Fiche 9 La mise en place d une comptabilité de gestion.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Fiche 9 La mise en place d une comptabilité de gestion."

Transcription

1 Analyse des coûts Fiche 9 La mise en place d une comptabilité de gestion. Remarque liminaire : Le contenu de cette fiche ne saurait préjuger de ce qui sera défini dans le cadre des travaux en cours relatifs à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances du 1 er août Définitions Quelques notions clés Le Conseil national de la comptabilité (CNC) définit la comptabilité de gestion comme «un outil permanent d information permettant la mesure des performances et l aide à la prise de décisions au sein de l entreprise». La comptabilité de gestion ne renvoie pas à une technique comptable déterminée ; elle désigne l ensemble des éléments du système comptable au vue de l intérêt qu ils présentent pour la gestion interne de l organisation. «La comptabilité générale indique quelles sont les natures des charges, la comptabilité de gestion explique dans quel but ces charges ont été engagées et pour quelles activités de l organisation. C est un modèle explicatif non pas orienté sur les échanges de l entité avec son environnement mais sur l analyse des flux à l intérieur de l entité», in Secteur public et contrôle de gestion, MM. Charpentier et Grandjean (1998). La comptabilité de gestion classe les charges de l entité par destinations. À ce titre, elle constitue la comptabilité des coûts, un coût étant l agrégation des charges de toute nature supportées au niveau d un élément de l organisation. La comptabilité de gestion repose sur des systèmes d information comptables unifiés et intégrés, capables de répondre simultanément aux besoins différenciés d utilisateurs internes par la production d une information au service de la gestion et des utilisateurs externes par la production nécessaire à la communication financière. Une charge correspond à une constatation financière d une consommation de ressource. Une charge se distingue d une dépense qui correspond à un décaissement de monnaie suite à l achat d un bien ou d un service. Exemple : l acquisition d un bien inscrit comme une immobilisation au bilan est une dépense, mais non une charge. À l inverse, la constatation de la consommation de cette immobilisation, c est-à-dire la dotation aux amortissements, est une charge et non une dépense. Un coût est défini par rapport aux trois caractéristiques suivantes : le champ d application du calcul: coût d une prestation, d une heure de travail, d un projet Quels outils pour quels besoins? 895

2 le contenu : les charges retenues en totalité ou en partie pour une période déterminée (le coût peut être complet ou partiel) ; le moment du calcul : antérieur (coût préétabli) ou postérieur à la période considérée (coût constaté). On peut déterminer différents coûts (coût après approvisionnement, après fabrication, après distribution ). Le dernier stade (intégrant l ensemble des charges) est appelé coût de revient. Il existe plusieurs méthodes de calcul des coûts (cf. fiche 10 «Typologie des coûts») Charges incorporables, non incorporables, supplétives. Le passage de la comptabilité générale à la comptabilité de gestion nécessite d opérer un certain nombre de retraitements afin de pouvoir calculer des coûts. En effet, le coût d un produit, d un service ou d une prestation doit correspondre à la consommation des charges résultant d un fonctionnement «normal» de l organisation. Ainsi, un certain nombre de charges de la comptabilité générale, appelées «charges non incorporables», ne seront pas pour ces raisons, incluses dans le périmètre de la comptabilité de gestion. Exemples : charges des exercices antérieurs, charges de contentieux, primes d assurancecrédit, charges exceptionnelles Sont ajoutées, en revanche, aux charges de la comptabilité générale les charges supplétives, correspondant aux consommations de biens ou services auxquelles la comptabilité générale ne reconnaît pas le statut de charges. Elles correspondent cependant aux consommations de biens et services nécessaires au fonctionnement de l organisation. On peut citer les amortissements «fictifs» (exemple : immobilisations déjà amorties et toujours en service) et la valorisation des coûts de personnel mis à disposition mais non facturés. Dans les administrations publiques, où la comptabilisation des dotations aux amortissements, des dotations aux provisions et le rattachement des charges à l exercice ne sont pas encore réalisés en comptabilité budgétaire, il peut être utile, pour calculer les coûts, de reconstituer ces différents éléments et de les considérer comme des charges supplétives (ou non incorporables). Exemples : des dépenses de fonctionnement engagées et non mandatées pourront être des charges non incorporables si les prestations ou les biens correspondants sont consommés au cours de l exercice suivant ; des dotations aux amortissements des véhicules, calculées de façon extrabudgétaire, pourront être réintégrées au titre des charges supplétives. 90 Quels outils pour quels besoins?

3 Fiche 9 Charges incorporables, non incorporables et supplétives Charges supplétives Charges incorporables Charges incorporables Charges non incorporables Charges enregistrées en comptabilité générale ou comptabilité budgétaire Charges enregistrées en comptabilité analytique 2. Les utilisations possibles. La comptabilité de gestion permet de calculer le coût d une activité et d expliquer les principaux facteurs déterminants de ce coût. Elle permet aussi d agir sur les coûts au travers de l influence des comportements : en maîtrisant leur dynamique ; en définissant un modèle explicatif du comportement des coûts ; en mettant en place des dispositifs incitatifs pour les responsables. La comptabilité de gestion constitue à ce titre un élément indispensable à l analyse des coûts. En effet, l analyse des coûts vise à permettre l interprétation économique des différentes composantes des coûts et à en expliquer le comportement. L analyse des coûts peut, dans cet esprit, mobiliser des éléments de coûts extracomptables aussi bien que des coûts issus de traitements comptables (systèmes de comptabilité de gestion). Le calcul des coûts peut avoir pour objectifs de : valoriser des travaux en cours et calculer les résultats d une organisation ; apprécier l équilibre économique d un segment d activité et/ou d un produit ; mesurer les coûts des différentes entités de l organisation ; L analyse des coûts contribue à la mesure de l efficience (cf. le «triangle du contrôle de gestion» et la définition de la performance - fiches 2 et 16). Chaque problématique de gestion justifie le recours à une méthode de calcul des coûts (coûts complets, coûts partiels - cf. fiche 10 «Typologie des coûts») plutôt qu une autre. Ce choix va déterminer les besoins de présentation des informations déterminant l organisation de la comptabilité de gestion. Quels outils pour quels besoins? 915

4 3. Acteurs concernés. Les résultats issus de la comptabilité de gestion sont utiles aussi bien pour le service responsable du budget que pour le gestionnaire du service analysé. 4. Comment faire? 4.1. Conception et mise en œuvre. Définir les objectifs attendus de la mise en place de la comptabilité de gestion et éventuellement fixer des priorités pour le déploiement. Fixer le périmètre considéré et concerné par la comptabilité de gestion. Déterminer à quels niveaux les coûts doivent être connus (entité, activité, produit?). Définir la méthode adaptée à la problématique. Définir le cahier des charges du système de comptabilité de gestion: collecte de l information, détermination des charges prises en compte, périodicité des calculs. Désigner les acteurs qui vont, de la collecte de l information à l exploitation des résultats, participer à l ensemble du processus. Prévoir les modalités d utilisation des résultats obtenus par la mise en place de la comptabilité de gestion. Former les acteurs de premier rang et sensibiliser l ensemble des personnels des services Exploitation. À partir des valeurs obtenues, établir un diagnostic partagé et formalisé entre le service analysé et le responsable du contrôle de gestion. Intégrer les résultats de la comptabilité de gestion au processus de discussion budgétaire (moyens en matériels et en personnel) entre le service budgétaire et le service concerné. Prendre en compte formellement les réalisations de l année pour la fixation des objectifs de l année suivante. Améliorer le dispositif de la comptabilité de gestion en prenant en compte les préoccupations du service analysé (dispositif itératif). Communiquer, au-delà du service, sur les réalisations et sur les mesures prises pour répondre aux problèmes soulevés. 92 Quels outils pour quels besoins?

5 Fiche 9 5. Les points de vigilance - Les conditions de réussite. Les responsables locaux doivent disposer des moyens d agir sur le montant des coûts qui leur sont imputés et ce dans une perspective de maîtrise globale des coûts de la structure (dimension «efficience» de la performance) et non de reports de ces coûts sur d autres entités ou centres internes à l organisation. L introduction de la comptabilité de gestion doit reposer sur des systèmes d information adaptés aux objectifs fixés lors de la mise en œuvre de la comptabilité de gestion au sein de l organisation (cf. fiche 24 «Contrôle de gestion et système d information»). Il est nécessaire de communiquer sur les éléments positifs que peuvent en attendre les agents pour éviter que la comptabilité de gestion ne soit vécue comme une contrainte. Il est indispensable de mettre en place un plan de formation et d accompagnement du personnel. Il peut être utile de démontrer, après expérimentation, que les résultats obtenus sont pris en compte pour la prise de décisions et de mesure de la performance. 6. Exemple : l Office national des forêts (ONF) Contexte. La nécessité pour l ONF d appréhender le coût de ses différentes prestations a conduit l établissement public à développer un système de comptabilité de gestion : premières approches dès 1985, puis système complet à partir de 1993, qui a fait l objet d améliorations successives. Il convient de souligner que la diversité des missions réalisées, la juxtaposition d activités non marchandes, non rémunérées en tant que telles ou partiellement subventionnées, et d activités marchandes limitent d autant plus en ce qui concerne l ONF la portée des résultats de comptabilité générale. Le poids des charges liées au personnel fonctionnaire, de l ordre de 50 % des charges d exploitation, confère au dispositif de recueil des temps d activité de ce personnel une importance particulière pour l alimentation des comptes analytiques. Le dispositif budgétaire est largement articulé avec la comptabilité de gestion: la répartition des moyens alloués recouvrant notamment la logique d imputation des charges en comptabilité Organisation. Le dispositif est géré, du point de vue de la forme et de la méthodologie, par le département contrôle de gestion de la direction financière de l ONF, qui assure le suivi, la mise en forme et l exploitation des résultats dans le cadre du contrôle de gestion national et de la contractualisation des objectifs avec les responsables régionaux. Ces fonctions sont assumées en liaison avec toute autre direction concernée. Le cadre national fixé par la direction générale peut supporter des paramétrages régionaux relatifs à certaines activités. Quels outils pour quels besoins? 935

6 Les imprimés (tableaux à deux entrées clients/prestations) sont distribués à tous les personnels, qui sont tenus de les remplir par trimestre. Ils remontent alors via un logiciel à la direction générale, avec des agrégations intermédiaires aux différents niveaux hiérarchiques. La mise en place de ce suivi s est accompagnée d une information renouvelée en accompagnement de chaque évolution. 6.3 Découpage de l activité. Deux types de découpage : par grands domaines d activité : gestion de la forêt domaniale, gestion des forêts des collectivités, missions d intérêt général, activités nouvelles (diversification). Ce découpage recouvre un découpage par bénéficiaire ou client: État pour la gestion des forêts domaniales; collectivités propriétaires de forêts publiques pour la gestion des forêts des collectivités; État et collectivités publiques pour les missions d intérêt général et les activités nouvelles, avec pour ces dernières également des clients privés; par prestations, distinguant les différentes activités menées dans chaque domaine. Exemples : surveillance, exécution de travaux, gestion foncière Les nombreux croisements générés par ces deux entrées permettent ainsi un suivi assez détaillé de l activité menée. Par ailleurs, le système d élaboration des comptes analytiques repose sur un découpage de l ONF en un peu plus d une centaine de centres d activités. Enfin, le dispositif de ventilation des charges est complété, via notamment le dispositif de facturation, par une répartition des produits par activités, qui permet d obtenir des soldes analytiques pour l ensemble des missions et activités marchandes mises en œuvre. 6.4 Exploitation. Bien entendu, les résultats de la comptabilité de gestion constituent des outils essentiels de management, de pilotage de l activité et de contrôle de gestion. Ils sont un complément indispensable de la comptabilité générale pour rendre compte des résultats obtenus dans les différents domaines. Ainsi, un calcul de production valorisée et de résultat économique pour des activités non marchandes et une mesure des gains de productivité ont été mis au point à partir des informations de la comptabilité de gestion. Pour les activités marchandes, la comptabilité de gestion permet de rendre compte de la marge réalisée. L objectivation des coûts et la mesure des performances, au niveau global comme au niveau local, permet de cibler les progrès à réaliser et de mettre en place des plans d action adaptés. A cet effet, et parce que l ONF a des activités très spécifiques qui n ont pas leur équivalent dans d autres entreprises de la sphère privée ou publique, l utilisation des résultats de la comptabilité de gestion aux différents niveaux à des fins d analyse comparative (benchmarking) interne est essentielle. Elle est notamment l un des éléments de base de la négociation actuellement en cours des contrats d objectifs entre la direction générale et les directions territoriales, puis des contrats de gestion entre les directions territoriales et les échelons de gestion (agence) qui leur sont subordonnés (voir infra). La comptabilité de gestion sert par ailleurs de support à la détermination du versement compensateur, subvention versée par l État pour financer le coût du régime forestier dans les forêts des collectivités. 94 Quels outils pour quels besoins?

7 Fiche 9 La connaissance des coûts complets fournie par la comptabilité de gestion constitue également une base essentielle pour la tarification des prestations. Chaque responsable de centre d activité peut éditer ses propres résultats, qui alimentent ainsi le contrôle de gestion réalisé à son niveau. Ils constituent un élément essentiel du dialogue de gestion entre les différents niveaux. Ainsi, les résultats analytiques globaux font l objet de retours commentés aux directeurs régionaux conjointement au bilan d exécution de leur budget. Exemples : détermination de prix (chiffre d affaires ou subventions) pour les services rendus, vis-à-vis de clients privés ou de l État : la connaissance de la composition du coût complet permet de fixer le plus correctement possible un niveau de rémunération. Exemples : diagnostic phytosanitaire d arbres en ville, réalisation et encadrement de travaux forestiers, conception et réalisation d équipements touristiques en forêt Ce même outil permet de suivre le coût réel de l activité au fil de son exécution. suivi de l évolution du coût d une prestation, afin de mesurer les éventuels gains de productivité. Exemple : temps passé pour la surveillance d une coupe permettant de vendre m 3. bilan de l activité menée par l ONF et des coûts correspondants auprès des tutelles. base pour les projections financières à moyen terme dans les différents domaines d activité. À cet égard, la comptabilité de gestion a constitué un outil de première importance pour la négociation du contrat État-ONF. la contractualisation : Se mettent en place cette année à l ONF des contrats d objectifs, négociés puis signés entre le directeur général et chaque directeur territorial, concernant la période Ils mettent en parallèle le niveau d activité attendu au fil des ans, déterminé conformément aux objectifs du contrat État-ONF, et les coûts complets correspondants. Ils permettent ainsi de fixer des objectifs en termes de performance économique. Sur la base de quoi sera décliné chaque année le budget de chacun en octroyant des moyens en fonction des objectifs opérationnels fixés. le contrôle de gestion régulièrement alimenté par la comptabilité de gestion servira à suivre la mise en œuvre de ces contrats, fournissant ainsi un outil de pilotage de l activité essentiel tant au niveau des services déconcentrés qu au niveau national. 7. Pour aller plus loin Consulter les fiches suivantes : - «La typologie des coûts» ; - «La méthode de calcul des coûts complets» ; - «La gestion stratégique des coûts» ; - «La méthode ABC» ; - «Fixation des prix de cession interne» ; - «Ratios budgétaires». Quels outils pour quels besoins? 955

8 Quelques références bibliographiques : - Dictionnaire de la comptabilité, La Villegérin, édition 1996 ; - Revue française de comptabilité, numéro spécial consacré à la comptabilité de gestion, septembre 1991 (n 226) ; - L essentiel de la comptabilité analytique, Didier Leclere, éditions d Organisation, 2001 ; - Comptabilité analytique et de gestion, Anne-Marie Keiser, Eska, 1994 ; - Comptabilité analytique, Béatrice Grandguillot, Francis Grandguillot, Gualino, 1999 ; - Comptabilité de gestion : la gestion par les coûts, Claude Cossu, Richard Milkoff, Nathan, Quelques sites internet intéressants : ; 96 Quels outils pour quels besoins?

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

Ressources APIE. La comptabilisation des frais de R&D. de l immatériel. Pour agir. En bref. Agence du patrimoine immatériel de l État

Ressources APIE. La comptabilisation des frais de R&D. de l immatériel. Pour agir. En bref. Agence du patrimoine immatériel de l État Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l État La comptabilisation des frais de R&D En bref Des moyens considérables sont alloués par les autorités publiques aux efforts de recherche

Plus en détail

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles

Plus en détail

LES CRÉANCES ET LES DETTES

LES CRÉANCES ET LES DETTES LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires

Plus en détail

Comptes de tiers (Classe 4)

Comptes de tiers (Classe 4) Comptes de tiers (Classe 4) Les comptes de tiers, notamment le compte 40 «Fournisseurs et comptes rattachés» et le compte 41 «Clients et comptes rattachés», peuvent être subdivisés pour identifier : les

Plus en détail

Ressources. APIE Agence du patrimoine immatériel de l état. La comptabilisation des logiciels et bases de données. l immatériel. Pour agir.

Ressources. APIE Agence du patrimoine immatériel de l état. La comptabilisation des logiciels et bases de données. l immatériel. Pour agir. Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l état La comptabilisation des logiciels et bases de données En bref L administration consacre des moyens financiers et humains considérables

Plus en détail

Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites

Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation Avis n 2003-07 du 24 juin 2003 Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites Sommaire 1 - Présentation du Fonds de

Plus en détail

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,

Plus en détail

La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.

La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation

Plus en détail

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement

Plus en détail

OUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS

OUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.

Plus en détail

III.2 Rapport du Président du Conseil

III.2 Rapport du Président du Conseil III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3

Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance

Plus en détail

Employeurs et autres débiteurs de cotisations

Employeurs et autres débiteurs de cotisations CLASSE 4 COMPTES DE TIERS La classe 4 comprend les comptes de tiers et reprend toutes les opérations du bilan autres que financières (classe 3) avec les tiers et qui se représentent dans le cadre des relations

Plus en détail

I. PRINCIPALES MISSIONS DES SERVICES DU TRÉSOR TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE. Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD

I. PRINCIPALES MISSIONS DES SERVICES DU TRÉSOR TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE. Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD Adresse : 1 bis place de la Banque 21042 DIJON CEDEX Tél : 03 80 59 26 00 Fax : 03 80 50 14 75 Mail : tg21.contact@cp.finances.gouv.fr

Plus en détail

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,

Plus en détail

Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)

Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business

Plus en détail

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit

Plus en détail

12 Les partenariats publics privés

12 Les partenariats publics privés 12 Les partenariats publics privés Quelles références budgétaires et comptables? Instruction M14 Tome 1 Le cadre comptable Annexe 53 Instruction M52 Tome 1 Le cadre comptable Annexe 50 Instruction M71

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015 La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte

Plus en détail

Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014

Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Provisions - Dotation pour dépenses accidentelles destinée à faire face à des calamités et pour dépenses imprévisibles - Dotation pour mesures

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

Ressources APIE. La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications. immatériel. Pour comprendre. En bref

Ressources APIE. La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications. immatériel. Pour comprendre. En bref Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l état La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications En bref L État est riche d un patrimoine immatériel inestimable.

Plus en détail

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité

Plus en détail

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

Fiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic

Fiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction

Plus en détail

La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement

La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement ANNEXE 2 EXPLICITATION DES RUBRIQUES La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. 1. Récapitulation des crédits destinés aux opérateurs de l État

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?

La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir

Plus en détail

Traitement comptable des logiciels

Traitement comptable des logiciels Traitement comptable des logiciels Sommaire 2 Le traitement comptable des logiciels est précisé par le PCG et l avis CNC n 31. Ils ne traitent que des logiciels dissociés (logiciels d application) et non

Plus en détail

COMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations

COMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations La nouvelle Swiss GAAP RPC 30 regroupe toutes les règles applicables aux comptes. Ce qui implique que toutes les autres Swiss GAAP RPC font référence aux comptes individuels. Quelles sont les questions

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

FINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session)

FINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session) Octobre à juillet FINANCE, COMPTABILITE Intitulé Objectifs principaux (programme détaillé sur demande) Dates - Les principales fonctions statistiques, financières, de recherche Excel appliqué à la gestion

Plus en détail

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT 5 CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS Les comptes financiers enregistrent les mouvements de valeurs en espèces, chèques, ainsi que les opérations faites avec le Trésor, les banques et les établissements financiers.

Plus en détail

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE

APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE I. Public cible de l appel à projets Un appel à projets est

Plus en détail

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle

Plus en détail

La participation financière des collectivités territoriales à la protection sociale complémentaire de leurs agents

La participation financière des collectivités territoriales à la protection sociale complémentaire de leurs agents La participation financière des collectivités territoriales à la protection sociale complémentaire de leurs agents La protection sociale complémentaire des agents de la fonction publique territoriale est

Plus en détail

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie

Plus en détail

GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES

GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan

Plus en détail

Elaboration et Suivi des Budgets

Elaboration et Suivi des Budgets Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire

Plus en détail

Plan comptable marocain www.lacompta.org

Plan comptable marocain www.lacompta.org Plan comptable marocain www.lacompta.org Comptabilité pour étudiants et professionnels Raccourcies : cliquez sur un compte pour afficher ses sous comptes CLASSE 1 : COMPTES DE FINANCEMENT PERMANENT 11

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

LES ETAPES DE LA CREATION

LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des

Plus en détail

Définition. Caractéristiques

Définition. Caractéristiques REPENSER LA PRESENTATION DU BUDGET : UNE NOMENCLATURE STRATEGIQUE Le budget des collectivités de plus de 3 500 habitants peut être présenté par nature et par fonction. La nomenclature fonctionnelle permet

Plus en détail

Association pour l Expérimentation de Nouvelles Structures d Accueil Pour Exclus (E.N.S.A.P.E.)

Association pour l Expérimentation de Nouvelles Structures d Accueil Pour Exclus (E.N.S.A.P.E.) TRIBUNAL INTERREGIONAL DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE DE PARIS REPUBLIQUE FRANÇAISE CONTENTIEUX N 07.041 PRESIDENT/RAPPORTEUR : Monsieur LEVY COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT : Madame LARSONNIER SEANCE

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

CRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI

CRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI 3 R A LLER PL US L OI CRM et GRC, la gestion de la relation client Comment exploiter et déployer une solution de relation client dans votre entreprise? Les usages d une CRM Les fonctionnalités d une CRM

Plus en détail

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de

Plus en détail

Compte général de l État pour 2008

Compte général de l État pour 2008 Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL

Plus en détail

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Champ d application 1 La présente norme doit être appliquée à la comptabilisation

Plus en détail

COMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT

COMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT COMPTABILITÉ APPROFONDIE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT 1. Expliquer les raisons pour lesquelles la société YPREMIUM ne peut

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES

NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 20 : LES SUBVENTIONS PUBLIQUES...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

OPERATIONS NON BUDGETAIRES

OPERATIONS NON BUDGETAIRES OPERATIONS NON BUDGETAIRES 1 Dotation ou apport 2 Affectation services non dotés de la personnalité morale 3 Affectation services dotés de la personnalité morale 4 Désaffectation ou retour d un bien affecté

Plus en détail

Status de la banque des états de l Afrique Centrale

Status de la banque des états de l Afrique Centrale Status de la banque des états de l Afrique Centrale T I T R E I CONSTITUTION - STATUT JURIDIQUE Article premier La Banque des Etats de l Afrique Centrale (ci-après désignée la Banque) est un établissement

Plus en détail

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue Décembre 2011 Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Inspection générale de l'éducation nationale Présentation des guides d audit et du processus d audit d

Plus en détail

Comptes et plans d épargne-logement

Comptes et plans d épargne-logement Page 1 of 6 Alerte Banques n 2 - avril 2006 ARCHIVES I IMPRIMER Comptes et plans d épargne-logement L avis du CNC relatif à la comptabilisation des CEL et PEL pose le principe suivant : les conséquences

Plus en détail

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont

Plus en détail

Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé

Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes

Plus en détail

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps

Plus en détail

Evelyne GURFEIN Comptes consolidés IAS IFRS et conversion monétaire

Evelyne GURFEIN Comptes consolidés IAS IFRS et conversion monétaire Evelyne GURFEIN Comptes consolidés IAS IFRS et conversion monétaire, 2007 ISBN-10 : 2-7081-3760-3 ISBN-13 : 978-2-7081-3760-8 Chapitre 7 Les normes IAS/IFRS et leur impact Quelle question? «Bonjour, je

Plus en détail

MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES

MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES F I N A N C E S LES DOSSIERS DE L AGENCE MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN

Plus en détail

Nouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien

Nouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien Nouveau processus budgétaire axé sur le résultat r et la performance: Le projet tunisien Mohsen Thabet Ministère des Finances Unité GBO Atelier GBO Tunis 26-27 27 Juin Plan de l interventionl 1. Système

Plus en détail

CONSULTANT(E) SAP ERP

CONSULTANT(E) SAP ERP Formation conventionnée par le Conseil Régional Midi-Pyrénées CONSULTANT(E) SAP ERP De novembre 2013 à juillet 2014* Modalités pratiques Durée : 450 h (12 semaines) en présentiel + 560 h (16 semaines)

Plus en détail

Affectation pour 2010

Affectation pour 2010 CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE CP 10-364 Soutien à l activité de microcredit pour la creation d entreprise en Ile-de-France Convention triennale 2008-2010 avec l ADIE Convention biennale 2009-2010 avec

Plus en détail

Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48

Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Résumé de l article Les regroupements d entreprises peuvent se traduire en comptabilité par une fusion régie par le règlement

Plus en détail

Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation

Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation I - Les étapes du processus de consolidation II - La détermination du pourcentage d'intérêts (PDI) III - Organisation et techniques comptables de la consolidation

Plus en détail

Initiation à la Comptabilité

Initiation à la Comptabilité Bertrand LEMAIRE http://www.bertrandlemaire.com Initiation à la Comptabilité Document sous licence Creative Commons L auteur autorise l impression et l utilisation gratuites de ce document dans un cadre

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

OPÉRATIONS DE CESSION

OPÉRATIONS DE CESSION OPÉRATIONS DE CESSION Anticipation des difficultés de mise en œuvre de la norme IFRS 5 «Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées» Paris le 23/09/2014 Sandra Dujardin Antoine

Plus en détail

Les missions de l expert-comptable

Les missions de l expert-comptable Les modalités d exercice de la profession 85 Les missions de l expert-comptable Missions comptables Missions d assurance sur les comptes complets historiques Audit d états financiers contractuel Examen

Plus en détail

INSTRUCTION CODIFICATRICE

INSTRUCTION CODIFICATRICE INSTRUCTION CODIFICATRICE N 01-070-M95 du 1er août 2001 NOR : BUD R 01 00070 J Référence publiée au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique RÉGLEMENTATION BUDGÉTAIRE, FINANCIÈRE ET COMPTABLE DES

Plus en détail

ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA

ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA Sommaire Partie 1 : Analyse des documents de synthèse Cours 1 - Soldes Intermédiaires de Gestion... 3 Cas 1-1 : Marie (SIG sans retraitement)...

Plus en détail

Réglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance

Réglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes

Plus en détail

MAPPP/12-14 02/10/2012. Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP

MAPPP/12-14 02/10/2012. Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP MAPPP/12-14 02/10/2012 Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP L article 14 de la loi n 2009-179 du 17 fév.2009 dispose que : «/. Le contrat de partenariat est un contrat administratif

Plus en détail

Journée des administrateurs des laboratoires CNRS INSIS

Journée des administrateurs des laboratoires CNRS INSIS Journée des administrateurs des laboratoires CNRS INSIS Tarification auditable des prestations plateformes et services des UR Nadine Paul, SFC Toulouse Audit de tarification de plateforme un dossier d

Plus en détail

Chapitre I. Introduction L histoire et la normalisation de la comptabilité... 15

Chapitre I. Introduction L histoire et la normalisation de la comptabilité... 15 Sommaire Avertissement au lecteur....................................................... 11 Introduction générale........................................................... 13 Chapitre I. Introduction

Plus en détail

INSTRUCTION BUDGETAIRE ET COMPTABLE M52

INSTRUCTION BUDGETAIRE ET COMPTABLE M52 1 INSTRUCTION BUDGETAIRE ET COMPTABLE M52 TOME 1 + ANNEXES VERSION EN VIGUEUR AU 1 ER JANVIER 2014 2 SOMMAIRE TOME I LE CADRE COMPTABLE...5 TITRE 1 LA NOMENCLATURE PAR NATURE...6 CHAPITRE 1 LE PLAN DES

Plus en détail

Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation

Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil

Plus en détail

Identification, évaluation et gestion des incidents

Identification, évaluation et gestion des incidents Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE

Plus en détail

Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19

Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19 Page 1 de 12 Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19 RÉSUMÉ La présente politique définit les caractéristiques de la politique de capitalisation

Plus en détail

Chapitre IV. La certification des comptes

Chapitre IV. La certification des comptes Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine

Plus en détail

UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce

UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2

Plus en détail