L'expérience client au centre de nos priorités. RAPPORT ANNUEL de gestion

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L'expérience client au centre de nos priorités. RAPPORT ANNUEL de gestion"

Transcription

1 L'expérience client au centre de nos priorités RAPPORT ANNUEL de gestion

2 Adopté par le conseil d administration le 11 juin 2014 Le Rapport annuel de gestion est disponible qu en version électronique à l adresse : à la section À propos de nous, dans la rubrique Rapport annuel. Le genre masculin utilisé dans le document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec Bibliothèque et Archives Canada ISBN : (version imprimée) ISBN : (version PDF) La reproduction, par quelque procédé que ce soit, la traduction ou la diffusion du présent document, même partielles, sont interdites sans l autorisation préalable du Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska.

3 TABLE DES MATIÈRES Message du président du conseil d administration et de la directrice générale 4 Déclaration de fiabilité des données présentées au rapport et des contrôles afférents 6 Rapport de la direction 7 Présentation de l établissement 8 Territoire du CSSS Richelieu-Yamaska 9 Organigramme 10 Portrait de santé de la population du territoire Richelieu-Yamaska 12 Services offerts à la population 15 Principales modifications apportées durant l exercice et faits saillants 19 Les résultats au regard du plan stratégique Résultats de l entente de gestion 50 Application de la loi mettant en œuvre certaines dispositions du discours sur le budget au 31 mars 2010 et visant le retour à l équilibre budgétaire en et la réduction de la dette (2010, chapitre Application de la Loi sur les services de santé et les services sociaux 64 Conseils et comités de l établissement créés en vertu de la loi 68 Ressources humaines de l établissement 76 États financiers, analyse des résultats des opérations 77 Rapport de l auditeur indépendant 94 État du suivi des réserves, commentaires et observations par l auditeur indépendant 96 Code d éthique de déontologie des administrateurs 97

4 MESSAGE DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION ET DE LA DIRECTRICE GÉNÉRALE Porter un regard sur l année financière qui vient de prendre fin, c est constater à quel point notre organisation a dû manœuvrer efficacement et avec ingéniosité pour soutenir son développement dans les conditions économiques que nous connaissons. Nous avons été confrontés particulièrement cette année et continuerons à l être dans celles à venir à une pression pour maintenir notre équilibre budgétaire dans un contexte d accroissement important de nos activités. Cette année nous constatons aussi à quel point l ensemble des membres de notre établissement, le personnel, les gestionnaires, les médecins, a su converger à relever les défis auxquels notre CSSS a dû faire face et à mettre en place des solutions pertinentes et efficientes, au grand bénéfice de nos clients, mais aussi au grand bénéfice de notre saine gestion financière. Nous avons connu une performance fort intéressante dans plusieurs secteurs dont fait état ce rapport annuel. Cette performance est le résultat de la détermination de nos équipes à travailler inlassablement à implanter les meilleures pratiques dans leur secteur, aux suivis rigoureux, à leur souci de toujours s améliorer, et surtout à l attention particulière portée aux clients. C est également dans cet esprit que certains de nos projets ont été repensés et d autres, amorcés; avec la pensée première de mettre le client au centre de nos décisions. Nous avons donc requestionné à plusieurs reprises nos façons de faire, réévalué le cheminement de nos différentes clientèles afin d en arriver à un service efficace, sécuritaire et de qualité. Certains de nos faits saillants de l année le démontrent bien d ailleurs. Revoir nos façons de faire c est aussi évaluer comment soutenir et soigner notre population. Un travail important s est fait au cours de la dernière année afin de poursuivre la bonification de nos services de première ligne, pour toutes nos clientèles. Sans oublier les ententes et projets mis en place avec nos partenaires locaux (établissements spécialisés, GMF, organismes communautaires, milieu scolaire, municipalités, CPE) afin de s assurer d un suivi et d une prise en charge optimums de notre population. Il va sans dire que nous avons poursuivi la mise en place de notre culture organisationnelle basée sur l expérience client, entamée l an dernier. Les rencontres hebdomadaires de la directrice générale avec des patients qui reçoivent des soins et des services dans notre organisation se sont poursuivies. Ces rencontres permettent de maintenir un lien direct avec notre clientèle, mais aussi de rester en contact avec la réalité terrain de notre personnel. Ces rencontres régulières contribuent également à : Apprendre à connaître la clientèle pour mieux la servir et mieux circonscrire ses besoins et les émotions qu elle ressent dans ses interactions avec l établissement, et ce, dans le cadre d un continuum de soins et de services; Générer un puissant signal lancé à toute l organisation de priorité absolue de l expérience patient, tant stratégique que liée à la prestation quotidienne de soins et de services. 4

5 Permettre à l organisation d être constamment en mouvement, avec l identification et l implantation rapide d initiatives d amélioration de l expérience patient, lesquelles peuvent faire une réelle différence sur le terrain. Pour que la culture de l expérience client soit bien tangible au sein de notre CSSS, des travaux se poursuivent et mèneront, dès l automne 2014, au dévoilement de notre promesse client et de nos valeurs de service. Nous terminons donc cette année avec fierté puisque nos réalisations de la dernière année traduisent clairement notre fidèle engagement à être à la hauteur de la confiance de notre clientèle. Jean Lemonde Président du conseil d administration Lise Pouliot Directrice générale 5

6 DÉCLARATION DE FIABILITÉ DES DONNÉES PRÉSENTÉES AU RAPPORT ET DES CONTRÔLES AFFÉRENTS À titre de directrice générale, j ai la responsabilité d assurer la fiabilité des données contenues dans ce rapport annuel de gestion ainsi que des contrôles afférents. Les résultats et les données du rapport de gestion de l exercice du Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska : décrivent fidèlement la mission, les mandats, les responsabilités, les activités et les orientations stratégiques de l établissement; présentent les objectifs, les indicateurs, les cibles à atteindre et les résultats; présentent des données exactes et fiables. Je déclare que les données contenues dans ce rapport annuel de gestion ainsi que les contrôles afférents à ces données sont fiables et qu elles correspondent à la situation telle qu elle se présentait au 31 mars Lise Pouliot Directrice générale 6

7 RAPPORT DE LA DIRECTION Les états financiers du Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska ont été complétés par la direction des ressources financières, qui est responsable de leur préparation et de leur présentation fidèle, y compris les estimations et les jugements importants. Cette responsabilité comprend le choix des conventions comptables appropriées qui respectent les Normes comptables canadiennes pour le secteur public ainsi que les particularités prévues au Manuel de gestion financière édicté en vertu de l article 477 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux. Les renseignements financiers contenus dans le reste du rapport annuel de gestion concordent avec l information donnée dans les états financiers. Pour s acquitter de ses responsabilités, la direction maintient un système de contrôles internes qu elle considère nécessaire. Celui-ci fournit l assurance raisonnable que les biens sont protégés, que les opérations sont comptabilisées adéquatement et au moment opportun, qu elles sont dûment approuvées et qu elles permettent de produire des états financiers fiables. La direction du Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska reconnaît qu elle est responsable de gérer ses affaires conformément aux lois et règlements qui la régissent. Le conseil d administration surveille la façon dont la direction s acquitte des responsabilités qui lui incombent en matière d information financière et il a approuvé les états financiers. Il est assisté dans ses responsabilités par le comité de vérification. Ce comité rencontre la direction et l auditeur, examine les états financiers et en recommande l approbation au conseil d administration. Les états financiers ont été audités par la firme Raymond Chabot Grant Thornton, dûment mandatée pour se faire, conformément aux normes d audit généralement reconnues du Canada. Son rapport expose la nature et l étendue de cet audit ainsi que l expression de son opinion. La firme Raymond Chabot Grant Thornton peut, sans aucune restriction, rencontrer le comité de vérification pour discuter de tout élément qui concerne son audit. Lise Pouliot Directrice générale Marie-Christine Paradis, CPA, CA Directrice des ressources financières 7

8 NOTRE MISSION PRÉSENTATION DE L ÉTABLISSEMENT Dans le respect de sa responsabilité populationnelle, le CSSS Richelieu-Yamaska se donne pour mission : d actualiser son projet clinique; d élaborer une programmation intégrée de services et adaptée aux besoins prioritaires de la population de son territoire; de centrer ses efforts sur l amélioration de la santé et du bien-être des citoyens; de s adjoindre une mission d enseignement qui permet le développement des compétences de futurs médecins et de personnels en santé et services sociaux. Notre établissement Le CSSS Richelieu-Yamaska a la responsabilité d un territoire dont la population totalise plus de personnes. On compte 350 organismes partenaires œuvrant dans 37 municipalités, réparties sur trois territoires de commission scolaire Employés Nos installations 600 Bénévoles 282 Médecins 269 Millions $ Budget 1 Hôpital 3 CSLC 5 Centres d hébergement 1 Unité de médecine familiale Nos ressources RESSOURCES INSTITUTIONNELLES Hospitalier et hébergement Hôpital Honoré-Mercier 267 lits 7 (267 dont 60 en psychiatrie courte et longue durée) Centre d hébergement Andrée-Perrault 66 lits Centre d hébergement Marguerite-Adam 70 lits Centre d hébergement de Montarville 136 lits Centre d hébergement de la MRC-d Acton 77 lits Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint- 428 lits Hyacinthe 3 CLSC SERVICES AMBULATOIRES Centres de jour PALV Hémodialyse Dialyse péritonéale ambulatoire Hôpital de jour (gériatrie et réadaptation Hôpital de jour (santé mentale) Oncologie Médecine de jour Urgence 50 places 93 patients 12 patients 25 places 20 places 21 places 10 places 26 civières RESSOURCES NON INSTITUTIONNELLES PALV (personne en perte d autonomie liée au vieillissement) Santé mentale 237 places 127 places Appartements supervisés santé mentale Ressources de dépannage 9 places 6 places 8

9 territoire du csss richelieu-yamaska Saint-Hyacinthe Acton Vale Belœil MRC de la Vallée-du-Richelieu MRC des Maskoutains MRC d Acton 9

10 ORGANIGRAMME 10

11 Membres du comité de direction De gauche à droite, à l avant : madame Josée Fournier, madame Réjeanne Boudreau, madame Lise Pouliot, madame Vicky Lavoie. 2 e rangée : madame Lise Langlois, madame France Le Blond, madame Maryse Hébert. 3 e rangée : docteure Jocelyne Bonin, monsieur Richard Bois, madame Hélène St-Jacques. 4 e rangée : madame Nathalie Bérard (en remplacement de madame Suzanne Boivin), monsieur Yves Noël, madame Marie-Josée Gervais. À l arrière : madame Chantal Savard, madame Sylvie Provost. Absents sur la photo : madame Suzanne Boivin, madame Marie-Christine Paradis, docteur Sylvain Brunet. 11

12 PORTRAIT DE SANTÉ DE LA POPULATION DU TERRITOIRE RICHELIEU-YAMASKA CONDITIONS DÉMOGRAPHIQUES Selon les estimations démographiques de l Institut de la statistique du Québec (ISQ), le RLS compte plus de personnes en 2013, dont près de en milieu rural. Il s agit du 2 e territoire en importance en Montérégie quant à la taille de sa population (14,2 %), du 1 er territoire quant à sa superficie et du 8e territoire quant à sa densité de population. La population du RLS s est accrue de 9,9 % entre 2003 et 2013, soit une augmentation inférieure à celle de la Montérégie (12,2 %). La répartition selon l âge de la population du RLS de Richelieu-Yamaska est relativement semblable à celle de la Montérégie. En 2013, la proportion de jeunes de moins de 18 ans (20 %) et celle de personnes âgées de 65 ans et plus (17 %) sont comparables à celles de la Montérégie (20 et 16 % respectivement). Néanmoins, à l instar du Québec et de la région, le RLS n échappera pas au vieillissement de sa population. Entre 2013 et 2031, le poids démographique des personnes âgées de 65 ans et plus passera de 17 à 26 %. Le vieillissement de la population se produit à un rythme comparable à celui de la Montérégie. Entre 2013 et 2031, le poids démographique des personnes âgées de 65 ans et plus devrait s accroître de 54 % dans le RLS comparativement à 56 % en Montérégie. CONDITIONS SOCIOÉCONOMIQUES ET CULTURELLES Dans l ensemble, le RLS présente un profil socioéconomique un peu plus avantageux que celui de la région. En comparaison de la Montérégie, le RLS compte proportionnellement moins de personnes vivant sous le seuil de faible revenu (6 c. 9 % en 2010), affiche un taux d emploi supérieur (65 c. 63 % en 2011) et un taux équivalent de personnes sous-scolarisées (19 %). La proportion de personnes d expression anglaise 2 (4 %) est plus faible que la valeur régionale (11 %). Selon le Recensement de 2011, leur nombre s élève à plus de personnes, soit près de 4 % de la population d expression anglaise de la Montérégie. En 2011, on dénombre plus de immigrants sur le territoire, soit 4 % de la population du RLS, mais 7 % des immigrants de la Montérégie. ESPÉRANCE DE VIE Pour l intervalle , l espérance de vie à la naissance des personnes qui résident sur le territoire s élève à 81,4 ans. Les femmes ont toujours une espérance de vie à la naissance plus élevée que celle des hommes (83,6 c. 79,1 ans), quoique l écart entre les sexes tend à s amenuiser avec le temps. Les résidents du RLS ont une espérance de vie à la naissance significativement plus élevée que celle de l ensemble du Québec; pour l intervalle , l écart se chiffre à 0,7 an chez les hommes (79,1 c. 78,8 ans) et à 0,5 an chez les femmes (83,6 c. 83,1 ans). NOUVEAU-NÉS En 2010, les femmes du RLS ont donné naissance à enfants et le nombre moyen d enfants par femme est de 1,94. Pour la période , 7,5 % des nouveau-nés étaient prématurés (moins de 37 semaines) et 7,4 % des naissances (non gémellaires) avaient un faible poids pour l âge gestationnel, proportion significativement inférieure à celle du Québec. Depuis le début des années 1980, la proportion de naissances de faible poids pour l âge gestationnel a diminué alors que la proportion de bébés prématurés a augmenté. Pour la période , 5 % des nouveau-nés avaient une mère faiblement scolarisée (moins de 11 ans de scolarité) et 2,2 % avaient une mère âgée de moins de 20 ans. La proportion de bébés ayant une mère faiblement scolarisée est significativement inférieure à celle observée au Québec. SANTÉ PHYSIQUE Les tumeurs Pour l intervalle , 33 % des décès enregistrés dans le RLS de Richelieu-Yamaska sont attribuables aux tumeurs malignes. Avec une moyenne de 441 décès par année, les tumeurs malignes figurent au premier rang des causes de décès. Le RLS affiche un taux ajusté de mortalité par tumeurs malignes (225) significativement inférieur à celui du Québec (235). Depuis une vingtaine d années, le nombre de nouveaux cas de cancer est à la hausse, en raison notamment de l accroissement démographique et du vieillissement de la population. Dans le RLS, le nombre annuel moyen de 12

13 nouveaux cas de cancer est passé de 678 à entre les périodes et Le taux d incidence est en augmentation depuis Par ailleurs, le taux d'incidence du cancer du poumon est significativement plus faible et celui de la prostate, significativement plus élevé que celui du Québec. On compte hospitalisations en pour cause de tumeurs, ce qui représente près de 11 % de l ensemble des hospitalisations en soins physiques de courte durée. Les maladies de l appareil circulatoire La mortalité attribuable aux maladies de l appareil circulatoire a grandement diminué au cours des dernières décennies. La mortalité régresse chez les hommes et les femmes, mais les hommes continuent de présenter des taux de mortalité supérieurs à ceux des femmes. Depuis , le RLS affiche un taux de mortalité par maladies de l appareil respiratoire significativement supérieur à celui du Québec. En , environ 5 % des Montérégiens de 12 ans et plus vivant en ménage privé ont déclaré souffrir d une maladie cardiaque, ce qui représente près de personnes sur le territoire. Chez les Montérégiens de 65 ans et plus, cette proportion grimpe à 16 %. Entre et , le nombre de personnes âgées de 20 ans et plus atteintes d hypertension artérielle est passé de à personnes, soit une augmentation de 70 %. Au cours de cette même période, la prévalence ajustée de l hypertension artérielle a augmenté d environ 34 % dans le RLS. En , la prévalence brute de l hypertension artérielle se chiffre à 24 % dans le RLS. En , 16 % des hospitalisations de la population du RLS en soins physiques de courte durée soit hospitalisations sont attribuables aux maladies de l appareil circulatoire. Elles sont non seulement l une des principales causes de décès, mais également d hospitalisations. Pour cette même période, le taux ajusté d hospitalisations pour maladies de l appareil circulatoire (97) est significativement plus faible dans le RLS qu au Québec (105). Les maladies de l appareil respiratoire Selon les dernières données disponibles, les maladies de l appareil respiratoire sont responsables de 8 % des décès et 12 % des hospitalisations de la population du RLS. Les taux ajustés de mortalité (55) et d hospitalisations (70) sont significativement inférieurs à ceux du Québec (65 et 75). obstructive chronique, ce qui représente respectivement et personnes à l échelle du RLS. Le diabète Le nombre de personnes de 20 ans et plus atteintes de diabète a presque doublé depuis , pour atteindre près de personnes en Entre et , la prévalence ajustée du diabète a augmenté d environ 48 % dans le RLS. Fort heureusement, cette hausse de la prévalence ne s accompagne pas d une hausse de la mortalité due au diabète. Au contraire, depuis le début des années 2000, la mortalité ne cesse de diminuer chez les diabétiques. Cette baisse de la mortalité contribue d ailleurs à l augmentation de la prévalence du diabète 3. Depuis , la prévalence ajustée du diabète est significativement moins élevée dans le RLS qu au Québec. En , la prévalence brute du diabète se chiffre à 8,2 % dans le RLS. Quelques facteurs de risques : En 2009, les adultes du RLS de Richelieu-Yamaska vivant en ménage privé présentent les facteurs de risque suivants : environ 42 % des adultes consomment moins de cinq portions de fruits et légumes par jour; environ 38 % des adultes pratiquent une activité physique de loisir moins d une fois par semaine; environ 19 % des adultes fument tous les jours ou à l occasion; environ 55 % des adultes présentent un surplus de poids, soit 37 % de l embonpoint et 18 % de l obésité. SANTÉ MENTALE/PSYCHOSOCIALE En , on dénombre 937 hospitalisations pour troubles mentaux en soins physiques de courte durée. Pour l intervalle , le nombre annuel moyen de suicides s élève à 25 sur le territoire de Richelieu-Yamaska. Le taux de mortalité par suicide est cinq fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Par ailleurs, pour l intervalle , le RLS présente un taux de mortalité par suicide significativement inférieur à celui du Québec. En , environ 9 % des Montérégiens de 12 ans et plus vivant en ménage privé ont déclaré souffrir d asthme et 4 % des Montérégiens de 35 ans et plus vivant en ménage privé ont déclaré souffrir d une maladie pulmonaire 13

14 Jeunesse En , le Centre jeunesse de la Montérégie a reçu signalements concernant les enfants du RLS, soit près du double par rapport à Le nombre de signalements retenus a lui aussi augmenté pour se chiffrer à 632 en Depuis , les abus physiques et la négligence constituent les deux principaux motifs de signalements retenus. Au nombre de 159, les nouvelles prises en charge représentent 25 % des signalements retenus en En Montérégie, en , le taux de grossesse chez les adolescentes se situe à 9,2 pour jeunes filles de ans. À l échelle du RLS, cela représente en moyenne 47 grossesses par année. UN PORTRAIT À NUANCER Un portrait global comme celui-ci peut difficilement traduire adéquatement la réalité de l ensemble de la population d un territoire donné. Ainsi, le RLS de Richelieu-Yamaska doit tenir compte des disparités importantes entre chacun des trois secteurs de mission CLSC. Par exemple, comparativement à la population du territoire des Patriotes, celle des Maskoutains et de la MRC d Acton présentent de plus grandes proportions de familles monoparentales, de personnes sous-scolarisées et vivant sous le seuil de faible revenu et de jeunes pris en charge par la DPJ. Outre des taux ajustés d hospitalisation et de mortalité plus élevés, la population des Maskoutains affiche un taux significativement plus élevé d hypertension et celle de la MRC d Acton affiche un taux significativement plus élevé de diabète. Enfin, la population des territoires des Patriotes et des Maskoutains présentent des taux ajustés d incidence du cancer de la prostate significativement supérieur à celui du Québec. À contrario, la population du territoire des Patriotes présente un meilleur état de santé. Les naissances de mères moins scolarisées, l hospitalisation et la mortalité, l hypertension, le diabète, les bébés de faible poids et le suicide présentent des valeurs significativement plus faibles que celles de la population québécoise. Parallèlement, l espérance de vie y est significativement plus élevée qu au Québec. 1 Selon le Recensement de Définis selon la première langue officielle parlée 3 Pigeon, É. Et I. Larocque (2011). «Tendances corporelles de la prévalence et de l incidence du diabète, et mortalité chez les diabétiques au Québec, de à » Surveillance des maladies chroniques (5). Disponible sur : Diabete A pdf 14

15 SERVICES OFFERTS À LA POPULATION SERVICES EN CLSC Archives Centre de consultations de médecins spécialistes Centre d enseignement sur l asthme Clinique Santé Voyage Guichet accès clientèle sans médecin de famille Nutrition clinique Prélèvements Programme de santé en entreprise Renouvellement de carte d assurance maladie Soins infirmiers Vaccination - adulte SERVICES ET SOINS HOSPITALIERS Accueil clinique Archives Bloc opératoire Clinique de consultation des femmes (CCF) Centre de naissance et pouponnière Clinique de soins de plaies Clinique d insuffisance cardiaque Clinique du sein Centre intégré du diabète Cliniques externes Clinique préopératoire Électrophysiologie médicale (cardiologie et neurologie) Endoscopie Hémodialyse et dialyse péritonéale Hospitalisation Laboratoire de fonction et rééducation respiratoire Laboratoire Médecine générale Médecine nucléaire Médecine de jour Nutrition clinique Pharmacie Radiologie Échographie Mammographie Radiographie générale Résonnance magnétique Tomodensitométrie (scan) Services de réadaptation Soins intensifs Soins spirituels Urgence Spécialités médicales Allergie-immunologie Anatomo-pathologie Anesthésiologie Cardiologie Chirurgie dentaire Chirurgie générale Chirurgie orthopédique Chirurgie plastique Chirurgie thoracique Chirurgie vasculaire Dermatologie Endocrinologie Gastro-entérologie Hématologie-oncologie Médecine interne Médecine nucléaire Microbiologie-infectiologie Néphrologie Neurologie Obstétrique-gynécologique Ophtalmologie Oto-rhino-laryngologie Pédiatrie Pédopsychiatrie Physiatrie Pneumologie Psychiatrie Radiologie Urologie 15

16 SERVICES FAMILLE, ENFANCE ET JEUNESSE CLSC Clinique du nourrisson Clinique jeunesse Crise-Ado-Famille-Enfance (CAFE) Service aux femmes enceintes et aux familles Rencontres prénatales Programme OLO (œuf, lait, orange) Services santé dentaire préventif à l école Services psychosociaux Services scolaires (psychosociaux et infirmiers) Soutien à l allaitement Vaccination nourrisson et jeunes enfants HÔPITAL Audiologie enfant-adulte Clinique de développement de la petite enfance (CDPE) Cliniques externes spécialisées en pédiatrie et obstétrique Clinique de grossesse à risque élevé (GARE) SERVICES SANTÉ MENTALE, DÉPENDANCES, DÉFICIENCES INTELLECTUELLES CLSC Accueil psychosocial Guichet accès en santé mentale Services psychosociaux et de santé mentale Déficience intellectuelle (DI) Dépendances (drogues, alcool et jeu) Services de groupe (troubles anxieux, troubles relationnels) Trouble envahissant du développement (TED) Intervention de crise et prévention du suicide Soutien à la famille DI-DP-TED Soutien d intensité variable HÔPITAL Clinique d évaluation TED 0-12 ans (CETED) Consultations externes en psychiatrie Hôpital de jour psychiatrique Pédopsychiatrie Suivi intensif dans le milieu Unités de soins psychiatriques SERVICES POUR LES PERSONNES EN PERTE D AUTONOMIE LIÉE AU VIEILLISSEMENT OU À LA DÉFICIENCE PHYSIQUE À DOMICILE Aide à domicile Inhalothérapie Nutrition clinique Prêts d équipement Réadaptation Service social Soins infirmiers et médicaux Soins palliatifs Soutien à la famille répit aux aidants AMBULATOIRES Centre de jour Gériatrie Hôpital de jour AU CENTRE D HÉBERGEMENT Nutrition clinique Orientation admission - intégration Pharmacie Services animation loisirs soins spirituels Services d assistance (soins d hygiène) Services de réadaptation (ergothérapie et physiothérapie) Service social Soins infirmiers et médicaux Unité de soins palliatifs Unité prothétique 16

17 PROMOTION DES SAINES HABITUDES DE VIE ET PRÉVENTION DES PROBLÈMES DE SANTÉ (SANTÉ PUBLIQUE) Centre d abandon du tabac Centre d approvisionnement matériel injectables (CAMI) Dépistage et suivi Sida ITSS Développement social et développement des communautés Pratiques cliniques préventives Prévention du cancer du col de l utérus Programme En santé après 50 ans Programme Pied pour prévention des chutes aînés Programme (saines habitudes de vie) Promotion du Programme de dépistage du cancer du sein 17

18

19 PRINCIPALES MODIFICATIONS APPORTÉES DURANT L EXERCICE ET FAITS SAILLANTS

20 INTÉGRER L EXPÉRIENCE CLIENT AU CŒUR DE NOS ACTIONS C est en positionnant la clientèle au centre de ses priorités et en développant une culture organisationnelle basée sur l expérience client que le CSSS Richelieu-Yamaska souhaite réaliser sa mission et répondre aux besoins actuels et futurs de sa population. C est pourquoi l établissement s est doté de six grands fondements qui orientent et guident chacune de ses actions. Intégrer l expérience client au cœur de nos actions Assurer la protection de la clientèle Assurer le maintien de l autonomie et les compétences de la personne et de la famille Assurer que le client reçoive des soins et services optimaux et coordonnés Assurer à la clientèle l accès à des ressources humaines en nombre suffisant, compétentes et qui se réalisent pleinement Assurer à la clientèle un environnement physique en évolution, adapté aux besoins Le premier fondement «Intégrer l expérience client au cœur de nos actions» est la pierre angulaire d où émanent les cinq autres fondements et englobe toutes les actions mises en place dans l organisation visant à développer une culture de l expérience client au sein du CSSS Richelieu-Yamaska. Une promesse client qui nous distinguera Cette promesse viendra donc mettre en lumière les valeurs et les comportements que l organisation croit nécessaire de privilégier pour répondre aux besoins de sa population. Elle reflètera la vision commune et partagée par l ensemble de l organisation. 20

21 FAITS SAILLANTS Les visites clients C est par «les visites clients» que le CSSS Richelieu-Yamaska a amorcé la mise en place de cette culture organisationnelle, qui sont maintenant devenues un processus intégré pour l amélioration continue de la qualité. Par ses visites, le CSSS va au-delà de son devoir de prestation d actes cliniques, mais prête attention aux besoins de ses patients en incluant leur composante émotionnelle. Les visites clients permettent de : Comprendre de quelle façon l organisation peut améliorer ses soins et services Identifier les changements significatifs Rechercher l empreinte émotionnelle Faire une rétroaction à chaud Éviter de perdre contact avec l évolution des besoins de la clientèle Partager nos histoires - bonnes ou mauvaises - aux rencontres du comité de direction, du CA, aux assemblées de gestion et d employés. Les prochaines étapes Au-delà des visites clients, des étapes subséquentes sont essentielles au développement d une culture de l expérience client. La 2 e étape consistant à la formulation d une promesse client et la définition de valeurs de services, des travaux ont débuté en ce sens au cours de la dernière année, travaux qui seront dévoilés à l automne prochain. Afin d avoir une promesse client qui traduit bien les attentes des différentes clientèles du CSSS, des groupes de discussion ont été tenus parmi celles-ci. Ces groupes ont aussi révélé le niveau de satisfaction des patients quant aux soins et services reçus; donnant au CSSS des pistes de réflexion afin de cibler les moyens permettant de répondre à leurs besoins et d être à la hauteur de la confiance que la population porte à l établissement. ÉTAPE 1 ÉTAPE 2 ÉTAPE 3 ÉTAPE 4 Des visites clients une promesse et des valeurs de services une structure l'expérience employé Les faits saillants Les faits saillants vous sont présentés dans les prochaines pages sous le couvert des grands fondements mentionnés plus haut démontrant ainsi comment chacun des projets et des gestes posés par l établissement s inscrit dans une démarche d amélioration continue basée sur le renforcement de l expérience client. 21

22 Assurer la protection de la clientèle Baisse importante du nombre de cas de C. Difficile et d ERV durant la dernière année Afin de contrer les infections nosocomiales à l intérieur de ses murs, le CSSS a fait de la prévention et du contrôle des infections une de ses priorités organisationnelles cette année. Les stratégies organisationnelles mises en place ont résulté en une réduction notable de près de 50 % des infections pour le C. Difficile et l ERV durant la dernière année. Trois grandes cibles ont été identifiées. Le dépistage fréquent des patients, et ce, dès leur arrivée à l urgence. La poursuite de la promotion et la prévention des infections avec le rappel des consignes de base en mesure d hygiène des mains et la mise en commun sur une même unité, depuis l été 2013, des patients atteints d ERV pour réduire la transmission des infections. Finalement, les équipes d hygiène et de salubrité ont agi en pro action pour revoir et harmoniser les procédures de désinfection de certains équipements, effectuer des contrôles de qualité sur le nettoyage effectué et poursuivre la formation du personnel en désinfection. Toutes ces actions permettent d agir en amont et de prévenir la transmission des infections. Des chiffres qui parlent d eux-mêmes : ERV : 149 cas pour l année comparativement à 268 cas en C-difficile : 26 cas pour l année comparativement à 42 cas en Achèvement du programme AMPRO OB L équipe d obstétrique du CSSS Richelieu-Yamaska, médecins et personnel soignant, a complété, lors de la dernière année, le troisième et dernier volet du Programme AMPRO OB, un programme pancanadien associé à une sécurité accrue des femmes enceintes qui est d une durée de trois ans. Cette troisième étape «Modifier la culture» met l accent sur le renforcement de la collaboration interprofessionnelle et sur l amélioration constante des méthodes de travail pour des grossesses et des accouchements toujours plus sécuritaires. Dépassement des exigences de participation de 80% dans l ensemble des activités du programme.

23 FAITS SAILLANTS Coordination des mesures d urgence La mise en place des meilleures pratiques de mesures d urgence est une priorité de tout instant au CSSS, et ce, afin de permettre le maintien des services à la population en cas de sinistre, mais aussi afin d assurer dans pareille situation - un environnement sécuritaire et une coordination efficace des interventions. En ce sens, l embauche d un nouveau coordonnateur des mesures d urgence, en juin 2013, s imposait. Depuis son arrivée, plus de 750 membres du personnel en centre d hébergement ont été formés sur le code d incendie (code rouge) et un exercice de feu a été effectué dans l ensemble des centres d hébergement. Aussi, le CSSS a tenu une simulation de table et un exercice pratique d arrivée massive de blessés à l urgence de l Hôpital (code orange) au cours de l hiver En procédant à de tels exercices, l établissement teste et améliore ses plans de mesures d urgence et s assure de garder des réflexes bien aiguisés pour être en mesure de répondre efficacement aux besoins de sa population. Informatisation des services alimentaires en centres d hébergement Parce que les résidents en centre d hébergement ont besoin d une alimentation adaptée à leurs capacités, d un soutien professionnel et d une surveillance en continu de leur état nutritionnel, un projet d informatisation des services alimentaires a vu le jour au cours de la dernière année. Ce projet fait en sorte que les préférences, caractéristiques spécifiques et allergènes des résidents sont compilés dans un logiciel tout comme les recettes, menus et ingrédients disponibles afin de faire une planification optimale et sécuritaire de ce service. Les étapes préparatoires d entrée de données, de rencontres des résidents, de personnalisation des menus, d information aux familles et de réorganisation du travail du personnel étant terminées, l implantation dans les centres d hébergement sera réalisée au cours de l année La qualité au quotidien, une autre façon de gérer les risques La gestion des risques fait partie du quotidien au CSSS Richelieu-Yamaska. Cette année, l organisation va plus loin en mettant en place un programme de gestion intégrée des risques, qui permet aux administrateurs et aux gestionnaires d avoir une vision globale des risques, afin de les guider dans leur prise de décisions. Ce programme, tout en respectant les valeurs et les enjeux de la planification stratégique du CSSS, contribue à améliorer la sécurité, en gérant le risque de manière proactive, en prévoyant des mécanismes pour tenter de prévoir les événements indésirables, tant pour diminuer la probabilité qu ils surviennent que pour mieux se préparer à leur faire face. Des travaux ont été amorcés au sein des équipes-qualité des différents services afin qu elles identifient leurs risques dans leur secteur et qu elles mettent en œuvre un plan d action pour contrer ou contrôler certains de ces risques. La démarche a également été faite auprès des directeurs. Le but de cette démarche est de créer un milieu de soins et de services, ainsi qu un environnement de travail soucieux du risque, qui favorisent l innovation et une prise de décision responsable, tout en veillant à réaliser pleinement la mission de l établissement en termes de soins et de services de qualité et sécuritaires. 23

24 Assurer le maintien de l autonomie et les compétences de la personne et de la famille Hébergement : regroupement des jeunes adultes Soucieux d'assurer une qualité de services «adaptés» à toutes ses clientèles, l établissement a pris la décision de regrouper, progressivement - et avec leur accord- les jeunes adultes de 65 ans et moins qui étaient, jusqu alors, hébergés avec la clientèle plus âgée. L objectif principal de ce regroupement est de faire en sorte que les jeunes adultes puissent bénéficier d une offre de services adaptée à leurs besoins spécifiques, leurs attentes et leurs intérêts. Depuis le début du projet à l automne 2013, quelques étapes ont été franchies. Onze jeunes adultes sont maintenant réunis au Centre d hébergement Andrée-Perreault où ils ont déjà accès à des activités de loisirs organisées spécifiquement pour eux. Éventuellement, le CSSS souhaite aller plus loin dans l adaptation de cette nouvelle offre de services en leur proposant, par exemple, une programmation de loisirs adaptée, des stages avec des maisons d enseignement et des activités leur permettant de s autoréaliser et d utiliser leur plein potentiel. Réadaptation fonctionnelle : des services adaptés à la condition des clients Le CSSS désire offrir à la clientèle des soins appropriés, sécuritaires et adaptés à la condition de chacune des personnes pour favoriser la récupération fonctionnelle de l autonomie de chacun et éviter le recours trop rapide à l hébergement. Dans le but d assurer une utilisation optimale de ses ressources et en lien avec les nouvelles lignes directrices du MSSS, l organisation a procédé à la transformation de 10 lits au 9 e étage de l Hôpital Honoré-Mercier pour créer une Unité de réadaptation fonctionnelle intensive (URFI). La clientèle peut ainsi recevoir des soins de physiothérapie et d ergothérapie de façon intensive, sur une base quotidienne, qui favorise son rétablissement pour un retour éventuel à domicile ou en résidence privée. Parallèlement à cette transformation, 17 lits de plus ont été ajoutés à l Unité transitoire de réadaptation fonctionnelle (URTF) à l Unité du Verger au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe. Cette unité offre des soins adaptés de réadaptation à des personnes aînées vulnérables, dont le retour à domicile est jugé non sécuritaire en raison d incapacités fonctionnelles, et ce, même avec l ajout de services intensifs de soutien à domicile. De nouveaux critères d admission permettent maintenant au CSSS d accueillir de la clientèle sur cette unité plus longtemps, car ce milieu possède toutes les conditions requises pour favoriser la réadaptation fonctionnelle pour un retour à domicile et retarder ultimement l hébergement de cette clientèle. Poursuite de l implantation de l Approche adaptée à la personne âgée Débutée en 2012, la mise en place de l Approche adaptée à la personne âgée, démarche visant à adapter l'ensemble du milieu hospitalier aux personnes âgées afin de préserver leur autonomie fonctionnelle, a permis, durant la dernière année, de franchir plusieurs étapes importantes. Ainsi, un programme de marche est maintenant actif sur toutes les unités de l hôpital, afin de préserver et d'encourager la mobilité des aînés hospitalisés. Le personnel des unités ainsi que tous les nouveaux employés sont formés sur les grands fondements de cette démarche. Une approche novatrice de coaching sur les unités a été réalisée afin de mettre en pratique les nouvelles compétences acquises. Plusieurs outils cliniques, destinés à aider les équipes de soins dans la préservation de la mobilité des usagers ont été revus. L Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie s est réjouie, lors d une visite de suivi et d appréciation de l implantation, effectuée au printemps dernier, de constater l état d évolution des composantes de l'approche adaptée à la personne âgée instaurées au sein de l organisation.

25 FAITS SAILLANTS Programme antibiothérapie intraveineuse ambulatoire (PAIVA) Une alternative à l hospitalisation L antibiothérapie intraveineuse ambulatoire (à domicile) est une alternative à l hospitalisation fort intéressante pour les patients qui sont stables cliniquement et qui peuvent bénéficier d un congé. Les patients sont dirigés vers ce programme principalement à la suite d une visite à l urgence ou dans une clinique médicale. Depuis janvier 2014, une réorganisation de ce service a été effectuée pour améliorer l expérience des patients utilisateurs du service. Une infirmière de référence a été désignée pour accueillir les clients, procéder à l enseignement et réduire les intermédiaires pour la clientèle. Toutes les demandes sont centralisées, les médicaments livrés à domicile et les suivis coordonnés et partagés entre les intervenants impliqués dans la thérapie intraveineuse ambulatoire du client. Toutes ces améliorations répondent aux attentes des patients et renforcent le sentiment de sécurité de tous ceux qui participent à ce programme. Projet pilote paritaire à l Unité du Parc : Réorganisation du travail en fonction de l approche milieu de vie Un projet pilote de réorganisation du travail des préposés aux bénéficiaires et du personnel de soin a été mené à l automne 2013, à l Unité du Parc du Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe. Ceci afin d actualiser l approche milieu de vie dans l organisation des soins, des services et des activités de la vie quotidienne des résidents tels que les repas, les soins d hygiène et la promotion de l autonomie. Concrètement l approche milieu de vie repose sur trois principaux fondements soit l établissement d une relation significative intervenant-résident; la dispensation de soins et de services personnalisés, respectant les besoins, les attentes du résident ainsi que ses habitudes de vie antérieures et; la création d un milieu adapté, personnalisé et sécuritaire qui rappelle l environnement familial. La réorganisation du travail a donc été faite en se basant sur ces fondements et sur la volonté de l établissement d assurer une meilleure répartition de la main-d œuvre, selon l intensité des besoins des résidents. Connaissant des résultats probants, le projet sera déployé et adapté dans l ensemble des centres d hébergement du CSSS. Résultats du projet pilote : Hausse de 39 % de résidents ayant un sommeil continu (7 h et +) Hausse de 23 % de résidents qui bénéficient d un bain pour leurs soins d hygiène corporels 99 % des résidents disent que l ambiance sur l unité est agréable Hausse du nombre de résidents qui prennent leur repas à la salle à manger : 55% au petit-déjeuner 22% au dîner 27% au souper 25

26 Assurer que le client reçoive des soins et services optimaux et coordonnés Endosocopie : Un projet d optimisation pour l amélioration de l expérience patient Le projet d aménagement du secteur de l endoscopie, qui représente un investissement de plus de 6 millions de dollars, a pris son envol après l approbation des plans et devis, l automne dernier, et le début des travaux en janvier Tout le cheminement de la clientèle dans ce nouveau service a été revu dans une grande démarche d amélioration des processus qui s était complétée en L accroissement des volumes d activités occasionné par l arrivée de plusieurs nouveaux médecins spécialistes nécessitait la réorganisation de ce service et la mise en place d un secteur de pointe. L organisation a trouvé fort opportun, dans la foulée de ce nouvel aménagement, d adjoindre les cliniques externes de gastro-entérologie et d urologie à l endoscopie afin de mieux profiler le continuum de soins. Un comité, piloté par le Bureau de projets organisationnels, coordonne l évolution du projet. L ouverture de ce service est prévue pour septembre Des services regroupés pour les femmes Le Centre de référence pour investigation désigné (CRID) du CSSS Richelieu-Yamaska a été reconnu comme un des plus performants de la Montérégie en novembre La réorganisation de tout ce service, additionnée à l acquisition d équipements à la fine pointe, a permis d atteindre les normes recommandées pour l obtention d un rendezvous pour une mammographie de dépistage, qui est de 30 jours ouvrables, ou pour un examen complémentaire, qui est de 11 jours ouvrables; normes indiquées dans le cadre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS). Les travaux de réaménagement de trois salles d échographie, de deux salles de lecture et d une salle de mammographie, au Service d imagerie médicale de l Hôpital Honoré-Mercier, offrent maintenant des espaces mieux adaptés, autant pour la clientèle que pour les équipes médicales et professionnelles. Avec la relocalisation de la Clinique du sein, réalisée en mai 2014, tous les services offerts aux femmes dans le dépistage du cancer du sein sont regroupés au même endroit. Les équipements de pointe, dont un nouveau mammographe haute résolution et un système de macrobiopsie stéréotaxique, ont pu être acquis avec l appui de la Fondation Honoré-Mercier, qui a dédié sa campagne 2013 au soutien du dépistage du cancer du sein. 26

27 FAITS SAILLANTS Création du Centre gériatrique ambulatoire : un service intégré pour le soutien de la personne âgée Afin de maintenir les personnes âgées à leur domicile tout en assurant un suivi de leurs besoins et de leur condition de santé, le CSSS a décidé de procéder à la création d un Centre gériatrique ambulatoire qui regroupera dorénavant tous ses services ambulatoires destinés aux personnes âgées, soit l Hôpital de jour, les Centres de jour, la psychogériatrie et une clinique médicale. La création de ce centre facilitera le contact avec les intervenants de première ligne tels que les Groupes de médecins de famille, les CLSC ou le personnel du soutien à domicile du CSSS puisque ceux-ci pourront référer leurs patients en un seul et même endroit pour l ensemble des services gériatriques, qu ils soient à caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique. Cela viendra également faciliter la coordination des services offerts à cette clientèle étant tous dorénavant réunis dans un même secteur. Ce service sera dédié aux personnes âgées présentant des problèmes de santé pouvant affecter leur autonomie, mais dont la condition de santé ne requiert pas un séjour hospitalier. La création du Centre gériatrique ambulatoire ayant été officialisée à la fin de l année , plusieurs étapes sont à mettre en place. L analyse des meilleures pratiques et la révision de l offre de services seront réalisées lors de la prochaine année afin d assurer la performance et de créer une synergie au sein de ce secteur. Lancement d un guichet d accès en obstétrique Parce que chaque grossesse est unique et tellement importante, le CSSS a mis en place, en septembre 2013, un guichet d accès en obstétrique qui permet aux futures mamans d avoir accès à un médecin pour effectuer le suivi de leur grossesse. Simple et efficace, pour se prévaloir de ce service, les femmes n ont qu à téléphoner pour présenter une demande. Les patientes dont la grossesse est normale sont dirigées vers une clinique médicale, disposant de places disponibles, à proximité de leur domicile. Les femmes présentant une grossesse à risque sont quant à elles prises en charge par les gynécologues-obstétriciens des cliniques spécialisées d obstétrique du CSSS. En plus de faciliter l accès à un médecin, ce nouveau service permet donc aux femmes enceintes d être suivies par le bon professionnel. Un grand plus pour la santé des mamans et de leur petit. Déploiement de la télémétrie au 6 e étage pour la clientèle ERV Dans le but d éviter la transmission des infections nosocomiales, l organisation a décidé de regrouper tous les patients hospitalisés atteints d ERV au 6 e étage de l Hôpital. Ce choix organisationnel requiert que le personnel soignant de cette unité soit formé à intervenir auprès de patients cardiaques, qui habituellement sont hospitalisés au 7 e étage. Pour ce faire, un système de télémétrie, servant au suivi du rythme cardiaque d une personne, a été installé au 6 e étage pour permettre aux infirmières de suivre adéquatement les clients porteurs d ERV dont leur condition de santé nécessite un suivi particulier. La mise en place de l infrastructure nécessaire et la formation de personnel qualifié sur cette unité assurent la sécurité de ces patients. 27

28 télé-urgence pédiatrique avec le CHU Saint-Justine Un nouveau service intégré de télésanté dédié à la clientèle pédiatrique de 0 à 16 ans du CSSS Richelieu-Yamaska a été lancé en décembre dernier. L Hôpital Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe est le premier partenaire au Québec à se joindre à ce projet innovant, initié par le CHU Sainte-Justine, qui permet aux médecins d avoir recours à une présence «virtuelle» lors de la réception de patients pédiatriques à la salle d urgence. En effet, grâce à ce service de visioconférence, les urgentologues et pédiatres de l Hôpital peuvent maintenant bénéficier, en temps réel, de l expertise des spécialistes du CHU Sainte-Justine pour une meilleure prise en charge des jeunes patients admis à l urgence pour une détresse respiratoire aigüe ou pour un traumatisme majeur nécessitant des services spécialisés ou sur-spécialisés. Les différentes interventions peuvent ainsi être prodiguées rapidement et efficacement, tout en assurant une communication clinique directe et continue, entre les deux centres hospitaliers, sur la condition du patient. Nouvelle entente de service avec le Centre de réadaptation Le Virage Le CSSS a conclu une entente de service avec le Centre de réadaptation Le Virage qui vient en aide aux personnes souffrant d une dépendance à l alcool, aux drogues, aux médicaments ou au jeu. Grâce à celle-ci, un intervenant du centre est présent trois fois par semaine à l urgence de l Hôpital Honoré-Mercier afin d évaluer sur place les patients qui s y présentent pour un problème de dépendance. Aussi, en tout temps, comme l intervenant n est pas toujours sur place, les médecins et le personnel de l urgence peuvent référer un patient à l infirmière de liaison en santé mentale qui, au besoin, fait le pont avec l organisme Le Virage qui assurera ensuite le suivi. Lors de sa présence à l Hôpital, l intervenant se déplace également sur l unité de soins psychiatriques courte durée pour faire le dépistage des patients aux prises avec une dépendance. Cette nouvelle entente amène donc une prise en charge directe et rapide des patients et évite, par le fait même, qu ils se présentent de façon récurrente à l urgence ou que leur état nécessite l hospitalisation. Depuis juin 2013, 120 demandes de consultation ont été faites pour l infirmière, dont 41 ont été référées au Centre de réadaptation Le Virage. Un premier don d organes Une première pour les équipes de soins du CSSS Richelieu-Yamaska! En collaboration avec Transplant Québec, les équipes des soins intensifs et du bloc opératoire ont contribué à la réalisation d un premier don d organes sur diagnostic de décès cardiorespiratoire ou mort cardiorespiratoire, appelé DDC, en décembre Il s agissait de la première fois que des organes destinés à une transplantation étaient prélevés au CSSS plutôt que de transférer le patient vers un centre de prélèvement. Cette procédure a permis à la famille d être présente lors du décès, avant le don d organes, ce qui a facilité l étape de deuil. Le CSSS Richelieu-Yamaska a recommandé 12 patients à Transplant Québec durant la dernière année. Depuis 2006, 21 organes ont été greffés, dont huit en Un comité de don d organes existe depuis plusieurs années pour informer et sensibiliser les employés et les médecins au don d organes et de tissus. Des formations sont organisées régulièrement en collaboration avec Héma-Québec et Transplant Québec pour les employés de l urgence et des soins intensifs sur la procédure pour distinguer les donneurs potentiels. 28

29 FAITS SAILLANTS Développement du service de neurologie à l Hôpital Honoré-Mercier En lien avec le projet de rapatriement des clientèles du CHUM et du CUSM ( ), le CSSS a accueilli trois nouveaux neurologues au cours de la dernière année. L arrivée de ces médecins a permis l ouverture d un service permanent de neurologie à l Hôpital Honoré-Mercier qui ne comptait, jusqu alors, aucun neurologue à temps complet dans ses rangs. Depuis leur arrivée, le service a connu une hausse importante du nombre de visites et d examens. En effet, le nombre de consultations a augmenté de près de 50 %, passant de 1376 consultations en à 2061 cette année. L accueil de ces neurologues aura également permis d élargir l offre de services puisque deux nouvelles techniques y sont pratiquées, soit l étude de la fibre unique qui permet d analyser la transmission neuromusculaire et l administration d une injection qui permet de soulager les patients qui souffrent de contractions musculaires anormales et incommodantes. L'accueil Clinique : un exemple de réussite de soutien à la pratique médicale Durant la dernière année, le modèle d organisation de services de l accueil clinique du CSSS a bénéficié d une grande visibilité lors de représentations dans différents événements touchant notamment la responsabilité populationnelle. Depuis la mention d honneur obtenue aux Prix d excellence du réseau de la santé en 2012, plusieurs organisations en santé se sont intéressées à ce modèle d intégration des services et à la plate-forme Web mise en place. Rappelons que cette organisation de soins et de services reçoit, sur référence des médecins de famille du territoire du CSSS Richelieu-Yamaska, une clientèle présentant des conditions cliniques spécifiques et devant être prise en charge rapidement. Cette clientèle bénéficie d un accès aux services diagnostiques pour des examens et, dans certains cas, à des amorces de traitements en fonction de protocoles établis. La plate-forme Web offre aux médecins l accès à des protocoles cliniques et des guides de référence pour les aider dans leur pratique médicale. L accessibilité à l Accueil clinique a connu un essor, durant la dernière année, avec près de 16 % d augmentation de la clientèle référée. 29

30 Assurer à la clientèle l accès à des ressources humaines en nombre suffisant, compétentes et qui se réalisent pleinement Parce que la qualité de la main-d œuvre d un établissement a une incidence significative sur les soins et les services qui sont offerts à sa clientèle, le CSSS a déployé d importants efforts de recrutement tout au long de l année Un accueil personnalisé pour favoriser l intégration des étudiants en soins infirmiers L encadrement et l accueil de la relève d étudiants en soins infirmiers pour la période estivale est déterminant pour l organisation puisqu il s agit d un excellent moyen d attraction et de rétention en plus d aider les équipes durant les remplacements estivaux. À l été 2013, 49 étudiants de première année en soins infirmiers, 44 externes en deuxième année d études en soins infirmiers et 46 candidates à l exercice de la profession infirmière ont été accueillis et certains ont bénéficié de l accompagnement de «marraines» sur les unités qui apportent un soutien clinique à la pratique infirmière et un encadrement professionnel. Des ateliers cliniques ont également été organisés pour favoriser leur intégration. Ce lien favorise la communication entre les équipes et offre un appui pour le début de la carrière de cette relève. Le développement des compétences en soins infirmiers, une priorité! Le développement des compétences des membres du personnel infirmier encadré par des normes et suivant les meilleures pratiques est un élément très important au sein de notre CSSS. Durant la dernière année, plusieurs formations ont été données en lien direct avec les enjeux organisationnels. Dans le but de réduire les contentions, plus de 2000 membres du personnel soignants ont reçu une formation sur des mesures de remplacement à privilégier. Une dizaine d infirmières auxiliaires ont été formées sur les thérapies intraveineuses et 76 infirmières sur les cathéters veineux centraux. Dans le but d assurer une plus grande protection de la clientèle et réduire les erreurs possibles de médicaments, 148 infirmières ont participé à une formation sur le Bilan comparatif des médicaments. 30

31 FAITS SAILLANTS Diminution SIGNIFICATIVE de l utilisation de main-d œuvre indépendante Une importante diminution de heures d utilisation de la main-d œuvre indépendante d infirmière auxiliaire a été observée au cours de la dernière année. Cette baisse est le résultat d un travail réalisé au niveau de la planification de la maind œuvre et du recrutement. En effet, une analyse en temps réel a été effectuée à partir du début de l année 2013 pour chaque période financière, direction et quart de travail afin de quantifier : les heures supplémentaires, les heures effectuées en substitution, les heures d utilisation de la main-d œuvre indépendante et le mouvement de la main-d œuvre. Cette analyse approfondie aura permis d identifier les ajustements de structures de postes nécessaires pour chaque équipe pour ainsi procéder à la création de plusieurs nouveaux postes et donc, de nombreuses embauches. Le fait de réduire le recours à la maind œuvre indépendante permet une plus grande stabilité du personnel et, par conséquent, une meilleure qualité des soins et des services qui sont prodigués à la clientèle, et ce, tout en assurant un meilleur contrôle des coûts. Augmentation des embauches au cours de la dernière année Parce que la qualité de la main-d œuvre d un établissement a une incidence significative sur les soins et les services qui sont offerts à sa clientèle, le CSSS a déployé d importants efforts de recrutement tout au long de l année Que ce soit en participant à plusieurs foires et salons, par le lancement d une nouvelle thématique de recrutement ou par l élaboration d un microsite et d une campagne Facebook, aucune énergie n a été économisée afin de faire l acquisition de nouveaux talents. Les démarches ont porté leurs fruits puisque le nombre d embauches est passé de 468 en à 544 pour l année , et ce, malgré le contexte actuel de pénurie de main-d œuvre. Au final, le gain net de ressources syndiquées se chiffre à 127 en raison, évidemment, des départs à la retraite et des défis de rétention de personnel auquel l établissement fait face et sur lesquels il travaille sans relâche. Ces efforts, conjugués à ceux déployés en recrutement, visent à permettre au CSSS de se doter et de maintenir une équipe d employés qualifiés et ayant comme priorité le bien-être de sa clientèle. Une forte présence sur le terrain! 24 événements DE RECRUTEMENT 2025 candidats rencontrés 1840 dépliants 200 heures d exposition & 657 articles promotionnels distribués 31

32 Assurer à la clientèle un environnement physique en évolution, adapté aux besoins Relance du projet de l urgence L agrandissement de l urgence de l Hôpital Honoré-Mercier est un enjeu majeur pour l organisation qui désire continuer à assurer à la clientèle un environnement de soins sécuritaire, de qualité et propice à son rétablissement. Depuis les cinq dernières années, l urgence a connu une augmentation du nombre de visites de 13 %, dû à l augmentation de la population du territoire, au vieillissement de la population ayant des problèmes de santé et au rapatriement de la clientèle Une relance du dossier de l urgence a été effectuée auprès de l Agence de la santé et de services sociaux de la Montérégie pour réitérer la volonté de l établissement d agir rapidement afin d assurer une offre de soins de qualité ainsi que des services confidentiels et humains pour la clientèle; ce qui représente actuellement un défi en raison de l espace restreint disponible à l urgence. Dans le but de répondre aux réalités cliniques et au contexte économique actuel, un projet novateur de réalisation de cet agrandissement, en quatre phases, avec la création d une unité d investigation et d hospitalisation brève (UIHB) a d ailleurs été élaboré et présenté à l Agence. D ici à l acceptation et à la concrétisation de ce projet, l établissement a entrepris différentes actions qui permettront de trouver des solutions transitoires afin de limiter l engorgement de l urgence et d assurer un environnement sécuritaire de soins pour la clientèle et pour le personnel. Libérer de l espace pour les services cliniques Dans le but d offrir des services de proximité à la clientèle dans le cadre du projet de rapatriement des clientèles du CHUM et du CUSM ( ), l organisation a décidé de relocaliser des espaces administratifs, actuellement situés au Pavillon Saint-Charles de l Hôpital Honoré-Mercier. L espace libéré servira au déménagement de services en santé mentale qui sont présentement situés au Pavillon Honoré-Mercier de l hôpital, permettant ainsi de créer des lits destinés à la clientèle, pour des soins de courte durée. Ainsi, en février 2014, un appel d offres pour la location d espaces pour des directions administratives a été réalisé. Ces services ne nécessitant pas obligatoirement d être 32 situés à l hôpital, seront déménagés dans des locaux adjacents au CLSC des Maskoutains, dans un édifice appartenant à l entreprise qui a remporté l appel d offres. Le déménagement se réalisera dans la prochaine année.

33 FAITS SAILLANTS Prêt d équipements en CLSC Au-delà d une amélioration des processus! En 2012, une démarche d amélioration des processus avait été entreprise afin de revoir tout le fonctionnement du service du prêt d équipements et augmenter le temps consacré par les intervenants en soins à domicile auprès de la clientèle. Une démarche importante dans l optimisation du fonctionnement de ce service a été franchie, en août 2013, avec le transfert du Prêt d équipements du CLSC des Maskoutains dans de nouveaux locaux au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe. Le cheminement des équipements propres et souillés et des méthodes de nettoyage a été revu en plus d assurer un environnement sécuritaire et ergonomique au personnel. La gestion de l inventaire a été optimisée et a permis de retirer 270 équipements de l inventaire et d éliminer 1420 doublons d équipements. La révision de tout ce processus a également permis d offrir certains équipements, directement entreposés à l hôpital, pour les équipes de réadaptation qui peuvent maintenant remettre des équipements adaptés à la clientèle pour leur retour à domicile après une hospitalisation. établissement PROMOTEUR DU DÉVELOPPEMENT DURABLE Au printemps 2014, désirant réduire son empreinte environnementale et souhaitant se positionner comme établissement promoteur du développement durable, le CSSS a amorcé une réflexion qui permettra d intégrer la protection et la pérennité de l environnement à l intérieur de ses actions. À ce jour, quelques travaux ont déjà été entrepris, notamment la réalisation d un état de situation par un stagiaire en environnement, la réactivation d un comité «vert» et la révision du processus de recyclage du papier à l intérieur de l organisation. La rédaction d une politique sur le développement durable et la mise en place d un plan d action triennal appuieront cette nouvelle stratégie organisationnelle dans le temps. Amélioration et développement des immobilisations en centre d hébergement Les projets ont été nombreux pour améliorer le milieu de vie des résidents des centres d hébergement du CSSS. Un total de 1,7 M $ a été investi dans des rénovations fonctionnelles et de maintien d actif, dont, entre autres : l amélioration de la salle à manger et du salon des résidents du Centre d hébergement de Montarville, l aménagement des postes de garde sur les unités et la construction de balcons aux étages du Centre d hébergement de la MRC-d Acton et le réaménagement fonctionnel des salles d eau au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe. Tous ces projets permettent d améliorer la sécurité des résidents et d adapter les installations à leurs besoins. Les espaces ainsi créés sont plus conviviaux et appropriés pour un milieu de vie. 1,7 M $ DE rénovations fonctionnelles et maintien d'actifs 33

34 PRIX D EXCELLENCE ET MENTION D HONNEUR

35 Mention d honneur pour le guichet d accès en santé mentale L établissement a reçu une mention d honneur aux Prix d excellence du réseau de la santé et des services sociaux pour son Guichet d accès unique en santé mentale adulte. Le guichet est la porte d entrée unique des demandes de référence des patients d omnipraticiens nécessitant des soins et des services en santé mentale. Sa création est venue faciliter l accès aux services en santé mentale et assurer que le client reçoive le bon service, au bon endroit, selon son état de santé, et ce, dans un court délai. Le projet «Groupe FIERTÉ» finaliste aux Prix de l AQESSS L équipe Santé mentale jeunesse du CLSC des Patriotes était finaliste aux Prix de l AQESSS 2013, pour son projet Groupe FIERTÉ. Offert à la fois aux enfants et à leurs parents, le groupe thérapeutique FIERTÉ permet aux jeunes d'apprivoiser et de maîtriser leur anxiété, tout en favorisant chez les parents une meilleure compréhension de la problématique vécue par leur enfant. Le Prix de reconnaissance AMPRO OB L équipe d obstétrique de l Hôpital Honoré-Mercier recevait, en février dernier, le Prix de reconnaissance AMPROOB pour avoir obtenu un rendement exceptionnel dans l atteinte des objectifs du programme AMPROOB, un programme pancanadien associé à une sécurité accrue des femmes enceintes. Ce prix est remis aux établissements dont la participation dépasse les 80% dans l ensemble des activités du programme. Le Prix d excellence Jean Latreille Le Réseau de cancérologie de la Montérégie (RCM) a décerné le Prix d excellence Jean-Latreille à l équipe dédiée aux soins palliatifs à domicile du CLSC des Patriotes. Ce prix souligne l engagement et le rayonnement d un professionnel ou d une équipe du réseau de la santé dans un projet lié au thème de la Journée annuelle du RCM. L équipe lauréate soutient les patients atteints d un cancer en phase palliative et leurs proches afin de permettre le maintien à domicile et d éviter l hospitalisation. 35

36 RÉSULTATS AU REGARD DE LA PLANIFICATION STRATÉGIQUE La planification stratégique , adoptée par le conseil d administration le 16 février 2011, s inscrit à l intérieur des orientations stratégiques ministérielles et régionales, avec un aspect local axé, notamment sur l intégration et la continuité des services du CSSS. Voici les résultats et les actions déployées au cours de l année ENJEU «LES CONTINUUMS» L approche par continuum d intervention est la base de la mise en œuvre de la responsabilité populationnelle et de l intégration des soins et services. Les continuums visent à assurer la continuité entre les interventions en intégrant les volets «prévenir, guérir et soutenir». Cette approche est au cœur du projet organisationnel mis de l avant par notre CSSS. OBJECTIFS RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Offrir des soins et des services intégrés, favorisant la continuité et l accompagnement de la personne pour les clientèles prioritaires suivantes : Personnes âgées Santé mentale Jeunes en difficulté Maladies chroniques Cancer et soins palliatifs Services généraux SOINS PALLIATIFS Mise en place d un comité de travail afin d optimiser le fonctionnement de l Unité de soins palliatifs au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe : revoir les outils de travail et le processus d admission et faciliter la communication entre les différentes instances du CSSS. SANTÉ MENTALE Intégration d usagers (trois personnes) au comité de prévention du suicide du CSSS. Ces trois personnes représentent la clientèle utilisatrice des services et ont été nommées par leurs pairs. DI-DP-TED Mise en place de la table d accès 1 re et 2 e ligne de même que la table de continuité CSSS et CRDI-TED-ME pour assurer des passerelles et renforcer l accès aux services. Collaboration avec le Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement de la Montérégie-Est (CRDITED-ME), le Centre montérégien de réadaptation (CMR) et les organismes communautaires afin de développer le Réseau local de services. Le 13 novembre 2013, 100 personnes du Réseau local de services (CSSS, CRDI, organismes communautaires, Centre jeunesse de la Montérégie, milieu scolaire) ont participé au lancement de l offre de service intégré du continuum DI-TED. Quatrevingt-sept de ces personnes ont été formées cette même journée pour le PPH (Processus de production du handicap) qui vise à harmoniser les pratiques et les façons de faire en DI-TED pour la clientèle du territoire. 36

37 JEUNES EN DIFFICULTÉ «Je tisse des liens gagnants» est un projet d intervention en contexte de négligence, développé par le CSSS, en collaboration avec le Centre jeunesse de la Montérégie et les trois Maisons de la famille (Patriotes, Maskoutains, Acton Vale) du territoire de l établissement. Il vise à mieux outiller les familles qui ont de la difficulté à répondre adéquatement aux besoins de leur enfant. L offre de service de groupe liée à ce projet, pour les familles, a débuté dans la MRC d Acton. 0-5 ANS Débutée en décembre 2012, la clinique d allaitement au CLSC des Maskoutains, avec présence médicale, a pris son envol au cours de la dernière année. Nombre d usagers : 415 et nombre d interventions : 945 pour Repérage ciblé du Trouble du spectre de l autisme fait par un intervenant qualifié permettant une référence plus rapide avec CETED et CRDI. Débuté en février 2014, 36 enfants, qui étaient sur la liste d attente, ont été vus en orthophonie au Centre de développement de la petite enfance du CSSS. Signature de 14 protocoles d entente avec des CPE du territoire des Patriotes pour les enfants de familles plus vulnérables. L entente permet que des enfants avec des besoins particuliers, suivis par les services du CSSS, puissent avoir une place en garderie pour éviter qu ils aient des retards de développement. Soutenir le personnel d encadrement et l évolution des pratiques de management clinique. SOINS INFIRMIERS ET PRATIQUES PROFESSIONNELLES Soutien dans le suivi de compétences professionnelles. Assistance dans la réalisation d audits auprès des professionnels. Clarification des droits acquis concernant les techniciens en travail social. Développement d une communauté de pratiques pour les ergothérapeutes en soutien à domicile Rédaction du document d orientation sur la gestion des maladies chroniques. Réalisation de la procédure de collecte des objets piquants. Rédaction et mise à jour de huit méthodes de soins infirmiers dont l administration du médicament Vénofer et la surveillance de l artère fémorale à la suite d une angiographie Rédaction d'un protocole infirmier portant sur le traitement de l'hypoglycémie. Rédaction et diffusion de 22 info-soins touchant différents aspects des soins infirmiers. 37

38 ENJEU «LES MILIEUX DE VIE» Cet enjeu met en lumière l importance du développement des services d hébergement. Le CSSS compte près de personnes vivant en permanence dans ses milieux de vie : en CHSLD, en unité d hébergement de longue durée de santé mentale et dans les quatorze ressources intermédiaires sous sa responsabilité. OBJECTIFS RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Offrir des soins et des services en conformité avec l approche «Milieu de vie» pour notre clientèle avec perte d autonomie et la clientèle présentant un problème de santé mentale. HÉBERGEMENT-MILIEU DE VIE Poursuite des interventions dans les centres d hébergement du CSSS visant l implantation de l approche «Milieu de vie». Diminution de l utilisation des mesures de contention dans tous les centres d hébergement. Ainsi, en , comparativement à l an dernier, diminution de 11 % de contentions utilisées, diminution de 17 % de résidents sous contention et diminution de 34 % de ridelles de lit utilisées comme contention. Formalisation des Pratiques de soins en hébergement qui déterminent les meilleures pratiques de soins et services à offrir en hébergement, désormais disponible au personnel afin de baliser leurs interventions. Bonification constante de la programmation en loisirs dont l ajout d activités spécifiques dédiées à de petits groupes de résidents présentant un intérêt commun. Bonification de l offre de service à la suite de l ajout d une nutritionniste couvrant les besoins des centres d hébergement du CSSS ainsi que des Ressources intermédiaires (RI). Évaluation et plan de soins nutritionnels de la clientèle : 63 interventions effectuées en RI en Fermeture du rapport de visite d appréciation de la qualité du milieu de vie de l Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie pour le Centre d hébergement de la MRC-d Acton et pour le Centre d hébergement Marguerite- Adam. Nouvelles visites d appréciation de la qualité du milieu de vie de l Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie : o Au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe du 16 au 18 octobre 2013 avec sept recommandations émises; o o o o Au Centre d hébergement Andrée-Perrault le 3 mars 2014 avec sept recommandations émises; Au Centre d hébergement de la MRC-d Acton le 4 mars 2014 avec cinq recommandations émises; Au Centre d hébergement de Montarville le 5 mars 2014 avec neuf recommandations émises; Au Centre d hébergement Marguerite-Adam le 6 mars 2014 avec neuf recommandations émises. Élaboration d un plan d action de direction pour donner suite au Sondage de satisfaction de la clientèle en hébergement effectué par le comité des usagers. 38

39 SANTÉ MENTALE Fermeture du plan d action de la Visite d amélioration continue du MSSS à l Unité d hébergement de longue durée de santé mentale avec un taux de réalisation de 95 %. 18 recommandations ont été complétées et une qui reste à finaliser quant à l accès à une aire extérieure sécuritaire. Le contenu alimentaire des aliments du magasin de l Unité d hébergement de longue durée de santé mentale a été revu selon les saines habitudes de vie. 5 CENTRES D HÉBERGEMENT DE LONGUE DURÉE PERSONNES HÉBERGÉES 14 RESSOURCES INTERMÉDIAIRES 39

40 ENJEU «LA PRÉVENTION ET LA PROMOTION» Le réseau de la santé et des services sociaux a le défi de l action en amont des problèmes, en agissant sur les grands déterminants de la santé. Tout particulièrement, il y a une nécessité d agir sur les inégalités de santé et de bien-être, trop souvent constatées au sein de la population. Dans ce contexte, l intervention concertée avec les partenaires des autres secteurs est cruciale pour agir efficacement afin de modifier les conditions de vie de la population. OBJECTIFS RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Agir de façon concertée sur les principaux déterminants de la santé et du bien-être par l action en prévention dans les continuums de services, ainsi que par des actions intersectorielles. VACCINATION ANTIGRIPPALE EN MILIEU RURAL Partenariat avec la MRC des Maskoutains et 10 municipalités pour la mise en place d un projet pilote visant à offrir une meilleure accessibilité de la vaccination annuelle contre la grippe à la population en milieu rural. PLAN DE LUTTE À LA PAUVRETÉ ET À L EXCLUSION SOCIALE La pauvreté est un enjeu complexe qui nécessite une action intersectorielle concertée et soutenue. Le CSSS a signé l Alliance supra locale pour la solidarité et l inclusion sociale, en partenariat avec les instances désignées, soient la Corporation de développement communautaire et les MRC, et ce, pour chacun de ses trois territoires de CLSC. À travers une demande de mobilisation intersectorielle reconnue, des enjeux d action ont été priorisés afin de dresser un plan d action local de lutte à la pauvreté et à l exclusion sociale. Des projets issus de différents partenaires seront mis de l avant dans chacune des trois MRC du territoire du CSSS (un plan de lutte par MRC). OPÉRATION COLIBRI Le CSSS a été l hôte d un symposium local où tous les partenaires impliqués auprès des tout-petits ont pu prendre connaissance du portrait actuel du développement de cette clientèle du territoire, dès le début de leur parcours scolaire. Plus de 80 personnes ont participé à l événement. Sur chacun les trois territoires de CLSC sera entamée une réflexion pour mieux comprendre les données locales et ajuster les actions intersectorielles appropriées. PLAN D ACTION LOCALE Le CSSS a poursuivi la réalisation de son Plan d action local, dont l échéance est l année 2015, par le développement de ses liens avec les municipalités au niveau des saines habitudes de vie, notamment en contribuant à la mise en place de démarches intersectorielles telles : à pied, à vélo, Municipalités amies des aînés, politiques familiales, etc. Le Comité , volet employé du CSSS, a pour mandat l amélioration des saines habitudes de vie chez le personnel. Deux rencontres ont été tenues en Un plan d action a été réalisé et 12 actions ont été retenues. Le taux de réalisation du plan est de 98 %. 40

41 ENJEU «L ACCÈS» La population accorde une grande importance aux problématiques liées à l attente. Elle s attend à un délai raisonnable pour l accès aux services. Toutes nos actions doivent avoir des effets directs sur les délais d accès aux services, afin de réduire les temps d attente. D ailleurs, les cibles des ententes de gestion fixent des résultats que les organisations comme le CSSS doivent s engager à atteindre. OBJECTIFS RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Assurer l accès aux services dans les délais acceptables, notamment dans les secteurs suivants : Services sociaux et de réadaptation Médecine et chirurgie Urgence Santé mentale Références aux services médicaux spécialisés MÉDECINE ET CHIRURGIE Augmentation des volumes chirurgicaux de 7 % (8 707 patients opérés en , alors qu il y en avait eu en ) tout en maintenant un taux de 98 % des chirurgies réalisées dans les délais reconnus acceptables. Volumes endoscopie : augmentation de 10 % des activités. En , examens ont été réalisés, soit 923 de plus que l année précédente. Volumes hémodialyse : augmentation de traitements par rapport à l année précédente ; traitements d hémodialyse et traitements de dialyse péritonéale ont été réalisés en Il n y a aucune attente de prise en charge pour les patients nécessitant de l hémodialyse. Développement de l offre de service pour la réalisation de la biopsie transthoracique. Arrivée de 15 nouveaux médecins spécialistes en portant à 101 le nombre de médecins spécialistes au CSSS sur une possibilité de 122 en Le plan d effectifs médicaux pour la période , ayant été rehaussé de 33 postes en lien avec le rapatriement de la clientèle (projet ) et le développement de nouveaux services, est présentement comblé à 83 % de sa capacité. SERVICE AMBULATOIRE Bonification de l offre de service suite à l ajout d une clinique externe de nutrition pour la clientèle pédiatrique : 77 nouveaux usagers furent vus dans cette nouvelle clinique en SANTÉ MENTALE Augmentation des demandes au guichet d accès en santé mentale adulte passant de 560 demandes en 2008 à pour l année Références faites par des omnipraticiens : accessibilité d un mois pour un service de 1 re ligne et trois mois maximum pour la clinique externe de psychiatrie. 41

42 HÉBERGEMENT-MILIEU DEVIE Ouverture possible, selon les besoins, de 45 lits en surcapacité au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe. Création de deux nouveaux lits d hébergement longue durée en unité spécifique pour une clientèle présentant des troubles de comportement agressif. Transformation de 19 lits d hébergement longue durée régulier en lits d hébergement longue durée en unité prothétique pour une clientèle présentant une problématique d errance invasive et un risque élevé de fugue. Achat de places dans un CHSLD privé-conventionné de huit lits d hébergement longue durée régulier afin de répondre aux besoins d hébergement de la clientèle du CSSS. Création de trois nouveaux lits d hébergement temporaire au Centre d hébergement de l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe, dont deux de répit et un en unité prothétique. AUGMENTATION DES VOLUMES CHIRURGICAUX DE 7 % HAUSSE DE 10 % DES ACTIVITÉS D ENDOSCOPIE ARRIVÉE DE 15 NOUVEAUX MÉDECINS SPÉCIALISTES EN DEMANDES AU GUICHETD ACCÈS EN SANTÉ MENTALE ADULTE 42

43 ENJEU «LA PREMIÈRE LIGNE» Un de nos grands défis concerne les efforts d amélioration dans l organisation des services, pour augmenter l accessibilité et la continuité. Ces efforts doivent se traduire en un renforcement de la 1 re ligne de services, en ayant la préoccupation de l intégration et de la hiérarchisation des services. OBJECTIFS Améliorer l accès aux services généraux de 1 re ligne (Services médicaux et infirmiers). RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Ajout de services en neurologie, aux neuf spécialités déjà présentes, au Centre de consultations spécialisées du CLSC des Patriotes (Beloeil et Saint-Bruno). Augmentation de 26 % du nombre de visites : visites comparativement à 7117 l'an dernier. Développement d un formulaire en ligne sur le site Web du CSSS pour faciliter l inscription des personnes au guichet d accès pour la clientèle sans médecin de famille. Ajout d infirmières cliniques dans les GMF du territoire : 1,3 équivalent temps complet (ETC) ajoutés au GMF Carrefour de la Vallée, 0,1 ETC au GMF de la Montagne, 1,0 ETC au GMF Laframboise pour un total de 2,4 ETC. Ajout d une infirmière praticienne spécialisée, à temps complet, au CLSC des Patriotes. Assurer un suivi interdisciplinaire et continu des clientèles ayant des besoins particuliers. Personnes atteintes de maladies chroniques ou de cancer Jeunes en difficulté/ personnes atteintes de problèmes de santé mentale/ personnes aux prises avec une dépendance Personnes ayant une déficience et leur famille) JEUNES EN DIFFICULTÉ Travail en équipe multidisciplinaire. Travail en collaboration avec divers partenaires : écoles, Centre jeunesse de la Montérégie, organismes communautaires, etc. Cette année, 87 tables d accès pour le transfert personnalisé des demandes en provenance du CJM en présence de la famille ont été mises en place. SANTÉ MENTALE Ajout dans l offre de service de groupe en santé mentale : un groupe pour les troubles chroniques et un groupe de soutien par les pairs en continu à l année de jour et de soir. Ces ajouts font suite aux commentaires reçus lors d une visite sur l expérience client. 43

44 DI-TED Trois ententes de partenariat signées avec des partenaires du communautaire, pour des activités de jour, en lien avec le rapatriement de clients en provenance du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement de la Montérégie-Est. Nombre de clients transférés : 53. Les partenaires sont : Répondre aux besoins d une population vieillissante, par le développement d un réseau de services intégrés et l adaptation des services. o o o AVRDI de Beloeil Le Centre Louise Bibeau de Saint-Hyacinthe L Arche de Beloeil Le niveau de déploiement du réseau de services intégrés aux personnes âgées est passé de 70 % à 76 % dans la dernière année. Favoriser le soutien à domicile des personnes ayant des incapacités, notamment par la révision des services de soutien à domicile et la diversification des milieux de vie. SANTÉ MENTALE Création de huit nouvelles places en résidence de type familial en santé mentale. SOINS À DOMICILE Intensification de 31 % des heures de services directes en soutien à domicile à la hauteur de $ : ajout de répit aux proches aidants, de services aux personnes en attente d hébergement pour assurer leur sécurité, soutien aux clients en résidences privées pour aînées, etc. o Comparativement à l an dernier : Augmentation de 3,6 % de la clientèle de personne âgée en perte d autonomie suivi en soutien à domicile et augmentation de 32,8 % du nombre d interventions total, témoignant de l'alourdissement de la clientèle. o Malgré une diminution de 7 % de la clientèle de personne avec déficience physique suivi en soutien à domicile, on note une augmentation de 22 % des interventions due aux cas qui sont plus lourds. Poursuite de l optimisation des processus de travail en ergothérapie, débuté en 2012, afin de maximiser l offre de service et diminuer le temps d attente. En juin 2013, ajout d un poste d ergothérapeute (4,8 équivalents temps complet) dans l équipe du CLSC des Maskoutains pour répondre à l ensemble des besoins en ergothérapie, dont les évaluations du Programme d adaptation de domicile (PAD). RESSOURCES INTERMÉDIAIRES Achat de sept lits d hébergement en ressources intermédiaires cognitives. Actualisation de l ouverture de six nouveaux lits en ressources intermédiaires (cinq lits en ressource intermédiaire régulière et un lit en ressource intermédiaire cognitive). Signature d une nouvelle entente spécifique avec la Résidence La Seigneurie à Saint-Hyacinthe pour le développement de 10 nouveaux lits en ressources intermédiaire pour une clientèle présentant des troubles de comportements stabilisés. L ouverture de la ressource a eu lieu le 24 mars 2014 et six admissions étaient réalisées à la fin de cette année financière. Fermeture de deux ressources intermédiaires régulières (28 lits) et transformation de ces lits en ressources intermédiaires cognitives afin de répondre aux besoins de la clientèle. 44

45 ENJEU «LA QUALITÉ» Notre réseau est convié à maintenir sa vigilance pour assurer la qualité et la sécurité des soins et services. Il s agit là d un défi en continu pour un réseau comme le nôtre. Les progrès à cet égard doivent se réaliser par l actualisation des meilleures pratiques cliniques, l utilisation des données probantes, l innovation et le recours aux nouvelles technologies, porteuses de solutions adaptées aux besoins d un établissement moderne. OBJECTIFS Assurer la qualité et la sécurité des soins et des services à l aide d une démarche intégrée de qualité et le contrôle des infections nosocomiales. RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES La stratégie de prévention des chutes a été révisée ainsi que le protocole d utilisation des contentions. Pour assurer la pérennité de ces programmes, un comité interdisciplinaire permanent a été mis en place. Deux autres comités interdisciplinaires ont été créés pour travailler les indicateurs de qualité suivants : gestion de la douleur ainsi que stratégie de prévention des plaies de pression et traitement des plaies. Gestion des produits immunisants : projet d amélioration en cours. Débuté en janvier o 31 actions o Quatre rencontres du comité de gestion des produits immunisants o 25 % d avancement au 31 mars 2014 Déploiement de l outil SPER pour la transmission efficace et complète des informations lors des transferts de patients inter-unités. Révision de la procédure de vérification de dispositifs médicaux. Création d une procédure sur la stérilisation rapide (Flash) basée sur les normes, plus complète et qui précisera les indications et contre-indications d une telle pratique. Coordination de la gestion des alertes médicales, avis et rappels : les travaux du comité de gestion des alertes médicales ont permis de tenir le registre de suivi annuel; au 31 mars 2014, 132 alertes ont été traitées comparativement à 101 en Le taux de réalisation du suivi de ces alertes était de 94 %. Rédaction et diffusion de communications faisant la promotion de la sécurité des usagers (appel à la vigilance et capsules) aux employés et gestionnaires. Organisation d une semaine sur la sécurité des soins. Collaboration avec l Institut Canadien de la sécurité des patients. Mise en place d un comité de travail Prévention et contrôle des infections-salubrité afin de réviser et d harmoniser les procédures de désinfection. Neuf rencontres du comité se sont tenues en Atteinte de l objectif ministériel de 100 % de réalisation du projet zones grises sur les unités de soins de courte durée. Développement et déploiement du programme de qualité des services de salubrité : 100 audits de marquage ont été réalisés en pour le suivi de qualité quant au nettoyage des chambres et autres lieux. 45

46 Valoriser l apport de la mission d enseignement au sein de notre CSSS par la formation et la disponibilité de milieux de stages. Assurer l intégration et la circulation de l information clinique. Coordination de deux stages d intégration pour des infirmières diplômées hors Québec. Élaboration et mise en œuvre du programme de préceptorat pour les nouvelles infirmières de moins de deux ans d ancienneté. Mise sur pied du soutien clinique offert aux candidats à l exercice de la profession infirmière (CEPI) et les nouvelles infirmières pour les périodes estivale et des fêtes. Planification de formations par la Direction des soins infirmiers et des pratiques professionnelles, en collaboration avec le Service de prévention et contrôle des infections, pour la sensibilisation des responsables de stages (professeurs et étudiants en soins infirmiers) sur le lavage des mains. Déploiement d une formation en ligne combiné à un test de connaissances pour le personnel d hygiène-salubrité du CSSS (70 préposés en hygiène-salubrité ont été formés) et poursuite de la formation «Consignes de base en prévention des infections» (89 % des employés ont été formés). Travaux complétés afin de relier le système de laboratoire de l Hôpital Honoré- Mercier au Dossier Santé Québec (DSQ). Début de la planification du déploiement de l accès au DSQ au sein du CSSS. Participation du CSSS à l élaboration à l appel d offres régional du DCI (Dossiers cliniques informatisés). De plus, le CSSS Richelieu-Yamaska a été sélectionné comme un des établissements pilote pour ce projet en Montérégie. Travaux complétés afin de rendre disponibles les résultats de laboratoires dans les dossiers médicaux électroniques des GMF du territoire du CSSS. Rehaussement du système de dictée centrale. Déploiement du logiciel Siurge : modernisation du logiciel de gestion de l urgence incluant l informatisation du dossier de l usager. Déploiement du logiciel NephroCare en hémodialyse qui permet l informatisation du dossier de l usager et un meilleur suivi clinique du patient en cours de thérapie. Mise en place d un processus informatisé pour la réalisation du Bilan Comparatif des Médicaments (BCM) à la salle d urgence et en médecine. 46

47 ENJEU «LES RESSOURCES HUMAINES» La disponibilité et la rétention d une main-d'œuvre qualifiée sont des enjeux importants pour le présent et l avenir de notre CSSS. Des pénuries de main-d'œuvre touchent en effet l ensemble de nos activités, que ce soit pour la disponibilité de médecins, d infirmières et d autres professionnels en santé et en services sociaux, ainsi que pour le personnel non professionnel. OBJECTIFS RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Assurer l équilibre entre l offre et la demande de main-d'œuvre qualifiée : Disponibilité de la main-d'œuvre médicale Disponibilité et utilisation optimale de la main-d œuvre Réalisation du projet MOI/TS catégorie 4 permettant la titularisation (soit la création de postes) de 10 travailleurs sociaux (7,2 ETC) et de quatre techniciens en assistance sociale (3,2 ETC) pour les CLSC des Patriotes et des Maskoutains dans les secteurs de l accueil psychosocial, sociaux courant et du soutien à domicile. Début des travaux de rehaussement des postes de la catégorie 1 ayant permis la création d une équipe volante pour les inhalothérapeutes et le rehaussement de nombreux postes. L exercice se poursuivra en Diminution significative des heures d utilisation de la MOI infirmière auxiliaire, soit de heures. Le fait de diminuer l utilisation de main-d œuvre indépendante permet à nos usagers d avoir des soins prodigués par du personnel plus stable, augmentant ainsi la qualité des soins, tout en diminuant les coûts. Mise en place du projet des horaires 12 heures à l urgence afin d'augmenter la disponibilité des ressources infirmières et réduire l'utilisation de la main-d œuvre indépendante. Définition des acronymes : MOI : main-d œuvre indépendante TS : temps supplémentaire ETC : équivalent temps complet Offrir des conditions de travail et de pratique attractives et valorisantes (Rétention et mieux-être au travail). Production d'une formation en ligne accréditée, portant sur la prévention et la gestion des risques reliés à l'exposition au sang et liquides biologiques. Cette formation est ainsi accessible en tout temps aux employés du CSSS. Actualisation du co-développement pour les travailleurs sociaux de deux ans et moins d ancienneté. Poursuite du soutien au développement des gestionnaires en matière de gestion des rapports avec les employés, notamment par une activité de co-développement. Ceci ayant favorisé une augmentation significative des interventions en lien avec la gestion préventive des rapports avec les employés. Le CSSS Richelieu-Yamaska a été reconnu comme organisme accréditeur par la SOFEDUC, permettant ainsi aux employés d'avoir des formations reconnues par leur ordre professionnel. De plus, le Service de formation et développement des compétences a été reconnu, en septembre 2013, comme responsable des accréditations. Investissement de plus d'un million de dollars en formation continue dans l ensemble de l organisation. Poursuite du programme de relève de cadres intermédiaires (6), supérieurs (2) et DG-DGA (1). 47

48 Améliorer la performance de notre réseau de santé et de services sociaux : Optimiser l utilisation des ressources par la révision des façons de faire Standardisation des outils et de l organisation de travail sur les unités de soins de l Hôpital Honoré-Mercier Suivis quotidiens au plan d action d amélioration continue à la clinique préopératoire et en endoscopie Déploiement d un projet novateur de suivi de la qualité au quotidien sur les unités au 5 e et au 9 e étage de l Hôpital Honoré-Mercier. Formation de 152 employés sur le dépistage de la maltraitance envers les aînés. Amélioration globale de la performance Suivi et rétroaction sur la performance DIMINUTION DE HEURES D UTILISATION DE LA MAIN- D ŒUVRE INDÉPENDANTE INFIRMIÈRE AUXILIAIRE LE CSSS RECONNU COMME ORGANISME ACCRÉDITEUR PAR LA SOFEDUC INVESTISSEMENT DE PLUS D UN MILLION DE DOLLARS EN FORMATION CONTINUE 48

49 ENJEU «LA PERFORMANCE» La précarité des ressources disponibles, tant financières, humaines, matérielles que technologiques, nécessite d effectuer des choix judicieux. La gestion doit prendre la voie de l optimisation des processus et des ressources et de la gestion par résultats. OBJECTIFS Améliorer la performance de notre réseau de santé et de services sociaux : Optimiser l utilisation des ressources par la révision des façons de faire Amélioration globale de la performance Suivi et rétroaction sur la performance RÉSULTATS ET ACTIONS DÉPLOYÉES Analyse comparatives intra et inter régionale de la performance de tous les secteurs d activités. Suivi mensuel des indicateurs de performance. Optimisation de plusieurs secteurs administratifs en cours dont : o o o o Les approvisionnements et la logistique La paie Les transports usagers et marchandises Les revenus externes Mise en place d une centrale des transports des usagers générant des économies estimées à plus de $. Révision des processus aux approvisionnements et à la logistiques et identification des meilleures pratiques à implanter. Finalisation du déploiement du code à barre à l Hôpital Honoré-Mercier. Révision, par la conseillère en amélioration continue, des processus liés au continuum personnes âgées, du secteur de l orthopédie et implantation de la gestion au quotidien au 5 e et 9 e de l Hôpital Honoré-Mercier et aux cliniques préopératoires et d endoscopie. Mise en place d un Bureau de projet organisationnel. Le suivi des événements indésirables, le suivi des plaintes formulées par les patients et leur famille, le suivi des infections nosocomiales sont des indicateurs colligés dans l établissement et partagés aux gestionnaires et leurs équipes. Ces indicateurs sont également discutés au Comité de vigilance et de la qualité. 49

50 RÉSULTATS DE L ENTENTE DE GESTION INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES Santé publique Maladies infectieuses - Vaccination B1-EG2 Nombre moyen de visites à domicile par semaine auprès des femmes suivies dans les SIPPE de la 12e semaine de grossesse à l accouchement moins un jour au cours de l année de référence B2 EG2 Nombre moyen de visites à domicile par semaine auprès des femmes suivies dans les SIPPE de la naissance à la 6ème semaine de vie de l enfant au cours de l année de référence B3 EG 2 Nombre moyen de visites à domicile par semaine auprès des femmes suivies dans les SIPPE de la 7 e semaine au 12 e mois de vie de l enfant au cours de l année de référence B4 EG2 Nombre moyen de visites à domicile par semaine auprès des femmes suivies dans les SIPPE du 13 e mois au 60 e mois de vie de l enfant au cours de l année de référence EG2 Pourcentage d écoles qui implantent l approche École en santé EG2 Proportion des enfants recevant en CSSS leur 1re dose de vaccin DCaT-VP1 Hibou DCaT-HB-VP1-Hib dans les délais EG2 Proportion des enfants recevant en CSSS leur 1 re dose de vaccin méningocoque de sérogroupe C dans les délais EG2 Proportion des enfants recevant en CSSS mission CLSC leur 1 re dose de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (RRO) dans les délais ND ND 0,42 0,40 ND ND 0,75 0,62 ND ND 0,35 0,32 ND ND 0,26 0,25 28,6 % 49,3 % 50 % 50 % 85,5 % 73,8 % 86,4 % 90 % Vaccination demeure un défi mais amélioration depuis CSSS /11 n atteignent pas la cible en Montérégie 71,0 % 74,5 % 72,5 % 90 % Travaux en cours au niveau régional. Tous les CSSS de la Montérégie n atteignent pas la cible 70,6 % 74,5 % 72,6 % 90 % Nous n atteignons pas la cible principalement en raison du court délai. Parfois, le vaccin se donne lors du rendezvous avec le médecin (données exclues des statistiques). Plan d action en cours pour augmenter nos résultats. 50

51 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES SANTÉ PUBLIQUE- PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES Le centre hospitalier de soins généraux et spécialisés présentera un taux d incidence inférieur ou égal au seuil établi pour les infections suivantes : PS Diarrhées associées au Clostridium difficile d origine nosocomiale PS Bactériémies nosocomiales à Staphylococcus aureus à la méthicilline (SARM) PS Bactériémies nosocomiales sur cathéters centraux aux soins intensifs ND ND 100 % 100 % ND ND 100 % 100 % ND ND 100 % 100 % SANTÉ PUBLIQUE OBJECTIFS SPÉCIFIQUES À LA RÉGION Le CSSS aura réalisé les activités lui permettant d atteindre les résultats inscrits à son plan d action local de santé publique Oui Oui Oui Oui SERVICES GÉNÉRAUX EG2 Nombre de réfugiés et de demandeurs d asile ayant bénéficié d une évaluation du bien-être et de l état de santé S.O. 100 % 100 % 100 % 100 % en représente 214 personnes SOUTIEN À DOMICILE LONGUE DURÉE PS Nombre total d heures de service de soutien à domicile longue durée rendues par les différents modes de dispensation de services (CSSS mission CLSC) RESSOURCES RÉSIDENTIELLES DE PROXIMITÉ PALV, DP, DI-TED, JED, SANTÉ MENTALE, DÉPENDANCES, SANTÉ PHYSIQUE Nombre de place en ressources résidentielles à proximité Soutien à l autonomie des personnes âgées (SAPA) Nombre de places reconnues en ressources intermédiaires Nombre de places reconnues en ressources de type familial Nombre de places reconnues en ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF)

52 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES Nombre de places disponibles en ressources d habitation collectives visées par un projet novateur S.O Nombre de places achetées S.O Nombre de places reconnues en UTRF S.O Nombre de places dans d autres ressources non-institutionnelles associées au souscentre d activité 5540 Déficience physique Nombre de places reconnues en ressources intermédiaires Nombre de places reconnues en ressources de type familial Nombre de places reconnues en ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF) Nombre de places disponibles en ressources d habitation collectives visées par un projet novateur Santé mentale Nombre de places reconnues en ressources intermédiaires Nombre de places reconnues en ressources de type familial Nombre de places reconnues en ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF) S.O S.O S.O. ND ND ND S.O S.O ND ND ND Nombre de places achetées ND ND 9 ND Nombre de places reconnues en UTRF ND ND ND ND Nombre de places dans d autres ressources non institutionnelles associées au sous centre d activité 5540 ND SAPA PS Degré moyen d implantation des RSIPA dans les réseaux locaux de services PS Niveau d atteinte de la majorité des composantes reliées à l implantation de l approche adaptée à la personne âgée en centre hospitalier 61,45 % 70,4 % 76,35 % 68 % ND 33 % 92 % 51 % 52

53 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES PS Niveau d atteinte de la majorité des préalables reliés à l implantation de l approche adaptée à la personne âgée 1. Utilisation d un outil de repérage à l urgence 2. Mise en place et application des mécanismes de suivi requis pour les repérages positifs 3. Présence d un intervenant pivot ou de liaison à l urgence dédiée à la clientèle des personnes âgées vulnérables et qui assure les liens interétablissements 4. Application d un programme de marche à l urgence et/ou aux unités d hospitalisation 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % DÉFICIENCE PHYSIQUE PS Taux des demandes de services traitées en CSSS selon les délais définis comme standards du plan d accès aux services pour les personnes ayant une déficience physique (tous âges et TOUTES PRIORITÉS) PS Taux des demandes de services traitées en CSSS selon les délais définis comme standards du plan d accès aux services pour les personnes ayant une déficience physique (tous âges et PRIORITÉ URGENTE) PS Taux des demandes traitées en CSSS selon les délais définis comme standards du plan d accès aux services pour les personnes ayant une DP (tous âges et PRIORITÉ ÉLEVÉE) PS Taux des demandes de services traitées en CSSS selon les délais définis comme standards du plan d accès aux services pour les personnes ayant une DP (tous âges et PRIORITE MODEREE) 96,0% 90,2 % 88,1 % 90 % En raison des cas en attente pour le programme d'adaptation domiciliaire (PAD), on n'atteint pas la cible. Nous allons essayer une nouvelle stratégie l an prochain 100 % 100 % ND 90 % 100 % 100 % 100 % 90 % 95,5 % 89,8 % 87,4 % 90 % En raison des cas en attente pour le programme d'adaptation domiciliaire (PAD), on n'atteint pas la cible. Nous allons essayer une nouvelle stratégie l an prochain DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET TED PS Taux des demandes de services traitées en CSSS selon les délais définis comme standards du plan d accès aux services pour les personnes ayant une DI et un TED (Tous âges et TOUTES PRIORITES) 82,8 % 89,5 % 97,7 % 90 % 53

54 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES PS Taux des demandes de services traitées en CSSS, selon les délais standards du Plan d accès aux services pour les personnes ayant une DI et un TED TOUS AGES PRIORITE URGENTE PS Taux des demandes de services traitées en CSSS selon les délais définis comme standards du plan d accès aux services pour les personnes ayant une DI et un TED (Tous âges et PRIORITE ELEVÉE) PS Taux des demandes de services traitées en CSSS, selon les délais standards du Plan d accès aux services pour les personnes ayant une DI et un TED TOUS AGES PRIORITE MODERÉE 100 % 100 % ND 90 % 83,3 % 82,6 % 92,3 % 90 % 82 % 90,6 % 98,1 % 90 % DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET TED OBJECTIFS SPÉCIFIQUES DE LA PLANIFICATION STRATÉGIQUE RÉGIONALE Nombre total d usagers DI-TED-DP de 21 ans et plus recevant des services d activités de jour Nombre d usagers DI-TED-DP de 21 ans et plus du CSSS recevant des services d activités de jour Nombre d usagers DI-TED-DP de 21 ans et plus transférés du CCRDITED recevant des services d activités de jour S.O. S.O S.O. S.O Nouvelle offre de services en 1 re ligne. Pas d attente pour ce service. S.O. S.O JEUNES EN DIFFICULTÉ EG1 Nombre d usagers (jeunes et leur famille) rejoints en CSSS (mission CLSC) EG1 Nombre moyen d interventions par usager (jeunes er leur famille) en CSSS (mission CLSC) ND Nous faisons des interventions de groupe qui compte pour 1 usager dans les statistiques alors qu un groupe = 12 usagers ND 6,56 6,26 7,0 La cible n est pas la même pour tous les CSSS 7 CSSS/11 en Montérégie n atteignent pas la cible PS Mise en place d un programme d intervention en négligence reconnu efficace Engagement atteint Engagement atteint Engagement atteint Déploiement d au moins 2 des 5 volets du programme Nombre d usagers âgés de moins de 22 ans ayant bénéficié d un PSI en CSSS (mission CLSC) et nombre d interventions (DI-TED/DP) S.O. S.O. 22 ND Indicateurs en expérimentation en en vue de leur application en

55 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES Nombre d usagers âgés de moins de 18 ans ayant bénéficié d un PSI en CSSS (mission CLSC) et nombre d interventions (autres programmes services) S.O. S.O. 54 ND Indicateurs en expérimentation en en vue de leur application en DÉPENDANCES PS Nombre de jeunes et d adultes Ayant reçu des services de première ligne, en toxicomanie et en jeu pathologique, offerts par les CSSS ND augmentation Jeunes augmentation Adultes augmentation SANTÉ MENTALE PS Nombre de places en SIV dans la communauté pour des adultes de 18 ans et plus mesuré par le nombre moyen d adultes qui ont reçu ces services en établissement Les usagers sont comptabilisés dans un autre programme. -Données à corriger -Cible atteinte CSSS/OC - Ententes PS Nombre de places de suivi intensif dans le milieu pour des adultes de 18 ans et plus mesuré par le nombre moyen d adultes qui ont reçu ces services PS Nombre d usagers souffrant de troubles mentaux ayant reçu des services de santé mentale de 1re ligne en CSSS (mission CLSC) C PS Nombre d usagers de moins de 18 ans souffrant de troubles mentaux ayant reçu des services de santé mentale de 1re ligne en CSSS (mission CLSC) D PS Nombre d usagers de 18 ans et plus souffrant de troubles mentaux ayant reçu des services de santé mentale de 1re ligne en CSSS (mission CLSC) SANTÉ PHYSIQUE SÉJOUR À L URGENCE PS Séjour moyen sur civière 16,01 16,91 17, PS Pourcentage de séjour de 48 heures et plus sur civière PS Pourcentage de séjour de 24 heures et plus sur civière 1,3 % 1,8 % 2,3 % 1 % 23,90 % 26,46 % 27,05 % 15 % Travaux en cours pour améliorer gestion des séjours à l urgence et sur les unités 55

56 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES SANTÉ PHYSIQUE SOINS PALLIATIFS RADIO-ONCOLOGIE Pourcentage de patients traités par chirurgie oncologique dans un délai inférieur à 28 jours (de calendrier) 74,1 % 71,5 % 68,7 % 80 % En , 100 cas de chirurgies oncologiques de plus qu'en Chirurgie oncologique : 52 cas de plus en moins de 28 jours que l'année précédente, mais ce fût insuffisant pour atteindre l'objectif de 80%. Travaux en cours pour améliorer délai. SANTÉ PHYSIQUE CHIRURGIE DURÉE DE L ATTENTE PS Pourcentage des demandes inscrites au mécanisme central traitées à l intérieur de 6 mois pour une arthroplastie totale de la hanche PS Pourcentage des demandes inscrites au mécanisme central traitées à l intérieur de 6 mois pour une arthroplastie totale du genou PS Pourcentage des demandes inscrites au mécanisme central traitées à l intérieur de 6 mois pour une chirurgie de la cataracte PS Pourcentage des demandes inscrites au mécanisme central traitées à l intérieur de 6 mois pour une CDJ PS Pourcentage des demandes inscrites au mécanisme central traitées à l intérieur de 6 mois pour une chirurgie avec hospitalisation 100 % 96,7 % 91,5 % 90 % 100 % 98,9 % 97,9 % 90 % 99,7 % 99,1 % 98,9 % 90 % S.O. 97,1 % 94,8 % 90 % 98,5 % 98,6 % 98,8 % 90 % SANTÉ PHYSIQUE IMAGERIE MÉDICALE EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les graphies EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les scopies EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les mammographies diagnostiques S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. 100 % 100 % 90 % S.O. 100 % 100 % 90 % 56

57 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les échographies obstétricales EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les échographies cardiaques EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les échographies mammaires EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les autres échographies EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les tomodensitométries EG2 Proportion des demandes de services en attente de moins de 3 mois pour la clientèle élective en imagerie médicale pour les résonnances magnétiques EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les graphies EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les scopies EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les mammographies diagnostiques EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les échographies obstétricales EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les échographies cardiaques EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les échographies mammaires S.O. 100 % 100 % 90 % S.O. 100 % 62,3 % 90 % S.O. 100 % 80,6 % 90 % S.O. 29,5 % 71,2 % 90 % S.O. 100 % 100 % 90 % S.O. 100 % 89,0 % 90 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % 57

58 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les autres échographies EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les tomodensitométries EG2 Proportion des examens lus à l intérieur dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les résonnances magnétiques EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les graphies EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les scopies EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les mammographies diagnostiques EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les échographies obstétricales EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les échographies cardiaques EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les échographies mammaires EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les autres échographies S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les tomodensitométries S.O. S.O. 100 % 90 % 58

59 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES EG2 Proportion de demandes de services réalisées pour la clientèle élective à l intérieur des délais établies en imagerie médicale pour les résonnances magnétiques EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les graphies EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les scopies S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 90 % S.O. S.O. 100 % 100 % EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les mammographies diagnostiques EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les échographies obstétricales EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les échographies cardiaques EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les échographies mammaires EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les autres échographies EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les tomodensitométries EG2 Proportion des rapports transcrits, complétés et transmis dans un délai de 7 jours ou moins en imagerie médicale pour les résonnances magnétiques S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % S.O. S.O. 100 % 100 % 59

60 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES SANTÉ PHYSIQUE OBJECTIFS SPÉCIFIQUES À LA RÉGION Nombre d usagers atteints de maladies chroniques desservis en CSSS (mission CLSC) pour les dx suivants : Diabète MPOC Asthme Nombre de patients référés au centre de diabète en baisse. Aucun patient en attente pour ce service. Maladies cardio-vasculaires Nombre moyen d interventions par usager atteint de maladies chroniques desservis en CSSS (mission CLSC) pour les dx suivants Diabète 6,15 6,80 8,84 6,15 MPOC 10,82 12,40 12,34 10,82 Asthme 2,09 2,19 3,95 2,09 Maladies cardio-vasculaires 11,79 11,36 11,06 11,79 HYGIÈNE-SALUBRITÉ EG 2 Niveau de réalisation des étapes requises pour l élimination des zones grises en hygiène et salubrité Responsable des zones grises Relevé des équipements, du matériel et des surfaces 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % Service responsable de l intégrité sanitaire 100 % 88,89 % Registre de suivi ND 88,89 % 100 % 100 % 100 % 100 % RESSOURCES HUMAINES 3.01 PS Ratio entre le nombre d heures en assurance salaire et le nombre d heures travaillées PS Pourcentage des heures supplémentaires travaillées par les infirmières 7,88 % 6,74 % 6,70 % 5,67 % Plan d action dans chacune des directions et suivis. Suivi de l absentéisme excessif 5,10 % 5,13 % 4,34 % 5,43 % 60

61 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES PS Pourcentage des heures supplémentaires travaillées par l ensemble du personnel du réseau PS Pourcentage de recours à la MOI par les infirmières PS Pourcentage de recours à la MOI par les infirmières auxiliaires PS Pourcentage de recours à la MOI par les préposés aux bénéficiaires PS Pourcentage de recours à la MOI par les inhalothérapeutes 3,07 PS Nombre d IPS en soins de première ligne titularisées et offrant des services de première ligne 3,08 PS : L établissement aura mis à jour son plan de main-d œuvre 3.09 PS L établissement aura réalisé une démarche concertée de révision des processus de soins et de services et de réorganisation du travail 3.10 PS L établissement ciblé aura mis en œuvre un programme de soutien clinique- Volet préceptorat 2,59 % 3,19 % 2,71 % 3,10 % 6,71 % 6,62 % 6,75 % 4,03 % Révision et rehaussement des postes dans les secteurs utilisant de la MOI. Projets 12 heures à la salle d urgence 2,92 % 4,62 % 1,55 % 3, 68 % 0,05 % 0,31 % 0,25 % 0,86 % S.O. 2,97 % 2,59 % 0,63 % Révision et rehaussement des postes pour diminuer MOI. Création de poste équipe volante S.O. Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui S.O. Oui Oui Oui 3.13 PS L établissement accrédité par un programme reconnu visant l amélioration du climat de travail 3.14 PS L établissement aura obtenu un agrément incluant le volet de mobilisation des ressources humaines S.O. Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui URGENCE - DÉSENCOMBREMENT EG2 Nombre moyen de patients par CH en processus ou en attente d évaluation/orientation vers la LD ou les lits post-hospitaliers et occupant des lits de CD EG2 Nombre moyen de patients en attente de services de soins palliatifs occupant des lits de CD 4,0 4,5 3,1 3 et moins Travaux du continuum «personnes âgées en cours». 0,3 0,4 1,0 3 et moins EG2 Nombre moyen de patients en 3,4 3,9 5,8 3 et moins Erreur notée dans la saisie 61

62 INDICATEUR RÉSULTATS ATTEINTS ENGAGEMENT COMMENTAIRES attente de convalescence occupant des lits de CD des données (changement de vocation de lits) en fin d année EG2 Nombre moyen de patients en attente de réadaptation occupant des lits de CD 2,3 2,6 1,6 3 et moins EG2 Nombre moyen de patients en attente de centre d hébergement et de soins de LD occupant des lits de CD, excluant la santé mentale EG2 Nombre moyen de patients en attente de RNI occupant des lits de CD, excluant la santé mentale EG2 Nombre moyen de patients en attente d hébergement LD en santé mentale occupant des lits de CD EG1 Taux de déclaration(%) en hébergement à partir du CHSGS des 75 ans et plus 3,7 5,4 8,2 3 et moins Travaux du continuum «personnes âgées en cours». 1,0 1,0 2,5 3 et moins 1,9 1,3 1,3 3 et moins S.O. 8,37 % 6,0 4,99 Travaux du continuum «personnes âgées en cours». RESSOURCES INFORMATIONNELLES EG2 L établissement aura mis à jour les ressources du Répertoire des ressources en santé et services sociaux (RRSS) dans les délais S.O. S.O. Oui Oui 62

63 APPLICATION DE LA LOI METTANT EN ŒUVRE CERTAINES DISPOSITIONS DU DISCOURS À L ÉQUILIBRE BUDGÉTAIRE EN ET LA RÉDUCTION DE LA DETTE (2010. CHAPITRE 20) Relativement à l application de la Loi mettant en oeuvre certaines dispositions du discours sur le budget du 30 mars 2010 et visant le retour à l équilibre budgétaire en et la réduction de la dette (Loi 100), l établissement a pris les mesures nécessaires pour atteindre les cibles de réduction budgétaire qui lui ont été fixées. Ainsi, en vue d atteindre l objectif de réduction de 10 % des dépenses de nature administrative au terme de l année , une diminution de $ a été réalisée au cours de l exercice D autres mesures visant l atteinte de l équilibre budgétaire par le maintien de la croissance des dépenses du secteur de la santé et des services sociaux à 5 % ont été réalisées sur la base de l optimisation de services. Les cibles d optimisation fixées pour le CSSS Richelieu-Yamaska au cours de , de l ordre de $, ont été atteintes. 63

64 APPLICATION DE LA LOI SUR LES SERVICES DE SANTÉ ET LES SERVICES SOCIAUX RELATIVEMENT À L AGRÉMENT LA DÉMARCHE QUALITÉ PAR LE PROCESSUS D AGRÉMENT Le CSSS Richelieu-Yamaska a obtenu une note globale de 96 %, décernée par Agrément Canada, en novembre Après la visite de certification, les travaux se sont poursuivis. Des équipes qualité ont été mises en place pour assurer la continuité de la démarche d Agrément et promouvoir au quotidien la mise en œuvre des meilleures pratiques. Plus de 25 équipes travaillent actuellement à la mise en œuvre de ces meilleures pratiques dans tous les secteurs de notre organisation. Nous avons déjà reçu des communications d Agrément Canada pour notre visite de Le compte à rebours est commencé. Grâce à une solide stratégie de communication, l organisation se mobilise déjà pour la grande visite de RELATIVEMENT À LA SÉCURITÉ DES SOINS ET DES SERVICES Notre CSSS a poursuivi ses efforts dans la promotion de la culture de sécurité et la déclaration des événements indésirables. Dans le but de poursuivre la consolidation de cette culture de sécurité, différentes activités incluant des activités de promotion et sensibilisation au CSSS ont eu lieu en Par ailleurs, certaines des activités réalisées par le secteur de la gestion des risques l ont été grâce à la collaboration de certaines directions. Partage des indicateurs de gestion des risques apparaissant dans le tableau de bord du comité de gestion des risques (CGR) et du comité de la vigilance et de la qualité (CVQ) et de rapports statistiques trimestriels d indicateurs de gestion des risques aux gestionnaires du CSSS. Formation sur la gestion des risques aux nouveaux gestionnaires embauchés au cours de l année. Formation à des cohortes des candidats à l exercice de la profession d infirmière et de préposés aux bénéficiaires sur la déclaration d événements indésirables. Formation sur la divulgation aux gestionnaires et outils produits pour les aider à sensibiliser leur personnel sur la divulgation. Dans le cadre de cette formation, une partie touchait aussi l analyse des événements (POCQ, analyse détaillée) Rencontre de certaines équipes (ex : clinique ambulatoire, bloc opératoire-urdm, 7 e ) sur la déclaration et la divulgation des événements indésirables. Formation sur la nouvelle version du formulaire AH-223 implantée le 1 er avril 2014 aux gestionnaires et présentation préparée pour le personnel Diffusion des outils de gestion des risques (affiche format feuille J adopte des comportements tout 9, aide-mémoire REVOIR) à l embauche des nouveaux employés. Rencontre de suivi d arrimage entre le CSSS et le Centre de Montérégie de réadaptation portant sur la gestion des risques pour la clientèle des unités de réadaptation fonctionnelle intensive (URFI) hébergée en partenariat au CSSS. 2 semaines sur la sécurité : une en avril et l autre en novembre 2013 portant sur les mesures de contrôle, la confidentialité, le bilan comparatif des médicaments, les chutes, les transfusions sanguines, les mesures d urgence 64 volet incendie, les piqûres accidentelles et SIMDUT (pour le personnel) etc. En lien avec la démarche d Agrément Canada, réalisation Diffusion des outils de gestion des risques (affiche format feuille J adopte des comportements tout 9, aide-mémoire REVOIR) à l embauche des nouveaux employés. Rencontre de suivi d arrimage entre le CSSS et le Centre de Montérégie de réadaptation portant sur la gestion des risques pour la clientèle des unités de réadaptation fonctionnelle intensive (URFI) hébergée en partenariat au CSSS. Deux semaines sur la sécurité : une en avril et l autre en novembre 2013 portant sur les mesures de contrôle, la confidentialité, le bilan comparatif des médicaments, les chutes, les transfusions sanguines, les mesures d urgence volet incendie, les piqûres accidentelles et SIMDUT (pour le personnel) etc. En lien avec la démarche d Agrément Canada, réalisation d une analyse prospective portant sur le transport du dossier par l usager dans les cliniques ambulatoires, et ce, afin d éviter cette situation le plus possible et de mieux sécuriser ce transport lorsque l usager a à le faire. Dans le cadre d Agrément Canada et du développement d une gestion intégrée des risques au CSSS, des travaux ont été amorcés au sein des équipes-qualité afin qu elles identifient leurs risques dans leur secteur et qu elles mettent en œuvre un plan d action contrer ou contrôler certains de ces risques. La démarche a été faite également au niveau des directeurs

65 Après des baisses dans le nombre de rapports de déclaration compilés dans le registre local des incidents et accidents depuis , en , on note une augmentation significative de 34 % par rapport à Cette augmentation s explique entre autres par une clientèle en plus grande perte d autonomie et à une plus grande culture de déclaration au CSSS de façon générale Au cours de l année, des équipes ont été rencontrées pour améliorer la déclaration des événements suite entre autres à des analyses d événements sentinelles. De plus, certains événements qui ne faisaient pas objet de déclaration ont commencé à être déclarés. Citons à titre d exemple, les feuilles d administration de médicaments (FADM) non signées, le non-respect de procédures comme celle touchant le transport du dossier dans une enveloppe scellée, le report de chirurgies, des pannes informatiques On note 891 déclarations de plus en hébergement qu en Ce qui équivaut à 48 % de la hausse de déclarations et donc la plus forte hausse en termes de déclarations versus les 2 autres missions. La mission CLSC contribue à près de 6 % de la hausse des déclarations (112). Pour l hôpital, il y a eu 838 déclarations de plus que l an passé contribuant ainsi à environ 46 % de la hausse de déclarations enregistrée cette année. En , 7 % des déclarations ont été des incidents et 93 % des accidents vs 5 % et 95 % en En se comparant aux autres établissements de santé du Québec 1 pour la période du 1er avril 2013 au 30 septembre 2013, 13 % des déclarations ont été des incidents et 87 % des accidents. En , 7 % des accidents ont eu une conséquence pour l usager contrairement à 5 % en Ainsi, la plupart des événements (93 %) sont sans conséquence pour la personne ou sont des accidents pour lesquels des tests et des examens ont été nécessaires pour vérifier la présence de conséquences. Force est de constater qu il y a eu depuis 2007, une diminution des accidents avec conséquence pour l usager (-65 %). Cette amélioration est probablement reliée à une prestation de soins et services offerts au CSSS de plus en plus sécuritaire. Depuis 2008, le CSSS a consenti des efforts à déployer des mesures pour instaurer une culture de sécurité (voir annexe 3) pour lesquels, par ailleurs, Agrément Canada lui a octroyé la reconnaissance d une «pratique exemplaire 2» en Le comité de gestion des alertes médicales, avis et rappels créé en janvier 2010 et regroupant des gestionnaires de directions concernées (porteurs du dossier) a poursuivi ses travaux. À titre de rappel, ce comité a comme mandat d assurer le suivi des alertes dans le respect des échéanciers fixés. En , il s est tenu 4 rencontres bilans vs 6 à la demande des membres du comité. Au 31 mars 2014, 132 alertes ont été traitées vs 101 en Le taux de réalisation du suivi de ces alertes était de 94 %. Cette année, des comités interdisciplinaires ont été créés pour promouvoir la pérennité de certains indicateurs de qualité. Ainsi, le CSSS Richelieu Yamaska a maintenant un comité permanent se penchant sur l évaluation et la prise en charge de la douleur, la stratégie de prévention des chutes et le protocole d utilisation des contentions, la prévention des plaies de pression et les soins de plaies. 1 Rapport semestriel des incidents et accidents survenus lors de la prestation des soins et services de santé du Québec, période du 1 er avril au 30 septembre MSSS, page Ces reconnaissances sont remises à des organismes canadiens ayant implanté des pratiques exemplaires qui sont des solutions novatrices pour l amélioration de la qualité des soins et des services offerts à la clientèle des établissements de santé. Agrément Canada juge que ces pratiques sont exceptionnelles, car elles démontrent comment certaines organisations se donnent les moyens pour atteindre l excellence. Extrait de l Écho du réseau CSSSRY, Février 2012 Vol. 3, no 1) 65

66 AVIS DU CORONER Le CSSS a reçu trois rapports émettant des recommandations. Deux ont fait l objet d un suivi à l Agence sur la réalisation de ces recommandations. Le troisième est en cours de réalisation. Ces 3 rapports et leurs recommandations sont les suivants : A (155900) : Recommandation s adressant au Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens du CSSS lui demandant d étudier le dossier d une usagère dont le diagnostic du décès diffère des observations à la nécropsie. A (158443) : Recommandation demandant que soit évaluée la qualité des soins prodigués à un usager afin de s'assurer qu'ils étaient optimaux. Cet usager s est suicidé par pendaison dans son garage le lendemain d une visite faite à l urgence de l Hôpital Honoré-Mercier. A : Recommandation formulant : 1) Qu'une séance de formation à l'umf du Richelieu-Yamaska soit consacrée à la revue du décès d un usager à son domicile probablement pour infarctus du myocarde. Cette revue devra insister sur l'algorithme d'investigation de la douleur thoracique, la valeur prédicatrice de l'épreuve d'effort et ses limites de même que sur l'interprétation des données figurant au rapport. 2) Qu'une revue ait lieu par le comité de mortalité du CSSS Richelieu-Yamaska et qu'au besoin des mesures correctives soient apportées au protocole d'investigation de la douleur thoracique par épreuve d'effort. RELATIVEMENT À L EXAMEN DES PLAINTES ET À LA PROMOTION DES DROITS La population peut accéder au rapport annuel de l établissement portant sur l application de la procédure d examen des plaintes et le respect de ses droits en consultant le site Internet : INFORMATION ET CONSULTATION DE LA POPULATION LES MODES D INFORMATION ET DE CONSULTATION DE LA POPULATION UTILISÉS AFIN DE CONNAÎTRE SA SATISFACTION AU REGARD DES RÉSULTATS OBTENUS En février dernier, un nouveau questionnaire en ligne a été lancé auprès de la clientèle pour les inviter à partager leur expérience de soins et de services dans les différentes installations du CSSS. Ce questionnaire, facile à répondre, permet aux usagers de répondre à des questions liées à leur expérience de soins. Voilà une bonne tribune où les gens peuvent s exprimer pour faire part de leur satisfaction à l égard des soins reçus ou de leurs pistes de solution pour les améliorer. La clientèle peut remplir le questionnaire selon son expérience, et ce, autant de fois qu elle le désire dans l année. Les questions abordées touchent trois thèmes : la qualité, la sécurité et l accessibilité. Ces thèmes sont inspirés du cadre de référence du Conseil québécois d agrément qui effectue les sondages de satisfaction de la clientèle pour les établissements dans le cadre du processus d agrément. 66

67 LES PREMIERS RÉSULTATS DU SONDAGE, EN DATE DU 24 AVRIL 2014, SE TRADUISENT AINSI : Critère d'évaluation Tout à fait d'accord Plutôt d'accord Plutôt en désaccord Tout à fait en désaccord Le personnel soignant me traite avec politesse et respect. 78,26% 19,57% 1,45% 0,72% Le personnel soignant me parle dans des mots que je comprends bien. 78,26% 18,84% 2,17% 0,72% Le médecin me traite avec politesse et respect. 81,10% 14,17% 2,36% 2,36% Le médecin me parle dans des mots que je comprends bien. 79,53% 14,17% 3,94% 2,36% Le personnel respecte mon intimité lorsqu'il me donne des soins. 82,44% 12,21% 2,29% 3,05% Le personnel fait preuve de discrétion à mon égard et traite les renseignements de manière confidentielle. 77,37% 16,79% 3,65% 2,19% Les interventions qui se sont occupés de moi avaient pris connaissance de mon dossier avant de me rencontrer. 62,04% 29,93% 5,11% 2,92% Le personnel prend le temps de bien m'expliquer le déroulement de chaque étape de mon traitement ou de mon intervention. 69,34% 19,71% 4,38% 6,57% On tient compte de mon opinion lors de prise de décision pour ma santé. 68,00% 23,20% 4,80% 4,00% Je me sens en confiance avec le personnel. 73,38% 19,42% 4,32% 2,88% Le personnel m'écoute attentivement et me prend au sérieux. 69,85% 20,59% 6,62% 2,94% Le personnel a évalué ma douleur. 66,37% 21,24% 7,08% 5,31% Le personnel a fait l'impossible pour contrôler ma douleur. 67,89% 17,43% 10,09% 4,59% Le personnel a répondu à la cloche d'appel dans un délai satisfaisant. 55,29% 27,06% 7,06% 10,59% Le délai pour répondre à ma demande d'examen est raisonnable. 60,00% 24,00% 8,80% 7,20% Les locaux sont propres. 67,88% 27,01% 3,65% 1,46% Les équipements sont sécuritaires. 74,07% 20,74% 2,96% 2,22% Si j'ai mangé un repas dans le milieu de soins, je suis satisfait de la qualité des repas reçus. 50,00% 29,17% 13,89% 6,94% Globalement, je suis satisfait des soins et/ou services reçus. 67,15% 24,09% 2,92% 5,84% Je recommanderais l'hôpital, le centre d'hébergement ou le CLSC où j'ai reçu des soins et/ou services à ma famille. 71,74% 19,57% 4,35% 4,35% Ces résultats sont basés sur 137 participants qui ont répondu au sondage. De façon générale, les gens sont satisfaits des soins reçus au CSSS Richelieu-Yamaska. Les résultats ont été transmis aux intervenants du CSSS et les équipes qualité sont sollicitées pour cibler des pistes d amélioration visant à améliorer la satisfaction. 67

68 CONSEILS ET COMITÉS DE L ÉTABLISSEMENT CRÉÉS EN VERTU DE LA LOI CONSEIL D ADMINISTRATION AU 31 MARS 2014 À l avant, de gauche à droite : monsieur Luc Houle, madame Louise Larivée, madame Manon Gauthier, madame Lise Pouliot, secrétaire du conseil d administration et directrice générale, madame Liette Brousseau, madame Nathalie Dubord, vice-présidente, madame Raymonde Plamondon, madame Juliette Dupuis, monsieur Gilles Sénéchal. À l arrière, de gauche à droite : messieurs Jean Boily, Jean Lemonde, président, Pierre Grenon, Michel Gagné et Alain Pelletier. Absents sur la photo : madame Michèle Archambault, docteur Robert Duranceau, madame Martine Laplante, madame Marie-Josée Marchand. 68

69 CONSEIL DES MÉDECINS, DENTISTES ET PHARMACIENS Membres du CMDP Docteur Jocelyn Brunet Docteur Dominique Grandmont, vice-président Docteur Louis Laneuville (en remplacement du docteur Marc-André Lemieux depuis juin 2013) Docteur Claude Lapointe Docteure Louise Leclerc Docteure Michèle Leclerc, trésorière Docteur Hugues Matte Docteure Diane Poirier Docteur Louis-Jean Roy, président Docteure Marie-France Weidner Monsieur Luc Lafantaisie, pharmacien, secrétaire depuis mars 2013 Docteure Jocelyne Bonin, directrice des affaires médicales par intérim missions hébergement et première ligne Docteur Sylvain Brunet, directeur des affaires médicales par intérim missions hospitalières et cliniques ambulatoires spécialisées (Il a été secrétaire du septembre 2013 à mars 2014) Madame Lise Pouliot, directrice générale Faits saillants L exécutif du CMDP s est réuni à 10 reprises au cours de l année Certains comités doivent déposer leurs procès-verbaux à l exécutif : le comité de développement professionnel continu, le comité d évaluation médicale, dentaire et pharmaceutique, le comité des dossiers, le comité d examen des titres, le comité de pharmacologie et le comité des loisirs. Nous recevons aussi les procès-verbaux de tous les départements et services médicaux. De plus, les membres recommandent chacune des nominations médicales auprès du conseil d administration. Cette année, il y a eu la recommandation de 30 membres actifs et associés (médecins, dentistes et pharmaciens). Les membres de l exécutif ont aussi reçu plusieurs ordonnances collectives, formulaires et ordonnances individuelles standardisées pour évaluation et acceptation. Les principaux dossiers suivis par les membres de l exécutif cette année sont : les infections nosocomiales, la situation à l hospitalisation, la situation d engorgement à l urgence, le remplacement de la dictée centrale, certains projets d immobilisation, la pathologie, Optilab, l Unité d investigation et d hospitalisation brève (UIHB) et l acquisition d équipements. Nous avons aussi eu certaines discussions sur la situation dans divers services ou départements. Pour l année , le comité des dossiers s est réuni à cinq reprises et a fait l étude de 423 dossiers. Comité d évaluation médicale, dentaire et pharmaceutique Le comité reçoit les rapports du comité des dossiers et des différents services et départements concernant les cas de morbidité et de mortalité. Des commentaires sont demandés au médecin traitant lorsque le dossier est jugé non conforme. Lors des rencontres du comité, il faut mentionner que des ordonnances de traitement sont soumises au comité pour évaluation. Comité de pharmacologie Le comité de pharmacologie s est réuni à cinq reprises au cours de l année Lors des rencontres, plusieurs ordonnances individuelles ont été adoptées ainsi que plusieurs ordonnances collectives touchant différents secteurs d activité. Le comité de pharmacologie a fait aussi le suivi des déclarations d effets indésirables reliés aux médicaments. Cette année encore, le comité a travaillé sur l acceptation de substitution automatique en raison de la difficulté d approvisionnement de certains médicaments. 69

70 COMITÉ EXÉCUTIF DU CONSEIL DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS Membres du CECII Madame Renée Séguin, présidente Madame Marie-Ève Dubois, vice-présidente Madame Cybèle Labillois, secrétaire Madame Virginie Mireault, trésorière Madame Mylène Daneau-Benoit (départ novembre 2013), membre Madame Annie Marcotte, membre Madame Marie-Alice Tirard- Collet, membre Invités permanents Monsieur Patrice Godbout, président du CIIA Monsieur Luc Daigneault (départ nov. 2013), vice-président du CIIA Membres d office Madame Anick Dubois, Directrice des soins infirmiers et des pratiques professionnelles (DSIPP) par intérim jusqu au 27 août 2013 Madame Ginette Brunelle, Directrice des soins infirmiers et des pratiques professionnelles (DSIPP) 27 août 2013 jusqu à avril 2014 Monsieur Yves Noël, Directrice des soins infirmiers et des pratiques professionnelles (DSIPP) depuis avril 2014 Madame Lise Pouliot, directrice générale Membres du CIIA invités aux rencontres du CECII (sans droit de vote) Madame Johanne Gendron, membre du CIIA Madame Linda Gosselin, membre du CIIA FAITS SAILLANTS Le CECII s est réuni à sept reprises au cours de l année Plusieurs faits saillants sont à noter pour la dernière année dont voici la liste non exhaustive : Consultations et recommandations Le CECII a été consulté pour 25 documents entre le 1 er juin 2013 et le 15 mai L ensemble des documents soumis provenaient de la DSIPP. Participation au processus de sélection - DSIPP La présidente du CII a fait partie du comité de sélection qui a été mis sur pied pour le poste de directrice ou directeur des soins infirmiers et des pratiques professionnelles à la suite de l invitation reçue de la directrice générale de l établissement. Intégration du CIIA aux rencontres du CECII Pour soutenir le CIIA dans ses actions, étant donné le nombre restreint de membres élus pour l année , des discussions ont eu lieu avec ceux-ci afin de mesurer leur intérêt à se joindre aux rencontres du CECII. C est donc sous une forme exploratoire que les membres du CIIA ont accepté de participer à l ensemble des rencontres du CECII pour l année Journée des CECII de la Montérégie et de leurs partenaires 12 février 2014 Les membres du CECII du CSSS Richelieu-Yamaska, en collaboration avec l Ordre régional des infirmières et infirmiers de la Montérégie (ORIIM), ont organisé une activité accréditée ayant pour but de réunir les membres des CECII de la Montérégie et leurs 70

71 principaux partenaires. La journée s est déroulée sous le thème suivant : «Le leadership des CECII un espace à promouvoir et à partager» Projet «Soirée de reconnaissance» Un projet d organisation d une «Soirée de reconnaissance des infirmières et infirmières auxiliaires» a été lancé au cours de la dernière année afin d honorer les infirmières et infirmières auxiliaires ayant contribué par leurs actions, au rayonnement de leur profession respective et à la qualité des soins dispensés à la clientèle. Le processus d organisation de cet événement a été mis en place et a jeté les bases pour les années à venir. Ainsi, les catégories des Prix du mérite infirmier, le processus de mise en candidature, le logo de la soirée et bien d autres ont été définis afin de mener à la réalisation de la soirée, le 15 mai 2014, à laquelle 140 personnes ont participé. CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE Membres du CECM Madame Louise Larivée, présidente Madame Johanne Hawley, vice-présidente Madame Marie Gingras, secrétaire Monsieur Ian Bourgault, membre Madame Geneviève Daigneault, membre (démission en cours d année) Monsieur Jean-Pierre Demers, membre (recruté en cours d année) Madame Linda Gagnon, membre (démission en cours d année) Monsieur Sébastien Gingras, membre Monsieur Marc-Antoine Lussier, membre Madame Chantal Laliberté, membre (recrutée en cours d année) Mesdames Yolaine Rioux (Directrice de la DSIPP), Annick Dubois, Ginette Brunelle (Directrices de la DSIPP intérimaires), Danielle Perron (adjointe intérimaire à la DSIPP), représentantes de la direction RÉALISATIONS Tenue de sept réunions régulières et d une réunion d information (quorum non atteint). Production d un article pour le magasine interne L Écho du Réseau (recrutement). Analyse des résultats du sondage sur les besoins en formation par le sous-comité CMPC (Comité Maintien et Promotion des Compétences) produite en Séances de discussions sur divers sujets : - Projet reconnaissance regroupant les 2 conseils (CECII et CECM); - Importance du rôle du médecin à l hôpital de jour et au programme de psychogériatrie; - Rencontre et discussions sur les besoins en formation des professionnels de la catégorie 4, PDRH avec la gestionnaire et la conseillère du service de Formation et développement des compétences; Création des nouveaux postes de conseillers à la DSIPP; - Enjeux d importance pour le CECM : interdisciplinarité, besoins de formation, soutien à la clinique, encadrement des stagiaires, besoins et attentes des professionnels, ceci en vue de l élaboration de l offre de service et de la restructuration de la DSIPP; 71

72 - Offre de service de la DSIPP; - Modifications de règlements quant aux élections et aux règles sur le remboursement des frais encourus par le CM; - Organisation des élections et de l assemblée générale annuelle; - Etc. Participation de la présidente, de l adjointe à la DSIPP et d un membre du CECM au 17e Colloque de L ACMQ, les 4-5 novembre 2013, «Le CM : Des professionnels engagés, soucieux de maintenir la qualité des soins et services à l ère de la performance». Rencontres des deux présidentes des conseils CECM et CECII dans un but d échanges afin de rendre les conseils plus visibles et d explorer la possibilité de projets communs. Participation de la présidente au comité de sélection du DSIPP. Nomination d un membre au CMUR Montérégie à la suite d un appel de candidature aux membres du collège CECM de la Montérégie. Quatre comités de pairs ont été actifs : Nutrition : clientèle adulte Nutrition : clientèle diabétique Nutrition : clientèle pédiatrique Technologistes médicaux COMITÉ DE VIGILANCE ET DE LA QUALITÉ Membres du comité de vigilance et de la qualité Madame Liette Brousseau, administratrice du conseil d administration et présidente du comité de vigilance et de la qualité Madame Chantal Desfossés, commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services Monsieur Michel Gagné, administrateur du conseil d administration Madame Marie-Josée Marchand, administratrice du conseil d administration Madame Lise Pouliot, directrice générale Madame Sylvie Provost, direction de la qualité et de l expérience client Madame Julie Alix, commissaire adjointe aux plaintes et à la qualité des services Monsieur Jean Lemonde, président du conseil d administration Le comité de vigilance et de la qualité est responsable d assurer le suivi des recommandations de la commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services et du Protecteur du citoyen, relativement aux plaintes formulées ou aux interventions effectuées, conformément aux dispositions de la Loi sur les services de santé et les services sociaux et de la Loi sur le Protecteur des usagers en matière de santé et de services sociaux. Il est également responsable de coordonner l ensemble des activités des autres instances mises en place au sein de l établissement pour exercer des responsabilités portant sur la pertinence, la qualité, la sécurité et l efficacité des services rendus, ainsi 72

73 que sur le respect des droits des usagers et le traitement de leurs plaintes, en plus d assurer le suivi de leurs recommandations. Le comité de vigilance et de la qualité s intéresse tout particulièrement à la qualité des services offerts dans l établissement; c est aussi un lien indispensable entre la commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services et le conseil d administration. En , le comité de vigilance et de la qualité s est réuni à cinq occasions. Les dossiers suivants ont été portés à la connaissance du comité par la commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services et par la directrice de la qualité : rapports statistiques périodiques sur les activités de la commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services; liste des mesures recommandées par la commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services; liste des mesures recommandées par le Protecteur du citoyen; état de situation des mesures recommandées et non appliquées; état de situation sur les infections nosocomiales; dossiers associés à la gestion des risques. Le comité de vigilance et de la qualité s est assuré, tout au long de l année, de l application des mesures recommandées par la commissaire aux plaintes et à la qualité des services et le Protecteur du citoyen et du suivi des différents dossiers en vue de l amélioration de la qualité des soins et des services. COMITÉ DE GESTION DES RISQUES Membres du comité de gestion des risques Monsieur Claude Barrette, bénévole et président du comité gestion de risques Madame Guylaine Côté, technicienne en réadaptation physique Madame Mélissa Giroux, gestionnaire PCI Madame Manon Gauthier, gestionnaire de risque Monsieur Éric Lapierre, chef de service installations matérielles HHM et conseiller aux projets Monsieur Gaetan Vallières, représentant du comité des usagers Madame Ginette Brunelle, directrice des soins infirmiers et pratiques professionnelles Monsieur Normand Kingsley, directeur des affaires médicales Madame Sylvie Provost, directrice de la qualité et de l'expérience client Le comité de gestion des risques poursuit ses travaux par la surveillance des indicateurs de gestion des risques issus du registre local. Il a mis en évidence les deux types d événements les plus récurrents soit les erreurs de médication et les chutes. En fin d année financière , le CSSS Richelieu-Yamaska obtenait des taux de 35 % pour les chutes et de 37 % pour les erreurs de médicaments sur tous les événements déclarés au Registre national des incidents et accidents. Des projets en cours dans l organisation ont permis de diminuer les erreurs de médicaments et d autres se poursuivent pour réduire les chutes. Le CSSS note également une augmentation du nombre de déclarations obtenues (7270 en comparativement à 5372 en ). Selon le Registre national des incidents et accidents survenus lors de la prestation de soins de santé et de services sociaux (données du 1 er avril 2013 au 30 septembre 2014), le CSSS Richelieu-Yamaska présente un taux de 39 % pour les erreurs de médicaments et de 33 % pour les chutes parmi tous les événements déclarés. Dans les établissements de santé du Québec, ces deux types d événements sont aussi les plus fréquents, mais en proportion différente (34 % des événements déclarés sont des chutes et 32 % des événements déclarés sont des 73

74 erreurs de médicaments); en Montérégie, 32 % des événements sont des chutes et 35 % sont des erreurs de médicaments. Le comité de gestion des risques du CSSS Richelieu- Yamaska s est réuni à cinq reprises durant l année financière , conformément à son mandat de rechercher, de développer et de promouvoir des moyens visant à identifier et analyser les risques d'incident ou d'accident en vue d'assurer la sécurité des usagers. De plus, le comité s est assuré de développer des liens avec des comités partenaires, tels que les comités de l imagerie médicale et du laboratoire, qui posent des actions en vue de s assurer d une prestation de soins et services sécuritaires dans leur secteur. Le Service d imagerie médicale a déposé aux membres un bilan de ses travaux touchant la gestion des risques et la prestation sécuritaire des soins dans son secteur. À chacune des rencontres, le comité a, entre autres, fait les suivis des indicateurs de gestion des risques, de l avancement de la mise en œuvre des recommandations des événements sentinelles, des recommandations des avis de coroner, des accidents de gravité E2 à I et des infections nosocomiales. Il a été informé des communications émises et des activités réalisées par la gestion des risques faisant la promotion de la sécurité/gestion des risques : formation, note de service en gestion des risques, semaines de sécurité d avril 2013 portant sur le remplacement des mesures de contention («La contention : la dernière option!») et de novembre 2013 portant sur plusieurs volets favorisant la sécurité des patients. Le comité a aussi suivi le déploiement de la nouvelle version du formulaire AH-223. COMITÉ DES USAGERS Membres du comité des usagers Monsieur Alain Pelletier, président Monsieur Gaëtan Vallières, vice-président Madame Liette Brousseau, secrétaire-trésorière Madame Claudine Lefebvre Madame Isabelle PLourde Madame Lucie Tétreault Madame Gisèle Beauchemin, représentante des résidents du C.H. Marguerite-Adam Madame Rosetta Bruno, représentante des résidents au C.H. Andrée-Perrault Monsieur Maurice Coutu, représentant des résidents au C.H. MRC-d Acton Monsieur Paul Larocque, représentant des résidents au C.H. l Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe Madame Martine Ouellet, représentante des résidents au C.H. de Montarville Un des mandats du comité des usagers consiste à évaluer la satisfaction des usagers qu il représente et à promouvoir l amélioration de la qualité des conditions de vie des usagers. À la suite des actions entreprises l année dernière dans la réalisation d un sondage de satisfaction auprès des 790 résidents hébergés dans les centres d hébergement du CSSS, un plan d action a été élaboré pour permettre 74

75 l amélioration de la qualité de vie de ces résidents. Le comité a également participé à l élaboration du nouveau questionnaire pour la clientèle qui a été lancé en février Les usagers y sont invités à partager leur expérience en répondant à un bref questionnaire en ligne. À la suite d évènements portés à leur attention, les membres du comité des usagers ont fait parvenir une lettre à la Commissaire locale aux plaintes concernant une demande d examen des inconvénients vécus par les personnes en fin de vie, leurs proches et l autre personne qui partage la chambre. La commissaire a consulté les directions concernées par cette problématique et a émis la recommandation de favoriser l utilisation de chambres individuelles pour les personnes en fin de vie assurant une fin de vie en toute intimité et sérénité. Dans le but de mieux faire connaître le comité des usagers et les comités de résidents, ainsi que les droits des usagers, des actions furent entreprises pour promouvoir le rôle de ces comités auprès des usagers et des résidents. Le comité des usagers s est doté d un logo qu il partage avec les comités de résidents. Ce logo se retrouve sur les pages du site Internet du comité des usagers et sur les outils promotionnels produits, dont une bannière. Un dépliant a été produit et inséré dans les pochettes d accueil des centres d hébergement pour le comité des usagers et chacun des comités de résidents qui en possède un incluant une section qui leur est propre. Les dépliants du comité des usagers sont aussi disponibles dans les CLSC et à l Hôpital Honoré- Mercier. Le site Internet du comité des usagers poursuit son développement avec l ajout de liens et d articles concernant les soins et la santé. Le blogue, créé il y a un an, continu à informer les gens et attire plusieurs adeptes. Cette année, le nombre de visites sur le site a doublé et le nombre d utilisateurs a quasi triplé par rapport à l an dernier. 75

76 RESSOURCES HUMAINES DE L ÉTABLISSEMENT PERSONNEL DÉTENTEUR DE POSTES Variation Personnel cadre (en date du 31 mars 2014) Temps complet, nombre de personnes (note 1) Temps partiel (note 1) Nombre de personnes Équivalents temps complet Personnes bénéficiant de mesures de stabilité d emploi Personnel régulier (en date du 31 mars 2014) Temps complet, nombre de personnes (note 2) Temps partiel (note 2) o Nombre de personnes (36) o Équivalents temps complet Personnes bénéficiant de mesure de sécurité d emploi PERSONNEL NON DÉTENTEUR DE POSTES (OCCASIONNELS Nombre d heures rémunérées au cours de l exercice Équivalents temps complet (note 3) Note 1 : Note 2 : Note 3 : excluant les personnes bénéficiant de mesures de stabilité d emploi excluant les personnes bénéficiant de mesures de sécurité d emploi les équivalents temps complet peuvent être une approximation si l établissement utilise la méthode de calcul simplifiée consistant à diviser le nombre d heures rémunérées par 1827 ou 1834 (année bissextile) 76

77 ÉTATS FINANCIERS, ANALYSE DES RÉSULTATS DES OPÉRATIONS Les revenus du fonds d exploitation pour l exercice terminé le 31 mars 2014 ont été de l ordre de $, dont 90 % en provenance du ministère de la Santé et des Services sociaux. L année financière se termine par un surplus de $ dont $ en provenance d une réserve du fonds d immobilisation. Les dépenses d exploitation ont connu une hausse importante à la suite des développements liés au rapatriement de la clientèle du 514 et l ajout de médecins spécialistes en cours d année, au développement des soins à domicile ainsi qu au développement de places en ressources intermédiaires. Les pages 79 à 93 présentent certaines données financières de l exercice Le rapport financier annuel complet AS-471 est disponible sur le site Internet de l établissement au FONDS D'EXPLOITATION / RÉSULTATS - EXERCICE TERMINÉ LE 31 MARS 2014 PROVENANCE DES REVENUS EXERCICE COURANT ($) EXERCICE PRÉCÉDENT ($) ASSS de la Montérégie, MSSS Usagers Ventes de serv., rec. de CA et autres Rev enus de type commercial TOTAL NATURE DES CHARGES EXERCICE COURANT ($) EXERCICE PRÉCÉDENT ($) Salaires, av ant. sociaux et ch. sociales RNI Fournitures médicales Médicaments Serv ices achetés Produits sanguins Denrées alimentaires Énergie Entretien & réparations Loyers Réactifs, fourn. labo. et radiologie Allocations directes Transport des usagers Sous-total Autres charges TOTAL RÉSULTATS EXERCICE COURANT ($) EXERCICE PRÉCÉDENT ($) Résultats du fonds d'exploitation (96 342) Transferts du fonds d'immobilisation Résultats nets

78 Hôtellerie et hygiène salubrité 8 % CHARGES ET ACTIVITÉS PRINCIPALES AU 31 MARS 2014 Gestion des bâtiments et équipements 5 % Administration 6 % Pratiques professionnelles et soins infirmiers, autres 1 % Santé physique 18 % Santé mentale/di/dp/ TED / Santé physique 12 % Hébergement 19 % Services ambulatoires et 1 re ligne 14 % Servcies généraux (laboratoire, pharmacie, imagerie) 17 % Le budget d acquisition d immobilisations s élève à $ et vient s ajouter au budget d exploitation de l établissement. Acquisitions d'immobilisations Projets de soins et services de proximité ( ); $ Équipements réguliers; $ Projets maintien des actifs; $ Équipements médicaux; $ Rénovations fonctionnelles centres d'hébergement; $ Rénovations fonctionnelles CLSC - Hôpital; $ 78

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017 et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-

Plus en détail

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec

Plus en détail

stratégique2010 plan du Ministère de la Santé et des Services sociaux

stratégique2010 plan du Ministère de la Santé et des Services sociaux stratégique2010 plan 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux 2010 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux plan stratégique Édition La Direction des communications du ministère

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants : POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients

Plus en détail

Un poste à votre mesure!

Un poste à votre mesure! Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne

Plus en détail

Ministère de la Santé et des Services sociaux

Ministère de la Santé et des Services sociaux Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte

Plus en détail

ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT

ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT L art de cultiver des savoirs, des expériences, des compétences et des talents www.chuq.qc.ca/fr/info_plus/formations_en_ligne DES ACTIVITÉS DE FORMATION EN LIGNE

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation

Plus en détail

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise

Plus en détail

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services

Plus en détail

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?

Plus en détail

Projet clinique express

Projet clinique express d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée

Plus en détail

De meilleurs soins :

De meilleurs soins : De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé

Plus en détail

Direction de l'hébergement. Tous les services en CLSC

Direction de l'hébergement. Tous les services en CLSC Direction de l'hébergement ADMISSIONS ET TAUX D'OCCUPATION Centre d'hébergement Quatre-Saisons 34 28 90,20% 99,47% Centre d'hébergement Quatre-Temps 168 190 99,40% 98,45% Centre d'hébergement Saint-Michel

Plus en détail

VOTRE BIEN-ÊTRE UNE OFFRE DE SERVICE ADAPTÉE AUX VISAGES DE BELLECHASSE CHUTES-CHAUDIÈRE DESJARDINS LOTBINIÈRE NOUVELLE-BEAUCE

VOTRE BIEN-ÊTRE UNE OFFRE DE SERVICE ADAPTÉE AUX VISAGES DE BELLECHASSE CHUTES-CHAUDIÈRE DESJARDINS LOTBINIÈRE NOUVELLE-BEAUCE UNE OFFRE DE SERVICE ADAPTÉE AUX VISAGES DE VOTRE BIEN-ÊTRE BELLECHASSE CHUTES-CHAUDIÈRE DESJARDINS LOTBINIÈRE NOUVELLE-BEAUCE www.csssalphonsedesjardins.ca Mot du directeur général... 3 Centre de santé

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

G U I D E S O C I AU X

G U I D E S O C I AU X G U I D E D ACCÈS SANTÉ ET SERVICES S O C I AU X 2012 Le Centre de santé et de services sociaux (CSSS) du Sud de Lanaudière a pour mission d améliorer l état de santé et le bien-être de la population des

Plus en détail

Cadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal

Cadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.

Plus en détail

Planification stratégique 2012-2015

Planification stratégique 2012-2015 DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord CSSS La Pommeraie, Hôpital Brome Missisquoi Perkins certifié de l Initiative Ami des bébés 1999 Hôpital recertifié 2004 CLSC certifié 2005 CSSS certifié mai 2010 Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Plus en détail

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium

Plus en détail

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3

Plus en détail

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées 3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements Société canadienne de la sclérose en plaques Juin 2009 Table des matières Contexte... 3 1.0 Mission de la Société canadienne de la sclérose en

Plus en détail

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref... Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données

Plus en détail

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES

PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES Mise à jour au 28 février 2013 Véronique Bibeau, Conseillère en gestion

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

Évaluation du régime général d assurance-médicaments

Évaluation du régime général d assurance-médicaments Évaluation du régime général d assurance-médicaments mémoire présenté à la Commission parlementaire des affaires sociales par la Fédération de médecins omnipraticiens du Québec LE RÉGIME GÉNÉRAL d assurancemédicaments

Plus en détail

RÉGIME d assurance collective CSQ. À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec

RÉGIME d assurance collective CSQ. À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec RÉGIME d assurance collective CSQ À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec Contrat J9999 Janvier 2010 À tous les membres de la CSQ Cette «nouvelle» brochure

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Tableau des garanties Contrats collectifs

Tableau des garanties Contrats collectifs Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,

Plus en détail

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

La Régie des rentes du Québec

La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE

SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes

Plus en détail

Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir?

Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? CG 08-02-29 / 011 (FEC) Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? Document de réflexion présenté au Conseil général de la Fédération des enseignantes

Plus en détail

Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES

Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport

Plus en détail

Rapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale

Rapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale Le comité des usagers des gens à votre écoute Rapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale Étude exploratoire visant l identification de pistes de réflexion stratégique

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL Avertissement : LE PRÉSENT DOCUMENT CONSTITUE UN CONDENSÉ DU RAPPORT ANNUEL DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL. VOUS ÊTES INVITÉ À CONSULTER LA VERSION INTÉGRALE

Plus en détail

N o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible

N o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population

Plus en détail

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

L assurance maladie qui simplifie votre séjour en Suisse!

L assurance maladie qui simplifie votre séjour en Suisse! L assurance maladie qui simplifie votre séjour en Suisse! NTS A I D ÉTU PAIR U A S FILLE AIRES I STAG NTIS E APPR Réf. : ASS.FR.NOTICE.2015 SWISS Studies L assurance maladie qui vous simplifie la vie!

Plus en détail

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137» LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet

Plus en détail

Régime de soins de santé des étudiants étrangers

Régime de soins de santé des étudiants étrangers Régime de soins de santé des étudiants étrangers LA GREAT WEST COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE Le régime de soins de santé des étudiants étrangers fournit une couverture des soins hospitaliers et médicaux nécessaires

Plus en détail

Les offres de services spécialisés

Les offres de services spécialisés Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE

ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE L assurance santé internationale à la carte. Tous les risques de santé. Quelque soit votre pays d origine ou de résidence. Couverture de soins partout dans le

Plus en détail

Règlement numéro 11 portant sur LES DROITS DE TOUTE NATURE EXIGIBLES DES ÉTUDIANTS

Règlement numéro 11 portant sur LES DROITS DE TOUTE NATURE EXIGIBLES DES ÉTUDIANTS COLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL MARIE-VICTORIN Règlement numéro 11 portant sur LES DROITS DE TOUTE NATURE EXIGIBLES DES ÉTUDIANTS Adopté le 14 décembre 1998 CA-98-51-465 Amendé le 8 février

Plus en détail

INSPECTION PROFESSIONNELLE

INSPECTION PROFESSIONNELLE INSPECTION PROFESSIONNELLE INSTRUMENT DE VÉRIFICATION DE LA NORME DE DOCUMENTATION LE PLAN THÉRAPEUTIQUE INFIRMIER PRODUCTION Service des publications Sylvie Couture Chef de service Karine Méthot Adjointe

Plus en détail

Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents

Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents S U C C E S S S T O R Y 1 Diabetes Care with a Difference: The London Primary Care Diabetes

Plus en détail

Projet de loi n o 20

Projet de loi n o 20 Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté

Plus en détail

Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000)

Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000) Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000) 1. Utilité d un modèle conceptuel en courtage de connaissances 2. Cycle de gestion et courtage des connaissances 1. Capitaliser 2. Apprécier

Plus en détail

Le contrôle de la qualité des services

Le contrôle de la qualité des services Le contrôle de la qualité est essentiel à l amélioration continue des services aux usagers. En fonction des obligations du ministère de la Santé et des Services sociaux, le Protecteur du citoyen a analysé,

Plus en détail

document révisé le 2008-03-05

document révisé le 2008-03-05 document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Assurance complémentaire santé OMS

Assurance complémentaire santé OMS Notice d information Edition 2014 Assurance complémentaire santé OMS BÉNÉFICIAIRES Le Groupement de Prévoyance et d Assurance des Fonctionnaires Internationaux (GPAFI) est une association à but non lucratif

Plus en détail

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de

Plus en détail

L observatoire «Entreprise et Santé»

L observatoire «Entreprise et Santé» LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE

Plus en détail

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel

Plus en détail

Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS)

Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Introduction Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) offre, à tous les deux ans, une mammographie

Plus en détail

Journée d étude des leaders en soins infirmiers

Journée d étude des leaders en soins infirmiers Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires

Plus en détail

Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration

Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs favorisant la collaboration Pascale Navert Courtière de connaissances Direction de la planification, de la performance

Plus en détail

LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC

LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC GUIDE À L USAGE DE L EMPLOYEUR LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC un partenaire incontournable dans l intégration réussie de votre main-d œuvre immigrante Visitez-nous au desjardins.com/caissedequebec Être

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL DE GESTION 2012-2013

RAPPORT ANNUEL DE GESTION 2012-2013 RAPPORT ANNUEL DE GESTION 2012-2013 Aussi disponible sur notre site internet : www.csssetchemins.qc.ca Adopté par le conseil d administration du Centre de santé et de services sociaux des Etchemins le

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles

FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d

Plus en détail

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3

Plus en détail

Régime d assurance collective des employés et retraités du Mouvement Desjardins

Régime d assurance collective des employés et retraités du Mouvement Desjardins Régime d assurance collective des employés et retraités du Mouvement Desjardins Desjardins Sécurité financière Centre de contact avec la clientèle : 1 866 666-7049 Site Internet : www.rcd-dgp.com Vice-présidence

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL DE GESTION

RAPPORT ANNUEL DE GESTION RAPPORT ANNUEL DE GESTION 2013-2014 12 juin 2014 Ensemble, pour la santé et le mieux-être au cœur de notre communauté 2 TABLE DES MATIÈRES Message des autorités... 6 Mot de la présidente et du directeur

Plus en détail

Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3

Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3 IV Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3 (PDF) Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS de l exercice terminé le 31 mars 2002 19 TABLE DES MATIÈRES Rapport de la direction 21 Rapport du vérificateur 22 États financiers Résultats 23 Excédent 23 Bilan 24 Flux de

Plus en détail