it + k n Intégrles générlisées ξ k + (k + ) n. Dès que l on sort du cdre des fonctions définies sur un intervlle fermé on entre dns le domine des intégrles générlisées, ou intégrles impropres. Le lecteur est prié de relire vnt, ou près ce rppel, le rppel reltif u séries numériques, fin de constter l étroite nlogie relint les notions de séries et d intégrles générlisées. Définition 6. Soit R, R {+ }, et f : [, [ E, continue pr morceu. Pour tout [, [, on ppelle intégrle prtielle jusqu à l intégrle ordinire S (f) = f() d. On dit que l intégrle générlisée à droite ou l intégrle générlisée en ou encore l intégrle impropre en qund tend vers. Dns ce cs on note f()d est convergente lorsque S (f) dmet une limite f() d = lim S (f) = lim f() d. Remrque : Il est importnt de remrquer que l on ne chnge ps l nture d une intégrle impropre f() d, c est à dire le fit qu elle soit convergente ou non, en remplçnt l intervlle [, [ pr un intervlle [, [, vec <. En effet si on note S, (f) = f(t) dt, pr l reltion de Chsle S (f) = f(t) dt + S,(f). Donc pour que S, (f) dmette une limite qund + il fut et il suffit qu il en soit de même pour S (f). Rppels : Intégrles générlisées 3 M. Deléglise
4 Université Lyon Cpes Mth Définition 7. Lorsque l intégrle générlisée à droite f() d est convergente, on ppelle reste d ordre de cette intégrle l quntité R (f) = f() d f() d = f() d. L notion d intégrle générlisée à guche se définit ectement de l même fçon. Définition 8. Soit R, R { }, et f : ], ] E, continue pr morceu. on ppelle intégrle prtielle jusqu à l intégrle ordinire S (f) = On dit que l intégrle générlisée à guche f() d. f()d est convergente lorsque S (f) dmet une limite qund tend vers. Dns ce cs, on note, pr définition, f(t) dt = lim S (f) = lim f() d. Définition 9. Lorsque l intégrle générlisée à guche f() d est convergente, on ppelle reste d ordre de cette intégrle l quntité R (f) = f() d f() d = f() d. Eemple: Soit [, [= [, + [, et f() =. Puisque une primitive de f est 2 /, pour tout >, l intégrle prtielle jusqu à est S (f) = d 2 =. On lim + S (f) =, et, pr définition, ceci prouve que l intégrle impropre + f() d est convergente, et que f() d =. Eemple: Soit [, [= [, + [, et f() =. Puisque une primitive de f est ln, pour tout > l intégrle prtielle jusqu à est S (f) = d = ln. Lorsque + S (f) tend vers +. On insi prouvé que l intégrle impropre + d f() d est divergente. On écrir ussi pr us de lngge = +, mis l intégrle impropre est une intégrle impropre divergente. Théorème 20. Soit f : [, [ E (resp. f : ], ] E) continue, et F une primitive de f. Pour que l intégrle impropre en (resp. en ) f() d soit convergente il fut et il suffit que lim F () (resp. lim F ()) eiste. Dns ce cs on f() d = lim F () F () (resp. lim F () F ()) Rppels : Intégrles générlisées 4 M. Deléglise
5 Université Lyon Cpes Mth Intégrles impropres de fonctions positives. De nomreu théorèmes simplifient l étude des intégrles impropres de fonctions réelles positives. Rppelons ici les principu. On note R + l ensemle des réels positifs ou nuls. Théorème 2. Soit < et Soit f : [, [ R + (resp. f : ], ] R + ) une ppliction continue pr morceu, à vleurs positives. Pour que l intégrle impropre en (resp. en ) f() d soit convergente il fut et il suffit que les intégrles prtielles (resp. f() d) soient mjorées. f() d Preuve : Si l intégrle est impropre en, notons S (f) = f() d. Puisque f() 0, S (f) est une fonction croissnte de et elle dmet une limite qund pr vleurs inférieures si et seulement si elle est mjorée. Si l intégrle est impropre en, notons S (f) = f() d. Puisque f() 0, S (f) est une fonction décroissnte de et elle dmet une limite qund pr vleurs supérieures si et seulement si elle est mjorée. Théorème 22 (Fonctions puissnces). Pour réel, > 0, l intégrle impropre d α est convergente si et seulement si α >. Soient < deu réels. L intégrle impropre en (resp. en ) ( ) d d ( ) α resp. ( ) α est convergente si et seulement si α <. Théorème 23 (L règle de comprison). Soit < et f, g continues pr morceu sur I = [, [ (resp. I =], ]), telles que 0 f() g() pour tout I.. Si l intégrle impropre g() d est convergente, lors f() d est convergente, et, de plus 0 f() d g() d. 2. Si l intégrle impropre f() d est divergente, lors g() d est divergente. Théorème 24 (L règle des équivlents). Soient f, g C M ([, [, R + ) des fonctions positives telles que lorsque on it f() g(). Alors les intégrles impropres f() d et g() d sont de même nture, c est à dire toutes les deu convergentes, ou toutes les deu divergentes. De plus. Si elles sont toutes deu divergentes, lorsque, leurs sommes prtielles d ordre sont équivlentes, c est à dire f(t) dt g(t) dt. Rppels : Intégrles générlisées 5 M. Deléglise
6 Université Lyon Cpes Mth Si elles sont toutes deu convergentes, lorsque leurs restes d ordre sont équivlents, c est à dire De même f(t) dt g(t) dt. Théorème 25 (L règle des équivlents). Soient f, g C M (], ], R + ) des fonctions positives telles que lorsque on it f() g(). Alors les intégrles impropres f() d et g() d sont de même nture, c est à dire toutes les deu convergentes, ou toutes les deu divergentes. De plus. Si elles sont toutes deu divergentes, lorsque, leurs sommes prtielles d ordre sont équivlentes, c est à dire f(t) dt g(t) dt. 2. Si elles sont toutes deu convergentes, lorsque leurs restes d ordre sont équivlents, c est à dire f(t) dt g(t) dt. Attention : Cet énoncé est en générl fu si f et g ne sont ps à vleurs positives. Le lecteur pourr le vérifier en considérnt f() = sin ( et g() = f() + sin ). Il démontrer que f et g sont équivlentes u voisinge de + lors que les intégrles générlisées f() d et g() d ne sont ps de même nture. Intégrles impropres de fonctions non positives. Lorsque l fonction f n est ps une fonction positive, un on moyen de prouver l convergence d une intégrle impropre f() d est d utiliser l notion de convergence solue. Définition 26. Soit E = R ou E = C, ou encore E un espce vectoriel de dimension finie sur K = R ou K = C. Soit f : [, [ E (resp. f : ], ] E) une ppliction continue pr morceu. On dit que l intégrle impropre f() d est solument convergente si l intégrle impropre de fonction positive est convergente. f() d Rppels : Intégrles générlisées 6 M. Deléglise
7 Université Lyon Cpes Mth Théorème 27. Soit f : [, [ E (resp. f : ], ] E) une ppliction continue pr morceu. Pour que l intégrle impropre en (resp. en ) f() d soit convergente il suffit qu elle soit solument convergente. Dns ce cs on de plus f() d f() d. Intégrles impropres non solument convergentes Lorsque on ne sit ps prouver qu une intégrle impropre est solument convergente on peut prfois prouver qu elle est convergente u moyen d une intégrtion pr prties. Un eemple typique est le suivnt : On sétudie l nture l intégrle impropre à droite, sin Une intégrtion pr prties, vec u() = / et v () = sin donne sin [ S = d = cos ] cos 2 d = cos cos Puisque cos d. cos 2 0 qund +, l intégrle prtielle S une limite qund tend vers + si et seulement si si et seulement si l intégrle impropre d. cos d une limite qund +, c est à dire 2 + cos d est convergente. Or cette intégrle impropre est solument convergente prce que cos (règle de comprison). 2 2 Pr le théorème 27 elle est donc convergente. Ceu qui ont lu les rppels de cours sur les séries numériques se persuderont que l sommtion d Ael ppliquée à l convergence + sin n de l série est l même méthode que celle employée ci-dessus, en remplçnt n n= l notion de fonction I E pr l notion de suite à vleur dns E. Intégrles doulement générlisées Définissons enfin l notion d intégrle doulement générlisée. Définition 28. Soit f C(], [) vec, R = R {, + } et <. On dit que l intégrle doulement générlisée 2 f(t) dt est convergente si chcune des intégrles générlisées c f(t) dt et c f(t) dt est convergente, pour un élément c ], [. Si cette conditin est stisfite, elle l est encore en remplçnt c pr n importe quel élément de ], [. Rppels : Intégrles générlisées 7 M. Deléglise
8 Université Lyon Cpes Mth Attention : Une grve fute serit d écrire, Pour prouver l convergence de l intégrle doulement générlisée f(t) dt dmet une limite qund pour tout, mis f(t) dt il suffit de prouver que S (f) = +. Pr eemple lorsque f(t) = t on + + t dt n est ps une intégrle générlisée convergente. t dt = 0 Rppels : Intégrles générlisées 8 M. Deléglise
Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral
Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :
Plus en détailCorrection de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (
Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est
Plus en détailsemestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005
MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................
Plus en détailThéorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann
Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler
Plus en détailLICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER
LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries
Plus en détailCours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions
Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d
Plus en détailChapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction
2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux
Plus en détailTout ce qu il faut savoir en math
Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO
Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................
Plus en détailANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE
Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre
Plus en détailCOURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel
COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................
Plus en détailSéquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire
Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit
Plus en détailLicence M.A.S.S. Cours d Analyse S4
Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,
Plus en détailModule 2 : Déterminant d une matrice
L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté
Plus en détailANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE
Jen-Pierre Dedieu, Jen-Pierre Rymond ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Institut de Mthémtiques Université Pul Sbtier 31062 Toulouse cedex 09 jen-pierre.dedieu@mth.univ-toulouse.fr jen-pierre.rymond@mth.univ-toulouse.fr
Plus en détailChapitre 11 : L inductance
Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailSTI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE
L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.
Plus en détailChapitre VI Contraintes holonomiques
55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce
Plus en détailIntégrale et primitives
Chpitre 5 Intégrle et primitives 5. Ojetif On herhe dns e hpitre à onstruire l opérteur réiproue de l opérteur de dérivtion. Les deux uestions suivntes sont lors nturelles. Question : Soit f une pplition
Plus en détailNotes de révision : Automates et langages
Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s
Plus en détailTechniques d analyse de circuits
Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailPartie 4 : La monnaie et l'inflation
Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que
Plus en détail3- Les taux d'intérêt
3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents
Plus en détailIntégrales généralisées
3 Iégrles géérlisées Pour ce chpire, les focios cosidérées so priori défiies sur u iervlle réel I o rédui à u poi, à vleurs réelles ou complees e coiues pr morceu. L défiiio e les propriéés de l iégrle
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailLANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES
LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailGuide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2
Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailSciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot
Scence Indutrelle Précon de ytème erv Pncol Robert Lycée Jcque Amyot I - PRECISION DES SYSTEMES ASSERVIS A. Poton du roblème 1. Préentton On vu que le rôle d un ytème erv et de fre uvre à l orte (t) une
Plus en détailInfluence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation
Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu
Plus en détailTurbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances
Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits
Plus en détailLITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique
LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion
Plus en détail/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV
/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailL'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.
ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie
Plus en détailStatuts ASF Association Suisse Feldenkrais
Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion
Plus en détailAUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)
Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailBaccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé
Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps
Plus en détailMagister en : Génie Mécanique
الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailAlgorithmes sur les mots (séquences)
Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)
Plus en détailVIBRATIONS COUPLEES AVEC LE VENT
VIBRATIONS OPLEES AVE LE VENT Pscl Hémon Lbortoire d Hydrodynmique, LdHyX Ecole Polytechnique, Pliseu Octobre 00 Vibrtions couplées vec le vent Si vous pense que j i révélé des secrets, je m en ecuse.
Plus en détailn N = u N u N+1 1 u pour u 1. f ( uv 1) v N+1 v N v 1 1 2 t
3.La méthode de Dirichlet 99 11 Le théorème de Dirichlet 3.La méthode de Dirichlet Lorsque Dirichlet, au début des années 180, découvre les travaux de Fourier, il cherche à les justifier par des méthodes
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailSommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2
Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailToyota Assurances Toujours la meilleure solution
Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou
Plus en détail16.1 Convergence simple et convergence uniforme. une suite de fonctions de I dans R ou C.
16 Suites de foctios Suf précisio cotrire, I est u itervlle réel o réduit à u poit et les foctios cosidérées sot défiies sur I à vleurs réelles ou complexes. 16.1 Covergece simple et covergece uiforme
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailRégression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006
Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent
Plus en détailLa plateforme Next Generation Mini guide
L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailLa pratique institutionnelle «à plusieurs»
L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détail- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )
ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence
Plus en détailIntroduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8
Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction
Plus en détailGuide des bonnes pratiques
Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.
Plus en détailPour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,
Plus en détailThèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure
République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailDéroulement de l épreuve de mathématiques
Dérouleet de l épreuve de thétiques MATHÉMATIQUES Extrit de l ote de service 2012-029 du 24 février 2012 (BOEN 13 du 29-3-2012) Durée de l épreuve : 2 heures Nture de l épreuve : écrite pr le socle cou
Plus en détailDérivation : Résumé de cours et méthodes
Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailModification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages
Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch
MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte
Plus en détailSYSTEME DE TELEPHONIE
YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE
Plus en détailCompte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn
Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailLe canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques
Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailCalculer comment se constituer un capitale ; Calculer comment rembourser une dette en effectuant des versements réguliers.
CHAP: 8 Objecifs de ce chpire : Clculer comme se cosiuer u cpile ; Clculer comme rembourser ue dee e effecu des versemes réguliers. RAPPELS : Qu'es-ce qu'ue vleur cquise? Qu'es-ce qu'ue vleur cuelle? Le
Plus en détailFONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE
FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détail