MACROECONOMIE AGRICOLE
|
|
- Augustin Desroches
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MACROECONOMIE AGRICOLE Arnaud Diemer Institut des Hautes Etudes en Droit Rural et Economie Agricole
2 INTRODUCTION Qu est ce que la macroéconomie agricole? C est l étude des exploitations agricoles et de leur environnement. Il est cependant difficile de cerner la réalité de l unité économique de base de l agriculture. Outre le problème de l agrégation (est-ce que l ensemble des exploitations correspond à la somme des exploitations agricoles? ), il faut noter que la définition de la qualité d agriculteur en France, est variable selon le point de vue envisagé : fiscal, social ou économique. Les dénombrements et les études seront donc différents selon qu il s agit des statistiques du Ministère de l Agriculture et de la Pêche, de celles de la Mutuelle Sociale Agricole ou de celles du Ministère de l Economie, du Budget, des Finances et de l Industrie. Ainsi le Ministère de l Economie, du Budget, des Finances et de l Industrie établit deux séries de statistiques au titre des deux grands impôts que sont la TVA et l impôt sur le revenu. Le recensement au titre de la TVA est le suivant : assujettis à la TVA (RSA, mais incluant des assujettis TVA qui ne sont pas agriculteurs, notamment les bailleurs de biens ruraux) et assujettis au régime de remboursement forfaitaire agricole (RFA).Au regard de l impôt sur le revenu, exploitations sont recensées dans la catégorie des BA dont près de sont soumis au régime du forfait collectif. La Mutualité Sociale Agricole distingue parmi ses cotisants (personnes physiques), les personnes qui exploitent au moins la moitié de leur surface minimum d installation, ce sont les cotisants ordinaires au nombre de dont travaillant sur des exploitations individuelles, et dans des sociétés, de ceux qui exploitent une surface inférieure, cotisants solidaires, au nombre de Le Ministère de l Agriculture et de la Pêche établit deux séries statistiques. La première est celle des exploitations professionnelles, au nombre de , définies par référence à leur marge brute standard (MBS). La marge brute standard est un indicateur européen de valeur ajoutée qui permet de comparer les exploitations quel que soient les productions et le statut juridique de l exploitant. Une entreprise agricole est dite professionnelle lorsqu elle exploite 2
3 12 hectares de blé et emploie l équivalent d une personne à mi-temps. La seconde est celle des exploitations agricoles à titre principal, au nombre de , elles sont caractérisées par des critères physiques variables selon les productions (exploitations de plus de 1 hectare, de plus de 20 ares de cultures spécialisées ou de plus de x animaux). L exploitation agricole est généralement appréhendée à travers deux définitions. Au sens de la statistique agricole, une exploitation agricole 1 est une unité de production qui doit satisfaire aux 4 conditions suivantes : elles produit des produits agricoles, elle atteint ou dépasse une certaine dimension, elle est soumise à une gestion unique, elle est localisée en un lieu déterminée. Au sens du Larousse agricole 2002, «l exploitation agricole est une unité économique disposant de moyens de fonctionnement autonomes (terre, bâtiments, cheptel, matériels) qui sont utilisés par un exploitant 2 agricole pour exercer des activités agricoles aux termes de la loi du 30 décembre 1988». Cette dernière précise que les activités réputées agricoles sont de trois types : les activités de production agricole ; les activités réalisées dans le prolongement de l acte de production ; les activités ayant comme support l exploitant agricole. Les activités de production agricole sont des activités constituant un ou plusieurs étapes nécessaires au déroulement d un cycle biologique végétal ou animal, et correspondant à la maîtrise et à l exploitation de ce cycle. Outre les activités de production animale, végétale et forestière, peuvent être considérées comme agricoles : les élevages hors-sol, l insémination artificielle, l élevage apicole, la pisciculture, Les activités exercées dans le prolongement de l acte de production agricole sont les activités complémentaires de transformation, de conditionnement et de vente des produits provenant de l exploitation. Les activités ayant pour support l exploitation agricole sont des activités complémentaires d accueil touristique à la ferme (gîtes ruraux, camping.) Si la macroéconomie se préoccupe principalement des activités de production agricole ainsi que des activités de prolongement de l acte de production agricole, elle devra également tenir compte des perspectives de développement des exploitations et des répercussions de ce développement sur la gestion des exploitations (la création d un gîte rural peut modifier l organisation du travail, donc la combinaison des facteurs de production.). Le champ d investigation de la macroéconomie agricole étant étendu, il était nécessaire d adopter une démarche à la fois pertinente et rigoureuse. Nous procéderons dans ce qui suit, à une analyse de type SWOT, en d autres termes, à l étude des forces ; faiblesses ; contraintes et opportunités des exploitations agricoles. Il s agit d effectuer un diagnostic interne et externe à la fois, car de mauvais résultats peuvent avoir pour origine une mauvaise orientation des activités productives (la combinaison des facteurs de production n est pas optimale) ou un dysfonctionnement des marchés (crise de surproduction, crise sanitaire, ). 1 Selon la nomenclature américaine, une exploitation agricole est définie comme «tout endroit où la valeur de la production agricole qui a été vendue, ou qui aurait dû être vendue normalement au cours de l"année du recensement, atteint $ ou plus» (Allen, Lueck, 1997). 2 Parmi les personnes qui concourent au fonctionnement d une exploitation (exploitant, aides familiaux, conjoint collaborateur, salariés), l exploitant (ou chef d exploitation) est celui qui dispose d un titre juridique (propriété, contrat de location ) lui donnant le droit d exercer l activité agricole sur le bien foncier qui en est le support. 3
4 Figure 1 : Environnement des exploitations agricoles Sécurité sociale Ministère de l agriculture Aides, subventions, Loi d orientation. Ministère de l environnement Epandages, gestion de l eau, reboisement, pollution. Ministère de la Justice Forme juridique Mutuelle sociale Agricole Cotisations Prestations EXPLOITATIONS AGRICOLES Exploitation familiale :Exploitant + conjointe Forme juridique : Entreprise individuelle, EURL, SARL, Fonction de production : travail, capital, terre, Entreprises d alimentation animale Production animale Bovins Ovins Caprins Porcins Equins Poulets Canards Dindes et Dindons Pintades Lapins Production végétale - Cultures fourragères - Grandes cultures (céréales, oléagineux, protéagineux, pommes de terre et jachères) - Légumes frais et secs (tomates, haricots verts, carottes) - Vignes, vergers, pépinières Firmes agrochimiques (engrais, pesticides) Semenciers Union Européenne Politique agricole commune : quotas, subventions Abattoirs Coopératives Organismes stockeurs, Marché de Rungis Entreprises agroalimentaires Marché Mondial Artisans, Commerçants Distributeurs (Cora, Carrefour, Inter-marché ) CONSOMMATEURS 4
5 PLAN Le premier dossier s attachera à replacer les exploitations agricoles dans un contexte macroéconomique. Issue des travaux de l INSEE (Ministère de l économie) et du SCEES (Ministère de l agriculture), la Comptabilité Nationale Agricole retrace les opérations économiques et financières réalisées par les agents (ici les exploitations agricoles) d une nation. Application : comptes prévisionnels des années Le deuxième dossier se penchera sur les caractéristiques économiques, spatiales et temporelles des marchés de produits agricoles. L offre globale (résultant de décisions de produire motivées par le profit) et la demande globale (exprimant les besoins des populations) fixent conjointement le prix des produits agricoles. Ces phénomènes de marché et leurs incidences sur l économie de la production doivent être anticipés par le monde agricole. Toutefois, l existence d intermédiaires (distributeurs, centrale d achat, coopérative ) et de fonctions économiques particulières (stockage, spéculation ) biaisent les perceptions des différents agents. Les forces en présence sur le marché ne sont pas toujours celles que l on croît! Application : illustration par le marché du blé, le marché du porc, le marché de la volaille, le marché des bovins Le troisième dossier précisera l environnement institutionnel agricole. A côté du marché, il existe des organisations économiques (signes de qualité, organisation de producteurs) et une politique étatique. Pour certains, ces institutions pallient aux dysfonctionnements du marché (idée d un marché organisé). Pour d autres, elles se substitueraient aux marchés eux-mêmes. Application: la question des appellations, des normes Le quatrième dossier reviendra sur l environnement européen et international. Le dernier cycle de négociation de Cancun a en effet rappelé que les exploitations agricoles françaises devaient désormais anticiper les grandes orientations de la Politique Agricole Commune (PAC), de l Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et des lois d orientation votées aux Etats-Unis. Application : La PAC, la loi agricole américaine 5
Assiette mini. 600 SMIC 1 plafond
Social : La protection sociale 1- L affiliation au régime non salarié agricole J exerce une activité agricole < 5 ha J assure la direction de l entreprise (ou 1/8 SMI) J en tire des revenus professionnels
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailL exploitant, entrepreneur agricole individuel et sous forme collective. 1. Exploitant, entrepreneur agricole : vous êtes affilié à la MSA
Sommaire L exploitant, entrepreneur agricole individuel et sous forme collective 1. Exploitant, entrepreneur agricole : vous êtes affilié à la MSA Fiche 1 Les activités réputées agricoles exercées par
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014
N FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 PLAN DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DIAGNOSTIC SEUL DISPOSITIF N 121 C1 DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL DE LA RÉGION NORD PAS DE CALAIS Cette demande
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailLa Population des Exploitants agricoles en 2011
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES
Plus en détailCHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES
CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES 1. Les subventions d exploitation... 107 2. Les autres impôts sur la production... 109 3. La rémunération des salariés... 112 4. Les intérêts... 114 5. Les charges
Plus en détailLes Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques ETUDE février 2014 Les Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012 www.msa.fr FEVRIER 2014 Les exploitants et entrepreneurs agricoles en 2012
Plus en détailPourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailFormulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailET EQUIPEMENTS ASSOCIES DES EXPLOITATIONS AGRICOLES» DEMANDE DE SUBVENTION 2015
Préfet de la région Bretagne Soutien aux investissements d'amélioration de la performance globale et de la durabilité de l'exploitation agricole Type d'opération 411 du Programme de Développement Rural
Plus en détailASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE. Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI
ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI visant à rendre obligatoire l indication du pays d origine pour les produits agricoles
Plus en détailStatut du fermage et Baux ruraux
Dossiers numériques Statut du fermage et Baux ruraux présentation, analyse et commentaires textes et circulaires administratives formulaires et jurisprudences par Francis VARENNES Juriste-Fiscaliste Autres
Plus en détailGestion des risques de prix et de revenu en production porcine : diversité et intérêt des programmes canadiens
Spécial Gestion des risques de prix et de revenu en production porcine : diversité et intérêt des programmes canadiens Spéciale Au Canada, la gestion des risques de l entreprise est un des piliers du Cadre
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détail«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE
Proposition de réglementation spécifique de la production et de la commercialisation de produits agricoles et alimentaires traditionnels en Amérique latine ( ) - Propositions «Metate» - Marlen LEON GUZMAN
Plus en détailAgri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012
Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.
Plus en détailProposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec
Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec «L agriculture du Québec mûre pour sa révolution tranquille» Rédaction : Union paysanne Dessins
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailCONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER. Avant de remplir cette demande, lisez attentivement la notice d information.
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE cerfa DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DU PUY DE DOME N 11534* 02 N de dossier : Site de Marmilhat_BP43 63370 LEMPDES Tél : 04-73-42-14-78 ou 04-73-42-14-59
Plus en détailCONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE cerfa N de dossier : (adresse) N 11534* 02 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L EQUIPEMENT ET DE L'AGRICULTURE du Tél. Fax : CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION
Plus en détail1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE
Les chefs d exploitation ou d entreprise agricole peuvent exercer plusieurs activités simultanément, sous forme d entreprise individuelle ou sous forme sociétaire. Ces activités peuvent être : 1- de nature
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailAutodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements
PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...
Plus en détailPlan de soutien à l élevage français
Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants
Plus en détailPrix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre
Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Dominique Desbois, Bernard Legris* Les prix à la production des principaux produits agricoles
Plus en détailLes sociétés agricoles
Les sociétés agricoles L exercice d une activité agricole peut se faire soit dans le cadre d une entreprise individuelle soit dans le cadre d une société. Dans cette dernière situation, la loi prévoit
Plus en détailNOVEMBRE 2014. Rapport annuel 2013-2014 du CPAC
FOCUS Bulletin NOVEMBRE 2014 DANS CE NUMÉRO Activités du CPAC Affaires du CPAC Nouvelles du portefeuille Rapport annuel 2013-2014 du CPAC Le Conseil des produits agricoles du Canada (CPAC) est heureux
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailCHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES
CHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES 1. Présentation générale... 91 2. Les consommations intermédiaires hors TVA... 91 3. Les consommations intermédiaires hors TVA déductible... 102 4. Sources
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailDepuis 50 ans, nous vous assurons la meilleure couverture.
Depuis 50 ans, nous vous assurons la meilleure couverture. TABLE DES MATIÈRES NOTRE PHILOSOPHIE NOTRE MISSION NOTRE MÉTIER NOTRE EXPERTISE 02 03 04 05 CONSTRUCTION TRANSPORT ENTREPRISES DE SERVICES COMMERCE
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détail4. Déduction des intérêts d emprunt pour l acquisition de la résidence principale
Lettre d'information - Septembre - Octobre 2007 MESURES FISCALES ET PATRIMONIALES EN FAVEUR DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU POUVOIR D ACHAT ENTREPRISES 1. Défiscalisation des heures supplémentaires 2. Parachutes
Plus en détailQu est ce que l Economie Sociale?
Fiche n 2 Les entreprises : Qu est ce que l Economie Sociale? Les de toutes natures (salariés, usagers, ), les mutuelles (assurance ou prévoyance santé), les associations et les fondations constituent
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailZoom. Partenaire des entreprises et du territoire libournais. www.libourne.cci.fr
Zoom sur Partenaire des entreprises et du territoire libournais Actualisé le : 15/01/2015 Info juridique : L auto-entrepreneur n existe plus! Depuis la loi Artisanat, commerce et petite entreprise (dite
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailPROGRAMME DE CRÉDIT DE TAXES FONCIÈRES AGRICOLES GUIDE DE L EXPLOITANT AGRICOLE ET DU PROPRIÉTAIRE NON EXPLOITANT
PROGRAMME DE CRÉDIT DE TAXES FONCIÈRES AGRICOLES GUIDE DE L EXPLOITANT AGRICOLE ET DU PROPRIÉTAIRE NON EXPLOITANT Ministère de l Agriculture, des Pêcheries et de l Alimentation Dernière mise à jour : novembre
Plus en détailGuide juridique et fiscal -entrepreneur
Dossiers numériques Guide juridique et fiscal -entrepreneur présentation, analyse et commentaires textes et circulaires administratives formulaires et jurisprudences Francis VARENNES Juriste-Fiscaliste
Plus en détailDOSSIER D AFFILIATION DES NON SALARIES AGRICOLES
DOSSIER D AFFILIATION DES NON SALARIES AGRICOLES Non salarié agricole Un dossier pour votre affiliation à la MSA Afin de vous aider à remplir ce dossier d affiliation, nous vous informons que selon le
Plus en détailREGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT»
REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» Version : 31 mars 2014 VU : - Règlement (CE) n 1698/2005 du Conseil du 20 sept embre 2005 concernant le soutien
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailLe nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.
Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,
Plus en détailEIRL. Introduction. En 2010, les pouvoirs publics instaurent l EIRL avec un double objectif :
EIRL Introduction Depuis plus de 30 ans, vos élus se sont battus pour atteindre un objectif : assurer la protection du patrimoine personnel de l entrepreneur individuel en cas de difficultés professionnelles
Plus en détailL exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats
L exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats Le contexte agricole change profondément depuis quelques années et génère de des évolutions qui dessinent sans doute progressivement
Plus en détailLe Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises. Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus»
Le Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus» La compétitivité des exploitations agricoles et des filières agricoles et
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015
DOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015 NOM : PRENOM :.. TELEPHONE FIXE :.. PORTABLE : PHOTO EMAIL : ADRESSE :.. CP : VILLE :. DATE DE NAISSANCE LIEU :.. Dpt :.. Personne à contacter
Plus en détailCHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise?
CHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise? Quelles conséquences sur le choix de votre statut social : Salarié ou Travailleurs Non salariés? Intervenants René-jacques MALAFOSSE,
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailLa circulation agricole
La circulation agricole Immatriculation Signalisation Conduite de tracteur Formation des conducteurs de poids lourds Règles de transport des animaux vivants Chambre d Agriculture de l Allier Service Juridique
Plus en détailRapport d activités du 1 novembre 2009 au 31 octobre 2010
Rapport d activités du 1 novembre 2009 au 31 octobre 2010 Conseil d administration, comité exécutif et comité consultatif Conseil d administration Pour la dernière année d activités, les membres du conseil
Plus en détailBIC Bénéfices Industriels et Commerciaux. BA Bénéfices Agricoles X X X
Quel que soit son régime d imposition, chaque exploitant a le choix entre 2 assiettes pour le calcul de ses cotisations sociales : soit la moyenne triennale des revenus professionnels des années N-3 /
Plus en détailObjet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu
Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous
Plus en détailPermisd environnement. au sein des exploitationsagricoles wallonnes
Permisd environnement au sein des exploitationsagricoles wallonnes ñ Mot du Ministre Protéger et simplifier En juillet 2004, dès mon entrée en fonction, je me suis attaché à une réforme des permis d environnement.
Plus en détailAgence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative à la mise en œuvre du protocole régissant les échanges transfrontaliers d animaux de boucherie et volailles d abattage entre
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailSéance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE. Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques - Allemagne
Conférence Internationale : «La gestion de risques et de crises dans l assurance agraire» Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques
Plus en détailMarc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49
Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque
Plus en détailM. BONUS Louis. mercredi 15 octobre 2014. Le 10/11/2014
M. BONUS Louis mercredi 15 octobre 2014 1 Sommaire Sommaire... 2 La méthode de raisonnement... 3 Le graphique... 4 Le tableau de synthèse... 4 Les données saisies... 19 Les tableaux intermédiaires de calcul...
Plus en détailL'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique
L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique Maurice Desriers* Depuis cinquante ans, la part de l'agriculture dans l'économie nationale
Plus en détailObservatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires
> ÉDITION avril 2015 RAPPORT AU PARLEMENT FranceAgriMer 12 rue Henri Rol-Tanguy / TSA 20002 / 93555 Montreuil cedex www.franceagrimer.fr https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr MINISTÈRE DE L
Plus en détailSECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03
SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 PROCÉDURE DES CALAMITÉS AGRICOLES DEMANDE D'INDEMNISATION DES PERTES Le régime des calamités agricoles a pour but d indemniser des pertes de récolte et/ou des pertes
Plus en détailTRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?
TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur
Plus en détailInsurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014
Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse
Plus en détailLe rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe
Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe Hana Dhiab, Pierre Labarthe, Catherine Laurent Carrefour Innoplant,
Plus en détailÉPARGNE SALARIALE Cas de déblocage anticipé
ET INSTALLATION D UNE ACTIVITÉ NON SALARIÉE par l épargnant, son conjoint ou la personne qui lui est liée par un PACS ou l un de ses enfants majeurs caractéristiques Le déblocage, total ou partiel, intervient
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus
Plus en détailRevenus fonciers : comment déclarer votre feuille d imposition en 2013
Revenus fonciers : comment déclarer votre feuille d imposition en 2013 Vous devez remplir la déclaration N 2044 en plus de votre déclaration sur le revenu si : - Vos revenus fonciers bruts perçus en 2012
Plus en détailVous accompagner dans la gestion et les projets de votre exploitation agricole EXPERTISE COMPTABLE & CONSEIL
Vous accompagner dans la gestion et les projets de votre exploitation agricole EXPERTISE COMPTABLE & CONSEIL Vous accompagner dans la gestion et les projets de votre exploitation agricole KPMG accompagne
Plus en détailDEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing
2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailAides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif
DISPOSITIONS PRATIQUES OPAH COPROPRIETE RENNES Dans le cadre de l Opération programmée d amélioration de l habitat engagée par la Ville de Rennes sur le centre depuis mars 2007, pour une durée de cinq
Plus en détailMICRO CONFÉRENCE. «l auto-entrepreneur, avantages et inconvénients» Intervenants :
MICRO CONFÉRENCE «l auto-entrepreneur, avantages et inconvénients» Intervenants : DIRECCTE-LR L EFFET DU LOGIS BOUTIQUE DE GESTION ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES MICRO CONFÉRENCE «l auto-entrepreneur, avantages
Plus en détailProjet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité.
Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité. Septembre 2011 Contact : Muriel LESAINT, chef de projet. muriel.lesaint@educagri.fr Tel : 03 84 87 21 06 Contenu
Plus en détail