Revue de littérature du 26 février 2014
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- Marie-Christine Pageau
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1 Revue de littérature du 26 février 2014 AJO/BJO/Ophtalmology Janvier Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil
2 AJO janvier 2014
3 1Centre for Vision Research, University of Sydney, Westmead Hospital, Hawkesbury Rd, Westmead, NSW, 2145, Australia.
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5 Objectif : revue de la littérature sur la myopie pathologique et les néovaisseaux choroïdiens secondaires : données épidémiologiques et impact sur l acuité visuelle. Méthodes : Recherche Pubmed et EMBASE, sans limite de date, publications rédigées en anglais sur la myopie pathologique (myopie forte -6D et/ou LA>26mm + lésion du FO = maculopathie myopique, rétinopathie myopique) et les NVC secondaires. Épidémiologie Retentissement sur l AV
6 Résultats 39 publications Etudes reportent myopie pathologique : 1ère à 3ème cause de cécité dans les populations étudiées. Prévalence de la myopie pathologique : 0,9 à 3,1% Prévalence d une BAVC attribuable à la myopie: 0,1-0,5 % (études européennes) 0,2-1,4% (études asiatiques) Prévalence de NVC myopiques : 5,2 11,3%, bilatéralité dans 15% des cas. Toutes les études retrouvent une BAVC à long terme (3mois à 21,5 ans) chez les patients présentant des NVC. Les patients âgés, localisation sous fovéolaire, lésion de grande taille: facteurs prédicteurs d une moins bonne récupération AV.
7 Conclusion Myopie pathologique est une importante cause de BAV dans le monde avec une prévalence la plus haute de 3%. Parmi ces patients une proportion non négligeable de patients vont développer des NVC avec une diminution de leur AV à long terme. Cible pour les nouvelles stratégies thérapeutiques.
8 Department of Ophthalmology and Visual Sciences, Kyoto University Graduate School of Medicine, Kyoto, Japan
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10 Objectif : Proposer un nouveau paramètre: «parallélisme» dans l évaluation l intégrité des couches rétiniennes en SD-OCT, et étudier l association entre parallélisme et la fonction visuelle chez les yeux présentant une MER idiopathique. Méthodes : étude rétrospective, observationnelle. 57 yeux (57 patients) consécutifs avec MER. 30 yeux sains. M-CHARTS test SD-OCT Parallélisme : valeur de 0 à 1 et augmente avec la disposition plus parallèle des couches rétiniennes. Etude relations entre: -parallélisme /AV -parallélisme / métamorphopsies
11 Calcul parallélisme
12 Résultats Yeux sains : parallélisme homogène et varie peu selon les localisations. MER: parallélisme inférieur significativement aux yeux sains. 0,914 0,833 Coupes horizontales et verticales : parallélisme corrélé de manière significative avec: AV Score métamorphopsies horizontales Score métamorphopsies verticales. Corrélation négative entre parallélisme et épaisseur maculaire.
13 Conclusion Parallélisme significativement plus bas dans les yeux avec MER que dans les yeux sains. Dans les yeux avec MER: forte corrélation avec score de métamorphopsies et AV.
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15 Department of Ophthalmology, Changhua Christian Hospital, Changhua, Taiwan
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17 Objectif : évaluer si les patients atteints de CRSC présentent un risque de coronaropathie plus élevé. Méthodes : étude rétrospective sur une cohorte de patients atteints de CRSC, comparaison avec une population contrôle. Données longitudinales : National Health Insurance Research Database ( ) 835 patients avec diagnostic de CRSC 4175 patients groupe contrôle appariés sur l âge et le sexe. recherche association entre CRSC et pathologie cardiaque coronarienne avec ajustement des éventuels facteurs confandants.
18 Résultats L incidence cumulée à 5 ans de coronaropathie était doublée dans le groupe CRSC par rapport à la cohorte contrôle. 6,12% vs 3,29%, p=0,004 Modèle de Cox: Risque ajusté de coronaropathie HR chez les patients atteints de CRSC versus non CRSC est de 1,61 (IC95% 1,12 et 2,30, p=0,009) HR coronaropathie des hommes atteints de CRSC versus hommes non CRSC 1,72 (IC95% 1,14-2,59, p=0,010) Femmes de 1,34 (IC95% 0,64-2,84, p=0,438)
19 Conclusion Hommes avec CRSC ont un taux significativement plus élevé d atteinte coronarienne que les hommes non atteints de CRSC du même âge. CRSC peut-être un potentiel facteur de risque de développer une coronaropathie chez les hommes.
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22 Objectif : évaluer l effet de la chirurgie de cataracte non compliquée sur les mesures en SD-OCT (OCT maculaire et RNFL) chez des patients sains Evaluer la fiabilité des mesures obtenues avant et après la chirurgie de cataracte Méthodes : étude prospective 60 yeux (60 patients) présentant une cataracte avec indication opératoire : 22H, 38F, âge 54-88ans. 1mois avant et 1mois après la chirurgie Coupes OCT maculaires + RNFL Cirrus/ Spectralis OCT Reproductibilité des mesures étudiées avec coefficient de variation entre les différentes mesures prises pour chaque visite.
23 Résultats RNFL mesures (Cirrus et Spectralis) avant et après chirurgie diffèrent de manière significative (augmentation épaisseur) pour une majorité de mesures. Mesures de l épaisseur maculaire avec Spectralis : pas de différence significative entre les 2 visites. Différence significative de l EMC avec le Cirrus (augmentation EMC) Reproductibilité des mesures semble meilleure après chirurgie de la cataracte. Les différences entre le coefficient de variation étaient significatives avec le Cirrus.
24 Conclusion La présence d une cataracte influence les valeurs de mesures RNFL en OCT et de l épaisseur maculaire en Cirrus (sousestimation?) La reproductibilité des mesures augmente de manière significative après chirurgie de la cataracte avec le Cirrus.
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27 Objectif : mesurer la distance entre la hyaloïde postérieure et la la limitante interne à l aide d un SD-OCT. Appréciation de cette distance médico-chirurgicale. Méthodes : étude prospective 8 yeux analysés avec DPV débutant + traction vitréo-maculaire. Pour établir cette distance : modification des paramètres de base: Étude topographique de la totalité du pôle postérieur avec 19 raster scans. Map :
28 Résultats Le volume moyen du DPV dans l étude est de 104,87+/-5,25mm3 Obtenir une map détaillée du DPV permettant de suivre l évolution DVP. Etude des tractions vitréo-maculaire, aide chirurgie vitréorétinienne. Étudier l efficacité ttt vitréolyse. Développement nouveau dispositif sur OCT permettant d identifier l espace entre le vitré et la limitante interne automatiquement?
29 Ophtalmology janvier 2014
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32 Objectif : décrire les facteurs de risque d évolution de l atrophie géographique et comparaison des différents traitements de la DMLA (CATT) Méthodes: étude de cohorte (CATT) avec essai clinique randomisé : 1024 patients SANS AG à l inclusion Ttt par ranibizumab Suivi PRN ou IVT mensuelles sur 2 ans Ttt bevacizumab Evaluation des facteurs de risque sur 2 ans de suivi : -génétiques -démographiques -caractéristiques ophtalmologiques à l inclusion -Photo FO + FA -OCT
33 Résultats: Développement AG Sur 2ans : AG chez 187 patients des 1024 inclus 18,3% Facteurs de risque à l inclusion : AV initiale basse 20/200 (ahr 2,65, IC95% 1,43-4,95) RAP (ahr 1,69; IC95% 1,16-2,47) AG dans l œil controlatéral (ahr 2,07, IC95% 1,40-3,08) Liquide intra rétinien rétrofovéolaire (ahr 2,10, IC95% 1,34-3,31) Facteurs à l inclusion associés à une diminution du risque AG: «fluorescence bloquée» (ahr 0,49, IC95% 0,29-0,82) Augmentation de l épaisseur fluide sous rétinien >25μ (ahr 0,52, IC95% 0,35-0,78) Epaisseur Complexe sous rétinien >275μ comparé 75μ (ahr 0,31 IC95% 0,19-0,50) Persistance attache vitréo-maculaire (ahr 0,55, IC95% 0,31-0,97)
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36 Résultats: Développement AG Ranibizumab / Bevacizumab: Ranibizumab plus haut risque GA (ahr 1,43, IC95% 1,06-1,93) Injections mensuelles: risque plus élevé GA (ahr 1,59, IC95% 1,17-2,16) Pas d association retenue en risque AG et présence des allèles à risque CFH, ARMS2, HTRA1, C3, TLR3. Conclusion : Environ 1/5 des patients de l étude CATT ont développé une AG au cours des 2 années de traitement. Facteurs de risque de AG initiaux retrouvés. Rôle molécule anti-vegf dans le développement de l AG.
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39 Objectif : VIEW1 + VIEW2 96 semaines Évaluer l efficacité et la safety de l utilsation de l Aflibercept la 2ème année de ttt à doses variables après une première année de ttt à doses fixes. Méthodes : Essai clinique randomisé, contrôlé en double aveugle de phase patients DMLA NV 52 semaines Ranibizumab 0,5mg 4 semaines Rq4 Aflibercept 2mg 4 semaines 2q4 Aflibercept 0,5mg 4 semaines 0,5q4 PRN cappé à 12s de 52 à 96ème semaine Aflibercept 2mg 8semaines 2q8
40 Résultats : Proportion des yeux ayant maintenu leur MAVC à 96 semaines (perte <15 lettres) / changement de l AV. Proportion des yeux avec maintien AV : 94, 4% - 96,1% à 52s 91,5% - 92,4% à 96s Gain moyen d AV 8,3 à 9,3 lettres à 52s 6,6 à 7,9 lettres à 96s Paramètres anatomiques (OCT) : pourcentage de patients sans liquide 60,3 à 72,4% à 52 semaines 44,6 à 54,4% à 96 semaines Pourcentage plus élevé de 2q4 sans fluide que Rq4 (soustraction des moyennes 9% IC95% 3-15,1)
41 Résultats : Nombres d IVT : À 96s : en moyenne : 16,5 Rq4 ; 16 2q4 ; 16,2 0,5q4 ; 11,2 2q8 IVT. Entre 52 et 96s : 4,7 ; 4,1 ; 4,6 ; 4,2 IVT Nb IVT plus bas dans les groupes 2q4 et 2q8 que Rq4-0,64 (IC95% -0,89; -0,40) et -0,55 (IC95% -0,79; -0,30), p< 0, 001 post hoc Safety : pas de différence significative à 96s entre les différents groupes. Conclusion: efficacité comparable en terme de maintien de la MAVC.
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45 Objectif : évaluation à long terme des patients traités par Ranibizumab dans les OVR. Méthodes : suivi prospectif à partir de patients issus de 2 essais cliniques (BRAVO CRUISE) + suivi dans l étude HORIZON 2ans. 34 patients avec OBVR, 32 OVCR Patients suivis mensuellement la 1ère année Au moins tous les 3 mois la 2ème année Patients nécessitant ttt à 2 visites consécutives : ttt IVT Ranibizumab + laser. Ttt Ranibizumab OM
46 Résultats Augmentation moyenne de la MAVC et pourcentage de patients avec résolution de l OM OBVR: Suivi en moyenne 49 mois. OM : 17/34 (50%) : résolution OM (> 6 mois après dernière IVT) Dernière injection réalisée dans les 2 ans après initiation du ttt chez 76% des patients. Nb moyen d injections la 4ème année chez patients OM+ 3,2 MAVC : Augmentation moyenne MAVC de 25,9 lettres chez les patients OM contre 17,1 lettres OM+ (p=0,09). Dans les 2 groupes : 80% des patients ont une MAVC 20/40
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48 Résultats OVCR: Suivi en moyenne 49,7 mois. OM : 14/32 (44%) : résolution OM. Dernière injection réalisée dans les 2 ans après initiation du ttt chez 71% des patients. Nb moyen d injections la 4ème année chez patients OM+ 5,9 MAVC : Augmentation moyenne MAVC de 25,2 lettres chez les patients OM contre 4,3 lettres OM+ (p=0,002). Pourcentage supérieur OM- 64,3% des patients ont une MAVC 20/40 vs OM+ 27,8% (p=0,04)
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50 Résultats : Laser : 9 patients OBVR et 9 patients OVCR et après un suivi moyen de 9 mois et 11 mois après le dernier laser (OBVR, OVCR) seulement 1 dans chaque groupe a eu résolution de l OM. Conclusion : Très bons résultats à long terme OBVR ttt Ranibizumab et bien que la moitié des patients nécéssitent des IVT occasionnelles à la 4ème année, le maintien d un bon potentiel d AV. OVCR : plus petite proportion avec résolution de l OM (44%) et un plus grand nb nécessitent des IVT fréquentes lors de la 4ème année avec un moins bon potentiel de récupération de l AV
51 Department of Ophthalmology & Vision Science, University of California Davis, Davis, California.
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54 Objectif : PV OCT : images de la vascularisation rétinienne sans injection intraveineuse. Comparaison des images obtenues en PV-OCT et Angio fluo chez des yeux patients sains, DMLA, rétinopathie diabétique. Méthodes : évaluation outil diagnostique. PV- OCT : identifie les régions en mouvement entre les différents B-Scans par rapport aux régions moins mobiles. Rétine et choroïde : régions mouvement = vaisseaux, autres tissus rétiniens plus statiques. Doppler OCT (flux) 4 patients : 1 patient sain 1 DMLA «sèche» 1 DMLA exsudative 1 rétinopathie diabétique Angiographie fluo PV OCT Topcon Corp - B-Scans multiples à la même position - mesures répétées - calcul de la variance de phase des mvts - reconstitution image 3D
55 Résultats Faisabilité et rendu PV OCT en comparaison avec AF Œil sain
56 Résultats Œil sain
57 Résultats DMLA atrophique
58 Résultats DMLA exsudative
59 Résultats Rétinopathie diabétique Conclusion : Développement de cette technique non invasive avec augmentation apparente des détails microvascularisation.
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