DDTEFP du Morbihan. Etude action sur l accompagnement l développement des emplois de services aux personnes dans le Morbihan.
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- Germaine Duquette
- il y a 8 ans
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1 DDTEFP du Morbihan Etude action sur l accompagnement l du développement des emplois de services aux personnes dans le Morbihan Restitution des résultats r de l él étude 25 septembre 2009
2 Sommaire Rappel des objectifs et phases de l étude 1. L offre de service, l emploi, l activité et les besoins de SAP 2. Les enjeux identifiés Les enjeux de développement de l offre de service Les enjeux de la professionnalisation des structures et des intervenants 3. Premières orientations et pistes de réflexion 2
3 Introduction Les phases et le contenu de l él étude-action 2 phases Phase 1 Analyse des perspectives de développement des SAP dans le département et par Pays Phase 2 Orientations pour accompagner la profession dans sa démarche de professionnalisation 3
4 1. L offre L de service, l emploi, l activitl activité et les besoins de SAP 4
5 Les structures de services aux personnes et l activité dans le département du Morbihan Approche par Pays (Les résultats qui suivent sont issus de l exploitation des bilans d activité 2007) 5
6 L activité des OASP sur le département du Morbihan en 2007 Nombre d organismes : % des répondants ont démarré leur activité en % des organismes n ont pas de salarié Nombre total des heures travaillées en mode prestataire et en mode mandataire = Nombre de salariés recensés : pour 181 organismes (mais il y a un risque de double-compte, pour le personnel administratif notamment, qui intervient sans distinction sur les activités en mode prestataire et en mode mandataire) 41% des OASP détiennent un Agrément qualité, 59% détiennent un agrément simple uniquement 6
7 L activité des OASP par Pays Répartition de l'activité des OASP et de la population totale par Pays 70% 60% 58% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 33% 33% 31% 27% 28% 20% 13% 14% 13% 10% 7% 6% 5% 3% Pays d'auray Pays de Lorient Pays de Ploermel Pays de Pontivy Pays de Vannes OASP Heures prestataires + mandataires Population 3 Pays de caractérisent par la faiblesse du nombre heures réalisées : Pays d Auray (malgré un nombre élevé d OASP), le Pays de Ploërmel et le Pays de Pontivy Le Pays de Vannes se distingue par une activité particulièrement importante puisqu il réalise près de 60% du nombre total d heures enregistrées sur le département du Morbihan 7
8 Le type d agrément par Pays Part des OASP avec un agrém ent qualité 70% 60% 60% 50% 40% 30% 37% 34% 31% 35% 20% 10% 0% Pays d'auray Pays de Lorient Pays de Ploermel Pays de Pontivy Pays de Vannes L Agrément qualité est minoritaire excepté sur le Pays de Pontivy où 60% des OASP détiennent un agrément qualité 8
9 Type d organisme Type d'organisme Types d'organisme par Pays (nomb re d'associations trop faible pour être significatif par Pays) 40% 35% 30% 25% 20% 36% 31% 18% Pays de Vannes Pays de Pontivy 26% 68% 40% 14% 13% 11% 15% 10% 5% 0% 10% Association 4% Association intermédiaire Organisme public Entreprise privée Entreprise privée sans salarié 0% Entreprise d'insertion Pays de Lorient 25% 36% 23% Pays d'auray 42% 40% 16% 0% 20% 40% 60% 80% 100% Organisme public Entreprise privée Entreprise privée sans salarié Les organismes publics (CCAS) représentent 36% des répondants mais 68% sur le Pays de Pontivy, ce qui explique probablement le fort taux d agrément qualité sur ce territoire. Le Pays de Lorient se caractérise par un nombre élevé d entreprises privées, notamment des entreprises sans salarié 9
10 L activité des OASP sur l ensemble du département Répartition du nombre total d'heures réalisées en mode prestataire et mandataire en 2007 sur le département du Morbihan 70% 60% 63% 50% 40% 30% 25% 20% 10% 0% Assistance aux personnes âgées Entretien de la maison et travaux ménager 4% 3% Petits travaux de jardinage Assistance aux personnes handicapées 1% 1% Livraison de repas à domicile Soutien scolaire à domicile Mode prestataire = 60% du total des heures (96% des OASP) Mode mandataire = 40% du total des heures (22% des OASP) 10
11 L activité des OASP par Pays (1) Répartition des heures prestataires et mandataires 2007 sur le Pays d'auray Préparation de repas à domicile Assistance aux personnes handicapées Petits travaux de jardinage Assistance aux personnes âgées Entretien de la maison et travaux ménager 1% 2% 14% 30% 51% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% Les Pays d Auray et Pontivy se distinguent par une part élevée de l activité provenant de l «Entretien de la maison et travaux ménagers» Viennent ensuite dans les 2 Pays l»assistance aux personnes âgées» et «Petits travaux de jardinage», ce dernier plus particulièrement développé sur le Pays d Auray Répartition des heures prestataires et mandataires 2007 sur le Pays de Pontivy Prestations de petit bricolage Aide à la mobilité et transport de personnes Préparation de repas à domicile Livraison de repas à domicile 1% 1% 2% 2% Petits travaux de jardinage 7% Assistance aux personnes âgées Entretien de la maison et travaux ménager 44% 44% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 11
12 L activité des OASP par Pays (2) Répartition des heures prestataires et mandataires 2007 sur le Pays de Ploermel Répartition des heures prestataires et mandataires 2007 sur le Pays de Lorient Préparation de repas à domicile 1% Garde d'enfants à domicile >3ans 1% Assistance aux personnes handicapées 1% Soutien scolaire à domicile 1% Livraison de courses à domicile 1% Garde d'enfants à domicile <3 ans 2% Petits travaux de jardinage 5% Activités qui concourent directement et exclusivement à coordonner et délivrer les services aux personnes 3% Entretien de la maison et travaux ménager 24% Petits travaux de jardinage 4% Assistance aux personnes âgées 67% Livraison de repas à domicile 4% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% Assistance aux personnes handicapées 9% Entretien de la maison et travaux ménager 25% Répartition des heures prestataires et m andataires 2007 sur le Pays de Vannes Assistance aux personnes âgées 52% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% Préparation de repas à domicile 1% Assistance aux personnes handicapées Petits travaux de jardinage Entretien de la maison et travaux ménager Assistance aux personnes âgées 2% 3% 25% 67% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% Les Pays de Vannes, Ploërmel et Lorient ont une répartition plus proche de la moyenne départementale Le Pays de Lorient se distingue néanmoins par une part plus élevée d activité «Assistance aux personnes handicapées» et également «Garde d enfant de moins de 3 ans. On notera que ce dernier service est absent du Pays de Vannes. 12
13 L emploi, les fonctions occupées et les niveaux de qualification des personnels 13
14 Les ressources humaines Près de 1 intervenant sur 4 détient une qualification dans les OASP avec agrément qualité exerçant en mode prestataire Répartition des qualifications du secteur détenues en m ode prestataire DEAVS 29% BEPA Servi. aux pers. 20% Titre Assistant de vie aux familles 16% BEP CSS MC CAP Petite Enfance 7% 8% CAFAD CTF DETISF DPAS Agent d'accompagnement CAPA Milieu rural 5% 4% 3% 3% 2% 2% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% La VAE est mise en œuvre dans 37% des structures (DEAVS principalement, Titre Assistante de vie aux famille également, quelques diplôme d aide-soignant) 14
15 Les ressources humaines par Pays 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Répartition par Pays du nombre de salariés intervenants en mode prestataire 7% 24% 3% Pays d'auray Pays de Lorient Pays de Ploermel 7% 57% Pays de Pontivy Pays de Vannes 57% et 66% des intervenants, en mode prestataire et mandataire respectivement, travaillent sur le Pays de Vannes qui ne représentent que 30% des OASP. Ces derniers sont donc de taille beaucoup plus importante que les OASP des autres Pays du département. 70% 60% 50% 40% 30% 20% Répartition des heures mandataires réalisées en 2007 par Pays 29% 66% A l opposé, les Pays de Auray, Ploërmel et Pontivy se caractérisent par des OASP de petite taille en nombre d intervenants 10% 0% 2% 1% Pays d'auray Pays de Lorient Pays de Ploermel 2% Pays de Pontivy Pays de Vannes 15
16 Le fonctionnement du CESU 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 9% 91% Connaissez-vous le fonctionnement du CESU? 35% 65% Acceptez-vous les CESU préfinancés? Les OASP n ont eu qu exceptionnellement des CESU pré-financés. Les clients ne proposent pas ce moyen de paiement et leur utilisation pose des difficultés liées au coût et au délais de traitement. oui non 16
17 Éléments de diagnostic La couverture des besoins Le potentiel de développement des services aux personnes 17
18 La couverture des besoins (1) Indicateurs de couverture des besoins pour les personnes âgées Activité Assistance aux personnes âgées Nbre d'heures/pers de 65 ans et plus 2005 Nbre d'heures/pers de 80 ans et plus 2005 Morbihan 20,1 75,2 Pays d'auray 4,7 18,1 Pays de Lorient 10,1 39,1 Pays de Ploermel 2,9 10,8 Pays de Pontivy 4,4 18,5 Pays de Vannes 47,6 214,3 Activité Préparation des repas à domicile Nbre d'heures/pers de 65 ans et plus 2005 Nbre d'heures/pers de 80 ans et plus 2005 Morbihan 0,2 0,9 Pays d'auray 0,18 0,70 Pays de Lorient 0,07 0,26 Pays de Ploermel 0,03 0,10 Pays de Pontivy 0,17 0,71 Pays de Vannes 0,54 2,41 Activité Entretien de la maison et travaux ménagers Nbre d'heures/pers de 65 ans et plus 2005 Nbre d'heures/pers de 80 ans et plus 2005 Morbihan 8,1 30,5 Pays d'auray 8,1 30,9 Pays de Lorient 4,8 18,3 Pays de Ploermel 1,1 3,9 Pays de Pontivy 4,4 18,5 Pays de Vannes 17,9 80,5 Concernant l assistance aux PA, le Pays de Vannes offre 2 à 3 fois plus d heures par personne que la moyenne du 56. Les besoins sont a priori moins bien couverts dans les Pays de Ploërmel, Pontivy et Auray. Pour l entretien de la maison et les travaux ménagers, Vannes est également «sur-doté». Les Pays de Ploërmel, Pontivy et Lorient sont défavorisés. Pour la préparation de repas à domicile, l offre est faible partout et les besoins ne sont vraisemblablement pas couverts mais il se pose une question de solvabilisation Certains territoires restent peu accessibles ou peu rentables (prestations de quelques heures dans des zones isolées) 18
19 La couverture des besoins (2) La couverture des besoins de garde d enfants Enfants de 3 ans et plus Nombre heures 2007 prestataires et mandataires Enfants de moins de 3 ans % Nombre heures 2007 prestataires et mandataires % Morbihan % % Pays d'auray % 0 0% Pays de Lorient 25384,5 87% % Pays de Ploermel 0 0% 0 0% Pays de Pontivy 270 1% 0 0% Pays de Vannes % 0 0% La garde d enfants de moins de 3 ans existe exclusivement sur le Pays de Lorient. Ce Pays concentre également près de 90% des heures de garde d enfants de 3 ans et plus Raisons : Absence d offre sur les autres Pays? Moindre développement des autres modes de garde sur le Pays de Lorient (Crèches et assistantes maternelles)? 19
20 La couverture des besoins (3) La couverture des besoins d Assistance aux personnes handicapées Nombre heures 2007 prestataires et mandataires % Morbihan % Pays d'auray % Pays de Lorient % Pays de Ploermel 550 0% Pays de Pontivy 350 0% Pays de Vannes % Les heures d Assistance aux personnes handicapées se répartissent entre le Pays de Lorient et le Pays de Vannes, tandis que cette activité est quasi-absente dans les 3 autres Pays. 20
21 Le potentiel de développement d de l offre l de SAP dans le Morbihan (1) L aide aux personnes âgées Si l offre couvre bien les besoins aujourd hui globalement au niveau du 56, l évolution démographique attendue génèrera des besoins élevés L INSEE prévoit une progression de 74% entre 2005 et 2030 des 60 ans et plus, et un doublement des 80 ans et plus dans le Morbihan (très > à moy. régionale). Selon la CRAM, le Morbihan est le second département breton pour la croissance démographique et a les plus forts excédents migratoires pour les plus de 60 ans Concentration des PA au sud du département (2/3 des habitants de plus de 60 ans résident dans les Pays de Lorient, Vannes et Auray, et 65% des plus de 80 ans) et les territoires au nord sont les plus vieillissants (proportion > de 60 ans et +) Le potentiel est toutefois limité par le rythme de croissance future des dépenses d aide sociale des financeurs (CG, CRAM, caisses de retraites complémentaires) L offre doit cibler en priorité les territoires encore peu couverts et les besoins correspondant à des activités trop peu développées (livraison de courses, portage de repas à domicile, transport, garde de nuit, garde ponctuelle ) 21
22 Le potentiel de développement d de l offre l de SAP dans le Morbihan (2) Les services de confort aux ménages et familles Un plus faible potentiel de développement des services «de confort» au sud du département par rapport aux 5 dernières années, en raison d un développement récent de l offre privée et d une concurrence croissante La situation de crise économique fragilise en premier lieu les prestations de confort Le développement du CESU pré-financé serait une piste pour développer le recours à ces services, mais suppose des campagnes d information et de communication fortes 22
23 De nouveaux besoins identifiés Une récente étude du BIPE au niveau national identifie «des besoins auxquels il faut répondre» : Offre insuffisante sur la petit enfance Prestations «techniques» requérant des compétences ou un équipement spécialisé Services liés à la mobilité Besoin de sécurité et de sécurisation Le défi du progrès technique et l adaptation aux nouvelles technologies Réponse à l isolement et au déficit de lien social Réponse à la désertification des services publics en milieu rural Vers une demande de services à destination des adolescents? La demande des TPE s apparente à celle des ménages : informatique, nettoyage, sécurité, offres globales. 23
24 Et des services pour y répondre r susceptibles d émerger d ici d 2015 (BIPE) «services liés à la mobilité» «services liés à l évol. des modes de vie» : services facilitant l accès à l extérieur des publics fragiles prestations annexes au transport services facilitant la mobilité globale des personnes services offerts sur le lieu de travail (conciergerie d entreprise) services au domicile de gestion/simplification de la vie quotidienne services de bien être à domicile services liés à l usage des NTIC dans les cas de maladie vieillissement et perte d autonomie «services liés aux cycles de vie» services aux aidants familiaux services pour de nouvelles formes de collectivité (cohabitation d étudiants et seniors, cohabitation de seniors dans des appartements adaptés, notamment HLM ) services offerts en dehors du domicile dans de nouveaux lieux (centres d animation de jour pour personnes âgées ; crèches d entreprises ; crèche ou halte garderie dans les centres commerciaux, trains, lieux de spectacles ) «autres nouveaux services» Prestations techniques et services spécialisés liés à l usage de nouveaux matériaux et équipements dans l habitat (téléphonie, informatique, domotique, entretien de matériaux spécifiques) Réponse à la désertification des services publics en milieu rural (haltes garderies itinérantes, micro-crèches, livraison de colis postaux, prise en charge des démarches administratives, etc.) 24
25 2. Les enjeux identifiés - Le développement d des SAP - La professionnalisation et la formation 25
26 Des attentes exprimées es par les financeurs Un regroupement souhaité de structures Un besoin de renforcer la qualité de services, la professionnalisation des structures et des intervenants, l encadrement continuité de service 7j/7 et permanence téléphonique 24h/24, certification qualité, capacité à proposer rapidement un intervenant formé, à assurer la personne cliente de garder le même intervenant, à respecter les horaires et le planning prévu, à offrir un «standard» de qualité de service, etc.). Une volonté de renforcement du prestataire pour l intervention auprès de publics dépendants ou fragilisés et un recentrage souhaité des aides sur les publics les plus en difficulté Des contraintes de financement qui ont un effet pervers : Un recours complémentaire au mandataire pour des raisons financières, de la part de publics dépendants avec des plans d aides élevés Une diversification encouragée des services proposés 26
27 Le développement des SAP Les offres de services à développer Les leviers de développement Les freins à lever 27
28 Des besoins encore mal couverts à prendre en compte et des offres de service à renforcer Garde itinérante de nuit Garde d enfants en horaires atypiques et en complément d un mode de garde Aide temporaire aux personnes en sortie d hospitalisation Besoins liés à l isolement : portage de courses, portage de repas, transports et aides aux déplacements adaptés (ex. mini-bus pour les personnes dépendantes ) ; Animation spécifiques et de loisirs pour les personnes âgées. 28
29 Des leviers de développement d à trouver (1) Le CESU pré-financé reste peu distribué et mal connu. Le CESU bancaire est utilisé par les particuliers employeurs mais présente des risques importants par rapport aux obligations d employeurs que certains usagers ignorent le licenciement économique par exemple lorsque l usager décède ; le coût de la formation du salarié doit être avancé par l employeur ; un risque de décalage entre la qualification de l intervenant et les besoins lorsque la dépendance de l usager augmente. L information sur le CESU doit donc être développée (et certains «freins» levés) 29
30 Des leviers de développement d à trouver (2) De nouveaux services complémentaires à créer Le plan II de développement des SAP offre de nouvelles opportunités : aide aux aidants familiaux, audit éco-habitat, prévention des accidents de la vie courante au domicile, assistance informatique à distance Le BIPE identifie 5 facteurs d accélération du développement des SAP L offre de bouquets de service et d offres globales Le développement du prépaiement La banalisation du service avec l arrivée de nouveaux modes de distribution L acceptation du prix Variable selon le type de service, l urgence La gestion sous mode prestataire Préférence des financeurs pour ce mode pour l aide à domicile. Le mandataire a fait ses preuves seulement pour le soutien scolaire. 30
31 Des freins au développement des SAP Selon l étude du BIPE L acceptation par les bénéficiaires de la «valeur» (donc du juste prix) du service Le développement en milieu rural, plus lent L exigence, de la part des ménages, de prestations de services «n importe quand, à n importe quelle heure» Ne pas transformer le domicile en «hall de gare» Problèmes de professionnalisation, de recrutement et de stabilité des personnels Problème de concurrence et de frontière avec l artisanat Fiabilisation des technologies de l information (NTIC) pour les services liés aux nouvelles technologies Problèmes liés à la mono-activité (favorisée par le dispositif Borloo) Manque de visibilité des grandes marques Des marges de manœuvre qui restent limitées dans certaines zones, où la rentabilité des activités et le «modèle économique» restent à trouver? 31
32 La professionnalisation et la formation Le développement des qualifications La revalorisation des métiers Les besoins de formation Les besoins d accompagnement identifiés 32
33 Augmenter les niveaux de qualification Les niveaux de qualification des personnels restent dans l ensemble insuffisants Choix des OASP d employer du personnel qualifié seulement pour les services relevant de l agrément qualité. Des difficultés de recrutement qui semblent diminuer, sauf profils «pointus» : AVS, garde d enfants, encadrante, intervenante auprès de personne handicapée Certaines structures récemment créées ont encore peu de personnel qualifié Le coût du personnel qualifié augmente le coût du service Le niveau de l encadrement intermédiaire reste peu développé Mais il devient indispensable au fur et à mesure que la structure se développe. Cela demande également des compétences de coordination. Un enjeu spécifique : la formation des bénévoles Les associations d aide à domicile deviennent de véritables entreprises qu il faut pouvoir gérer... 33
34 Favoriser la reconnaissance de ce secteur et de ses intervenants La nécessité de pourvoir de «vrais emplois», audelà de postes «émiettés» et à temps très partiel Malgré la possibilité d un TP choisi par de nombreuses intervenantes Des initiatives intéressantes à valoriser et promouvoir, pour «dé-précariser» ces métiers Une problématique spécifique à prendre en compte : l isolement des intervenants à domicile, qui nécessite souvent des aptitudes de «travailleur indépendant» Des enjeux forts de revalorisation des métiers Comment améliorer la perception de l image des métiers de services aux personnes par la société (acteurs de l orientation, grand public, etc.) mais aussi de leur propre image par les salariés du secteur? Au-delà de l image, quelle reconnaissance salariale de la qualification et de la compétence? 34
35 Des besoins de formation (1) La formation reste peu mise en œuvre, hormis des formations très courtes et/ou internes à l OASP Problème de financement, de coût ou de manque à gagner (effet sur le chiffre d affaires). mais aussi d organisation, ou lié au manque de volonté des intervenantes pour se former La question spécifique de la formation des personnes employées en gré-à-gré ou en mandataire reste posée 35
36 Des besoins de formation (2) Les besoins de formation cités sont très divers : La maladie d Alzheimer et les personnes désorientées La gestion du deuil et l encadrement psychologique des intervenants Nutrition, préparation et équilibre des repas, diététique Techniques d entretien, ménage, repassage. Gestes et postures Le relationnel, le comportement avec la personne âgée Hygiène et sécurité 36
37 Des besoins d accompagnement (1) Dispositif d accompagnement Thetis de l ANSP avec l ANACT et les DLA pour le soutien à la modernisation des structures agréées 4 objectifs Organisation et gestion de la production de service Conditions d exercice des métiers Gestion des ressources humaines et GPEC Certification de service Des démarches qui démarraient pour la plupart au moment de l enquête 37
38 Des besoins d accompagnement (2) Des difficultés identifiées Un manque d encadrants intermédiaires L équilibre économique semble encore fragile, et les structures ne peuvent souvent pas s engager à recruter des personnes en CDI In fine, cela revient à laisser peser sur les salariés le risque et la précarité Persistance de nombreux emplois partagés entre de multiples employeurs, d emplois précaires, sous différents statuts (prestataire, mandataire, gré-à-gré) Cela va à l encontre de la volonté des financeurs de réduire le nombre d employeurs, et de la professionnalisation : «personne ne se sent responsable et personne n encourage les salarié(e)s à se former» 38
39 3. Premières res orientations et pistes de réflexionr 39
40 Axe 1- Accompagner le développement des services aux personnes Favoriser à court terme le développement de services peu présents aujourd hui (au regard de la demande) mais susciter aussi la réflexion autour des nouveaux services susceptibles d émerger à moyen terme (politique d offre) Favoriser la connaissance et l utilisation du CESU Soutenir le rapprochement des structures et la réduction de leur nombre pour favoriser leur professionnalisation et la qualité de service Informer sur les risques de vouloir créer son propre emploi : trop de créateurs unipersonnels Accompagner les créateurs en favorisant la connaissance des offres de service (conseil stratégique, commercial, développement) 40
41 Axe 2- Soutenir la professionnalisation des structures et de leurs salariés (1) Favoriser la professionnalisation et la formation des managers, en mobilisant les outils existants ACCRE ; Thetis / DLA (individuels ou collectifs). Développer la professionnalisation et le renforcement des niveaux d encadrement intermédiaire ou de proximité Favoriser la reconnaissance des qualifications des intervenants (notamment via la VAE, en ciblant une certification ou un diplôme) Mener des actions permettant de valoriser les métiers des services aux personnes ces métiers contribuent au maintien du lien social Sensibiliser les employeurs sur la nécessité d augmenter le temps de travail et d éviter la précarisation des emplois. 41
42 Axe 2- Soutenir la professionnalisation des structures et de leurs salariés (2) Favoriser l accès des salariés à la formation Engager une réflexion pour «lever les obstacles» à la formation (notamment pour salariés intervenant en mandataire ou gré-à-gré et les salariés à temps partiel) Informer les employeurs sur les mécanismes de financement et de prise en charge existants Etudier les possibilités d aides incitatives aux employeurs qui acceptent de former leurs salariés hors temps de travail Prendre en compte les besoins de formation complémentaire des personnes ayant engagé un parcours VAE et n ayant obtenu que des validations partielles 42
43 Axe 3- Favoriser la concertation et la mutualisation des bonnes pratiques Soutenir l information sur les réseaux existants (ex. CCI) Favoriser la diffusion et la mutualisation de bonnes pratiques (via le comité départemental des SAP) Elargir le comité départemental des SAP au-delà des acteurs institutionnels, aux entreprises et OASP, organisations représentatives des salariés Mettre en place une commission départementale du dialogue social sur les SAP qui pourrait intervenir sur 2 axes : professionnalisation et formation, conditions de travail & risques professionnels 43
44 Quelques «bonnes pratiques» identifiées (1) Le soutien et la solvabilisation de la demande : le développement du CESU Actions mises en œuvre par les émetteurs de CESU pour favoriser sa connaissance et sa diffusion auprès des «financeurs» (directions d entreprises, comités d entreprises) et des salariés Actions des associations de comités d entreprises pour «lever les freins» et favoriser l utilisation Actions plus générales d information en amont sur le CESU mais aussi plus généralement sur le développement des nouveaux SAP (Plan 2 de développement) 44
45 Quelques «bonnes pratiques» identifiées (2) Le regroupement ou la mutualisation de services ou de salariés Création de plateformes, groupements d employeurs Permet de mutualiser des fonctions support (ex. direction, comptabilité/gestion, etc) Favorise la complémentarité des offres de service (groupement de moyens), une meilleure réponse à la clientèle Répond aux attentes des financeurs (structuration de l offre) Permet une meilleure identification auprès des candidats potentiels en organisant des manifestations communes 45
46 Quelques «bonnes pratiques» identifiées (3) La professionnalisation et la formation Les accords de modulation du temps de travail : gérer les fluctuations ou la saisonnalité de l activité ; assurer aux salariés un niveau minimum garanti de temps de travail (et de ressources) Le développement de parcours d insertion et de qualification : intégration puis formation en alternance vers les métiers de l aide à domicile Le tutorat, pour favoriser l intégration des nouveaux salariés La VAE et l accès à la certification 46
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