Financement du Commerce International
|
|
- Quentin Lanthier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Financement du Commerce International Examen : questions de cours, QCM de 20 questions, pratique : choix du moyen de paiement 19/09/14 Problématique : comment être payé quand on vend? Moyens de paiement : - cash - transfert/virement - carte bancaire - chèque - lettre de change/traite - prélèvement/direct debit Créancier : celui à qui on doit de l argent Débiteur : celui qui doit de l argent A (souvent entre banques) Systèmes : - Swift - Paypal - MasterCard - VISA - SEPA (Single Europea Paiement Area) =======$$$$ =====> Système de paiement B Devises différentes : toujours attaché au territoire, la monnaie ne sort pas de son territoire d origine. Monnaie : - fonctions : * échange = dettes, marchandises = devises * réserve de valeur (épargne, emprunt) * unité de compte (permet d évaluer ce qu on échange) = économique = comptable * sociale * politique * psychologique - liens entre pouvoir et monnaie : contrôle de la monnaie, sa circulation etc - la confiance en a monnaie est primordiale
2 Banque centrale Actif - réserves de change (devises étrangères solides) - Or Passif Masse monétaire - pièces et billets (15%) - dépôts bancaires - comptes à terme (placements) - bons du trésor Si la MM croit trop vite (USA), ça impactera la valeur de la monnaie : - hausse des prix (valeur interne de la monnaie) - défiance - «si demain j achète moins qu aujourd hui, j achète de suite» demande trop importante donc inflation Valeur externe de la monnaie : valeur de change Force du dollar : - unité territoriale - première économie mondiale, capital technologique, d intelligence, armée forte, pas menacé aux frontières, ressources agricoles et minérales énormes Puissance économique de l euro : - l Europe pèse plus lourd que les USA - mais fait naitre une monnaie qui n a pas les caractéristiques d une monnaie unique, mais dans chaque pays l euro est rattaché à sa propre banque centrale nationale - arrivée d une masse d argent énorme - avant Espagne : 15% de TIG pour acheter sa maison construction - excédents des banques remontent à la Banque Centrale qui pouvait redistribuer cette liquidité. Mais la BC méfiante fait fondre les liquidités Monnaie résultante de l économie, dont la façon dont le pays est géré (stabilité, richesse, savoirs, en guerre ou non etc), représente la richesse et sécurité du territoire. Importance des taux d intérêt : Si la MM va trop vite, on créé de la monnaie sans contrepartie, il y a inflation. Si le crédit est facile d accès (Espagne : beaucoup de construction immobilière), problème/danger. Si pas de risque d inflation et qu on souhaite de l investissement, on baisse les prix (BCE à 0.25%). Systèmes de paiement variables selon les pays : - Italie, France, RU: consommateurs de chèque - pays nordiques et Belgique : virement et prélèvement
3 25/09/14 1. Généralités A. La comptabilité : rappel de quelques principes 1. Bilan ACTIF - Immobilisations Bâtiment, terrain, machines, incorporelles (brevet, fonds de commerce) - Stock - Créances client - Trésorerie + (= disponibilité) PASSIF - Capitaux propres Réserves, provisions, bénéfices non distribués - Capitaux permanents Dettes à long et moyen terme - Dettes fournisseurs - Trésorerie - Mobiliser un actif = transformer en cash Poste client : attention à - la géographie : où j envoie, qui sont les clients? - la division : avec quel type de clients je travaille? Avec combien de clients je travaille? (cf Airbus et Apple) - les délais de paiements : combien de temps se passe entre le moment où je vends et le moment où je reçois et encaisse effectivement l argent? Dépend de l habitude et de la santé des entreprises voire pays avec lesquels on travaille (délais subis : prend beaucoup de temps pour payer. Technique de protection du poste client - Assurance-crédit - Affacturage/factoring - Choix du moyen de paiement (chèque de banque, traite avalisée) - Crédit documentaire - Sélectionner les clients * Bilans à obtenir auprès du Greffe du Tribunal du Commerce (mais 1 de décalage) Analyste crédit : il décrypte les bilans/la qualité financière des clients. Pa dans les PME car risque moyen par rapport au coût de l analyste. Mais ça n est pas une protection, ça aide juste. Société qui font du scoring (notation), ils indiquent quelle est la qualité de paiement du client (pas la santé financière, juste le comportement sur le marché, régularité dans les paiements, quels sont les montants maximum, genre max etc ). Court terme. Assurance-crédit : on assure son poste client Il y a des sociétés spécialisées (Hermès ) dont le rôle est d assurer l encours qu on a avec le client. On ne peut assurer que quelques client, il faut assurer tout le portefeuille. Sur 100 clients, fragiles, on doit tout tout tout assurer. Si clients internationaux, on peut assurer par zone. Assurer que les clients Britanniques, pas les Allemands. Mais il faut faire tous les clients du pays en question. La garantie achetée chez l assureur, on la paie à travers une prime, un pourcentage ou pour millième du CA. On paie le risque moyen.
4 Sélectionner les clients : - Analyse * Conciliation : trouver une mesure dans la loi qui peut aider à traverser ces difficultés. Le tribunal de commerce désigne un mandateur judiciaire qui aide à résoudre les problèmes de manière confidentielle. Peuvent contacter les fournisseurs les plus gros pour ne pas engranger le problème. * Sauvegarde : mandat ad hoc, cela n est plus confidentiel mais public. Sous l autorité du mandataire, l entreprise met en place un plan financier pour redresser ses comptes. * Redressement judiciaire : dépose le bilan, va au tribunal de commerce qui ordonne le redressement judiciaire pour régler les problèmes, faire un plan pour que l entreprise redémarre sur des bases saines. Abandon possible de créances. A la fin on quitte ce redressement et on repart. * Liquidation judiciaire : l entreprise est liquidée. Ses produits sont obsolètes, elle a trop de dettes, le tribunal décide qu il n y a plus rien à faire. Compare les actifs et les dettes, on vend les actifs pour rembourser ces dettes : salariés, Etat, créanciers qui sont aux premiers rangs. Derniers créanciers : actionnaires. L assureur peut ne plus assurer un client A d une entreprise car il a des difficultés. Si client va pas bien, il faut diminuer les en-cours. Affacturage/factoring : [slide CIC] «La finance, ça emmerde en général tout le monde, à commencer par vous.» Poste client : actif le plus important du bilan d une entreprise (30 à 40% de l actif). Les usines, matériel et stock sont systématiquement garantis. Mais et le poste client, le plus important, on le protège? Pourquoi l optimiser? Il est consommateur de ressources financières. : - personnel et moyens alloués à la gestion des créances échues (il faut des comptables, du matériel et du temps pour gérer les factures et obtenir les paiements). Coût fixes. - dysfonctionnement interne à l origine de nombreux litiges : pendant la livraison de la commande (mauvaise couleur, un lot de trop etc), pendant la phase de livraison et paiement, il faut régler ces problèmes. Si l entreprise n a pas de puissance de négociation, c est difficile, seuls les grands groupes l ont. - risques d insolvabilité et impayés Coût cachés : 3% du CA - coûts de gestion administrative des comptes clients - coût des créances irrécouvrables, - coût de l inflation sur le retard de paiement - coût de recouvrement des dettes (relance, suivi de la créance, du recouvrement, l argent réellement sur le compte) Gestions du poste client, besoins structurels : - structure financière/administrative légère - maitrise difficile des délais et modes de règlement clients - manque de visibilité sur la solvabilité des clients - activités saisonnières - recouvrement difficiles - marchés publics Risques d une mauvaise gestion du poste client : Perte et provisions Alourdissement BFR et trésorerie Consommation excessive des ressources financières Difficultés pour investir et développer l activité
5 Impact d une créance impayée : - perte de l actif - augmentation des coûts - trésorerie (attention aux dérives des délais de règlement) - obligations commerciales (diluer les portefeuilles clients, répartir les risques) - obligations organisationnelles (optimiser la gestion du temps et des ressources) Externalisation de la gestion et du financement du poste clients Suivre le poste client est un VRAI métier (méthodologie, organisation ) Analyser un nouveau client Fixer les conditions de crédit Valider une commande Facturer Suivre l encours Traiter les litiges Relancer Encaisser Risque client à l internationale : Eloignement géographique Environnement différent Barrière linguistique Spécificités juridiques locales N1 : envoi de la facture à un factor, il gère le suivi. Veille à l encaissement des fonds. N2 : achète les créances, procède lui-même au recouvrement, est certain d être payé N3 : financement, si le poste est géré par le factor, il avance les fonds quand on cède la facture 29/09/14 L effet de levier : Eviter à la fois d emprunter (paiement d intérêts) et de ne pas dépenser (pas de source de revenus??). Anticipe un revenu futur en investissant (machines etc), cet argent pourra générer le remboursement de capital, d intérêt et faire des profits. Pas de création de richesse sans crédit. 100 (dépôt) On a 100 en banque, 25% c est le taux maximum demandé à rembourser en même temps, donc on peut emprunter 4 fois plus que le dépôt soit 400%. 25 % 400 % La garantie : Immobilier : hypothèque = garantie réelle Caution = type de garantie, un garant garantie une personne X (bénéficiaire, l étudiant par exemple) auprès d un bailleur / autre alternative : donner un mois de loyer pour garantir Garantie : cela ne doit jamais servir (que le garant ne paie jamais le loyer du bénéficiaire) Garantie constructeur : portée par celui qui la donne. Si voiture en panne le constructeur peut s engager à venir la remplacer etc s il offre une garantie spéciale.
6 Les risques à prévenir a) Le risque géographique/pays : Natures de risque : * pays * bancaire * client - risque politique de non transfert : ce n est pas forcément parce que la situation économique est mauvaise (Ukraine, Irak ), possibilité d avoir un secteur très bon dans un pays où la situation est difficile et viceversa - situation économique - usages et comportements : fiabilité d un pays, ponctualité des paiements, respect de la parole donnée, pays tatillons ou non - la garantie : plus importante si le risque pays est élevé Clients publics (Etat etc ) ou privés. Créances à long terme = investissement, essence, pétrole, etc.. Créances à court terme = besoins courants (bouffe ) Problèmes de balance monétaire, passe par une règlementation des changes. Limitation des pays/choses qui peuvent (être) importer. Interdirait aux résidents du territoire d acheter des titres de change par exemple Solde budgétaire : plus de dépenses ou de recettes? Dette publique française : 100% (au Japon : 200% mais ce sont les Japonais qui possèdent leur dette, ils ne doivent rien à aucun autre pays) Coface : appréciation du risque économique d un pays, beaucoup d informations b) Le risque de trésorerie/bancaire A doit de l argent à B Moment où l argent quitte le compte et l argent arrive, c est le float, l en-cours non productif pour les deux protagonistes. Profite surtout au système bancaire. Problématique : faire du float le plus court possible (coût financier). Cela peut s améliorer si on utilise les bons circuits. Délais de paiements : * subis * négociés (ils peuvent être négociés et subis, prévu à 30 jour subis à 45 jours à cause du retard)
7 Paiement comptant : S1 : S2 : S3 S4 livraison, encaissé (début de normalement paiement comptant 15j après cette semaine : encaissé) Livré 100 Livré 100 Prends une (il a des pbs Repousse d une semaine de financiers) semaine l arrivée plus des fonds (livré 100) Livré 100 (livré 100) Livré 100 Payé 100 En-cours de reste En-cours naturel de 200 en permanence, encaissé toujours 15 jours après. S il y a dérèglement et que le client paie une semaine plus tard, sachant qu il y a 15 jours pour être payé à la semaine 3 il y a un en-cours de 300. Livraison facturation 1 Marchandise arrive dans l entrepôt 2 Est-ce que la facture est avec la marchandise? Avant, après? 3 Si en même temps, on vérifie la commande (2j). 2J 4 On transmet la facture au service compta. 2J 5 Envoi du règlement 2J 6 Réception du règlement, mais si l acheteur a enlevé un certain pourcentage à cause de 2J la qualité des produits etc, il faut réconcilier le règlement reçu et la facture émise + les week-ends 14J au total Livraison plus longue encore quand c est intra-européen au lieu d intra-territorial. Délais de paiement négociés au bon vouloir de l acheteur (et éventuellement du fournisseur). Dépend du secteur d activité. Dans le périssable (produits alimentaires frais), on accorde pas 3 mois de délais. Corrélation entre la durée de vie de marchandise et la durée de paiement. Selon la concurrence, ces concurrents peuvent proposer des délais de paiements plus longs pour accentuer la concurrence à produits et qualité égaux. Obligation de faire aussi bien. Si délais trop longs, 25% du CA est systématiquement «offert» aux clients qui font jouer cet argent toujours présent dans leur caisse. Elément de mix marketing comme on proposerait un prix, une qualité. Une option additionnelle qui permet de travailler avec certains clients. Transformer les délais de règlement en avantage financier pour son client. c) Le risque de non-paiement/client.. 06/10/14 d) Le risque de change Variation de taux de changes entre deux pays. Quand on travaille avec des pays où la monnaie est différente. Si on facture en euros y a pas de risque de change, mais ça devient le problème du client.
8 Quand variation de cours favorable : OK ; si défavorable très embêtant. Le cours d une devise ne peut être figé, elle est en constante évolution, 24h/24 Quand est-ce que je me mets en risque de change? Prince List (export) Achat (import) Etablissement des budgets Négociation Commande Signature du contrat Règlement Exemple : VPC et on fait un catalogue textile pour le marché britannique. Etablissement du catalogue plusieurs mois à l avance. Textile : saison d hiver négociée l année précédente. Négociation des prix de ces habits l année en question avec les fournisseurs, passage de commande des quantités etc.. Etablissement des budgets, on prend un risque avec le risque de change vu comme on se prépare à l avance. Price list : durée de vie longue (3 mois 1 an ) On est en risque de change sans savoir la quantité de produits qu on va vendre. Produits pétroliers : les prix varient de lui-même, prix facturé en dollar (idem, Boeing facture que en dollar). Fluctuation du prix du baril puis fluctuation du prix du dollar. Ne pas avoir de risque de change : on facture dans notre monnaie. Avantage de travailler dans la monnaie de l autre : - commercialement le client est content - pour soi c est plus efficace de rapatrier les avoirs Si on fige un cours : $1.25 = 1 au moment de la commande On fixe le cours du dollar contre l euro, une fois enregistré comptablement dans le bilan, le dollar peut bouger et le jour où on reçoit l argent et qu on transforme les dollars en euros, ça sera fait au prix fixé. II. Les moyens de paiement A. Les moyens de paiement classiques Le virement Instruction donnée par le détenteur d un compte dans une banque, demande à ladite banque de virer une somme vers un autre compte. Pb : une monnaie est attachée à un territoire, les rails pour que cette monnaie circule est différente selon le pays. Même pour l Euro, pas encore mis sur la même voie. Je me comprends. SWIFT : Society for Wirewide International Fare?? Transfert Société dont le siège est à Bruxelles Fonctionne avec l Europe et USA, très efficace si bien que les autres pays l ont rejoint (Japon etc ). Permet à tous les pays de transférer les monnaies de manière simple et facile, et fiable. Pas bon marché. Carte de paiement (VISA, Mastercard) permet de gérer les flux entre différents pays. Paiement en VISA en Chine dans la monnaie coréenne et débit du compte français en Euro. Tout passe en dollar, plus possible de faire passer par l Euro. Sécurise aussi les transferts. Systèmes comme Paypal mis en place Swift devient le normalisateur des services de transfert d argent, bientôt d information, de relevé de compte. Transporte toutes les data liées à la transaction financière
OFFRE DE FINANCEMENT
OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement
Plus en détail«Comment se faire payer par ses clients?»
«Comment se faire payer par ses clients?» Renforcer la trésorerie de son entreprise en limitant les frais financiers. Eviter les impayés grâce à des méthodes simples. 1 Vendredi 10 Octobre 2014 Comment
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailVendre à l international : comment sécuriser vos contrats. 30/05/2013 Aéroport - Aulnat
Vendre à l international : comment sécuriser vos contrats 30/05/2013 Aéroport - Aulnat Intervenants : - Stéphane PELLENARD, juriste, Laboratoires THEA - David PONCHON, Directeur Délégué aux opérations
Plus en détailLA COMPTABILITE ASSOCIATIVE
LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?
Plus en détailLE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT. touscours.net
LE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT I. LE MARCHE AU COMPTANT : A. DEFINITION : Le marché au comptant, encore appelé «marché spot» est le marché sur
Plus en détailLe suivi des règlements clients. Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009
Le suivi des règlements clients Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009 SOMMAIRE La mise en relation des parties La facturation Les délais de règlement Le paiement
Plus en détailLA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011
LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?
Plus en détailSECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES
SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES 1 - DISPOSITIONS GENERALES 2 - COMPTABILISATION DE L ENGAGEMENT 3 - COMPTABILISATION AU BILAN 4 - CONVERSION DES OPERATIONS EN DEVISES 5 - COMPTABILISATION DES RESULTATS
Plus en détailEurope P aiements en
Paiements en Europe Payer en Europe comme si vous étiez dans votre pays 2 Grâce à la construction de la zone de paiement européenne unique SEPA (Single Euro Payments Area), la différence entre les paiements
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailLES OPÉRATIONS JOURNALIÈRES. a) qu est ce qu une entreprise peut vendre à ses clients :
LES OPÉRATIONS JOURNALIÈRES I. Les ventes A) La facture de doit La facture de doit est établie par un fournisseur pour constater la créance sur le client, suite à une vente. C est donc la traduction d
Plus en détailLoterie Romande. financier
2011 Rapport financier Société de la Loterie de la Suisse Romande 13, rue Marterey Case postale 6744 1002 Lausanne CH Tél. + 41 21 348 13 13 Fax + 41 21 348 13 14 info@loro.ch www.loro.ch Sommaire Bilan
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailENTREPRISES EN DIFFICULTE. Gestion de la crise
ENTREPRISES EN DIFFICULTE Gestion de la crise Gestion de la crise Faire face à la crise. S entourer: sortir de son environnement habituel pour s entourer de professionnels spécialisés: avocats, experts-comptables,
Plus en détailLA BALANCE DES PAIEMENTS
LA BALANCE DES PAIEMENTS Définition : Document statistique qui enregistre toutes les transactions économiques effectuées pendant une période donnée entre les résidents d un pays (région, union) et le reste
Plus en détail«Pensez REPI pour pérenniser votre entreprise»
CHEFS D ENTREPRISES «Pensez REPI pour pérenniser votre entreprise» PROGRAMME ACTION PRÉVENTION REPI ENTREPRENEURIAT Emmanuel Imberton, Imberton, Président Président la de CCI la de CCI Lyon de Lyon 02
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailChapitre 5 : Les paiements et le change.
I) Les instruments de paiement. A. Les instruments de paiement classique. 1. La notion de paiement scriptural. Chapitre 5 : Les paiements et le change. Les billets de banque (monnaie fiduciaire) ne sont
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailPIECES COMPTABLES ET DOCUMENTS DE PAIEMENT
PIECES COMPTABLES ET DOCUMENTS DE PAIEMENT 1. Les pièces comptables A. La facture Définition : Etat détaillé des biens et services vendus que le fournisseur remet ou envoie à l acheteur. C est un document
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailSommaire détaillé. Partie 1-Lemandat du trésorier CE... 25
Organisation de votre guide pratique du trésorier CE... 3 Guide de première connexion... 5 Accéder à votre publication sur : mode d emploi... 7 Rechercher un modèle sur www.editions-tissot.fr... 8 Sommaire
Plus en détailL assurance crédit et le financement des exportations. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier
L assurance crédit et le financement des exportations 2 Section 1. Les modalités de paiement des exportations : le crédit documentaire Section 2. Les crédits à court terme et le financement des exportations
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailAu service de l exportateur marocain par Mme Bennani Bouchra et M. Kortbi Karim
Sécurisez vos transactions internationales Optimisez la gestion de vos virements Suivez vos opérations jusqu au règlement Au service de l exportateur marocain par Mme Bennani Bouchra et M. Kortbi Karim
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailManuel de référence Options sur devises
Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailCOMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007
COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailPérennité Entreprise I. Une solution d'assurance garantissant le développement de la mission de conseil exceptionnel de l expert-comptable.
1 Pérennité Entreprise I Une solution d'assurance garantissant le développement de la mission de conseil exceptionnel de l expert-comptable. 2 PERENNITE ENTREPRISE I : Être acteur au moment critique Pour
Plus en détailCOMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?
Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.
Plus en détailvotre contrat globalliance la notation @rating demander la garantie sur vos clients les réponses à vos demandes de garantie
GLOBALLIANCE votre contrat globalliance la notation @rating demander la garantie sur vos clients les réponses à vos demandes de garantie demander la modification de la garantie les modifications de la
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailGLOSSAIRE des opérations bancaires courantes
13 septembre 2005 GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes Ce glossaire a été élaboré sous l égide du CCSF. Il est conçu à des fins purement informatives, et destiné à vous aider à comprendre les termes
Plus en détailCommuniqué de presse S1 2014-2015
Communiqué de presse 27 novembre 2014 Huizingen, Belgique Communiqué de presse S1 2014-2015 (Résultats pour le premier semestre clôturé le 30 septembre 2014) Le chiffre d affaires semestriel a connu une
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLes instruments de règlement à l international
Les instruments de règlement à l international Les instruments de règlement à l international En fonction du degré de confiance que vous accordez à votre client ou à votre fournisseur, BMCE Bank vous propose
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailPlan comptable des associations et fondations
Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6
Plus en détailDemande d'ouverture de sauvegarde
Demande d'ouverture de sauvegarde Identification de la personne déposant la demande Nom de naissance : Nom d usage : Prénoms : Né(e) le à Nationalité : Situation matrimoniale (en cas de mariage, préciser
Plus en détailCOMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE
COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.
Plus en détailChapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan
Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière Plan Le bilan - présentation et signification des postes Structure en grandes masses - Le BFR Les ratios de structure
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailExercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)
Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailentreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation
28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailPrésentation Salle des marchés. Centrale Lille Octobre 2007. Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés
Présentation Salle des marchés Centrale Lille Octobre 2007 Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés Jérôme CHANE Sales Fixed Income Tel: 03.20.57.50.00 Email: prenom.nom@calyon.com
Plus en détailCompte général de l État pour 2008
Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL
Plus en détailNORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23
NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles
Plus en détailCHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE
CHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE 9.1 LE SYSTÈME BANCAIRE AMÉRICAIN Contrairement aux banques de plusieurs pays, les banques américaines ne sont ni détenues ni gérées par le gouvernement. Elles offrent des
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 Histoire, définition et rôle de la comptabilité... 17 I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 A. Les origines antiques de la comptabilité...
Plus en détailTransactions de l agriculteur 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500. l agriculteur
Chapitre 11, assurance et diversification Réponses aux Questions et problèmes 1. Transactions de 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500 62 500 payés à 0 62 500 payés
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailDéterminer et financer le cycle d exploitation. Animé par : Stéphane Carton Cabinet In Extenso, Rennes
Déterminer et financer le cycle d exploitation Animé par : Stéphane Carton Cabinet In Extenso, Rennes Définition du : C est l'ensemble des opérations réalisées, de l'achat (matières premières, fournitures,
Plus en détailConditions Tarifaires au 1 er avril 2015
Associations Métropole Conditions Tarifaires au 1 er avril 2015 www.bred.fr Notre savoir-faire au service de votre développement - 2 - Sommaire Le fonctionnement de votre compte P.4 Arrêté de compte Gestion
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailTARIFS. au 1 er janvier 2015. CONDITIONS APPLIQUéES
Entreprises TARIFS au 1 er janvier 2015 CONDITIONS APPLIQUéES aux opérations bancaires Conditions appliquées à la clientèle Entreprises Tarifs en vigueur au 01/01/2015 Voici les principales conditions
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailL a gamme financière en Belgique
L a gamme financière en Belgique L approche analytique ou de la trésorerie Des outils pour la gestion efficace de vos risques financiers. Tout entrepreneur prend des risques : - accorder des délais de
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailRégime matrimonial : Votre conjoint participe-t il (elle) à votre projet : Oui Non
BUSINESS PLAN Présentation du porteur de projet et de ses associés Etat Civil Nom : Prénom : Adresse : Code postal : Ville : Téléphone : Télécopie : Portable : Date de naissance : Lieu de naissance : Nationalité
Plus en détailTARIFS CLIENTS PARTICULIERS Au 15 avril 2015
TARIFS CLIENTS PARTICULIERS Au 15 avril 2015 EXTRAIT STANDARD DES TARIFS Les tarifs ci-dessous sont hors offre groupée de services (package) et hors promotion ou tarif spécifique à une partie de la clientèle.
Plus en détailRisques et sécurité des paiements
Dans le commerce intérieur, les partenaires commerciaux se reposent sur les lois et les règlements nationaux. En cas de non-paiement, des poursuites peuvent être entamées. L'économie bénéficie également
Plus en détailLes moyens de financement du commerce international :
Les moyens de financement du commerce international : CREDIT DE PRE FINANCEMENT : C est un crédit contracter par l exportateur au prés de sa banque pendant la période de fabrication parce que les acomptes
Plus en détailLe prélèvement SEPA Quels impacts pour votre entreprise?
Vous êtes chef d entreprise, profession libérale, professionnel, expert comptable, Directeur Administratif et Financier. L harmonisation de Moyens de Paiement vous concerne Le prélèvement SEPA Quels impacts
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détailTARIFS 2010 en toute transparence
ENTREPRISES & INTERNATIONAL TARIFS 2010 en toute transparence ENTREPRISES EXTRAIT DES CONDITIONS GÉNÉRALES DE BANQUE Applicables aux entreprises à partir du 1 er janvier 2010 Prix HT ou nets de TVA VOTRE
Plus en détailrelatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)
Plus en détailwww.banquedelareunion.fr
Les Centres d affaires dédiés aux entreprises, CoLLeCtivités et associations Centre d affaires nord/est Tél. 0262 40 01 31 / 0262 40 01 33 Fax : 0262 40 01 60 Centre d affaires ouest Tél. 0262 55 68 13
Plus en détailwww.banquedelareunion.fr
LES CENTRES D AFFAIRES DÉDIÉS AUX ENTREPRISES, COLLECTIVITÉS ET ASSOCIATIONS CENTRE D AFFAIRES NORD/EST Tél. 0262 40 01 31 / 0262 40 01 33 Fax : 0262 40 01 60 CENTRE D AFFAIRES OUEST Tél. 0262 55 68 13
Plus en détailCONDITIONS TARIFAIRES
CONDITIONS TARIFAIRES Particuliers Applicables à la clientèle Mai 2014 Bank Audi France sa 2 1 - EXTRAIT STANDARD DES TARIFS Commission de tenue de compte Abonnement permettant de gérer ses comptes sur
Plus en détailNOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER
NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailAperçu des prix SOMMAIRE. Valables à partir du 1 er janvier 2015. Sous réserve de modifications
Aperçu des prix Valables à partir du 1 er janvier 01 Sous réserve de modifications Les dispositions contractuelles régissant les relations d affaires avec la Banque Cantonale Bernoise SA sont en vigueur.
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailConditions Tarifaires Février 2015
Conditions Tarifaires Février 2015-1- Le présent document contractuel détaille les Conditions Tarifaires applicables aux opérations et aux services les plus courants de la clientèle, dont notamment les
Plus en détailPlan comptable 1 et 2 Comptes de Bilan. 3 à 7 Comptes d Exploitation
Cours 4 (STS, J.-M. Schwab) Plan comptable 1 et 2 Comptes de Bilan 1 Actifs 10 Actifs mobilisés 11 Actifs immobilisés 15 Comptes de régulation de l actif (Actifs transitoires) 2 Passifs 20 Capital étranger
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailfaites Pétiller vos idées
Avec Chrysalis, faites Pétiller vos idées du 6 janvier au 14 février 2014 c o n c o u r s à la création d entreprise Dossier de candidature Renseignements : Tél : 05 65 43 63 63 - Email : chrysalis@cc-decazeville-aubin.fr
Plus en détailLES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1
LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 Couverture : Protéger des créances ou des dettes (commerciales ou financières) contre le risque de variation
Plus en détailLES MOYENS DE PAIEMENT GESTION DU RISQUE CREDIT
LES MOYENS DE PAIEMENT GESTION DU RISQUE CREDIT Les éléments ci-après sont d ordre général. Ils doivent être adaptés en fonction des produits et de leurs contraintes propres. JAY C.I. PARTENAIRE - 06.09.02.03.44
Plus en détailCadrer la stratégie boursière
Chapitre 1 Cadrer la stratégie boursière Chercher la valeur dans tout investissement Qu est-ce que la stratégie boursière? Elle consiste à «chercher la valeur», nom technique utilisé par les analystes
Plus en détail