RECOMMANDATIONS. Avril Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
|
|
- Angélique Bergeron
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RECOMMANDATIONS portant diffusion des algorithmes de validation biologique des tests de dépistage des maladies transmissibles applicables à la qualification biologique des organes, tissus et cellules Avril Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
2 PRÉAMBULE En 2003 un groupe de travail, constitué par des experts en microbiologie et spécialistes des analyses biologiques dans ce domaine, a été réuni sous l égide de l AFSSaPS. Ce groupe a finalisé un rapport sur la révision des règles de sécurité sanitaire applicables à la qualification biologique des organes, tissus et cellules. Les propositions des experts se sont appuyées sur les dispositions des deux textes suivants : - le décret n du 9 octobre 1997 relatif aux règles de sécurité sanitaire applicables à tout prélèvement d éléments ou toute collecte de produits du corps humain et à leur utilisation à des fins thérapeutiques, à l exception des gamètes, du sang et de ses composants et de leurs dérivés, ainsi que des réactifs, pris en application des articles L et L du code de la santé publique et modifiant ce code. - l arrêté du 24 juillet 1996 relatif à la nature des examens à réaliser pour la détection des marqueurs biologiques de l infection par les virus VIH-1 et VIH-2 et par le virus de l hépatite C avant toute utilisation thérapeutique chez l homme d éléments et produits du corps humain à des fins de greffe, à l exception des gamètes et du sang et des produits sanguins. Les réflexions de ce groupe ont conduit à : 1. réviser pour chaque infection transmissible les marqueurs à dépister (nature du marqueur, tests de dépistage...) ; 2. élaborer pour chaque marqueur d infection transmissible des algorithmes de validation biologique des tests, reflets de l interprétation des résultats des analyses biologiques. Concernant les cellules souches hématopoïétiques (CSH), il est rappelé que la qualification biologique de ces cellules est actuellement régie par des textes réglementaires différents (décret du 16 février 1995 pour les CSH issues de sang périphérique ou placentaire et décret du 9 octobre 1997 pour les CSH d origine médullaire). Ces textes réglementaires imposent des mesures différentes de qualification. Il est à noter que cette qualification pourra ultérieurement faire l objet d une harmonisation. 2 Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
3 1. Révision des marqueurs Les recommandations des experts sont résumées dans le tableau ci-après : Situation réglementée par les deux textes pré-cités* (tests à réaliser avant tout prélèvement) HIV Anticorps anti-hiv-1 et -2 par deux techniques ou réactifs différents dont au moins un réactif pour méthode immunoenzymatique mixte Antigène p24 Recommandations du groupe d Experts «marqueurs biologiques» Pas de modification Détection de l Antigène p24 ou de l ARN HIV-1 HCV HBV Anticorps anti-hcv par deux techniques ou réactifs différents Nature des marqueurs à rechercher non précisée Détection des anticorps anti-hcv par une seule technique Précision des marqueurs à rechercher : Antigène HBs Anticorps anti-hbc (IgG ou anticorps totaux) Anticorps anti-hbs (IgG) ALAT Dosage des ALAT Suppression de la recherche des ALAT en tant que marqueur virologique HTLV Anticorps anti-htlv-i ou I/II Pas de modification SYPHILIS Diagnostic sérologique de la syphilis Possibilité de faire le dépistage dans les heures ouvrables qui suivent le prélèvement. Technique TPHA quantitative recommandée. EBV** Anticorps anti-ebv Précision des marqueurs à rechercher : Détection soit des IgG ou anticorps totaux anti-vca soit des IgG ou anticorps totaux anti-ebv pour les mélanges d antigènes CMV** Anticorps anti-cmv Précision des marqueurs à rechercher : Détection des IgG ou des anticorps totaux anti-cmv TOXOPLASMOSE** Diagnostic sérologique de la toxoplasmose Possibilité de faire le dépistage dans les heures ouvrables qui suivent le prélèvement. PALUDISME** Dépistage non exigé dans le décret du 9 octobre 1997 *Réglementée par le décret de 1997 et l arrêté de Dépistage recommandé pour les organes et les CSH médullaires en fonction du risque de transmission **Pour les organes et cellules. - Concernant l HIV, l HCV, et les ALAT, l arrêté du 14 janvier 2004, qui modifie l arrêté du 24 juillet 1996, rend opposables les recommandations pré-citées. HIV En ce qui concerne la recherche de l infection par l HIV, le choix du marqueur précoce, c est-à-dire détection de l antigène p24 ou de l ARN de l HIV-1 par technique moléculaire unitaire, est laissé aux laboratoires d analyses de biologie médicale (LABM). Dans les deux cas, les techniques utilisées doivent être agréées par les autorités sanitaires du pays où elles sont réalisées. HCV La détection des anticorps anti-hcv peut être réalisée par une seule technique (test ELISA de dernière génération). 3 Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
4 ALAT Les alanine-aminotransférases (ALAT) ne sont plus considérées aujourd hui comme un marqueur spécifique et pertinent d infections virales et les experts recommandent de ne plus les retenir dans les critères virologiques de qualification des organes, tissus et cellules. - Concernant la syphilis et la toxoplasmose, la proposition de faire le dépistage dans les heures ouvrables qui suivent le prélèvement, n est pas à ce jour applicable. En effet, dans l attente de la modification du décret du 9 octobre 1997, les dispositions actuelles de ce texte demeurent en vigueur. -Concernant les marqueurs des autres infections transmissibles, les recommandations peuvent être appliquées dès à présent. 2. Algorithmes de validation biologique des tests (figurant en annexe) Ils ont été élaborés pour chaque marqueur d infection transmissible. Ces algorithmes aboutissent à des conclusions de trois ordres : résultat négatif, résultat positif, résultat indéterminé. Ils ont été élaborés en prenant en compte le contexte de l urgence pour la qualification des organes. Aussi, sur ces algorithmes n apparaissent pas les techniques de biologie moléculaire qui, dans l état actuel des techniques, ne sont pas réalisables en urgence, et ne peuvent donc pas aider à l interprétation des résultats. Toutefois, pour la qualification réalisée en dehors du contexte de l urgence, également appelée qualification «à froid», des tissus et des cellules, l intérêt de la recherche du génome de certains virus (HIV, HCV, HBV) par technique moléculaire a été souligné, et il est rappelé que le résultat de cette recherche peut apporter une information supplémentaire utile, notamment en cas de résultat indéterminé. Abréviations Ac Ag ARN ALAT CMV CSH EBV HBV HCV HIV HTLV : anticorps : antigène : acide ribonucléique : alanine aminotransférases (transaminases) : cytomégalovirus : cellules souches hématopoïétiques : virus Epstein-Barr : virus de l hépatite B : virus de l hépatite C : virus de l immunodéficience humaine : virus lymphotropique T humain (Human T Lymphotropic Virus) 4 Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
5 Annexe Algorithmes de validation biologique des tests 5 Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
6 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-hiv-1 et -2 dans le contexte de la qualification des organes, tissus ou cellules. Ac anti-hiv-1 et-2 R1 + R2 R1 et R2 négatifs Douteux (zone grise) Discordant R1 et R2 positifs Test répété R1 + R1 + R3 ou R2 + R2 + R3 Les 3 tests sont négatifs Résultats discordants ou 3 tests douteux Les 3 tests sont positifs Sérologie négative Sérologie «indéterminée» Sérologie positive R1 et R2 : réactifs initiaux R3 : 3 e réactif
7 Algorithme de validation biologique de la recherche de l antigène p24 dans le contexte de la qualification des organes, tissus ou cellules. Ag p24 (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif (*) Test répété (R1 + R1 ou R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Ag p24 négatif Ag p24 indéterminé Ag p24 positif confirmé L algorithme d interprétation doit être analysé en fonction de la valeur de la DO de l Ag p24 (réactivité initiale de l Ag p24). R1 : réactif initial R2 : 2e réactif (*) Un positif signifie d après la nomenclature qu il a été neutralisé
8 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-htlv dans le contexte de la qualification des organes, tissus ou cellules. Ac anti-htlv-i ou anti-htlv-i/-ii (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif Test répété (R1 + R1 ou R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Sérologie négative Sérologie «indéterminée» Sérologie positive R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif
9 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-hcv dans le contexte de la qualification des organes, tissus et cellules Ac anti-hcv (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif Test répété (R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Sérologie négative Sérologie indéterminée Sérologie positive R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif
10 Algorithme de validation biologique de la recherche de l antigène HBs dans le contexte de la qualification des organes, tissus ou cellules. AgHBs (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif Test répété (R1 + R1 ou R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Neutralisation Oui Non AgHBs négatif AgHBs indéterminé AgHBs positif confirmé AgHBs négatif R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif
11 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-hbc dans le contexte de la qualification des organes, tissus ou cellules. IgG ou Ac totaux anti-hbc (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif Test répété (R1 + R1 ou R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Ac anti-hbc négatif Ac anti-hbc indéterminé Ac anti-hbc positif R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif
12 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-hbs dans le contexte de la qualification des organes, tissus ou cellules. IgG anti-hbs (R1) Négatif Valeur limite Positif Ac anti-hbs négatif Ac anti-hbs indéterminé Ac anti-hbs positif R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif
13 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-ebv dans le contexte de la qualification des organes, tissus (*) ou cellules IgG ou Ac totaux anti-vca ou IgG ou Ac totaux anti-ebv (trousses utilisant des mélanges d antigènes) (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif Test répété (R1 + R1 ou R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Sérologie négative Sérologie indéterminée Sérologie positive R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif (*) : dépistage non obligatoire
14 Algorithme de validation biologique de la recherche des anticorps anti-cmv dans le contexte de la qualification des organes, tissus (*) ou cellules IgG ou Ac totaux anti-cmv (R1) Négatif Douteux (zone grise) Positif Test répété (R1 + R1 ou R1 + R2) Les 2 tests sont négatifs Résultats discordants ou 2 tests douteux Les 2 tests sont positifs Sérologie négative Sérologie indéterminée Sérologie positive R1 : réactif initial R2 : 2 e réactif (*) : dépistage non obligatoire
15 Algorithme de validation biologique de la recherche de l agent de la syphilis dans le contexte de la qualification des organes, tissus et cellules. TPHA quantitatif (ou technique équivalente) Valeur inférieure au seuil de détection Valeur supérieure ou égale au seuil de détection Sérologie négative Sérologie positive
16 TOXOPLASMOSE (I) (II) IgM négatives IgG négatives IgM négatives IgG positives Sérologie négative Infection ancienne (III) (IV) IgM positives IgG négatives IgM positives IgG positives Tout début d infection ou IgM non spécifiques (rare) (1) Infection récente évolutive ou infection ancienne avec IgM résiduelles (1) A interpréter selon les techniques utilisées, en répétant le prélèvement ou en utilisant une technique d avidité.
Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailMICROBIOLOGIE. 1. Strep A et Urine Slide. 2. Coloration de Gram 3. Virologie (HCV, HBV, HIV)
MICROBIOLOGIE 1. Strep A et Urine Slide (page 1) 2. Coloration de Gram (page 1) 3. Virologie (HCV, HBV, HIV) (page 1) 4. UKNEQAS Microbiology (page 2) 5. QCMD (page 4) Les programmes 1, 2 et 3 sont organisés
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailAMIFORM PRÉLÈVEMENTS D ORGANES ET DE TISSUS. Docteur Renaud Gruat
AMIFORM PRÉLÈVEMENTS D ORGANES ET DE TISSUS Docteur Renaud Gruat Activité de greffe en France Origine des greffons Donneur Vivant Organes «doubles» Rein/ Foie/Pm Tissus Résidus op Peau/ os Cellules souches
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailUnité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer
PO 3.2.2 version n 1 page1/5 Unité d onco-hématologie pédiatrique Procédure de recueil de consentements du donneur Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer Date d application : 1/12/2007
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailStratégie de dépistage des Hépatites virales B et C Apport des tests rapides. Dr. LAGATHU Gisèle Laboratoire de Virologie CHU Pontchaillou
Stratégie de dépistage des Hépatites virales B et C Apport des tests rapides Dr. LAGATHU Gisèle Laboratoire de Virologie CHU Pontchaillou Journée du 13 décembre 2012 Virus de l Hépatite B Historique Blumberg
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailLA RETRAITE Loi Madelin (R94)
LA RETRAITE Loi Madelin (R94) Type de contrat Age de l assuré Garanties en cas de vie Rente viagère différée (destinée aux professions non salariées non agricoles) L âge de l assuré, déterminé en nombre
Plus en détailLA CHAINE DU PRELEVEMENT
LA CHAINE DU PRELEVEMENT et de la greffe Prélèvements et greffes Une volonté collective de qualité La pratique des prélèvements et des greffes représente pour un établissement de santé une mission exigeante.
Plus en détailRECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE. Stratégies de dépistage biologique des hépatites virales B et C. Argumentaire
RECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE Stratégies de biologique des hépatites virales B et C Argumentaire Mars 2011 L argumentaire scientifique de cette évaluation en santé publique est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Modalités de réalisation des tests de dépistage CONCLUSIONS Octobre 2008 1 Les recommandations et synthèse de cette évaluation
Plus en détail[ PRÉVOYANCE] PARTICULIERS. empo senior. L assurance décès pour les seniors. L assurance n est plus ce qu elle était.
[ PRÉVOYANCE] PARTICULIERS empo senior L assurance décès pour les seniors L assurance n est plus ce qu elle était. [ TEMPO SENIOR APRIL ] Tempo Senior APRIL, une protection pour toute la famille Il est
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailempo senior L assurance décès pour les seniors
empo senior L assurance décès pour les seniors Tempo Senior APRIL, une protection pour toute la famille Il est important d assurer l avenir de vos proches en cas de décès et de préserver votre patrimoine.
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailMise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»
Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailAgeas Sérénité Manager
Ageas Sérénité Manager Adaptez votre contrat de prévoyance au développement de votre entreprise Assurance Homme clé I Protection Associés I Couverture d emprunt I Prévoyance familiale Une solution simple,
Plus en détailComparaison du kit Diapro pour la détermination des anticorps anti- HDV totaux avec le kit Murex utilisé en routine
Comparaison du kit Diapro pour la détermination des anticorps anti- HDV totaux avec le kit Murex utilisé en routine Aurélie Comand Ecole Supérieure de la Santé TAB 50 ème Service d immunologie et allergie
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailLES 10 ANS DU REGISTRE FRANCE GREFFE DE MOELLE A L AGENCE DE LA BIOMEDECINE
LES 10 ANS DU REGISTRE FRANCE GREFFE DE MOELLE A L AGENCE DE LA BIOMEDECINE Dr Evelyne MARRY Directrice DIRECTION PRELEVEMENT GREFFE - CSH Agence de la biomédecine 1 LE REGISTRE FRANCE GREFFE DE MOELLE
Plus en détailLes analyses virologiques pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique de l infection au VHC
Les analyses virologiques pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique de l infection au VHC Donald Murphy, PhD Laboratoire de santé publique du Québec PNMVS, Montréal, 15 octobre 2013 Plan de
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailLaboratoire de Touraine Page 1
FDK LVD/BIO/SER/943 Recherche d'anticorps contre le Syndrome Buvard(s) Elisa Indirecte Kit Monocupule Idexx FAC LVD/BIO/SER/951 Recherche d'anticorps totaux contre la Maladie Buvard(s) Elisa Indirecte
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailIndication du test. Contexte clinique. LDBIO-TOXO II IgG 0459 CONFIRMATION NOTICE D'UTILISATION
LDBIO-TOXO II IgG 0459 CONFIRMATION #TOXO II - 24G (24 tests) #TOXO II - 12G (12 tests) #TOXO II - 96G (96 tests) Indication du test 1 Technique d'immunoblot pour usage diagnostique in vitro NOTICE D'UTILISATION
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailPour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer
H A B I T A T Assurance de Prêt ( AdP ) Solution Risques spéciaux Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer Vos Garanties - 2005/2006 Une tarification sur mesure pour : les maladies aggravées,
Plus en détailBanque de Sang Placentaire Ce qu on dit qui est possible! Ce qu on dit qui est faux!
Banque de Sang Placentaire Ce qu on dit qui est possible! Ce qu on dit qui est faux! Dr Marion Baudard Directeur Médical, Coordinateur des Sites de Collecte Banque de Sang Placentaire du CHRU de Montpellier
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailMASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE
MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Stratégies et dispositif de dépistage ARGUMENTAIRE Octobre 2009 Document non soumis à relecture typographique Avec la participation
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailAltération des tests hépatiques: attitude diagnostique et prise en charge
Altération des tests hépatiques: attitude diagnostique et prise en charge Prof Christophe Moreno Service de Gastroentérologie et Hépatopancréatologie Hôpital Erasme Contacts: Christophe.moreno@erasme.ulb.ac.be
Plus en détailHEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES
HEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES INFORMATIONS Pré-requis : Durée de l'item : Auteur(s) : Professeur Louis Buscail (mail : ) Objectifs : RAPPEL : LE DIAGNOSTIC D HEPATITE CHRONIQUE La fréquence de
Plus en détailpoints Les actes de biologie médicale : analyse des dépenses en 2008 et 2009
d é c e m b r e 2 0 1 0 - n u m é r o 3 3 points de r e p e r e Le suivi du codage des actes de biologie médicale, qui permet de connaître la structure des dépenses de biologie pour les actes réalisés
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Anticorps anti-tissus non spécifiques d organe (anticorps anti-mitochondries de type M2) Immuno-pathologie 04ATI2 Janvier 2005
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détail