Les intervenants en prévention des risques professionnels (IPRP) en service de santé au travail
|
|
- Claire Boudreau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Colloque international DIM Gestes Quelles actions pour un autre travail: Soulager la souffrance, éradiquer les facteurs de risques, «soigner le travail»? Paris, 10 et 11 juin 2013 Les intervenants en prévention des risques professionnels (IPRP) en service de santé au travail interentreprises: coopérer pour exister! Sophie Fantoni, Professeur de médecine du travail et docteur en droit, Université de Lille Julien Kubiak, Doctorant en sociologie au laboratoire Printemps, UVSQ Pascal Roquet, Professeur de sciences de l éducation, Université de Montpellier
2 L enquête en Nord-Pas-de-Calais Etude des modalités de coopération et de coordination des actions et des acteurs de la prévention des risques professionnels dans les entreprises du Nord Pas-de-Calais.
3 L identité d IPRP dans un système «polycentrique» Difficultés à définir l identité professionnelle de ces intervenants en prévention «Un IPRP (Intervenant en Prévention des Risques Professionnels) est un Préventeur(Technicien ou Ingénieur)» ( l IPRP est : «un professionnel qui a des compétences techniques ou organisationnelles. Il participe à la préservation de la santé et de la sécurité des salariés et à l amélioration des conditions de travail dans un objectif exclusif de prévention.» Cadre législatif : Directive cadre européenne 89/391/CEE du 12 juin 1989 Loi de modernisation sociale de janvier 2002 : réforme de médecine du travail / Approche pluridisciplinaire des risques au travail Circulaire n 13 du 9 novembre 2012
4 Questions Le cas des IPRP donne à voir à la fois les logiques professionnelles à l œuvre dans le secteur à travers un nouvel exemple d injonction au professionnalisme (Boussard, Demazière, Milburn, 2010) mais aussi, plus largement, cette catégorie de préventeurs cristallise en son sein les ambivalences d une expertise en santé et sécurité au travail se voulant tout à la fois hyper spécialisée et pluridisciplinaire, scientifique et militante, au service des dirigeants d entreprise comme des secrétaires de CHSCT ou des délégués du personnel. Comment les IPRP vivent-ils leur position d expert dans la division du travail au sein des services de santé et des entreprises dans lesquelles ils interviennent? Quels sont les termes de la coopération avec les médecins du travail, qui sont jusqu à présent, les prescripteurs ou du moins les relais des demandes d intervention en entreprise? Quelle confiance ont-ils dans l avenir du métier? Dans quelle mesure peut-on parler d un métier dans le cas présent?
5 Plan de la communication 1. Présentation de la population des IPRP en SSTI en région Nord-Pas-de- Calais 2. Examen du cœur de métier des IPRP vu par les intéressés 3. La division du travail au sein des services de santé interentreprises 4. La division du travail au sein des entreprises adhérentes 5. Réflexion à propos des mécanismes de la coopération et de leurs incidences sur la reconnaissance et la professionnalisation de l expertise en prévention
6 1. LE PROFIL DES IPRP EN SSTI DU NORD-PAS-DE-CALAIS: UNE POPULATION JEUNE PLUTÔT FÉMININE 100% 90% 80% 20% Année d'obtention du diplôme 5% 3% 17% 40% 70% 22% 60% 34% 70% Après % 40% 30% 36% 50% 39% 2000 à à à à 1979 Avant % 10% 0% 2% 7% 25% 10% 18% Infirmière Intervenant en Prévention des Risques Professionnels (IPRP) Assistant (e) Médecin du travail
7 2. L AFFIRMATION D UNE IDENTITÉ DE MÉTIER EN OPPOSITION À UNE IDENTITÉ PLURIELLE D IPRP «L étiquette d IPRP est le résultat d une logique gestionnaire qui efface les spécificités métiers» (Une ergonome IPRP) «Je suis toxicologue, je ne me suis jamais considéré comme un IPRP. Cette habilitation n a de sens que d un point de vu réglementaire». (Un toxicologue) «L étiquette IPRP n a pas d importance, ce qui guide ma pratique c est mon métier et non cette habilitation» (Un ergonome IPRP). «Les disciplines doivent demeurer à la fois ouvertes pour se nourrir de l extérieur et fermées pour exprimer leur identité.» (Edgar Morin, 2011)
8 3. La division du travail au sein des services. Des IPRP satisfaits d un travail orienté vers la prévention primaire Conseiller en prévention Préventeur pour un organisme spécialisé Secrétaire ou membre d'un CHSCT Infirmière Intervenant en Prévention des Risques Professionnels (IPRP) Assistant (e) Médecin du travail Eff. %C Eff. %C Eff. %C Eff. %C Eff. %C Eff. %C Eff. %C Primaire,Secondaire,Tertiaire Primaire,Tertiaire,Secondaire Secondaire,Primaire,Tertiaire Secondaire,Tertiaire,Primaire Tertiaire,Secondaire,Primaire Tertiaire,Primaire,Secondaire Total
9 Schématisation des types de prévention privilégiés par Schématisation les médecins du travail "Primaire;Secondaire;Tertiaire" 35% 30% "Tertiaire;Secondaire;Primaire" 33% 25% 20% 15% 15% "Primaire;Tertiaire;Secondaire" 10% 5% 7% 0% 6% 18% "Tertiaire;Primaire;Secondaire" "Secondaire;Primaire;Tertiaire" 22% "Secondaire;Tertiaire;Primaire"
10 Satisfaction par rapport à la répartition des types de prévention 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 31% 23% 46% Conseiller en prévention dans une entreprise ou une administration Satisfaction par rapport à la répartition de la prévention primaire-secondaire-tertiaire 27% 28% 6% 67% Préventeur pour un organisme spécialisé dans la prévention des risques professio 17% 56% Secrétaire ou membre d'un CHSCT 52% 15% 33% 39% 9% 27% 61% 64% Infirmière Intervenant en Prévention des Risques Professionnels (IPRP) 68% 8% 24% Assistant (e) Médecin du travail Non Sans opinion Oui
11 La confiance dans l avenir de la profession Confiance en l'avenir de la profession 100% 90% 80% 70% 60% 18% 6% 24% 22% 6% 28% 29% 27% 9% 9% 45% 61% 50% 40% 30% 20% 10% 76% 70% 50% 62% 64% 27% 12% 27% 27% Non Sans opinion Oui 0% Conseiller en prévention Préventeur pour un organisme spécialisé Secrétaire ou membre d'un CHSCT Infirmière IPRP Assistant (e) Médecin du travail
12 Avec qui les médecins en inter déclarentils partager certains aspects du métier? Médecin du travail en Interentreprises Avec un autre préventeur Avec un expert extérieur Avec un IPRP Avec un assistant Avec un médecin Avec une infirmière % 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Partage Ne partage pas
13 Qu est ce que les médecins déclarent partager avec les IPRP? «L ergonomie, la toxicologie, l hygiène industrielle» «études de poste» «mesure d exposition (bruit, toxique, vibration)» «évaluation des risques, aide à l employeur, accompagnement des salariés en difficulté» «tous les projets de prévention dans mes entreprises» «évaluation des risques, analyse de FDS» «une grande partie de mon travail sur le terrain» «la prévention primaire»
14 Qu est ce que les IPRP déclarent partager avec les médecins? «Aucun. Le médecin donne simplement des informations sur l'entreprise» «Aucune, je suis seule» «Partager? Rien» «Compte rendu, courrier, projet de prévention, étude de poste, fiche d'entreprise.» «Travaux ergonomiques» «Je réalise des entretiens infirmiers intercurrents (entre 2 visites périodiques) ou spécifiques. Les médecins du travail me missionnent pour les représenter en CHSCT ou lors de réunions. Je réalise également des études de postes. Nous avons également nos temps de débriefing pour échanger sur le suivi des dossiers en cours "
15 La participation à l évaluation des risques professionnels (D.U) Participation à l'évaluation des risques professionnels en fonction du profil 100% 90% 80% 70% 14% 26% 47% 49% 23% 20% 29% 60% 50% 40% 30% 20% 86% 74% 53% 51% 77% 80% 71% Non Oui 10% 0% Conseiller en prévention dans une entreprise ou une administration Préventeur pour un organisme spécialisé dans la prévention des risques professio Secrétaire ou membre d'un CHSCT Infirmière Intervenant en Prévention des Risques Professionnels (IPRP) Assistant (e) Médecin du travail
16 La participation à l identification, l évaluation des risques et à la mise en place des actions de prévention 120% 100% 80% 60% 95% 94% 89% 89% 90% 81% 70% 70% 60% 85% 69% 62% 100% 100% 82% 76% 44% 88% 73% 49% 40% 20% 11% 0% Conseiller en prévention Préventeur pour un organisme spécialisé Secrétaire ou membre d'un CHSCT Infirmière IPRP Assistant (e) Médecin du travail L'identification des risques L'évaluation des risques La mise en place du plan d'action
17 Avec qui les médecins déclarent-ils faire l évaluation des risques?
18 Conclusions et perspectives Les IPRP souffrent d un manque de reconnaissance quant à l utilité de leur travail aussi bien dans les services de santé que dans les entreprises où ils interviennent. Le défi pour ces IPRP est de faire valoir une expertise, une professionnalité, tant dans leurs relations aux médecins du travail qui relaient les demandes d interventions qu aux chefs d entreprise qui attendent désormais une certaine qualité de service sur le modèle client/consultant. Hybridation des savoirs de la santé au travail avec ceux venus de la sécurité et de la gestion des risques Vérification d une interdépendance des acteurs de la santé et de la sécurité au travail Pour exister, les IPRP sont dans l obligation de coopérer et ce, d abord avec les médecins et les infirmières qui suivent les salariés de l entreprise étudiée Lorsque le médecin donne une intervention à un IPRP, est-ce là: «un moyen d exercer à la fois sa propre liberté et à la fois de réduire celle du donataire qui dépendra, toujours, de l initiative du donateur.»? (Alter, 2006) Pour mieux comprendre la complexité de la reconnaissance du travail des IPRP, il faut considérer ces professionnels de la prévention dans leurs temporalités. Au niveau des services de santé au travail comme au niveau de l entreprise, les IPRP se heurtent à la question complexe de la mesure de l efficacité du travail de prévention.
19 Bibliographie Abbott A., Ecologies liées : à propos du système des professions, in Menger P-M. (dir.), Les professions et leurs sociologues. Modèles théoriques, catégorisations, évolutions, Paris, Editions de la MSH, Alter Norbert, «Don et échange social» in Alter.N(dir.), Sociologie du monde du travail, PUF, Paris, BoussardV., DemaziereD., Milburn P. (dirs), L injonction au professionnalisme, Rennes, Presses Universitaires de Rennes. Demazière Didier, Roquet Pascal, Wittorski, La professionnalisation mise en objet, L Harmattan. MarichalarPascal, «Prévenir ou produire. Autonomie et subordination dans la médecine du travail (France, )». Thèse de doctorat soutenue publiquement. Roquet Pascal., La diversité des processus de professionnalisation : une question de temporalités, Carrièrologie, 11(1), Viet Vincent., Ruffat Michèle, Le choix de la prévention, Paris, Économica. Rapport: FrimatP, Roquet P (coord.), (2012), Etude des modalités de coopération et de coordination des actions et des acteurs de la prévention des risques professionnels dans les entreprises du Nord Pas-de-Calais.
Préambule. Obligations des employeurs. La Fiche d Entreprise (revisitée) Missions des SSTi*
Dr CROUZET 12/10/2012 SMTMP / RESACT Préambule Le chainon manquant Missions des SSTi* La Fiche d Entreprise (revisitée) Obligations des employeurs? Page 6 de la circulaire du Document Unique, du 18 avril
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailUn nouvel acteur dans l entreprise
Mai 2014 Un nouvel acteur dans l entreprise Le salarié compétent en santé-sécurité au travail A quoi sert-il? Quels liens avec les autres acteurs de l entreprise? Quelles compétences? Quels moyens? Chargé
Plus en détailOuverture sur le monde économique Formation tout au long de la vie
Ouverture sur le monde économique Formation tout au long de la vie SOMMAIRE 1. Cadre législatif et réglementaire : textes officiels 2. Rapports officiels 3. Actes 4. Ouvrages 5. Dossiers et articles de
Plus en détailIntervenant en Prévention des Risques Professionnels. Formulaire de demande d enregistrement
Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L EMPLOI DE BOURGOGNE
Plus en détailDes formations pour la prévention du stress et des performances managériales
Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»
CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude
Plus en détailLe prescrit d un dispositif de stage Les contradictions du dispositif Deux études de cas
Le stage dans une formation française d ingénieurs : un objet au cœur de contradictions Congrès ACFAS, colloque 526 : Regard multidisciplinaire sur la formation d un professionnel en milieu de pratique
Plus en détailTPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité
TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité Objectif de la réunion Connaître et comprendre la nouvelle réglementation Intérêt
Plus en détailL histoire économique, sociale et des techniques
Département d histoire 2, rue du facteur Cheval 91000 Evry, France L histoire économique, sociale et des techniques pour les entreprises Octobre 2007 Votre contact : Alain Pichon alain.pichon@univ-evry.fr
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailUNIVERSITÉ 66,8 C.P.G.E. 74,8 % D.U.T. B.T.S. 13,4 % 2,3 11,1 Autres formations 9,7. Total : 97,5 % 7,8 0,2. Lettres Economiques
APRES LE BAC UNIVERSITÉ 66,8 C.P.G.E. Lettres Economiques 8 7,8 0,2 74,8 % D.U.T. B.T.S. 2,3 11,1 Autres formations 9,7 Ecoles de commerce, vente, gestion Ecoles artistiques (y compris archi) Ecoles paramédicales
Plus en détailRPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea
RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION
Innovation - Prévention conseil - accompagnement - formation Innovation-Prévention 19 rue Paul Séramy 77300 Fontainebleau N SIRET : 48155965600030 Tel : 09.88.99.99.59 www.innoprev.com Contact Direct avec
Plus en détailARCHIVAGE DES DOSSIERS MEDICAUX ET DES DOSSIERS ENTREPRISES DU MEDECIN DU TRAVAIL
ARCHIVAGE DES DOSSIERS MEDICAUX ET DES DOSSIERS ENTREPRISES DU MEDECIN DU TRAVAIL CENTRE INTER REGIONAL D ARCHIVES MEDICALES DU NORD PAS-DE-CALAIS REALISE PAR LE GISSET 31 ème Journées Nationales de Santé
Plus en détailJUNIOR MBA ECOFI MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DE S PROJETS
JUNIOR MBA ECOFI MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DE S PROJETS Diplôme Grade Master de l IEP Rennes bac+5 En Alternance Coordination pédagogique : Lionel Honoré - Professeur lionel.honore@sciencespo-rennes.fr
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailÉtudes. Certaines filières STS (BTS, BTSA) IUT (DUT) universitaires. Écoles (Social, Santé, Arts, Ingénieurs, Commerce ) Classes préparatoires
sélectives à l entrée STS (BTS, BTSA) IUT (DUT) Études non sélectives à l entrée Certaines filières universitaires Écoles (Social, Santé, Arts, Ingénieurs, Commerce ) Classes préparatoires Certaines filières
Plus en détailMaster Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH)
Master Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH) RESPONSABLES : mention Management : Martine BRASSEUR,
Plus en détailMASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE
MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine
Plus en détailADHESION PRESTATIONS FOURNIES PAR LE SERVICE MÉDICAL INTERENTREPRISES
Ce document reprend à l identique le contenu de la version originale du règlement intérieur à destination des entreprises adhérentes du Service Médical, arrêté par le Conseil d Administration et consultable
Plus en détailRenforcement de Capacité La gestion de déchets industriels - La Promotion de l enseignement
Des modules d une filière (Master) dans le domaine «La gestion de l environnement et des déchets industrielles» L exemple de l Allemagne Otto Schmidt En RFA, l Autriche et la Suisse allemande: Des Masters
Plus en détailAu cœur de l emploi public local
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de l Isère Au cœur de l emploi public local www.cdg38.fr Nous connaître Nos missions Le Centre de Gestion est un établissement public administratif
Plus en détailOffre nationale de formation de l Assurance Maladie Risques Professionnels et de l INRS
Offre nationale de formation de l Assurance Maladie Risques Professionnels et de l INRS Année 2015 Sommaire Organisation et management de la prévention Assurer sa mission de personne désignée compétente
Plus en détailUNIVERSITE MONTPELLIER I UFR de PHARMACIE
UNIVERSITE MONTPELLIER I UFR de PHARMACIE DOPAGE «DE L ANALYSE A LA PREVENTION» EN PARTENARIAT AVEC DOPAGE : de l analyse à la prévention PORTEURS DU PROJET RESPONSABLES S Michel AUDRAN Professeur de pharmacie
Plus en détailBertrand PARENT. 3 rue des Bons Français, 44000 NANTES. Bertrand.Parent@ehesp.fr
MODÈLE EUROPEEN DE CURRICULUM VITAE INFORMATIONS PERSONNELLES NOM ADRESSE Bertrand PARENT 3 rue des Bons Français, 44000 NANTES TELEPHONE 0662402190 COURRIER ELECTRONIQUE NATIONALITE Bertrand.Parent@ehesp.fr
Plus en détailIntervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification
Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation
Plus en détailRéférentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010
Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.
Plus en détailÉlargissez vos compétences en intégrant une formation Bac +6 répondant aux enjeux de l'éco-innovation
Mastère Spécialisé Économie circulaire : les outils de l Écologie industrielle et de l Éco-conception Bac +6 Élargissez vos compétences en intégrant une formation Bac +6 répondant aux enjeux de l'éco-innovation
Plus en détailL équipe doit être constituée d'au moins 3 membres dont le chef de projet. Informations sur le Projet. Scientifiques. Secteurs développement
L équipe doit être constituée d'au moins 3 membres dont le chef de projet Soumission d'un Projet Les champs précédés d un astérisque * sont obligatoires Établissement * Laboratoire * Faculté /institut
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détail2015-2016 Master2 Psychologie du travail- management des organisations
2015-2016 Master2 Psychologie du travail- management des organisations Université Lille 3, UFR de psychologie Responsable : Desrumaux Pascale, Professeur de Psychologie du travail et des organisations
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailCARSAT Club RPS. Mardi 18 octobre 2011. Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon
CARSAT Club RPS Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon Mardi 18 Nombre de contrôles et d'interventions en entreprise sur l'évaluation
Plus en détailClient : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail
Drroiitt ett oblliigattiions de ll enttrreprriise au rregarrd du code du ttrravaiill Action Objectifs Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Appréhender les dernières évolutions
Plus en détailL évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité?
1 L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? Prof. Gérard CLIQUET Président de la CIDEGEF IGR-IAE, Université de Rennes 1, FRANCE L année
Plus en détail20 SEPTEMBRE. juin 2010
05224 19 20 SEPTEMBRE juin 2010 2014 LEGISLATION Les principaux changements relatifs à l organisation et au fonctionnement des SST Décision de la Direction Générale du Travail 29 avril 2014 Annulation
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailOFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR
OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / PHARMACIE Sous réserve d accréditation (Licences et Masters) LISTE DES FORMATIONS
Plus en détailPartenaire de votre entreprise
Partenaire de votre entreprise PROFESSIONNELS OFFRE DE FORMATIONS L IGR-IAE accueille plus de 1000 étudiants en formation initiale, apprentissage et continue : des spécialistes hautement qualifiés pour
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détail! Diplôme de l Institut de Droit des Affaires. Université Paris II Panthéon-Assas
Diplôme de l Institut de Droit des Affaires Université Paris II Panthéon-Assas Une formation d excellence PRÉSENTATION Créé en 1945 par le Doyen Hamel au sein de l'université de Paris, le diplôme l'institut
Plus en détailMaître de conférences de droit public Directeur du centre de recherche des écoles St-Cyr Coëtquidan
Ronan DOARE Né le 19 décembre 1966 à Quimper (29) 02.90.40.40.00 ronan.doare@st-cyr.terre-net.defense.gouv.fr Maître de conférences de droit public Directeur du centre de recherche des écoles St-Cyr Coëtquidan
Plus en détailPolitique de communication de l A.R.F.P.
27 septembre 2001 AL/GC Politique de communication de l A.R.F.P. 1. Ses raisons d être La communication est un des moyens qui contribue à la réalisation de notre projet associatif. Celui-ci affirme dans
Plus en détailOuverture des deuxièmes Assises de la Prévention des Risques Professionnels dans les Collectivités Territoriales. Parc des Expositions de la Nordev
Ouverture des deuxièmes Assises de la Prévention des Risques Professionnels dans les Collectivités Territoriales Parc des Expositions de la Nordev Saint Denis Mercredi 13 novembre 2013 Monsieur le Président
Plus en détailMaster en Gestion des Ressources Humaines. à finalité spécialisée
Master en Gestion des Ressources Humaines à finalité spécialisée Introduction Ce nouveau Master à finalité spécialisée est organisé conjointement par l'institut des Sciences Humaines et Sociales (ISHS)
Plus en détailDémarche de prévention de la pénibilité : Aide à la mise en œuvre
Démarche de prévention de la pénibilité : Aide à la mise en œuvre dans les TPE-PME T e m p é r a t u r e Produits chimiques Horaires décalés Manutention de la pénibilité dans les TPE-PME 1 Préambule Suite
Plus en détaildestiné à: - faciliter la constitution des groupes - mieux vous connaître
DOCTORIALES franco-belges 20112 QUESTIONNAIRE DE PRE-EVALUATION destiné à: - faciliter la constitution des groupes - mieux vous connaître L accès au questionnaire se fera en vous identifiant sur le site
Plus en détailPalmarès 2009 des formations RH
Palmarès 2009 des formations RH Etude Andrh Inergie sur les formations RH Attentes et pratiques des professionnels de la fonction RH en matière de formation RH initiale et continue Septembre 2009 Contacts
Plus en détailLE RESEAU IM@DOC. Ce réseau est issu de l'identification et de la formation de personnes et d'équipes ressources en numérisation.
RESEAU METHODOLOGIQUE POUR LA RECHERCHE, LA PRODUCTION ET LE TRANSFERT TECHNOLOGIQUE SUR LES BANQUES D'IMAGES ET DOCUMENTS SCIENTIFIQUES EN SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Ce réseau est issu de l'identification
Plus en détailGUIDE DE CONSTITUTION DE DOSSIER EN VUE DE LA RECONNAISSANCE ET/OU DE L EQUIVALENCE DES DIPLOMES, TITRES ET GRADES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
CONSEIL AFRICAIN ET MALGACHE POUR L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (C. A. M. E. S.) 01 B.P. 134 OUAGADOUGOU 01 (BURKINA FASO) Tél. : (226) 50.36.81.46 - Fax : (226) 50.36.85.73 Email : cames@bf.refer.org GUIDE
Plus en détailMASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008
Année 2007/2008 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER RECHERCHE Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS DES SCIENCES Spécialité Histoire et Philosophie des Sciences Unités de Formation et de
Plus en détailOuverture 2 Bertrand HEBERT, Directeur général adjoint de l'apec. Présentation de l étude 3
Sommaire Ouverture 2 Bertrand HEBERT, Directeur général adjoint de l'apec Présentation de l étude 3 Jean-Marie Blanc, Directeur des Relations institutionnelles et partenariats de l'apec Pierre Lamblin,
Plus en détailCAMPUS SENGHOR du SENEGAL ENDA-MADESAHEL. Mbour, Sénégal. Master Santé Environnementale
CAMPUS SENGHOR du SENEGAL ENDA-MADESAHEL Mbour, Sénégal Master Santé Environnementale Les problèmes environnementaux auxquels l Etat, les collectivités locales, les entreprises et la société civile doivent
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailQuota et Hors quota. La taxe d apprentissage, c est quoi? La taxe d apprentissage est divisée en deux parties :
Quota et Hors quota La taxe d apprentissage est divisée en deux parties :. La part Quota. Les entreprises ont l obligation de participer au financement du coût réel de la formation de l apprenti dans la
Plus en détailEtape 4 : AMELIORATION - Réajustement à la situation de l'entreprise de l'information communiquée
Partie V. Guide méthodologique IPAPE Etape 4 : AMELIORATION - Réajustement à la situation de l'entreprise de l'information communiquée Afin d'appliquer le concept d'amélioration continue, les partenaires
Plus en détailATELIERS 2014. Les Formations en Social Psychologie Sociologie
ATELIERS 2014 Les Formations en Social Psychologie Sociologie SCHEMA DES ETUDES Les formations courtes Bac +2 Différences BTS et DUT BTS En lycée ou en école 30 élèves par classe 45% ont un bac techno
Plus en détailCURRICULUM VITAE. Lieu d Exercice : Faculté des sciences Economique et Des Sciences de Gestion Université D Oran Es-Sénia Algérie
CURRICULUM VITAE Nom et Prénom : CHERCHEM. MOHAMED Date et lieu de Naissance 10 12 69 à ORAN Adresse Personnelle : 13 rue de MOSTAGANEM Oran 31000 Tél. 00213 41 56 00 33 portable 00213 770 40 57 57 E-mail
Plus en détailLicence professionnelle Bibliothécaire
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Bibliothécaire Université Bordeaux Montaigne Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier
Plus en détailMASTER OF PUBLIC ADMINISTRATION
MASTER OF PUBLIC ADMINISTRATION (Bac+4, +5, 300 ECTS) IEAM PARIS - Institut des Études d'administration et de Management de Paris & SCIENCES PO AIX - Institut d Etudes Politiques d Aix-en-Provence ou PKU
Plus en détailLa créativité de l Économie sociale et solidaire est-elle soluble dans l entrepreneuriat?
XV es Rencontres du RIUESS Reims - 27 au 29 mai 2015 organisées par Laboratoire d économie et gestion Regards EA6292 Soutenu par la Chaire d Economie Sociale NEOMA/URCA! La créativité de l Économie sociale
Plus en détailHippolyte d Albis est Chercheur associé à la Chaire Transitions Démographiques, Transitions Économiques.
Hippolyte d Albis est Chercheur associé à la Chaire Transitions Démographiques, Transitions Économiques. Il est Professeur de sciences économiques à l Université Paris I et à l École d Économie de Paris
Plus en détailSoutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie
APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011
Plus en détailDéveloppeur de talents. École Universitaire de Management. Cultivez votre. différence!]
Développeur de talents École Universitaire de Management Cultivez votre différence! L I.A.E de www.iae-grenoble.fr Depuis plus de cinquante ans, l IAE de forme à la fois des managers «double compétence»
Plus en détailFORMATION DOCUMENTAIRE. module "ACCES AUX DOCUMENTS PRIMAIRES"
FORMATION DOCUMENTAIRE module "ACCES AUX DOCUMENTS PRIMAIRES" P L A N I - MONOGRAPHIES 1 - Définitions 2 - Est-ce à l ORSTOM? 3 - Obtenir le document à l extérieur a) Vérification de la référence b) Achat
Plus en détailOrganisation d une action de prévention collective en entreprise
Organisation d une action de prévention collective en entreprise Intérêt de la pluridisciplinarité Anne LE MAULT 15 mai 2014 L'éducation pour la santé une demande Quelqu un demande explicitement quelque
Plus en détailSoFGRES - Université Paris I Sorbonne 1, rue Victor Cousin 75005 PARIS www.sofgres.org. SoFGRES / Hôpital Expo 20 mai 2010
SoFGRES - Université Paris I Sorbonne 1, rue Victor Cousin 75005 PARIS www.sofgres.org 1 La SoFGRES association loi 1901 à but non lucratif, créée et déclarée à la préfecture de Paris le 28 mai 2002, qui
Plus en détailRÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines
RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique
Plus en détailENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des
Plus en détailEtat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France
Etat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France Impact de l universitarisation sur la recherche en soins infirmiers et son autonomie Catherine BARGIBANT- CHRU de LILLE Introduction 1. Enracinement
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailREPUBLIQUE TUNISIENNE. Ecole Supérieure d Agriculture de Mograne
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L AGRICULTURE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Institution de la Recherche et de l Enseignement Supérieur Agricoles Université Carthage
Plus en détailServices. Expériences d entreprises de moins de 20 salariés. Propositions d axes de travail. Agir pour améliorer les conditions de travail
Services à la personne Agir pour améliorer les conditions de travail Expériences d entreprises de moins de 20 salariés Propositions d axes de travail Des problématiques des Des petites entités souvent
Plus en détailL3 Psychologie «Ergonomie : travail, innovations et formation» Les enjeux et éléments historiques. Principaux concepts et théories sous-jacentes
9/25/14 L3 Psychologie «Ergonomie : travail, innovations et formation» Présentation du thème 1 Catherine Delgoulet LATI Thème 1 (C. Delgoulet) Comprendre/transformer le travail Les enjeux et éléments historiques
Plus en détailEditorial Elus de CE, délégués du personnel, membres
Sommaire Le droit à formation 1 - Droit à la formation 2 des représentants du personnel Des élus titulaires du CE................................ 2 Des membres du CHSCT............................... 2
Plus en détailLes palmarès du bonheur professionnel
Les palmarès du bonheur professionnel Viavoice Le Nouvel Observateur Octobre 2013 Viavoice Paris. Études Viavoice & conseil 9 rue Huysmans, 75 006 Mieux Paris. comprendre + 33 (0)1 40 l opinion 54 13 90
Plus en détailTROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)
Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCES A LA FORMATION
LES CONDITIONS D ACCES A LA FORMATION 1 SOMMAIRE LES CONDITIONS D ACCES A LA FORMATION I. Les conditions d exercice de la formation A. Qui peut bénéficier d actions de formation?... p 3 B. Pour quels motifs
Plus en détailRapport du comité d'experts
Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Centre du droit de l entreprise, EA 3397 de l'université Strasbourg 3 avril 2008 Section des Unités de recherche Rapport
Plus en détailCONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI)
AIX-EN-PROVENCE LILLE LYON ORSAY POITIERS RENNES SÉLESTAT TOULOUSE TOURS CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) la reconnaissance du musicien intervenant par
Plus en détailDPS 14 septembre 06. Bilan de l avancée de la démarche à 6 mois AIPST Caen
DPS 14 septembre 06 Bilan de l avancée de la démarche à 6 mois AIPST Caen Composition du comité de pilotage, constitué en Janvier 2006 Composition du comité de pilotage de l AIPST / Groupe régional - 2
Plus en détailRapport d évaluation de l'école doctorale n 405
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de l'école doctorale n 405 Economie, Management, Mathématiques et Physique de l Université de Cergy-Pontoise - UCP Vague E - 2015-2019 Section
Plus en détailThierry Poulain-Rehm
Professeur des Universités Directeur de l Institut d Administration des Entreprises La Rochelle TITRES UNIVERSITAIRES Agrégation de l enseignement supérieur, concours 2013-2014, jury Hubert de La Bruslerie.
Plus en détailNos solutions formation BTP à destination des services de santé au travail
Crédits photos OPPBTP / X. Pierre - Fotolia - Getty Nos solutions formation BTP à destination des services de santé au travail Avec le soutien des Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des
Plus en détailLycéen. Faire des études en Sciences Politiques dans le Nord-Pas de Calais. Janvier 2013
Lycéen Faire des études en Sciences Politiques dans le Nord-Pas de Calais Janvier 2013 Centre ressources Après-Bac (CIO de Lille) - 11, rue de Thionville - 59000 Lille 03.28.53.29.80mail : apresbac@ac-lille.fr
Plus en détailAssociatif, humanitaire, ONG
Secteur d'activité Aéronautique Aéronautique Agriculture, agroalimentaire Automobile Automobile Automobile Autres Profession Militaire/Marin d'etat/logistique Comédien Chargée de Communication chef de
Plus en détailLes seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS
Les seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS Journée d information et d échanges organisée par l Equipe de droit social, UMR 7354 DRES La prévention des facteurs de pénibilité,
Plus en détailPrévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP
Prévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP Les facteurs de pénibilité applicables au 1 er janvier 2015 T R A V A I L D E N U I T T R A V A I L E N É Q U I P E S S U C C E S S I V
Plus en détailLES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE
Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de
Plus en détailFormation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé)
MASTER PROFESSIONNEL Sciences de l éducation master (bac+5). (ex DESS) Consultant chargé de missions d évaluation Pour devenir intervenant chargé de missions d évaluation : Expert, consultant ou coach
Plus en détailLes nouveaux défis de la santé au travail
ÉCOLE CENTRALE PARIS Choisissez l excellence Executive Education Les nouveaux défis de la santé au travail une dynamique au service de la prévention EXECUTIVE CERTIFICATE 16 journées en 2009-2010 I 1 Toute
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Distribution et marketing de l Université Lille 2 Droit et santé Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations
Plus en détailCompte rendu de l intervention de Jean-Louis LACOMBE. Rencontre européenne de la technologie du 23 mars 2005. La Fondation d entreprise EADS
Compte rendu de l intervention de Jean-Louis LACOMBE Rencontre européenne de la technologie du 23 mars 2005 La Fondation d entreprise EADS La fondation d entreprise créée par EADS est conçue comme une
Plus en détailLES MISES A DISPOSITION DE SALARIÉS
UNIVERSITE PAUL CEZANNE AIX-MARSEILLE III Faculté de Droit et de Science Politique COLLECTION DU CENTRE DE DROIT SOCIAL Guillaume SAINCAIZE LES MISES A DISPOSITION DE SALARIÉS Préface Bernard TEYSSIÉ Professeur
Plus en détailLes masters concernés :
Les masters concernés : Master Informatique Recherche Master Compétence complémentaire en informatique (CCI) Master Electronique Master Système d Information et Réseaux (SIR) METHODOLOGIE / OBJECTIFS /
Plus en détailNotice biographique Repères biographiques communs
Nom : SALERNO Corps : Professeur des universités Notice biographique Repères biographiques communs Prénom : FRANCIS Grade : Professeur Classe Ex 1 Equipe de recherche LEM, UMR CNRS (8179). Section : 06
Plus en détailPartenaire de votre entreprise
IGR-IAE DE RENNES Ecole Universitaire de Management Partenaire de votre entreprise PROFESSIONNELS L ESPRIT D ENTREPRISE À L UNIVERSITÉ, UN DOUBLE HÉRITAGE Notre patrimoine pour vos futurs collaborateurs
Plus en détailMaster. Développement et exper se de l économie sociale. Spécialité du Diplôme national de master «Politiques publiques et changement social»
Master Poli ques publiques et changement social Spécialité du Diplôme national de master «Politiques publiques et changement social» Développement et exper se de l économie sociale Responsable de la spécialité
Plus en détail