Croix-Rouge française Croix-Rouge Centrafricaine Bulletin Bimestriel N 01 SYSTÈME D INFORMATION SUR LES MARCHÉS

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1 Croix-Rouge française Croix-Rouge Centrafricaine Bulletin Bimestriel N 01 SYSTÈME D INFORMATION SUR LES MARCHÉS GE FRANCAISE SOUS-PREFECTURE EN RCA Bulletin DE Bimestriel BERBERATI No1 Mars 2015 Bulletin Février-Mars 2015 Publication Mai 2015 Avec le soutien financier de l AFD Contacts : Point focaux CRf Bangui : Anne-Gaëlle BRIL Adjointe HoD /Coordinatrice Programme Facilité Nutrition Cel: (+236) mail: hod1-rca.frc@croixrouge.fr Marché principal de Berberati, mars 2015 Vente en détail d oignon Berberati, mars 2015 Le système d information sur les marchés de la sous-préfecture de Berberati et particulièrement sur les marchés des 8 FOSA des communes de Berberati centre (Bengoté, Potopoto, Sambanda et Difolo), Haute Batouri (N Gbako et Nandobo), Basse Batouri (Tapourou) et Ouakanga (Nassolé) mis en place par la CRf et la CRCA dans le cadre d un programme soutenu par l AFD fait partie intégrante d un système d information et d alerte précoce dont l objectif est d évaluer continuellement la situation de la sécurité alimentaire à travers le suivi d un certain nombre d indicateurs (disponibilité des denrées, accès des ménages aux marchés et panier alimentaire) en fonction du calendrier agricole et de l évolution du contexte sécuritaire. Le but étant d apporter un éclairage aux différents acteurs et décideurs si la situation le requiert, et de produire des recommandations en termes de prise de décisions et d intervention. Le présent bulletin est destiné à être diffusé parmi les principaux acteurs de la sécurité alimentaire à Berberati et en RCA. Les informations couvrent la période de février et mars La CRf et son partenaire la CRCA espèrent un retour de leur part afin d apporter d éventuelles améliorations et d approfondir sa réflexion dans les zones couvertes par son programme pour un meilleur appui aux populations locales. CRf Berbérati : Jimba LANTAM-NINSAO HoSD Berbérati Cel: (+236) mail : hosdberberati.frc@croix-rouge.fr Abdoussalam MAIGA Délégué Sécurité Alimentaire Cel: (+236) mail: fsberberati.frc@croix-rouge.fr Zones couvertes par le système de suivi correspondant à la zone des moyens d existence CF09 - Ouest (Manioc-Maïs-Arachide) (Berberati, Haute Batouri, Basse Batouri et Ouakanga) 1

2 Principales informations sur les marchés des 8 FOSA des communes de Berberati, Haute Batouri, Basse Batouri et Ouakanga Absence de riz local sur l ensemble des marchés visités liée à la faiblesse de la production dans la zone. Baisse de la disponibilité des denrées alimentaires sur les marchés principaux des 8 FOSA (notamment le maïs, le riz importé et le manioc). Hausse particulière des prix des ruminants (bovins, ovins et caprins) liée à l indisponibilité dans les marchés visités. Berberati est approvisionné par Kentzou (Cameroun) surtout en viande bovine. Le marché principal de Berberati (Bengoté) présente plus d avantage comparatif par rapport aux marchés de l axe de Carnot (N Gbako et Nandobo) au niveau des disponibilités alimentaires sauf le manioc. Tous les autres marchés visités (Potopoto, Difolo, Sambanda et Tapourou) ont essentiellement été approvisionnés par le marché principal de Berberati (Bengoté), luimême approvisionné par les marchés du Cameroun (Garoua-Boulaï, Kentzou) et du Tchad pour les denrées importées. Grâce à la bonne récolte de la campagne 2014, les marchés visités ont été approvisionnés en denrées de provenance locale, ce qui a favorisé la baisse de certains prix (manioc, maïs et niébé). La proximité des zones locales d approvisionnement des marchés a également réduit les coûts liés aux transports entre les zones d approvisionnement et les marchés. Légère hausse du prix du panier alimentaire imputable à la fluctuation du prix de la viande bovine sur les marchés. 1- Prix des céréales et du sucre sur les principaux marchés des 8 FOSA Le suivi bimensuel des céréales sur les marchés a permis de constater que le riz local n est pas disponible dans l ensemble des marchés suivis à cause de la très faible production locale. La disponibilité du riz importé en provenance du Cameroun est faible et les prix sur l ensemble des marchés varient entre 300 et 400 FCFA le kilogramme. Le sac de 50Kg riz est vendu à des prix variables entre et FCFA. Hormis le marché principal de Berberati qui présente encore une disponibilité des céréales sur le marché, certaines denrées commencent à se raréfier sur les autres marchés. Le maïs n est pratiquement plus disponible dans les marchés (magasins et boutiques) de Tapourou, Nassolé et N Gbako et Nandobo. Le ngawi (cuvette de 17Kg) de maïs grain est vendu à des prix variables entre et FCFA correspondant à 175 et 200 FCFA le kilogramme. Le prix du manioc (1 ngawi = cuvette de 12Kg) est variable d une zone à une autre mais reste moins cher dans le marché principal de Berberati avec 750 FCFA le ngawi (65 FCFA le kilogramme). Par contre, à Nandobo, le ngawi de manioc est vendu à 500 FCFA (45 FCFA le kilogramme) et ce prix est parfois doublé dans les autres marchés. Cela s explique par la reconversion professionnelle des exploitants miniers de Nandobo. Actuellement, la faiblesse de production minière a permis aux actifs de s adonner à la production de manioc. Ainsi, la disponibilité des terres a accentué la production de manioc d une superficie de 4ha par ménage en moyenne. Aujourd hui, ce tubercule est disponible est abondance à Nan- 2

3 dobo par rapport aux autres zones. Le graphique 1 ci- après résume les coûts des denrées alimentaires (céréales et du sucre) sur les différents marchés suivis. Le manioc de Nandobo est vendu un peu partout en RCA (Bouar, Bangui, Carnot, Berberati, etc.) et au Cameroun (Kenzou et Garoua-Boulaï). Le sucre est disponible sur l ensemble des marchés à des prix variables entre 850 et FCFA le kilogramme pour le sucre en poudre et et FCFA pour le sucre en carreau. Le sucre en poudre est vendu à 850 FCFA et le sucre en carreau à FCFA au marché principal de Berberati donc moins cher rapport aux autres marchés. Le kilogramme de sucre en carreau a coûté FCFA sur les marchés de N Gbako et Nandobo au cours de la même période. Le sucre provient également du Cameroun. 2- Prix des ruminants sur les principaux marchés des 8 FOSA Dans la zone de suivi, les prix des ruminants (ovins et caprins) varient d un marché à un autre en fonction de leur taille / masse et de la disponibilité sur les marchés. Le graphique 2 ci- après résume le prix du bétail sur les différents marchés suivis. Selon les prix relevés au mois de février et mars, les petits ruminants sont relativement moins chers sur les marchés de Tapourou, Nassolé, NGbako et Nandobo comparativement à ceux de Berbearti. Par contre à NGbako et Nandobo, le bœuf ou la vache laitière n existe pas sur les marchés. Dans la zone de suivi, le prix du bouc (40Kg) a varié entre et FCFA sur les marchés de la ville de Berberati et à FCFA sur les axes. Par contre, le prix du bélier (50Kg) a varié entre FCFA et FCFA sur les sur les marchés de la ville de Berberati. Pour les gros ruminants (bovins), le taureau moyen (175Kg) s est vendu à FCFA à Berberati et FCFA sur Les axes. Le taureau sur pied et la viande n existe pas sur l axe de Carnot (NGbako et Nandobo). Les bovins sur pieds vendus sur les marchés proviennent du Cameroun. 3

4 3- Autres produits de première nécessité Le kilogramme de viande de bœuf sans os s est vendu au cours de la période à FCFA dans les marchés visités. Par contre, le prix de la viande avec os varie de à FCFA selon les marchés. La viande bovine n est plus disponible à NGbako et Nandobo depuis la crise mais existe en quantité très insuffisante à Berberati. Selon Mr. Wongo Pascal, Directeur Régional de l Elevage de Berberati, 4 têtes de bovins sont abattues par jour contre une prévision de 10 têtes. Avant la crise, Berberati s approvisionnait sur place par les éleveurs (sédentaires, MBororo en Fulfuldé et transhumants du Tchad) qui ellemême approvisionnait l axe Nola et Carnot. Actuellement, Berberati s approvisionne à Kentzou où se trouvent ces éleveurs MBororo. En effet, les bouchers de Berberati s approvisionnent par l intermédiaire d un opérateur économique Camerounais. La hausse du prix au kilogramme de la viande bovine s explique donc par la source d approvisionnement (Kentzou). Le graphique 3 ci- après résume les coûts des produits animaux et niébé sur les différents marchés suivis. Le demi-kilogramme de viande boucané (carcasse de 500g séchée coûte 3000 FCFA) est plus cher que la viande bovine. Cela s explique par 2 raisons, à savoir 1) les munitions pour la chasse sont achetés aussi à Kentzou donc plus chers (cartouche de 25 munitions est vendu à FCFA) et un contrôle rigoureux est effectué à la frontière par les services des eaux et forêts de la RCA, 2) la chasse des gibiers dans les forêts classées est interdite. Le kilogramme de poisson frais (carpe et maquereau) a varié de à FCFA dans les marchés visités. Le plus bas prix a été enregistré à Berberati et Nassolé. La source d approvisionnement est le Cameroun via Nassolé et Berberati. Par contre, le poisson frais local s est vendu entre 500 à 800 FCFA. Les légumineuses (niébé et arachide) sont encore disponibles sur les marchés mais les prix varient de 625 à 750 FCFA pour le niébé et 950 à FCFA pour l arachide selon les marchés. Le plus bas prix (625 et 950 FCFA) du kilogramme a été enregistré au marché principal de Berberati. Ces légumineuses proviennent en grande partie de la production locale. Le prix le plus élevé a été enregistré sur l axe Carnot (NGbako et Nandobo), soit 750 et FCFA le Kilogramme. L huile de palme et raffinée sont vendues respectivement à 800 et FCFA selon les marchés. Ces produits sont disponibilités en abondance mais l huile raffinée provient de Cameroun. Les graphiques 4 et 5 ci- après résument les coûts des produits végétaux et maraîchers sur les différents marchés suivis. 4

5 La tomate fraîche, l amarante et les laitues/salades sont disponibles en faible quantité sur les marchés visités et sont vendus à 50 FCFA par tas. Par contre, le prix de l œuf est resté stable et s est vendu à 100 FCFA. L oignon reste disponible et s est vendu de 900 à FCFA le kilogramme selon les marchés sauf à Nandobo, où il a coûté FCFA chez certains commerçants. 4- Prix des hydrocarbures Les prix des hydrocarbures ont varié entre les mois de février et mars. Le graphique 6 ciaprès résume les coûts des hydrocarbures sur les différents marchés. Le litre de gaz oïl a varié à 650 FCFA à Bengoté, 750 FCFA à Potopoto 750 FCFA et 650 à Nassolé et n existe pas à Sambanda, Difolo, Tapourou NBgako, Nandobo. Le prix du litre d essence a varié entre les mois de février et mars. Il s est vendu à 900 FCFA à Bengoté, 950 FCFA à Potopoto, Sambanda et Difolo, FCFA à NGbako et Nandobo, 950 FCFA à Tapourou et 1000 FCFA à Nassolé. Le prix du gaz butane de 12Kg a varié entre les mois de février et mars. Il s est vendu à FCFA à Bengoté, FCFA à Potopoto et Sambanda et n existe pas dans les autres marchés. Les sources d approvisionnement sont le Cameroun. 5

6 5- Paniers alimentaires mensuels Le panier alimentaire 1 suivi a été identifié sur la base des Standards minimum Sphère 2 (2100 Kcal/personne/jour). Le manioc est l alimentation de base à Berberati et en RCA. Ainsi, les denrées prises en compte ont été le manioc et l huile de palme (production locale), et la viande de bœuf importée. Le panier a été donc défini en fonction des habitudes alimentaires de la zone de suivi. Le panier alimentaire mensuel par ménage a tenu compte aussi des réalités de la zone dont la taille moyenne des ménages vulnérables avoisine 6 personnes (données des bénéficiaires du programme humanitaire PAM 2014 dans la zone). Le graphique 7 ci-après résume les coûts du panier alimentaire par personne sur les différents marchés suivis. Comparativement au mois de février, le mois de mars a été caractérisé par une légère hausse des prix du panier alimentaire du marché principal de Berberati (Bengoté) correspondant aux périodes de 2 ème cycle des récoltes du manioc et le démarrage des périodes de semis et soudure (avril-juillet). On note aussi une stabilisation relative des prix des autres composantes du panier alimentaire (huile de palme et viande de bœuf importée). Le principal produit parmi les constituants du panier alimentaire toujours disponible sur les marchés est le manioc en cossette de grande consommation. Ce qui confirme un début de la période de soudure. Ainsi, deux particularités se dégagent sur les axes : Sur l axe Carnot, les coûts des paniers alimentaires présentent une particularité liée à l absence temporaire de viande bovine et poisson importé sur les marchés. Ainsi, le prix a été estimé en tenant compte de la source habituelle d approvisionnement (Berberati). 1 Le panier alimentaire dans la sous-préfecture de Berberati se compose à la fois de glucides (tubercule/manioc et céréale/riz), de lipides (huile de palme et raffinée), de protéines animales (viande, poisson et œuf) ou végétales (arachide et noix de coco). La composition du panier est liée aux habitudes alimentaires et valeurs nutritionnelles. 2 Manuel Sphère

7 En effet, les coûts du panier moyen mensuel par personne de NGbako et Nandobo ont varié de CFA à FCFA soit à FCFA par ménage. Les coûts du panier alimentaire sont donc élevés par rapport à ceux des autres marchés malgré la disponibilité du manioc. La viande de chasse plus chère que la viande bovine (zone forestière disposant des gibiers comme antilope, etc.) est consommée en remplacement de la viande de bœuf même si la chasse est interdite. Les paniers alimentaires ont coûté plus chers au cours de la période. Sur l axe Sosso-Nakambo et Gamboula, les coûts des paniers alimentaires sont moins élevés (6 280 à FCFA soit à FCFA par rapport à l axe Carnot suivi des coûts du panier de Potopoto, Sambanda et Difolo (6 335 FCFA soit FCFA). Le coût du panier le moins cher a été enregistré au marché principal de Berberati (6 195 à FCFA soit à FCFA) grâce à la disponibilité de la viande bovine même si elle est faible, la viande de chasse est aussi utilisée. Le graphique 8 ci- dessous résume également les coûts du demi-panier alimentaire par personne sur les différents marchés suivis. 6- Transaction sur les marchés frontaliers et taux de change Tenant compte que les personnes ou les ménages vulnérables de Nandobo vont vendre leurs sacs de gnetum (légume, coco en Sango) de 75 Kg contre un sac de 100 Kg d arachide ou vice versa, le ratio retenu pour l analyse à l échelle locale (Nandobo vers Bouar et Bangui ou vice versa) a été le ratio feuilles sèches de gnetum /arachide coque. Ensuite, le ratio pour l analyse à l échelle frontalière sur l axe Carnot (Nandobo vers Garoua- Boulaï ou vice versa) a été le ratio cash for produits de première nécessité. 7

8 Ainsi, deux ratios ont été définis selon que le type de légumes (gnetum ou amarante) et de tubercule (manioc), les sacs d arachide, de riz et de sucre importé. Les feuilles sèches de gnetum et les cossettes de manioc de Nandobo sont d abord vendues à Bouar et Bangui pour ensuite acheter de l arachide coque. Par exemple, 1 sac de gnetum de 75 Kg vendu correspond à un sac de 100 Kg d arachide. Ensuite, les recettes empochées sur la vente des feuilles gnetum serviront à l achat des produits de premières nécessité (sucre, biscuits, etc.) à Garoua-Boulaï (Cameroun). A contrario, les personnes ou les ménages vulnérables de Nassolé ne font pas de transaction à l échelle locale. Les cossettes de manioc sont vendues directement à Kentzou (Cameroun). Le ratio pour l analyse à l échelle frontalière sur l axe Gamboula (Nassolé vers Kenzou ou vice versa) a été le ratio cossettes de manioc contre le riz et sucre. Selon les termes de vente, les ménages vulnérables de Nassolé vont vendre d abord les cossettes de manioc pour acheter du riz et sucre. Par exemple, 35 ngawi environ 420Kg est vendu à Kentzou à FCFA pour acheter deux sacs de 50 Kg de riz et 12Kg de sucre. Il est important de rappeler que toutes les transactions commerciales se font en espèce après négociation entre les parties. La devise de transaction est le FCFA. Conclusion et Recommandations Conclusion : Le présent bulletin a présenté les marchés des 8 FOSA des communes des zones actuelles d intervention de la CRf/CRCA dans la sous-préfecture de Berberati. Si les relevés des prix ont été faits sur les marchés comme à Berberati, Tapourou et Nassolé, par contre les relevés ont été faits chez des commerçants individuels ou boutiquiers détaillants de l axe Carnot (N Gbako et Nandobo) ce qui pourrait aussi expliquer des coûts plus élevés. Dans tous les cas, cela reflète les réalités quotidiennes vécues par les ménages de ces localités. En définitive, le marché principal de Berberati présente plus d opportunités alimentaires car les différents types de denrées y sont encore commercialisés. Ceci pourrait se justifier par le fait que cette commune urbaine est approvisionnée directement par Kentzou et a aussi bénéficié du programme d urgence de distribution de semences vivrières et de la ration de protection en juillet 2014 mené par PU-AMI, la FAO et le PAM comparativement aux autres communes qui n en ont pas bénéficié à cause de l accès difficile à ces localités en période d hivernage (Nassolé, NGbako et Nandobo). Avec la saison hivernale de la campagne 2015 (avril-octobre 2015) et la période de soudure (juin-juillet 2015) qui vient de démarrer, les prix des céréales pourraient être revus à la hausse lors de notre prochain bulletin. D ailleurs, certaines céréales commencent à se raréfier sur les marchés notamment le riz, le maïs et le niébé et dans une moindre mesure l arachide. Cette rupture va progressivement occasionner des hausses des prix de céréales et du panier alimentaire dans les FOSA des communes visitées. Ces marchés ruraux dépendront plus de la fluctuation des prix des denrées sur les marchés urbains (Berberati ville) mais aussi de l extérieur (Cameroun et Tchad) pour les denrées comme la viande, le poisson et le riz importé qui sont vitales en période de soudure ainsi que le bétail. 8

9 Recommandations : 1. Continuer le suivi des marchés dans les FOSA des communes et renseigner sur les différentes sources d approvisionnement en vivres ainsi que les liens avec les marchés des autres communes rurales. 2. Continuer le suivi des prix et des disponibilités, évaluer si nécessaire, l impact de la hausse des prix des céréales, de la viande bovine et des paniers alimentaires sur les ménages. 3. Améliorer le suivi des flux des denrées et produits alimentaires importés dans les zones frontalières (notamment les échanges avec le Cameroun). 4. Prendre des dispositions visant à améliorer l accès des ménages à la nourriture à partir des mois de mai et juin 2015 pour atténuer les effets de la hausse des prix en ciblant les ménages des marchés visités par la distribution de semences ainsi que les rations de protection et de soudure. Cela permettra d augmenter les disponibilités alimentaires au niveau des ménages pendant la saison de semis et soudure et renforcer leur potentiel productif avec l accompagnement des services techniques de l agriculture. 5. Prendre des dispositions visant à améliorer l accès des ménages à la viande bovine en appuyant le circuit d approvisionnement des bouchers de Berberati avec l implication des services techniques de l élevage. 6. Prendre des dispositions visant à améliorer l accès des ménages à la nourriture par la mise en place d un projet de transfert monétaire (vouchers/bons d achat de valeur alimentaire) pour augmenter les revenus des ménages et le capital des commerçants détaillants des marchés visités par la distribution d un panier alimentaire en voucher (au moins FCFA pendant 6 mois). 9

10 ANNEXE : Récapitulatif des 8 marchés sur 2 mois (février-mars2015) Produits Bengoté Potopoto Sambanda Difolo Nandobo NGbako Tapourou Nassolé Riz importé Manioc/cossette Maïs Sucre blanc (poudre) Sucre blanc (carreau) Niébé Viande de boucané Viande de bœuf avec os Viande de bœuf sans os Poisson local frais Poisson importé (carpe, maquereau) Œuf Arachide décortiqué Huile de palme Huile raffinée Tomates fraiches Laitues/salades Amarante Gombo Oignon Poulet Mouton Cabris Bœuf Gaz oïl Essence Gaz (12 Kg) Gaz (6 Kg)

11 Photo : Président et volontaires CRCA (agents de suivi marchés) 11

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