Module MA : Le marché Vos propositions de correction des applications D.U.C. + G.R.C.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Module MA : Le marché Vos propositions de correction des applications D.U.C. + G.R.C."

Transcription

1 Module MA : Le marché MA 2 : Vos propositions de correction des applications D.U.C. + G.R.C. Application n 5 : Application n 6 p de votre manuel de D.U.C. «Le marché du bricolage en France» Proposition de correction de Wendy, Antoine B., Anaïs C., Karima C., Stessie D. 1) Commentez le graphique (document 1).Correction réalisée en cours 2) Analyser l offre. Comment peut-on qualifier l état de ce marché sur le plan concurrentiel? Pourquoi? (Document 3) Remarque préalable : - Les documents ne fournissent aucune information sur les différents segments de produits, ainsi que sur les producteurs. - On ne dispose que d informations sur les distributeurs. Niveau de concurrence : Marché concentré oligopolistique : quelques offreurs réalisent l essentiel des ventes - GSB : - 70 % du marché en valeur => Leader => système oligopolistique Performance des distributeurs : - 1 : GSB : - 70 % du marché en valeur => Leader - 2 : Négociants : challenger - 3 : GSA : outsiders Stratégie des distributeurs : - GSB : - produit : - «multispécialiste» = assortiment étroit et très profond - qualité, conseil et services - distribution : marchandisage de mise en scène de l offre - prix : bas par rapport à GSA et négociant - positionnement : multispécialiste - Négociants : s adressent à des clients professionnels, cherchent à se développer sur «gros bricoleurs» - positionnement : spécialiste - GSA : se désengagent du bricolage au profit d autres rayons plus rentables et traditionnels. - positionnement : généraliste 3) Pourquoi ce marché est-il porteur (document 2)? Le marché du bricolage est porteur car, il renoué avec la croissance après un exercice en 2009 en repli et une hausse de croissance annoncé en 2015 de 3 à 4,5%. Cela s explique par : un élargissement de la cible (croissance du nombre de ménages, rajeunissement et féminisation de la clientèle) ; la volonté des Français à améliorer leur habitat ; un engouement pour la décoration (de nombreux sujets sur ce thème sont proposés dans les médias) ; une tendance au «do it yourself» c'est-à-dire le fait de créer sa propre décoration, par goût et étant donné des tensions actuelles sur le pouvoir d achat. 4) Par quels moyens les différents circuits de distribution peuvent-ils affirmer leur positionnement (document 4)? Les différents circuits de distribution peuvent affirmer leur positionnement en rentrant dans une démarche de développement durable, avec le développement de l offre de marques de distributeur (MDD). Ils peuvent également se positionner comme un hard-discounter, en s améliorant dans la qualité du service et du conseil et en instaurant des concepts spécialisés. Enfin, certains peuvent choisir d adopter une stratégie multicanale grâce au recours d internet.

2 Application n 6 : Application n 5 p de votre manuel de D.U.C. «Les enseignes de la grande distribution au 1 er semestre 2011» Proposition de correction de Léa, Sabrina, Romane, Alexandra, Amandine R. et Harmonie. 1) Comment expliquer les différences de performances entre les trois distributeurs évoqués dans les documents? Le groupe Casino : en progression au deuxième trimestre 2011 (+ 3,2% de ventes) grâce à : 3 ouvertures de magasins et filiales, des rénovations de points de vente (Franprix, Leaderprice), positionnement-prix amélioré, concept «casino shopping» (petit format), une bonne performance à l international (+ 38,2%), une accélération du e-commerce, la refonte de la marque «M» Monoprix. Carrefour : bilan mitigé au deuxième trimestre 2011 en raison de : De mauvaises performances des hypermarchés car les plus petits formats de points de vente sont plus appréciés par les consommateurs, des petits formats (Carrefour City) néanmoins très performants, un bilan négatif en Europe mais une bonne performance à l international (exemple : Brésil +10,2%), un retard dans le drive. Leclerc : en croissance (d environ 5,09% au 1 er semestre 2011). Cette performance est liée : - à sa politique de prix bas (Leclerc reste l'enseigne la moins chère) - au fort développement du secteur bio, bien-être et santé. - aux produits de grande consommation et le frais libre-service constituent leurs principaux leviers de croissance (89,1 %). - à la poursuite active de l ouverture des Drive. 2) Comment expliquer le succès des petits formats? Les raisons sont multiples : plus de rapidité pour les clients car la surface de vente est plus vite parcourue et l assortiment est moins large, proximité pour les clients car les petits formats sont implantés en centres villes et périphéries. De plus ils offrent certains services comme de larges amplitudes horaires et la livraison à domicile des courses Les clients peuvent également y acheter des produits à consommer instantanément pour leur pause déjeuner par exemple («snacking»). 3) Quels sont les points faibles de la stratégie de Carrefour par rapport à ses concurrents? Rappel : 3 formats d enseignes physiques chez Carrefour : - «proximité» : en bonne santé - «supermarché» : bonnes performances - «hypermarché» : performances moins bonnes Ces derniers mois les résultats des hypermarchés de Carrefour sont décevants. Le groupe présente des points faibles, notamment : la possession d hypermarchés en grand nombre or les consommateurs fréquentent moins les hypermarchés. La tendance des consommateurs français à vouloir fréquenter des magasins de proximité ne joue donc pas en faveur de Carrefour. une image pour les consommateurs de prix élevés : Les consommateurs sont à la recherche de prix les moins chers ; or les prix ont augmenté avec «empilage de promo» pour compenser - une trop forte centralisation : qui empêcherait les responsables de magasins de s adapter aux spécificités locales donc une offre locale réduite - un retard pris dans «le drive».

3 Application n 7 : Application n 6 p de votre manuel de D.U. C. «Carrefour contre Leclerc» Proposition de correction de Carla, Maeva, Amandine C. et Kathleen. 1) Quels sont les moyens employés par Carrefour pour lutter contre son principal concurrent, Leclerc, en matière de prix? Carrefour souffre d un problème imageprix notamment par rapport à Leclerc. Pour remédier à cette mauvaise imageprix, trois catégories d actions ont été mises en place : Des actions en matière de communication : une publicité comparant le prix de deux chariots composés des mêmes produits, destinée à prouver que Carrefour est moins cher ; une publicité sur les 400 produits low-cost Carrefour Discount la promotion des ventes les prospectus (ISA = imprimés sans adresse) le développement de la carte de fidélité Des actions au niveau du prix : - une baisse des prix et des environ 400 produits Low Cost - la mise au point d un modèle mathématique pour étudier la baisse des tarifs hyper par hyper et référence par référence - sur les produits sensibles comme la baguette, les prix sont imbattables ; Des actions en matière de mise en valeur de l offre : une signalétique en magasin pour avertir des prix bas 2) Comment Leclerc réagit-il face à l offensive de Carrefour sur les prospectus? Leclerc a lancé un «prospectus killer» qui permet aux clients possédant la carte de fidélité de se faire rembourser la différence s ils trouvent un produit moins cher chez les concurrents. De plus, Leclerc a créé le site comparateur de prix «quiestlemoinscher.com». 3) Le site de Leclerc représente-t-il un avantage concurrentiel pour l enseigne? Justifiez. Le site de Leclerc représente en effet un avantage concurrentiel pour l enseigne puisque le consommateur peut s informer sur les prix, réaliser ainsi des économies ce qui est appréciable en période de crise. Le client peut donc privilégier l enseigne pour ce service.

4 Application n 8 : Application «Carrefour on line» p de votre manuel de D.U.C. Proposition de correction d Emeline, Jérémy, Alexis et Mohamed. 1) Quelles sont les perspectives d évolution du marché des aspirateurs robots? Durant sa phase de lancement, les coûts de production de ce produit sont importants, générant un prix public élevé qui représente un frein pour le consommateur. Actuellement, le produit amorce sa phase de croissance, caractérisée par un prix plus abordable, lié à une augmentation de la concurrence et une baisse des coûts de fabrication (économies d échelle). Cela augure donc d un développement du marché. On peut aussi craindre que ce produit s adapte mal à la demande après son lancement, et donc imaginer un échec. 2) Quels sont les concurrents du leader Roomba? Les principaux concurrents directs de Roomba sont Samsung et Philips. Philips propose des robots aspirateurs avec des prix moins chers que la marque Samsung, alors que celleci se positionne sur des produits haut de gamme mais plus chers (prix toutefois plus compétitifs sur certains modèles parfois plus silencieux). 3) Quels sont les principaux sites de e-commerce et leur stratégie de prix? Les principaux sites marchands et leur politique de prix : Robot-Shop 35 pratique une stratégie de pénétration (prix le plus bas) ; Ubaldi.com, Darty.com, Laredoute.fr et Amazon.fr ont opté pour une stratégie d alignement (prix proches) ; Cdiscount.com a choisi une stratégie d écrémage (prix le plus élevé). 4) Qui sont les clients? Les clients sont : les ménages disposant d un pouvoir d achat suffisant ; les «early adopters», friands de nouvelles technologies ; les seniors et les actifs qui souhaitent se débarrasser de la corvée du ménage car ils n en ont pas le temps ou ne sont pas souvent chez eux. 5) Citez les principaux freins et motivations de la clientèle pour ce produit. Les principaux freins sont : - Limite de la surface de nettoyage (une à deux pièces par jour) - Autonomie faible (1h30), pour une recharge longue (12h) - Prix trop élevé - Produit trop bruyant lors de son utilisation Les motivations sont : - Travail en autonomie (programmable), ne nécessite aucune intervention extérieure - Propreté exemplaire (il insiste sur les surfaces les plus sales) - Nettoie tout type de sol - Dispose d une haute technologie (tactile, cartographie )

5 Application n 9 : Application n 2 p de votre manuel de D.U.C. «BRSA : bataille marketing pour le fun» Proposition de correction de Charlotte, Leslie, Clarisse, Marion, Antoine P. et Thomas 1) Comment expliquer la progression du marché des BRSA? Deux catégories de boissons à distinguer : les soft-drinks, et les eaux gazeuses Le marché des BRSA suit donc une très bonne dynamique grâce : - aux soft drinks. Cette tendance se confirme en 2011, puisque le segment des liquides progresse de 6 % sur les trois premiers mois. - une cible large puisqu elle inclue les enfants et les jeunes adultes, qui sont de forts consommateurs de boissons sans alcool. - d importants efforts de communication : pour se démarquer car la concurrence est rude sur le marché - la concurrence, qui incite les entreprises à accroître leurs efforts de compétitivité - des innovations qui relancent le marché : - au niveau produit (Pepsi qui a donné une nouvelle recette à son Cola) - au niveau packaging (Coca-Cola avec sa «bouteille collector») 2) Quelle est la différence entre une progression en volume et en valeur? Progression en volume signifie une évolution en quantités de produits Progression en valeur renvoie à une évolution en euros. 3) Décrivez les stratégies des offreurs sur ce marché. Les concurrents les plus sérieux du marché des BRSA sont Neptune, Danone et Nestlé Waters pour les eaux, Orangina Schweppes, PepsiCo et Coca-Cola pour les autres produits. Le positionnement et la stratégie des groupes en présence sont distincts sur le marché des BRSA : - Les Soft-Drinks. GROUPE MARQUES POSITIONNEMENT PLAN DE MARCHEAGE (Produit, communication) - Produit : élargissement de la gamme avec d autres parfums plus gourmands ; ORANGINA- Orangina, Schweppes, - Communication : Adaptation des SCHWEPPES Oasis (leader de la publicités aux enfants grâce aux marque), Pulco personnifications des fruits, et ces publicités rassurent les parents en plus des campagnes de publicités sur l eau, qui est une des principales composantes d Oasis. COCA-COLA Coca Cola, Fanta, Limonada, Capri Sun - Produit : Reformulation de la recette de Fanta, qui a fait progresser de 2% les ventes Travail sur le packaging : Pour Capri Sun, le packaging e été modifié et est devenu plus ludique, avec une paille, pour plus de plaisir et de facilité. Pour Coca-Cola, et les 125 ans de la marque, une nouvelle bouteille: la «Bouteille Collector».

6 PEPSI CO 7Up Lipton Ice Tea Pepsi - Produit : Changement visuel ; logo plus iconique, un changement de leur recette et le lancement du 7Up Tropical. -Communication :Communication média avec un spot publicitaire avec les «Kaïra Shopping» et communication Internet avec leur présence sur Facebook. - Les eaux gazeuses. GROUPE MARQUES POSITIONNEMENT PLAN DE MARCHEAGE (Produit, communication) DANONE Salvetat, Volvic La naturalité, et faible teneur en sucre des produits - Produit : La bouteille Volvic devient 100% recyclable ; - Communication : Média (Web et Télé) : Volvic et son film sur le Développement Durable. NESTLE Vittel, Perrier, San Pelligreno Santé, vitalité - Communication : Hors média : Partenariats avec - le Tour de France pour Vittel - Roland Garros pour Perrier - Le Festival de Cannes pour San Pelligreno NEPTUNE Cristaline, Couremayer, Saint Yorre Prix, Santé, Teneur en calcium 4) Quels sont les segments les plus dynamiques? Les produits porteurs sont les soft drinks. Tout d abord, l eau avec le segment des eaux gazeuses qui tire le marché en Exemple de Danone avec la Salvetat : +50% de part de marché depuis le début de l année 2011 et atteint les 27,6%.

7 Application n 10 : Application «Caisse d épargne» p de votre manuel de G.R.C. Proposition de correction de Justine, Hélène, Anaïs L. et Hélène 1) Quelles sont les conséquences de la banalisation du livret A pour la Caisse d épargne en général et pour la Caisse d épargne des Alpes en particulier? La banalisation du Livret A a engendré une modification au niveau environnemental (variable «légale» selon la méthode PESTEL) : la fin du monopole de la Caisse d Epargne sur le Livret A. Les conséquences de cette banalisation pour la Caisse d Epargne en général sont : - Une différenciation moindre vis-à-vis de la concurrence, car toutes les banques proposent aujourd hui le même produit. - Une perte importante de la clientèle (surtout les jeunes) qui peut aujourd hui se tourner vers d autres banques pour ouvrir ce livret.les conséquences pour la Caisse d Epargne Alpes sont : - pour les «18-25 ans», nous constatons une baisse de 70% des clients détenteurs du Livret A, entre 2008 et (Proportion similaire pour les autres segments). ( *100) 2) Qui sont les concurrents principaux de la Caisse d épargne en ce qui concerne la clientèle jeune? Le Crédit Agricole est le principal concurrent de la Caisse d épargne puisqu elle compte 22 % de clients âgés de 18 à 29 ans en portefeuille. Vient ensuite la Banque Postale qui en a capté 17 % et le Crédit Mutuel 12 %. Les banques qui détiennent le moins de clients jeunes sont HSBC et le Crédit du Nord. 3) Pourquoi est-il important pour une banque de détenir dans son portefeuille clients une proportion importante de jeunes? Pour une banque, il est important de détenir une proportion important des jeunes car : - Ils représentent 30% de la population française, donc de clients potentiels en France. - Ils assurent la pérennité de l activité de la banque, car sur la durée, après être devenus actifs, ils sont rentables pour l UC car ils restent généralement dans la même banque (moins de 5% des français changent de banque chaque année). - Une banque peut vendre différents services à ses clients, correspondant aux différentes étapes de sa vie tels qu à son mariage ou son entrée dans la vie active. - Attention toutefois : Les ¾ des enfants ouvrent un compte dans la même banque que leurs parents. Détenir une proportion importante de jeunes dans son portefeuille est nécessaire pour une banque car peu de clients changent d établissement bancaire au fil du temps. Par conséquent, si l on arrive à capter des jeunes, et même s ils sont peu intéressants financièrement au départ, on peut espérer ensuite les garder lorsqu ils deviendront rentables. 4) Comment la Caisse d épargne tente-t-elle de préserver ses parts de marché chez les jeunes? La Caisse d Epargne tente de préserver ses parts de marché : - En montrant sa capacité à conseiller les clients en leur proposant des services adaptés (proximité, prix, ) - En mettant en place des techniques de fidélisation plus importantes pour éviter que leurs clients ne quittent la banque avant même de devenir actifs et rentables (relation commerciale, partenariat avec Universal Music ).

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Dossier de presse 1 Communiqué de presse Le groupe Casino mise sur la franchise pour accélérer le développement de ses enseignes de proximité Mars

Plus en détail

Note partielle sur le E-Commerce

Note partielle sur le E-Commerce Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne

Plus en détail

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Panorama de la grande distribution alimentaire en France N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire

Plus en détail

DES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC

DES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC Type d UC Outils du diagnostic Problématique Projet Magasin spécialisé dans la vente de produits pour l équitation Observation Analyse du compte de résultat Enquête clientèle Etude de concurrence Perte

Plus en détail

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 GÉANT CASINO FAIT PEAU NEUVE Après une baisse des tarifs sans précédent qui a permis à Géant Casino de devenir leader des prix bas, l enseigne d hypermarchés

Plus en détail

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22

Plus en détail

Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale

Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale PLAN 1. La crise et les conséquences

Plus en détail

Éléments de contexte. L univers des jardineries et graineteries

Éléments de contexte. L univers des jardineries et graineteries Éléments de contexte L univers des jardineries et graineteries L univers étudié est constitué des établissements spécialisés dont l activité se caractérise par la distribution de végétaux, de fleurs, de

Plus en détail

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011 Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et

Plus en détail

SYNERGIE Associés Confidentiel Reproduction interdite sans autorisation préalable Page 1 de 44

SYNERGIE Associés Confidentiel Reproduction interdite sans autorisation préalable Page 1 de 44 SYNERGIE Associés Confidentiel Reproduction interdite sans autorisation préalable Page 1 de 44 Le CRM (GRC) est la clef de votre succès Les Principes généraux de la Gestion de la Relation Clients Confidentiel

Plus en détail

Synopsis : Introduction : - L étude de la zone de chalandise doit tenir compte de la concurrence

Synopsis : Introduction : - L étude de la zone de chalandise doit tenir compte de la concurrence S422-3 L ETUDE DE LA CONCURRENCE LOCALE S422 La relation commerciale et son marché S42 La relation commerciale la concurrence Identifier les caractéristiques de la concurrence locale. Caractériser les

Plus en détail

Les nouvelles tendances commerciales

Les nouvelles tendances commerciales Les nouvelles tendances commerciales Philippe Moati 5 avril 2013 L anticipation d une accélération du changement Plan 1. Une nouvelle révolution commerciale: pourquoi? 2. Une nouvelle révolution commerciale:

Plus en détail

Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances

Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances Une analyse de fond des forces en présence et des impacts en matière de développement pour les compagnies d assurances Un écosystème

Plus en détail

Introduction aux distributeurs automatiques de boissons Février 2005 Christophe Caron

Introduction aux distributeurs automatiques de boissons Février 2005 Christophe Caron Introduction aux distributeurs automatiques de boissons Février 2005 Christophe Caron Avertissement Lorsque j ai acheté mon premier distributeur automatique de boisson sur ebay, j ai auparavant essayé

Plus en détail

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 Intervenants : Charlène MARLIAC, conseil commerce TIC - CCI de Lyon Yann

Plus en détail

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé JAMPI Dossier 1 L entreprise et son marché B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1

Plus en détail

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?

Plus en détail

Stratégie commerciale

Stratégie commerciale Stratégie commerciale Plan Le groupe Ferrero Présentation du produit Le marché de la pâte à tartiner Segmentation Cible Positionnement Marketing Mix : les 4P Conclusion Historique Ferrero 1946 : élaboration

Plus en détail

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?»

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» «COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» Sommaire 1. Introduction : les clients, les Médias et la Publicité 2. Construire une Stratégie de Communication

Plus en détail

ACTIVITE. principal Animation Fournisseur C54 Participer à une animation fournisseur Mise en rayon et analyse de rayon

ACTIVITE. principal Animation Fournisseur C54 Participer à une animation fournisseur Mise en rayon et analyse de rayon Vademecum de toutes les missions 2006-2014 Règle des 70/30 Exemple d'activité «Vendre» ACTIVITES Exemple d'activité «Assurer la qualité de service à la clientèle» OM Exemple d'activité «Mettre en place

Plus en détail

C Vous, le 1 er site communautaire destiné à tous les consommateurs

C Vous, le 1 er site communautaire destiné à tous les consommateurs C Vous, le 1 er site communautaire destiné à tous les consommateurs Dossier de presse Février 2012 une initiative du groupe Casino Le Plan J adore, c est quoi? L essentiel pour tout comprendre en 3 points!...

Plus en détail

Comment évolue le Category

Comment évolue le Category Comment évolue le Category Management dans les enseignes multicanal? 5e rendez-vous du category management - paris 12-14 décembre 2012 Remerciements Florence Guittet et Serge Cogitore, enseignants du Master

Plus en détail

ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE

ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE Master 2 Marketing Communication et Stratégies Commerciales CRM & E Business - Session octobre 2011 Alexandra Vignolles ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE Opportunité et complexité de la

Plus en détail

Savoir fidéliser ses clients

Savoir fidéliser ses clients Savoir fidéliser ses clients le programme partie 1 Les enjeux de fidélisation partie 2 La relation client : un levier de fidélisation Partie 3 Gérer sa base de données clients Partie 4 Les outils pour

Plus en détail

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du

Plus en détail

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises 72 CHAPITRE IV 1. La grande distribution française 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises La distribution française est une des plus importantes au niveau mondial, en raison de

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

Clément ALBRIEUX (69)

Clément ALBRIEUX (69) Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet

Plus en détail

Comment bien s hydrater pendant l été?

Comment bien s hydrater pendant l été? Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température

Plus en détail

La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global

La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global Historique Les marques existent depuis les premiers échanges commerciaux et servaient essentiellement à authentifier l origine

Plus en détail

Dossier de presse Mars 2011 Perspectives et vision de PepsiCo France sur le marché des boissons sans alcool

Dossier de presse Mars 2011 Perspectives et vision de PepsiCo France sur le marché des boissons sans alcool Dossier de presse Mars 2011 Perspectives et vision de PepsiCo France sur le marché des boissons sans alcool 1 Sommaire I. PepsiCo, 2 ème groupe agroalimentaire mondial p.4 1. "Performance With Purpose,

Plus en détail

Grande distribution et croissance économique en France

Grande distribution et croissance économique en France N 11 Décembre 2012 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Grande distribution et croissance économique

Plus en détail

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant : Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d

Plus en détail

Nicolas Malo Jacques Warren. Préface de Marc Lolivier. Web Analytics. Mesurer le succès et maximiser les profits de votre site Web

Nicolas Malo Jacques Warren. Préface de Marc Lolivier. Web Analytics. Mesurer le succès et maximiser les profits de votre site Web Nicolas Malo Jacques Warren Préface de Marc Lolivier Web Analytics Mesurer le succès et maximiser les profits de votre site Web www.webanalyticsprofits.com Deuxième édition revue et augmentée, 2009, 2012

Plus en détail

NESPRESSO ÉTUDE DE CAS

NESPRESSO ÉTUDE DE CAS NESPRESSO ÉTUDE DE CAS PROBLÉMATIQUE «Comment transformer un produit usuel, le café, en un produit haut de gamme?» PLAN Introduction I Nespresso, une filiale de NESTLÉ au concept novateur II NESPRESSO,

Plus en détail

8ème édition du Baromètre du CtoC PriceMinister-Rakuten & La Poste, réalisé par OpinionWay

8ème édition du Baromètre du CtoC PriceMinister-Rakuten & La Poste, réalisé par OpinionWay Paris, le 14 novembre 2013 8ème édition du Baromètre du CtoC PriceMinister-Rakuten & La Poste, réalisé par OpinionWay En 2013, face à la crise, le CtoC, précurseur de "l économie collaborative" ou «sharing

Plus en détail

Deuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation

Deuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation Deuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation de masse depuis 50 ans. Actuellement, il représente 20% de la consommation en boissons, pour une consommation annuelle

Plus en détail

E-COMMERCE & MULTI CANAL

E-COMMERCE & MULTI CANAL E-COMMERCE & MULTI CANAL SPÉCIALISTE E-BUSINESS UNE STRUCTURE ACCOMPAGNANT SES CLIENTS A L INTERNATIONAL + 1900 collaborateurs + CA 158 M + 21 années d'existence + 15 ans d'expérience e-business AVEC UN

Plus en détail

Agence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing.

Agence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing. Agence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing. Internet est la plus grande vitrine imaginable pour présenter et vendre des produits et des services. En permanence

Plus en détail

Planification stratégique

Planification stratégique Le marketing des services financiers Guide d auto-apprentissage LEÇON 3 Planification stratégique Objectif: Présenter la logique de la segmentation du marché et expliquer de quelle façon la décision relative

Plus en détail

Cercle LAB Impact des services à la personne sur le Marketing Mix en Assurance et en Banque. Le services à la personne à domicile

Cercle LAB Impact des services à la personne sur le Marketing Mix en Assurance et en Banque. Le services à la personne à domicile Cercle LAB Impact des services à la personne sur le Marketing Mix en Assurance et en Banque Le services à la personne à domicile Le Plan Borloo Engager les entreprises dans le développement des services

Plus en détail

CHAPITRE 4 GESTION COMMERCIALE

CHAPITRE 4 GESTION COMMERCIALE CHAPITRE 4 GESTION COMMERCIALE EXERCICE 1 ENONCE 1) Présentez les principales caractéristiques de la phase de lancement. 2) Présentez les différents types de rémunération d un vendeur. 3) Citez les différents

Plus en détail

Noël. + de fréquentation. + de communication

Noël. + de fréquentation. + de communication GUIDE DE NOËL GROUPE PROGMAG - ZA de Clairac - 260 rue St-Exupéry - 26760 Beaumont les Valence Téléphone : +33 4 75 780 780 - Fax : +33 4 75 780 781 Email : progmag@progmag.com Site : www.progmag.com Les

Plus en détail

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES

Plus en détail

Satisfaire les Clients au-delà de leurs attentes

Satisfaire les Clients au-delà de leurs attentes Satisfaire les Clients au-delà de leurs attentes Your Life. Our Enthusiasm 01 La bonne offre au bon client. La gestion de la relation client ou CRM (Customer Relationship Management) signifie interagir

Plus en détail

Développez. votre entreprise. avec Sage SalesLogix

Développez. votre entreprise. avec Sage SalesLogix Développez votre entreprise avec Sage SalesLogix Prospectez, fidélisez, développez Sage SalesLogix est la solution de gestion de la relation client puissante et sécurisée qui vous offre une vision complète

Plus en détail

TECHNIQUES DE DISTRIBUTION

TECHNIQUES DE DISTRIBUTION MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION TECHNIQUES

Plus en détail

Décrivez le micro-environnement de l entreprise, puis son macro-environnement.

Décrivez le micro-environnement de l entreprise, puis son macro-environnement. THÈME 1 L environnement de l entreprise EXERCICE 1 Environnement et marché Vous êtes un des leaders mondiaux sur le marché du café, vous avez su développer depuis des années de nouveaux produits pour vous

Plus en détail

Section C et D. Abdellah HOUSSAINI

Section C et D. Abdellah HOUSSAINI INTRODUCTION AU MARKETING Cours Semestre 4 Section C et D Abdellah HOUSSAINI 1 Introduction au Marketing Première Partie: Le marketing classique I: Les concepts II: Le marketing stratégique III: Le marketing

Plus en détail

BusinessHIGHLIGHT L EXPÉRIENCE CLIENT : Inspirer. n 1022011 .../... UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER SOMMAIRE L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT

BusinessHIGHLIGHT L EXPÉRIENCE CLIENT : Inspirer. n 1022011 .../... UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER SOMMAIRE L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT BusinessHIGHLIGHT Inspirer L EXPÉRIENCE CLIENT : UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT SOMMAIRE L apparition de l expérience client Notre définition de l expérience

Plus en détail

MARKETING MIX. Politique Produit. Les composantes d un produit POLITIQUE PRODUIT

MARKETING MIX. Politique Produit. Les composantes d un produit POLITIQUE PRODUIT MARKETING MIX POLITIQUE PRODUIT Sandrine Monfort Politique Produit! Les composantes d un produit! Les classifications produit! Lancement produit! Politique de gamme! Politique de marque Les composantes

Plus en détail

Numéro de dossier : 001. Caisse d Epargne Côte d Azur

Numéro de dossier : 001. Caisse d Epargne Côte d Azur Numéro de dossier : 001 Caisse d Epargne Côte d Azur SOMMAIRE Introduction Analyse de la situation Plan d action Réalisation du dossier de recommandations dans le but de devenir la banque référence pour

Plus en détail

w w w. a k m s te c h. m a La gestion de l interaction clients N importe où, en tout temps

w w w. a k m s te c h. m a La gestion de l interaction clients N importe où, en tout temps w w w. a k m s te c h. m a La gestion de l interaction clients N importe où, en tout temps Votre challenge Les opérateurs télécoms sont confrontés à des défis d envergure : Les clients sont de plus en

Plus en détail

Projet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730

Projet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730 PLAN DE COMMUNICATION APRÉS-LIFE Projet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730 Sensibilisation au recyclage des produits usagés SECTION I: APERCU DU PROJET LE PROJET Le projet COLLECT+ est mené par l un des leaders

Plus en détail

GUIDE DU PARTENAIRE 2015 de l'office de commerce, de l'industrie, de l'artisanat et de l'agriculture du Lodévois et Larzac

GUIDE DU PARTENAIRE 2015 de l'office de commerce, de l'industrie, de l'artisanat et de l'agriculture du Lodévois et Larzac GUIDE DU PARTENAIRE 2015 de l'office de commerce, de l'industrie, de l'artisanat et de l'agriculture du Lodévois et Larzac 1 L' Office de commerce, de l'industrie, de l'artisanat et de l'agriculture SOMMAIRE

Plus en détail

BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC. Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC.

BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC. Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC. BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC Nathalie HOUVER Sommaire GRC - DUC 1 re PARTIE : Les savoirs associés - Référentiel

Plus en détail

Le déroulement de l animation

Le déroulement de l animation 10020_GererAnimer_p076p087 Page 83 Vendredi, 12. août 2005 9:00 09 Le déroulement de l animation DOSSIER 15 Correspondance référentiel Dossier Page livre élève Compétences professionnelles Savoirs associés

Plus en détail

Éthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française!

Éthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française! Éthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française! «Éthique et responsabilité sociale des banques : aux confins de leur responsabilité juridique» (Colloque

Plus en détail

2 nd vie des produits technologiques. Ecocitoyenneté et nouveaux modèles économiques dans la téléphonie mobile

2 nd vie des produits technologiques. Ecocitoyenneté et nouveaux modèles économiques dans la téléphonie mobile 2 nd vie des produits technologiques Ecocitoyenneté et nouveaux modèles économiques dans la téléphonie mobile SOMMAIRE Electronique Grand Public : un marché de masse! Un cadre réglementaire : depuis 2006

Plus en détail

Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale

Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale conseil organisation management Réussir ensemble Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale Salon e-commerce, Paris, 14 septembre 2011 csa consulting

Plus en détail

Plan du chapitre. Mots-clés. Compétences. Savoirs associés. Dossier 2. 1 Les fondements 2 Les objectifs

Plan du chapitre. Mots-clés. Compétences. Savoirs associés. Dossier 2. 1 Les fondements 2 Les objectifs Développer la connaissance de ses clients Savoirs associés Compétences Dossier 2 S431- La connaissance du client - fondements - objectifs - analyse et gestion du portefeuille de clients C311 - Prendre

Plus en détail

COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS

COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS Depuis une décennie, les distributeurs à prix bas ont crû en importance dans tous les pays. Les hard-discounters dans

Plus en détail

Comment trouver des clients grâce à internet?

Comment trouver des clients grâce à internet? Comment trouver des clients grâce à internet? Plan de la présentation Présentation tour de table Quelques chiffres Un site internet? Pourquoi faire? Qu est-ce qu un site internet efficace? Comment attirer

Plus en détail

Cinq grandes tendances de la consommation digitale : défis et opportunités pour les distributeurs

Cinq grandes tendances de la consommation digitale : défis et opportunités pour les distributeurs Cinq grandes tendances de la consommation digitale : défis et opportunités pour les distributeurs 20 Juin 2012 CONFIDENTIEL ET PROPRIÉTÉ DE McKINSEY & COMPANY Toute utilisation de ce support, ainsi que

Plus en détail

Capter la. Pour faire face au comportement

Capter la. Pour faire face au comportement Capter la en mobilité pour l Pour faire face au comportement naturel des internautes qui recherchent de l information sur internet et font l achat en magasin, les distributeurs mettent en place des outils

Plus en détail

Parlons «Mobile» sans parler «Publicité»

Parlons «Mobile» sans parler «Publicité» Parlons «Mobile» sans parler «Publicité» Club Entreprise et Média 31 Mai 2013 Patricia LEVY DG SFR Régie SOMMAIRE 1. Le marché du média mobile P.3 2. 3. 4. Le mobile pour renouveler les techniques de communication

Plus en détail

Thèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique

Thèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Achat-Vente Fiche pédagogique Activité

Plus en détail

WHITE PAPER. Un format du passé en format d avenir?

WHITE PAPER. Un format du passé en format d avenir? Un format du passé en format d avenir? Jacques Dupré, Directeur Insights 22 juillet 2014 1. Un intérêt grandissant pour la proximité La «proximité» a souvent été considérée, au cours des dernières décennies

Plus en détail

Les bonnes pratiques du recrutement en ligne

Les bonnes pratiques du recrutement en ligne POUR VOUS ÉCLAIRER DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL Les bonnes pratiques du recrutement en ligne Avant-propos Au Québec, le commerce de détail compte près de 24 000 établissements et 300 000 employés. Les jeunes

Plus en détail

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans

Plus en détail

LIVRE BLANC. Smart data, scoring et CRM automatisé : Comment acquérir, qualifier et convertir ses prospects en clients

LIVRE BLANC. Smart data, scoring et CRM automatisé : Comment acquérir, qualifier et convertir ses prospects en clients messaging LIVRE BLANC Smart data, scoring et CRM automatisé : Comment acquérir, qualifier et convertir ses prospects en clients SOMMAIRE Smart data, scoring et CRM automatisé : Comment acquérir, qualifier

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

L ESSENTIEL CARREFOUR BANQUE

L ESSENTIEL CARREFOUR BANQUE CARREFOUR BANQUE PLUS DE 30 ANS D EXPÉRIENCE AU SERVICE DES CLIENTS Carrefour Banque commercialise des solutions de paiement, de financement, d épargne et d assurance. Depuis le lancement de la première

Plus en détail

Coca-cola Zéro : réelle innovation ou coup marketing?

Coca-cola Zéro : réelle innovation ou coup marketing? Coca-cola Zéro : réelle innovation ou coup marketing? Le numéro un mondial du soda veut devenir l incontournable sur le marché du"light". Un an après le lancement de Coca-Cola Black, fortement chargée

Plus en détail

Rappel situation marché

Rappel situation marché Proposition 2011 Rappel situation marché Un marché légèrement en hausse en volume en 2009 La France continue à perdre des points comme les VQPRD Les consommateurs sont plutôt fidèles aux prix et aiment

Plus en détail

Mobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.

Mobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler. Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment

Plus en détail

Des outils. pour les industriels et les distributeurs. Analysez. Valorisez. Optimisez. vos produits. vos produits. vos produits

Des outils. pour les industriels et les distributeurs. Analysez. Valorisez. Optimisez. vos produits. vos produits. vos produits Des outils pour les industriels et les distributeurs Analysez vos produits Optimisez vos produits Valorisez vos produits SANTÉ, ENVIRONNEMENT, SOCIAL : DES ENJEUX FORTS MARKETTING COMMUNICATON RSE - DD

Plus en détail

Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire

Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Introduction Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Paul, chef de produit, s est réveillé ce matin avec un mauvais pressentiment qu il ne parvient pas encore à expliquer.

Plus en détail

Bordeaux, jeudi 3 février 2011

Bordeaux, jeudi 3 février 2011 Pionnier du commerce en ligne, Cdiscount, filiale du groupe Casino, est le leader de la distribution par Internet en France. Cdiscount propose une offre de produits de plus de 100 000 références répartie

Plus en détail

De la fidélisation à la cocréation. Introduction. Historique. Artisanat ; Production (de masse) ; Qualité ; Innovation ; Fidélisation ; Cocréation.

De la fidélisation à la cocréation. Introduction. Historique. Artisanat ; Production (de masse) ; Qualité ; Innovation ; Fidélisation ; Cocréation. De la fidélisation à la cocréation Robert Viseur Assistant (Ir.) Service d Economie et de Gestion des Entreprises, FPMs 11-2001 Introduction Historique Artisanat ; Production (de masse) ; Qualité ; Innovation

Plus en détail

Assurance et Protection sociale Les enjeux du Digital Commerce

Assurance et Protection sociale Les enjeux du Digital Commerce Assurance et Protection sociale Les enjeux du Digital Commerce Sortir des murs, démultiplier les contacts 2013 T A L E N T E D T O G E T H E R Unissons nos Talents 1 Introduction Entre discours incantatoires

Plus en détail

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES.

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. I. L organisation en réseau. A. Définition. Un réseau est un ensemble organisé d unités commerciales (UC) liées par des intérêts

Plus en détail

Mag. à la carte de fidélité virtuelle? Solution de fidélisation sur application mobile. Et si vous passiez

Mag. à la carte de fidélité virtuelle? Solution de fidélisation sur application mobile. Et si vous passiez http5000 Mag Et si vous passiez à la carte de fidélité virtuelle? Solution de fidélisation sur application mobile Retrouvez ce magazine et tous les autres numéros sur notre application mobile! Tapez http5000

Plus en détail

Óibp=j qfbop= ar=pb`qbro= ar=`ljjbo`b=ab=a q^fi= bq=ab=i^=afpqof_rqflkó ibp=o c obkqfbip=abp=j qfbop=`^aobp

Óibp=j qfbop= ar=pb`qbro= ar=`ljjbo`b=ab=a q^fi= bq=ab=i^=afpqof_rqflkó ibp=o c obkqfbip=abp=j qfbop=`^aobp Óibp=j qfbop= ar=pb`qbro= ar=`ljjbo`b=ab=a q^fi= bq=ab=i^=afpqof_rqflkó ibp=o c obkqfbip=abp=j qfbop=`^aobp Les Référentiels des métiers cadres sont une publication de l Apec. Les Référentiels des métiers

Plus en détail

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007 Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma

Plus en détail

Programme d actions 2014 Département Agroalimentaire

Programme d actions 2014 Département Agroalimentaire Programme d actions 2014 Département Agroalimentaire Stratégie 2014 la filière bio, les produits transformés et la filière viticole uniquement dans le cadre des actions publi-promotionnelles Sud de France

Plus en détail

Connaissez-vous GROUPAMA BANQUE?

Connaissez-vous GROUPAMA BANQUE? Groupama Banque - Direction de la communication externe - Groupama participe à la protection de l'environnement en utilisant un site imprim vert et des papiers issus des forêts gérées durablement et en

Plus en détail

JOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION

JOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION JOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION Dans le cadre du contrat de filière de l industrie agroalimentaire coordonné par la Région Nord-Pas de Calais et la DRAAF, le pôle d excellence

Plus en détail

Modèle/Exemple - Business plan

Modèle/Exemple - Business plan Modèle/Exemple - Business plan Insérez ici le logo de votre enseigne/société NOM/Prénom Addresse 1 Addresse 2 Ville Code Postal Téléphone Fax Mobile E-mail Site Internet Sommaire Page 1. Introduction -

Plus en détail

Le 1 er distributeur automatique d assurance en ligne DOSSIER DE PRESSE, JUIN 2008

Le 1 er distributeur automatique d assurance en ligne DOSSIER DE PRESSE, JUIN 2008 Le 1 er distributeur automatique d assurance en ligne DOSSIER DE PRESSE, JUIN 2008 AU SOMMAIRE 1 2 3 idmacif.fr, un concept innovant dans la distribution d assurance 3 formules, 3 clics, 30% moins cher

Plus en détail

Le profil des acheteurs à distance et en ligne

Le profil des acheteurs à distance et en ligne Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION

Plus en détail

Les Rencontres de la Boulangerie

Les Rencontres de la Boulangerie Les Rencontres de la Boulangerie Les Moulins Evelia et leur partenaire Gabopla, fournisseur de matières premières en boulangerie, organisent les premières Rencontres de la Boulangerie les 21, 22, 23 et

Plus en détail

1948 Ouverture du premier magasin en libre-service dans le magasin d origine à Saint-Etienne

1948 Ouverture du premier magasin en libre-service dans le magasin d origine à Saint-Etienne 2007 1898 Ouverture de la première succursale à Veauche (Loire) et fondation de la Société des magasins du Casino 1901 Lancement des premiers produits à marque Casino Geoffroy Guichard Fondateur du Groupe

Plus en détail

Protection du budget. Prévoyance

Protection du budget. Prévoyance L offre CACI Forte de son expertise acquise sur son cœur de métier historique, l assurance, Caci a développé une gamme complète de produits d assurance à tination de ses partenaires et de leurs clients

Plus en détail

COM 300 / CHAPITRE 5: COMMUNICATION HORS. Mme. Zineb El Hammoumi

COM 300 / CHAPITRE 5: COMMUNICATION HORS. Mme. Zineb El Hammoumi COM 300 / CHAPITRE 5: COMMUNICATION HORS MEDIAS Mme. Zineb El Hammoumi Communication hors médias Marketing direct Définition Objectifs Moyens Outils SOMMAIRE PLV (Publicité sur lieu de Vente) Définition

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Notre stratégie de développement porte ses fruits

Notre stratégie de développement porte ses fruits Newsletter 2009/1 Editorial Notre stratégie de développement porte ses fruits Une fois encore, les clients de Win se déclarent particulièrement satisfaits des services offerts par notre entreprise et de

Plus en détail

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE Édition : décembre 13 MÉMO Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur 1. Optimiser l utilisation des livrets défiscalisés 2. Épargner sans plafond 3. Placer une somme importante sur quelques mois

Plus en détail

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing 2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B

Plus en détail