ENTREPRENEURIAT 3.15

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1 Soutenir une éducation entrepreneuriale INVESTIR SUR LES PROCHAINS ENTREPRENEURS ACCROITRE LE PASSAGE A L ACTE AXE 1 AXE 2 AXE 3 ENTREPRENEURIAT axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Contributions de l Agence de Stimulation Économique

2 2 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes SOMMAIRE

3 3 PARTIE 1 BILAN 6 PARTIE 2 ENTREPRENEURIAT Un programme enthousiasmant 22 AXE 1 Soutenir une éducation entrepreneuriale 25 LEVIER 1 : SENSIBILISER LES ECOLES A L ESPRIT D ENTREPRENDRE 26 LEVIER 2 : IMPLIQUER LES ENSEIGNANTS 28 LEVIER 3 : PREPARER LES FUTURS ENSEIGNANTS 30 LEVIER 4 : ASSOCIER LE MONDE DE L ENTREPRISE 31 LEVIER 5 : VEILLER A UN CONTACT DE TOUT JEUNE AVEC L ENTREPRENEURIAT 32 AXE 2 INVESTIR SUR LES PROCHAINS ENTREPRENEURS 35 LEVIER 6 : SOUTENIR DES «ECOLES ENTREPRENEURIALES» 36 LEVIER 7 : APPROFONDIR LES PROGRAMMES ENTREPRENEURIAUX 38 LEVIER 8 : CHALLENGER LES JEUNES 39 LEVIER 9 : TRAVAILLER LA CONFIANCE EN SOI 40 LEVIER 10 : ASSOCIER ET IMPLIQUER L ECOSYSTEME ENTREPRENEURIAL 41 AXE 3 ACCROITRE LE PASSAGE A L ACTE 43 LEVIER 11 : INCUBER LES PROJETS REELS EN MILIEU ACADEMIQUE 44 LEVIER 12 : ADAPTER LE SUPPORT AUX JEUNES ENTREPRENEURS 45 LEVIER 13 : TUTORER LES JEUNES ENTREPRENEURS 46 LEVIER 14 : METTRE EN EVIDENCE LES SUCCES ENTREPRENEURIAUX 47 LEVIER 15 : ENTRETENIR LA FLAMME ENTREPRENEURIALE 48 PARTIE 3 ACTIONS TRANSVERSALES, DE FACILITATION ET DE CONSOLIDATION : UNE CONDITION DE REUSSITE DES 3 AXES. 51

4 4 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Préface entrepreneuriat culture flamme sensibilisation Agents de sensibilisation à l Esprit d Entreprendre enquêtes L Agence de Stimulation Economique (ASE) est l institution publique wallonne de référence en matière d entrepreneuriat et de croissance des entreprises. Elle structure dans ce cadre une offre adéquate en matière d accompagnement à la création et à la croissance des entreprises. En amont, elle travaille à une plus grande culture entrepreneuriale 1, notamment de la population des étudiants et des jeunes. Elle intervient pour cela en collaboration avec le monde de l enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles afin de valoriser le monde de l entreprise, de développer les attitudes et compétences entrepreneuriales, quels que soit l orientation et le projet professionnel du jeune. Elle intervient également, directement ou indirectement, auprès de la population en fin de parcours académique et en début de vie professionnelle pour maintenir sa flamme entrepreneuriale, assurer la détection de projets et l orientation de ceux-ci. Dans le cadre de ses compétences initiales, l Agence de Stimulation Economique (ASE) œuvre depuis 2007 à la sensibilisation à l Esprit d Entreprendre et à la promotion de la création d activités, en amont de l accompagnement organisé via l Animation économique et ses opérateurs agréés. Ces six années de travail ont été denses en matière d innovation, d ingénierie de projets et de partenariats : dès 2007 avec la définition de la fonction des Agents de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre (ASEE), dans le cadre de la collaboration avec FREE 2, jusqu au lancement du premier Coentrepreneurs Weekend 3. Tous ces éléments sont repris dans la première partie de ce document, consacrée au bilan. Les deux enquêtes évaluatives 4, concernant d une part les professionnels de l enseignement et d autre part, les jeunes de 17 à 30 ans, fournissent des signaux favorables sur la vision positive développée globalement par ces publics vis-à-vis de l entrepreneuriat. Ces signaux favorables sont d ailleurs indirectement confirmés par l évolution du taux d activité entrepreneuriale 5 calculé dans le cadre du Global Entrepreneurship Monitor et par l appréciation régulièrement exprimée par nos interlocuteurs étrangers considérant la Wallonie comme une des régions inspirantes en matière de stratégie entrepreneuriale. Le dernier à s exprimer de la sorte fut ainsi le Français Philippe Hayat 6. 1 Dont voici une définition parmi d autres disponibles : «La culture entrepreneuriale est l ensemble des valeurs et des convictions partagées, des savoir-faire, des savoir-être et des savoir-agir qui orientent plus 9 ou moins consciemment le comportement des personnes, des institutions et de la population à l égard de l entrepreneuriat» http :// ou http :// 2 http :// 3 http ://weekend.coentrepreneurs.be 4 Ces deux enquêtes sont commentées plus loin : voir point «f» de l introduction 5 Le «TEA» : «Total Entrepreneurial Activity» est la somme de ces deux composantes : entreprises émergentes et entreprises nouvelles - http :// 6 http ://fr.wikipedia.org/wiki/philippe_hayat 7 http ://pro.anneedescompetences.be/themes/lesprit-dentreprendre

5 Partie 31 5 Evidemment, les deux enquêtes indiquent des espaces de progression. C est le cas de la lecture des nouveaux programmes stratégiques mis en place à l étranger et des recommandations européennes. C est également le reflet du séminaire d experts organisé dans le cadre de l année des compétences 7, en juin 2013, consacré à l Esprit d Entreprendre ou tout récemment tout dernier input de ce document - des universités d été de l UCM le 28 août sur l entrepreneuriat. Le présent document expose ainsi, dans sa deuxième partie, la vision stratégique que l ASE future AEI (Agence pour l Entreprise et l Innovation) appliquera au cours des prochaines années avec 2020 en point de mire. Mais il s agira également, au cours de ces années, d intégrer notre vision stratégique dans le prochain cadre wallon - Plan Marshall / Horizon et européen ; dans le respect des balises permanentes caractérisant le travail de l Agence avec ses partenaires : rationalisation, spécialisation métier, professionnalisation. Tout ceci dans un seul but : faire émerger des générations entreprenantes. région intraprenante progression vision stratégique générations entreprenantes >>> Ce document est disponible, in extenso, sur le site

6 6 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes PARTIE 1 BILAN

7 Partie 1 7 INTRODUCTION Inscription dans le temps stratégique wallon et européen En Wallonie, le décret-programme du 23/2/2006 prévoit dans les missions de l ASE de «concevoir, proposer et mettre en œuvre un programme pluriannuel de sensibilisation à l Esprit d Entreprendre et à la création d entreprises». Entre 2007 et 2013, cette mission s est concrétisée selon deux axes : d une part un plan stratégique d envergure destiné à sensibiliser le monde de l enseignement à l Esprit d Entreprendre, d autre part le soutien à des actions ciblées en matière de «promotion de la création d activités», assurant une charnière entre la «sensibilisation à la création d entreprise» et l «accompagnement à la création», ce dernier domaine relevant de l Animation Économique, dont la coordination est l activité centrale de l Agence. En 2013, l ASE clôture sa 6ème année de travail en matière d Esprit d Entreprendre dans le monde de l enseignement et en matière de promotion de la création d activité. Comme annoncé aux partenaires dès janvier 2012, une nouvelle stratégie doit dès lors se mettre en place, dans le cadre de laquelle l Agence (ASE puis AEI) réaffirme son positionnement sur la large thématique de l entrepreneuriat ; réarticule les différents dispositifs développés et soutenus au fil de ces 6 années ; s ouvre à des innovations. Cette stratégie permet à l Agence de s inscrire dans trois contextes temporels : la continuité des bonnes pratiques dégagées au fil des six premières années, la prise en compte des documents stratégiques actuels : Entrepreneuriat , Plan Marshall 2.vert, programmation des Fonds structurels européens, l anticipation des stratégies qui succèderont en Wallonie : Horizon 2022 et programmation des Fonds structurels européens.

8 8 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Une ligne du temps en 7 ans En mars 2007, l Agence lançait, dans le cadre du premier Plan Marshall, son Programme Wallon Esprit d Entreprendre : 15 leviers en 3 axes pour sensibiliser le monde de l enseignement à l Esprit d Entreprendre. Le plan s est développé en 2 phases triennales : la première mettant en évidence la sensibilisation à l Esprit d Entreprendre, la seconde focalisant sur le développement des attitudes entrepreneuriales octobre : lancement du premier «appel à projets innovants» vers les établissements d enseignement : une centaine de projets déposés printemps : intégration d 1,2,3,GO! comme parcours interrégional de plan d affaires dans le portefeuille des actions de promotion de la création d activités fin : lancement d un appel à propositions complémentaires vers les opérateurs : plusieurs actions nouvelles comme Ma commune et La mallette créative janvier : engagement d un agent germanophone dans le cadre d une collaboration entre l Agence et la Wirtschaftsförderungsgesellschaft Ostbelgiens (WFG) dans le contexte de la coopération entre la Wallonie et la Communauté germanophone janvier : cahier 4 de la collection de l Agence, sur le thème de l Esprit d Entreprendre mi-2009 : obtention du financement FSE 9 pour 2009 et années suivantes mai : présentation du concept des Agents de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre à Prague en finale du Prix européen de l esprit d entreprise octobre : organisation des premiers Ateliers de l Esprit d Entreprendre en collaboration avec l IFAPME : 7 opérations seront menées couvrant toute la Wallonie Campagne «tousdesas on a tous des as en nous» qui va soutenir la communication jusque 2013 fin 2009 : réflexion sur la pédagogie entrepreneuriale, menant en septembre 2010 à l édition du premier outil Petites leçons d enthousiasme et de créativité janvier : succédant à un outil interne : pilotee, l outil www. pilotee.be apparaît. Il permet depuis l encodage par les ASEE et les opérateurs de collecter l ensemble des réalisations entrepreneuriales des établissements d enseignement wallons premier semestre : mise à jour stratégique au bout des 3 premières années : pendant les trois prochaines années nous mettons en évidence nos 6 attitudes entrepreneuriales début : lancement d un marché public pour 4 outils pédagogiques : Kid attitude, Planète Entreprendre, la Mallette créative et Créaloie. Ils apparaîtront progressivement pour accompagner les enseignants septembre : détachement de 2 enseignants supplémentaires prenant en charge la stratégie de développement de l entrepreneuriat dans les universités et l acculturation entrepreneuriale des futurs enseignants

9 Partie 1 9 La stratégie mise en œuvre durant la première phase avait été définie avec FREE. Le démarrage effectif s est déroulé le 1er septembre 2007 avec le lancement des actions labellisées sélectionnées et la prise de fonction des premiers Agents de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre. Les 6 années de travail ont ensuite connu les moments-clefs suivants : septembre : organisation du colloque «Esprit d Entreprendre ça se discute» à Liège, qui sera suivie de la sortie du cahier 6 de la collection de l Agence automne : lancement de la branche belge du Réseau européen des Ambassadrices de l Esprit d Entreprise sous le leadership de Diane (UCM) novembre : exemplaires d Antoine et Laura créent leur entreprise dans le secondaire automne : une série d animations sur la «transmission familiale» en collaboration avec les Agents-Relais Transmission novembre : exemplaires de Kid attitude dans le primaire début : conventionnement de 3 ans avec le Réseau Entreprendre Wallonie printemps : enquête sur la vision des professionnels de l enseignement septembre : appel à projets ouvrant une catégorie PEPS cherchant à développer des nouveautés chez les opérateurs et auprès des établissements automne : sortie de 50 minutes pour entreprendre conçu avec le CAF novembre : lancement du FORUM ESPRIT D ENTREPRENDRE avril : première journée d acculturation pour les futurs enseignants : environ 500 étudiants participeront à diverses initiatives en 2012 et 2013 avril : premier soutien à Mind and Market juin : remise des diplômes sur le thème de l Esprit d Entreprendre à Warocqué été : sélection de 4 projets d établissements d enseignement dans l appel à projets Creative people de Creative Wallonia automne : lancement de l appel à projet pilote «Ecole entrepreneuriale» automne : deux Startup weekend, à Liège et Mons, avec le MIC, LME, HEC-ULg et une série de partenaires : 200 participants octobre : colloque à Namur La construction ne fera pas l économie du développement durable - le développement durable construit l économie, en clôture de deux ans de programme Esprit d Entreprendre et Développement durable dans le cadre de l Alliance Emploi Environnement : 2500 étudiants ingénieurs, architectes et techniciens de la construction touchés automne : deuxième saison de Startech, incubateur étudiant, avec WSL automne : rentrée entrepreneuriale à l UCL automne : Euroskills à Spa avril : sortie de Entreprise : nom féminin singulier, un outil de promotion de l entrepreneuriat féminin conçu par Diane/ UCM pour le monde de l enseignement, dans le cadre des 7 ème Ateliers de l Esprit d Entreprendre avril : première utilisation de Libérez la création!!!, un outil multimédia de promotion de l entrepreneuriat acquis simultanément avec l IFAPME printemps : enquête sur la vision des étudiants mai : intégration d une catégorie «jeune entrepreneur» dans le Grand Prix Wallon de l Entrepreneuriat.

10 10 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Un programme concret Le dispositif opérationnel tel que l Agence l a mis en place de manière progressive repose sur les éléments suivants : Une équipe opérationnelle L équipe opérationnelle de l Agence est basée sur deux types de profils : Des enseignants détachés comme Agents de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre 8 pour promouvoir le programme auprès des établissements et suivre ceux-ci dans la mise en œuvre des diverses propositions, pour accompagner également les acteurs et thématiques relevant de l éducation entrepreneuriale, Des «chargés de projet» 9, accompagnant les actions orientées création d activités. Notons que depuis janvier 2009, l Agence inclut dans l équipe un «agent germanophone», dans le cadre de la collaboration avec la WFG. Un portefeuille d «actions labellisées transversales» L Agence a sélectionné : Primo, au niveau de l éducation à l entrepreneuriat, dans un esprit de rationalisation et de spécialisation, 10 actions transversales (accessibles sur l ensemble de la Wallonie) auprès de 2 opérateurs majeurs (LES JEUNES ENTREPRISES et ICHEC PME) et de quelques autres opérateurs actifs dans un champ entrepreneurial plus large. Ces actions se répartissent de la manière suivante : 2 dans le primaire, 5 dans le secondaire, 3 dans le supérieur (l une étant également dans le secondaire). Secundo, au niveau de la promotion de la création d activité, 6 actions : 2 dans le domaine du «tutorat entrepreneurial» 10, 2 actions de promotion de l entrepreneuriat féminin, 2 actions visant le conseil rapide sur des projets plus ou moins aboutis. Des actions complémentaires motivées par l exception territoriale L Agence soutient certaines actions locales lorsque la situation le justifie : En Hainaut central et occidental, dans un contexte de convergence d actions autour de LME, A Namur, avec le BEP, en fonction de priorités annuelles, Dans la Province du Luxembourg, en fonction de priorités annuelles. Un appel à projet annuel, ouvert aux établissements eux-mêmes Dès 2007, l Agence a permis aux établissements d enseignement eux-mêmes de soumettre à l Agence leur propre vision de l entrepreneuriat, celle-ci devant évidemment compléter l utilisation du portefeuille d actions des opérateurs et devant également être accompagnée par les ASEE. 8 > 5 ½ ETP en septembre > 1 personne en septembre L Agence préconise l expression «tutorat entrepreneurial» pour les actions d accompagnement par les entrepreneurs auprès des porteurs de projets, créateurs et très jeunes entreprises. L expression «mentorat entrepreneurial» vise plutôt du point de vue de l Agence une formule associant des entrepreneurs dans une étape ultérieure, dans la croissance

11 Partie 1 11 Un appel à projet annuel est ainsi systématiquement organisé, ouvrant diverses catégories en fonction des priorités définies pour l année académique concernée. Le dernier appel ( ) mettait l accent sur les écoles entrepreneuriales. Des ateliers de sensibilisation des enseignants Dès 2009, 7 éditions des Ateliers de l Esprit d Entreprendre ont été organisés alternativement en Hainaut et dans le reste de la Wallonie, en partenariat avec l IFAPME, permettant de poursuivre la sensibilisation mais également progressivement de présenter les outils conçus par l Agence et tester des idées nouvelles auprès des enseignants. Des outils pédagogiques autonomisant les enseignants Les années 2009 et 2010 ont été consacrées à un travail approfondi sur le plan de l adaptation et de la production d une gamme d outils pédagogiques, en collaboration avec le CAF, le BIEF et Héraclès. Actuellement 8 outils pédagogiques sont disponibles, en version papier et/ou électronique. TITRE CONTENU CIBLE «petites leçons d enthousiasme et de créativité» «50 minutes pour entreprendre» «KID ATTITUDE» «Antoine et Laura créent leur entreprise» «CREALOIE» «PLANETE ENTREPRENDRE» «Entreprise, nom féminin singulier PLURIELLES» «Libérez la création!!!» Les fondements de la «pédagogie entrepreneuriale», la réalisation d un «projet entrepreneurial», son évaluation Comment intégrer la pédagogie entrepreneuriale dans divers cours (langues, science, etc) Les 6 attitudes entrepreneuriales pour le monde de l école primaire Le parcours de la création d une entreprise Jeu de l oie sur le parcours de la création d entreprise mettant en évidence les attitudes, les opérateurs et les étapes formelles de la création Jeu «des 7 familles» sur le parcours d un nombre d alters entrepreneurs, ici et ailleurs stimuler la réflexion sur le «genre» dans le cadre de la vie quotidienne et la conduite d une entreprise, stimuler la réflexion sur l Esprit d Entreprendre Tout enseignant et tout formateur Enseignants du secondaire Enseignants du primaire Enseignants de milieu/ fin de secondaire ; enseignants de l alternance ; profs de sc éco Enseignants de fin de secondaire et du supérieur ; enseignants de l alternance ; profs de sc éco Enseignants du secondaire Enseignants de fin de secondaire et du supérieur ; enseignants de l alternance ; profs de sc éco Enseignants de fin de secondaire et du supérieur ; enseignants de l alternance ; profs de sc éco ; associations étudiantes

12 12 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Des activités d acculturation pour les futurs enseignants Introduite dans le cadre du Plan Marshall 2.vert, l acculturation à l entrepreneuriat des futurs enseignants a permis à l Agence d organiser diverses actions en 2011, 2012 et 2013 essentiellement avec les catégories pédagogiques des HE. Des partenariats directs ou indirects avec 4 institutions universitaires Donnant ainsi suite à une recommandation de son Comité d accompagnement en fin de premier Plan Marshall, recommandation reprise également dans le Small Business Act wallon, l Agence a cherché à développer un cadre de collaboration avec chacune des universités en Wallonie. La collaboration existe à ce stade avec l Université de Liège (via HEC-ULG) et avec l UCL (via la Louvain School of Management). Une collaboration différente a été mise en place à Mons via LME pour développer le projet «UMONS Entrepreneur 3.0». Les contacts ont été développés ces derniers mois avec l Université de Namur pour parvenir à une situation similaire. Des partenariats avec les associations étudiantes, Clubs et Juniors L Agence a soutenu depuis 2007 les associations étudiantes. D abord les Clubs d Etudiants Entrepreneurs puis les Juniors Entreprises, notamment en créant une catégorie dédiée dans le cadre de l appel à projet annuel. En pratique, toutes les 18 associations étudiantes (Clubs d Etudiants Entrepreneurs, Junior Entreprises) ont eu des contacts avec l Agence. Des partenariats ponctuels et des réalisations pilotes Enfin, l Agence soutient régulièrement des initiatives pilotes, ponctuelles ou «extraordinaires», via le temps de son personnel ou via des budgets. Citons dans ce cadre : la promotion de la transmission d entreprise familiale, les stages d acculturation à l entreprise pour les étudiants du secondaire, Euroskills à Spa, le développement durable et l Esprit d Entreprendre dans les métiers impactés par l Alliance emploi-environnement, Métier 3D en Wallonie picarde, Des actions périphériques comme NFTE, La formation approfondie en entrepreneuriat des enseignants des catégories techniques des HE, Les projets de «cités des métiers» à Liège et Charleroi, etc

13 Partie 1 13 Bilan quantitatif Les résultats quantitatifs sont les suivants, en fonction des 3 cibles principales : Les étudiants, Les enseignants, Les établissements d enseignement. Etudiants sensibilisés : Par les actions des opérateurs : étudiants Les 17 opérateurs ayant mené au fil des 6 années 21 actions (transversales ou locales) ont touché près de étudiants : Tenant compte du budget global investi, de l ordre de 5 millions d euros sur 6 ans, l investissement moyen est de 33 euros par étudiant. La répartition par niveau d enseignement est la suivante : étudiants enseignants 93% d'établissements PRIMAIRE SECONDAIRE SUPERIEUR En % - SUR LES 6 ANS - EN % des actions des opérateurs sont disponibles sur tout le territoire wallon. Par les bourses pour «projets entrepreneuriaux» : étudiants En 6 éditions, 243 projets ont été sélectionnés et ont concernés étudiants. Tenant compte du budget global investi, de l ordre de euros sur 6 ans, l investissement moyen est de 32 euros par étudiant.

14 14 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Par les autres programmes : environ étudiants Certains étudiants sont touchés par de plus petites actions, ponctuelles ou plus récentes : La sensibilisation des étudiants du supérieur aux enjeux du développement durable en liaison avec l Esprit d Entreprendre (Alliance Emploi Environnement) : étudiants, les «stages d acculturation pour futurs diplômés de l enseignement pédagogique» : +/- 300 étudiants, les étudiants dans les programmes entrepreneuriaux universitaires à Mons, Liège et Louvainla-Neuve : +/- 300, les étudiants dans les clubs et juniors entreprises (une centaine), les étudiants touchés par les actions ponctuelles, etc. Enseignants touchés : professionnels sont encodés dans PILOTEE rencontrés par les Agents de Sensibilisation, ayant réalisé un «projet entrepreneurial» subventionné par l Agence, ayant mené une action par un opérateur, ayant suivi une formation enseignants ont participé à des journées de sensibilisation ou de formation 1053 ont participé à des formations en créativité par HERACLES, +/- 850 ont participé à une des 7 éditions des Ateliers de l Esprit d Entreprendre, D autres ont participé à des formations plus pointues. Etablissements touchés : 93 % 93 % des 653 établissements cibles 11 (secondaire/supérieur) ont eu un contact avec les Agents de sensibilisation (605 sur 653) 63 % ont réalisé à un moment ou l autre au moins une action d un opérateur ou un projet entrepreneurial avec bourse ASE (414 sur 653) 354 des 1479 écoles primaires ont participé ces 3 dernières années à une action proposée par les opérateurs partenaires établissements secondaires & CEFA catégories des HE, ESA, facultés/écoles universitaires 9

15 Partie 1 15 Bilan qualitatif Parmi les résultats qualitatifs, notons les suivants : Développement d un esprit de collaboration global Développement du FORUM ESPRIT D ENTREPRENDRE créant une communauté d acteurs et permettant l échange, Organisation de conventions pluriannuelles avec les opérateurs principaux permettant de planifier leur fonctionnement, Utilisation d un outil commun pour encoder les résultats (Pilotee.be), Intégration des opérateurs dans les Jurys de sélection de projets et dans le FORUM, Développement de projets communs entre opérateurs, etc. Ingénierie de projet «by_ase» : Le concept d «Agent de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre» lui-même considérés dès 2009 par la Commission européenne comme une bonne pratique, La méthodologie des «projets entrepreneuriaux», Les outils pédagogiques (8 maintenant), Les Ateliers de l Esprit d Entreprendre avec l IFAPME, La réalisation d un programme spécifique autour de l Esprit d Entreprendre et du Développement Durable dans le cadre de l Alliance Emploi Environnement, Un modèle à trois niveaux avec les Universités, utilisable aussi dans des Hautes Ecoles : cours de sensibilisation en bac, cours de création en master/postmaster, accompagnement à la création pour les projets réels. Des avancées sur le sujet de la formation des futurs enseignants, Des discussions sur des collaborations sur la thématique des métiers techniques, etc. Ingénierie de projet chez les opérateurs : Créativité chez HERACLES, Innovation Camp chez Les Jeunes Entreprises, Explorado chez ICHEC PME, J entreprends@school chez Groupe One, etc.

16 16 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Des études pour évaluer et améliorer Deux enquêtes ont été réalisées. Enquête 12 auprès des jeunes de 17 à 30 ans Le système éducatif sensibilise peu à l esprit d entreprendre Seulement 4 sur 10 en ont entendu parler durant leurs études Les diplômés en sciences de gestion et sciences appliquées sont plus sensibilisés que les autres L esprit d entreprendre devrait être stimulé durant le secondaire. Il apparaît que 4 personnes sur 10 ont PLUS entendu parler d Esprit d Entreprendre HORS de l enseignement, ce qui permet de conclure que 80% des jeunes ont déjà entendu parler d Esprit d Entreprendre. C est positif. Le système éducatif a abordé l Esprit d Entreprendre chez 67% des répondants de la filière «sciences de gestion» et 60% de la filière «sciences appliquées» ce qui est positif pour ces filières porteuses. In fine, seulement 4% des répondants en «sciences de gestion» et 12% des diplômes master n ont JAMAIS entendu parler d Esprit d Entreprendre ; la marge de progression apparaît faible dans ces filières, le travail pouvant être davantage orienté vers des aspects plus pointus liés à la création d activité réelle. 21% des répondants estiment qu il faut démarrer en primaire, contre 55% en secondaire. Cet élément n apparaît pas en phase avec l enquête menée vers les enseignants, ce qui pousse à préciser ce qui devrait être fait au niveau primaire. La sensibilisation à l entrepreneuriat est trop théorique Ceux qui ont été sensibilisés l ont été principalement lors de cours théoriques donnés par un enseignant Les attentes pour des activités pratiques et des rencontres avec des professionnels sont plébiscitées. 12 Éléments techniques clefs de l enquête : L enquête confiée à IPSOS couvrait 2 thématiques : l éducation à l entrepreneuriat et la création d activité. Plus précisément, il s agissait d interroger des jeunes de 17 à 9 30 ans, étudiants et diplômés, sur : la notion d Esprit d Entreprendre, la sensibilisation à cette notion durant leurs études/formations, l utilité d intégrer cours/projets/rencontres dans les cours, les motivations et les freins à la création d activité, la perception des aides à la création d entreprises, etc. L enquête a été réalisée au premier trimestre 2013 selon les méthodes suivantes : 531 personnes via questionnaire «on-line» (265 étudiants et 266 diplômés) 104 autres personnes via des entretiens «face to face» permettant d approfondir certaines questions (46 étudiants et 58 diplômés). Les critères de comparaison des sous-échantillons ont été définis comme suit : Genre, Étudiant versus diplômé, Liège et Hainaut versus Brabant wallon, Namur et Luxembourg, Filière : «gestion» / «sciences appliquées» / autres, Diplôme le plus élevé : secondaire/bac/master/autre.

17 Partie 1 17 La première source est effectivement l approche théorique donnée par un enseignant pour 56% des répondants. Ceci signifie que les enseignants abordent l Esprit d Entreprendre dans leurs cours. C est en soi positif, résultat notamment du travail de l Agence avec ses Agents de Sensibilisation depuis 6 ans. L efficacité de ces cours théoriques est jugée moindre que celle des activités pratiques ou les témoignages (70% des répondants la disent «utile» contre 91% pour les activités pratiques et témoignages). Il s agit donc d améliorer ces approches «théoriques», par la formation certainement. Les rencontres avec des spécialistes de l aide à la création d entreprises (autrement dit les représentants des opérateurs d animation économique spécialisés dans la création, comme les CEEI) sont également utiles, à 77%. 61% des étudiants du supérieur qui n ont pas profité d une activité de sensibilisation sont intéressés d en avoir une. Il faut répondre à cette attente. Aujourd hui il revient encore trop souvent à l enseignant de trouver lui-même la complémentarité entre les propositions. La conception et surtout sa visibilité - d un «pack» peut être une solution. Et dans ce cadre, il s agit d éviter les actions «one shot» et privilégier les démarches pérennes. L envie d être son propre patron diminue avec l âge 56% des étudiants et 50% des diplômés préféreraient être leur propre patron Les femmes sont plus nombreuses à vouloir être salariées La recherche de sécurité, le manque de confiance en soi et le manque d expérience justifient la recherche du statut de salarié. Cette information n est pas surprenante ; elle montre la nécessité de maintenir des efforts sur les jeunes au-delà des études, dans les premières années du monde du travail. Des activités, récemment lancées en Wallonie, comme les Startup Weekend ou Coentrepreneur Weekend sont adaptées à ce public des ans. La différence constatée auprès des femmes n est pas une surprise et montre la nécessité de poursuivre également le travail vers les filles et jeunes femmes. La confiance en soi est la première des «attitudes entrepreneuriales» à travailler ; et la mise au contact de la réalité (stages, etc) est la première activité à promouvoir pour développer ce capital «envie d être son propre patron». 1 sur 2 envisage de créer sa propre entreprise Toutefois le manque de confiance en soi en terme de compétence, de formation adéquate en gestion et de fonds de départ constituent les principaux freins L absence de référant est également manifeste (tel que des exemples de jeunes entrepreneurs qui ont réussi) de même que le peu de valorisation de l image de l entrepreneur en Wallonie.

18 18 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes 12% des répondants diplômés indiquent qu une création est en-cours ou déjà faite et 14 % l envisagent dans les 3 ans. Il existe donc un vivier de 26% de la population jeune active qui peut être considérée dans une approche réellement positive envers la création d activité voire dans un processus de création. D autres enquêtes, type GEM, se révèlent moins bonnes, notamment parce qu elles traitent de l ensemble de la population et non d une «tranche» (ex : ici, les jeunes) de celle-ci. Le défi est donc de traiter ce vivier pour : Primo, «transformer» cette approche positive en création réelle, et secundo, «maintenir la flamme» au-delà de la première expérience professionnelle. En effet, les statistiques disent que la création intervient plus tard, entre 30 et 42 ans. Il s agit également de «remobiliser» les jeunes sur leur propre «projet de vie» afin d augmenter leur confiance en eux dans le monde global dans lequel ils devront prendre position. Leur manque de confiance en eux les freine en matière de création d activité. Il est important, au cours de leur parcours, de leur proposer des outils leur permettant de découvrir leurs talents et de mieux se connaître afin de renforcer la confiance en soi et de les «rassurer». Des pistes existent telles qu un «Plan de votre vie». Il s agirait, dans ce cadre, de mettre en évidence les capacités et attitudes entrepreneuriales qu ils développement dans leur quotidien. L absence de projet concret et la «crise» apparaissent également comme freins. 6 sur 10 n ont pas été informés sur les dispositifs d aide à la création d entreprise La méconnaissance des organismes de promotion, de soutien et d accompagnement est énorme. 8 sur 10 ne connaissent pas le Pan Marshall 2. Même les répondants en «sciences de gestion» ou en «sciences appliquées» expriment à 51% ne pas avoir été informés sur les dispositifs d aide à la création. Les répondants qui ont été informés sur les dispositifs l ont d abord été par leur école ellemême, puis par les média/internet et enfin seulement, pour un tiers, par un organisme de soutien. Ces deux éléments doivent nous pousser à proposer, à côté d activités développant l Esprit d Entreprendre, des activités proposant de l information concrète et précise sur la création d activité. Les soutiens les plus attendus dans le cadre de la création d une entreprise sont principalement ceux des proches et des financeurs, viennent ensuite les organismes de soutien. L importance des proches rappelle l utilité de travailler la culture entrepreneuriale au niveau de la population wallonne, par les médias par exemple.

19 Partie 1 19 Enquête 13 auprès des enseignants La notoriété de l Esprit d Entreprendre auprès des 779 répondants est très bonne. Nb % cit. Vous avez déjà entendu parler ,4% Vous n avez jamais entendu parler ,6% Total ,0% Cette notoriété atteint même quasiment 100% auprès des enseignants et responsables qui ont été sensibilisés par l ASE. Elle est par contre de 51% auprès des enseignants et responsables qui n ont pas du tout été touchés par l ASE. Ceci montre une marge de progression, probablement plus au sein même des Etablissements déjà sensibilisés, puisqu ils ont été visités à 93%. Neuf répondants sur dix (92%) sont «d accord» avec le principe du développement de l Esprit d Entreprendre dans l enseignement. Cette proposition est même de 97% parmi les personnes sensibilisés par l ASE. Les répondants sont majoritairement «d accord» avec les propositions suivantes : L Esprit d Entreprendre : est utile dans le secteur socio-éducatif, doit être travaillé dès l école primaire, est une thématique qui concerne l enseignement, est différent de l esprit d entreprise, est différent de l esprit d initiative. Les répondants sont majoritairement «pas d accord» avec les propositions suivantes : L Esprit d Entreprendre : est composé essentiellement de compétences techniques, concerne surtout l enseignement général, concerne surtout l enseignement en alternance, concerne surtout l enseignement qualifiante ou professionnalisant, est surtout destiné aux personnes qui souhaitent créer une entreprise, est une mode. Au total, un peu plus de 2/3 des répondants ont, au cours de l année scolaire , participé à au moins une action concrète ou utilisé au moins un outil pour développer l Esprit d Entreprendre dans leur établissement. 13 L enquête a été confiée à la société NEWCOM. Il s agissait d une enquête ouverte. Le rapport de juillet 2011 couvrait deux grands objectifs : 9 - Interroger les enseignants afin d évaluer la manière dont ils percevaient la thématique Esprit d Entreprendre et dont ils l intégraient dans le cadre professionnel ; - Evaluer dans quelle mesure les actions vis-à-vis du monde enseignant ont permis ou non de faire évoluer la perception de l Esprit d Entreprendre par les enseignants et les responsables d établissements. Plus précisément, il s agissait d interroger des enseignants et directeurs, sur : - la connaissance de l Esprit d Entreprendre (notoriété), - la compréhension de l Esprit d Entreprendre, - l adhésion (sont-ils d accord avec le principe du développement de l Esprit d Entreprendre dans l enseignement?), - la mise en œuvre d actions (mettent-ils en œuvre des actions concrètes dans leur classe/établissement?), - l évaluation de l effet des actions mises en œuvre sur les élèves/étudiants. 779 enseignants et responsables d établissements ont répondu à cette l enquête. Tous les niveaux d enseignement et l ensemble des réseaux d enseignants étaient représentés parmi les répondants, toute province confondue. Les critères de comparaison des sous-échantillons ont été définis comme suit : Etre ou non «initié» (connaître l ASE ET connaître d Agent de Sensibilisation de l ASE), Genre, Province, Réseau, Rôle (enseignant versus directeur), Niveau d enseignement : primaire, secondaire, supérieur.

20 20 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes La différence entre les enseignants sensibilisés par l ASE et les autres est marquée : les enseignants sensibilisés sont 85% à avoir mis en œuvre une action, les autres n ont majoritairement pas réalisé d actions (54%). Les trois types d actions les plus souvent mises en œuvre par les enseignants sont : l adaptation des cours, l organisation de projets spéciaux, le témoignage de personnes extérieures. Parmi ceux qui entreprennent des actions, deux sur trois déclarent éprouver le besoin de compléter leur formation sur le sujet. Eprouvez-vous le besoin de complèter votre formation concernant l esprit d entreprendre en NB en % Pas de réponse 16 3,8 Plutôt oui ,8 Plutôt non ,2 Total % de ceux qui mettent en œuvre des actions constatent des effets sur leurs étudiants et ces effets constatés sont : Effets constaté auprès des élèves/étudiants - Résultats parmi «plutôt oui» plutôt oui en NB en % Les compétences à acquérir passent mieux ,2 Leur comportement en classe a évolué positivement ,7 Leur compréhension de l environnement socio-économique est meilleure ,2 Leur vision sur leur orientation professionnelle future est plus claire ,7 Ils parlent plus d entreprendre ,2 Ils parlent positivement d entreprise ,9

21 Partie 1 21

22 22 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes PARTIE 2 ENTREPRENEURIAT 3.15 Un programme enthousiasmant

23 Partie 2 23 Soutenir une éducation entrepreneuriale INVESTIR SUR LES PROCHAINS ENTREPRENEURS ACCROITRE LE PASSAGE A L ACTE AXE 1 Leviers 1 5 AXE 2 Leviers 6 10 AXE 3 Leviers Le programme se veut résolument enthousiasmant, porté vers les jeunes (directement ou indirectement via les enseignants et les parents notamment). Il est également porté vers la créativité et l utilisation des nouvelles technologies. Il propose des concepts nouveaux tels que «passeport entrepreneurial», «parcours entrepreneurial». Bref, un échantillon d outils à destination des enseignants, des étudiants et de leurs parents de manière à faire tomber certaines idées reçues au sujet de l entrepreneuriat. Les différentes propositions sont organisées sous 3 axes et 15 leviers. Dans le cadre de ce programme, l Agence jouera un triple rôle : Elle sera l Ensemblier de la politique wallonne en matière d entrepreneuriat, et dans ce cadre, référent international, Elle sera le régisseur de partenariats concrétisant certains aspects du programme, Et enfin, elle agira en tant qu Opérateur direct de certains aspects du programme. L objectif est de fédérer les différents partenaires autour d un projet fort de manière à multiplier les vocations entrepreneuriales mais également à rendre les générations à venir entreprenantes dans leur vie professionnelle. C est par cette évolution des mentalités que la Wallonie deviendra de plus en plus performante.

24 Fin 2010, l Agence proposait en effet, dans le cadre de ses conclusions au colloque «L Esprit d Entreprendre, ça se discute» cette position : «Ne cherchons pas à savoir si l Esprit d Entreprendre s enseigne, mais interrogeons-nous s il a sa place à l école. Et la réponse est sans conteste positive. Effectivement, c est moins dans un cours traditionnel que dans la mise en oeuvre d une activité collaborative que les jeunes progresseront vers l entrepreneuriat. Et c est grâce à une vraie collaboration entre enseignants et témoins extérieurs que le jeune retirera un maximum de bénéfices pédagogiques. 15» Le premier des trois axes stratégiques vise à collaborer à la mise en œuvre de la vision européenne qui place l Esprit d Entreprendre - dans son sens le plus large non-focalisé sur la création d entreprise - parmi les huit compétences-clés pour l éducation et la formation tout au long de la vie 14. Corollaire, il s agit de développer une collaboration étroite avec l Enseignement obligatoire et l Enseignement supérieur, dans leurs diverses entités et structures. L Esprit d Entreprendre dans son sens le plus large est en effet d abord un objectif éducatif et comme le rappelle ce document, les huit compétences clés «sont particulièrement nécessaires à l épanouissement et au développement personnels des individus, à leur inclusion sociale, à la citoyenneté active et à l emploi». L Agence, active sur ce domaine en Wallonie depuis 2007, souhaite soutenir l Enseignement dans le la mise en œuvre de ces balises, remises en exergue récemment dans le document «Repenser l éducation - Investir dans les compétences pour de meilleurs résultats socio-économiques» (novembre 2012), et ce grâce à l expérience accumulée tant en interne que chez les partenaires qu elle coordonne. Cet axe vise donc la sensibilisation de la manière la plus large de l ensemble des établissements d enseignement de Wallonie, donc en principe pas prioritairement ceux qui sont destinés de manière privilégie vers l entreprise. En effet, l objectif est également de ne pas viser l entrepreneuriat au sens strict mais également le futur travailleur «intrapreneur» qui est un acteur du développement économique. Cet axe se décline en 5 leviers en fonction de cibles différentes : Les responsables de l Enseignement sur le plan général et les directions d établissements sur le terrain Les enseignants Les futurs enseignants Le monde de l entreprise Les étudiants http ://europa.eu/legislation_summaries/education_training_youth/lifelong_learning/c11090_fr.htm 15 Cahier 6 de la collection de l ASE http :// 16 Le terme «établissement» étant à prendre au sens large : école, implantation, catégorie, faculté, etc 17 Voir le document de référence conçu par l ASE http :// page 16 et suivantes 18 Voir http ://web.hec.ca/airepme/images/file/2006/094_lescompetencesentrepreneurales.pdf p7 et svtes

25 Partie 2 25 Soutenir une éducation entrepreneuriale INVESTIR SUR LES PROCHAINS ENTREPRENEURS ACCROITRE LE PASSAGE A L ACTE AXE 2 AXE 3 AXE 1 R Levier 1 SENSIBILISER LES ECOLES A L ESPRIT D ENTREPRENDRE Levier 2 IMPLIQUER LES ENSEIGNANTS : Levier 3 PREPARER LES FUTURS ENSEIGNANTS Levier 4 ASSOCIER LE MONDE DE L ENTREPRISE Levier 5 VEILLER A UN CONTACT DE TOUT JEUNE AVEC L ENTREPRENEURIAT Assurer l adhésion minimale de chaque établissement 16 des niveaux primaire, secondaire et supérieur à l Esprit d Entreprendre. Soutenir tous les enseignants souhaitant s investir en entrepreneuriat par l accompagnement, la formation, la mise en réseau, l apport d outils, etc. Soutenir de manière adaptée l entrée en carrière des enseignants, afin qu ils disposent d une connaissance de base de l entreprise et de l entrepreneuriat et surtout d un état d esprit positif. Permettre au monde de l Entreprise, dans ses différentes formes, de collaborer avec le monde de l Enseignement afin de renforcer les effets de ces mesures. Permettre que chaque étudiant, avant la fin de son parcours éducatif, ait une image réelle et tournée vers l avenir, de l entreprise d une part, de l économie wallonne dans le monde globalisé d autre part ; et qu il ait participé à un nombre minimal d activités développant ses attitudes 17 et compétences 18 entrepreneuriales.

26 26 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Soutenir une éducation entrepreneuriale AXE 1 LEVIER 1 : SENSIBILISER LES ECOLES A L ESPRIT D ENTREPRENDRE Bilan chiffré Une équipe d Agents de sensibilisation 60 établissements rencontrés par agent 93% des établissements secondaires et supérieurs rencontrés S Acquis Le bénéficiaire final est le jeune. Mais, la recherche d efficacité nous mène à approfondir l importance du travail orienté vers les établissements et les professionnels de l enseignement, enseignants eux-mêmes.. Les directions d établissement jouent un rôle majeur dans la validation du développement de toute démarche. Ensuite, les enseignants doivent être informés. Mais le discours doit être remis une nouvelle fois en chantier. L ASE avait déjà retenu ce point en conclusion du cahier 6 19 ponctuant le colloque «Esprit d Entreprendre ça se discute» de septembre 2010; et celles-ci sont en effet réapparues récemment à l occasion du séminaire du 11 juin organisé dans le cadre de l Année des compétences. S Le levier 1 Actualiser/réviser/étoffer le vocabulaire, le discours sur l entrepreneuriat, en collaboration avec les instances adéquates de l Enseignement et d autres acteurs éventuels comme la Formation, voire le secteur Jeunesse : Quel sens donner à Esprit d Entreprendre, esprit d entreprise, culture entrepreneuriale? Qu est-ce que les attitudes entrepreneuriales? Les compétences entrepreneuriales? Quid des expressions de l entrepreneuriat, dont l intrapreneuriat ou l entrepreneuriat social? etc Quelles relations entre les cours techniques (tels que la comptabilité) et l entrepreneuriat? 2 Diffuser ce discours sur le terrain lors d opportunités collectives (manifestations ou rencontres entre responsables d établissements) et sur le terrain (auprès des établissements, directions en tête, autres responsables, enseignants et ce, en fonction de priorités par niveau, par territoire, par filière d enseignement). 3 Assister les directions, éventuellement par des formations, pour les aider à diffuser ces messages dans leur équipe pédagogique. Les outils 1 Agents de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre. La mission première des Agents de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre (ASEE) comme «détachés pédagogiques» est, à la manière d ambassadeurs de l Esprit d Entreprendre, de rencontrer régulièrement les directions d établissements et ensuite des enseignants afin : de présenter le cadre institutionnel global (Wallonie, Plan Marshall 2.vert) Fonds Social Européen, relation avec l Enseignement, ), d exposer le discours sur l entrepreneuriat, de promouvoir la pédagogie entrepreneuriale et ses outils. 19 «La Fruit d un travail démarré il y a bientôt dix ans, la diffusion de la notion d «Esprit d Entreprendre» est une réussite en Wallonie ( ) Toutefois, sa diffusion et son utilisation restent parfois contenues 9 du fait du sens qui lui est donné. Les contours et les limites de l expression «l Esprit d Entreprendre» ne sont pas toujours une évidence. Même si sa définition est consensuelle,elle n est pas naturelle. Par ailleurs, son utilisation concrète montre que si pour certains, l expression se confond avec «l esprit d initiative», d autres l estiment plutôt focalisée sur la création d entreprise commerciale. Faut-il trancher? Faut-il inventer une nouvelle manière de parler de tout cela? Faut-il compartimenter artificiellement les comportements qui en découlent? Non, pas selon nous. Par contre, il est certainement nécessaire de mettre en évidence une variété plus large et plus diversifiée d expressions de l entrepreneuriat. Afin que chacun, selon son caractère, son projet de vie, ses valeurs, puisse s approprier cet état d esprit entrepreneurial. Il est important de permettre ainsi à chacun de se sentir bien avec son choix d entreprendre, quelle que soit la thématique.» Cahier 6 de la collection de l ASE http ://

27 Partie Présentations lors d événements-clefs. L Equipe est présente lors d événements publics ciblés, grâce à un stand notamment et poursuit les opportunités de rencontres collectives au niveau des directions d écoles notamment. 3 Une formation/animation à destination des directeurs. 4 Développement d un outil, avec les parties prenantes, permettant d exposer le vocabulaire de base et les termes spécifiques à l Esprit d Entreprendre. 5 Développement d un outil d auto-évaluation par les établissements de leur vision sur l entrepreneuriat Sur base des questions reprises dans l enquête sur la vision de l Esprit d Entreprendre par les enseignants cf. bilan

28 28 ENTREPRENEURIAT 3.15 : 3 axes, 15 leviers pour des générations entreprenantes Soutenir une éducation entrepreneuriale AXE 1 LEVIER 2 : IMPLIQUER LES ENSEIGNANTS Bilan chiffré outils pédagogiques diffusés pour le primaire, secondaire et supérieur enseignants ont participé aux Ateliers de l Esprit d Entreprendre. S Acquis L enseignant, en particulier dans les filières qui mènent à une activité indépendante ou à la création d activité, est une personne-clef pour la diffusion de l entrepreneuriat. Toutefois, la prise d initiative dans le domaine, que ce soit pour travailler les attitudes ou les compétences, nécessite un appui. L enseignant doit pouvoir être accompagné : la formation et la mise à disposition d outils peut l aider à s autonomiser. S Le levier 1 Formation des enseignants, à la pédagogie entrepreneuriale et à l utilisation des méthodes de créativité via notamment un set d outils existant en créativité pour les enseignants, 2) Ouverture des enseignants au monde de l entreprise, dans sa diversité (secteur marchand, non-marchand ; économie sociale, secteur culturel, travailleur indépendant ; petite, moyenne ou grande entreprise), 3) Fourniture d outils, pédagogiques ou autres, 4) Accompagnement dans la mise en œuvre de la pédagogie entrepreneuriale, 5) Mise en réseau des enseignants. Les outils 1)Accompagnement par les Agents de sensibilisation dans la mise en œuvre de la pédagogie entrepreneuriale via les Agent de Sensibilisation à l Esprit d Entreprendre avec, notamment, un outil interactif de suivi opérationnel du projet ; 2)Diffusion des outils pédagogiques «by_ase» permettant d accompagner la pratique des enseignants sur des aspects plus ou moins spécialisés ; 3)Formation continuée des enseignants par l ASE en leur proposant des formations dans la thématique de la pédagogie entrepreneuriale ; 4)Continuation de la mise en réseau des enseignants telle que réalisée par les Ateliers de l Esprit d Entreprendre ; 5 Diffusion de l outil Libérez la création!!! permettant l animation d une réflexion sur l entrepreneuriat avec des groupes d étudiants grâce à des séquences vidéo et renouvellement de l offre d outils développant la créativité des enseignants ; 6 Développement d outils utilisant les technologies récentes : serious game, e-learning, réseaux, jeux, web ; 21 Cf Description dans le bilan «Des outils pédagogiques autonomisant les enseignants» 9

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